Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all 2644 articles
Browse latest View live

Histoire du net. Auteur: Florian. Education.... Fin

$
0
0


De plus en plus loin...
De plus en plus soumis...
De plus en plus endurant!
Mon Maître
Fin

Je suis devenu totalement prisonnier de mon maître :
Ce titre veut tout dire… en effet, à l’heure actuelle je suis devenu prisonnier de mon maître car cette nuit j’ai eu la surprise avec un grand étonnement de voir mon maître débarquer dans ma chambre.
Il est environ 2h du mat lorsqu’une main qui me réveille en sursaut se plaque sur ma bouche et qu’une voix me chuchote :
- Chut…
Je le reconnais, et devant ma stupéfaction, il m’explique que durant le plan où il m’avait emmené cher les 2 lascars et qu’il m’avait confisqué mes fringues il en avait profité pour faire des doubles de mes clés. Après ces explications il s’est mis a cheval sur moi me bloquant les bras avec ses genoux, sortie sa bite et me dit:
- Aller pompe moi la teub salope…
Je ne pus qu’obtempérer en ouvrant ma bouche où il enfonça entièrement sa bite encore molle jusqu’au fond de ma gorge, comme à mon habitude j’ai joué de ma langue en l’enfonçant dans son prépuce jusqu'à ce qu’elle grossisse.
Une fois bien durcies il me bloqua les poignets derrière la tête avec ses mains et me défonça la bouche furieusement jusqu'à ce qu’il crache tout son sperme qu’il m’obligea à avaler.
Il a laissé sa bite dans ma bouche jusqu’à ce qu’il débande afin de la lui rendre propre (comme il dit) puis s’est relevé et m’a ordonné de me mettre sur le ventre, là il a sorti des menottes et m’a attaché les mains derrière le dos. Puis il a fouillé dans mon placard et à confisquer tous mes slips ne me laissant qu’un string me disant que maintenant il m’était interdis de porter des sous-vêtements et de ne mettre que celui qui me restait qu’en cas de besoins. De plus… dorénavant, j’ai interdiction de me toucher et de jouir, prétextant que ma bite ne doit servir à rien sauf pour pisser, sous peine de correction.
Il m’a détaché, m’ordonnant de m’habiller. Vite fait, j’ai pris un pull au hasard et enfilé un Jeans où il coupa les boutons de braguette et qu’il déchira aux fesses.
Nous sommes sorties et m’a conduit sur un lieu de drague en bordure de foret que je ne connaissais pas. Il s’est arrêté à un endroit et m’a ordonné de descendre de voiture.
- Cette nuit tu vas te poster là et tu vas faire la pute, mais cette fois ci ce ne sera pas gratis, peu importe les mecs que je t’enverrais, du moment qu’il me paye, ils pourront abuser de toi, donc t’as intérêt à être à la hauteur si tu ne veux pas recevoir une raclé t'as compris salope?
- Oui
Je me suis donc posté à l'endroit indiqué et j'ai attendu.
Peut-être 10mn après un mec s'est approché vers moi en me disant.
- C'est toi la putain du mac là-bas?
- Heu... oui...
- Ok alors viens par là...
Il m’a pris par le bras afin de rentré dans le bois et lorsque nous nous sommes arrêtés il m’a dit tout en sortant sa bite de son pantalon.
- Vas-y suce moi...
Je me suis donc mis à genoux, pris sa bite dans ma bouche et l'ai sucée, je sentais sa queue grossir au fur et à mesure et lorsqu'il fut bien raide il me prit par les cheveux pour me défoncer la bouche.
- Ouai... vas-y salope, suce bien.... ouai... hummmm...ho putain!!! T’es une bonne chienne toi hein?... ouai... vas-y...ton mac ne m'a pas menti... t'es une bonne pute toi...hummmm...
Il m’a défoncé la gueule jusqu'à ce qu'il me jouisse sur la figure en se branlant, puis il a rangé sa bite dans son fut et est reparti.
Je me suis donc relevé, me suis essuyé avec mon tee shirt et suis repartis à l’endroit où je devais rester.
Quelques minutes à peine, un autre mec vint vers moi pour se faire sucer suite à l'envoie de mon maître, on est donc allé a peu prêt au même endroit que le 1er mec, et me suis foutu direct à genoux.
j'ai baissé son jogging et pris sa bite dans ma bouche, contrairement à l'autre celui-ci ne disait rien, je n'entendais que des petit "humm humm"de plaisir, mais au bout d'un moment il m'a demandé de lui présenter mon cul.
je me suis donc relevé, me suis penché en avant en écartant les jeans déchirés afin de lui montrer mon trou, là il a craché sur ma rondelle et sur sa queue et me l'a présenté à l'entrée de mon trou en me l'enfonçant doucement, j'ai senti sa bite rentrer à fond avant qu'il ne me lime le fion, doucement d'abord puis de plus en plus vite.
je pense qu'il n'a pas voulu jouir trop vite car il s'arrêtait de temps en temps au fond de mon cul quelque instant avant de reprendre ses va et viens qui devenaient de plus en plus brutales, puis un mec est venu nous rejoindre, là mon enculeur me pris par les cheveux pour me relever la tête et l'autre a sorti sa bite pour me l'enfoncer direct dans ma bouche.
Je me suis donc retrouvé avec une bite dans le cul et une autre dans la bouche, mon enculeur me limait de plus en plus vite en poussant des "han... han..." jusqu'a ce qu'il me largue sa purée dans mon cul.
Il resta un moment au fond de moi puis c'est retirer et est reparti me laissant avec le 2e que je suçais encore qui m'encula ensuite à son tour. Il n'eut pas trop de mal a rentré dû au foutre du 1er qui lui as servie de lubrifiant. Il me largua, lui aussi tous son jus dans mon trou avant de repartir.
J’ai été rejoindre mon poste lorsque mon maître vint à ma rencontre.
- Enlève ton jean salope...
J’ai donc enlevé mon pantalon qu'il me confisqua pour repartir avec à sa voiture me laissant comme ça, cul nu en tee shirt et en basket (grande humiliation que de se retrouver ainsi...).
Les mecs se sont succédés ainsi, envoyer par mon maître afin de leur servir de vides couilles et de trou à bites. J’ai reçu du sperme sur la figure, mon tee shirt, et dans mon cul tout au long de cette nuit.
J’ai fait la pute pour une 15e de mecs avant que mon maître me ramène chez moi, avec pour consigne de me coucher sans me laver.
oooOOOooo
Les bons vœux de mon maître :
Hier samedi 6 janvier 2016 je reçois un mail de mon maître :
« Je passe te chercher à 20h, on va fêter la nouvelle année comme il se doit soit prêt salope »
Comme a l’accoutumé je me prépare, (rasage, lavement de mon cul, douche) il est 19h55, je descends pour l’attendre, a 20h pétante il arrive, je monte dans la voiture, sa bite a l’air en semis érection il me demande de dire bonjour a sa queue, je me penche pour l’embrasser mais au moment de me relever il me retiens la tête en me disant :
- Avale là salope…
Je prends donc sa bite dans ma bouche et commence à le sucer, lorsqu’il me dit :
- Non… garde là dans ta bouche salope et joue avec ta langue…
Puis il démarra la voiture pour je ne sais ou, une main sur ma tête, une main sur le volant.
Sa bite ancrée dans ma bouche j’enfonçais ma langue dans son prépuce pour y atteindre le bout de son gland, que je sentais gonflé de plus en plus, une fois sa bite bien raide et sentant que je m’étouffais, il relâcha sa prise mais tout en me tenant par les cheveux il m’obligea a faire coulisser ma bouche sur sa tige, le sentant au bout de l’orgasme j’ai cru qu’il allait jouir dans ma bouche mais il n’ en fit rien et m’ordonna d’abaisser complètement mon siège, de baisser juste mon pantalon et de me mettre a 4 pattes.
Peut-être 5/10mn après il se garait sur un parking d’un hôtel puis il vint se placer derrière moi, crachat sur ma rondelle et sur sa queue et m’encula, il était tellement excité qu’il ne me lima pas plus de 2 ou 3mn avant d’y déverser tout son foutre dans mon cul, il resta un bon mon moment ancré dans mon cul jusqu'à ce qu’il débande et se retira en m’ordonnant de garder sa semence en moi.
Nous sommes descendus de voiture et pris une chambre dans l’hôtel.
Il m’ordonna de me déshabillé et m’attachât sur le lit : sur le dos, les bras en croix mes chevilles relier aux poignets laissant ainsi mon trou du cul bien en vue, il me plaça un bâillon gode dans la bouche et un bandeau sur les yeux. Puis il me dit :
- Cette nuit ton cul va souhaiter la bonne année à toutes les bites qui y rentrera…
Et en effet, comme pour tester la position dans laquelle j’étais il m’encula une seconde fois, je du me rendre a l’évidence que je ne pouvais ni bouger, ni voir, ni crier. Il me défonça le cul sans ménagement jusqu'à me déverser encore une fois son foutre dans mon cul me disant que son sperme servirait de lubrifiant aux autres mecs, puis il me plaça un Plug dans le cul afin que son foutre ne puisse pas s’échapper.
Ensuite je l’ai entendu passer plusieurs coups de fil, en disant :
- Salut… c’est bon… on est arrivé… on est a l’hôtel… je t’attends… ouais… ok pas de problème…elle est comme je te l’avais promis…ok… ciao, a tout…
Puis s’adressant à moi.
- Bon aller, j’ te laisse, j’vais aller bouffer un morceau, y a un mec qui arrive dans 5 mn.
En effet quelque mn après qu’il soit partis me laissant dans cette position j’ai entendu la porte s’ouvrir, ne pouvant ni voir ni parler, j’étais a l’affût du moindre bruit, le mec n’a pas décrocher un mot sauf un « woua !» lorsqu’il a du me voir dans la position ou j’étais, puis je l’ai entendu se déshabillé, monter sur le lit et entrepris de retirer le Plug, sous un soubresaut de ma part il me dis en me claquant le cul :
- Bouge pas salope… reste calme…
Puis j’ai sentis sa bite rentrer dans mon cul bien lubrifier par le foutre de mon maître et me défonça jusqu’a ce qu’il jouisse et est repartis comme il était venu sans oublier de me remettre le Plug dans mon cul.
J’ai reçu des coups de bites et servi de vides couille cette nuit a au moins 10/12 mecs, certain m’ont enlevé mon bâillon pour que je les suce avant de m’enculer, d’autre ne se sont pas préoccuper de mon cul mais juste de ma bouche en se vidant dedans, il y a même un couple qui est venu que j’ai du sucer avant qu’ils ne m’enculent chacun leur tour.
Il était environ 5h du mat lorsque mon maître vint me rejoindre, il me retrouva le corps, la figure et le cul recouvert de sperme et bien que sa consigne a tout ces mecs étais de remettre après leurs passage le Plug dans mon fion il y découvrit un cul bien ouvert et béant, le Plug n’y tenant plus.
Il me détachât, me fit me rhabiller et me ramena chez moi.
Bonne année a tous.
oooOOOooo
Tourné par mon maître dans une épicerie :
Il y avait un moment que je n’avais plus de nouvelles de mon maître depuis ce fameux 6 janvier et voilà que je reçois un mail :
« Salut salope, je passe tout a l’heure attends moi a poil »
Curieusement il ne m’avait pas donné d’heure, mais comme maintenant il a les clés, il peut venir a tout moment. Je me prépare donc à le recevoir à poil comme ordonner et vaque a mes occupation en attendant.
1 heure passe et toujours personne, ayant un peu froid j’enfile un tee shirt histoire de me réchauffer un peu. 20 heure toujours personne, 20h30 j’entends une clé dans la serrure et la porte s’ouvrir, c’est lui…
Je me précipite devant lui à genoux, prêt à lui enlever ses chaussures et lui embrasser ses pieds comme pour le « vénérer » comme il le demande. Malheureusement, chose impardonnable, j’ai gardé mon tee shirt…
- Je t’avais dis de m’attendre à poil salope…
Tout en enlevant aussitôt mon tee shirt je lui demande de me pardonner en lui disant que j’avais un peu froid en l’attendant et continue à le déchausser. Une fois pieds nus je les lui les lèche et me dis.
- Tourne-toi salope et tends-moi ton cul…
Pensant qu’il voulait m’enculer direct j’obéis, a 4 pattes, les coudes au sol, mon cul et mes cuisses bien écarter face a lui, j’entends qu’il commence à déboutonner son pantalon et enlever sa ceinture qui est venu s’abattre sur mes fesses. Surpris par le coup, je ne pus m’empêcher de crier par la douleur.
- Ferme ta gueule salope...
Puis un 2eme coup vint s’abattre sur mon cul.
- Je t’avais dis de m’attendre à poil putain…
- Pardon maître… pardon…
Malgré mes pardons et mes sanglots je reçus une 10ene de coup de ceinture sur mon cul tout en serrant les dents.
- Bien… maintenant que tu as reçu ta correction suce-moi la bite avant que je t’encule…
Je me suis donc retourné, défais les boutons de son pantalon, baisser son slip et pris sa bite dans ma bouche qui était déjà bien raide et le suça.
Sa bite bien baveuse par ma salive il m’ordonna de me retourner et m’encula jusqu'à ce qu’il jouisse dans mon cul en me disant de garder son foutre. Là… il se rhabilla et m’ordonna de m’habiller.
Vite fait j’enfilai un pantalon et un tee shirt me chaussa de baskets, pris mon blouson et sommes partis en voiture. La route ne fut pas bien longue, il s’arrêta et me conduisit dans une petite épicerie arabe, il m’ordonna d’attendre a la porte et alla discuter avec le patron qui était a la caisse, quelques seconde après il me fit signe de le rejoindre et m’ordonna de passer derrière la caisse et de sucer le patron, l’endroit était vraiment exigu mais je réussi à me caler sous la caisse.
J’ai donc débraguetté le patron, lui sortie sa bite encore molle et le suçai, sa queue gonfla rapidement à en devenir raide, en moi-même je me suis dit « tant mieux… s'il bande aussi vite c’est qu’il est très excité et qu’il va vite jouir, et plus vite il jouira, plus vite je pourrais me relever de ce coin »
Mais tout d’un coup la porte de la boutique s’ouvrit et un client rentra, j’arrêtais donc ma suce mais le patron ne l’entendait pas comme ça car il fit des va et viens dans ma bouche comme pour me dire de continuer.
Je repris donc ma suce tout en me faisant bourrer la gueule par ses coups de rein, quelques instants après il arrêta ses va et viens tout en me laissant sa bite ancrée dans ma bouche, et d’un seul coup me largua tout son foutre, ma tête coincée sous la caisse et contre le mur je ne pouvais plus bouger ce qui m’obligea à tout avaler.
Sa bite resta plantée dans ma bouche jusqu'à ce que le client vienne régler ses achats et une fois partis se retira, il se dégagea pour que je puisse me relever, mon maître était toujours là et m’emmena dans l’arrière-boutique qui servait de réserve.
La pièce était dans le noir, seul le néon carré « sortie de secours » servait d’éclairage
- A poil salope…et plus vite que ça…
Vite fait je me suis dessapé, mais il m’ordonna de garder mes baskets.
- A genoux et mains derrière le dos…
Il me menotta et partit avec mes fringues me laissant seul. L’attente ne fut pas longue car la porte s’ouvrit et pu apercevoir un mec rentré, sans rien dire il dégrafa son pantalon et me colla sa bite sous le nez.
- Aller…vas-y… taille moi une bonne pipe…y parais que t’es une bonne petite pute…
Alors j’ouvris la bouche et pris sa bite.
- Humm… ouai… pas mal… c’est vrais qu’tu suces bien salope…humm… ouai…vas-y…aller pompe moi bien petite salope…
Puis il me prit par les cheveux et me bourra la gueule pendant un petit moment avant de me relever et de m’allonger sur un sac de patates, il se mit à genoux, m’écarta les fesses et y introduisit un doigt, mon cul lubrifier par le sperme de mon maître n’eu aucun mal a rentrée qu’il en méta un 2eme.
- Putain !!!… t’es vraiment une bonne chienne à c’que j’vois… regarde moi ça… ça rentre comme dans du beurre… tu t’es déjà fais défoncé le fion apparemment !!!…hein salope !!!…ta chatte est bien mouillée…
A ces mots il retira ses doigts qu’il remplaça par sa bite, qu’il m’enfonça jusqu’aux couilles, une main sur mes hanches et l’autre me tirant les cheveux en arrière, il me laboura le cul comme un forcené tout en gémissant et me claquant les fesses.
- Han…han…han… tiens… prend ça salope… t’es une pute de choix sale enculé…haaa…putain !!! Quelle chatte !!!…humm…ouai…
Puis dans un grand râle, il me largua son foutre au fond de mon cul, il y resta un petit moment et lorsque sa bite commençait à débander il se retira, me remit à genoux face a lui et toujours en me tenant par les cheveux me dit :
- Aller chienne… maintenant nettoie-moi ça…
Devant mon refus, il me pinça le nez pour que j’ouvre la bouche et m’y enfonça sa bite de force, sa queue était encore chaude par l’intérieure de mon cul et gluante de foutre, je l’ai donc sucé pour le nettoyer en y récupérant les quelques goute de sperme qui en sortait encore, sa bite devenue molle il se rhabilla et sortis.
Un peu fatigué quand même par cette baise et le cul en feu dégoulinant de foutre je me suis assis sur le sac de patates et attendu.
J’entendais des voix venir de la boutique et la porte de la réserve s’ouvrit sur un grand mec jeune habillé en djellaba, il referma la porte et vint me rejoindre.
Curieusement il m’enleva mes menottes et me demanda d’une voix douce de me mettre à 4 pattes, enfin délivrer je ne me fis pas prié et me mis en position, il se déshabilla et se planta devant moi, sa bite était longue épaisse recouverte d’un long prépuce et ne bandait pas encore, là tout en me demandant gentiment il me dit :
- Vas-y lèche mon saucisson…
Étonné par sa douce voix, je me suis dit « enfin ! Un mec doux… »
Mais grosse erreur car croyant lui faire plaisir, je pris sa bite dans une main et ouvrit ma bouche pour le sucer et voilà qu’il me flanque une gifle et me dit d’un ton plus sec :
- J’ t’ai dit de lécher… pas de sucer salope… tu sors ta langue et tu m’lèches la bite comme un chien… tu laisse tes mains par terre compris ?
Alors comme un chien je l’ai léché plusieurs fois en commençant par le bout de son prépuce et remontant le long de sa queue.
Sa bite commençait a gonfler et commençait a mouiller, je suçotais comme un biberon le bout de son prépuce pour en récupérer sa mouille, alors il prit sa bite en main et sans se décalotté me demanda d’y fourré ma langue a l’intérieure jusqu'à y rencontrer le bout de son gland. Ma langue rentrait sans problème tellement il mouillait.
Ce mec prenait son pied comme ça car il ne mit plus bien longtemps à bander, une fois sa bite bien raide je devais lui lécher ses couilles et sa queue, a aucun moment il se décalotta pour que je lui lèche le gland.
Puis la porte s’ouvrit sur un autre mec, sans y prêter attention afin de ne pas me prendre une baffe (on ne sait jamais…), je l’entendais se débraguetter et y sortis uniquement sa bite déjà bien gonflé, il parla en arabe avec le jeune mec que je léchais qui lui laissa sa place pour que je le suce un peu a son tour.
Une fois satisfait de ma suce il se retira, se plaça derrière moi et m’encula d’un coup sec sans même se défroquer, le jeune mec repris sa place et cette fois-ci m’engouffra sa tige dans la bouche, toujours a 4 pattes, j’avais des coups de rein de mon enculeur et de mon sucé.
Je me fis labouré par les 2 trous pendant une bonne 10ene de MN lorsque mon enculeur se retira vint se placé à coté du jeune mec que je suçais encore et se branla pour venir jouir sur ma figure, je reçu des giclés de sperme sur la joue, les cheveux, partout…
Son jus était tellement abondant qu’il ne s’arrêtait plus, du foutre atterrissait sur la bite que je suçais ce qui la lubrifia encore plus, ma langue mélanger de salive et de foutre fourrageais de plus en plus facilement le long prépuce lorsque je senti un liquide chaud et épais me remplir la bouche par spasme. Me tenant la tête il m’obligea à boire ses flots de sperme mais il y en avait tellement que je ne pu tout avaler et donc ressortais de ma bouche. Les 2 mecs se sont rhabillé et sont repartis.
Mon maître est revenu quelques instant après et me voyant ainsi couvert de foutre il me balança mes fringues a la figure et me dit :
- Aller putain… rhabille toi on rentre…j’ai gagné ma soirée…
Je me suis donc rhabillé et sorti de la réserve. Les mecs qui m’avaient baisé était encore la assis autour d’une petite table en train de boire leur thé, tout en me regardant avec un sourire moqueur.
- Salut les mecs et merci dit mon maître en partant
- Salut man… tu reviens quand tu veux avec ta pute…
- Ok… pas de problème… ciao.
- Salut la putain…
Mon maître ma raccompagner en bas de chez moi et me dit avant de me faire descendre de voiture.
- Bravo salope… t’es une bonne chienne et une bonne petite pute…je commence à me faire des couilles en or avec ta bouche et ton cul… je m’demande si je n’vais pas te foutre sur le trottoir un de ces 4…aller… maintenant va te laver tu sens le foutre a plein nez…et la prochaine fois que j’te dis de m’attendre ou d’attendre quelqu’un a poil, c’est a poil, sinon tu descendra de chez toi jusqu'à la voiture a poil t’as compris ?
- Oui maître.
OooOOOooo
Une 2eme tournante par mon maître :
15 jours se sont écoulés après ma tournante dans l’épicerie que mon maître à décider de recommencer mais cette fois ci dans un autre milieu.
C’était un samedi après midi aux environs de 16 heure que mon maître est venu me chercher.
Arrivé sur l’autoroute, il m'a ordonné de baisser mon pantalon et de le sucer.
J’ai donc baissé mon jean’s, ouvert sa braguette sortie sa bite encore molle et me suis mis à la téter jusqu'à ce qu’elle grossisse, comme à son habitude il ralentissait à la hauteur des camions afin que l’on me mate bien le cul a l’air en train de le pomper.
Après environ ¼ d’heure de suce sans m’arrêter, il finit par jouir dans ma bouche tout en me tenant la tête pour que j’avale sa semence et suis resté ainsi, sa bite ancrée dans ma bouche jusqu'à ce qu’il débande afin de récupérer les dernières gouttes de sperme, puis je lui ai remis tout son service 3 pièces en place et me suis rhabiller a sa demande.
1 heure de route après nous nous sommes arrêtés dans un endroit désaffecté où se tenais une espèce de maison taguée de partout, nous sommes rentré et pris l’escalier pour monter a l’étage, arrivé au 1er il a frappé a une porte ou on lui a dit d’entrée mais il me dit.
- Toi tu attends là…
- Salut les mecs…j’ai le colis…
- Salut… Ok fais entrer…
D’un claquement de doigt il m’ordonna de rentrée dans la pièce où se tenais 5 mecs du style skinhead, une bière a la main et dans l’autre une clope dont certains fumais de l’herbe, assis sur un canapé et des fauteuils troué. L’un deux se leva qui sans doute devait être le leader car il dit a mon maître.
- Ok tu connais notre accord ?...
- Ouais ouais… pas de PB… je vous le laisse, … il est à vous…
Puis mon maître est reparti me laissant seul avec eux.
Là le mec me dit sur un ton méchant et méprisant.
- Ok mec, nous on n'est pas du tout branchés mec, mais plutôt du style meuf à tringler comme une pute, mais ton mac nous a dit que tu étais une bonne putain, alors on va faire abstraction à ta bite et te considérer comme une meuf, t’as donc intérêt à être bonne et faire ce qu’on te dira de faire sinon je te coupe la bite et les couilles… t’as compris ?
- Oui monsieur…
- Ok alors désape toi et met toi a genoux et en vitesse…
Je me suis exécuté sans broncher et il eut l’air satisfait de me voir ainsi épilé de la tète aux pieds comme une meuf. Puis il s’approcha de moi sortie sa bite de sa braguette et me la présenta devant ma bouche.
- Aller vas-y… au travail… montre moi ce’que tu sais faire salope…
J’engloutis donc sa bite dans ma bouche et la fit grossir, puis tout en me tenant la tête il me défonça la gueule jusqu'à me jouir dedans.
Il se retira de ma bouche, rangea sa bite, alla se rassoire et vint le moment de mon humiliation.
J’ai dû lécher les bottes de cuir de tout le monde afin de les lustrer avec ma langue puis il ma ordonner de me branler devant eux 2 fois pour en extraire mon jus, une fois à genoux et une autre fois debout, j’ai eu toute les peines du monde à éjaculer la 2eme fois mais j’y suis quand même arriver.
A son ordre je me suis mis a genoux puis un mec est venu vers moi, a sortie sa bite et me l’as enfourné dans ma bouche, je me rappelle bien de sa bite car bien qu’elle n’était pas bien grande ni trop épaisse, elle était bien veineuse et dure comme du béton et très endurante car il a mis un certain temps avant de jouir. Puis les autres mecs se sont succédés et sont venu autour de moi me présentant leurs queues à sucer pour se vider soit dans ma bouche soit en se finissant en se branlant sur ma figure.
Leurs couilles bien vidées ils se sont remis à boire de la bière et fumer me laissant dans un coin sans m’adresser la parole comme si je n’existais pas.
Au bout d’environ 1 heure l un des mecs vint me voir et sans rien dire sortie sa bite et me pissa dessus, puis il me dit.
- Aller…suce putain…
Je n’avais donc d’autre choix que d’ouvrir ma bouche et de sucer cette bite et lui en extraire son jus une 2eme fois, là les autres voyant la scène sont venu, eux aussi pour me présenter leurs queues à sucer et 3 d’entre eux m’ont enculé, me défonçant le cul comme une femelle en m’inondant de leurs foutre.
Mon maître est revenu me chercher sur un appel téléphonique du leadeur pour me ramener chez moi mais sur la route, il c’est arrêter sur un parking afin d’inspecter mon cul béant remplis de foutre, là il m’ordonna de le sucer et m’encula à son tour.
Nous avons repris la route et me déposa devant chez moi.
oooOOOooo
Week-end avec mon Maître
Voila un moment que je n’avais plus de nouvelles de mon maître lorsque je reçu un mail :
« Salut salope, je viens te chercher, nous allons passer le W.E ensemble, attend moi a poil avec ton Plug dans le cul »
Comme la dernière fois, il ne m’avait pas précisé son heure d’arriver et me souvenant de ses coups de ceinture sur mon cul car j’avais gardé un tee-shirt j’ai scrupuleusement exécuté son ordre. Donc passage obligé par la salle de bain pour un bon lavement et un rasage en bonne et du forme. Une fois prêt je me suis graisser le cul et mis en place mon Plug. N’ayant pas touché a ma bite depuis un certain temps ça ma tout de suite fait bander mais pas question de me branler car cela m’est interdit.
1 heure passa et toujours personne, je résistais tant bien que mal a ne pas me soulager la queue en pensant a autre chose, j’arrivais de temps a autre a débander mais pas complètement et re-bandais de nouveaux.
Cela faisait 1 heure 30 que j’attendais lorsque mon maître arriva enfin. en entendant la clé dans la serrure (comme une bonne chienne soumise) je me suis précipiter devant la porte et me mis a genoux mains sur la tête et les yeux baiser pour l’accueillir, je lui enlevai ses chaussures et ses chaussettes afin de lui embrasser et lécher les pieds en guise de bienvenu.
Mon accueille fut satisfaisant pour lui et remarqua ma bite en semis érection qui mouillais par l’excitation.
- Et ben ma salope… tu mouille on dirait….
- Oui maître.
- Ça fait combien de temps que tu ne t’es pas vidanger les couilles ?
- Depuis notre dernière rencontre, c'est-à-dire 1 mois environ.
- Ok alors va au fond du couloir à genoux cuisses écartées comme une bonne petite putain et attend moi…
Pendant qu’il se dirigea vers la cuisine je me suis poster à l’ endroit indiquer et attendu, il revint avec un verre et me dit.
- Ok maintenant tu as 2 mn pour te branler et juter dans le verre…
Quelle aubaine !!! J’allais enfin pouvoir me vider les couilles, ce que je fis sans plus attendre et éjacula dans le verre.
Contre toute attente, pensant qu’il allait me faire boire mon jus il m’ordonna de me mettre sur le dos en basculant mes pieds derrière la tête, là, il m’enleva le Plug, et mon trou bien ouvert par celui-ci il y déversa le contenu du verre dedans et replaça le Plug.
- Ok maintenant on va devoir y aller car on a un peu de route à faire…
Il alla me chercher de quoi m’habiller et pour tout vêtement il me donna mon short coupé au ras du cul (qui laisse découvrir ma bite et mes couille lorsque je m’assoie) et un tee-shirt, j’enfilais mes baskets et sommes partis.
Au bout d’environ 1 heure de route sur une petite route de campagne il s’arrêta dans un petit chemin.
- Aller fous toi a poil, balance tes fringues derrière et poste toi devant la voiture…
Je me suis exécuté et il vint me rejoindre, là il me menotta les mains derrière le dos, m’attachât les couilles avec une ficelle et me traîna par cette ficelle sur ce petit chemin, après 2 mn de marche il attachât l’extrémité de la ficelle a un petit arbre et me fit mettre a genoux. Il sortit sa bite et me la fit sucer.
- Aller suce salope…
Pendant que je le suçais il prit son portable composa un NO et l’entendit dire.
« Salut mon pote, comment va ?... Ok super !!! Bon… on est bientôt arrivé… on sera là d’ici une petite demi-heure ok ? Ouais ouais… je la mets en condition là…t’inquiète… c’est devenu une bonne pute tu verras…
Puis il raccrochât, me pris la tête pour me bourrer la gueule avec sa bite.
- Humm… aller vas-y salope dégorge moi bien le poireau…et applique toi bien comme une bonne petite pute…
Au bout de 10mn de suce il me largua tout son foutre que je ne pu avaler d’un seul coup tellement il y en avait, j’ai donc du en laisser dégouliner le long de ma bouche se qui n’était pas pour lui déplaire, puis il repartit a sa voiture me laissant attaché.
5 mn plus tard il revint avec un mec qui devais sans doute faire son jogging dans les parages car il était habillé en short et tee-shirt maculer de sueur, il s’approcha de moi descendit son short et me présenta sa queue.
- Aller vas-y salope… travaille…
J’ouvris donc la bouche et le suça.
- Humm… putain… c’est vrais que tu suce bien… tu va me faire jouir assez vite salope…
2 seconde plus tard il se retira de ma bouche pour se branler et me largua son foutre sur ma gueule tout en lâchant des…
- Han…han… putain ouiiiiii…….
Puis il se rhabilla, se retourna vers mon maître en lui disant merci et repartis.
Mon maître détachât la ficelle de l’arbre pour me reconduire à la voiture, et attachât la ficelle relié à mes couilles au levier de vitesse ce qui avait pour but de les étirés a chaque fois qu’il passait une vitesse.
½ heure après nous sommes arrivés devant une ferme, l’hôte de ces lieux attendait sur le perron dans une chaise longue, qui, en voyant la voiture arrivé se leva pour nous accueillir. Mon maître gara la voiture, détachât la ficelle du levier de vitesse et me fit sortir en me tirant par les couilles toujours attaché et me présenta a poil menotté devant son pote.
Apres de longues accolades entre eux sans faire attention a moi le mec dit à mon maître :
- Alors, c’est lui ton bâtard ?
- Oui c’est lui… et il est à notre service pour tout le W.E
- C’est parfait ça… aller… rentre et dis a ton esclave d’aller faire un peu de ménage…
Mon maître m’enleva les menottes, me détacha les couilles et m’envoya faire le ménage de la maison pendant qu’ils allaient discuter de leurs retrouvaille.
En effet la maison avait besoins d’un bon coup de nettoyage alors je me suis mis au travail balayant et nettoyant avec un bon coup d’eau de javel le sol.
Une fois fini je me suis présenté à eux en leur disant que j’avais terminé, alors mon maître me dit.
- Ok parfais, (et se retournant vers son pote lui dit) ça te dirais une petite gâterie en attendant l’apéro ?
- Ouaiiiii… ok…
Puis se retournant vers moi…
- Aller… a genoux et viens soulager mon pote…mais avant rend lui les honneurs qu’il mérite de nous recevoir…
Alors en bon esclave et chien obéissant je me suis mis a 4 pattes avancé vers son pote et lui ai retiré chaussure et chaussettes pour lui lécher les pieds avant qu’il ne me présente sa bite à sucer.
- Mouai !!!! pas mal ton esclave… tu l’as bien dressé a ce que je constate…voyons voir si elle suce bien ta pute… aller… vas-y prend ma bite dans ta bouche et tète bien…
Apres avoir sortie sa bite encore molle je l’enfournais dans ma bouche en rentrant ma langue dans son long prépuce pour y atteindre son gland, je sentais sa queue gonflé sous mes coups de langue qui prenais de bonne proportion et le suçais a mort afin qu’il puisse bien prendre son pied. Je l’entendais gémir tellement il y prenait du plaisir et m’envoya un puissant jet de foutre dans ma bouche en peu de temps.
Satisfait, mon maître m’envoya prendre une douche. Je suis donc monté à l’étage pris une bonne douche bien chaude me refaisant un lavement avant de remettre mon Plug que je n’avais pas quitté. Et une fois fait me suis représenter a eux ou j’ai dû leur servir l’apéro préparer le repas et mettre la table, curieusement je ne devais mettre que 2 couverts ce qui m’étonna, et qui me fit dire en moi-même (vont-il me laisser Agen tout le W.E ?) assis sur le canapé je leur ai servis l’apéro et pendant qu’ils buvaient ma position était d’être a leurs pieds, a genoux, les coudes au sol, le cul relever pour leur lécher de temps a autre leurs pieds.
Vint le moment de servir le repas, et lorsque les assiettes fut servie je devais me mettre sous la table et attendre tout en leurs léchant encore les pieds, je les entendais discuter de tout et de rien jusqu’au moment ou mon maître me dit.
- Suce moi salope…
J’ai donc dégrafé son pantalon, et pris sa bite dans ma bouche pour le sucer jusqu'à ce qu’il m’envoie sa purée dans ma bouche qu’il me força a avalé puis il m’ordonna d’aller sucer son pote, je me suis donc exécuter et avala une seconde fois un autre flot de foutre. Leurs couilles vider ils on fait comme si je n’existais pas et continuaient leurs conversation lorsqu’a un moment donné mon maître me posa son assiette par terre en me disant.
- Aller mange…
Je du manger leur reste de leurs assiettes (finalement je ne suis pas resté Agen)
La soirée bien arrosée se terminait et ils montaient se coucher pendant que moi je débarrassais la table et fit la vaisselle avant d’aller rejoindre mon maître dans sa chambre.
- Tu as été un bon petit esclave aujourd’hui, viens là que je te récompense.
Je me suis approcher de lui et tout en relevant les draps de son lit me dit d’une voix douce.
- Aller…viens me sucer la bite…
J’ai donc pris sa bite encore molle dans ma bouche pour la faire grossir puis il me demanda de me retourner, là il m’enleva mon Plug et me demanda de m’assoir sur sa queue, sa bite n’eu aucun mal a rentrée tellement mon cul était dilaté par le Plug, il me laboura le cul pour me saillir comme une chienne. Apres avoir repris son souffle il m’ordonna d’aller rejoindre son pote dans sa chambre et d’exécuter ses désirs. Je me suis donc rendu dans la chambre d’à coté. Visiblement le mec m’attendait car il était à poil sur son lit sa bite en semi érection et lorsque j’ouvris sa porte il prit sa queue dans sa main et me dit.
- Aller viens salope…
Je me suis donc approcher et le suça alors que ses doigts venaient fouiller mon cul engluer par le foutre de mon maître.
- Putain… t’es une vrais bonne salope toi hein… t’as vraiment un bon trou a bite… fou toi a 4 pattes... je vais t’engrosser comme une bonne chienne…
Mon cul déjà bien ouvert et lubrifier par le sperme de mon maître sa grosse bite n’eu aucun mal a rentrée car il me l’enfourna direct et me laboura le fion sans ménagement tout en me claquant les fesses de temps en temps.
- Ouai salope…. Bonne putain… tiens… prend ça… ho… putain…quel chatte tu as…t’es bonne toi tu sais…on voit que t’as d’ l’expérience question bites…ouai….hummmm ma salope…t’as le cul bien ouvert…je voie qu’t’as été bien dressé en bonne pute…j’adore les bonnes petite putain comme toi…hummmm…houaaaa…putain j’vais gicler salope…
Là il me prit par les cheveux me tirant la tête en arrière et me largua son foutre dans mon cul dans un grand râle de plaisir.
Il s’es retirer de mon cul, s’affala sur son lit et me dit.
- Aller…c’est bon casse toi maintenant…
Je suis donc repartis dans la chambre de mon maître, une couverture était installe par terre a mon intention et me suis coucher.
Le lendemain matin en guise de 1er petit déjeuner a été de boire le foutre de mon maître et de son pote que je du réveillé en les suçant.
Le W.E c’est passé comme le 1er jour, j’ai servi de larbin et de vide couilles, prenant mes repas sous la table et donnant ma bouche et mon cul a la demande.
Le retour je le fis à poil dans la voiture les couilles attacher au levier de vitesse et les mains menotté derrière le dos et bien sur mon Plug dans le cul.
J’ai franchement l’impression que maintenant je suis conditionné à n’être qu’une salope et une petite putain comme le veux mon maître…d’ailleurs, suite a ce W.E il ma donner un pseudo, mon nom sera dorénavant ''FLORIAN la salope ou la putain.''
Fin

Melting sexe

$
0
0
J'avoue qu'on s'y perd un peu..! 
 

Brèves du net. Imaginations débordantes

$
0
0

Deux histoires extrêmes à lire avec précaution.
Ne confondons pas fantasmes et réalité...
J'ai hésité. Mais vous êtes grands..!

Histoires : les filles de Madame Nora
Jean Louis est un homme soumis.
C’est comme ça. Il ne sait pas pourquoi il aime être dominé par les Femmes, mais il a cessé de s’interroger et il accepte son fantasme et son goût pour la soumission.
Alors il cherche périodiquement des dominatrices pour satisfaire ses pulsions.
Il a répondu récemment à une annonce d’une certaine Madame Nora. L’annonce était assez sommaire et écrite dans un français approximatif, mais elle l’a interpellé :
« Madame NoraFemme Arabe supérieure cherche des merde blanche a exploité. Tu sera traité comme une salope »
Suivait un numéro de portable que Jean Louis nota aussitôt.
Le jour même il envoyait un sms pour vérifier que le numéro était bon.
Trente minutes après il recevait une réponse laconique en sms :
« apel salope »
La seule vue de cet ordre donné sur un ton aussi méprisant provoqua immédiatement une bouffée d’excitation, et il sentit son slip se tendre.
Jean Louis s’isola de ses collègues de travail et appela aussitôt le numéro.
La conversation dura seulement quelques minutes.
Une femme au fort accent Arabe lui parla de la façon la plus insultante et méprisante, lui demandant tout d’abord s’il était français. Jean Louis répondit que oui, ce qui paru satisfaire son interlocutrice. Elle lui demanda à peine ce qu’il recherchait, semblant s’en moquer éperdument. Jean Louis réussit quand même à expliquer brièvement qu’il aimait être rabaissé et insulté, et qu’il appréciait aussi d’être battu, qu’il était prêt à payer, etc.…
Madame Nora lui dit qu’elle exigeait 250 euros, mais qu’à ce prix là il ne serait pas déçu et qu’il aurait une surprise.
La somme parut importante à Jean Louis, et l’idée de la surprise ne l’emballait pas trop…
Mais cette Femme avait un tel mépris et une telle autorité dans la voix qu’il fut subjugué.
Il allait la rencontrer, il le savait.
Il raccrocha en remerciant respectueusement, comme il le faisait toujours.
Madame Nora n’eut pour lui qu’un cinglant « dépêche toi de rappeler salope ! ».
Jean Louis pensa sans cesse à cette conversation pendant les trois jours qui suivirent.
Le quatrième jour il se décida enfin a rappeler.
Madame Nora répondit à la troisième sonnerie et dit directement :
« alors salope tu t’es décidé ? »
Oui, Jean Louis était maintenant décidé, et le rendez vous fut pris pour le lendemain.
Madame Nora lui donna une adresse en banlieue, dans un coin où il n’avait jamais mis les pieds. Il n’avait absolument aucune idée de là où ça se trouvait, mais puisqu’elle pouvait recevoir, cela lui économiserait l’hôtel et lui simplifierait les choses. Et le GPS pourvoirait au reste !
Le lendemain, Jean Louis partit en avance et programma l’adresse sur son GPS. Il suivit scrupuleusement les indications de l’appareil et se retrouva très vite dans une banlieue plutôt défavorisée, faite de barres d’immeubles immenses aux balcons tous décorés d’antennes paraboliques, aux murs tagués et décorés de fresques colorées.
Le jeune cadre bourgeois ne connaissait pas ces quartiers. Il se sentait perdu, étranger dans un univers qui n’était pas le sien. Les codes sociaux, vestimentaires, culturels, tout lui paraissait différent et intimidant.
Il gara sa voiture au pied d’une barre d’immeuble, et la laissa avec un peu d’appréhension. Des jeunes assis non loin de là le regardèrent avec curiosité, mais personne ne lui adressa la parole.
Il se dirigea vers l’entrée B, comme Madame Nora lui avait indiqué.
Il pénétra dans le hall désert.
Les boites aux lettres étaient toutes taguées et certaines étaient cassées, les murs du hall étaient tous décorés de fresques. Cela sentait l’abandon.
Il prit l’ascenseur et monta directement au neuvième étage, le cœur battant.
L’ascenseur s’immobilisa et Jean Louis sortit sur le palier sombre et désert.
Tout était miteux, sale. Ca suait la misère, et Jean Louis commençait à regretter d’être venu jusqu’ici.
Tout ça n’était pas son monde. Que pouvait il espérer trouver ici ?
Pourtant il ne put s’empêcher d’avancer dans le couloir.
Sans même s’en rendre compte il se retrouva devant la porte de l’appartement 908.
Le cœur battant, il posa son index sur le bouton de la sonnette et appuya.
Il entendit des pas qui claquèrent à l’intérieur. Il reconnu aussitôt le bruit de talons aiguilles sur du carrelage, et cela lui plut.
La porte s’ouvrit brusquement.
Devant lui se trouvait une femme Arabe d’environ 35 ans, très typée.
Elle était très brune, aux cheveux courts, très mate de peau, avec d’immenses et superbes yeux noirs en amande. Sans être grosse, elle était plutôt pulpeuse, et cet aspect était encore renforcé par sa petite taille (1 mètre 60 au maximum, supposa Jean Louis) et une poitrine très opulente.
Elle portait une jupe droite, noire, qui lui descendait jusqu’aux genoux et un pull à manches courtes en laine bleu ciel, très moulant, par dessus lequel un simple collier des perles soulignait son cou.
Comme Jean Louis l’avait deviné, elle était perchée sur des escarpins noirs aux talons de 12 cm.
Son aspect vestimentaire contrastait avec le lieu, et Jean Louis fut désorienté.
Madame Nora le fixa d’un regard dur et hautain et il dut aussitôt baisser les yeux.
Il courba la tête et se présenta avec humilité.
« Bonjour Madame Nora, je suis Jean Louis »
« Entre, salope ! Dépêche ! », fit elle avec le fort accent qu’il avait déjà entendu.
Jean Louis s’empressa d’obéir et entra dans l’appartement.
Elle referma la porte derrière lui et se retourna dans sa direction.
« A quatre pattes sale pute ! » lui ordonna t’elle aussitôt.
Jean Louis se jeta sur le sol.
« Bouge pas ! »
Elle se dirigea vers le salon, et revint quelques instants plus tard. Elle tenait à la main un collier de cuir et une laisse. Elle lui mit le collier, accrocha la laisse et tira d’un coup sec et violent pour l’amener vers le salon.
Jean Louis dut suivre tant bien que mal, à quatre pattes.
Arrivé au salon, elle accrocha vaguement la laisse après la poignée du radiateur.
Elle se recula.
« A poil ! »
Jean Louis obéit immédiatement et se déshabilla intégralement.
Elle le regarda faire. Il n’osa pas lever les yeux sur elle, mais il sentait son regard méprisant.
Lorsqu’il fut nu, elle détacha le collier de cuir. Elle le remplaça aussitôt par une chaîne qu’elle lui passa autour du cou et ferma avec un cadenas.
L’autre extrémité de la chaîne fut fixée de la même manière au radiateur.
Cette fois, Jean Louis était attaché bien plus strictement.
Une paire de menottes claqua sur ses poignets, les immobilisant dans son dos.
Madame Nora se recula.
« Alors salope de gouere ? Maintenant je vais te montrer ce que les Arabes vont tous vous faire bientôt ! »
Elle se pencha vers lui.
La seconde d’après, un violent crachat s’écrasa sur son visage.
« T’es qu’une merde, une sous race ! Les blancs culs, nous on leur fait la misère ! Vous êtes que des merdes et on vous exploite ! »
Jean Louis sentait la salive lui couler le long de la joue. Il baissa encore la tête, vaincu d’avance.
Un second crachat lui arriva au visage, puis un troisième sur les cheveux.
Madame Nora recula, se dirigea vers la table et saisit une grosse ceinture de cuir. Elle mit la boucle dans sa paume et enroula plusieurs fois le cuir autour de sa main.
Elle s’approcha de Jean Louis.
« Sale porc de français de merde, tu vas commencer par couiner un peu ! J’adore ça ! »
Le premier coup de ceinture s’abattit sur le dos de Jean Louis avec violence.
Il poussa un gémissement de douleur et de surprise.
Les coups se mirent à pleuvoir sur son dos et ses fesses.
Il se tortillait pour échapper à la morsure du cuir, en geignant plaintivement. Au bout du sixième ou septième coup, il commença a couiner plaintivement comme l’avait dit Madame Nora. Il le faisait un peu automatiquement, mais il savait aussi qu’elle attendait ça.
Et effectivement, cela eu pour effet d’exciter sa tortionnaire, qui redoubla d’ardeur en entendant les premiers couinements.
Elle frappait de plus en plus fort, et Jean Louis poussait maintenant de vrais couinements de douleur en se tortillant pour échapper au cuir cinglant.
« Couine encore, sale truie! Salope! Couine! Couine plus fort! »
Au bout d’un moment, épuisée et haletante, elle reposa la ceinture.
Jean Louis était recroquevillé contre le radiateur, le dos et les fesses zébrés de longues traces rouges. Il continuait à couiner faiblement, les yeux trempés de larmes.
« Salope de gouère, on va te montrer ce que tu vaux ! »
Jean Louis ne comprenait pas pourquoi elle disait toujours « on ».
Mais il n’était pas vraiment en état de réfléchir.
Après quelques instants, il entendit Madame Nora parler en Arabe et comprit qu’Elle téléphonait à quelqu’un.
La conversation dura plusieurs minutes et se déroula intégralement en Arabe. Il ne comprit rien, mais Madame Nora semblait s’amuser. Elle rit à plusieurs reprises, semblant plaisanter avec son interlocuteur.
Elle raccrocha et quitta la pièce, laissant Jean Louis seul un long moment.
De longues minutes passèrent.
Jean Louis sentait son dos lui cuire, mais retrouvait peu à peu ses esprits.
Il commença à analyser la situation et trouva sa position inconfortable, mais de plus en plus excitante.
Madame Nora l’avait traité avec une extrême sévérité, et il aimait ça.
Il l’entendit marcher dans la pièce d’à côté. Ses talons aiguilles claquaient sur le carrelage. Ce bruit l’excitait.
Il était là, enchaîné, humilié, souillé de crachats, battu par une femme qui faisait vingt centimètres de moins que lui. Il adorait ça. Son sexe commença à se tendre.
La sonnette de l’appartement retentit de nouveau. Jean Louis fut surpris.
Il le fut encore plus quand Madame Nora se dirigea vers la porte et ouvrit sans hésitation.
Il était là, lui, enchaîné au salon, et elle ouvrait à un visiteur ?
En fait de visiteur, il entendit des voix de femmes, plusieurs voix joyeuses qui parlaient en Arabe.
Madame Nora entra alors dans le salon, accompagnée de plusieurs jeunes filles.
Jean Louis n’osa pas lever les yeux, mais il entendait leurs voix juvéniles.
Madame Nora s’adressa aux jeunes filles en français cette fois ci.
« Regardez ! Cette salope de gouère a voulu me rencontrer ! Il aime se faire dresser ! Je l’ai fait couiner cette truie ! »
Les jeunes filles éclatèrent de rire.
Elles étaient trois. Trois jeunes Maghrébines de la cité. Samira était la plus âgée. Elle avait 19 ans et était la nièce de Madame Nora. C’était une superbe jeune fille brune, aux longs cheveux bouclés. Elle était bien plus grande que sa tante, mais avait comme elle une poitrine très généreuse et de grands yeux en amande. Samira était une vraie beauté. La deuxième, Mounia, avait tous justes dix-sept ans. Elle était grande et mince, avec des cheveux coupés courts qui lui donnaient un air androgyne, qui contrastait avec des manières douces et très féminines. Kenza, la dernière, avait seize ans. C’était une petite terreur de la cité, la seule des trois qui avait déjà un casier. Elle était plutôt petite, assez jolie, même si elle ne cherchait absolument pas à se mettre en valeur avec son survêtement bleu ciel et ses Nike aux pieds. Elle avait un caractère de chien, violente, rebelle, et ne respectait rien.
Ce fut elle qui remarqua la chose.
« Wallah ! mattez ! Il bande ! »
Jean Louis était toujours en érection quand elles entrèrent dans le salon, et Kenza s’en était aperçu immédiatement.
Les filles éclatèrent toutes de rire.
Kenza s’approcha de Jean Louis. Elle se mit derrière lui et lui balanca deux coups de pieds à l’intérieur des cuisses pour l’obliger à les écarter.
« Ecarte, sale merde ! Allez, fais voir ! »
Il écarta aussitôt les cuisses, cambrant ses fesses pour leur offrir docilement la meilleure vue.
Kenza s’en amusa.
« Ouais… ! Prends bien la bonne position, salope ! », dit-elle en riant.
Du bout de son pied, elle secoua la verge tendue et appuya sur les testicules gonflés.
Jean Louis se cambra encore plus et son sexe se gonfla encore.
Les filles rigolaient et s’excitaient devant le spectacle.
« Ahhh… la pute, mais t’aime ca ? Sale merde de français, salope de sous race ! »
« Vous êtes tous des merdes les blanc culs, on va te faire la misère, sale pute ! »
Madame Nora les encouragea.
« Allez y les filles ! Montrez lui comment les Arabes s’occupent des sous races ! On va lui montrer ce qu’on fait des putes, ici ! »
Samira s’approcha de Jean Louis. Comme sa tante quelques minutes plus tôt, elle se pencha et lui cracha violemment en pleine figure. Elle recommença aussitôt à deux reprises.
Mounia  se pencha à son tour et cracha elle aussi plusieurs fois.
Kenza ne voulut pas être en reste et fit la même chose.
Au bout d’une ou deux minutes, Jean Louis dégoulinait de salive sur le visage, les cheveux et le dos. Mounia s’approcha de nouveau, se plaçant à quelques centimètres de son visage.
«Ouvre la bouche ! »
Elle se racla la gorge, et un gros crachat épais atterrit directement dans la bouche de Jean Louis.
« Avale ! »
Il dut s’exécuter, et avala docilement.
« Bonne truie, ça ! », dit-elle avec satisfaction.
Samira s’approcha a son tour. Jean Louis s’attendait à un nouveau crachat.
Au lieu de ça, une violente gifle lui cingla la joue droite.
Il fut presque déséquilibré. Sa tête bourdonnait.
A peine recouvrait-il ses esprits que Samira lui balança une autre gifle sur la joue gauche, sans un mot.
Kenza s’approcha à son tour. Les visage dur, les dents serrées, elle le gifla deux fois, puis lui cracha encore au visage.
Mounia la remplaça. Elle le gifla tout aussi violemment sur les deux joues, puis s’approcha de son visage.
« Sale pute ! On va te faire mal, salope ! Vraiment mal ! Tu vas regretter d’être français ! », siffla t’elle avec excitation.
Jean Louis sentit son sexe durcir encore.
Il savait que les heures à venir allaient être intenses et difficile.
Mais il ne pouvait plus rien faire que subir.

 

Rébellion.
Les troubles avaient éclaté quelques jours auparavant, me se propageaient beaucoup plus vite que prévu, si bien que nous ne retrouvâmes piégés à la villa, ayant appris que la route de M’Banga était coupée. Tous les serviteurs avaient disparus, sauf le fidèle Dieudonné. Ma femme était en transes, et moi-même, j’avoue que je ne savais que faire. La radio ne répondait plus.
Vers le milieu de l’après-midi, nous entendîmes des bruits de véhicules. Dieudonné alla au-devant des émeutiers pour tenter de les amadouer, mais nous entendîmes une rafale, et puis des cris et des rires.
Nous nous précipitâmes à l’arrière du bâtiment, et tentâmes de prendre la fuite à travers la forêt, mais c’était évidemment ridicule, et nous fûmes rejoint très rapidement par un groupe de jeunes hommes excités et ivres (ou droguées) et ramenés de force dans la villa.
Très rapidement, il fut clair que Laurence allait y passer.
Ces hommes l’avaient attrapée et se la poussaient de l’un à l’autre en la pelotant copieusement, et en la dépouillant de ses vêtements, à grand renfort de cris et de rires. J’essayai un geste pour la défendre, mais un coup violent me fut porté et je perdis connaissance.
Lorsque je revins à moi, j’ignore combien de temps après, la nuit était tombée, et je m’aperçus que le salon avait été dévasté. J’entendais des cris – je compris avec horreur que c’étaient ceux de Laurence – qui provenaient de l’étage.
Mes mains étaient liées derrière mon dos, et quand ils se rendirent compte que j’étais réveillés, deux gamins, très jeunes, mais portant chacun une Kalachnikov, appelèrent quelqu’un à l’étage. Les cris de Laurence cessèrent, et j’entendis une cavalcade dans l’escalier.
Celui qui semblait être le chef apparût, et je me dis que ma dernière heure allait sonner. Les gamins étaient excités comme des bêtes et on voyait qu’ils n’avaient qu’une envie, me descendre, voire même me torturer. Mais le chef dit quelque chose, et tous se mirent à rire.
Les deux gamins sortirent leur sexe de leur pantalon et urinèrent sur moi, ce qui provoqua de nouveaux éclats de rire. J’essayai de parlementer avec eux, leur promettant de l’argent s’ils nous laissaient partir, mais le chef me répliqua dans un très mauvais français qu’ils avaient déjà trouvé mon argent, des bijoux, tout ce qu’ils voulaient, et même ma femme. Tout leur appartenait déjà.
Il donna à nouveau des ordres, et ses sbires firent descendre Laurence de l’étage. Elle était maintenant nue et je vis qu’elle portait des griffes sur le dos et les fesses et que ces cheveux semblaient coller sur son visage. Son rymel avait coulé, emporté par les larmes, mais je compris surtout que ses cheveux collaient à cause du sperme qu’elle avait sur le visage.
Je protestai faiblement, mais cela me valut un coup de pied dans le bas-ventre qui me replia en deux. Je restais par terre, mais face à eux, et pouvait voir ce qui se passait. En me fixant avec un air de triomphe et de défi, le chef donna un ordre, et Laurence fut poussée sur le dossier d’un fauteuil bas et maintenue courbée, la croupe offerte. Le chef baissa son pantalon, et son sexe était au-delà de tout ce que j’avais pu imaginer.
Il attrapa mon épouse par les hanches, et la pénétra. Elle émit un cri rauque, suivi de gémissements à mesure qu’il allait et venait entre elle. Les hommes battaient des mains pour marquer la cadence. Je me retrouvais dans une autre dimension, en plein enfer. Laurence gémissait et pleurait tour à tour. Le rythme des coups de reins s’accéléra et ce fut dans un tonnerre d’applaudissements que le chef éjacula dans le vagin de mon épouse.
Il se retira en me jetant un regard triomphant et je ne pus m’empêcher de constater que son sexe restait érigé. Pour fêter cela et contribuer à la liesse générale, un autre insurgé me pissa dessus, je me repris un ou deux coups de pieds qui me firent saigner la lèvre inférieure. Les joyeux drilles se mirent à la recherche de nourriture et de boisson. Laurence n’osait pas me regarder. Elle était de toute évidence épuisée.
Je fus emmené dans l’étable et compris qu’elle avait été vidée des animaux pendant que j’étais inconscient. Ceux-ci devaient avoir été répartis entre les émeutiers. C’était une étable moderne, avec des caméras en circuit fermé pour surveiller les bêtes. Aujourd’hui, il n’y avait plus que moi.
Je fus jeté dans une cage qui avait servi à véhiculer des porcs. On m’attacha à un anneau et on me laissa là le reste de la nuit. Je ne pouvais dormir tant les mutins faisaient un vacarme épouvantable. De temps à autre il me semblait entendre Laurence crier ou supplier. Je me demandais si nous verrions le bout de la nuit.
Mais le jour naissant me trouva toujours en vie.
Attaché dans ma cage comme un animal. Je souffrais de partout. Je ne pouvais me tenir debout et avait juste assez de place pour changer de côté ou me mettre à quatre pattes. Je puais, car les émeutiers m’avaient pissé dessus, et moi-même j’avais dû uriner en dirigeant le jet vers l’extérieur, mais une partie était retombée dans la cage. Il faisait calme. J’imagine que tout le monde cuvait. J’avais faim et soif. Inutile de songer à m’évader, la grille métallique de ma cage était solide. La vie revint peu à peu dans la villa, qui était contiguë à l’étable. Des cris et des rires recommencèrent à fuser, mais je me n’entendais plus mon épouse. Etait-elle encore en vie ?
Une journée et une nuit se passèrent sans qu’on vienne me chercher. Je me disais qu’ils allaient me laisser crever de faim et de soif.
Le surlendemain du jour où tout avait basculé dans l’horreur. Je vis apparaître les deux adolescents dans l’étable. Je crus à nouveau à la fin. Ils me firent signe de me déshabiller, en me menaçant de leurs armes. Je m’exécutai. Ils avaient amené un tuyau d’arrosage et m’aspergèrent longuement en rigolant. Dans un sens, cela était bienvenu.
 Comme je crevais de soif, je recueillais le peu d’eau que je pouvais pour la boire. Ils ouvrirent la cage dans laquelle je croupissais maintenant depuis 48h. Je fus amené dans le salon et dus y entrer à quatre pattes, nu comme un verre, sous les quolibets des deux gamins et d’une demi-douzaine de soûlards en armes.
Le chef était assis dans le fauteuil que j’occupais habituellement. Ma femme était allongée à ses pieds. Elle portait une nuisette noire et des bas auto-fixant qu’ils avaient dû trouver en fouillant sa garde-robe.
Elle me jeta un regard plein d’embarras et de honte. Elle avait les yeux cernés, mais était maquillée outrageusement, comme une fille de bar.
On me jeta du pain par terre, et malgré ma honte, je ne pus m’empêcher de me jeter dessus.
Puis le chef attira la tête de ma femme vers son entrejambe. Sans discuter, elle se mit à genoux devant le fauteuil, ouvrit le pantalon de son nouveau maître, et entrepris de sucer son énorme sexe noir. Elle alternait les mouvements cours et rapides, et les séquences plus longue et plus profonde, et on entendait alors les bruits de succion et les haut-le-cœur qu’elle avait lorsque le gland de l’homme noir touchait le fond de sa gorge.
Il était évident qu’elle le suçait divinement, probablement avait-elle été entraînée « à la dure » et avait-elle reçu des coups lorsque sa fellation n ‘était pas parfaite. Les gamins firent des commentaires et tout le monde, y compris le chef, se mit à rire en me regardant.
Mais je compris que ce qu’ils regardaient en fait, c’était mon pénis. Bien que beaucoup plus petit que celui de leur chef, il était en érection. Je n’avais pas réalisé que la vue de mon épouse ne train de sucer un grand noir bien raide me faisait bander. Mon épouse et moi nous étions donc complètement à la merci de ces émeutiers, et je ne voyais pas ce qui pourrait nous sauver. Je fus reconduit et ma cage et laissé à croupir là-bas pendant un temps infini. Je n’avais aucune nouvelles de l’extérieur, de temps en temps, quelqu’un pensait à moi et venait m’arroser avec un tuyau d’arrosage et parfois me donner un peu de bouillie de manioc ou des os à ronger comme un chien.
Plusieurs fois, on m’avait emmené dans la salle de baise. Il était évident qu’on ne me gardait en vie que pour m’humilier devant les soudards et devant ma femme.
La seconde fois où on me ramena en présence de ma femme, elle se trouvait sur la table, et le chef finissait de la baiser, il la tira en bas de la table, et elle tomba à genoux, le chef fit un signe et deux soldats s’emparèrent d’elles. Ainsi, il l’offrait également à ses hommes !
Elle fut mise à quatre pattes également un d’entre eux la pris en levrette, tandis que l’autre lui fourrait son sexe dans la bouche. Je me rendis compte qu’elle semblait droguée.
Elle ne pleurait plus, ni ne se débattait. Mais s’activait à docilement à sucer le sexe de son violeur, tout en remuant les hanches pour aller au devant de celui qui la pilonnait. Le chef me cria :
- See ! wife become good bitch »
Un des soldats ajouta dans un éclat de rire en me montrant du doigt
- And him good dog ! ».
Tous rirent aux éclats. Il était vrai qu’à force de rester dans cette cage, je ne savais plus me mettre debout, que je buvais et mangeais à quatre pattes dans une gamelle de chien, et que ma petite queue était visible de tous et ne manquait jamais de les amuser quand elle se redressait à la vue de ma femme se faisant sauter.
La troisième fois que je fus convié au spectacle, Laurence était dans sa tenue la plus sexy, avec porte-jarretelles et hauts-talons, bas et gants noirs, maquillée comme une pute à marins. Elle avait l’air complètement défoncée. Elle rit en me voyant arriver à quatre pattes.
Elle se dirigea vers le chef et lui susurra d’un air langoureux, « Biko, saute-moi ». Il sourit d’un air mauvais et lui fit un signe de la tête, elle se mit à genoux et plus sexy que jamais, lui fit une fellation de première.
- You, dog », me fit le chef dans un rictus.
Il se retourna ensuite et tendis ses fesse à Laurence. A ma plus grande stupeur, il écarta les fesses et se pencha en avant. Ma femme se mit à lécher son anus. Mon épouse, une des femmes les plus chics de la colonie européenne, était en train de lécher le trou du cul d’un nègre. Il la repoussa et vint vers moi, se retourna et me tendit également son postérieur.
- You do, dog ».
Je refusais bien sûr, mais il m’envoya une gifle de dieu le père. Je refusais malgré tout et cherchai à me relever, mais deux malabars me plaquèrent par terre. Ma femme fut amenée au chef et courbée sur la table. Il la reprit par-derrière. Les deux sbires me traînèrent derrière lui et me brûlèrent avec leur cigarette. Je poussai un cri de douleur. Ma tête était poussée contre les fesses noires du chef. Vaincu, je sortis la langue et lui léchai les fesses, mais il grogna, mécontent, et dit :
- Inside the hole ».
Cela ne lui suffisait donc pas, et je dus pointer le bout de ma langue jusque sur sa rondelle, et pousser encore afin de la faire entrer un peu dans son anus. L’odeur était âcre. J’étouffais à moitié car il besognait ma femme et ses fesse bougeaient violemment, je tachais de me maintenir en équilibre et mes mains saisirent les mollets de ma femme.
Je sentais la douceur du nylon de ses bas, et je perçus qu’elle était maintenant en train de jouir tandis que la grosse queue de notre maître la pistonnait. Elle poussait maintenant des cris comme elle ne l’avait jamais fait avec moi. Je ne pouvais que constater que j’étais terriblement excité au toucher des jambes gainées de nylon, à la proximité du gros sexe du noir, j’en arrivais à souhaiter qu’il la fasse exploser de jouissance et me sentais complètement soumis, c’est pourquoi je n’opposai aucune résistance lorsqu’il se retourna et m’enfourna son sexe dans la bouche.
Celui-ci dégoulinait de la cyprine de mon épouse. Il me pénétrait le gosier jusqu’à la gorge, et je n’essayais pas de résister comme un homme. Au contraire, le fait de penser que cette grosse queue venait de faire jouir ma femme me rendait fou, et c’est servilement que ma bouche et ma langue s’activaient pour pousser mon maître à la jouissance.
Celle-ci ne tarda point et je sentis un jet chaud se répandre dans ma bouche. J’ai honte à l’avouer, mais je gardai son sperme en bouche et le savourais de la langue avant de l’avaler par petites gorgées. Plus personne ne riait. Je crois que mes geôliers eux-mêmes étaient consternés de voir avec quelle bassesse je m’étais laissé dominer.
Ma femme, apparemment excitée par ce qu’elle avait vu, s’était jetée au cou de son amant et l’embrassait goulument tout en caressant son énorme pénis, qui ne donnait même pas des signes de faiblesse. Vaincu et humilié, je fus attaché avec la laisse et le collier du chien et traîné dans ma cage, toujours à quatre pattes.
L’anarchie semblait s’être installée de façon permanente dans notre région. Les secours n’arrivaient pas. Quand j’entendais le bruit d’un avion, je tendais l’oreille, et quand je le pouvais je sortais pour voir s’il ne lâchait pas des parachutistes qui viendraient à notre secours, mais rien.
Notre villa était devenue le bordel des rebelles.
Ma femme y était exhibée en permanence. Et utilisée.
Le chef s’était rendu compte du profit qu’il pouvait en tirer, et les chefs rebelles de passage, après avoir acquitté leur dû, pouvaient monter à l’étage avec elle. Parfois, ils ne se donnaient pas cette peine, et la prenaient devant tout le monde, dans le vaste living qui était maintenant devenu un bar.
Ma femme, souvent en porte-jarretelles ou guêpière, était prise à même le sol, à quatre pattes, ou alors, poussée sur une table, retroussée, et possédée à grands coups de sexes noirs.
Quand elle n’avait pas de clients, elle se tenait souvent agenouillée entre les jambes du nouveau maître de ma maison, qui parfois l’empoignait par sa chevelure blonde et lui fourrait la tête dans l’entrejambe. Elle ouvrait alors docilement la braguette du maître noir et en extrayait le sexe énorme, qui , même au repos, aurait rendu jaloux n’importe quel européen.
Pour ma part, j’étais toujours excité de la voir ainsi traitée, et l’humiliation d’être cocufié en public tous les jours me procurait un plaisir de plus en plus grand. Plaisir intellectuel, toutefois, car concrètement, je me rendais compte que mes érections étaient de moins en moins fortes, comme si les démonstrations de virilité africaine, les profanations à répétition de mon épouse par ces sexes noirs à la dureté de roc et à la taille démesurée, me faisaient perdre peu à peu mon statut de mâle.
Je me rendais compte que je ne parviendrais jamais à faire gémir Laurence comme ces noirs le faisaient, à la faire chavirer de jouissance. Je l’entendais proférer des obscénités qui l’auraient fait rougir avant la guerre. Des « baise-moi, je suis ta salope », ou des « mets-moi ta grosse queue bien dure » qu’elle exprimait d’une voix haletante, comme si son mari ‘avait jamais existé.
Par ailleurs, elle était souvent débordée, car les « clients » se succédaient à un rythme effréné, et s’impatientait à faire la file. Une autre pauvre femme avait été amenée aussi, mais elle avait fini par rendre l’âme, épuisée par les mauvais traitements.
Une fois, l’attente se faisant trop longue, deux clients s’énervèrent, et me voyant accroupi dans un coin, la laisse au cou, attaché à un meuble, ils se précipitèrent sur moi. Je m’attendais à être lynché, mais leurs intentions étaient autres.
Tandis que l’un d’eux me maintenait, l’autre m’enduisit l’anus d’un liquide poisseux (je crois que c’était de l’huile de palme, et puis, je sentis (sans rien voir, car j’étais maintenu à quatre pattes, la tête coincée entre les cuisses du complice) une pression contre mon orifice. Avec effroi, je me dis que ce monstre allait me déchirer. En effet, le passage de son gland me causa une telle douleur que je faillis m’évanouir.
Néanmoins, malgré mon cri de douleur, le colosse noir poursuivit sa poussée, et je sentis mon sphincter s’écarter et la progression du bâton de chair se poursuivre dans mon intimité. Quand il eût atteint une pénétration maximale (tellement profonde que j’avais l’impression d’être rempli de lui), il commença un va et vient qui me fit défaillir de douleur.
Insensible à mes cris, et peut-être même excité par eux, il poursuivit son investissement de mon rectum. C’était incroyablement douloureux, mais ma déchéance me causait un plaisir malsain qui me transformait à mon insu en une bête en chaleur.
 Je comprenais la réaction de ma femme, et sa rapide transformation en une chienne lubrique. Je ressentais le même processus se dérouler en moi.
Je fus épouvanté quand je sentis son sperme se répandre en moi. Je pensais bien sûr au risque, mais au point où j’en étais, je ne savais pas si je ne serais pas liquidé d’une rafale de mitraillette le lendemain.
Lorsque le deuxième noir pris la place du premier, il ne fut plus nécessaire de me tenir. Je me laissais faire et tendais mon fessier au mâle puissant qui me pénétrait. J’accompagnais le mouvement, cambrant les reins et m’empalant sur l’énorme sexe. J’étais honteux de moi, mais je ne résistait pas au plaisir que me procurait ma posture dégradante.
Les nègres autour de moi semblaient stupéfaits. On comprenait qu’ils se demandaient comment un homme (un homme ?) pouvait se comporter aussi abjectement.
Quand tout cela fut fini, je fus apostrophé par Laurence, qui avait été mise au courant de l’événement. Elle me traita de lopette, et me dit qu’elle comprenait maintenant pourquoi je ne lui avais jamais donné de plaisir.
Je baissais les yeux devant l’affront.
Elle poursuivit, et me dit que puisque j’étais aussi doué pour faire la femelle, elle allait m’y aider. Je la soulagerais ainsi d’une partie de sa charge qui, malgré sa lubricité, devenait épuisante pour elle, face à tous ces hommes.
C’est ainsi qu’elle m’apprit à me maquiller, tandis que les rebelles trouvaient dans d’autres maisons abandonnées des vêtements et sous-vêtements féminins à ma taille.
A partir de ce jour, je ne quittai plus mon aspect de femme. Je faisais une certaine concurrence à Laurence, car, si j’étais évidemment infiniment moins féminine et moins belle qu’elle, les noirs appréciaient de pouvoir dominer un homme blanc féminisé.
De mon côté, mon anus totalement distendu me faisait maintenant moins souffrir, et je pouvais au contraire me concentrer sur le plaisir d’être sodomisé par ces énormes queues.
Je découvrais aussi le plaisir de la séduction féminine. De plus en plus à l’aise dans mes sous-vêtements, sur mes hauts-talons, je me prenais à balancer ma démarche et à dandiner du cul pour plaire aux noirs. J’étais également apprécié pour mes fellations expertes, pour lesquelles mon expérience d’ex-homme m’était utile.
Parfois, je me faisais prendre par deux hommes à la fois, et j’appréciais ces grosses queues qui s’activaient simultanément au fond de ma gorge et de mon cul. Enfin, mes propos étaient devenus plus infâmes que ceux de la putain d’épouse, et je suppliais mes maîtres noirs de me défoncer, de me traiter comme une grosse cochonne blanche, de me faire connaître la loi de leur sexes de maîtres.

C'est occupé..!

Toc! Toc! Toc..!

$
0
0
Dépucelage du garage de la demoiselle...
Le mec s'est y faire...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Points de vues...

$
0
0


Un texte curieux avec deux visions de la chose
Pas toujours facile à lire...
Mais à découvrir et savourer...
 Porte à Porte
Je me levais comme chaque matin, la mine triste et le teint blafard. 5 Mois que je n'avais pas retrouvé de travail, depuis mon licenciement économique. J'avais travaillé pendant 5 ans dans cette société de transports, et 5 années plus tard, au revoir, bye bye ! Putain de conjoncture... Je me dirigeais vers ma salle de bains, et le reflet de mon visage apparut dans la glace. Je ne m'étais pas rasé et lavé depuis trois jours, et mon visage le reflétait pleinement. Je frottais les poils de ma barbe drue, et la mine dépitée, je pris la bombe à raser quand la sonnette retentit ! Je regardais ma montre 11h10 ! Je réfléchissais : soit mon bailleur me réclament les 3 loyers de retard, soit la facteur avec un recommandé. Dans les deux cas, pas de bonnes nouvelles en perspective. Je réajustais mon peignoir éponge et me dirigeais sans bruit vers la porte d'entrée. Je regardais à travers le judas et là.
oooOOooo
Je garais ma voiture devant cette chaîne d'immeuble. Il faisait froid mais bien emmitouflée dans mon manteau Burberrys je me dirigeais vers l'entrée du premier bâtiment. Un groupe de jeune assis, me sifflaient au passage, je passais, activant mon pas, les ignorant. Je participais pour l'école à une vente de chocolat en porte à porte sensés financer le voyage au ski des enfants. Je montais donc l'escalier sale et nauséabond, avec toutefois certaines craintes d'avoir été affectée à ce quartier sordide et à mauvaise réputation. Je sonnais à la première porte. Un
cri s’éleva de l’intérieur :
- Ouiaaaaaaa, une minute !!!!!!!
Légèrement angoissée, je pensais à rebrousser chemin. La porte s’ouvrit.
- Bonjour, excusez moi de vous déranger, je fais partie de l’association de L’école Sainte Cécile, et collecte des dons pour permettre aux enfants de partir en classe de neige. En échange de votre don je vous offre une boîte de chocolat de votre choix que vous pouvez choisir sur le catalogue.
L’homme avait l’air triste et le teint blafard, de plus mal rasé, il n’était vraiment pas très avenant. Il me proposa dans un grognement inaudible d'entrer afin qu'il puisse choisir. Je pénétrais dans son appartement qui était d'une saleté incroyable. Ceci tranchant vraiment avec mon air bon chic bon genre que j'arborais fièrement. Je me trouvais au milieu de cadavre de bouteille vide, et de pizzas pas terminés. J'étais pressée d'en finir et de ressortir de la.
oooOOooo
Je jaugeais cette femme d'une quarantaine d'année aux formes épanouies. Elle avait tout de la bourgeoise guindée BCBG... elle rentra d'un pas réticent dans mon salon. Me sentant un peu gêné, vu l'état de saleté qui y régnait je lui proposais de s'asseoir sur un pouf marocain, beaucoup plus bas que le fauteuil ou je trônais !!! Je la regardais fouiller dans son sac à la recherche de son catalogue. Je fixais ces jambes avec insistance, ce qui eut pour effet de la faire rougir. Sa poitrine volumineuse réveilla en moi une érection certaine. Je masquais mon entrejambe en rabattant mon peignoir. Puis entamait le dialogue :
- Je pourrais peut-être en choisir 2 ? j'adore le chocolat et je serais me montrer généreux comme vous dites !!!
Je sentis soudainement l'intérêt qu'elle porta à cette phrase... Je sentais que je pouvais aller plus loin et lui dit :
- Vous êtes bien foutue !! Ce n’est pas souvent que l'on voit de si belles dames dans le quartier ??
Ma queue tressauta entre mes jambes !! Je fixais sa bouche et imaginait déjà ses lèvres ventousant ma queue...
oooOOooo
Assise sur un pouf j'avais ouvert mon manteau pour laisser apparaître mon magnifique ensemble one step offert par mon mari. Ma jupe en daim ainsi que mon pull coton violet avec col roule très moulant. Je sentais le regard de cet homme posé sur mes formes généreuses que l'on pouvait devinées au travers de ma tenue de bourgeoise bien faite. Ses yeux balayaient mon corps passant de mes escarpins Ernest Olivet en veau imprimé à mes lèvres recouvertes de rouge a lèvre Chanel Scarlet. J'étais gênée et assise sur ce pouf je me sentais inférieur. Je croisais néanmoins mes jambes, ne m'apercevant pas que ma jupe était légèrement remontée à mi-cuisse. Je ne relevais pas son compliment de draguer de supermarché, me disant que plus vite il m'achèterait mes chocolats plus vite je sortirais de ce lieu sordide.
- Voici mon catalogue, vous pouvez choisir en fonction de vos goûts et désirs.
Je lui tendais le catalogue me relevant et me penchant en avant afin qu'il puisse saisir le document.
oooOOooo
Je m'approchais et prit le catalogue, l'air faussement intéressé. Je lorgnais sur cette paire de seins de temps à autre. L'envie de les pétrir et de les malmener m'excita au plus au point et le bout de mon gland apparu de temps en temps entre les pans de mon peignoir. Je jubilais. L’occasion était tentante et le fait de rabaisser cette "salope", sachant que je n'avais plus rien à perdre, fis germer en moi des scénarios pervers : je la souhaitais soumise et consentante. Il suffisait juste de bien s'y prendre. Je voulais tout d'elle. "Le grand jeu" .Je voulais la voir se rabaisser et exécuter mes moindres caprices. Il fallait la compromettre. J'essayais vénalement :
- Bien je choisirais ces 2 la !!! Je peux vous donner 50 euros, je crois que cela les vaut bien, non ? Et je pourrais être plus généreux, il ne tient qu'a vous ?
Je me rapprochais d'elle et je sentis les effluves de son parfum haut de gamme... ma bite se dressa et je ne pus la cacher…
oooOOooo
Il était tout près de moi, et je sentais la situation m'échapper. Je pouvais entre apercevoir son sexe entre les pans de son peignoir. Je me relevais et me trouver tout contre lui, il s'approcher de plus en plus jusqu’à me frôler. Je sentais son haleine fétide, mélange de vin et de cigarette.
- Bien voici un reçu pour les 50€ et je vous enverrais les chocolats d'ici 3 semaines.
Je me dirigeais vers la sortie le poussant un peu pour me frayer un passage? Quand sa main puissante s'abattit sur mon avant-bras.
- Mais que me voulez-vous donc, voulez-vous me lâcher le bras.
Mes yeux bleus le fixaient je le voyais contempler ma bouche rouge scintillante de mon rouge à lèvre délicatement appliqué. De son autre main il me débarrassa de mon manteau sans que je n'eu le temps de protester. Il le jeta sur le pouf, s'éloigna et me regarda de haut en bas. Un cri d'exclamation me fit clairement comprendre qu'il appréciait ce qu'il voyait.
oooOOooo
Je sentais peu de résistance... je la regardais. Allumais une cigarette et lui lançais :
- Allez ma belle, tu vas me faire un strip !!! Compris ???
Ma voix était plus dure que d'habitude
- Tu préfères que j'appelle les jeunes de la cité. Je crois qu'ils se feraient un plaisir de te dépouiller à ta descente !!! (Je ricanais), surtout que j'en connais certains qui aimeraient bien poser leurs paluches sur une bourgeoise comme toi !!! Allez sois gentille. Tout ce passera bien.
Je repris place dans mon fauteuil au cuir élimé.
- je suis sûr que tu as des dessous assez existants !!! Allez magne toi le cul !!!
Je décapsulais une autre bière et passais mon autre main entre mes cuisses....
oooOOooo
Mais quelle idée d'être venue dans cette souricière. J'étais coincée, et comprenais à son regard qu'il irait jusqu'au bout. De plus à la vue de mes dessous il allait sûrement faire une syncope. Quelle idée d'avoir mit des portes jar telles aujourd'hui. Néanmoins je décidais de négocier.
- D'accord je relève ma jupe vous regardez et vous me laissez partir ?
Il ricana disant « essaye toujours on verra bien ». Je relevais ma jupe laissant découvrir mes portes jarretelles Lise Charmel Jungle Mystery vert, et mon string faisant ressortir mes fesses admirablement. Sans être trop grosse elle était d'une taille suffisante pour exciter encore plus. Il m'ordonna d'effectuer un tour sur moi-même afin d'observer mes fesses. J'obéis. Je lui tournais le dos, et sentait son souffle rauque se rapprochait de moi.
oooOOooo
Je prenais part à ce spectacle avec enthousiasme. Ma main massant ma queue qui commençait à prendre de bonne proportion... je commentais les effeuillements de commentaires salaces :
- Ben dis donc ma belle c'est bandant ce que tu mets pour ton jules !! A moins que ce soit pour enrichir l'association !! hum quelle paire de seins !! On doit bien être au chaud là-dedans !!!
Je me levais et m'approchais de ma proie !! Elle me rappelait étrangement l'autre "bourgeoise" des assedics qui m'avait refusé la prolongation de mes droits. Je n'en revenais pas, cette salope se dessapait devant moi !! Elle aurait pu partir en courant!! Mais non elle prenait plaisir à me montrer ses grosses loches !! Je m'approchais d'elle :
- Penches toi cochonne !!!
Je commençais à transpirer, ma main malaxa son cul avec brutalité !!! Ma bite était bien raide. Je m'amusais à passer mes gros doigts sur ses fesses, elle essaya de se redresser, mais une claque sur son cul lui rappela que s'était moi qui commandait !!! J’écartais le string et vérifiais si cela l'excitait !!! L’humidité que j'y trouvais, me renforça dans mon désir d'être plus dur !!!
- Met toi en levrette sur le pouf salope !!!
Je dégageais mon peignoir et mon pieu se révéla dans toute sa grosseur !!!
- Tu dois être contente d'avoir réveillé popaul ???
Je la contemplais, elle, en levrette sur mon pouf... Moi, le chômeur, allait pouvoir prendre ma revanche sur le capitalisme !! Et m'en payer une bonne tranche... je me postais devant elle... ma queue tressautant à quelques cm de son visage !!!
- Branle moi salope !!!
oooOOooo
J’étais devenu son jouet. Une poupée de chair avec laquelle il allait assouvir son plaisir. Je savais que cela n'aurait de fin qu'après sa totale jouissance. J'étais sa captive, et devant sa force n’avait d'autre choix que de me résigner.
Positionnée sur ce pouf mes fesses offertes, qu'il avait malaxait crûment, je regardais son sexe tendu et fièrement dressé vers moi comme pour une prendre une revanche sur la société. De ma main protégée par mes gants en daim jaune Mary Beyer d'un grand raffinement, je pris en main son membre et le masturbais avec deux doigts comme une chose dégoûtante que l'on ne veut pas prendre à pleine main.
- Vous m'aviez promis de ne pas abuser de la situation, laissez moi partir maintenant...
oooOOooo
J’étais fasciné de voir cette main gantée branler ma queue... je la laissais s'appliquer et je crut déceler une certaine maîtrise…
- Oui allez applique toi bien !!! Prends la bien dans ta main !!!
Je passais ma main en dessous de son pull et malaxais ses gros tétons !!! Mes doigts rugueux d'ouvrier étaient au contact d'une peau fine et délicate. Je m'approchais, puis tirais ses cheveux pour la faire se cambrer.
- Met la entre tes seins et sors ta langue chienne !!!
oooOOooo
Après avoir malaxé fermement mes seins au travers de mon pull en coton, il glissa sa main en dessous et je sentis le contact de sa peau rugueuse remonté vers ma poitrine. Il souleva vivement mon pull afin de faire apparaître mes seins toujours protégés par mon soutien-gorge vert. D’un geste sec il baissa mes balconnets afin de libérer ma poitrine.
Après 3 grossesses ma poitrine était volumineuse et laiteuse, cela produisait toujours beaucoup d’effet à mon mari, qui adoré jouer avec mes gros nichons, comme il s’aimait à les appeler. Cela produit le même effet, à mon agresseur, qui au vu de son regard lubrique était dans un état d’excitation total.
Il plaça son membre entre mes deux mamelles, et me demanda de le masturber avec mes seins. « Branle moi avec tes grosses miches de bourgeoise et suce moi le gland en même temps ». J’obéissais, serrant son sexe entre mes seins et de la langue happait son gland qui remontait frénétiquement le long de mon corps, dans un va et vient incessant. De temps en temps il poussait son sexe plus haut encore, excitait par le rouge de mes lèvres, dont la délicatesse tranchait avec le bâton de chair forçant l’entrée de ma bouche.
Me tenant par les cheveux, comme on saisi la crinière d’une jument sauvage, il m’ordonnait de serrer mes seins plus fort. Au bout d’un temps assez long il m’ordonna de le prendre en bouche entièrement. Toujours de mes mains gantées je pris son sexe et m’appliquait à le lécher. Mes lèvres entourés son membre, lui appliquant un suçon du plus grand effet. Le rouge de mes lèvre apparaissait le long de sa longue tige, il me demanda de lui lécher le membre avent de me l’enfonçait dans ma voluptueuse ouverture buccale.
Dès lors il usa de ma bouche comme d’un sexe. Il remuait son pénis au fond de ma gorge me baisant par la bouche tout en pelotant mes seins de sa main droite et me tirant par les cheveux de sa main gauche. Il m’étouffait, et je n’arrivais pas à suivre sa cadence tellement il me pénétrait vite et fort. « Tu es vraiment une grosse cochonne toi, une vrai butineuse, t’aime la bitte sa ce voit tout de suite » me dit-il. Et il continuait à me parler :
- Une belle bourgeoise comme toi ça peut pas imaginer se faire troncher dans un quartier aussi sale, t’as raison, j’ai vu à ton regard que tu trouvais ma piaule plutôt dégoûtante. Tu vas me faire un peu de vaisselle pendant que je te prends en levrette, en plus t’as déjà les gants ça tombe bien »
Sortant son sexe de ma bouche, il me releva, toujours en me tenant par les cheveux, et me dirigea vers ce qui devait ressembler à une cuisine. Les fesses à l’air juste protégées par la lanière de mon string, il me pencha vers un évier rempli de vaisselle dégoûtante.
oooOOooo
Arrivés dans la cuisine, je la poussais contre l'évier remplit d'assiettes sales.
- Tu vas voir salope !! Je vais bien t'enfiler... et occupe toi de laver ça !!
Dis-je en montrant du doigt la pile de vaisselle...Je lui assenais une claque sur le cul avec plus de force. Elle se cambra aussitôt.
Décidément cette chienne aimait cela !! Je pris position derrière elle et pointait mon sexe bien bandé à l'entrée de sa grotte. Elle écarta les cuisses d'elle même, je plongeais d'un seul coup dans ce trou accueillant… Je commençais à la limer en prenant mon temps, guettant chacune de ses réactions.
Elle s'efforçait de laver tant bien que mal, gardant son cul au perché... je lui donnais un coup de bitte plus sec et la saisis par les seins
- Allez chienne, lave bien, je veux que ça brille !!!
Je continuais de la baiser longuement alternant des coups secs et de longs va et vient.
J'étais loin de me douter encore ce matin, que j'allais réaliser un de mes plus grands fantasmes. D’autre idées germaient dans mon esprit... je sentais que je pouvais faire d'elle ce que je désirais... je la voyais faire le ménage entièrement dans mon appartement. Lui imposant des tenues et des poses suggestives. Abusant de tous ses orifices. Je contrôlais mon éjaculation... et réfléchissais déjà à la suite... la journée ne faisait que commencer.
oooOOooo
Penchait contre son évier, les manches de mon pull relevaient, mes mains toujours gantées, je m’efforçais de nettoyer sa vaisselle pendant que mon sexe subissait ses assauts. Mes gants étaient irrémédiablement foutus, trempés, souillés d’abord par son sexe gluant et ensuite d’eaux dégoûtantes, et de liquide de vaisselle. Il continuait à malaxer mes seins les cognant entre eux, s’émerveillant sur leurs tailles, me faisant des commentaires des plus obscènes. Le mouvement de son bassin, claquant sur ma croupe résonnait dans son appartement minable. Il me faisait jouir, ce monstre me prenant comme un animal en rut, me faisait perdre la tête. N’arrivant plus à frotter, je m’écroulais peu à peu sur l’évier me laissant aller à ses coups de reins.
J’étais défaite, saccagée, démise entièrement, et soumise à ses caprices. Me voyant ainsi m’abandonner, il m’entraîna sur une chaise où il s’assit, prenant garde de maintenir son sexe en moi. Je m’assis sur lui, prise en levrette. Il me fit rebondir pendant de longues minutes sur son sexe, m’empalant jusqu’au fond.
- Tu vas me branler dans tes cheveux » ordonna t’il.
Se retirant il me fit m’asseoir à sa place et me retendit sa perche toujours brandissant. Devant moi il me baissa la tête. Je pris son sexe dans mes mains souillées, et entourant son sexe dans mes cheveux je me mis à le masturber. Son sexe entièrement enfoui dans ma rousse chevelure jouait de mon carré fraîchement coupé par mon coiffeur attitré.
D’une main il fouillait mes cheveux aidant son sexe et tenant ma main gantée. De son autre main, il avait recouvert un de mes seins de mon soutien gorge et me caresser au travers de la dentelle.
- C’est bien ma belle, tu es bonne bourgeoise bien docile, maintenant on va allez nettoyer les chiottes, ils sont très très sale ».
Il m’entraîna dans ses toilettes et une fois de plus me penchant sur la cuvette. Je saisie le balai ainsi que le produit se trouvant à coté des WC et me mis à nettoyer, sentant à nouveau une grande poussée en moi me pénétrer à nouveau. Quelle puissance, j’allais finir par m’évanouir de plaisir, je le suppliais de m’emmener dans le salon sur un lit ou un canapé pour me finir.
oooOOooo
Je jubilais. J’avais maintenant fais d'elle ma chose, mon jouet… Une idée me venait en tête !!! J’étais passé de l'autre côté de la barrière et me sentais l'âme d'un seigneur…
Je confisquais son sac !!!
- Ecoute moi bien salope !!! Je n'en ai pas encore finit avec toi, tu vas comprendre ce que s'est de se sentir bafouée !!! Je te laisse 1 heure pour revenir ici !!! Tu vas t'habiller en soubrette !! Mais pas une soubrette de bas étage !! Une soubrette de luxe !! Force sur ton maquillage et sache que je ne souhaite que du rouge et du noir dans les teintes de tes vêtements !!!
Tu vas terminer ton travail ici, il reste les chiottes et la salle de bains !!! T’as intérêt de sortir la lingerie et les effets, sale garce de bourge !!! Tu sonneras chez moi ! À 16h tapante !!! Si tu te comportes comme je le souhaite, je te laisserais repartir en gardant notre petite entrevue secrète !! Si tu ne reviens pas, je me ferais un plaisir d'avertir ton association et pourquoi pas ton mari !!! Tu sais que mon imagination est débordante… Je ricane !!! Allez magne toi il ne te reste plus que 55 mn !!!
Elle se rhabilla prestement et sortit !!! Je me demandais ou j'avais pu mettre mon caméscope.
oooOOooo
Je repris ma voiture et m’empressais de me rendre dans un SEX-SHOP situé à 15 minutes de son appartement. Je conduisais vite de peur d’être en retard. Je me garais et pénétrée dans le magasin. Rempli que de mâles lubriques, je me sentais très mal à l’aise. D’un rapide coup d’œil j’avais repéré les lieux et me dirigeais vers le rayon gadget et costume. Je repérais un ensemble soubrette noir, composé d’un body ouvert à l’entre jambe, de dentelle blanche autour d’un décolleté très pigeonnant, de gant/mitaine en dentelle blanche, et d’un petit tablier. Je vérifiais la taille, payait et reparti sur le champ sous le regard gourmant des clients. A 15h59 je sonnais avec mon paquet sous le bras.
oooOOooo
Je regardais ma montre. 15h59 j'avais réglé le caméscope derrière une tenture indienne qui se trouvait dans le salon. J’avais une batterie autonome d'environ 1heure...
La sonnette retentit ! Je me dirigeais vers la porte. J'ouvris et vis la mine avenante avec un léger rictus.
- C'est bien !! Tu es à l'heure !!
Je l'attrapais avec force et la propulsait dans le salon !!! J’avais disposé un plumeau sur la table... Je m'installais dans le canapé.
- Allez au boulot !!! Tu vas commencer par enfiler ta tenue et faire la poussière du salon !! Après du feras les chiottes !!! Tu vas voir ce que c'est de se sentir avili.
Elle ouvrit 3 sacs et opta pour le vouvoiement en sortant ce qu'elle avait acheté. Je remarquais sur l'un l'adresse d'un magasin spécialisé en article érotique du centre-ville un autre une boutique spécialisée bas nylon et un 3eme un magasin de chaussures haute gamme ... Cette salope avait mis les grands moyens pour me contenter.... Je décapsulais une autre bière en me réjouissant de ce que j'allais découvrir !!! Je grattais mes couilles devant elle !!!
oooOOooo
Une fois entièrement déguisée je me mis à passer le plumeau. Furtivement je m’arrangeais pour rester près de lui. Sa main passa dans mon entrecuisse vérifiant mon degré d’excitation. Il me repoussa sur la table et une fois de plus souleva mon habit de soubrette découvrant mes Collants jarretières en voile et Lycra.
- Je vois que tu es prêtes à me recevoir salope, écarte les jambes » me dit il.
J’obéis, et senti sa langue fouiller l’entré de mon vagin.
- Continue à frotter grosse pute, ça doit être nickel » .
Pendant qu’il me dévorait la chatte avec sa langue je passais le plumeau, sans vraiment de conviction, accaparé par les sensations que me procuraient sa grosse langue. D’une grande claque sur les fesses il m’ordonna de m’appliquer.
- Dis donc poufiasse va falloir t’appliquer sur si tu veux pas que je te corriges».
Je me remis à frotter avec plus d’entrain, ne voulant pas subir de violences autres que les limites qu’il s’était fixé.
Je sentais ses grosses mains palpant mes fesses pendant que sa langue continuait l’exploration de mon arrière train. Il s’approchait de mon anus, m’effleurant du bout de langue. Brusquement je me relevais, il senti que je n’étais pas prête. Se relevant il enfoui tout de même son large membre au fond de mes entrailles me tirant un cri de jouissance. Il m’ordonna de lui parler de lui dire des choses dégoûtantes. Je devais répéter ses paroles. Quand je me trompais une grande claque faisait rougir ma croupe de jument soumise.
- Oui j’aime que tu me prennes mes grosses fesses de bourgeoises
CLAC « recommence »
- Oui j’aime que tu me prennes par mon gros de cul de bourgeoise
- Oui, j’aime que tu me caresses mes gros seins
CLAC « tu fais express salope, recommence »
- Oui, j’aime que tu pétrisses mes gros nichons, je suis ta grosse vache
Je sentais qu’il était à bout, et moi aussi je n’en pouvais plus, j’avais joui dans cette pièce dégoûtante, grâce à cet homme rustre et sentant l’alcool. Il continuait néanmoins à m’insulter.
oooOOooo
Je défonçais allégrement ce cul qui se dandinait à chaque coup de bite !!! J’alternais les claques et commandais cette chienne docile !!!
- Avoue que tu es venu ici dans l'idée de te faire prendre comme une garce !!! avoue que tu t'habilles de façon à faire dresser les bites ???
Je frappais à nouveau !!! Attendant sa réponse .une autre claque s'abattit.
- T’aime ça te faire limer le cul ?? Et te faire traiter comme une pute ?
Ma queue martelait cette croupe charnue. Je regardais en direction du caméscope et la lumière rouge me conforta !!! J’allais pouvoir me repasser cela à mes moments perdus et, j'en étais certain, abuser encore de cette garce !!! Je fixais ses jambes gainées et remarquais la marque de celle-ci ainsi que celui de ses chaussures. Je sortis ma bite de son cul ! Et je le replongeais d'un coup sec !!
- T'as l'habitude hein salope ?? allez bouge sur ma bite !!! tu vas voir !! je vais te faire tourner..... tu vas bientôt s'occuper des chiottes…
Je tirais sur ses cheveux teintés de roux.
oooOOooo
Il sorti son sexe de mon anus. Il m’avait sodomisé comme une brute. « Tes collants jarretières m’excitent ». Il me retourna et enfoui son sexe entre ma cuisse et mon collant, le déchirant au passage afin de passer plus facilement son gros membre, me demandant de le branler le long de ma cuisse.
Le frottement du nylon sur le sexe lui faisait perdre toute raison. Je le masturbais au travers du nylon de mes mains recouvertes de ces mitaines en dentelle blanche ridicule. Pendant ce temps il avait baissé mon décolleté de soubrette, déchirant la dentelle, et me palpait les seins.
- Ohh ce que t’es bonne,, j’ai toujours rêvé de baiser une belle salope comme toi, j’adore palper tes grosses mamelles».
Il me suça les tétons, les aspirants, et mordillant mes gros seins. Me recouchant sur la table sur le dos il releva mes jambes et me pénétra à nouveau, ressortant entièrement son sexe pour me ré-pénétrer de plus belle, et cela une bonne dizaine de fois.
- Comment une cochonne comme toi avec tous les coups de bites que je t’ai mis peut être toujours aussi étroite, ohhh ta chatte est si bonne, tu m’enserres ».
- ohhhh, j’en peux plus je vais m’évanouir, vous me faites tellement jouir, Ouiiiiiiii encore, arrêtez ………………….
Me relevant à nouveau, il me percha sur mes mules Ernest Oscar Noir de 14cm de haut, me retourna et ré-entra son sexe dans mon anus. Il me déséquilibrait par ces coups de butoirs, tout en me maintenant par les seins.
- Allez bouge-moi ton gros cul de salope, vas-y grosse pute ».
Il s’était saisi du plumeau et me fessait avec cet ustensile de ménage. Il me mit enfin accroupi devant lui, dirigeant son sexe vers ma bouche et se masturbant énergiquement, sa jouissance était proche. Ses premiers jets de spermes remplirent ma bouche, alors qu’il dirigea les suivants dans mes cheveux.
Il m’avait demandé de retirer une de mes mules et de lui tendre dévotement pour vider ses dernières gouttes de spermes. Il me pris la chaussure et m’essuya les cheveux avec. Je dû alors lécher la chaussure et effacer toute trace de sperme. Me tenant par les cheveux il me demanda de regarder vers une tenture indienne et me demanda de sourire à la petite lumière rouge.
- T’as aimé de te faire bourrer comme ça, pouffiasse dis le moi !!!!!!!!!!!
- Oui vous m’avez fait jouir, c’était si bon
- Bien prend tes affaires et casse-toi maintenant, et surtout dépose ton numéro de téléphone sur la table.
J’obéis me réajustant au plus vite afin de regagner ma voiture. Je savais que je ne tarderais pas à avoir des nouvelles.

La loi de la ville

En voilà une qui n'a pas froid aux yeux....


Histoire du net. Auteur Inconnu. A la recherche de la suite

$
0
0
Voici une histoire comme on les aime
Un mari partageur et une femme salope...
Qui nous font partager une de leurs expériences.
On aimerait y être ....
Notre dépravation
Je m’appelle Stéphane.
Stéphane Dubois, dirons nous. Et je vais vous conter quelques morceaux choisis de ma vie de couple avec ma femme, Hélène.
J’ai 45 ans, et suis chirurgien dentiste. Je suis ce qu’on appelle un homme mûr, mais malgré mon léger surpoids je reste encore pas mal. Enfin, c’est ce que j’entends dire de moi. Je suis grand, 1m85, brun aux cheveux cours aux tempes grisonnantes.
Hélène, quand à elle, n’a que 32 ans. C’est un sacré petit lot, je dois l’avouer. Elle est de taille moyenne, cheveux châtains clair .Elle a de jolis yeux verts en amande et un petit nez droit. Elle a une poitrine assez imposante, un 95 D. Bien qu’elle se soit elle aussi légèrement arrondie ces dernières années, ce qui me plaît beaucoup d’ailleurs, elle a toujours de longues jambes galbées et un cul tout à fait adorable.
Nous nous sommes rencontrés il y a dix ans. Elle était en fac de médecine, dans laquelle je donnais quelques cours. Sa réputation sulfureuse, et je suis gentil, était arrivée jusqu’à mes oreilles. Quand je dis que je suis gentil, je n’exagère pas puisque ce qui se disait sur elle en tant que fille plus que facile était assez salé. C’en était assez pour que cela donne l’envie à un queutard comme moi de vérifier cette réputation par lui-même.
Je passerai sur les détails de la manière dont je l’ai abordée, mais sachez seulement que quelques heures après lui avoir adressé la parole pour la première fois, cette salope avalait déjà mon foutre avec entrain, les seins à l’air, sous mon bureau.
Tout est allé assez vite ensuite. L’année suivante elle abandonnait la médecine pour se consacrer à ma queue, et je dois dire qu’elle était bien plus douée pour ça que pour ses études. De toute façon mes seuls revenus étaient largement suffisants pour faire vivre notre foyer. Elle se trouva tout de même un emploi à mi-temps dans un magasin de décoration.Comment avons-nous décidé de nous mettre réellement en couple et de nous marier?
C’est simple. Hélène était une salope, et moi un beau salaud, et nous avions tous deux la même notion de ce que devait être un couple libéré. Au fil du temps, Hélène s'est montrée incapable d'être fidèle, justifiant cela par ses besoins sexuels hors normes .Je me suis fait une raison, et de toute façon j’ai toujours plus eu envie d’épouser une vraie cochonne qu’une femme fidèle.
Bref. Trois ans plus tard nous officialisions les choses, ce qui ne changea rien à notre style de vie. Hélène m’était toujours soumise et de plus en plus dévouée à ma bite et celle des mecs par qui je décidais de la faire baiser, pour son plus grand plaisir.Ainsi, j'étais cocu jusqu'à l'os, mais au moins avec mon consentement, et ma participation.
Nous avons donc un style de vie assez particulier. D’une part, nous avons des connaissances de confiance qui connaissent tout et participent à notre débauche, et une vie en société des plus respectables d’autre part. Voilà pour les présentations, et le contexte.
Nous sommes un vendredi soir de juillet 2007. Il est 18h00 et je viens de terminer ma dernière consultation. Il a fait une chaleur écrasante toute la journée. Et toute la journée j’ai pensé à ma femme et à la manière dont j’allais la baiser. Je lui passe un coup de fil avant de quitter le cabinet.
- Allo ma chérie ? Ça va ? T’as passé une bonne journée ?
- Ouais…Tranquille…Et toi ?
- Moi j’ai grave envie de te baiser là…Enfile une tenue sexy pour m’accueillir. Tu vas pas être déçue…
Hélène rit.
- Eh !Au cas où t’aurais oublié, y’a Michel qui vient dîner ce soir !
Merde ! Michel ! C’est vrai que je l’avais complètement oublié. Michel est un très vieil ami, rencontré lorsque j’étais en fac. Il fait vraiment partie de mes meilleurs potes.
Malgré cela je ne l’ai plus vu depuis deux ans. Il est commercial dans le sud de la France. Il doit venir voir un gros client dans l’est et en profite pour passer chez nous.
Bref, Michel ne fait pas partie des types à qui je livre ma femme en pâture, et il n’est pas au courant de notre vie de débauchés. Il connaît bien Hélène mais est à mille lieues de s’imaginer quel genre de salope elle peut être. Une idée folle me traverse l’esprit, et je dis à ma compagne :
- Et alors ? Fais toi belle quand même, ma chérie…On te baisera tous les deux !
- Oui … Bien sûr ! T’as pensé aux conséquences ? Michel est un ami proche…Qui connaît tous nos amis proches…C’est hors de question…Il y’a certaines personnes aux yeux desquelles j’ai franchement pas envie d’être cataloguée comme une salope !
Elle a raison. Ce n’est pas raisonnable. Mais je n’en ai rien à foutre, et suis très excité. Je prends un ton qui se veut dur :
- Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis…Habille toi sexy, point barre !
Je raccroche immédiatement alors que le combiné me transmet encore ce que j’imagine être des protestations.
Moins d’une demi heure plus tard, je passe la grille de notre propriété. Dans l’allée de gravier je vois la 306 de Michel, qui est déjà arrivé. Je gare ma BMW derrière .
Quand j’entre dans la maison j’entends des rires qui proviennent de la terrasse de derrière. Je traverse le salon salle à manger, puis entre dans la véranda dont les portes vitrées s’ouvrent sur la terrasse et notre grand jardin. Michel et Hélène sont assis côte à côte à la table en teck.
Michel n’a pas beaucoup changé. C’est un homme blond aux yeux bleus, aux cheveux en bataille et à la barbe un peu négligée. Il est de taille moyenne. Il semble avoir pris un peu de bide depuis la dernière fois où nous nous sommes vus.
Hélène, quand à elle, a finalement cédé à ma demande. Elle a attaché ses cheveux en chignon sur une baguette en bois. Elle est très maquillée, un gloss rose aux lèvres et un mascara profond cerne ses yeux verts. Elle porte un top beige au large décolleté empire, très profond, et qui révèle l’absence de soutien gorge pour soutenir sa forte poitrine.
Elle se lève pour m’accueillir et je vois qu’elle a mis sa jupette blanche plissée et très courte. Elle s’est également chaussée de mules blanches à talons aiguilles. Elle vient m’embrasser rapidement. Un petit baiser sur la bouche. Michel se lève à son tour pour me donner une franche accolade.
- Stéphane! Depuis le temps! Ça fait super plaisir? Comment vas-tu ?
Nous discutons ainsi, pendant quelques minutes, ravis de nos retrouvailles. Ma femme a servi une bière à Michel tandis qu’elle sirote un Martini.
- Je vais me chercher un truc à boire, leur fais-je alors, je reviens.
Puis, d’un signe de la tête je fais comprendre à Hélène de me suivre. J’entre dans la cuisine et me saisis de la bouteille de whisky. Hélène est là, tout près. Je me sers et me retourne vers elle.
-Eh bien…Tu sembles avoir changé d’avis…C’est pas une tenue sexy ça ! C’est carrément une tenue de pétasse !
- J’avais le choix ?
- Non…
- J’espère que tu es conscient de ce que tu fais, me dit-elle en faisant la moue.
Je me contente de lui sourire et de venir me coller contre elle. Je passe ma main sous sa jupe et la soulève. Elle se laisse faire, docile. Je découvre un micro string léopard. Je passe derrière elle et lui palpe les fesses, avant de commenter :
- Ouais…Une vraie tenue de pouffiasse…De vulgaire pouffiasse. Je suis sûr que t’attends que ça en fait…Qu’on te baise…Tous les deux…
Je passe une main sous son top aux fines bretelles et me mets à lui tripoter les nichons. Je renchéris, en lui chuchotant à l’oreille :
- Dis le que t’en as envie…Salope…Hein ? Dis le ma pute…
Sa respiration s’accélère tandis que je lui pince un téton. Je sais qu’elle aime ça, quand je lui parle ainsi. Dominée et humiliée, la chienne qui me sert d’épouse ne contrôle plus rien et est capable de tout .Elle me répond tout de même, déjà essoufflée.
- Tu sais…Tu sais que c’est pas raisonnable…Arrête…Arrête ça s’il te plaît…
- Arrêter ? Tu sais que Michel est divorcé depuis trois ans…Si ça se trouve il a pas baisé depuis des mois…Je vais pas le priver de ma p’tite salope attitrée…Ce serait trop cruel…
- Michel…Je l’aime bien…Mais il parle trop… Tous tes amis…Tous nos amis le sauront…
Je repasse devant ma femme. Son top a de très fines bretelles et est vraiment échancré. Le décolleté se termine par trois boutons. J’en fais rapidement sauter les deux premiers. Sa tenue est maintenant plus qu’obscène.
- Non…S’il te plait…Stéphane…
Je lui saisis le poignet alors qu’elle essaie en vain de se reboutonner. Je la force à se retourner et lui claque le cul en lui disant :
- Allez…Ne faisons pas attendre notre invité.
Je suis Hélène jusqu’à la terrasse, admirant son cul qui se balance sous mes yeux. L’apéritif se prolonge. Nous buvons plusieurs verres. Je m’aperçois que Michel a bien du mal à détourner son regard du décolleté vertigineux de mon épouse. Et je me rends compte que celle-ci l’a remarqué. Elle semble se détendre un peu après quelques martinis, une lueur de malice dans le regard. Et moi, je commence à être impatient.
- Ma chérie, dis moi, si tu commençais à nous préparer le repas.
- C’est vrai qu’il se fait tard ! Vous commencez à avoir faim ?
Faim, oui, j’ai faim de son cul…Elle se lève et nous laisse, Michel et moi, finir notre verre. Pendant quelques minutes nous discutons, de tout, de rien, du passé. Puis je dis à mon ami, assez brutalement :
-Tu penses quoi d’Hélène ?
Michel est gêné, ne sait trop comment aborder cette question.
- Ben…J’la trouve super sympa…Pourquoi ?
- Ca fait un bail qu’on se connaît, hein ?
- Ouais…C’est clair…
- Physiquement…Tu la trouves comment ?
Là, je vois que sa gêne s’accentue…
- Physiquement ? Je dirais que t’es un mari comblé ! Non ? C’est quoi ces questions à la con ?
J’éclate de rire.
- Tu crois que je t’ai pas vu la reluquer mon salaud ?
- Attends…C’est difficile de faire autrement ! C’est humain non ? Faut dire qu’elle s’habille pas comme ça d’habitude !
- En fait…Tu la connais mal…
Je le regarde droit dans les yeux avant de lui sortir :
- Ça te dirait de la baiser ?
Michel reste sans voix pendant quelques secondes. Il boit une gorgée de bière avant de réagir.
- T’es malade ou quoi ? C’est ta femme…Je la respecte…Je vous respecte !
- Si t’as pas envie …Tant pis ! Tu sais, ça va la décevoir… Elle attend que ça…Qu’on la baise tous les deux… Comme tu l’as dis si bien, elle s’est pas habillée comme d’habitude…Tu crois que c’est un hasard ?
Je vois une lueur lubrique traverser le regard de mon ami. Il commence à imaginer ce que cela pourrait être. Mais il ne semble pas céder. C’est vrai que c’est un peu difficile à croire. Nos rapports sont si bien établis, bien délimités, depuis tant d’années…
C’est ma femme qui va achever de le convaincre. J’entends dans mon dos le claquement de ses mules sur le carrelage. Ses mains se posent sur mes épaules. A cet instant je lui dis :
- Tiens…Quand on parle du loup…
Elle éclate de rire et me fait :
- On en voit la queue, c’est ça ?
Nous éclatons de rire. Puis elle se penche sur moi pour me donner un baiser profondément sexuel, très langoureux. Je me rends compte qu’elle est maintenant chaude comme la braise. Je connais cette attitude. Elle a envi de cul, et je sais que l’idée de baiser avec Michel a insidieusement fait son chemin dans son esprit. Pendant qu’elle m’embrasse je jette un coup d’œil à Michel. Il a l’air excité. Il me semble en tout cas. Hélène se redresse.
- Ma chérie…J’étais en train de dire à Michel à quel point tu pouvais être une petite salope…Il ne veut pas me croire.
Hélène rougit de cet exquis mélange de honte et d’excitation. Sa respiration s’accélère. D’une voix un peu saccadée elle dit alors à notre invité, le regardant droit dans les yeux :
- C’est vrai Michel ?
Elle fait le tour de la table, lentement, s’approchant de lui de manière féline. Michel ne dit rien mais ne rate rien du spectacle. Il semble ailleurs.
- Pourtant Stéphane a raison…T’as vu ? Je suis fringuée comme une pute non ?
Michel ne répond pas. Hélène se penche, pose sa main gauche sur son épaule tandis que je vois la droite se diriger vers l’entrejambe de mon ami. Ma femme approche son visage tout près de celui de Michel.
- Hmmm… Ta queue te trahit…Tu bandes mon salaud !
Puis Hélène me regarde :
- Mon chéri…J’ai le droit de sucer ton ami…J’en ai très envie tu sais…
Je prends le ton autoritaire qui rend mon épouse complètement incontrôlable :
- Bien sûr…Ce n’est pas un droit…C’est un devoir…N’est ce pas Michel…Tu veux que ma salope te pompe ?
Michel sort enfin de son silence et nous dit d’une voix rauque :
- Si c’est ce que vous voulez…
Cette approbation suffit à Hélène et je vois ses deux mains s’affairer immédiatement sur la braguette de mon pote. Michel recule sa chaise et écarte les jambes pour qu’Hélène puisse se mettre à genoux.
Je me lève, et emmenant ma chaise je viens m’asseoir à côté de Michel, pour ne rien rater du spectacle. Ma chérie est surexcitée. Très rapidement elle fait jaillir la queue bandée de Michel. Celui ci a une pine large et assez longue comme ma femme les aime. Immédiatement Hélène attrape la base du gros pénis et commence à en lécher le gland. Michel pousse un soupir.
C’est très étrange. Cette situation m’excite beaucoup plus que quand Hélène suce les queues d’inconnus ou d’habitués à son statut de salope. En un instant l’idée que se faisait un ami intime de notre respectable couple vient de basculer dans la perversité. Hélène regarde Michel droit dans les yeux en donnant des coups de langue sur sa hampe et en lui malaxant les burnes.
- Alors Michel, t’en penses quoi ?.. C’est une salope ou pas ma femme ?.. Allez lâche toi !.. Elle adore ça qu’on lui fasse comprendre quel genre de femme elle est !
Michel se lâche complètement.
- En fait… Je dois l’avouer… Je me doutais bien que ta femme était une p’tite chienne !
- Ah oui ?
- Ouais…C’est clair…J’t’aime bien Hélène mais, m’en veux pas, la vérité c’est que je t’ai toujours trouvée allumeuse…
- Oh, je ne crois pas qu’elle t’en voudra…Bien au contraire…Hein ma chérie ?
Hélène rit. Elle se met à pomper et à parler alternativement :
- Hmmm… Je le prends comme en compliment… Tu sais Michel… Ta queue est bonne…Hmmm…Oui… Si bonne… Allumeuse… Le mot est faible…Disons que…Je suis plutôt…Une p’tite pute…Une p’tite pute suceuse de bites… Une vraie cochonne avide de foutre…Hmmm…
Michel est maintenant surexcité.
- Alors suce ! C’est ça salope suce ma queue…Oui… Comme ça… Pompe…Pompe ma salope…
Hélène gémi. Je sais qu’elle est aux anges. Sa pipe redouble de profondeur. Bouffer de la queue en se faisant traiter comme une vulgaire pétasse, voilà quelque chose qu’elle affectionne particulièrement. Et moi, je bande comme un âne. Il me vient une idée. Je me lève et leur dis :
- Je reviens…
Je vais dans le salon et me dépêche de fouiller dans le sac d’Hélène. J’y trouve son téléphone portable. Quand je reviens c’est pour voir mon ami se faire manger la queue jusqu’aux couilles. Michel a tiré sur le top de ma femme, lui mettant les loches à l’air Ses grosses loches qu’il tripote avec entrain.
- Ma chérie, ça te dirait que je dise à Momo de passer après manger ?
- Hmmm…Oui…Si tu veux…Plus on est de fous…
- Je vais lui envoyer un petit film, pour le motiver, ok ? Comme ça c’est toi qui vas l’inviter…
Mohamed est un type que nous avons rencontré il y’a quelques mois en discothèque. C’est désormais un habitué des trous de mon épouse. Michel ne dit rien. Il a compris. Je commence à filmer la scène et lance :
- Salut Momo ! Ca va ? Je t’envoie un petit film…Ma femme a un truc à te demander…
Hélène arrête de pomper, et tout en continuant à branler Michel, regarde l’objectif.
- Coucou Mohamed ! Tu vois là je suce une bonne queue…Comme une grosse pute ! Mais bon, on est que trois et…Ta grosse tige me manque un peu si tu vois ce que je veux dire…Alors si tu veux passer me troncher…
Elle se remet à pomper comme une dératée, gémissant en enfonçant le pieu de Michel jusqu’à la luette .Mon pote l’attrape par les cheveux et se met à gueuler :
- Allez salope ! Pompe, pompe ! Je vais te juter à la gueule cochonne ! Putain si j’avais su !
Il pousse un râle de plaisir.
- Putain avale ! Oui c’est bon avale tout mon foutre pouffiasse ! Oui…Hmmm
Il donne carrément des coups de reins et sous mon objectif se met à se vider les burnes dans la bouche de ma femme. Tandis qu’elle tente de ne pas en perdre une goutte, je rajoute :
- Bon, Momo… Passe vers 21h30…Si ça te dit.
Puis, tandis que la queue de Michel ramollit dans la bouche de mon épouse, je recherche Mohammed dans les contacts. J’envoie le film. Je suis sur le point de reposer le téléphone, tandis que Michel et Hélène reprennent leur respiration, cette dernière récupérant avec ses doigts le foutre qui dégouline sur son menton pour l’ingurgiter, quand un des contacts attire mon attention. « Gérard ».
C’est le chef de rayon d’Hélène. Si j’osais. Je dois être fou. Je ne sais pas ce qui me prends. En quelques clics j’envoie le film à son patron, changeant radicalement les futurs rapports que mon épouse et ce cher Gérard entretiendront par la suite
A peine ma salope d'épouse a t elle lâché la queue de Michel qu'elle pivote sur ses genoux pour venir se placer entre mes jambes.
- Donne-moi ta queue, me fait-elle, haletante. J'ai encore envie de bite!
Je fais sauter le bouton de mon jean puis Hélène s'empresse d'achever la tâche et de sortir ma pine gonflée à bloc. Tout cela m'a sérieusement excité.
Ma femme commence alors par lécher mon gourdin de haut en bas tout en la reniflant bruyamment. Je regarde Michel qui observe la scène, sa queue redevenue molle toujours à l'air. Il a les yeux dans le vague et semble incrédule, reprenant son souffle.
- T'aime ça la queue hein ma chérie, lui dis-je, faisant un clin d'oeil à Michel.
- Ouais... Ouais j'aime ça! J'adoooore ça même... Bordel, ça fait si longtemps que j'ai pas été excitée à ce point!
Ces paroles prononcées elle entreprend de pomper mon gland du bout des lèvres, me regardant droit dans les yeux. Soudain, le téléphone d'Hélène sonne. Je m'en saisis. C'est un SMS de Mohamed."Peux pas venir ce soir, suis en week-end dans ma famille! Amusez vous bien, dis à ta femme qu'elle perd rien pour attendre!".
J'annonce la mauvaise nouvelle à Hélène. Elle arrête de me sucer un instant, gardant cependant toujours ma tige dans sa pogne.
- Merde, soupire t’elle, déçue... Il me baise si bien! En plus ce soir j'ai une de ses soifs de bite!
- T'as envie d'être vilaine?
- Ouais...
- Très vilaine?
- Carrément!
- L'idéal, pour Hélène, fais-je alors à Michel, c'est d'avoir trois queues sous la main.N'est-ce pas ma chérie?
- C'est clair, me répond-elle tout en se retournant pour sourire à Michel... Même plus...
Michel ne dit toujours pas un mot. Je comprends que tant de révélations sur des amis de longue date le scotchent un peu. Soudain, la sonnerie du téléphone se fait à nouveau entendre. C'est l'accusé de réception du MMS que j'ai envoyé au chef de rayon d'Hélène.
Elle continue à me branler machinalement et me lance un regard interrogateur. Que faire? Lui mentir? Elle le saura bien de toute façon... Et j'ai envie qu'elle le sache... Et ça m'exciterait tellement que ma femme se fasse baiser sous mes yeux par son supérieur... Un vieux fantasme macho sûrement...
- Tu me fais confiance, ma chérie?
- Euh... Oui... Enfin, pourquoi?
- Tu la veux ta troisième bite?
- Oh que oui!
- Il n'y a pas que Michel qui vient d'apprendre que t'es une pute...
-...
- Le film, je l'ai envoyé à quelqu'un d'autre...
Je la mate avec un sourire pervers. Elle cesse un instant de me masturber. Son expression est mêlée de curiosité et d'appréhension. D'excitation aussi, j'en suis sûr...
- A qui?
Je lui réponds par une question:
- Dis-moi... Ton chef, Gérard Grangeot... Tu m'avais pas dit que tu le trouvais plutôt beau mec?
Elle a un mouvement de recul, écarquille les yeux et lâche ma bite.
- QUOI?! T'as pas fait ça quand même?
- Si!
Je rigole, attendant la suite de sa réaction!
- Mais t'es vraiment trop con!
- Je croyais que tu voulais de la bite!
- Mais...Mais...
Elle est estomaquée, met quelques temps à trouver ses mots avant de continuer:
- Mais je vais passer pour quoi, moi, au taf?
- Ben... Pour une salope! C'que t'es, non? Et entre nous, t'as pas hésité trop longtemps à pomper Michel.
Là je touche un point sensible. Même s'il est vrai que j'ai quand même bien insisté, je sais que ça lui a finalement plu. Mais à cet instant je ne sais pas comment va réagir Hélène. Ca va être quitte ou double. Ou j'ai foutu la soirée par terre, ou ça va être une nuit mémorable. Je suis aux anges quand j'entends Hélène me dire:
- Et d'abord... Qu'est ce qui te dit que Gérard va être dispo? Et peut-être qu'il n'en aura pas envie!
- Aaaah? Donc finalement tu envisages qu'il puisse te baiser?
- Qu'est ce que tu veux que je te dise? Tu lui envoies un film de moi où je me comporte comme la dernière des catins! C'est un peu trop tard pour faire machine arrière, non?
Connaissant bien ma femme, je sais que cela veut dire oui, même si elle ne l'avoue qu'à demi-mot. Et j'entends bien que sa voix chevrote, non de peur, mais d'excitation. Elle transpire l'excitation. Mais cette réponse ne me plait guère. Je veux un oui franc.
- Donc, tu ne serais pas contre?
-...
- Tu veux que je propose à Gérard de venir oui ou merde? Tu sais, ce message ne lui était pas adressé... Il a sûrement cru qu'on lui avait envoyé par erreur... Ca m'étonnerait qu'il appelle! Alors que je suis sûr qu'il crève d'envie de niquer une belle salope comme toi... C'est à toi de voir... Si tu veux ta troisième bite...
Elle met deux ou trois secondes avant de me répondre:
- Vas-y... Fais-le! C'est toi qui l'auras voulu... Tu veux que je sois une chienne aux yeux de tout le monde? T'as gagné, fais le!
- T'en crèves d'envie!
-...
- J'me trompe?
- Bordel! Je crois bien que je suis née salope...Ca doit être ça... Oui... C'est sûrement mon destin de vider des couilles bien juteuses...
Puis dans un soupir elle rajoute:
- Vas-y... Appelle...
- Michel... Mon vieux, je crois qu'on va bien s'amuser ce soir!
- Vous vous emmerdez pas, quand même! répond-il en se marrant...
Il semble enfin détendu, et a compris qu'il n' ya pas de raison de se prendre la tête... D'ailleurs il n'a pas remballé sa bite qui semble se gorger de sang à nouveau.
J'appelle Gérard, et mets le micro pour que tout le monde entende. Ma femme, sans que je le lui aie demandé, se jette à nouveau sur ma queue qui menaçait de se mettre en berne.
- Trois sonneries, puis Gérard décroche.
- Allo?
- Allo, Monsieur Grangeot.?
- Oui?
Sa voix est un peu hésitante.
- C'est le mari d'Hélène Dubois au téléphone...
-...
- Vous m'entendez?
- Oui,oui... Je vous entends...
Il est méfiant. Il ne me connait pas. Et il ne connaissait pas Hélène sous l'angle que je viens de lui faire découvrir. Je décide de ne pas tourner autour du pot, et prends volontairement un ton très amical et rassurant:
- Dites moi...Vous avez bien reçu le petit film que ma femme vous a envoyé?
Hélène, sans cesser de téter ma tige me lance un regard du genre "tu exagères", en entendant ce mensonge. A l'autre bout de la ligne Gérard Grangeot émet un petit rire nerveux:
- Oui... J'ai bien reçu le message...Mais je ne crois pas qu'il m'était destiné...
Il ne se livre pas alors que je suis sûr que ça l'a excité. Ca l'a forcément excité.
- Mais détrompez vous, rétorqué-je, comme ce "Momo" n'était pas disponible ce soir, ma femme a absolument tenu à ce que l'on vous envoie cette invitation... Voyez-vous, cette pute m'a avoué qu'elle mouillait constamment, au boulot, en imaginant que vous la baisez!
Entendant comment je l'insulte devant son patron, Hélène se met à pomper plus avidement encore. L'humiliation, décidément, est son pêcher mignon et le détonateur le plus efficace de sa libido.
- Eh bien... Je ne sais que dire... Attendez une minute, restez en ligne, me fait Grangeot.
J'entends un bruit de porte que l'on ferme, puis il reprend:
- Ce n'est pas si simple, Monsieur Dubois... Je suis Marié...
- Trouvez un prétexte...Attendez, je vous passe ma femme...Vous savez pas ce que vous perdez!
Je passe le portable à ma femme en disant bien fort:
- Eh, cochonne! Dis lui comme t'es chaude!
Hélène est maintenant surexcitée, son regard est pétillant de lubricité. Elle joue le jeu à font, brisant les dernières barrières de son amour propre. Elle prend la voix lascive que je lui connais:
- Tu sais Gérard...J'ai vraiment envie de ta queue...J'ai trois orifices... Pour seulement deux bites...Fais un effort... Franchement...Ca te dis pas de venir me sauter là...
- Ok, ma salope... C'est ce que tu veux? Ben si je m'attendais à ça!
- Cool! fait Hélène.
- Je serai là vers dix heures... Je vais trouver une excuse bidon... Mais prépare toi... Je te savais pas si salope, mais toi, t'imagines même pas comme je peux être un gros porc... Je te préviens, je vais pas faire le déplacement pour rien!
- Hmmm tu m'excites Gérard... Ne tarde pas trop!
- A tout à l'heure.
Hélène raccroche et entreprend de me sucer à nouveau. Je l'en empêche:
- Je me garde pour tout à l'heure ma p'tite pute...Vas plutôt nous nous servir.
Elle se relève, remballe ses loches dans son top. Elle se dirige vers la cuisine.
- Attends, lui fais-je. Ta culotte!
Très sensuellement, sexuellement même, elle se débarrasse de son string léopard de putain, et le jette sur la table, devant moi. Je le saisis. Il est trempé comme une éponge. Je le hume et souris avant de le jeter à Michel qui fait de même.
Le moins que l’on puisse dire, c’est ce que repas est étrange. Nous mangeons, et buvons, un peu trop certainement, comme si de rien n’était. Nous avons des conversations presque banales, rions beaucoup, pourtant la tension est palpable. Nous sommes tous impatients.
21h45. Nous venons de finir le plat principal. Je sens Hélène nerveuse.
- On passe au dessert ? nous demande-t-elle. J’ai acheté une glace…
- Ah, bon ? C’est pas toi le dessert, lui réponds-je ?
Tout le monde se marre. Puis je propose :
- On a qu’à attendre Gérard, ce sera plus sympa… Y’en aura bien pour trois… De la glace, je veux dire !
- Si tu veux , me dit Hélène…Bien… En attendant, je vais aller me refaire une beauté… Je sais pas pourquoi je me sens poisseuse…
Elle me fait un clin d’œil et disparaît, nous laissant, Michel et moi. Je nous ressers un verre de vin. Il fait bon maintenant, rien à voir avec la canicule de la journée, et un petit vent frais vient atténuer la moiteur de l’air.
- Je commence à en tenir une bonne, me dit Michel.
- Moi aussi ! Eh, tu vas assurer j’espère !
- T’inquiète… Une salope pareille, ça ferait bander un mort ! Euh…Quand même, t’es sûr que ça la dérange pas que je la traite comme ça ? Moi ça me plait mais…
Je l’interromps immédiatement :
- Mais non ! Combien de fois faudra que je te le dise. Elle aime ça ! Elle veut ça ! Et c’est une salope ! un point c’est tout ! Si tu savais toutes les saloperies qu’on fait. Et elle en veut toujours plus !
- Ah ouais ? Par exemple, me demande-t-il, curieux ?
- Il y’a tellement de choses à raconter… Entre autres, elle adore aller faire la pute…
- La pute ?
- Ouais, la pute ! Elle s’habille comme une pouf’, et je l’emmène tapiner sur un parking la nuit… Ou dans un bois… Elle se fait troncher par des inconnus, pour un euro symbolique… J’ai filmé plein de trucs… Je te montrerai… D’ailleurs, ce soir, je crois que je vais filmer aussi…
Michel est sur le cul. Il finit son verre d’un seul trait.
J’entends le bruit d’une voiture qui remonte l’allée de la maison.
-Tiens… Voilà ce cher Gérard…
On sonne. Je me lève et me dirige vers la porte pour aller ouvrir. En passant dans le hall, je gueule :
- Ma chérie ! T’es prête ?
- Encore cinq minutes !
Je jette un oeil à ma montre. Ca fait un quart d'heure que ma chérie m'a dit :"cinq minutes". Ca nous a laissé le temps de faire connaissance, avec Gérard. Effectivement, c'est un mec plutôt beau. La quarantaine, brun, cheveux courts, grand et bien bâtit. Je comprends que ce type ne laisse pas Hélène indifférent.
Il a tout de suite été à l'aise, et même plutôt sûr de lui. Tant mieux, Hélène aime ça, et ça a complètement décomplexé Michel. Je les ai laissés discuter tandis que je débarrassais la table pour apporter les assiettes à dessert.
Nous sommes maintenant tous les trois attablés, sirotant un verre de vin rouge. Nous attendons. Les propos graveleux sur ma femme vont bon train. Ca me fout une trique dingue. Puis Gérard me sort, assez directif:
- Bon, qu'est-ce qu'elle fout ta cochonne? Je croyais qu'elle voulait de la bite? Elle se dégonfle ou quoi? J'ai pas raconté des couilles à ma femme pour rien j'espère...
Je lui réponds avec un sourire rassurant:
- Je vais la chercher.
Je les abandonne et me rends à l'étage. Je sais très bien ce que fait Hélène. Elle se bichonne. Dans ces moments, elle se veut parfaite. Sur le pallier je prends à gauche la porte du bureau, pour y chercher mon caméscope numérique. Puis je vais à la salle de bain. Ma femme est face au miroir, achevant de se maquiller. Je l'admire, la détaille, tandis que peaufinant son rouge à lèvres, elle me regarde du coin de l'oeil, exprimant un air libidineux.
Hélène a détaché ses cheveux. Elle porte ses grandes boucles d'oreilles en anneau. Elle a encore plus insisté sur l'eyeliner et le mascara que tout à l'heure. En plus du gloss rose, elle est en train de rajouter un fin liseré couleur prune sur le pourtour de ses lèvres. Elle a fini. Elle se retourne vers moi et me sourit. J'adore. Elle fait salope, très salope.
Mais ce qui me rend fou de désir, c'est surtout la tenue qu'elle a choisie. Elle est uniquement vêtue de noir, de "vêtements" que nous avons achetés dans des sex-shops. Un bustier de vinyle très serré à la taille, qui s'arrête sous sa poitrine et laisse nus ses nibards, les soulevant et faisant pointer ses tétons. Ses seins sont déjà gros. Là, ils paraissent énormes, d'autant plus que le bustier lui donne une taille de guêpe. A la guêpière, qui s'arrête juste au ras de sa fente surmontée d'un triangle bien délimité de poils drus, et au quart supérieur de sa croupe que mon épouse a laissée nue, est intégré un porte-jarretelles, auquel sont suspendus une paire de bas noirs aux larges résilles. Elle a chaussé ses bottes de cuir très pointues et au fin talon aiguille. Et, pour parachever le tout, elle a mis un collier. Ou plutôt devrais-je dire "le" collier. Le collier de chien orné de pointes de métal. Ce dernier détail fait toute la différence. C'est un code entre nous. C'est Hélène, et uniquement elle qui décide quand elle veut le mettre. Et quand c'est le cas, cela signifie qu'elle m'appartient, totalement, et sans condition. Elle livre donc son corps à mon esprit tordu.
Je pointe le caméscope sur ma femme et commence à filmer.
- Alors, mon amour... Parle-moi un peu... Comment ça se fait que t'es accoutrée comme ça?
Elle ne parle pas tout de suite. J'en profite pour la filmer de plain pied, puis je zoome sur son visage. Elle me répond alors d'une voix assez grave qu'elle se force à contrôler:
- Eh bien... Puisque je vais me faire sauter par mon boss et ton meilleur ami... Autant mettre les petits plats dans les grands.
- Onhon... Continue ma chérie...
Elle se lèche les babines et poursuit, s'approchant de la caméra.
- J'ai trop envie là...Envie de baiser... De me faire baiser comme une chienne...
Je la laisse parler.
- Tu sais mon chéri... Si ça se trouve, à cause de toi, c'en est fini de ma réputation...Définitivement... Michel va sûrement parler... Et peut-être que Gérard va raconter à tout le monde au boulot quel genre de traînée je suis.
Elle me nargue, tourne sur elle même et se penche en avant, accoudée au lavabo. Tournant la tête vers l'objectif, elle enchaîne:
- Qu'est-ce que t'en penses? Ca te plaira que je passe pour la salope du quartier? Que tout le monde pense que t'as épousé un sac à foutre?
- Mais tu es la salope du quartier ma chérie... Et tu es un sac à foutre.
- Hmmm...Oui... C'est ce que je suis... Et tu sais quoi? Ca me plait...
Hélène me tend encore plus son cul, écarte largement les cuisses. C'est affolant comme la guêpière fait paraître son fondement encore plus plein et généreux.
- C'est ça ma cochonne... Tends-moi bien tes miches... Ton gros cul à sodo... Reste comme ça... Ne bouge plus.
Je pose la caméra sur le meuble de la salle de bain. Je vérifie le cadrage et laisse tourner l'enregistrement. Je m'approche d'Hélène. Je lui pince une fesse, assez fort. Elle sursaute. Puis je palpe sa moule, sans douceur.
- T'es trempée... Cochonne...
- Oui... Ca mérite une punition non?
En disant cela elle désigne la mallette noire qui est au pied du lavabo. Je la saisis et l'ouvre. Parmi les ustensiles qui s'y trouvent, je prends la laisse de cuir, et la cravache. J'attache la laisse au collier. J'ai envie de lui fouetter le cul, là, tout de suite. Mais ce serait égoïste. Il faut que les invités en profitent.
- Prends la mallette, ma chérie, et descendons.
Au passage je récupère d'une main le caméscope qui filme toujours. De l'autre, je tiens la cravache, et ma femme devant moi en laisse.
Quand une minute plus tard nous arrivons à la terrasse, nos invités en restent bouches bées

Pas de suite...
Si quelqu'un a la suite..?



Reconnaître à qui l'on doit obéir...

Brèves confession de bonnes femelles au service des teubs... Et elles adorent;;!

$
0
0
MALIA
Je m'appelle Malika mais tout le monde m’appelle Malia la gazelle !
J’ai vingt-huit ans, je suis infirmière à Perpignan et plutôt du genre belle plante, brune, avec de jolies et avantageuses formes que Michel, mon ami, aime à caresser jusqu’au bout de la nuit. D’origine kabyle, j’aime courir, mais ce que je préfère, c’est une bonne baise torride avec mon compagnon.
Je me suis levée ce matin, avant lui comme d’habitude, et après le petit déjeuner, j’ai mis mes lunettes, et je me suis penchée sur lui pour l’embrasser. J’ai baissé le drap, embrassé son cou, son torse, son ventre, et tout doucement, j’ai gobé son pénis qui a commencé à gonfler dans ma bouche. J’aime cette sensation de domination, de puissance, à le sentir grossir, prendre sa place grâce à mes coups de langue et mon aspiration. Dans un demi-sommeil, il a glissé sa main sous ma jupe et, comme tous les matins, il a commencé à branler ma chatte épilée tout en m’enfonçant le pouce dans l’anus. J’adore cela ! Et depuis que je suis petite fille ! J’ai l’impression que je me suis toujours caressé mon petit trou !
D’habitude, je suce Michel jusqu’à ce qu’il jouisse et j’avale sa semence du matin, me donnant un surcroît d’énergie. C’est ma dose de vitamine ! Ce matin, je suis à la bourre et je dois partir sans avoir accompli mon rituel quotidien. Je le laisse frustré mais il s’en remettra le bichon…
J’arrive à la clinique, me déshabille, ne gardant que mon slip et mon soutien-gorge, enfile la blouse réglementaire, et la responsable planning m’apprend que mes horaires ont été modifiés. J’ai la matinée pour moi, et pour Michel… Je me dépêche de rentrer en tenue d’infirmière, il adore ça (et moi aussi), j’ouvre doucement la porte de notre appartement quand je suis alertée par des bruits venant de la chambre.
Je m’approche lentement et je suis horrifiée par ce que je vois : mon amie Cathy est en 69 sur Michel, sa bite dans la bouche, tortillant du cul, tandis ce que ce salaud est en train de lui bouffer la chatte, une main écartant ses grosses fesses, et de l’autre la sodomisant avec trois doigts…
Je la vois parcourir de plus en plus vite avec sa langue toute la hampe de sa verge, et lui gober les couilles. Les doigts entrent sans difficulté dans le cul de cette grosse truie, ma copine la coincée, la prude Cathy la morale, Cathy qui ne boit pas, ne fume pas, mais qui se fait fister l’anus comme la dernière des chiennes. Le spectacle n’a que trop duré, mes larmes coulent, je pars humiliée en claquant la porte…
Je ne sais pas quoi faire, je prends la voiture et direction la mer mais la journée est maudite : après quelques kilomètres d’autoroute, le moteur se met à tousser, la jauge est à zéro. Je me gare et fais du stop, toujours habillée en infirmière. Quelques secondes après, un van s’arrête, chargé de tuyaux, et deux beaux garçons me proposent de monter.
Je crois que je tiens ma vengeance : je suis sur la banquette arrière et joue avec mes jambes, les propos deviennent grivois, le chauffeur Arnaud, le blond, propose de pique-niquer sur la prochaine aire. Je dis OK ! Il se gare dans un endroit discret. Vivien, un brun balèze au sourire carnassier, pose une couverture sur le sol et sort de quoi manger. Arnaud s’assoit à côté de moi, je suis assise en tailleur, découvrant ma culotte blanche et sa main glisse sur ma cuisse. Vivien, debout, s’est glissé derrière moi et commence à me peloter les seins, il dégrafe le soutien-gorge, l’atmosphère est sulfureuse, je suis prête à tout ! Sans me retourner, je glisse ma main dans le short de Vivien, il se colle à moi, sa bite est à hauteur de mon visage, je n’ai plus qu’à tourner la tête pour l’emboucher, elle a bon goût, je la sens qui gonfle, qui palpite… Arnaud n’est pas resté inactif, ses mains et sa langue sont remontées jusqu’à ma culotte. Sans lâcher la queue de Vivien, je me positionne à quatre pattes, Arnaud peut ainsi remonter ma jupe et baisser mon slip jusqu’aux genoux.
-  J’ai envie de vous sucer en même temps, leur dis-je.
Je m’assois sur le sol, les jambes largement ouvertes, ils s’agenouillent devant moi, la bite à la main, je les caresse, je les avale alternativement et avec un peu d’effort, en même temps. Je l’ai vu dans des films et je me souviens avoir fantasmé dessus : j’ai envie de les avoir dans la chatte et dans le cul. Arnaud s’allonge sur la couverture et je m’accroupis sur lui, tête-bêche. Il m’écarte la raie pour mieux voir sa bite rentrer dans ma fente toute humide. Vivien se branle devant mon visage et après quelques tremblements et quelques grognements, il éjacule sur mes joues, mes yeux et mes cheveux. J’attrape sa bite gluante et aspire les dernières gouttes. Dans le même temps, Arnaud me fait sauter de plus en plus violemment, je sens le plaisir m’envahir et c’est dans le même cri qu’Arnaud me remplit la chatte de foutre.
On récupère en grignotant et en rigolant. Le sperme d’Arnaud coule de mon vagin sur la couverture, j’y trempe un doigt et le lèche avec un regard coquin. Il n’en faut pas plus pour exciter mes deux mâles. Vivien me bascule sur le sol et me fourre trois doigts dans la chatte toute grasse. Il mouille mon anus froncé, je sens que cela va être encore mon tour ! Je me mets sur les genoux, écrasant mes seins sur le sol. Je cambre les reins au maximum, faisant ressortir ma rondelle qui n’a qu’une envie, se dilater et se faire éclater !
Vivien me gratifie d’une merveilleuse feuille de rose, tentant de me pénétrer le cul avec sa langue.
-  Vas-y, encule-moi maintenant.
Il dirige sa queue gonflée à l’extrême sur ma rondelle ouverte et me la plante d’un coup jusqu’à la garde. Je crie de bonheur, j’attire Arnaud pour le branler en même temps, l’autre me pistonne comme un fou, essayant même de glisser un ou deux doigts dans mon trou du cul dilaté à mort. Je jouis à répétition. De la main gauche, je secoue la queue d’Arnaud, de la droite, je me suis rentré quatre doigts dans le vagin, mon cul me brûle, je tremble comme une feuille en criant des insanités :
-  Allez-y mes baiseurs, plus fort, oui tu m’encules bien Vivien, je la sens bien ta queue dans mes boyaux, prenez-moi tous les deux maintenant, je vous veux dans mes deux trous…
Je me fais secouer comme jamais ! Dans un réflexe pervers, une bite dans le cul, et une dans la chatte, je trouve au sol mon sac à main et sors mon téléphone. J’actionne la fonction caméra et l’approche de mon cul.
-  Sors de mon cul Vivien, que je vois comment je suis dilatée ! Rentre fort maintenant ! Je jouis, bande de salauds, je jouis, je jouis…
Je les revois souvent maintenant, presqu’une fois par semaine, et c’est chaque fois aussi bon. Ils habitent entre notre appartement et l’hôpital, c’est pratique. On a essayé depuis la double sodomie, la double éjaculation faciale, ils me proposent d’inviter un de leur copain pour que mes trous soient pris en même temps.
Cela s’est passé un soir de septembre. Michel était à l’entraînement de rugby. Arnaud me «sms» et me demande si je suis libre. Il me demande de passer chez lui, mais habillée en infirmière. Il a un cadeau pour moi. Vivien est là, mais le cadeau, c’est Pascal, un beau black !
-  Voilà, un black pour une beurette ! Tu en penses quoi, Malia ?
-  Je ne connais pas, il faut que je l’ausculte !
Arnaud a fermé la porte ! Je m’avance et m’accroupis devant Pascal ! Je fouille sa braguette et sors un sexe inimaginable. Son odeur épicée m’excite et je me mets à le sucer comme une petite chienne. Normalement, j’aime faire l’amour, mais quand je suis avec mes deux loustics Arnaud et Vivien, je deviens une vraie salope ! Et j’aime ça, même si parfois, cela me fait un peu peur !
Accroupie, les genoux écartés, je suce Pascal. Les deux autres garçons se sont approchés de moi. Arnaud s’est allongé à même le sol et a glissé la tête sous mes fesses, me léchant la culotte. Vivien est debout derrière moi et me malaxe les seins. On se retrouve rapidement à poil. Je garde mes lunettes. Vivien veut m’enculer avec sa bouteille de coca, je veux les trois bites dans ma bouche, on change mille fois de position, je suis dilatée de partout, couverte de sperme. Enfin, l’assaut final : Arnaud est au sol, je suis au-dessus de lui et il me prend la chatte. Pascal est derrière moi, et sa bite monstrueuse m’encule, et Vivien est dans ma bouche et me traite de pute. Je ne vois plus la bouteille de coca !
-  Retenez-vous les garçons, je veux boire tout votre foutre maintenant.
Je suis à genoux au milieu de mes trois amants, ils se branlent frénétiquement. Comme dans les mauvais pornos, j’ai la bouche grande ouverte, les lunettes ont glissé sur le nez. Les premières giclées atteignent mes cheveux, les autres les yeux et enfin la bouche. J’aspire les queues avec violence, je lèche les traînées blanches qui coulent sur les seins, je nettoie les bites qui lentement ramollissent… Je suis épuisée !
Je m’allonge au milieu des trois corps. J’ai encore un peu de temps avant de rentrer retrouver Michel. La grosse bite de Pascal est à portée et je m’assoupis avec sa queue molle dans la bouche. Vivien glisse la bouteille de coca, qu’il a dû retrouver, dans mon cul dilaté, et Arnaud caresse négligemment mon clitoris brûlant. Je m’endors ainsi, sereine, puante, heureuse !
Quand je me réveille, les garçons ont disparu ! Seule la bouteille de Coca tient encore compagnie à mon petit anus. Je la sors avec un bruit humide, et me dirige vers la salle de bain pour faire pipi et me laver.
En sortant, je passe devant le salon et les garçons sont tous les trois assis sur le canapé, s’astiquant le manche en matant un film porno. Je suis propre, je sens bon, je me suis remaquillée, j’ai ma tenue d’infirmière dans un sac plastique sous le bras et je me suis habillée correctement pour traverser la ville, petite robe portefeuille noire et talons hauts.
Ils sont là, devant moi, à me regarder, ils se caressent doucement, et leurs belles queues m’excitent, et je sens dans mon ventre une boule de chaleur qui commence à irradier.
-  Je n’ai pas le temps de remettre le couvert, je vous dis à la prochaine les garçons !
-  Oh, non, pas déjà, regarde dans quel état tu nous mets, dit Arnaud.
-  C’est plutôt la rousse de la télé qui vous fait bander, bande de salauds ?
-  Tu as bien cinq minutes, Malia, tu ne peux décemment pas nous laisser comme ça ?
-  D’accord pour cinq minutes, mais pas plus ! On fait quoi ? Si vous avez une idée, je suis preneuse !
-  On pourra te reprendre à trois, dit Vivien ?
-  Non, c’est trop compliqué, trop long et il faudrait que je me relave, réponds-je
Pascal prend la parole :
-  Tu t’assois face à nous, tu écartes un peu les cuisses pour nous exciter, et on vient à tour de rôle pour jouir dans ta bouche.
-  OK ! Au premier de ces messieurs ! Mais bien dans la bouche, pas sur le visage ou les cheveux. Je n’ai plus le temps de me remaquiller !
-  Moi le first, dit Pascal, je sens déjà que ça monte !
Et comme conseillé, j’avance une chaise devant le canapé, m’assois gentiment en prenant bien soin d’écarter un peu les jambes afin qu’il devine ma culotte, je glisse les mains dans mon dos, avance mon visage, ouvre ma bouche. Pascal est debout, son sexe fouille ma bouche. Il se branle pendant que j’aspire son gros gland, il commence à accélérer et je sens qu’il vient. J’aspire de plus belle, ne voulant laisser tomber aucune goutte sur ma belle robe. J’avale tout sous les commentaires admiratifs des deux autres garçons qui en ont profité pour se rapprocher de moi.
-  Humm, c’était très bon, dis-je en déglutissant. Au suivant !
Les deux se battent pour m’honorer, et je décide de les prendre en même temps. Et là, pour aller plus vite, je décide de mettre les mains. Arnaud sera le premier à jouir, j’ai peur que Vivien éclate avant d’avoir pu tout avaler mais tout se passe bien ! Je suis en train de me dire que je deviens encore plus accro au sperme… et je constate que je n’ai pas honte !
Les garçons sont épuisés et se sont affalés sur le canapé.
-  L’un de vous aurait-il un chewing-gum s’il vous plaît ?
-  On n’a pas de chewing-gum mais du coca, si tu veux ?
-  J’ai déjà donné, mais je prends, réponds-je en souriant…
Je vis toujours avec Michel et j’espère que cet enculé lira cette lettre, un jour…

La serveuse.
par Geneviève 26 ans
Mon mec est patron d’un bar de nuit. Lorsque je sers ses clients, il m’oblige à porter un petit tablier de soubrette en dentelle blanche. Dessous, je dois mettre une robe noire très courte. Des bas résilles sur mes jambes
En fait, j’ai plus l’air d’une pute que d’une serveuse fringuée comme ça. Bien entendu, c’est ce qu’il cherche. I1 sait que, les soirs où je suis là, il double son chiffre d’affaire. En effet, ses clients sont toujours à tourner après moi. Au début, comme j’étais la nana du patron, ils n’osaient pas aller trop loin. Juste quelques plaisanteries salaces. Parfois une main au cul. Mais ils ont vite remarqué que ses manières obscènes ne me laissaient pas indifférente et semblaient même m’exciter. Et comme mon mec laissait faire.
Un soir, ils ne se sont plus gênés Ils m’ont déchu de ma dignité de femme pour faire de moi une femelle, une chose sans volonté, juste bonne à assouvir le désir des mâles. Ça a commencé tout bêtement: lorsque je suis passée près du comptoir, l’un des clients m’a prise par le poignet et m’a collée contre lui. Sa jambe était passée entre les miennes et son genou se frottait avec insistance sur mon sexe. I1 m’a obligée a poser les doigts sur son sexe. Les autres consommateurs étaient venus m’entourer eux aussi et me palpaient les seins et les fesses sans se gêner.
Derrière le bar, mon mec regardait sans réagir.
C’est à cause de ça que les autres se sont déchaînés.
On me jeta en avant, sur le ventre. En chutant, je me fis très mal aux seins, mais ce n’était rien comparé à ce qui allait suivre. Une cordelette de cuir, sortie de je ne sais où, me ligota les poignets dans le dos. Puis on me hissa sur le zinc froid.
Quelqu’un releva ma jupe sur mes fesses. Je dus me laisser faire. A ma grande honte, je haletais d’excitation. Je tremblais de désir Un des clients s’en est aperçu. I1 m’a craché au visage pour me marquer son mépris. Sa salive me coulait sur les ailes du nez. J’ai répondu par un large sourire. De la pointe de la langue, j’ai bu cet humiliant hommage.
- Alors qu’est-ce qu’on lui fait à cette pute ? a demandé un autre client.
A quatre pattes sur le bar j’attendais avec angoisse le verdict. Je savais qu’il serait terrible. La trouille me tordait tellement les tripes qu’un pet m’a échappé.
- Aux chiottes, a hurlé quelqu’un, balance la aux chiottes cette merdeuse.
Les autres ont éclaté de rire. Des mains se sont posées sur moi et m’ont soulevée sans douceur. J’ai poussé un hurlement de terreur. Comme si le premier bondage n’avait pas été assez humiliant, on m’attacha, sur la cuvette des toilettes cette fois-ci. Je pleurais. J’avais honte de moi.
Je crois même que j’ai appelé ma mère. Dans mon dos les clients défilaient les uns après les autres. Leurs réactions étaient différentes, certains faisaient comme si je n’étais pas là et me pissaient dessus. J’avais la raie des fesses et le dos pleins d’urine. Je puais horriblement.
Cela n’a pas dégoûté celui qui m’avait craché à la face, le plus terrible. Je l’ai entendu roté dans mon dos. Puis il m’a pris par les cheveux et m’a enfoncé la tête dans la cuvette des W-C avant de tirer la chasse pour me noyer la tête.
Les autres se marraient. Celui-là je savais qu’il était le plus vicieux de tous. Je savais aussi qu’il avait un joli paquet entre les cuisses, je l’avais vu une fois se faire sucer par une pute qu’il avait amenée au bar. I1 a sorti son gros engin et les autres ont applaudi. J’ai entendu mon mec lui donner l’autorisation de me baiser.
Juste après j’ai senti son énorme gland se poser contre mon anus. Lorsqu’il s’est enfoncé, il a poussé si fort que je me suis à nouveau trouvée le visage plongé dans l’urine et comme je hurlais de douleur, j’en ai avalé. C’était immonde !
Ça me brûlait à l’intérieur.
J’ai même cru qu’il m’avait déchirée tellement il était brutal. I1 m’a limé le cul pendant un temps interminable. A chaque enfoncement, je me retrouvais le visage dans la pisse. Ho mon Dieu, comme ce fut atroce !
Mais le pire de tout, c’est que j’ai aimé ça. OUI ! j’ai aimé être traitée ainsi. J’ai connu l’orgasme sous cette ignoble sodomie qui me déchirait le cul.
A la fin, j’ai honte mais je l’avoue, c’est moi-même qui en demandait encore.


La plus terrible des punitions
Evelyne, 28 ans
Mon mari prend un violent plaisir à m’humilier. J’avoue y trouver moi aussi une certaine excitation. Pas sur le moment, non, car lorsque je subis les humiliations qu’il m’inflige, je souffre et j’ai honte.
Mais il vient toujours un moment où ma punition se transforme en récompense, ma souffrance se métamorphose en volupté. C’est incroyable ! Au début je ne voulais pas y croire. Puis un soir, mon dressage a débuté.
C’était à une soirée plus ou moins mondaine. Un des invités commença à parler des sévices qu’il infligeait à sa femme qu’il appelait sa chienne. Celle-ci, les yeux baissés, écoutait sans rien dire son maître parler d’elle. Il racontait qu’elle adorait être insultée, souillée, humiliée... « Hein petite pute que c’est vrai ? » dit-il en la prenant à témoin. La femme se mit à rougir et opina de la tête.
Choquée par cette scène, je faillis intervenir et prendre la défense de la «jolie chienne». Surtout que l’homme insistait: «Toutes les femmes sont des putes», affirmait?il. «Pas moi !» lançais-je, impertinente et fière. «Toi comme les autres, petite connasse».
A ce moment j’ai voulu me lever pour gifler l’homme, mais mon mari m’en a empêchée en me tordant cruellement le poignet. Cette douleur provoqua en moi une étonnante volupté, bouleversant mes sens.
C’est de cette minute que date ma plongée dans le masochisme. Car je suis devenue une chienne moi aussi. Petit à petit, mon mari et l’homme de cette soirée m’ont dressée à obéir. Ils m’ont fait souffrir en me torturant, m’ont humiliée en me tramant dans la boue…
L’autre jour, mon mari est allé encore plus loin dans l’ignominie. C’était devant notre immeuble, un clochard faisait la manche, affalé contre le mur. J’ai vu avec surprise mon mari s’approcher de lui. J’ai d’abord pensé qu’il allait lui faire l’aumône, ce qui n’est pourtant pas dans ses habitudes.
J’ai été encore plus surprise lorsque le clochard s’est levé pour emboîter le pas à mon mari et rentrer chez nous. Il était sale à vomir, couvert de vermine, la gueule avinée et défoncée par les coups. Une vraie loque. Et je ne vous parle pas de l’odeur qu’il dégageait.
La loque s’est approchée de moi, une étrange lueur dans le regard.
- Voilà ton nouvel amant ma chérie, celui que tu mérites Tu vas lui faire l’aumône d’une petite pipe a lancé mon mari.
J’en eu le souffle coupé. Une énorme envie de pleurer me vint aux yeux. J’allais h laisser éclater lorsque mon mari me jeta entre les bras de l’affreux bonhomme. Cette fois mon mari allait vraiment trop loin. Je ne voulais pas me livrer à ce jeu ignoble, même pour une fellation.
Lorsque j’ai tenté de repousser l’homme, il m’a attrapé par les poignets pour me jeter à ses pieds. De mon mari, j’ai reçu une paire de gifles qui a failli me faire perdre connaissance. A ce moment là j’ai su que je ne couperais pas à ma terrible punition de chienne. J’avais envie de vomir, je trouvais ignoble et répugnant de sucer la verge puante de ce clochard. Cette ordure l’avait sortie de la loque tâchée qui lui servait de pantalon. Elle était violacée, puante et couverte de croûtes répugnantes. J’ai éclaté en sanglots, prise d’une violente nausée.
Mais mon mari n’a eu aucune pitié. Il m’a écarté les lèvres de ses doigts puis poussé la tête en avant en me tirant par les cheveux. L’ignoble queue bandée s’est posée sur mon visage avant de s’engouffrer entre mes lèvres crispées. J’aurais pu mordre, je ne l’ai pas fait.
Je suis une ignoble chienne qui prend son plaisir dans l’humiliation et la souffrance. La preuve ? Une immonde chaleur me montait du bas-ventre et coulait de ma chatte.
J’étais excitée par la pipe dégueulasse que je tirais à ce clochard. Je le pompais avec amour car j’aime sucer les hommes. Je n’avais qu’une envie: qu’il éjacule et me remplisse la bouche de son foutre pour que je puisse le boire et m’en régaler.
Et je n’ai pas tardé à recevoir la récompense de ma terrible punition.

Saint Valentin

$
0
0
C'est beau l'amour.....
Surtout avec un corps comme celui de C. Very...
 ou celui de D. Kara

Bonne fête à tous les amoureux...!





B.D. S.M. Annabelle...

$
0
0
Pour un confort de lecture,
je vous conseille de télécharger les images..













B.D. S.M. Annabelle... Suite

$
0
0
Pour un confort de lecture,je vous conseille de télécharger les images..










B.D. S.M. Annabelle... Suite

$
0
0
Pour un confort de lecture,












je vous conseille de télécharger les images..

B.D. S.M. Annabelle... Fin

$
0
0
Pour un confort de lecture,
je vous conseille de télécharger les images..












 

Incarcération....

$
0
0
Présenté comme un film amateur 
tourné dans une vraie prison russe.
Possible....

Brèves du net. Un moment avec les garçons...

$
0
0
Deux confession de garçons.

Quelques fois nos yeux s'ouvrent
sur de nouveaux mondes.
C'est beau ce que j'écrit LOL.

Mais c'est pas que les yeux qui s'ouvrent...

Comme un frisson !
La nuit est tombée. Le quartier chaud de ma ville s’anime. C’est ainsi chaque soir.
Les lumières artificielles remplacent celle du soleil. Je marche tranquillement dans les rues. En quête de plaisir… Mes yeux se remplissent d’images agréables. Les mecs sont beaux, sexys, bandants. Au détour d’une ruelle, je croise un jeune beur. Il a une casquette sur la tête, un sweat-shirt, un pantalon de survêtement et une paire de baskets non lacées.
Nous nous croisons donc et j’hésite à me retourné. C’est plus fort que moi, je tourne la tête pour le mater. Le beur, au look super branché, ralentit légèrement son allure et s’arrête même. J’ai comme un frisson. J'ai l'impression qu'il s'est aperçu de mon intérêt pour lui. Il se retourne à son tour et je lui souris. Il a l'air surpris. Pas fâché. Etonné. Il n’est sûrement pas gay. Je me dis que rien ne se passera avec lui et que j’ai même de la chance qu’il ne me traite pas de pédale. Je reprend ma route et j’arrive devant la porte de mon immeuble. Je compose le code et je m’apprête à entrer. C’est alors que je reste pétrifié. Il est là ! Il me mate sur le trottoir d'en face. Putain, il m’a suivi ! Je le fixe. Il hoche la tête. Il semble vouloir dire "Tu m'intéresses !- Qu’est-ce que je dois faire ?
Je suis un peu paumé. Si je l’ignore, je me connais, je vais le regretter ferme. Si je l’aborde, je vais peut-être tomber dans un piège… Il en veut peut-être à mon pognon. Le laisser entrer chez moi, c’est drôlement risqué…
Je traverse la rue et me retrouve à ses cotés.
- Salut ! T’es du coin ou tu te ballades ?
Il marmonne quelques syllabes dont je ne comprends rien. Je comprend alors qu’il semble désorienté, perdu. Son trouble est évident. Il n’a jamais fait le genre de truc que je vais lui proposer de faire. Mais ça le tente ! Il veut savoir !
- Tu veux passer un moment avec moi ?
Il ne répond pas mais il ne s’enfuit pas non plus. Il n’est pas du genre violent et ça me rassure.
- Je ne peux pas te faire monter chez moi. Je ne vis pas seul ! (Pieux mensonge) Tu veux faire un tour ?
Il me suit sans dire un mot. Je l'observe du coin de l’oeil. Il me branche vraiment fort. Les traits du visage sont à la fois virils et adolescents. Il me suit.
Dans une ruelle noire et déserte, il se colle contre moi et m’embrasse. J’apprécie la douceur de ses lèvres et la chaleur de son corps musclés. Ce garçon doit faire du sport. Ma main se pose sur son épaule tandis que nos bouche se cherchent et se trouvent. Il bande. Moi aussi. Ma main retombe. Elle se pose ensuite sur la cuisse du beur remonte jusqu'à atteindre son entrejambe. Mes doigts agiles effleurent la bosse et la palpent doucement. Ses yeux encouragent mon geste effronté. C’est ce qu’il veut. La pression de ma main se fait plus forte et je sens maintenant un membre tendu et plein de désir. A travers le tissu, je capte une douce chaleur, une preuve de puissance…
- Tu aimes ?
- Oui.
Les mots sont rares mais les regards éloquents. Ils me disent : Oui, j’aime ça. Ta main me fait du bien. Vas-y sans crainte, je suis un petit vicieux… J’en veux plus ! Où ? Quand ? Comment ?
Je m'enhardit un peu plus. Ma main s’aventure sous l'élastique du survêtement. Je sens sa toison pubienne très douce et aussi la base de sa queue. L’engin doit être énorme si j’en juge par la base large et massive. Je glisse plus loin et saisit la hampe ferme. Je la masturbe doucement.
- Tu ne connais pas un endroit ?
Ma question reste sans réponse et j’ai juste droit à un sourire. Moi aussi, je suis un petit vicieux et j’en veux plus. Je saisis sa main et la pose sur la braguette de mes jeans. Je bande légèrement et je compte sur son aide pour me faire bander à fond. Il s'applique à passer et repasser sa main sur la bosse.
- Tu peux ouvrir, tu sais ?
Il sourit encore.
- Tu as déjà vu des grosses bites d'hommes ?
Il ne répond toujours pas. Je commence à croire qu’il ne comprend ni ne parle pas un mot de français. De plus, il n’est certainement pas habitué à ce genre d'expérience. Il réalise sûrement un fantasme…
Nos bites sont sorties. Nous nous masturbons mutuellement. Mon sexe gonfle bien. Il dépasse la taille du sien déjà imposant. Il semble satisfait d’être tombé sur moi et ma grosse bite.
- J’aimerais que tu me suces ! me dit-il d’une voix blanche.
Merde ! Il parle ! Et il dit des choses très… excitantes. Je m’ exécute avec conviction, volupté et douceur.
- Bordel ! C’est comme je l’avais imaginé. Y’a qu’un mec pour sucer aussi bien…
Il parle et ne s’arrête plus. Il commente mon pompage, me caresse les cheveux et gémit doucement. Je pourrais gicler rien qu’à l’écouter. Il me tire vers le haut, me regarde droit dans les yeux. Je le trouve superbe. Mes lèvres frôlent les siennes. Les beurs détestent embrasser d’habitude et je risque de me prendre une baffe. Non, il se laisse faire. Je prends son visage entre mes mains et je lui baise le nez, les yeux. Je passe mes lèvres sur ses joues, je frôle à nouveau ses lèvres. Je sens sa bouche s'entrouvrir pour accueillir ma langue fouineuse et inquisitrice. Mes lèvres brûlantes pressent les siennes et ma langue pénètre bouche sensuelle en profondeur. La caverne est douce, chaude, humide. Sa langue finit par répondre à la mienne. Elles joutent. Mon bon beur me mordille les lèvres.
- Es-tu réel ? me demande-t-il.
- Et toi ?
Nous sourions. Je me baisse une nouvelle fois pour prendre dans ma bouche son beau sexe raide et droit. Je me délecte de son gland bien rond. Il gémit un peu plus fort. Chaque plaintes répond à un de mes coups de langue. Il est appuyé contre une porte cochère et se met à se dandiner comme quelqu’un qui a envie de pisser. Il apprécie. C’est clair. Ses deux mains pressent sur mon crâne, m’encourageant à bien l’avaler. Je serre ses jambes, je m’y accroche. Mes travaux d’approche doivent se poursuivre mais, dans cet endroit, nous ne pourrons pas aller très loin. Mes mains s'aventurent entre ses cuisses. Ses fesses sont musclées et bien dures. Le genre de cul qui me fait fantasmer.
- Continue ! me dit-il.
Un doigt que j'ai bien humidifié avec ma langue atteint la raie duveteuse et s’y aventure. Il touche maintenant son petit trou qui semble bien serré. Je ne vais pas plus loin. J’ai peur de sa réaction. Il m’a pourtant intimé de continuer. Mon nez se perd dans sa toison et respire l’odeur de son bas-ventre. Il a pris une douche il y a moins d’une heure. J’en capte le parfum de thé vert. Je crois rêver.
Sa queue se gonfle de plus en plus. Il aime. Il adore. Je la prends à nouveau en bouche et je m'active. Il accélère le mouvement en saisissant ma tête et en l’agitant. Je me laisse porter par sa cadence. Il mène la danse. Si j’avais pu savoir… Je n’aurais pas menti à propos de « chez moi » et nous serions nus, tous les deux, dans mon grand lit. J’ai du mal à me reconnaître. Moi d’habitude très directif, actif et autoritaire, je suis là, à ses pieds, et j’assume mon état. J’accepte d'être tout à lui.
- Tu suces divinement bien !
Mes yeux cherchent les siens. Il se cabre, se tend et un jet de sperme pénètre dans ma bouche. Je garde son mandrin sur ma langue puis je crache le jus épais. Là, je sens qu’il va se rebraguetter et me laisser comme un con qui n’a pas joui. Et bien, j’ai tout faux !
- A moi maintenant de bien te sucer ! C’est ma première fois… alors ne sois pas trop dur…
- Pour une première fois, tu vas te régaler, fais-moi ce que je t'ai fait et tout sera parfait !
Il est déjà à genoux, prend ma bite dans sa main et commence à la caresser. Il me sourit. Je répond à son sourire. Je pose ma main sur sa nuque. Je retrouve mon rôle de dominant mais je sais que je ne dois pas en abuser. Inutile de l’effrayer. Je me rends compte de ma chance. Je vais guider un jeune mec pour la première fois vers mon sexe tendu et assister aux premiers attouchements entre ses lèvres et un gland.
- Dirige-moi ! Susurre-t-il.
- Lèche doucement. Sers-toi de ta langue, du bout de ta langue…
C’est un excellent élève. Il obéit et enfonce la totalité de mon engin dans sa bouche veloutée. Je bande à fond et commence à limer sa cavité accueillante.
- Fais-moi ta gorge profonde !
C’est sorti de ma bouche sans que je m’en rende compte. Il s’active avec la même conviction que moi tout à l’heure.
Quel bon beur !
Il suce bien le gamin et je l’encourage.
- Tu fais ça bien, tu es vraiment doué !
- Merchi ! répond-t-il sans lâcher mon sexe raide.
- Tu aimes ?
- Ch’adore !
Sa réponse provoque chez moi une excitation sans limite qui accélère le processus. Mon jus arrive.
- Tu veux goûter à mon sperme ?
- …
Il ne sait pas trop si il doit. Toutes ces rumeurs à propos du Sida. Il est prudent. Ce n’est que mieux ainsi.
- Tu sais, je peux juste lâcher mon foutre sur tes joues et ton menton. T’inquiète, j’ai des kleenex !
Il agite la tête en signe d’acceptation. Le voilà rassuré.
Il éjecte doucement ma queue de sa bouche pour recevoir mon jus chaud sur le bas du visage. C’est très excitant. Il me regarde avec des yeux de chien apeuré, entre satisfaction et angoisse.
- Tu es un brave gars et tu m'as donné bien du plaisir !
Deux minutes et nous sommes nettoyés, rhabillés et prêts à quitter la ruelle.
- Je ne veux pas te brusquer mais…
- Oui, je veux bien te revoir… mais plus ici !
Ça c’est une autre histoire !

Confessions d'un aîné.
Vacances avec papa, maman et le frangin.
C'est pas le grand kiff mais faudra faire avec : j'ai pas de job d'été et j'ai pas de thunes pour partir avec mes potes. C'est clair que ça me sert à rien d'avoir eu le permis en juin.
Ce camping, on l'a déjà fait y a 3 ans et c'est pas un mauvais souvenir pourtant. Peut être que je vais quand même me faire quelques rencontres en 3 semaines ? Le frangin lui est content ! Il n'a que 15 ans et son meilleur copain passe ses vacances là aussi, donc c'est cool pour lui.
Premier jour, première douche et ça promet… c'est déjà la queue.
L'été commence bien, il fait très beau et même très chaud ! et y a donc du monde en ce tout début juillet. J'attends dans le couloir des douches qu'une porte s'ouvre.
Mais avant moi y a quelques mecs quand même. La grande cabine s'ouvre et c'est mon petit frère qui sort, sauf qu'il est pas tout seul… y a son pote aussi. Mon frère fait la gueule en me voyant et c'est son copain qui explique que c'est pour faire plus vite parce qu'il y a trop de monde.
Y a quelques sourires dans le couloir… mais, près de moi, un gros balourd en marcel, les regarde et lâche avec mépris « tiens les petites fiottes de l'été, y en a toujours ». Je réagis aussitôt « Ça vous gêne qu'ils prennent une douche en même temps ? Ils font du foot ensemble toute l'année, alors se voir à poils ils ont l'habitude ». « Oué tu parles, t'es bien comme eux toi, rien qu'une petite pédale bonne à se faire foutre ».
Là ça me cloue le bec, le temps que je trouve quelque chose à dire, il est parti au bout, dans la cabine qui vient de s'ouvrir. Comment un mec de 30 ans -belle gueule, bien foutu pourtant- peut-il être aussi beauf, aussi désespérément con ?
Ceci dit, il a pas tout à fait tort pour mon frère… ça fait longtemps que je pense que lui et son pote Maxime, sont « très proches », du genre à découvrir des choses ensemble...
La journée j'ai repensé à cette histoire en craignant que ce grand con n'emmerde à nouveau mon frère, puis j'ai oublié. Le lendemain soir j'ai traîné avec lui et Maxime dans une partie de Trivial devant la tente et nos vieux dormaient déjà. Il était une heure passée et Maxime est allé se coucher.
Julien lui est parti au WC. A ce moment j'ai vu le grand beauf passer dans l'allée, dans la même direction. J'ai eu un petit frisson d'inquiétude, une vague intuition. J'ai trouvé que ça serait bien que je protège le petit frère au cas où… j'ai décidé d'aller surveiller un peu, l'air de rien.
J'attends un tout petit peu et je pars aussi vers les chiottes. Je rentre discrètement pour m'assurer que tout va bien et…y a personne. Pas le grand con, ça c'est bien, mais pas Julien non plus. Bon, on a dû se croiser.
Je retourne à notre emplacement et là je vois que sa tente n'est pas fermée. Je me pose sérieusement des questions. Je me dis que j'aurais dû aller voir du côté des douches même si je sais qu'elles sont verrouillées après 23 heures. En fait les douches ça me fait tripper… alors on sait jamais, ça serait kiffant de le surprendre avec son pote par exemple.
La porte des douches est bien fermée. Merde, c'est pas ça alors. Quoique… je fantasme tellement la dessus que me vient l'idée de faire le tour du bloc, du côté de la haie de sapins pour vérifier que la fenêtre pourrie qui sert à l'aération est vraiment fermée. J'ai vu le matin-j'ai encore eu trop le temps de regarder !- que la crémone était bloquée par la rouille et que la fenêtre fermait pas trop. Bingooo : je pousse un peu et ça s'ouvre.
Y a une vague luminosité là dedans qui vient de l'éclairage du camping qui tombe par les Velux. Décidément, ce genre d'ambiance me chauffe carrément. Je décide de me glisser dedans discrètement avec l'espoir absurde de surprendre quelque chose et de me branler un bon coup.
Rebingo… il y a comme un bruit dans la grande cabine handicapé qui est bien la seule à être correcte. Je rentre dans celle d'à côté pour me planquer et je tire la porte doucement sans fermer le verrou pour ne pas faire de bruit. Comme maintenant il y a des râles d'homme bien sonores à côté je me dis que je n'ai pas été repéré. En tous les cas, c'est sûr, c'est pas le frangin, c'est trop viril. Mais maintenant vaut mieux que j'attende la fin pour pas me faire griller.
Vous savez, vous, pourquoi y a des portes aux douches des campings ? Y a toujours tellement de trous dans les murs que c'est presque hypocrite je trouve. J'en suis à chercher par lequel je vais mater quand j'entends : « t'es une bonne petite fiotte toi, je suis sûr que je suis pas le premier que tu astiques comme ça, hein petite lope… » Putain, c'est la voix de ma grosse baraque…
Un peu tremblant je me jette sur un des trous et là je m'étrangle. Je vois au fond de la cabine mon frangin le cul à l'air qui se branle la queue à toute vitesse, mais je vois surtout sa bouche déchirée par le braquemart vraiment épais de la brute qui lui laboure la gueule à grands coups puissants.
L'autre râle sans retenue et il y va vraiment fort. Je vois mon frère au bord de gerber et pourtant il tend toujours plus le cou vers cette queue. Il est comme hypnotisé par cette bite, complètement obéissant à cette brute ! « Eh oh, fait gaffe aux dents ! Ça fait deux fois ! » et le connard se retire juste pour lui mettre deux baffes qui claquent dans le silence.
Y a mon frangin qui alors se jette sur la queue qui lui défonce la bouche. Ça excite le mec qui bascule la nuque en arrière et je vois qu'il va venir, il s'enfonce à fond en tenant Julien par les cheveux « ouééé, je vais te remplir de mon jus de mec… tu vas tout bouffer » et c'est clair qu'il se vide dans la gorge de mon frangin qui creuse les joues pour mieux aspirer tout le foutre.
Je suis pétrifié. Je sais que je ne vais rien faire, parce que y a rien à faire. Mon frère est juste en train de prend grave son pied à vider le jus d'un mâle qui a le double de son âge ! J'ai plus qu'à attendre qu'ils partent tous les deux…
Le grand con satisfait, fait se relever mon frère qui se branle toujours, les yeux hagards, la bouche encore ouverte avec du sperme qui lui coule des lèvres. Le mec lui écarte la main pour secouer lui même sa queue que je découvre pas mal développée. On voit pas grandir ses frangins....
Le mec le branle fermement et mon Julien est tout haletant du plaisir qui monte de ses couilles. Très vite il se convulse et gémit sans retenue. Il lâche son sperme dans la main de l'autre. « C'est bien tu as autant de jus qu'hier, tu t'es pas branlé, tu as obéis… Tourne toi là… Penche toi maintenant ! »
Mon frère s'exécute aussitôt et de lui même il dégage ses pieds du slip pour mieux écarter les fesses. La brute avance sa main pleine de foutre vers son cul et introduit d'abord un doigt, puis vite un deuxième. Il tourne ses doigts pour violer le sphincter. Mon frère ne débande même pas. « Ouéé ça va être bon, tu vas finir par être prêt, c'est que j'ai pas une bite de gamin moi... Mais vide toi bien le cul avant, j'ai ta merde sur les doigts là. On verra ça une autre fois, ma femme a droit aussi à ses gâteries ce soir…Mais tu sais tu peux être fier, j'ai pas encore mis de doigt à ton connard de frère, tu vois c'est toi qui a les honneurs » s'esclaffe-t-il.
Il retire sa main et la fait claquer sur la fesse pâle de mon frangin. Et stupéfait, je vois Julien qui cambre un peu les reins pour tendre plus le cul ! La brute regarde ses doigts sale de sperme et de merde et les tends devant la bouche de Julien : « nettoie moi ça… et puis tu te rhabilles… C'est bien, t'es une bonne petite pute à jus, t'es comme ton frère je parie, ça se voit… »
« Attend moi près de l'accueil » et le mec a fait sortir Julien le premier par la porte avant de partir lui même en refermant à clé… Bien organisé le mec, il a les clés pour ses coups de bites de la nuit…
J'étais scotché sur place de tout ce que je venais de voir sans réagir. Enfin c'est vite dit ça. En fait depuis le début ma queue était tendue à exploser dans mon calbar. Alors là j'en pouvais plus, j'ai fermé les yeux et je me suis fini en revoyant mon frangin en train de prendre son pied et là je crois que j'ai imaginé des trucs pas très clairs.
OooOOooo
Le lendemain je regardais mon frère avec d'autres yeux. Quelque chose avait changé. Julien n'était plus seulement le petit frère timide, c'était aussi un jeune mec, avec des envies de sexe, des désirs d'hommes. Même s'il n'était pas aussi baraqué que son pote, c'était même un beau garçon.
Dire qu'il y a pas longtemps un soir qu'il était rentré tard et alors que ma mère s'inquiétait, j'avais dit : « il a peut être une petite amie… » et ma mère s'était récrié « mais non, pas Julien, pas encore ». Si elle savait…
Voilà que je regardais donc Julien attentivement. Je regardais son corps, ses cuisses qui s'étaient bien développées avec le foot, ses fins poils blonds, sa carrure qui commençait à se dessiner aussi.
Aussitôt les images de la nuit flashaient dans ma tête… et dans mon maillot de bain ! Fallait que je me planque, j'ai fini par mettre un slip de bain très serré et par dessus un bermuda bien large. J'aurais dû faire du sport moi aussi en fait, rien que pour les vestiaires ! Qu'est-ce que Julien, Maxime, tous les autres pouvaient bien foutre sous la douche ?
Mes parents ont noté que j'étais plus aimable avec mon petit frère. Si bien qu'alors qu'ils n'étaient pas chauds pour que lui et son pote partent camper une nuit dans la nature, ils ont eu l'idée que je pourrais les accompagner. Je n'ai pas refusé et mon frère, même si il a fait la grimace, a finalement trouvé que c'était mieux que rien.
On est parti à vélo en fin d'aprèm et je leur ai proposé d'aller voir un endroit que je j'avais découvert. Je savais que ça serait calme, et hormis les moustiques, on pourrait certainement s'installer sans être gênés ou se faire virer.
En fait c'est juste dans la pinède en avant de marais hostiles et à l'arrière d'une dune qui borde une jolie plage. C'est pas super accessible alors du coup c'est pas très fréquenté et bien sûr c'est naturiste. Et naturiste ça veut dire aussi un peu gay sur les bords.
Quand ils ont vu l'endroit, ils ont rigolé, mais en même temps j'ai bien vu qu'ils kiffaient trop. Du coup je n'étais plus l'intrus, mais le pote avec qui ont partage un bon trip. On n'a pas tardé à aller se baigner, à retirer les maillots dans la flotte, à les remettre pour sortir, à aller faire un tour pour mater les derniers baigneurs -c'était plutôt des mecs, mais ça les gênaient pas !- en pouffant comme des gosses, à retourner dans la flotte, a retirer encore les maillots et à sortir enfin, avec les calbars à la main…
Quand on s'est retrouvé seuls sur la plage, on est resté à poils. On s'est assis à même le sable tiède qui collait à nos fesses, à nos couilles, avec un sentiment primitif de nature. On a mangé nos sandwichs comme ça et on a bu le coca goulûment. Je les voyais vivre ces moments comme une aventure, une conquête, avec cette sorte d'énervement, le cœur battant plus lourdement.
On a continué de déconner, de jouer au ballon, de faire des sprints, toujours à oilpé. Puis on a monté la tente igloo pour nous trois. Ils ont décidé de faire un petit feu quand la nuit arrivait. On s'est frotté mutuellement avec du répulsif à moustiques et j'ai senti mon frère un peu gêné de me toucher pour m'en appliquer dans le dos. J'ai pris dans mon sac la bouteille de Malibu que j'avais achetée tout exprès le matin et Julien, que je n'avais jamais vu fumer, a sorti des clopes avec l'approbation bruyante de Maxime.
Ils sont un peu faits maintenant. L'ambiance flotte doucement. Je suis allongé sur le dos, les mains sous la tête et je regarde la lune, les étoiles de cette nuit très claire. Je vois aussi du coin de l'œil la façon dont ils se sont rapprochés. Leurs jambes se touchent, et leurs épaules trouvent très souvent à se frôler dans l'agitation de leur discussion rigolarde.
Parfois c'est le bras de l'un qui enveloppe, dans un geste malgré tout retenu, les épaules de l'autre. Ma présence doit empêcher qu'il se passe plus. J'annonce que je vais me coucher.
Il ne faut pas longtemps pour que je m'aperçoive qu'ils s'éloignent sans faire de bruit. Je sors vite pour suivre leurs formes grises sans les perdre. Ils s'installent bien plus loin, dans un creux de la dune ouvert sur la plage et étendent leurs serviettes.
En faisant bien gaffe, je descends sur la plage pour les mater, à plat ventre sur le sable. Je devine dans la nuit leurs corps enchevêtrés, collés l'un à l'autre. Bientôt l'un des deux se retrouve au dessus de l'autre, la tête bascule en avant puis balance en rythme au milieu du corps qu'il chevauche. Ça dure un peu puis les silhouettes se mêlent dans la nuit avant de rétablir une figure semblable à la précédente. Je suppose qu'ils ont échangé les rôles. Enfin, je peux plus voir nettement l'un des deux à genoux, le torse redressé, soulevant les cuisses de l'autre de chaque côté de son buste.
Alors je décide de me rapprocher. C'est Maxime qui commence à se taper mon frère. À le regarder faire on voit bien que ce n'est pas la première fois. Cette fois je vais vers eux. C'est Maxime qui me voit le premier. Il a un moment de stupeur mais quand il voit ma queue au garde à vous, il comprend tout de suite qu'il n'y a pas de problème.
Il rigole :
- Eh bah c'est une vraie famille de PD chez vous… et tu mates seulement ou tu participes ?
Le frangin est un peu gêné mais ne débande pas. Je réponds
- Je me ferais bien un petit cul
- Celui de ton frère ou le mien ?
- Je commence par le tien
Maxime hilare me montre le tube de gel sur la serviette et il demande à Julien de se retourner sur le ventre pour que ce soit plus simple. Aussitôt il reprend la position dans le cul de mon frère en me demandant :
- Bourre moi bien, comme ça il aura aussi tes coups de queues dans le cul
Il a l'esprit vif Maxime et cette idée de deux frères baisant presque ensemble a l'air de l'exciter à fond. Je demande où sont les capotes.
- On a du gel seulement… ça te gêne ? répond Maxime.
- Moi, je baise toujours avec une capote
Me voyant résister Maxime ajoute :
- Eh ! c'est trop bon de bien sentir l'autre, d'avoir son sperme dans le cul et puis on est entre jeunes… et on n'en a pas !
Il prend le tube de gel, il en vide pas mal sur sa rondelle, un peu au pif, en cambrant bien le cul, en plongeant dans mes yeux un regard lubrique qui me défie. Et puis il recommence ses mouvements dans le cul de Julien et j'entends la respiration haletante, déréglée, de mon frère.
Ça m'excite bien ça. J'approche ma main du cul de Maxime et sans savoir décider de rien, je commence à guetter le moment où il se soulève en ouvrant ostensiblement les fesses, pour glisser mes doigts entre ses globes et pousser le gel vers sa rondelle.
Quand mes doigts sont rentrés, je sens la chaleur, la douceur de sa chatte. Mes doigts s'enfoncent de plus en plus. Ça le chauffe sérieusement, ses coups de queue se font plus profonds et chaque fois, mon frère gémit un peu plus. À chaque bascule de Maxime je vois la contraction nerveuse de ses fesses, je sens la pression sur ma mains.
Puis quand il décule presque, je ressens sur le bout de mes doigts la palpitation bouillante de son sphincter et de ses chairs intimes. Il exhibe en vraie salope son cul affamé. Ses fesses blanches, presque imberbes, capturent la lumière phosphorescente de la nuit. Mon regard s'hypnotise sur l'ondulation de ses reins, sur leur cambrure rythmée et profonde.
Je me mets à genoux derrière Maxime, mes jambes s'ajustent autour des siennes et entre celles repoussée à l'extérieur, de Julien. Je place ma bite enflammée devant ce cul, je la dirige d'une main vers la rosette brillante de gel et alors que Maxime s'était arrêté pour me faciliter les choses, je me jette dans la bataille comme un soldat halluciné et perdu, je le pénètre brutalement en m'écroulant sur son dos.
Il a un râle douloureux qui me fait lui laisser du temps pour qu'il reprenne son souffle. Dès que je sens son sphincter se détendre, je commence à accomplir cet assaut. D'abord lentement, en faisant bien peser mon corps sur le sien à chaque enfoncement, puis de plus en plus brutalement.
Je sens contre mes genoux, les cuisses écartelées de mon frère, je devine son anus distendu, rempli de la queue gonflée de son pote, j'imagine ses entrailles violentées par les coups que je propulse au travers du cul que je maltraite. Je règle mon mouvement tantôt sur la respiration affolée de mon frère, tantôt sur les râles de jouissance de Maxime.
J'ai un sentiment jouissif de danger à baiser pour la première fois sans capote et ça fait des courts circuits dans ma tête. Je sens ramper ce danger de ce cul vers ma queue, repartir de ma queue au plus profond de ce cul déchiré, ça le traverse, ça déborde par la queue de Maxime dans le ventre possédé du frangin, ça grossit, ça remonte de là pour revenir vers mon sexe, ça se propage partout dans mon corps, ça fait dans mon ventre une boule brûlante et lumineuse qui explose comme une étoile dans un coup de queue profond, ça libère ma sève qui se répand loin, ça remplit l'intestin de Maxime que je continue de tasser.
Maxime se rend, dans une convulsion violente que je ressens par tout mon corps collé au sien, il se déverse, s'épuise au plus profond de mon frère. À son tour mon frangin, dont la queue est comprimée sur le sable par nos poids et doit frotter douloureusement sur la serviette, est emporté par l'orgasme. Il se vide dans une longue plainte.
On reste un moment comme ça dans cet empilement soudé par la sueur, les corps pressés. Puis je roule d'un côté, Maxime de l'autre. Julien, sonné, reste encore sur le ventre au milieu de nous. Son copain se glisse les doigts dans le cul dilaté, il récupère mon sperme et le porte dans le cul de Julien en rigolant :
- Tiens voilà le jus de ton frangin
Il demande à mon frère de se soulever un peu vers moi. Je comprends qu'il veut que je saisisse la queue gluante de Julien pour l'essorer de son dernier jus. Je le prélève avec douceur et je lèche sur mes doigts la semence de mon frère.
Un curieux bonheur nous envahit, grandit encore et culmine en une sorte de fou rire. On se précipite tous les trois vers la mer pour un bain joyeux et agité. On se couche enfin sous la tente sans rien ranger, laissant même nos vêtements à l'extérieur, tous les trois épuisés, enchevêtrés, nus.
C'est le garde forestier qui brutalement nous réveille à l'aube en ouvrant la tente en en nous gueulant de nous lever vite fait. On ne peut faire autrement que de sortir piteusement à poils, juste couverts d'un peu de ridicule !
Ça dessine un sourire amusé, intrigué et peut être complice sur le visage de cet homme. Son ton s'est radouci et il nous ordonne seulement de quitter immédiatement les lieux, en effaçant les traces du feu et en nous faisant une leçon de prudence et de respect de la nature. On s'en tire bien !.....


Profondeurs de mecs

Trio amateurs réels... je crois!

$
0
0

Ce qui a de bien avec mon mari,
c'est qu'il aime tout ce que j'aime 
avec mon amant...
C'est pour cela qu'on s'entend si bien.
C'est vrai qu'il lui manque un trou...
Mais il compense bien..!







Viewing all 2644 articles
Browse latest View live