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Histoire du net. Auteur Manuel1. La descente vers le plaisir...

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Voilà un jeunot qui tombe amoureux....
C'est beau non?.. Mais des fois la vie....
Bref lisez et vous banderez...
Pour ceux qui rêvent de prendre en main
et pas qu'en main un pt'i jeune...
Mais pas trop jeune quand même hein..


En cage
Auteur : Manuel 1
Bonjour, je m'appelle Julien et j'ai 16 ans. Du plus loin que je me souvienne j'ai toujours eu que des amis de mon âge et rarement j'ai croisé des filles qui me plaisaient. Par contre je craquais souvent quand je croisais de beaux mecs, curieusement pas trop mâles mais au visage assez mignon. Il y a 6 Mois j'ai croisé comme ça Benjamin, beau garçon de 17 ans et ses yeux m'ont fait frissonner du premier coup, comme deux flèches sur moi qui me dévisageaient. J'ai rougi, je me sentais jaugé comme une fille je pense doit se sentir jaugée par un garçon, en pire je crois. C'était à la sortie du collège et je suis resté planté comme un idiot, scotché par son regard. Il s'est rapproché et avec un petit sourire m'a demandé si j'allais bien. J'ai du bafouiller sans même me rappeler ce que j'ai répondu. Il est parti , je l'ai suivi du regard jusqu'à on scooter qu'il a enfourché et il a disparu.
Je n'ai pas arrêté depuis d'avoir son regard sur moi dans mes pensées. Et c'est seulement 15 jours après que je l'ai croisé dans la rue. Je sortais de je ne sais plus quel magasin, quand il s'est trouvé face à moi.
— Salut! Ça va?
— Euh, oui et toi?
Cette fois je voulais pas le lâcher sans en savoir plus.
— J'ai pensé à toi mais je crois que tu ne vas pas aimer quand je l'ai fait!
J'ai souri.
— Pourquoi tu dis ça! Moi aussi j'ai pensé à toi très souvent. C'était à quel moment?
Il m'a fusillé de ses yeux.
— Au lit. Je t'imaginais et à chaque fois j'ai jouis comme un fou!
J'étais sous le charme de ses yeux, je rougissais mais j'ai répondu:
— Comme moi je t'imagines dans mes rêves!
En parlant je me cambrais et, mais c'est lui qui me l'a dit après, je tendais mon corps vers lui. Tout mon corps d'après lui. Je n'en ai pas le souvenir.
— Tu as le temps de boire un verre?
— Je vais le prendre ce temps là. Au fait moi c'est Julien.
Il m'a tendu la main, et il a gardé la mienne dans la sienne juste un peu trop.
— Moi c'est benjamin.
— On va où boire ce verre?
— Mon scoot est là et j'ai deux casques, on peut aller chez moi.
— Ok.
Il m'a tendu le casque un peu trop grand mais ok quand même, s'est assis sur la selle.
— Grimpe derrière!
J'ai enjambé le scoot et me suis collé à lui quand il a démarré, me suis cramponné à ses hanches, la tête collée contre lui. Je sentais son odeur de mec. On a pas roulé longtemps et il s'est garé devant une maison particulière.
— Descends, on est arrivé.
Il m'a fixé les cuisses.
— Ça t'a pas déplu on dirait!
— Oh, excuse!
— Non j'ai bien aimé te sentir comme ça!
On est rentré chez lui, il m'a expliqué que ses parents bossaient tous les deux et rentraient tard. Il m'a demandé ce que je voulais. Je l'ai fixé.
— Toi, si tu veux!
Il a rigolé.
— Moi c'est toi que je veux! Et tout à moi.
— Pourquoi pas! Si tu me laisse le temps.
Il s'est assis contre moi sur le canapé, a mis la main sur mon genoux et s'est penché sur moi, j'ai fermé les yeux et entrouvert les lèvres ; il a fouillé ma bouche de la langue, remontant la main entre mes cuisses. Il a malaxé à travers mon pantalon, s'est reculé un peu pour défaire les boutons de ma chemisette et ma ceinture. Il a ouvert la braguette et a palpé ma queue dans le slip. Il l'a sortie et l'a embrassée, s'est relevé en souriant.
— Mets-toi à l'aise et tu me mets comme toi.
j'ai viré mes skets, mon pantalon et ma chemisette avant de soulever son tee shirt qu'il a retiré. J'ai défait sa ceinture, écarté son jean et l'ai laissé glisser à ses pieds. Il portait un boxer bleu tendu comme j'en avais jamais vu! J'ai léché son ventre, il avait une ligne de petits poils du nombril jusqu'au boxer, qui quand je l'ai écarté pour dégager son sexe, disparaissait dans ses poils. Son sexe vu de si prés m'a paru énorme! Je l'ai léché doucement jusqu'aux couilles comme j'avais vu sur le net. Il s'est laissé aller sur moi, se frottant sexe contre sexe. Il m'embrassait, ses mains me caressaient partout et j'ai poussé un petit cri quand il a touché mon anus.
— Excuse. T'es puceau?
— Oui mais bon laisse-moi le temps.
— Montre-moi.
Il a soulevé mes cuisses et a avancé le visage entre mes fesses.
— Attend, j'ai pas pris de douche!
— Ok mais tu m'affoles. T'as vraiment un joli petit cul!
— Bah si tu veux je reviendrais, je sais où t'habites et cette fois tu pourras, enfin j'espère avec la queue que t'as! Je m'attendais pas à ça!
— Tu pourrais quand même me sucer, j'ai envie de toi!
J'ai changé de position et me suis attaqué à son sexe, une main sur les couilles que je caressais j'ai sucé sa queue, serré les lèvres pour dégager le gland et j'ai salivé un maximum. Il me tenait la tête mais je pouvais pas tout avaler. Il m'a repoussé assez vite pour me gicler au visage à ma surprise.
— J'ai pas pu me retenir! Attend je vais te faire la même chose.
Il m'a sucé, pressait ma queue pour retenir le jus, caressait mes couilles jusqu'à ma rondelle. j'ai couiné et j'ai jouis, on s'est léché le visage, se goûtant nos jus en souriant.
— Je vais te ramener mais je garde ton slip en souvenir.
— Laisse-moi ton boxer, je veux le sentir cette nuit.
— Ok.
— Tu devrais essayer de porter des slips tanga, ça fait des fesses superbes. J'en ai vu pour mecs et ça sépare les fesses d'un centimètre quand tu les portes assez haut sur les hanches. Si tu veux on passe là où j'en ai vu et je t'en achète.
— Si ça te plait je suis ok! Je t'ai dit, tout pour te plaire.
Il m'a fixé du regard.
— Attends-toi à être surpris si t'es partant avec moi.
— Pas de problème. J'aime être surpris.
Il s'est installé sur le scoot.
— Aller grimpe bonhomme et accroche toi.
Cette fois je l'ai tenu bien plus bas, mes mains dans ses poches. Il s'est arrêté dans le centre devant une boutique de mode homme.
— Viens avec moi.
Je l'ai suivi au rayon sous-vêtements. Y avait effectivement des slips que je ne connaissais pas appelé "Tanga" et vu le dessin sur l'emballage le bout de tissus était hors de prix.
— T'es fou! C'est très cher!
— Non, on en parlera plus tard, je te dirais ce que font mes parents. Prends en trois je te les offre. Prends une taille en dessous de tes slips, tu verras et je te verrais avec la prochaine fois.
J'ai choisi deux rouges et un bleu.
— Bon, cette fois je te ramène chez toi. Donne-moi ton numéro de portable, on se reverra très vite pour bien plus!
Il m'a ramené au pied de mon immeuble, m'a roulé une pelle dans l'entrée en caressant mes fesses.
— La prochaine fois t'y passes mec!
— J'y compte bien!
Et il a disparu dehors, me laissant avec mon sac d'achat.
J'ai pas résisté, le soir même je me suis branlé avec son slip sur le nez. Mieux que toutes les drogues! J'ai giclé loin sur mon ventre. Le lendemain après une douche et un petit déjeuner je suis descendu pour aller au collège. Il était devant l'immeuble, assis sur son scoot.
— Salut Julien je t'emmène?
— Oui, où tu veux! Mais faut que j'aille encore au collège.
Il me fixait sourire aux lèvres. Il a baissé les yeux.
— T'en as mis un?
J'ai rigolé, tourné sur moi-même.
— Tu vois pas le changement?
— Oh si! Et en mieux si c'est possible! On a juste le temps en scoot de passer chez moi que je te vois avec, et je te dépose au collège.
Je suis monté en croupe derrière lui et les mains dans ses poches j'ai pu me tenir à une vraie barre. Arrivé chez lui il m'a fait entrer dans le garage.
— Montre-moi tes fesses!
J'ai pas hésité, j'ai baissé mon pantalon sur les chevilles et de suite j'ai senti un doigt passer entre mes fesses sur le tissus.
— Waouh ça te va super bien. T'as des hanches fines et de très belles fesses de mec. On se voit après?
— Je finis à 16 heures donc oui évidemment, si toi tu peux.
— Je passerais te chercher. Si je suis en retard attend moi devant le collège mais je passe. Sûr!
Il m'a ramené au bahut et il est reparti de son côté. On peut pas dire que j'ai suivi parfaitement les cours jusqu'à la fin. J'avais hâte que ça finisse. Quand je suis sorti je l'attendais tellement que j'ai été déçu de pas le voir. J'ai attendu sur le trottoir. Pas longtemps mais quand on attend c'est toujours long. J'ai entendu son scoot avant de le voir et sans attendre je suis monté derrière lui. Il a démarré et a passé la main entre nous sur mon paquet.
— Au moins ça fait plaisir de savoir que t'as envie.
Il me triturait en roulant. J'ai pas eu la sensation d'avoir roulé quand on est arrivé.
— Cette fois, fous toi juste en tanga que je te voie bien!
Je me suis déshabillé en le fixant, il se caressait en souriant. Il m'a fait tourner pour voir encore mes fesses.
— Cette fois, prends une douche tu vas y passer!
— J'attends que ça!
J'ai marché jusqu'à la salle de bain en me déhanchant et j'ai fait glisser le tanga à mes pieds pour me laver. Il avait suivi et s'est mis à poil aussi. Son sexe dressé toujours imposant au dessus d'un belle paire. C'est lui qui m'a savonné sous la douche, du cou aux fesses en insistant quand il me sentait frémir. J'ai lavé sa queue et on s'est séché avant de se retrouver sur son lit l'un contre l'autre. Après m'avoir caressé, embrassé, il a écarté mes cuisses en me regardant et il a enfoui son visage entre mes fesses, m'a léché l'anus. Il me soulevait pour que j'écarte bien et j'aimais montrer mon trou de mec comme ça, je gémissais sous ses coups de langue.
— T'es prêt?
Je voulais le sucer mais il a rigolé.
— Non sinon je vais encore te jouir dessus! J'ai trop envie de ton pucelage.
J'ai hoché la tête.
— Vas-y.
Il a posé son gland contre mon trou et il a poussé doucement, il me tenait les mains. Je les ai serrées fort quand j'ai senti qu'il me pénétrait et j'ai poussé un petit cri en grimaçant. Il a attendu et a repoussé au bout d'un moment en fixant mes yeux
— Tu t'ouvres bien! T'es fait pour être à moi!
Il a commencé ses va et vient, toujours les yeux dans les miens. J'avais chaud, j'étais bien. Il entrait toute sa queue en moi, je sentais ses couilles contre mes fesses. Il a eu un raidissement de tout le corps, j'ai senti son sexe tressauter en moi sans débander. Il m'a branlé mais j'ai pas tenu très longtemps et j'ai joui jusqu'à mes tétons!
— Ben dit moi pour un puceau t'en avais envie!
— Oui! J'ai envie de tout avec toi. Tout ce que tu voudras je le ferais.
Il est sorti de mes fesses, toujours raide.
— Lèche-moi. Montre que t'aimes ma queue!
J'ai léché en le regardant, j'aimais mon premier mec! Comme une fille. Tout ça s'est passé en octobre l'année dernière.
— Au fait, mes parents partent en croisière et je serais seul pendant une semaine, ça te dit de venir avec moi dans notre maison de campagne?
— Ben là, faut quand même que je vois ça avec ma mère mais je suis partant, oui.
— Tu verras c'est isolé et on peut être à poil toute la journée. En parlant de poils, tu devrais t'épiler autour de la queue. C'est bien plus joli pour un mec passif.
— En rentrant je te présenterais à ma mère, ça serais cool d'aller là-bas et tu pourrais me le faire toi même! Pour le moment j'en reviens pas d'avoir pu prendre ton gros machin dans mes petites fesses!
Il a ri.
— Je suis bien sûr que tu peux en prendre bien plus que ça! Et j'ai envie de te tester pour voir jusqu’où tu peux aller!
— Pour le moment faut que j'aille aux toilettes, tu m'as rempli les fesses et je peux pas remettre le tanga comme ça!
— Va et je te ramène, il est pas trop tard, ta mère verra que je suis sérieux comme mec.
Je suis allé expulser son jus aux toilettes et me laver un peu. Je suis revenu me rhabiller devant lui. Il a eu du mal à remettre tout son paquet dans le jean!
— Aller, on y va et cette fois ne mets pas les mains dans mes poches que je sois présentable!
Il m'a ramené devant l'immeuble et il est monté avec moi. Je l'ai présenté à maman et lui ai parlé des vacances de Toussaint et de l'invitation de Benjamin. Elle a souri.
— Ça te fera du bien quelques jours en dehors de la ville et vous vous entendez bien. Tu me téléphoneras tous les jours.
— Si il oublie je me charge de lui rappeler, Madame. Et là-bas à la campagne, c'est tranquille.
— Bon et bien si ça te fait plaisir, je suis d'accord.
— Merci Maman!
J'ai raccompagné Benjamin dans le couloir et l'ai embrassé, fou de bonheur. J'allais être avec lui toute une semaine !
J'ai pas tenu en place les deux jours avant de partir, je préparais mon sac, enlevant puis remettant des affaires, puis les enlevant de nouveau. Il est passé me chercher à pied le vendredi soir et après les dernières recommandations de ma mère, on est allé jusqu'à la gare. Benjamin avait tout prévu et on était à l'heure pour le train. Ses parents lui laissait vraiment pas mal de liberté et il avait de l'argent. On s'est installé dans un wagon-lit en première avec deux couchettes et un petit lavabo dans une petite salle d'eau.
— Mets-toi à l'aise, le contrôleur ne passe pas de suite.
Il avait pas tiré le rideau et j'étais gêné mais pour lui j'étais prêt à tout et je me suis déshabillé, à moitié assis pour pas quand même être vu du quai. J'ai levé les cuisses pour virer mon jean, j'avais mis un tanga comme il aimait, ça me faisait de longues cuisses jusqu'à la ceinture et il m'a dit de l'enlever aussi. Ça me faisait drôle d'être nu comme ça dans un wagon. Il m'a caressé les fesses, le sexe, m'a embrassé. J'étais comme une chienne en chaleur!
— Allonge-toi sur le ventre sur la couchette! Relève le bassin, montre bien ta fente de mec!
Il passait les doigts entre mes fesses, me faisait lécher ses doigts et les repassait sur ma rondelle. Il me rendait fou d'envie de bite. Son, puis ses deux doigts allaient et venaient dans mon trou bien salivé. Je me retenais de pas crier de plaisir, je mordais l'oreiller. Il y a eu une secousse et le train a commencé à rouler. Il m'a fait relever la tête. Je voyais des gens sur le quai qui me suivaient des yeux sans savoir que Benjamin me doigtait le cul. Puis ça a été la banlieue et la campagne assez vite. J'ai eu un sursaut, on tapait à la porte du compartiment. Benjamin m'a mis un drap sur les fesses et a ouvert. C'était le contrôleur qui a vérifié les billets et a demandé combien de temps avant l'arrivée il devait nous réveiller. Il est sorti et Ben a verrouillé la porte. Il a viré le drap.
— On a toute la semaine mais toi tu vas commencer à t'habituer à être nu à disposition, les fesses prêtes pour un coup de bite! Donc tu dors comme ça, cuisses écartées et le bassin relevé.
Il a mis un deuxième coussin sous mon ventre et s'est foutu à poil.
— Lèche-moi la queue et les couilles, montre-toi femelle.
J'ai obéi et même quand il s'est tourné pour se faire lécher les fesses, j'ai léché.
— Comprends bien Julien qu'il n'y a rien de sale dans l'amour.
Il a souri en me matant.
—Surtout pour une petite salope comme tu vas devenir je crois. Pousse-toi un peu, tu m'offriras le trou que je veux quand je voudrais. Tu dois toujours te sentir en attente de bite.
Il s'est couché sur moi, m'a pénétré bien à fond. Donnant de bons coups de reins pour aller le plus loin qu'il pouvait dans mon cul. J'étais cramponné au fond de la couchette, gémissant de plaisir sous ses poussées. Il est resté dans mes fesses en me tournant sur le côté.
— J'ai envie de m'endormir comme ça dans ton cul! Dors si tu peux.
J'ai plus bougé, je sentais mon trou ouvert par sa queue, j'étais bien. Dans son sommeil il bandait et débandait régulièrement, j'évitais de le réveiller. Il avait besoin de repos. Une fois il est sorti de mon cul pour que je le suce mais sans jouir et s'est renfilé en moi. C'est le contrôleur, en frappant à la porte, qui nous a réveillé.
— C'est l'heure que vous aviez indiqué.
J'ai crié un "oui, ok. Merci." Benjamin a grogné et s'est étiré.
— On a juste le temps, ce soir je t'apprendrais mais cette fois je vais pisser dans les toilettes.
Il s'est levé, bandait encore, a pissé.
— T'as mis quoi dans ton sac comme short de sport?
— J'en ai pas emmené puisque t'as dit qu'on serait à poil. J'ai juste un jogging si il fait pas chaud.
— Mets-le sans slip et range le reste dans le sac.
Le train ralentissait. On est sorti dans le couloir. Il y avait 5 autres personnes qui attendaient l'arrêt. Un mec fumait dans le couloir et il s'est pas trop écarté pour me laisser passer, j'ai senti sa main sur mon jogging en passant et il m'a souri après. Pour Benjamin il s'est plus écarté, et on est descendu sur le quai.
— Prends aussi mon sac, faut que je téléphone qu'on vienne nous chercher. Pars devant sur la place de la gare.
Il faisait chaud et on aurait pu se croire en été. 22° et il n'était que 8 heures!
— Ça va il est au café. Le voila.
Un mec de 22 à 25 ans est sorti du café d'en face, en bermuda, baskets et débardeur large, grand sourire.
— Salut Ben! Ça fait une paye que je t'ai pas vu. T'es tout seul?
— Tu rigoles! Voilà Julien et Julien, voilà Éric le plus proche voisin qui va nous emmener à la maison.
Je lui ai serré la main, il l'a gardée un moment en souriant à Benjamin.
— C'est lui ta crevette?
Benjamin s'est marré.
— Oui! T'as l'œil pour les repérer.
J'ai piqué un fard.
— Bon on traîne pas, je vous lâche au bout du chemin. Julien t'as qu'à monter derrière. Y a pas de ceinture, ma tire est vieille, mets-toi au milieu que je te voie en roulant.
Il roulait vite vers l'arrière-pays et on a vite été dans une vallée isolée. Il s'est arrêté à côté d'un pont.
— Terminus les mecs, le chemin part à côté de l'eau. Julien tu peux te foutre à poil maintenant et laisser tes fringues dans ton sac, tu trouveras tout ce qu'il te faut là-bas.
J'étais descendu et j'ai vu au regard de Ben qu’Éric plaisantait pas. Lui-même a commencé à se foutre à poil, plus beau encore au soleil que chez lui dans sa piaule. Je me suis déshabillé sous les yeux d’Éric qui ne perdait rien à bien me détailler.
— Il sera pas mal quand tu l'auras épilé. J'aime bien sa petite queue fine bandée et recouverte de sa peau. Ça va être un régal!
J'ai sursauté, tentant de comprendre, mais bon j'étais nu, dans un coin isolé et je pouvais pas crier ou aller chez les flics!
— Ben t'as un peu grandit et ta queue s'est développée comme tes couilles! Montre-moi ton petit cul que j'adore.
Ben a rigolé et s'est penché en écartant les fesses.
— Toi c'est ta bite qui m'a manquée! Mais je suppose que je la verrais de prés dans peu de temps. Aller Julien. Vient par là.
Il m'a chopé par le poignet et m'a entraîné dans le chemin, on a entendu la tire d’Éric repartir. Quelle sensation d'être nu dehors comme ça. Avancer la queue à l'air et sentir l'air sur et entre les fesses nues!
— Tu l'avais pas dit pour Éric? Je croyais qu'on serait seuls!
— Et alors je ne dis jamais tout, sinon tu serais sûrement pas venu!
— Soit pas si sûr! Je t'ai dit que j'avais envie de tout découvrir avec toi.
— Ça pour découvrir, tu vas découvrir! Déjà entendu parler de soumission?
— Parlé et vu sur le net, oui. Y a des trucs bandants, d'autres moins.
En parlant on avait avancé et on est arrivé par derrière une maison isolée avec un balcon devant donnant sur toute la vallée. Au loin on voyait même la mer.
— T’imagine? Si quelqu'un mate par-là, on nous voit à poil mais faudrait un télescope! Je vois qu’Éric a préparé les chaises longues! Allonges toi, je vais passer à l'épilation de ton ventre. Reste là et je reviens.
Il est revenu avec un rasoir à piles et un tube de crème. Il a commencé par passer le rasoir d'entre mes cuisses jusqu'à au-dessus de ma queue, la manipulant pour passer la tondeuse du rasoir puis il a mis de la crème là où j'avais eu des poils.
— Bouge pas pendant 10 minutes même si ça brûle un peu.
J'avais la vue sous les yeux et j'ai pas vu le temps passer. Il était parti dans la maison. Il est revenu avec une éponge humide qu'il a passée sur la crème, laissant mon ventre lisse comme celui d'un bébé.
— Tends-moi ton cou!
J'avais pas vu mais il avait à la main un collier de clebs en cuir noir clouté qu'il m'a passé au cou et attaché au bout par un cadenas. Il a attaché une chaîne qui traînait par terre au collier. Je l'ai suivie des yeux, elle était reliée au mur par un anneau.
— Mets tes mains dans le dos!
Il les a réunies par les poignets avec des menottes en cuir et un cadenas.
— Bien! Tu commences à comprendre le mot soumission?
J'ai souri , ma queue était raide et j'avais le ventre qui me brûlait un peu.
— Je vais me préparer et on sera prêt quand ils vont arriver. Tu peux bouger et te lever mais pas aller très loin avec la chaîne.
Cette fois j'étais piégé au fin fond du pays, nu, rasé, mains attachées dans le dos et avec une érection impossible à maîtriser qui me faisait mal à la queue. Benjamin est revenu, sexe rasé, plus de poils jusqu'au nombril.
— Ils ne devraient pas tarder vu l'heure.
— Mais Ben, qui doit venir?
— Éric et ses potes. On va leur servir de défouloir. Ils ont pas souvent l'occasion de sauter des pédés! Ou même de les voir ensemble! Chaque fois je viens ici avec un nouveau mec. C'est pas facile à trouver une bonne salope comme moi ou ... toi
On a entendu le moteur longtemps avant dans la vallée et puis le silence interrompu par des pas. Je les ai entendu rire avant de les voir. Il y avait 4 mecs dont Éric, qui s'est avancé vers moi.
— Déjà mieux sans tes poils petite lopette. En plus le bon air des Préalpes te fait du bien!
Il m'a chopé la queue et a tiré d'un coup sur le prépuce, m'arrachant un cri de surprise plus que de douleur.
— Alors qu'est-ce que l'autre enculé t'as dit pour venir ici? Que tu serais seul avec lui? A poil tout le temps? Eh ben c'est le cas, t'es seul avec lui à poil. Nous on à nos fringues! Montre un peu ton petit cul à mes potes. À chaque fois j'amène des jeunes qui n'ont jamais vu de pédés. Regardez les mecs sa petite chatte d'enculé comme elle est souple !
Il a enfoncé direct deux doigts pour leur montrer, j'avais beau m'attendre à un truc comme ça, j'ai râlé.
— Je vous laisse Julien pour faire vos armes dans son cul. Je veux déjà faire gueuler MA chienne comme elle aime! A sec et à fond! Aller Ben. Appuie-toi à la rambarde et regarde le paysage en cambrant tes fesses!
J'ai vu la queue d’Éric quand il l'a sortie, pas trop épaisse mais assez longue et un vrai champignon de Paris comme gland. Il a passé le bout entre les fesses de Benjamin et en lui claquant les fesses, il s'est enfoncé jusqu'aux couilles. Benjamin a poussé un vrai cri de douleur. Eric a ressorti entièrement sa queue pour lui remettre au fond du cul.
— T'aimes ça mon pote! Gueule-le que t'aimes ma queue, comme une pouffiasse en manque! Allez, gueule-le!
— Oui Erice! J'aime ton gourdin, ton pieu, ton chibre qui me démonte le cul. Bourre moi comme tu sais le faire.
Les autres ont ri d'entendre Ben gueuler comme une femelle et ont sorti leurs sexes. Ils m'ont poussé entre eux trois.
— Suce-nous, montre que t'es un vrai petit pd qui aime la bite! On te sautera après si tu nous excites bien! Remue ton cul. Il est pas tard et on est là jusqu'à tard dans la nuit.
J'ai attaqué la première bite, pas mal mais pas encore très dure et je l'ai bien aspiré des lèvres. Pas facile sans les mains. J'étais obligé de me pencher par dessous pour avaler le gland et l'aspirer. Quand il a été raide j'ai attaqué le deuxième qui se présentait.
Il s'était branlé un peu et assez facilement il a eu une belle érection dans ma bouche. Ils m'ont poussés sur la tige du troisième, cette fois bien raide et d'un beau diamètre que j'ai salivé un max en entendant les cris de Ben.
Ils m'ont mis à côté de lui, appuyé sur la balustrade et le premier m'a enculé sans plus de préparation, il me claquait les fesses en grognant, remuait de la queue sans s'occuper du plaisir que j'avais ou pas, uniquement du sien. Eric a poussé la tronche de Ben vers moi.
— Roulez-vous des pelles les gouines! Montre-moi que tu l'aimes cette chienne de Ben, la crevette.
Ben n'était visiblement plus en état de réagir aux coups de queues violentes et des larmes lui coulaient des yeux. Je l'ai embrassé mais il grognait comme un fou dans ma bouche. Éric ricanait et continuait à le labourer. Je sentais chacun de ses coups de reins, bien plus que ceux du mec dans mes fesses qui a laissé sa place au deuxième. Au bout d'un moment Éric a poussé Ben de côté j'ai vu sa rondelle encore ouverte comme une pièce de 2 Euros qui palpitait.
— Reprend ton souffle et referme ta chatte, faut que j'éduque un peu les jeunes.
Il a claqué les fesses du mec sur moi pour qu'il me pilonne plus fort, l'encourageait à sortir sa queue pour la rentrer à fond. Mais après la nuit avec Ben mon trou acceptait bien la queue.
— Allez, au troisième ! Bourre-le d'une bonne poussée. Fait-le quand même couiner. Soit un mâle!
J'ai compris qu'il fallait qu'il ait l'impression d'être doué et j'ai poussé de petits gémissements.
— C'est mieux. Retiens toi un maximum t'as toute la soirée pour le remplir toi et tes potes. Quand tu te sens prés à jouir tu laisses la place, moi je vais aller chercher du matos pour ma chienne. Du sérieux, j'ai laissé la mallette en arrivant à la maison.
Sa bite moitié raide se balançait devant lui comme un pieu. J'ai vu le regard amoureux de Ben posé dessus. La salope m'avait bien caché son jeu. Éric est revenu avec la mallette, déjà presque une valise et l'a ouverte.
— La crevette! Suce-lui la queue! Salive la bien, je me fous qu'il bande mais faut qu'il ait la queue humide.
J'ai vu de la peur dans les yeux de Ben et il a eu une petite érection quand je l'ai salivé. Eric l'a attaché les mains dans le dos, cuisses largement ouverte et a passé un anneau de métal brillant sur sa queue, avec un fil qui allait à la mallette. De l'autre main il tenait un fil avec une tige métallique. Ben a commencé à se tortiller pour reculer mais Eric le tenait bien et a posé la tige sur un téton. J'ai entendu Ben gueuler comme jamais.
— T'es devenu douillet ou c'est trop fort?
Il a réglé un truc dans la mallette et a posé à nouveau la tige sur le téton. Cette fois ben s'est cambré en serrant les cuisses comme il pouvait sur son sexe exposé malgré tout. Eric a joué à poser la pointe sur différents endroits. La pointe descendait vers sa queue qu'elle a frôlée avant de toucher ses couilles. Ben suppliait Eric, qui lui rigolait.
— Arrête ton cinéma, je sais que t'aimes ça.
Il a chopé la queue de Ben qui dégoulinait de bave. Il a donné un petit coup de la pointe sur ton cul pour voir s’il se contractait. J'ai vu Ben sursauter et son trou se serrer d'un coup.
— Tu vois quand tu veux! Prêt à te faire à nouveau éclater le fion.
Il a posé la pointe et s'est enfilé dans le cul de Ben d'un coup sec.
— Ça va les jeunes? Vous l'enfilez bien la nana de ma chienne? On va manger un peu pour reprendre des forces la soirée ne fait que commencer.
Il s'est retiré de Ben, a sorti un énorme plug qu'il a enfoncé dans son cul. Un truc en forme de poire qui a du se coincer dans le cul de Ben. Il s'est approché de moi, a maté mon cul.
— Pas mal bossé les mômes mais il faut pas qu'il se referme facilement!
Il a sorti un truc fait de plusieurs boules, comme j'en avais vu sur le net et a commencé à en enfoncer une, laissant les jeunes enfiler les autres. Il y en avait trois de belles tailles.
— Marche un peu avec ça! Tu pourras plus t'en passer. Ça va remuer dans ta chatte et tu réclameras la queue comme une pute après!
J'ai commencé à les suivre pour manger mais la chaîne m'a bloqué en se tendant. Ça a fait rire Ben.
— Habitue-toi à bouffer de la bite et à chercher les protéines à la source. Viens me sucer t'auras du jus.
— Tu rigoles! Après ton coup monté tu peux courir pour que je te suce! T'es un enculé comme moi et même pire.
— Tu verras avant le fin de la semaine tu me boufferas la bite pour bouffer. Ils en ont dressés d'autre! A commencer par moi. T'as vu le gland d’Eric la taille qu'il a ? Ça aussi tu devras t'y faire et te faire défoncer. Tous les jours il ramène de nouveau mecs à qui il propose un jeune cul.
En l'entendant je marchais, je sentais les boules rouler dans mes boyaux, me triturer l'intérieur. Je pouvais pas me toucher les fesses et encore moins le cul et je sentais les boules pousser sur la sortie, me forçant à me serrer les cuisses.
Au bout d'un moment (je ne sais pas combien de temps j'avais pas de montre) ils sont revenus et Eric a retiré le plug de Ben d'un coup. Lui arrachant un petit cri.
— T'as vraiment une chatte de pute! et de pire en pire! En plus tu gueules et t'adores ça! Et moi plus tu gueules et plus je te démontes le cul! Et toi la crevette, si tu chiais tes boules je suis sur que tu va le faire devant mes potes, une à une. Il a donné un coup sur ma queue raide, t'as aimé les avoir dans le cul. Je te l'avais dit. Aller pousse un peu et fait sortir les boules. Montre leur comment ton petit cul se dilate pour les laisser passer!
J'avais honte mais comme m'avait dit Ben y a longtemps en amour y a rien de sale et j'ai poussé pour expulser la première. Je les entendais commenter quand chaque boule est sortie. Ils m'ont passé le cul au jet avant de se remettre à me limer le cul, cette fois ils changeaient souvent, un se branlait doucement, le deuxième me faisait sucer et le 3ème me pilonnait le cul.
Ben de son côté gueulait sous les coups de butoirs d’Éric, il sortait complètement sa queue pour l'enfiler à fond, attendant entre chaque coup de rein. Le premier a jouis dans mes fesses au bout d'un bon moment, vite remplacé par le second puis le 3ème qui glissait facilement dans mes fesses.
— Bon les mômes on va laisser les salopes se reposer, demain j'ai d'autres potes qui veulent tremper leur bites. Faites téter la crevette qu'elle ai sa ration de protéines.
J'ai reçu encore 3 doses de jus dans la gueule avant qu'Eric détache la chaîne pour la fixer plus prés d'un vieux matelas avec une couverture. Ben a été emmené dans une remise et j'ai entendu des chaînes.
— Dormez bien et reposez-vous. A demain matin.
Dormir pratiquement dehors quand on ne connait pas le coin, c'est pas facile et au moindre bruit je relevais la tête mais j'avais mon comptant d'émotions et j'ai fini par m'endormir. C'est le bruit du moteur qui m'a réveillé.
Je me demandais ou j'étais avant de réaliser quand j'ai pas pu bouger les bras. Je bandais comme un fou comme tous les matins avant de pisser. J'ai vu Éric sortir Ben de la remise, lui aussi bandait comme un dingue et il l'a rapproché de moi.
— Sors de la crevette. Et ouvre ta gueule Ben va te servir le café direct dans la bouche. J'aime pas perdre du liquide. Tu lui fera la même chose après, ça va vous calmer.
Ben m'a envoyé sa pisse dans la tronche à la régalade comme il m'avait déjà fait faire. J'ai été plus long à pouvoir me vider comme lui, pas habitué à ce genre de pratique.
— Vous puez trop. Vous allez vous laver dans le ruisseau. Ça fait partie des charmes de la campagne . Vous chierez dans les fourrés avant.
Il a détaché ma chaîne mais a relié mon collier à une laisse comme il a fait à Ben, et nous a entraîné par un sentier prés d'une cascade.
— Faites vos besoins et lavez-vous après. Mais restez à ma vue. Sinon vous allez morfler encore plus.
On s'est écarté Ben et moi et après nous être vidé les boyaux on est allé se mettre sous la cascade. C'était hyper froid! Et je sentais à peine ma bite, tellement elle était rentrée dans le prépuce. Mes boules aussi étaient remontées et faisaient un tout petit paquet dessous. J'ai regardé Ben il était dans le même état que moi. Petite bite de gamin et les couilles remontées. Éric a éclaté de rire. Il nous a jeté deux strings dentelles,
— Enfilez ça les gonzesses. Ca suffira pour cacher ce qui devrait faire de vous des mecs!
On est sorti de l'eau et on a enfilé ce truc, c'était minus, ça cachait à peine le paquet même dans notre état. Il a repris les laisses et nous a emmenés jusqu'à sa voiture.
— Ben tu ramènes julien à la maison en laisse je vais chercher les potes et je reviens. Pas la peine de vous cacher. On vous trouvera et ça sera pire. La maison est fermée donc ne cherchez pas à manger dedans.
Il est monté dans sa tire et il a fait son demi-tour pour aller en ville. J'ai maté Ben, il était ridicule avec le string dentelle et j'ai pas pu m'empêcher de rigoler comme un fou. Plus du tout le même que j'avais connu si fier de lui. On est retourné sur la terrasse, et j'ai remarqué sur le côté une piscine.
— Tu m'avais pas parlé de ça? Si ça se trouve l'eau est chaude si y a des capteurs solaires!
— Y en a oui. Vas-y moi je me repose un peu
Je suis allé me mettre à l'eau, pas pareil que la cascade. C'était super agréable et j'ai oublié un moment que je venais de me faire démonter le cul et que ça allait recommencer avec d'autres mecs. J'avais laissé le string sur le bord et je me suis détendu un moment avant de m'allonger sur un transat pour bronzer. Je me suis endormi comme ça. Réveillé par une voix que je ne connaissais pas.
— Cherche plus Éric , il est là. Aller cherche pas ton bout de tissus, viens comme ça nous rejoindre.
Il y avait 3 mecs inconnus plus Éric . Je voyais les bosses des pantalons gonflées et au réveil j'avais envie et j'ai pas regardé la tête du mec. Je me suis accroupi devant lui pour ouvrir sa braguette et sortir sa queue. Un peu étonné c'était la première fois que je voyais une circoncise en réel, mais je l'ai sucé comme un fou, envie de son jus de mec et affamé au point de pas regarder la gueule du mec.
Il avait une belle queue, un peu courbée sur le coté mais bien raide et j'ai salivé un maximum en caressant ses couilles. J'ai senti une main passer sous mes fesses et relever mon cul, claquer mes fesses. La voix du mec était bien mâle.
— Montre ta chatte de mec. T'es une vraie saute au paf toi! T'as besoin de te faire mettre un maximum.
Ses doigts fouillaient mon trou, je couinais sur la queue que je suçais, aspirant le gland pour avoir la moelle. Les doigts ont frottés un endroit à l'intérieur de moi et le mec a rigolé en sentant que je commençais à mouiller du cul. Il s'est plaqué contre moi la queue à la main et m'a pénétré sans problème.
Il a commencé ses va et viens dans mon cul en me tenant les hanches, me poussant sur la bite que je suçais, aspirant pour avoir la moelle qui allait en jaillir, Caressant ses grosses couilles de mec. Je l'ai retenu quand il a voulu se retirer de ma bouche et il a giclé son jus sur ma langue. J'ai avalé comme un mort de faim.
Je l'ai lâché après quelques coups de langues pour tout avoir. Le mec que j'avais pas regardé a tendu sa queue devant mes yeux, pas le même article! Un beau gland rouge sombre qu'il décalottait d'une bite très sombre. Mon premier black! J'ai donné un ou deux coups de langues dessus, l'engin continuait de se développer devant ma tronche. Il m'a poussé la tête dessus.
— Salive la bien la crevette! Vu comme t'aimes la queue je vais te faire gueuler de plaisir! Tous les petits blancs aiment bien ma queue. Regarde ton pote ce qu'il subit!
Ben était renversé sur le dos, bras attachés en haut d'un des transats, les cuisses relevées, chevilles attachées de façon à bien avoir le cul exposé et Éric avait ramené une batte de base ball qu'il enfonçait dans son cul. Éric avait mis des graduations sur le bois et Ben avait 20 cm enfoncé dans le cul! Le black a attendu que je salive un max sur sa queue avant de me lever dans ses bras et de me poser sur son gland.
— Accroche tes cuisses à mon dos et laisse toi descendre sur ma bite! Bien à fond.
Il me regardait droit dans les yeux quand son gland est passé, suivi de sa queue. Je grimaçais mais je me sentais remplie comme une femelle peut l'être. Je serrais les pieds dans son dos et il a commencé à me soulever et me faire retomber sur sa queue. Je savais plus trop ou j'en étais. Douleur et bonheur, plénitude et joie, tout s'entremêlait en moi.
A chaque fois mes couilles frottaient son torse, glissaient dessus j'ai du crier et j'ai jouis comme j'avais pas encore jouis! De tout mon être. J'ai relâché la pression des cuisses et je me suis empalé à fond sur lui qui continuait encore et encore de me limer.
Me faisant sauter sur sa queue comme une poupée. Ses mains me tenaient les hanches, j'avais la tête qui ballotait , ivre de plaisir. Il m'a déposé sur un des transats, sa queue toujours en moi et a repris ses coups de reins, plus doux mais plus ample avant de retirer et de me tendre sa queue au visage.
J'ai à peine eu le temps d'ouvrir les lèvres , j'ai été inondé de jus partout sur le visage, qu'il a étalé en souriant. J'ai léché sa main comme une chienne lèche la main de son maître. J'ai pris conscience qu’à côté de moi Ben gueulait comme un damné.
La batte de baseball en était à 30 cm et je voyais une sorte de mousse entre ses fesses et la batte. Le black a demandé ou il y avait de la bouffe pour se retaper. Éric a répondu qu’il nous emmenait à la pizzeria, sauf Ben qui devait se détendre pour l'après-midi. Il l'a attaché sur la batte sans qu'il puisse s'en dégager, même pas d'un centimètre. Il m'a regardé.
— Tu l'as mis ou ton string de pute?
Je suis allé le chercher, j'avais le cul trempé et de longues trainées de foutre sur les cuisses et le ventre.
— Enfile-le. Tu te sècheras avec tes fringues qui sont dans le coffre. Tu vas puer le foutre mais pour une crevette, c'est un bon parfum.
Ils se sont habillés et on est remonté à sa tire, moi les fesses à l'air avec juste la ficelle du string qui m'irritait la fente. La j'ai pu enfiler mon pantalon de jogging et mettre un tee shirt avec des skets aux pieds. Le black m'a fait asseoir au centre à l'arrière et durant le trajet il jouait avec ma queue et mes boules en riant avec les autres.
— La crevette mouille de partout! Aussi humide de la chatte que de la queue! Elle bande et mouille, une vraie fontaine. Tu vas avoir du succès à la pizzeria si tu ne débandes pas.
Le salaud entretenait mon érection des doigts, pinçant mon gland et mes couilles entre ses doigts. J'étais coincé entre deux mecs, le mec circoncis et le black qui me foutait une gaule pas possible à me tripoter comme il faisait.
La mouille de ma queue était pas arrêtée par le bout de string dentelles et dés que j'allais sortir on verrait que je mouillais et bandais .Éric s'est arrêté en entrant dans la banlieue, sur le parking d'une pizzéria.
— Aller on va bouffer sur le compte d’Éric. J'ai sa carte et je sais qu'il a du fric.
Les deux mecs sont sortis chacun de leur côté. Le black m'a tiré par le teeshirt. Je devais être obscène a voir et plus j'y pensais plus je mouillais dans le pantalon de jogging.
— Aller marche devant moi que je voie tes fesses remuer. Montre-moi que t'as encore envie de ma bite dans le cul.
J'ai suivi Éric, les mains devant moi et remuant des fesses pour faire plaisir au black. Ca sentait super bon et j'avais rien mangé depuis longtemps à part du jus de mec. Éric a demandé au patron qu'il devait connaitre, la table du centre et m'a mis le dos à 3 jeunes qui n'ont pas perdu une miette de mon profil quand je me suis assis. J'étais juste sous une ouverture dans le plafond pas encore en plein soleil.
— Met toi la, la crevette. Et ton pote à coté comme ça il pourra s'occuper de toi.
Il s'est assis face à moi. Remontant visiblement son paquet de la main en matant les jeunes.
— Tu sens la crevette dis donc! Tu t'es pas lavée depuis ce matin ou tu t'es branlé depuis?
Il parlait assez fort et j'ai senti la main du black passer sur mes fesses, sous le pantalon de jogging. J'ai été sauvé si on peut dire par le serveur qui est arrivé avec les apéritifs offerts par le patron. J'ai pas réfléchis et j'ai avalé une gorgée pour changer le goût dans ma bouche.
Ils ont levés leurs verres à la santé des enculés, ce qui a provoqué des rires derrière moi. J'ai piqué lé nez dans le verre. Éric commandait au serveur, donnait la liste de ce qu'ils avaient choisi et j'ai entendu: Pour la crevette vous servirez un chausson fourré. Comme vous le faites en cuisine pour les petits pds en rut. Le serveur a ri.
— Sans problème Mr Éric, avec beaucoup de sauces différentes et du piquant pour l'entretenir.
La main du black s'est à nouveau glissé sous mon jogging , cette fois jusqu'à glisser un doigt entre mes fesses, me forçant à me cambrer et me faisant pousser un petit cri étouffé.
— Bois doucement, pose ton verre, j'ai besoin de pisser. Accompagne-moi.
J'attendais qu'il enlève sa main mais il m'a poussé du doigt pour me faire lever. J'ai suivi le mouvement, son doigt glissé dans ma rondelle. Il m'a amené dans une toilette fermée avec un siège, a refermé derrière nous.
— J'aime ton cul salope. Autant que ta gueule et tes envies de soumissions. Alors réfléchi pendant le repas et si t'es ok je m'occupe de toi! En attendant sors ma queue et aspire ce qui sort. Ne perd rien.
Il a sorti sa queue et une fois dans ma bouche a commencé à uriner sans tenir compte qu'il pissait dans ma gueule, comme dans un urinoir. Le jet était puissant, abondant et j'avais pas le choix, moi aussi j'aimais sa queue! Il a attendu une fois fini que je lèche bien son membre avant de le ranger. Il est sorti me laissant la queue à l'air bandée, porte ouverte. Y avait un des jeunes devant le lavabo et le miroir qui me regardait.
— T'es une pute à blacks? T'aimes aussi le jus de jeune comme moi surement. Reste comme ça!
Il s'est juste avancé un peu pour se branler devant moi et m'a giclé très vite sur la gueule. Il est parti en rigolant. Je me suis essuyé avec du PQ avant de retourner à table. J'entendais rire la table derrière moi et Éric et les autres m'ont demandé si la branlette était bonne.
J'ai piqué le nez dans le verre et je l'ai fini d'un coup. Le serveur a amené les assiettes et a mis devant moi une calzone spéciale qu'il a déclarée bien fourrée. Il n'a plus qu’à l'épicer pour la consommer. J'ai ouvert le chausson et à l'intérieur y avait comme du blanc d'œuf.
J'ai compris ce que c'était et j'ai mis de l'huile avec du piment sans insister. J'ai fait comme eux et me suis mis à manger. La dose de piment était un peu forte et couvrait le gout du jus des mecs en cuisine en me mettant la bouche en feu. J'ai commencé peu de temps après par avoir une érection incontrôlable, à me faire mal à la queue. Éric et le black rigolaient.
— Ton apéro était bon? T'as rien senti? On a rajouté un truc, t'es pas prêt de débander! Avec le piment tu vas être une vrai cocotte-minute.
De la main j'appuyais sur ma queue mais c'était un vrai bout de bois. Le black m'a mis la main dans le string et m'a décalotté dedans.
— Arrête de te tripoter la crevette! Il a mis mon gland tendu a frotter à chaque mouvement sur la dentelle du string. Mange. Finit ta pizza. remet du piment si le gout te dérange.
J'avais les yeux qui me piquaient déjà avec ce que j'avais mis. Les autres ont fini de manger et Éric a commandé des cafés pour tous. J'ai fini de manger, la bouche en feu comme ma queue.
Éric m'a maté.
— Dis moi t'as pas appelé ta mère encore! Tu le fera tout à l'heure. Tu lui diras que t'es bien?
Je sentais son pied entre mes cuisses qui frottait mon sexe a travers le tissus, me faisant haleter.
— Oui Oui Éric.
— Tu t'oublies la crevette! Oui qui? J'ai mal entendu.
— Pardon. Oui maître.
Y eu des rires derrière moi.
— Pendant que tu prenais le temps aux toilettes, j'ai discuté avec Ali et il est prêt à te mettre à l'essai mais il faut que tu comprennes que ça peut être définitif. Plus de petite maman pour chialer sur son épaule! Ok?
— Oui maître. Mais ça dépend pas de moi.
— Et bien arranges toi si t'aimes la queue d'Ali et ses fantasmes! Viens tu vas téléphoner devant moi à côté de la voiture.
J'ai pas hésité trop longtemps, j'avais compris qu'Ali me mettais à l'épreuve et je me suis levé, sexe à l'équerre dans le jogging, tâche sombre à l'emplacement du gland. Je me suis tourné et j'ai baissé les yeux sous le regard des jeunes et je suis sorti, suivi d’Éric. Il a sorti mon téléphone de mon sac
— Appelle je reste là, que tu ne racontes pas de conneries
Ca a répondu assez vite mais c'était une voix d'homme.
— Salut Julien. j'ai ton numéro affiché. Prend le temps de rentrer, T'es un mec maintenant, alors autant que tu le saches de suite je suis Paul et j'ai profité de tes vacances pour me mettre avec ta mère. Ça marche plutôt bien et on a pas besoin d'un mec dans les pattes alors si tu veux rester là bas, je m'arrangerais avec ta mère pour l'école. De toute façon il te reste juste à finir ton année et t'as plus besoin d'y retourner. Je vais t'ouvrir un compte et te faire faire une carte, tu me donneras l'adresse et je t'enverrais ça. Ça va? Pas trop surpris bonhomme?
— Euh! Non si elle est heureuse.
— Elle l'ai crois-moi! Et tu pourras l'appeler à un autre moment elle te le confirmera.
J'avais mis le hautparleur du portable pour qu’Éric entende la conversation et quand j'ai arrêté le portable il a eu un sourire.
— Tu vois, La vie fait des cadeaux parfois. A toi de décider. Mais fais-le de suite.
Je suis rentré comme un zombie dans la salle, halluciné par le coup de ma mère avec un autre mec que mon père. J'avais la trique, encore et toujours. Je me suis assis à côté d'Ali.
— Ok pour l'essai maître Ali. Je suis prêt de suite et pour un bon moment.
— Ca c'est moi qui le déciderais crevette. Bois ton café et va m'attendre dehors.
J'ai bu, il était déjà froid et je suis sorti sur le parking. Les mecs étaient-là, ils ont commencé à chahuter, tirant sur mon jogging, rigolant de voir mes fesses nues, juste séparées par la ficelle du string. J'essayais de retenir l'élastique de la ceinture mais il a fini par glisser sur mes cuisses, dévoilant l'avant du string et mon sexe humide et bandé dans un minuscule bout de tissus. Ali est arrivé avec les autres et les ont fait dégager. Il m'a fait monter à l'arrière au centre. Éric a repris la route jusqu'à un parking, ou il s'est garé.
— Aller la crevette vous débarquez la toi et Ali. Prends ton sac dans le coffre et suis ton maître.
Je suis descendu, j'ai ramassé mon sac et Ali m'a emmené jusqu'à son 4X4.
— Monte derrière. Etale une de tes serviettes sous tes fesses et fous toi au centre, mets la ceinture.
Il a pris le volant et on a roulé un moment. On est passé le bord de mer jusqu'à un hangar à bateau avec un appartement au-dessus. Il a garé le 4X4 sous un auvent.
— Fous-toi à poil!
J'ai obéi de suite, personne nous voyait je pense. J'ai fait comme chez Ben, j'ai juste gardé mes skets.
— T'es sourde? Je t'ai dit à poil! Ca veut dire sans rien! Vire tout. T'as plus besoin de rien.
J'ai viré les skets en me penchant pour montrer mes fesses.
— J'ai le temps de m'en occuper. Ici je te considèrerais comme une vraie chienne. Pas un homme, mais aussi utile sinon plus. Avance dans le coin la bas. Entre dans la cage.
Devant moi y avait un espace cimenté avec du grillage très haut. Il a posé un collier à mon cou et m'a mis une laisse en chainon métallique.
— Garde le hangar comme un clebs. Si quelqu'un approche tu gueules.
Voilà comment j'ai été mis en cage.

C'est pas finis....

Histoire du net. Auteur Manuel1. La descente vers le plaisir... Fin

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Da la cage à l'esclave, tout est possible 
pour notre pt'i jeune ou petite jeunette,
qui va découvrir un nouveau monde...
Et plein de bonnes.....;


En cage
Auteur : Manuel 1
Si vous avez suivi en cage voici la suite. Pour résumer, j'ai 16a et après avoir été amoureux de mon mec je suis parti en vacances avec lui dans l'arrière-pays du sud de la France et suis tombé en esclavage avec ALI.
Il a refermé la cage me laissant nu dans un espace clos de 2 m² avec un coin recouvert mais pas muré. Depuis la pizzeria je bandais comme un fou avec ce que j'avais avalé. Dès que j'ai pu j'ai commencé à me branler mais j'ai entendu une voix métallique me dire d'arrêter tout de suite. J'ai repéré dans un coin la led rouge avec la caméra fixée sur moi.
J'ai laissé ma queue battre entre mes cuisses à me faire mal. Le collier qu'Ali m'avait mis au cou était large, en cuir avec plusieurs anneaux sur le tour. En regardant sous l'abri j'ai vu une couverture bien râpeuse, mais qui avait l'avantage de tenir chaud et de cacher un peu mon érection, je l'ai mise sur moi mais j'ai pas pu la garder trop longtemps tellement elle râpait le gland qu'Ali m'avait découvert en me disant qu'un bâtard c'était comme ça!
J'ai entendu de l'eau couler dans les tuyaux d'évacuation de l'appartement au-dessus. J'ai pensé qu'Ali prenait une douche, j'aurais aimé le savonner et caresser sa queue. Le temps passait, sans autre repère que le soleil qui baissait et l'ombre qui gagnait ma cage. J'ai entendu des pas approcher et je me suis mis dans un coin en criant.
— Ali! Ali!
Une voix a retentie.
— Ta gueule la chienne crie pas comme ça je le connais.
La lumière s'est allumée au-dessus de l'escalier de l'appartement, m'aveuglant. Quand j'ai pu voir qui était là j'ai vu un black de mon âge qui me matait, me détaillait d'un œil inquisiteur. Ali est descendu.
— C'est mon nouveau clebs. Une bonne chienne mais encore pas mal de choses à apprendre. Et toi tu vas bien?
Ali avait foutu la main au paquet du mec et tranquille palpait son paquet.
— Tu t'habitues?
— C'est dur! J'ai du mal à plus penser à ma bite raide.
Ali a ouvert la braguette du mec et a sorti sa bite. J'avais déjà vu, mais sur le net, des mecs avec un dispositif de chasteté mais là le mec devait être bien gêné. Je devinais une belle bite mais coincée dans un tuyau chromé et recourbé vers le bas, qui palpitait à la cadence de la main d'Ali sur ses couilles. Il respirait très vite, très fort, s'est appuyé sur l'épaule d'Ali mais Ali a arrêté en riant.
— Non pas de suite. Tu as le temps, je veux te faire saillir ma chienne. Mais avant, c'est toi qui va être sailli. Par la crevette. T'as vu sa queue? Il est comme ça depuis cette après-midi. Il faut qu'il se vide et je t'attendais pour le soulager.
Le mec a baissé son froc, s'est foutu à 4 pattes devant moi pour me lécher la queue. Je voyais qu'il était habitué aux ordres d'Ali et qu'il aimait sucer, il m'aspirait la queue entre les lèvres à fond jusqu'à la racine de mes couilles. Je sais que je suis pas bien monté, 15 cm, mais il se les enfonçait bien dans la bouche. J'ai pas tardé à haleter et à me cramponner à ses cheveux en lâchant mon jus comme un mec. Il a bien avalé tout et salivé sur ma queue.
— Allez la crevette maintenant tu vas te planter dans son cul. Il a l'habitude, c'est mon ancienne chienne. C'est pas toi qu'il va pas accepter. Bourre-le d'un coup sec au fond de sa chatte.
Le mec avait tourné les fesses vers moi, mais j'avais jamais fait ça. Je bandais toujours autant et j'ai visé son trou et d'un coup je suis rentre comme s'il l'avait huilé. Je sodomisais un mec! Ho, j'étais loin de le faire couiner comme les mâles me le font, mais j'arrivais à la mettre dans un cul! Ali m'a claqué les fesses.
— Lime-le! Baise-le, je veux que tu te vides les couilles et l'esprit. J'aime pas voir ta queue bandée tout le temps en liberté!
Il avait pris un martinet et me fouettait les fesses en cadence. des lanières me frappaient les couilles, me faisant serrer les fesses en limant le mec. J'ai limé longtemps, le cul était large, pas un cul de puceau. Un vrai trou de jument, mais à force de coups de martinet j'ai fini par jouir dedans.
Le mec a dû le sentir et s'est retourné pour me lécher la queue et encore me pomper, j'avais mal mais là encore il a réussi à me faire sortir quelques gouttes. Quand il a lâché ma queue, elle est retombée doucement, inerte.
— C'est bien Paul. Je vois que t'as rien oublié de mes leçons. Fous toi à poil et je vais vous laisser ensemble dans la cage un moment que vous fassiez connaissance avant que tu ais droit à le saillir.
Ali est remonté dans l'appartement nous laissant nus nous observer. Paul avec sa queue prise dans le tube et moi, enfin débandé avec ma petite bite au-dessus de mes boules. Il a rigolé de voir ma queue si petite, s'est couché à terre pour mater mes fesses par dessous.
— Ecarte bien que je vois là où je vais m'enfoncer. Cambre-toi pour faire ressortir ta fente de gamin.
J'ai pris du plaisir à montrer comme ça mon petit cul à ce black, je prenais des poses, écartais mes fesses à deux mains. Il passait ses doigts entre mes fesses et sur mon petit trou.
— T'as un superbe petit cul! Je comprends le maître de t'avoir choisi après moi, t'as dû le sentir quand il t'a mis sa queue! Tu verras avec le temps il te faudra de plus en plus gros, t'auras besoin de grosses bites et de mecs qui te feront gueuler pour jouir .Il ne t'as pas encore parlé de contrat avec lui?
— Non pas encore.
— Lis le bien avant mais tu verras par toi-même. Si tu l'acceptes.
Ali est redescendu une petite clé à la main. Il a chopé le matos de Paul sans rien dire, je voyais sa main crispée sur les couilles de Paul qui a ouvert grand la bouche sans crier.
Il l'a poussé dehors, l'a fait monter 2 marches pour avoir accès au cadenas posé au-dessus du tube sur sa queue, il a déverrouillé le cadenas et a tiré le tube de la queue de Paul. J'ai vu pour la première fois sa bite avec des marques sur l'emplacement du tube. Ali a dégagé les couilles de l'anneau, faisant grimacer Paul. Je voyais son sexe se déployer doucement, pas de prépuce et belle bite, bien proportionnée avec surtout de grosses couilles dessous.
— Tu es libre mais en conditionnelle. Tu te rappelles de ce que tu as signé!
— Oui maître.
Je voyais que Paul faisait un effort pour ne pas toucher son sexe, ce que j'aurais fait de suite après l'avoir eu enfermé comme ça.
— T'as envie du cul de la crevette pour savoir si ta queue marche encore?
— Si vous êtes d'accord, oui maître.
Je voyais son gland se soulever en me matant. Sa queue se raidir un maximum sur son ventre.
— En levrette maître?
— Pour des chiennes ça s'impose oui! Julien! Fous toi à 4 pattes et tend ton cul à Paul comme une chienne en chaleur!
J'ai pris la pose, appuyant ma tête sur le sol pour faire ressortir mes fesses, creusant les reins en rentrant les pieds vers l'intérieur pour montrer un max ma fente de chienne en chaleur. Paul était un peu plus grand que moi et à genoux il passait sa queue sur mes fesses, se frottait dans ma raie en cherchant à la rentrer sans la toucher.
Je sentais bien le boudin se frotter entre mes fesses, puis le gland s'est posé sur ma fente et il a forcé un peu . Sa queue est rentrée en moi, pas si épaisse que celle d'Ali et moins longue. mais pas mal quand même. Il avait de grosses couilles qui sont venues battre contre la racine des miennes. Il est resté comme ça, sans bouger.
— Bien Paul! Ne bouge pas. Retiens-toi.
Je l'ai senti frémir sans comprendre et puis gémir avec sa bite dans mon cul. Il m'a poussé en avant un peu. J'ai regardé derrière moi et Ali avait les doigts entre les fesses de Paul. Je ne voyais pas ce qui se passait.
Je sentais Paul se crisper dans mes fesses, se coller encore plus à moi. Et sans qu'il remue il a eu un long spasme contre moi. Ali a rigolé.
— T'as pas tenu longtemps mon clebs! Suffit de te tripoter la prostate et tu te laisses aller! Tant pis pour toi. La prochaine fois tu te retiendras. Sors du cul de la crevette.
Il s'est reculé, sa queue glissait facile à présent dans son jus que j'ai pas pu retenir et qui a coulé de mon cul.
— Crevette! Tu vas appeler le mec de ta mère ou elle si tu peux l'avoir et lui demander un papier d'émancipation. Sinon vu ton âge je peux pas faire ce que je veux! Débrouilles toi pour l'avoir assez vite, t'as 17ans dans peu de temps, elle devrait pouvoir te le faire parvenir assez vite.
Il a laissé une carte avec son adresse et a posé le téléphone portable à côté.
— Je te fais confiance je vais m'occuper de Paul. Quand t'auras fini monte l'escalier. Et attend dehors devant la porte.
J'ai appelé , j'ai eu ma mère qui me remerciait de prendre les choses aussi facilement et de la laisser vivre un peu sa vie. J'en ai profité pour lui demander le papier qu'Ali m'avait dit. Elle a dit qu'elle faisait le nécessaire et que son mec avait déjà un paquet prêt avec une carte et le numéro de compte qu'il approvisionnerait régulièrement pendant 2 ans mais qu'il avait pas d'adresse pour me l'envoyer.
Elle allait l'envoyer dès qu'elle serait passée en mairie pour le papier ou qu'elle aurait des nouvelles du temps que ça prendrait. On a abrégé les au-revoir et j'ai raccroché. J'ai monté l’escalier nu et j'ai frappé. J'entendais gémir derrière la porte mais c'est tout. J'étais pratiquement en plein air juste caché par le toit du hangar. Ali a finalement ouvert.
— Alors crevette? Ta mère est ok?
— Oui et son mec va m'envoyer un papier aussi avec un compte ouvert à mon nom et une carte. Dès que j'aurais le papier elle me l'enverra. J'aurais mes 17ans dans 15jours. Il fallait attendre que j'ai 17ans pour le papier mais elle allait faire le nécessaire.
Je matais comme je pouvais derrière Ali dans la direction d'où venaient les gémissements et il l'a remarqué. Il a eu un sourire.
—Viens par là mais ne dis rien et fait juste ce que je te dis!
Je l'ai suivi jusqu'à une sorte de chambre mais sans lit, avec un sling de cuir noir, retenu au plafond par des chaines. Paul était attaché, écartelé sur le sling, les fesses relevées avec un truc métal enfoncé dans le cul.
Ali m'a fait signe de plus bouger et simplement de regarder. Il a chopé la poignée du truc métal et j'ai entendu des déclics, j'ai vu le trou de Paul s'ouvrir, en force, maintenu par deux trucs arrondis en acier chromé. Je voyais l'intérieur de son cul, tout rouge. Ali a passé le doigt à l'intérieur du trou sans toucher les parois, il a été gratté un endroit à l'intérieur.
Paul se tordait sur le sling, tout son corps ondulait au rythme du frotti du doigt. Quand Ali a retiré le doigt, il était humide et l'a fait lécher par Paul.
Ali a défait le truc du cul de Paul et il m'a fait signe de lui donner un des godes sur le mur. Le truc était énorme, noir avec un réalisme poussé jusqu'aux veines qui courrait sur l'objet. Il l'a fait passer sur les lèvres de Paul pour qu'il le salive bien et l'a posé sur son trou fripé après le travail au spéculum.
Il a poussé le gland, forcé, et avec des cris de la part de Paul le gode est entré dans son cul. L'autre côté du gode avait des lanières fixées à la base et Ali a poussé bien au fond du cul avant d'attacher les lanières comme une ceinture sur le ventre de Paul, le maintenant en lui sans possibilité qu'il sorte. Paul a bandé pendant le moment ou Ali lui titillait l'intérieur du trou et plus du tout après. Sa queue était flasque sur son ventre lisse.
— Tu vas garder le gode dans les fesses cette nuit. Tu sais que le départ est programmé pour toi dans 1 semaine et là-bas tu en verras de plus grosses que ce gode. Une pute doit être prête à tout! Et là je te prépare du mieux possible. Demain après ta toilette tu auras encore plus gros.
— Oui maître.
Il grimaçait mais devait savoir ce qui l'attendait. Ali m'a poussé dehors et a éteint la pièce plongeant Paul dans le noir quand il a refermé. Il est allé chercher quelques feuillets de papier qu'il m'a tendu.
— Lis ça! Prends ton temps, apprend le par cœur. Quand tu recevras tes papiers je te ferais signer si t'es toujours d'accord. C'est un contrat entre toi et moi, qui définit toutes les situations auquel tu seras confronté ou les cas possibles de ce qui t'attend.
Il a ouvert une porte et m'a poussé à l'intérieur d'une sorte de placard sans fenêtre avec un tout petit lit, presque de gamin, et une lampe au plafond très haut, impossible à atteindre.
— Reste là je viendrais te voir quand j'aurais dormi.
Il a refermé à clé derrière moi. Au centre de la porte il avait posé un judas pour m'observer. J'ai posé les feuillets sur le lit et me suis mis à 4 pattes sur le lit pour lire, tendant mes fesses au judas pour qu'il voit ma fente de mec jusqu'à mes couilles.
J'ai lu, m'arrêtant sur certains détails, les reprenant, je sentais ma queue battre entre mes cuisses, je ne l'ai pas touchée jusqu'à la fin de ma lecture. Il n'y avait aucun bruit derrière la porte. Je me suis couché en chien de fusil et même avec la lumière je me suis endormi comme un gamin.
Quand je me suis réveillé, sans montre, j'ignorais combien de temps j'avais dormi et la lumière était encore allumée. Les feuilles posées à côté de moi. Je les ai relues, c'était une liste détaillées de ce je ne pourrais plus faire ni dire. Plus d'accès à mon sexe seul, mais toujours accompagné. Ma queue comme mon cul était considéré comme mon sexe. Je devais toujours être attentif aux désirs de mon maître ou de la personne à qui il donnerait autorité sur moi. En lisant, sans en prendre conscience je touchais ma queue qui gonflait.
Sans prévenir la porte s'est ouverte, Ali me fixait.
— Tu ne sais pas lire? Commence à obéir avant de signer, ça sera plus facile pour toi !
— Viens voir Paul.
On est passé dans la pièce où il était sur le sling, Ali a remué le gode de tous côtés dans le cul de Paul avant de détacher et de retirer le gode.
— Putain! Tu pues! Tu vas chier et te laver le cul devant la crevette.
Il l'a détaché du sling, c'est vrai qu'il sentait pas bon. Il est allé aux chiottes se vider en laissant la porte ouverte sans me regarder et après il s'est mis sous la douche et a introduit une douchette dans son cul. Il a laissé couler jusqu'à ce que l'eau soit claire, s'est essuyé et il est revenu vers Ali.
— Tu comprends ce que j'ai écrit sur les feuilles, la crevette? Plus de liberté et d'intimité! Voilà ce que j'attends de toi plus tard.
— Oui maître.
— Vous allez nettoyer la porcherie où vous vivez. Je vous enferme et que ça soit nickel quand je reviendrais.
Il est sorti, a refermé à clé nous laissant nus. Paul m'a montré les balais, les éponges et la cuisine. Il se chargerait des chambres et moi de la cuisine. On s'est mis au travail, j'ai fait la vaisselle, passé le balai et nettoyé tout ce que je trouvais, même si ça paraissait propre. J'imaginais Paul et sa queue faire les lits et tout nettoyer, je creusais les reins déjà en manque de bite, je me frottais partout où je voyais un truc un peu en forme de bite qui pointait quand ça a sonné à la porte. Paul est sorti de la chambre, m'a fait signe d'y rentrer et d'attendre. J'ai repoussé la porte mais j'entendais tout. Il a ouvert, pas gêné d'être nu.
— Bonjour, vous avez du courrier?
— Oui pour un Julien xxxxx mais c'est un recommandé. Il est pas là ?
— Euh non il est sorti.
— Bon il passera à la poste dans 2 heures j'aurai laissé le recommandé là-bas, qu'il vienne avec une carte d'identité. Dis donc la salope t'as l'air d'avoir chaud aux miches! J'ai envie d'une bonne pompeuse tu me sèches la bite?
J'ai entendu un bruit de zip puis de succion, Paul devait piper le facteur dans l'entrée. Le mec a pas été long à jouir en rigolant. J'ai entendu le bruit du zip et la porte qui claquait derrière lui. Je suis sorti de la chambre, Paul avait les lèvres luisantes et les yeux brillants.
— T'es vraiment une affamée toi! Ali te suffit pas, t'as besoin de toutes les queues! Elle était belle?
— Bof, pas la peine si elle est raide! Allez, faut qu'on finisse le boulot.
On avait même pas fini de tout nettoyer quand Ali est revenu. Il s'est installé sur le canapé en nous matant terminer.
— T'as déjà essayé de laisser pousser tes cheveux la crevette?
— Oui maître mais ma mère dit que c'est féminin alors je les fais couper court.
— Tu les laisseras pousser comme une femelle. Je vais faire de toi une shemale, tu comprends ce que je veux?
— J'ai vu des photos oui. Des nanas avec de beaux seins et une bite?
— Tout à fait. Un rêve à black! Une petite salope avec une petite bite. Tu l'a mesurée quand tu bandes?
— Non maître mais je sais qu'elle est petite. Moins de 10 centimètres je crois. Mais j'ai pas de seins!
— T'inquiètes, j'ai un toubib avec qui je peux avoir des hormones, ça va bloquer ton système pileux et développer tes mamelles. Je m'occuperais de te faire de beaux tétons.
En parlant j'essayais de m'imaginer avec une poitrine et sans réfléchir j'ai commencé à bander.
— Va chercher dans le tiroir de la cuisine le mètre à ruban que je mesure ta bite de lopette.
Je l'ai ramené et il a pris les mesures.
— 8centimètres! Toute mouillée! Juste un beau clito pour jouer.
Paul est entré avec le papier du facteur. Il l'a donné à Ali en expliquant que je pourrais retirer le recommandé dans 1heure à peu prés.
— Tu l'as pompé salope pour le remercier?
— Oui comme d'habitude.
— Bon, crevette faut que je te trouve quelque chose à mettre sur le cul pour aller à la poste. Viens voir dans ma chambre.
Je l'ai suivi. Pour la première fois je voyais où il dormait, grand lit, montant en cuir noir, draps d'une matière soyeuse à voir. Il a ouvert une armoire et un tiroir. Il a sorti un short très court, rouge et un débardeur blanc.
— Essaye ça!
J'ai mis le short, il moulait mes fesses et j'ai du arranger mon petit paquet pour pas qu'on le voie, l'espace de tissus entre les cuisses était très court. Dés que j'ai levé les bras pour enfiler le débardeur tout est ressorti d'entre mes cuisses. Ali a éclaté de rire quand j'ai arrangé encore une fois mon matériel masculin.
— Vire ce short et enfile ça avant!
Il m'a tendu un string blanc ou j'ai pu mettre mes boules et ma queue, il me rentrait dans la raie derrière, mais j'ai pu mettre le short après. Il m'a tendu des chaussures avec un petit talon de 3centimétres, genre baskets de nanas. J'avais l'impression d'être perchée dessus, pas habitué du tout à ce genre de talons.
— Regarde-toi dans la glace! Tu imagines quand j'aurais fait de toi une femelle l'effet que tu auras sur les mecs? Surtout sur mes potes!
Je faisais un peu androgyne, mi gars mi fille, pas encore vraiment fille mais j'ai pu deviner.
— Viens on va marcher un peu dehors avant d'aller à la poste.
Je l'ai suivi, bien maladroit avec ses petits talons qui me gênaient à chaque pas. Ali à côté de moi me donnait des indications pour paraître plus naturel.
— Cambre-toi. Marche moins vite, fais de petits pas. Lève le menton, regarde au loin. Tes pieds doivent avancer parallèles. Là! C'est mieux.
Je me trouvais bizarre mais lui aimait la démarche que je prenais. On s'est éloigné de plus en plus sur le bord de mer, on croisait des gens, je voyais des sourires sur les visages, des vieilles qui grimaçaient, hochaient la tête. Ali m'a entrainé dans une rue ou j'ai vu l'enseigne de la poste. Il a sorti ma carte d'identité de sa poche.
— Va au guichet demander ton courrier, je te mate de derrière.
À cette heure il n'y avait personne et j'ai demandé en tendant ma carte le courrier qui m'était adressé. La fille derrière a regardé mon nom sur la carte et a sorti un petit paquet plat, m'a fait signer sur un papier avant de me le tendre.
Je suis revenu vers Ali qui a pris le paquet.
On est retourné chez lui, je marchais déjà mieux avec les talons et commençais à regarder autour de moi. En fait il habitait presque sur le port un hangar avec un appartement au dessus et un accès direct à la mer pour les bateaux entreposés sous le hangar. Dés qu'on est arrivé sur son terrain il m'a fait retirer le short et le débardeur.
— Habitue-toi, ici c'est le sud et les filles sont décontractées. Ton string te va très bien. Monte à l'appart devant moi.
J'ai monté les escaliers, ondulant des fesses, je savais qu'il matait et j'aimais la sensation de savoir son regard là. Il m'a poussé dans l'appartement et a ouvert le paquet. Il y avait une carte bleue et un relevé indiquant que j'avais de l'argent sur le compte, une lettre jointe signé de ma mère et d'un inconnu me disait que les démarches avaient commencé et que je recevrais bientôt le papier d'émancipation. Sûrement dans la semaine après mon anniversaire, ma mère me souhaitait bonne chance et m'embrassais.
— On va fêter ça, a dit Ali. Je vais te bourrer le cul comme tu aimes. Mets-toi à genoux sur le fauteuil. Sors ma bite et suce-moi comme une femelle amoureuse de la queue de son mec!
J'ai pas eu à me forcer, son membre était déjà bien raide quand je l'ai dégagé et je l'ai pompé, caressé des couilles à la tige, ma bouche serrée sur son gland qui aspirait sa queue. J'aimais sa vigueur et son sexe, ses grosses boules qui se balançaient dessous.
— Tourne-toi! Appuie-toi au dossier du fauteuil, fait ressortir tes fesses!
Il m'a léché la rondelle comme il aurait léché une chatte de fille, je sentais sa langue dans mon cul et j'ai commencé à haleter. Il s'est redressé et a à peine mis le gland sur mon trou que j'ai reculé sur lui, je le voulais tout en moi.
J'ai étouffé un petit cri quand il est entré mais après : quel plaisir! Je le sentais aller et venir en moi, accélérer, ralentir, faire monter en moi des ondes de plaisirs jusqu'au moment où j'ai crié et j'ai jouis sous moi comme une femelle. Il a attendu et s'est remis à me limer, je savais plus ou j'en étais. Je grimpais aux rideaux comme les mecs disent! Il grognait à chaque coups de reins en moi et sans prévenir j'ai senti qu'il inondait mon cul. Il s'est retiré, m'a tendu sa queue.
— Nettoie la petite salope! Montre lui que tu l'aimes!
J'ai léché sa queue en l'adorant comme une idole pour le bien qu'elle m'avait donné. Ali a appelé Paul .
— Arrive, je vais avoir besoin de toi pour l'éduquer
J'aimais vraiment les idées d'Ali et ce qu'il voulait faire de moi. J'ai regardé Paul entrer. Ali avait dû le prévenir et il avait une sorte de ceinture moitié métal moitié cuir avec lui. Je vais essayer de vous expliquer exactement ce qu'il a fait.
— Julien! Tu as sûrement déjà rentré tes couilles dans ton ventre, alors tu vas le faire que rien ne dépasse.
J'ai obéi, mes petites olives rentraient facilement dans leur logement d'origine. Il a passé la ceinture entre mes cuisses et l'a fait remonter devant, il y avait juste une fente pour passer le sexe, du cuir autour empêchait les couilles de redescendre. Il a fait tenir le devant par Paul, entre mes cuisses un truc métal et cuir remontait derrière, se séparait en ovale pour laisser libre mon cul et se rejoignait au creux de mes reins. Il a bloqué l'ensemble. Y avait un anneau derrière, il a passé une corde dedans et après m'avoir mis un boudin en cuir dans le dos il a posé un collier en cuir très large à mon cou et a attaché la corde derrière moi, tirant assez fort pour me forcer à me cambrer un maximum pour garder la tête droite.
— Remonte les mains à ton cou!
Il a attaché par des lanières de cuir mes poignets au collier. Il a tendu des chaussures à Paul pour qu'il me les enfile, je ne pouvais pas me baisser et je me suis trouvé aussitôt plus grand de 5 centimètres.
Ali s'est reculé pour prendre une photo de moi de profil qu'il m'a montré sur son smartphone. J'avais le profile d'une salope sauf les seins. Paul est sorti et revenu avec une pompe et des embouts. Il m'a léché les pointes des seins et a appliqué un embout. Ali a actionné la pompe, aspirant le bout de mon téton dans l'embout avant de refaire de même de l'autre coté. Ali m'a posé deux cachets sur la langue.
— Avale! Ca n'a aucun goût mais tu verras plus tard les effets du traitement.
Il m'a fait rentrer dans une sorte de placard avec une vidéo murale de shemale qui passait en boucle et a refermé derrière moi.
— Apprend un peu ton rôle de femelle et ce qui t'attend!
Sur la vidéo y avait des corps de nanas avec de beaux seins, bien maquillées avec une tête de femme et un sexe de mec. Certains d'ailleurs avec une queue bien plus grosse que la mienne! Tenu comme j'étais, la tête droite je pouvais pas voir mais je devinais que je bandais comme un con, impuissant à me soulager.
Je voyais les nanas se prendre des bites dans la bouche et dans le cul, des énormes! Y en avait même qui enculait des mecs! J'avais chaud dans tout le corps de voir ça! La porte s'est ouverte sur Ali et un inconnu.
— Crevette, voilà mon toubib. Il apprécie mes goûts et me fournit les hormones qu'il te faut. Il va t'ausculter et te faire les 2 premières injections.
Il a regardé comment j'étais attaché, Paul est venu m'enlever ma ceinture, le docteur s'était accroupi pour voir mes boules qui ont repris leur logement doucement dans le sac. Il les a palpées, soupesées.
— Bien! T'auras jamais de grosses boules mais ce n'est pas le but recherché! Penche toi sans plier les genoux que je vois ta fente de gamine qui sera ta chatte pour les mâles et ton cul pour toi.
J'ai obéi. Il a passé le doigt entre mes fesses et a pénétré sans difficultés dans ma chatte.
— Jolie! Paul se chargera de t'épiler le duvet autour de ton trou. Ça ne devrait que très peu repousser après.
Il a dégagé sa queue et l'a enfilée sans problème dans mes fesses. Je l'avais vue entre mes cuisses, pas très épaisse mais assez longue et il m'a limé sans à-coups, s'enfonçant jusqu'aux couilles pour se retirer et se replanter au fond.
— T'as l'air d'aimer ça petite salope! Je te donnerais une crème pour lubrifier ta chatte avant les plus longues ou plus grosses pénétrations. Mets-toi à genoux devant moi.
Il s'était retiré et a même pas attendu que je m'en occupe pour me gicler sur le visage.
— C'est le meilleur des laits pour les soins du visage. Alors Ali comment veux-tu ses seins? en poire ou comme des obus?
Il m'avait relevé et me malaxait la poitrine.
— En poire, ça lui ira très bien.
Il a sorti une seringue de son sac.
— Ne bouge pas je ne fais pas mal quand je pique!
J'ai senti la piqûre sous la poitrine, puis assez vite sous l'autre, il a malaxé un moment.
— Ça va chauffer un peu mais ça sera normal. Je repasserai dans 2 jours pour une autre injection. Paul rééquipe le et après tu me montreras ta chatte de pute!
Paul m'a tout remis de la tête à la ceinture et il est allé tendre ses fesses au toubib qui a sorti un speculum et j'ai vu sa chatte grande ouverte sans même qu'il grogne!
— Son départ est prévu pour quand?
— Je dois l'emmener au bateau dans moins d'une semaine. Il sait ce qui l'attend. Il a besoin de gros calibres et à répétition! Avec la crevette je vais avoir de quoi m'occuper. Je suis en train de chercher un prénom qui lui convienne. Ça viendra quand elle sera plus féminine.
Le toubib était en pleine exploration du cul de Paul, je voyais ses mains écarter les bords de son cul, pire qu'un trou!
— Va falloir commencer à lui apprendre à se maquiller. Mais j'attends encore les derniers papiers et elle fera une parfaite hôtesse. Je veux aussi qu'elle ai de beaux tétons, je lui mets les embouts pour qu'ils ressortent bien
— Oui j'ai vu. Tu peux continuer jusqu'à 3 cm et lui laisser les embouts en permanence ou si tu accélères tu les étires à 5 cm pendant 12 heures faut progresser doucement et elle aura de beaux tétons pointus!
Le toubib avait carrément engagé sa main dans le cul de Paul, il le fistait et Paul ne râlait pas de douleur! Il a retiré son poing fermé comme un énorme gland du cul de Paul, laissant son trou tout rouge et ouvert se refermer.
— Ok, pour faire la pute là-bas t'es prête. Bon je reviendrais dans 2 jours pour ta "crevette".
Les jours ont passés assez vite. Ali m'avait ramené des accessoires de maquillage et j'ai fait des essais maladroits mais de plus en plus réussis. Il passait régulièrement retirer de l'argent de mon compte pour acheter des produits et du matériel.
J'ai eu du mal au début à supporter les embouts sur les tétons, mais après quelques piqures du toubib, j'avais une poitrine de fillette un peu développée avec de belles pointes brunes, très sensibles.
Les talons m'ont fait me cambrer naturellement au fur et à mesure que leur hauteur augmentait. Ali avait emmené Paul au bateau pour la Tunisie et j'étais seul avec Ali qui me traitait comme sa femelle, à tout point de vue.
Quand les papiers sont arrivés il fallait que j'aille signer en mairie et Ali m'a fait habiller en garçon. La chemisette se tendait sur mes seins, les tétons pointaient et j'ai eu du mal à marcher sans mes talons. Je voyais les regards des mecs sur moi et j'aimais y lire l'envie dans leurs yeux. Au retour avec le papier de majorité, Ali m'a dit que dorénavant je serais dehors en fille, et que pour fêter l'évènement il avait invité des potes à lui. Il m'a prévenue que je devrais obéir même si j'étais gêné.
J'ai mis un string ficelle rouge très serré sur mon ventre pour retenir mes boules et placé ma queue entre mes cuisses, une minijupe qui libérait le haut de mes cuisses et des talons haut de 10 cm. Je marchais très bien avec. J'ai enfilé un petit body qui moulait ma poitrine pas mal développée, on voyait mon nombril entre la mini et le body. Mes cheveux avaient poussés et ondulaient naturellement sur mes épaules. J'étais prête quand ça a sonné.
— Va ouvrir bébé, ça doit être mes potes.
J'ai marché jusqu'à la porte, j'ai ouvert. Un super black était devant moi, grand sourire, il tenait la laisse d'un mec jeune nu, les yeux rougis, cernés qui ne me regardait pas en face.
- Tu nous fais entrer bébé!
Son regard me détaillait des pieds à la tête, content de ce qu'il voyait. Je l'ai laissé passer et j'ai maté le jeune. Pas un poil visible, ni devant ni derrière, pas de cheveux, rien! Sa queue se balançait librement entre ses cuisses rasées. Il avait dû être excité avant, son prépuce avait une goutte de bave qui pendait au bout. Ali les a accueilli.
— Assieds-toi Ben. C'est ton nouveau petit clebs?
— Oui. Pas encore habitué à sortir chez les amis comme tu vois. J'ai dû le corriger en bas de l'escalier!
— Approche le clebs! Montre ton cul si la correction est bonne, il doit t'en rester des traces.
Le mec s'est avancé vers Ali, il s'est tourné dos à nous. J'ai vu des traces rouges sur ses fesses. Ali a passé les doigts dessus en me regardant.
— Tu lui a caressé les fesses au ceinturon je vois. Avec Erica j'ai jamais eu besoin, elle est toujours d'accord! Des fois j'ai envie mais bof, faudrait qu’elle ne veuille pas un truc.
J'ai compris le message de mon maître sur ses désirs. Il a écarté les cuisses du mec par derrière, a vu la goutte au bout du prépuce en le tenant par les couilles.
— Erica! Lèche ça avant que ça tombe sur le sol!
Je me suis accroupi en écartant les jambes comme une fille et j'ai tendu la langue mais le mec a reculé sur Ali.
— Non! Pas une fille! Pas ça s'il vous plaît.
On a tous éclaté de rire et Ali l'a retenu plus ferme par les couilles. Et j'ai pu donner un coup de langue sur la goutte. Ali a commencé à discuter avec Ben en triturant les boules du mec en parlant. La sonnette a retentie.
— Va ouvrir Erica!
Je suis allé ouvrir cette fois à un couple, le mec en costar cravate et la fille en tailleur gris assez strict avec des petits talons et des bas. Ils m'ont détaillés des yeux, la fille a passé la main sous ma mini, sans gêne pour toucher ma queue.
— Remarquable! Vraiment! Je ne sais pas où tu as trouvé cette perle Ali mais on jurerait une nana!
J'ai vu le regard du jeune à poil changer et me détailler un peu plus en même temps que sa queue se tendait.
— Entrez! On attendait plus que vous. Je vois que Martine n’a pas pu attendre pour vérifier l'identité d'Erica! Et oui c'est un garçon! Pas très masculin mais sans hésitation malgré ses appétits sexuels de fille. Disons qu'il a une petite bite ou un long clito mais sa chatte prends bien la queue!
De l'entendre parler comme ça de moi me faisait bander dans le string serré et creuser encore plus les reins.
— Sers à boire à mes amis Erica. Bouge ton cul ma fille!
J'ai demandé ce que chacun prenait et j'ai ramené les boissons. Le jeune s'était assis entre les cuisses de son mec, je voyais sa queue tendue fixer à chaque pas entre mes cuisses sous la minijupe.
— Buvons! À notre santé à tous et aux trous de lopettes qui acceptent nos bites sans rechigner sur le travail.
Je m'étais assise, jambes repliées sur le sol à coté d'Ali, la main sur son sexe que je caressais doucement. Martine était sur un canapé et la main de son mec disparaissait entre ses cuisses. Le jeune avait les yeux brillants qui allaient de mes cuisses au sexe de son mec qui après avoir avalé une gorgée a plaqué sa gueule sur son entrejambe.
— Cherche ton os clébard! Ici on est chez des amis!
Ali tranquillement a sorti sa queue de son pantalon. Et Martine s'est penchée entre les cuisses de son mec. Je me suis penchée sur la queue d'Ali pour le sucer en salivant comme il aimait, Martine avait sorti une belle queue black du pantalon du mec et le jeune a plongé chercher son os en matant des deux côtés. Martine a avancé la main pour caresser mes tétons qui pointaient dans le body, me faisant gémir de plaisir et Ali a doigté le cul du jeune sans salive, le faisant couiner.
On chauffait nos mecs et j'avais besoin de plus que des doigts de Martine sur mes tétons, je suis monté à califourchon sur Ali pour me chevaucher sur sa queue. Ben s'est levé pour m'appuyer contre Ali et me doigter en plus me faisant gémir plus fort. Martine a sucé son doigt avant de le passer sur mes pointes, me faisant pratiquement décoller de bonheur. Le jeune lui a passé la tête entre les fesses de Ben et devait lui lécher l'anus.
Le copain de Martine lui a défait sa jupe et s'est planté dans sa chatte, elle portait pas de culottes dessous, je voyais la queue la pénétrer puis il l'a retirée pour la mettre dans son anus, la faisant gueuler comme une chienne! Ben après m'avoir doigté contre la queue d'Ali a posé sa queue contre la sienne et il a forcé pour me prendre en même temps qu'Ali. J'ai poussé un feulement quand Il a réussi à pénétrer à côté de la déjà belle bite d'Ali.
Martine se faisait sauter alternativement des deux côtés et couinait comme moi. Au bout d'un moment à me limer Ben s'est retiré et a plaqué le jeune sur un divan, il l'a sodomisé d'un coup de rein, avec la volonté de faire mal. Le mec a gueulé, moi j'étais à l'aise avec que la queue d'Ali. Il m'a retourné sur lui pour me prendre dos contre lui et m'a soulevé dans ses bras me dirigeant vers la bouche de Martine.
— Petite gouine, fais toi lécher par une fille, ça va te changer.
J'ai senti sa langue sur ma petite bite qui l'aspirait à la cadence à laquelle Ali me pilonnait. Il s'est retiré sans jouir, m'a lâché pour utiliser le trou disponible de Martine. Elle a eu droit à une bite dans le cul et une dans la chatte en même temps avant qu’Éric se retire pour aller tendre sa queue au jeune.
— Suce-moi la bite qui sent la vraie chatte!
Le jeune a écarté la bouche mais Ben l'a forcé sucé Eric et j'ai rigolé, sa queue a dégonflée très vite avant de reprendre sa taille.
— Une bite c'est une bite bâtard!
Ali a changé et il est allé sodomiser Martine me laissant la chatte libre et je me suis penchée sur la bite du jeune. Pas longue mais épaisse et sans les poils, c'était pas désagréable. Le petit salaud n'a pas su se retenir assez longtemps et m'a envoyé une dose de jus dans la bouche. J'ai avalé mais Eric avait vu ses contractions quand il a joui.
— Petit salaud! Même pas capable de te retenir! Je t'avais parlé de cage avant de venir et bien tu vas en porter une. Ça va calmer tes ardeurs! Ali? t'as toujours la cage de Paul? Celle où on peut ajouter des pointes au bout?
— Bien sûr!
Il s'est dégagé du cul de Martine pour aller fouiller dans son matos. Il est revenu avec une cage que je ne connaissais pas, en plastique dur, transparent, recourbée vers le bas et j'ai vu des petits picots qui pointaient dans le fourreau de la cage. Le jeune avait les yeux agrandis de frousse mais la queue raide, impossible à engager dans la cage.
- Erika! Recommence ce qu'il aime ! Pompe-le et tant qu'il débande pas tu continues!
Ali qui avait le plus gros gland des trois l'a enculé, me laissant pomper sa queue. Il jouait à sortir sa queue pour l'engager à nouveau dans le cul du jeune qui a pas tardé à me remplir une fois encore la bouche, mais la vue de la cage l'empêchait de débander et j'ai sucé encore. Il gueulait mais cette fois il a juste lâché 2 gouttes avant de débander complètement.
Éric a engagé sa queue décalottée dedans, le gland ne touchait pas les picots. Il a recommencé en mettant d'abord l'anneau autour des couilles pour coincer la cage sur l'anneau avec un cadenas.
— On a mérité un peu de repos. Martine! Sors le gode avec les attaches pour forcer le cul du gamin. Il peut plus bander, autant qu'il apprenne que son cul est à disposition de tous! Homme ou femme!
Elle a sorti une vraie matraque de son sac, y avait des attaches pour le fixer sur elle avec un bout qui dépassait pour qu'elle l'enfonce dans sa chatte. Elle l'a fixé en matant le cul du jeune.
— Il va le graisser à la salive avant que je lui défonce son petit cul.
Elle a fait claquer le gode dans sa main comme une bite.
— Allez petit, suce ça comme une bite de mec!
Il pouvait plus désobéir et il a sucé le gode, salivé, les yeux fermés sur le truc monstrueux. Quand Martine a jugé que c'était bon elle l'a retourné avant de l'enfoncer dans le cul du mec qui poussait des cris de pute. Martine baisait le jeune comme un fille. Sans l'imagination d'un mâle mais à grand coups de gode, l'autre partie devait frotter sur son clito et elle couinait de plaisir. j'ai demandé le prénom du jeune à Ben.
— Fréderic. Mais s’il aime vraiment se faire défoncer je vais changer ça en Frederica!
Je l'entendais couiner à chaque coups de gode et il bandait dans le vide malgré tout. Je suis passé sous lui et j'ai guidé sa bite dans ma chatte de lope en le pellant comme un mec pelle un autre mec. Il a apprécié visiblement de se sentir au chaud en moi. Martine me faisait les tétons, les roulait dans les doigts, les pinçait. Elle a eu un spasme et s'est arrêté de goder Fréderic.
En se détachant de lui le gode a glissé et Ali et Ben on rigolé de voir son trou béant. Avant de me jouir dans la chatte Ben a forcé Fréderic à lécher la chatte de Martine, encore gluante de sa jouissance quand elle a retiré le gode.
Ça devait être la première fois pour lui mais tout excité et chaud bouillant il a léché en ramonant ma chatte de mec. J'ai joui du cul comme une folle de bite que j'étais devenue quand il a giclé dans mon trou habitué à toutes les queues. On est resté un moment à reprendre notre souffle. Ben discutait avec Ali.
— T'as pas de la place pour garder Fréderic quelques jours ? Il a besoin d'un peu plus de dressage et de devenir un vrai clebs comme t'avais dans le temps. Perte d'autonomie, de pudeur, de caractère, Je sais que tu fais ça très bien et qu'il a besoin de ça. Un peu comme celui que t'as envoyé par bateau.
— Ouaih , possible, j'ai le chenil qui est vide sous le hangar. Il me faut ses papiers et une attestation signée par lui qu'il accepte tout ce qui lui arrive. Après y a pas de problèmes. Je suis chez moi et si on le voit c'est qu'on rentre dans le hangar. Pas d'attentat à la pudeur ni de viol puisqu'il est consentant. T'as des limites pour lui et tu me laisses juger ce qui sera bon?
— A ta convenance, pas de blessures ni de maladies. Mais bon ! Si il prend un rhume de cerveau, c'est pas le nez qui va couler !
Il a éclaté de rire.
Ali m'a dit d'aller chercher les demi-coques pour les couilles et je suis revenue en tortillant du cul avec les trucs en plomb.
— Fréderic! Allonges toi sur la table cuisses ouvertes!
Ali lui a malaxé le sac de couilles, étiré pour que je passe une demie coque dessous et l'autre dessus, sans pincer la peau et Il a vissé les coques l'une à l'autre. Elles étaient garnies de petits picots tout autour et dés qu'il s'est redressé sa démarche a changé. Les picots frottaient entre ses cuisses. Soit il marchait cuisses écartées, soit il relevait ses couilles dans la main.
— T'as essayé de lui mettre une chasteté anale?
Ben a rigolé :
— Je ne suis pas équipé comme toi !
Ali m'a envoyé chercher un paquet bleu assez lourd dans l'armoire à matos. Je lui ai ramené.
— Regarde Ben, ça ressemble à une grosse olive avec un espace et un socle. Tu enfonces l'olive dans le cul du mec ou de la nana et tu visses le socle, ça s'écarte dans le cul, et tu peux le fermer par un cadenas. Sécurité absolue de chasteté anale. Aucune possibilité de l'enlever sans faire des dégâts à l'anus! Je vais lui faire porter ça quand il est dans la cage à clebs, il pourra pas se faire sauter par un autre chien. Mets de la graisse dessus que ça glisse facile.
J'ai enduit l'objet de graisse à traire pendant que Ben faisait prendre la pose à Fréderic. Il a tendu le cul, inquiet de ce qui allait arriver.
Ali a pris l'olive par le bout et l'a glissé sans peine dans son cul. Il a tenu la base pour la visser, Fréderic a grogné sentant les morceaux de l'olive s'écarter dans son cul. Ali a tiré un peu dessus pour vérifier mais c'était bien bloqué et il a posé un cadenas sur la base, l'empêchant de s'ouvrir ou de se fermer.
— Avec ça dans le cul et une CB sur la queue tu rends fou un mec en peu de temps. Aucuns moyens de jouir, ni du cul ni de la bite! Il finit par réclamer du sexe en un rien de temps. Suffit de virer le truc du cul 1 à 2 fois par jour pour ses besoins et de lui remettre après. Bon il nous reste les trous de Martine et ceux d'Erica, plus la gueule de Fréderic.
Ben m'a fait approcher entre ses cuisses pour lécher son gland et Éric tendait sa bite à Martine.
— Suce bien que je fasse la différence entre deux femelles.
Ali lui avait pris Fréderic à part pour lui installer une CB avant qu'il bande comme un jaloux de voir son mec pénétrer d'autres trous. Quand ils sont revenus je couinais sous les coups de queue de Ben et Martine se prenait celle d'Eric, qui alternait le cul et la chatte. Ali a fait mettre Fréderic de côté pour qu'il voie en le suçant la queue de son mec faire couiner Martine.
Je voyais la queue de Fréderic tenter de gonfler dans la cb mais c'était impossible et ça faisait des bourrelets de peau sur les bords, son gland suintait dans la fente du bout de la cb.
— Apprends que t'es plus et que t'as jamais eu un mec exclusif Fréderic ! Quand Ben passait on se baisait souvent des petits minous ou des nanas. Alors regarde mais regarde à genoux en me suçant la bite comme tu lui fais à lui ! En mieux si possible, sinon il t'aurait pas autant fait cocu ! Bouffe-moi la bite, je veux sentir le fond de ta gorge avant de me retirer !
Fréderic s'est accrochée aux cuisses d'Ali pour le pomper mais sa queue était longue et a buté très vite au fond de sa gueule et il a dû se retirer les larmes aux yeux. Martine et moi on prenait notre pied en se faisant fourrer à grands coups de queue. On couinait comme de petites fofolles.
On regardait du coin de l'œil Fréderic essayer d'avaler toute la queue d'Ali mais à chaque fois il l'a repoussait avec un haut le cœur. Ali a attendu un moment et sans prévenir il a forcé sa queue à passer la luette de Fred, palpant sa queue dans la gorge. Fred est devenu rapidement tout rouge et Ali l'a lâché. Il a eu du mal a reprendre son souffle, il respirait très fort bouche ouverte.
— Va falloir aussi que je t'apprenne à subir une vraie gorge profonde ! A respirer le temps ou la queue n'appuie pas sur ta luette et te bloque la respiration. Tu auras des sensations d'étouffements très excitantes tu verras. Tu chialeras quand même mais au moins tu feras plaisir au mec qui te pine la tronche! Tu vas voir ce qu'une bonne chienne arrive à faire. Erica! Avance vers ma queue en te faisant bourrer la chatte.
A chaque coup de queue j'avançais vers Ali à 4 pattes, bouche ouverte et dés que j'ai pu je l'ai avalée dans ma gueule. Il bougeait pas et j'ai retenu ma respiration le temps que sa queue passe dans ma gorge et la déforme avant de reculer pour respirer très fort par le nez pour revenir sur sa queue.
Il me massait la gorge, il devait sentir son gland dans ma trachée et je me retirais. A chaque fois je reprenais mon souffle, derrière moi la queue me bourrait le cul et au bout de quelques fois Ali m'a retenu juste un peu plus pour jouir directement dans ma gorge au fond. Se retirant en m'envoyant une longue giclée sur le visage.
— Quand t'arriveras à faire ça Fréderic, tu seras une bonne salope! Une très bonne!
J'étais content du compliment et d'avoir fait plaisir à Ali. Le mec s'est retiré de ma chatte. Il rigolait.
— Quand t'as jouis Ali en lui tenant la tête j'ai senti son cul se contracter sur ma queue comme pour aspirer mon jus et j'ai jouis comme y a longtemps que j'avais pas jouis! Regarde elle refoule du jus de la chatte!
Ali a chopé Fréderic pour le coller à mes fesses.
— Lèche ce qui vient de la queue de ton mec ! Montre que t'aimes son jus!
Il a hésité à peine un moment et puis a commencé a passer la langue entre mes fesses me faisant gémir tellement j'avais la fente sensible. Ce petit salaud, je sais pas si il aimait le jus de son mec mais pour lécher un cul il savait s'y prendre! Je suis monté dans les aigus en sentant sa langue loin dans ma rondelle!

Fin de l'histoire

Profondeurs de mecs

Histoire du net. Auteur/Traducteur: Chabachaba. Prisonniers...

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 Pour finir de mois un texte extrême.
Je vous préviens tout de suite: 
TOUT Y PASSE!
A vous de voir si vous souhaitez lire...
C'est très bien écrit ou traduit et 
..... très cruel...

Famille Vendue
bychabachaba©
La vie réelle et nos fantasmes constituent deux mondes distincts et qui doivent toujours le rester. Texte très cru et histoire très hard (violence / inceste). Merci de passer à autre chose si vous n'êtes pas certain d'avoir envie de lire ce genre de récit.

Part 1 - La capture.
Le monde d'Evelyne s'était effondré il y a deux semaines. Deux semaines depuis leur enlèvement et le début de l'ignoble dressage. Et demain, on leur annonçait la venue d'un premier acheteur potentiel...
Elle était arrivée en Tanzanie pour dix jours de vacances avec ses deux enfants, Charlène 20 ans et John Junior 19 ans. Une tradition, respectée tous les ans : dix jours de vacances au soleil au moment des congés scolaires de février.
Se retrouver tous les trois, soudés et heureux, et profiter de la vie ensemble dans le cadre luxueux d'un hôtel de haut de gamme. Elle en avait les moyens... Et le droit se disait-elle.
Evelyne était fière de son parcours. La vie n'avait pas toujours été tendre avec elle: une grossesse survenue bien trop tôt -- elle était encore lycéenne -- et puis plus tard la mort de John, son mari. Cette nuit terrible ou elle reçut la nouvelle de l'accident, alors qu'il venait les retrouver tard le vendredi soir d'une (une de plus...) trop longue semaine de travail. Tué net dans les tôles de la voiture sortie de la route seule en pleine ligne droite. S'était-il endormi au volant? On ne le saurait jamais.
Évelyne avait fait face, veuve avec deux jeunes enfants. Son époux avait bien fait les choses : une très solide assurance-vie, généreusement complétée par le cabinet d'avocat qui les employait tous les deux et qui ne devait pas se sentir trop à l'aise face aux circonstances de la mort d'un collaborateur si visiblement surchargé de travail, avait permis de passer le cap sans réelle difficulté. John avait d'ailleurs toujours bien fait les choses.
Père « par accident » mais homme d'honneur, il avait soutenu Evelyne, seulement 17 ans et lycéenne à l'époque, proposant de l'épouser immédiatement et offrant même de venir vivre à Paris avec elle, lui le jeune avocat fraîchement diplômé de Boston, Massachusetts. Il avait trouvé sur le champ une bonne place dans l'antenne française d'un très réputé cabinet d'avocats d'affaires américain.
A 18 et 27 ans respectivement, Evelyne et John, jeunes mariés pleins d'optimisme et d'énergie avaient su tout mener de front avec succès : le décollage de la carrière de John, un deuxième bébé (John junior) mis en route sans attendre (car tant que l'on est dans couches et les biberons...), et enfin les études de droit d'Evelyne, qui, sept ans plus tard, rejoignait son mari au cabinet d'avocat, où il était devenu un collaborateur senior et l'un des principaux « money makers ».
Aujourd'hui, à 37 ans, Evelyne avait conservé toute la séduction de la lycéenne qui faisait chavirer les cœurs. Elle y avait ajouté le charme si profond de la femme qui a vécu, pour composer un bouquet absolument irrésistible : elle était belle, brune, grande, bien faite, soignée d'apparence, tonique grâce aux deux fois deux heures de club de sport hebdomadaires sans compter des soins esthétiques réguliers.
La maturité avait doté son corps élancé de belles formes. De généreux seins en poire et des hanches marquées lui faisaient une silhouette à propos de laquelle elle s'amusait intérieurement de voir le regard de tous les hommes s'attarder systématiquement.
Elle avait su oublier John, son mari mort, qui avait été certes un époux irréprochable, mais imposé quelque peu par les circonstances. Ses parents à elle, très traditionnels, ne lui auraient pas pardonné un avortement, ne lui laissant d'autre choix que de se marier.
Surtout que le jeune homme avait été un parfait gentleman, qu'il avait tout accepté, la prenant en charge et venant s'installer en France. Qu'aurait-elle pu oser demander de plus? En fait, au fond de son cœur, elle aurait voulu aussi trouver en lui un amant présent et romantique. Mais elle avait du apprendre à faire sa vie aux cotés d'un gestionnaire certes irréprochable mais donnant 80 heures et plus par semaine à son travail...
Elle s'y était résignée difficilement, même si elle lui avait toujours gardé un profond et sincère respect au regard de ce qu'il faisait pour elle et les enfants. Mais le respect et l'amour sont deux choses assez distinctes. Tout cela explique que, lui parti, elle n'avait pas eu de difficultés à revivre sentimentalement, s'accordant de temps à autre des aventures, que sa liberté financière assurée et son charme dévastateur, lui permettaient de choisir et de contrôler suivant son seul bon plaisir.
Fière de son parcours, Evelyne était fière aussi de ses deux enfants. John et Charlène étaient magnifiques. La fille avait la beauté de sa mère, le corps élancé, ferme, sportif, même si sa poitrine et ses hanches attendaient encore de futures maternités pour atteindre leur plein développement. Ses seins étaient deux fermes pyramides triangulaires tendues sur son buste. De son père, elle portait les cheveux blonds et les yeux clairs venus du sang irlandais. Bonne danseuse classique, enjouée et vivante, elle croquait la vie (et les garçons depuis deux-trois ans...) à pleines dents.
John, les cheveux clairs lui aussi, grand comme ses deux parents, était un bel adolescent, réservé mais affectueux. Sa fine corpulence, souple et équilibrée, et un beau visage bronzé avec une mèche sur les yeux lui assuraient de nombreuses attentions féminines et sa mère avait souri quand il avait commencé à découcher de temps en temps.
C'était en fait leur second passage en Tanzanie. Trois ans auparavant en effet, Evelyne et les enfants étaient revenus enchantés d'un premier séjour gardant en mémoire en particulier une journée formidable passée en excursion sur les plages de Pemba. Pemba, une grande île à une centaine de kilomètres au nord-est de Dar-Es-Salam, pouvait être rejointe par un petit avion mis à leur disposition par l'hôtel. Le petit monomoteur Cessna, équipé de flotteurs, décollait depuis la marina le matin et les y re-déposait le soir à temps pour le dîner.
Cette fois, ils étaient partis seuls avec le pilote vers Pemba. A peine descendus là-bas, quatre hommes s'étaient dressés et s'étaient jetés sur eux. Charlène avait tenté de fuir, mais pour être reprise presque tout de suite. Ligotés, quelques coups de poings reçus dans les cotes pour les faire se tenir tranquilles, un sac de toile sur la tête pour les aveugler, ils avaient été hissés tous les trois à nouveau dans le petit hydravion. Décollage, amerrissage (où?), transfert à terre sur la plate-forme d'un camion, puis un interminable voyage dans les chaos d'une route défoncée, la chaleur, les mouches et la poussière. Enfin, l'arrivée la nuit tombée et l'enfermement, les mains toujours liées, dans une cellule à trois.

Part 2 - Mise en condition.
Depuis combien de temps étaient-ils là? La femme rude arabe, qui était déjà venu plusieurs fois les faire boire, était revenue et, nouveauté, deux hommes massifs et musclés gardaient derrière elle la porte les bras croisés.
- Ecoutez moi! Je suis Fatou et je vais vous apprendre deux ou trois choses sur votre nouvelle vie » commença la femme en français.
- Libérez mes enfa...
Une magistrale paire de gifles s'abattit sur Evelyne et la réduisit aussitôt au silence.
- Toi la bourgeoise, ta gueule! J'ai fait suffisamment d'années de ménage dans votre pays de merde pour savoir votre langue et maintenant que les rôles ont changé, je vous crache à la gueule!
Joignant le geste à la parole, elle expédia adroitement un crachat directement sur le front de la française.
- Ici, c'est moi qui parle. Et moi seule. Compris?
Une seconde paire de gifles, aussi forte, tomba sur Evelyne, qui hocha la tête en signe d'acquiescement.
- OK. Vous avez été enlevés pour de l'argent. Pas pour une rançon. C'est vous la marchandise : vous serez vendus comme esclaves à des gens riches. Pour le monde, vous avez disparus avec l'avion, qui n'est pas rentré à l'hôtel avant-hier soir. Le pilote et l'avion sont en fait passés tranquillement au Kenya et y voleront avec une nouvelle identification. Des recherches actives ont été entreprises en mer entre Pemba et Dar-Es-Salam et l'ambassade de France a été informée de l'accident probable. Ses représentants étaient d'ailleurs à l'hôtel hier toute la journée. Vous serez déclarés morts et disparus en mer d'ici quelques semaines et cela ne fera pas plus de vagues que cela...
L'univers était en train de s'effondrer autour d'Evelyne...
- Vous êtes socialement morts, volatilisés. Bien avant ce temps là, on vous aura trouvé des propriétaires et vous leur aurez été livrés. On ne va pas trop vous éduquer en attendant, puisque les acheteurs payent plus cher une matière brute qu'ils peuvent transformer et ajuster en fonction de ce qu'ils ont comme projet ou fantasmes... On va juste vous « assouplir » un peu... Contentez vous d'obéir. D'obéir à tout et à tous Vous êtes désormais des objets. De la chair faite pour le plaisir. C'est notre industrie locale. Zanzibar, comptoir d'esclaves, cela ne vous rappelle rien? Des siècles d'une réputation commerciale sans tache au profit d'une clientèle exigeante : marins de passage, grands commerçants arabes, et aujourd'hui grâce au web, littéralement le monde entier... Généralement on travaille à partir de belles campagnardes pauvres, masaï ou autres, saisies dans l'arrière pays. Mais il y a d'autres possibilités : les jeunes pommés d'Europe qui «font la route» avec un sac sur le dos par exemple. En tous cas, merci à vous d'être venus de si loin pour nous! On vous avait déjà repérés il y a trois ans, mais là, en vous voyant de retour dans le hall de l'hôtel, l'occasion était trop belle. Quoique la première fois, on aurait eu plus de chance d'avoir une vierge à vendre avec la petite...
Évelyne aurait voulu pouvoir pleurer...
- Vous allez vivre à partir d'aujourd'hui pour donner du plaisir. C'est désormais la seule raison pour que l'on vous garde en vie. Rien d'autre. Et on va vous en faire la démonstration immédiatement...
Sur un geste de sa main, les deux hommes s'avancèrent dans la pièce révélant chacun un fouet dans leur main droite. CLAC! Un premier coup zébra le dos de Charlène qui se roula par terre en hurlant.
CLAC, CLAC, CLAC... L'un après l'autre, Évelyne, John, Charlène à nouveau, furent la cible de nouveaux coups.
CLAC, CLAC, CLAC, CLAC... Les fouets s'abattaient sur les trois captifs dont les bras liés faisaient des cibles sans défense ni protection. Hurlements, convulsions,...
CLAC, CLAC,...
- Arrêtez! Arrêtez! Je ferai tout ce que vous voulez! Tout! Arrêtez par pitié!
Hurla Évelyne en larmes en se jetant aux pieds de la femme.
- Arrêtez cela je vous en prie! Je ferai tout! Tout! Absolument tout!
D'une main levée, Fatou interrompit les hommes. Un sale sourire aux lèvres, elle commença à soulever sa longue robe sombre, découvrant ses jambes, puis ses cuisses et enfin la fente de son sexe noyée dans une épaisse toison noire.
- Lèche-moi! Suce-moi esclave d'occident! Fais moi jouir! Prouve moi que tu veux profondément te rendre utile!
Après un court regard en arrière vers ses deux enfants, Évelyne accepta de se sacrifier. Elle avança lentement la tête vers l'entrejambe de la geôlière, ouvrit la bouche et tendit la langue vers la fente humide.
Jamais elle n'avait encore prodigué cette caresse à aucune une autre femme. Bien sur elle n'ignorait pas le plaisir entre femmes : au salon d'esthétique parisien qu'elle fréquentait, avec la Édith une femme de son âge, qui s'occupait habituellement d'elle, elle avait fini par partager à chaque séance baisers et caresses dans l'intimité de la loge des soins.
Et les dernières fois, bien au-delà d'un simple flirt, elle avait laissé la main d’Édith descendre vers son entrejambe pour lui caresser les grandes lèvres, puis les petites. Par un doux mouvement autour de son bouton d'amour, Édith lui avait donné alors à plusieurs reprises de merveilleux orgasmes. Édith, très amoureuse de sa si belle cliente, l'avait suppliée tendrement d'accepter de la revoir en dehors du salon, un soir ou un week-end.
Évelyne était bien tentée, mais n'avait jusqu'à présent pas voulu donner suite à cette pressante invitation. Aujourd'hui, c'est contrainte et forcée, qu'elle allait se livrer au plus sordide lesbianisme. Elle anticipait déjà très clairement que ce n'était là que le début d'un très long chemin...
Écartant de la langue les lèvres de ce sexe féminin, elle commença à lécher, s'enfonçant chaque fois plus profondément, voulant satisfaire la geôlière pour qu'à aucun prix les coups ne recommencent à tomber sur ses enfants.
- Bien! Enfonce toi encore! Oui, c'est bien... C'est ça... Au fond... Remonte maintenant sur mon clito! Bien l'esclave, continue, applique toi... Bien... Tourne encore! Bien...
Évelyne obéissait à tout malgré son écœurement. Maladroite avec ses bras entravés, elle se donnait à fond, léchant bruyamment et sans retenue, la tête enfouie entre les cuisses grasses, ne pensant qu'à faire jouir celle qui avait provisoirement tout pouvoir sur sa famille.
Elle le savait : c'était de la prostitution. Elle se prostituait. Il n'y avait pas d'autre mot pour ce qu'elle était en train de faire. Et à la vue de ses deux enfants...
A coté d'elle, l'un des gardes lâchant son fouet avait saisi une poignée de cheveux de Charlène et ouvrant son pantalon de l'autre main, dégagea une queue épaisse à l'odeur forte.
Attirant la jeune femme à lui, il lui fit comprendre sans peine ce qu'il allait exiger d'elle. Terrorisée, le dos encore en feu, les yeux remplis du sacrifice de sa mère en cours à coté d'elle entre les cuisses de l'arabe, Charlène accepta à son tour d'ouvrir la bouche et de commencer à sucer le membre déjà à demi rigide.
Prenant la tête blonde entre ses deux mains, le colosse fit comprendre que non seulement la bouche, mais aussi le fond de la gorge était à lui, et Charlène dut engloutir la totalité de cette queue maintenant bien dressée.
Le viol se poursuivit longtemps sans pitié malgré les hoquets et les étouffements de la jeune femme. Seul comptait désormais le plaisir des maîtres...
Une minute plus tard, John lui aussi s'efforçait maladroitement de reproduire sur le dernier gardien cette caresse divine que certaines de ses girlfriends lui avaient parfois prodiguée.
Dans le bruit des sucions, le triple viol durait.
Les langues s'enroulaient autour des testicules des gardiens avant que les bouches soumises n'engloutissent à nouveau leurs membres luisants. Évelyne lapait et avalait les fluides de l'arabe, sa tête allant et venant entre les cuisses ouvertes.
Rien ne fut épargné et John et Charlène durent vidanger le sperme émis jusqu'à la dernière goutte, nettoyant même par de derniers coups de langues les queues de leurs violeurs.
L'arabe finit elle aussi par jouir dans un grand tremblement longtemps après les deux hommes, emprisonnant de ses cuisses tétanisées la tête de la mère, maintenue ainsi prisonnière de longues secondes le nez dans son intimité chaude...
- Bien! Apparemment vous êtes intelligents,  leur dit Fatou, le sourire aux lèvres,  Sachez continuer ainsi et vous vous éviterez le plus gros des ennuis..
Évelyne baissa la tête, désespérée de penser qu'ils ne pouvaient en fait que s'éviter le retour du fouet, mais pas celui des viols et du reste...
Libérés de leurs liens, ils furent nourris et douchés. Laissés nus, ils purent dormir sous de sommaires couvertures.
Part 3 -- Apprentissage de la soumission.
Le lendemain Fatou revint et, entraînant tour à tour Évelyne puis Charlène, elle procéda au rasage intégral de leurs deux toisons pubiennes.
Plus tard le même jour, les trois furent conduits, toujours intégralement nus, dans une plus grande pièce aux murs blancs, vide hormis un tapis central. Fatou ordonna à John et Charlène de s'accroupir le long d'un des murs, alors qu’Évelyne dut se placer sur le tapis. Les deux gardes de la veille étaient là eux aussi et l'un des deux s'avança vers Évelyne.
- Donne-toi à lui. Excite-le! Putain, fais lui l'amour! » Ordonna Fatou.
Évelyne eut un instant d'hésitation, paralysée à l'écoute de cet ordre sordide.
CLAC! John hurla de douleur, la marque rouge du fouet ayant traversé son épaule et son dos.
CLAC! Une deuxième striure lacéra le garçon.
Message reçu, Évelyne se colla immédiatement contre l'homme auquel elle était tenue de s'offrir. Elle se frotta à lui le plus lascivement qu'elle pouvait, faisant aller et venir ses seins sur la poitrine de l'homme, l'enlaçant de ses bras, lui flattant la nuque. Puis elle tendit ses lèvres et rechercha un baiser. L'homme se pencha vers elle mais il lui laissa l'initiative.
Il n'était pas fraîchement rasé et son haleine gardait les traces lourdes d'un récent repas, mais la française dut s'avancer encore, joindre ses lèvres aux siennes, l'embrasser, le flatter de ses mains. Feignant la plus parfaite lubricité, elle glissa ses doigts à l'intérieur du pantalon à la recherche de la queue qu'elle allait faire bander pour accomplir ce que ses geôliers avaient prévu pour elle. Mais tout valait mieux que des coups supplémentaires sur ses enfants...
Ayant dégagé le membre, Évelyne s'agenouilla et le prit en bouche. De ses deux mains elle ajoutait une caresse douce de l'intérieur de cuisses de l'homme dans l'espoir d'accroître son plaisir afin qu'il soit le plus rapidement possible en état de la prendre.
La tête docile allait et venait sur la queue circoncise, les joues et la langue jouant alternativement pour une meilleure simulation. Pendant qu'elle le suçait ainsi, l'homme fit passer son T-shirt par-dessus ses épaules et elle l'aida à se débarrasser du pantalon.
Étant parvenue à l'exciter suffisamment, Évelyne se coucha sur le tapis, et, écartant de ses doigts les lèvres de son sexe en une pose volontairement ultra provocante, les cuisses largement ouvertes, elle fit à l'homme une invitation irrésistible. Tout, tout plutôt que des coups supplémentaires sur ses enfants...
L'homme s'agenouilla, posa son gland sur les lèvres intimes qu'on lui offrait et « En avant! ». D'un puissant coup de reins, il fit glisser en elle son membre rigide. Le corps délicat et raffiné d’Évelyne se cabra souplement sous la poussée. Sans aucune lubrification intime - pas encore... - elle soufrait fortement mais elle sut garder un contrôle suffisant d'elle-même pour maintenir un semblant de sourire auquel elle tenta de donner une expression lubrique.
A mesure que le va-et-vient de l'homme s'établissait, elle ne parvenait plus à donner le change, aussi elle choisit, pour dissimuler sa détresse, d'enfouir son visage dans le cou de son violeur en un geste qui extérieurement pouvait passer pour un tendre câlin...
- On est décidément bien tombés : notre bourgeoise est sur une véritable pro! » commenta Fatou « C'est bien! Continue ma belle! Vidange le à fond!
Ces mots là lui firent plus mal encore que le viol. Allongée sur le dos, elle se faisait désormais proprement « labourer » par son puissant amant, qui ne semblait pas le moins du monde pressé d'en finir.
Il prenait tout son temps et faisait durer son plaisir. En lui écartant les fesses de ses deux mains, il plongeait en elle avec vigueur et lui imposait simultanément un baiser sur la bouche qu'elle était dans l'obligation de lui rendre.
Du coin de l'œil, elle ne pouvait manquer de voir Charlène et John, qui regardaient comme hypnotisés le viol public de leur mère. La forcer à se donner ainsi sous leurs yeux permettait à leurs ravisseurs d'atteindre deux objectifs à la fois : la briser elle directement et eux indirectement.
Elle était sans illusion sur la force du spectacle qu'elle leur donnait là : ouverte, couchée sous le mâle, possédée. Les lèvres de son vagin entourant et glissant le long du pieu luisant qui la forçait, étaient visibles de tous du fait de ses jambes relevées au tour de la taille de l'amant qu'on lui imposait.
Évelyne s'exhibait comme jamais. Elle devait y ajouter le spectacle du baiser fougueux auquel elle était contrainte. Mère, elle était obligée de donner l'exemple de la prostitution à ses enfants.
Le salaud! Elle lui en donnait et se donnait comme jamais elle n'avait de sa vie « gâté » aucun autre homme, que ce soit son mari ou ses amants. Et elle faisait sous la contrainte, avec la seule force de sa volonté, sans le soutien d'aucun sentiment amoureux pour son partenaire, regrettant alors amèrement de s'être tant réservée dans sa vie antérieure avec des hommes qu'elle appréciait alors qu'aujourd'hui (et demain...) c'est pour des violeurs qu'il lui faudrait avoir et renouveler toujours de telles faveurs...
Le deuxième gardien s'était approché de Charlène et la malheureuse jeune femme dut, comme la veille, lui offrir longuement sa bouche jusqu'à la plus complète satisfaction...
Pendant ce temps, le supplice de la mère se terminait. Le mâle en rut avait entamé une sorte de galop final, martelant littéralement le somptueux corps offert. Elle faisait face du mieux qu'elle pouvait en attendant impatiemment qu'il éjacule enfin au plus profond d'elle-même. La décharge libératrice finit par venir, copieuse et grasse.
Elle laissa l'homme s'apaiser, toujours planté en elle, avant qu'il ne se retire avec un «Ssouppss » sonore quand sa queue se libéra. Un trop-plein de sperme commença à sourdre doucement hors du vagin rose encore ouvert à la vue de tous.
- C'est bien! Lui dit Fatou. C'est comme si tu connaissais déjà tout du métier!
Le lendemain matin Fatou accompagnée d'un garde vint extraire Évelyne seulement de la cellule. Elle fut poussée dans une chambre où pas moins de cinq autres gardes les attendaient.
Ils la firent s'allonger sur un lit et les hommes lui saisirent bras et jambes, les écartèrent largement et l'immobilisèrent ainsi fermement sur le lit de toutes leurs forces conjuguées.
La malheureuse s'attendait à subir un viol multiple quand une vieille femme asiatique, habillée avec soin et au maquillage raffiné fut introduite dans la pièce par Fatou. Elle posa un vanity-case au pied du lit, en sortit délicatement une fine seringue couronnée d'une aiguille et elle vint se poster entre les cuisses ouvertes d’Évelyne.
- Ne bouge pas! Ce n'est que du silicone injectable : On va t'améliorer un peu pour te mettre plus au goût des clients. Madame Li n'a pas son pareil pour mettre en valeur nos marchandises...
Évelyne, terrorisée, entreprit au contraire de tenter de se libérer de l'emprise de ses ravisseurs. Fatou démasqua alors une main prolongée d'une sorte de longue télécommande noire et Évelyne fut instantanément foudroyée par une terrible décharge électrique.
- Un petit coup de jus, juste pour t'avertir. Je recommence en doublant la dose au moindre nouveau mouvement de ta part. C'est mon dernier avertissement : Tiens toi tranquille!
Évelyne, le souffle coupé, se tint désormais parfaitement immobile, le regard fixé vers le plafond, la brûlure à son coté encore cuisamment sensible. Madame Li, concentrée, commença son patient travail. Évelyne sentait parfaitement les doigts précis qui, en bas, écartaient ses lèvres intimes et les morsures régulières de l'aiguille en de multiples endroits successifs.
Tout l'entrejambe d’Évelyne lui fit l'impression de s'échauffer au fur et à mesure que le corps étranger était introduit dans ses chairs, les distendait, les remodelait. Madame Li s'interrompit plusieurs fois pour recharger sa seringue au grand désespoir de sa victime épouvantée par les conséquences à long terme de cette irréversible chirurgie.
Soudain l'aiguille pénétra le clitoris lui-même, le si sensible bouton d'amour. Évelyne trembla de tout son corps à la fois de douleur et de révulsion, mais parvint à rester immobile. Là encore, la matière étrangère fut introduite, étirant douloureusement les chairs si intimes et si pleines des plus fines terminaisons nerveuses.
Le calvaire prit fin. Madame Li et Fatou se souriaient et semblaient pleinement satisfaites. Évelyne put se redresser et fut immédiatement reconduite vers la cellule, qu'elle rejoignit d'une démarche difficile, avançant comiquement les jambes largement écartées du fait de la brûlure cuisante qui lui dévorait l'entrejambe.
Revenue auprès des siens, elle put enfin constater par elle-même les dégâts. Ses deux jeunes ne détachaient pas leurs yeux de son bas ventre et Charlène ne faisait
qu'ouvrir et fermer la bouche comme un poisson cherchant de l'air tant l'horreur qu'elle avait sous les yeux semblait l'étouffer.
On avait fait à sa mère d'obscènes grandes lèvres vaginales couronnées d'un clitoris protubérant de la grosseur de la phalange d'un doigt! La douleur était intense et dura tout le reste de la journée. La honte était plus immense encore et ne finirait jamais...
Le soir et le lendemain de l'opération, elle fut épargnée, afin de laisser à ses chairs meurtries le répit nécessaire. C'est la fine Charlène seule qui, allongée sur le tapis, dut satisfaire les deux gardes sous les yeux impuissants et résignés de sa mère et de son frère. Les deux colosses se vidèrent en elle l'un après l'autre avec des grognements satisfaits.
Le jour d'après, Évelyne reprit sa place sur le tapis aux cotes de sa fille. Elle était en un sens heureuse de pouvoir ainsi éviter à son enfant un double viol en prenant pour elle même une des deux parts de foutre à faire jaillir. Dérisoire consolation…
John, à genoux, finissait pour sa part de faire jouir à coups de langue la rude geôlière arabe.
Cette séance dite d'« assouplissement » se répétera chacun des jours suivants. Obtenir des deux jeunes un peu plus qu'une participation passive aux séances de viol nécessita bien quelques coups de fouet ou de teaser électrique supplémentaires, mais on pouvait leur en fournir autant que nécessaire...
Au bout de dix jours, Fatou était satisfaite : tous les trois, sur simple commande, se prostituaient désormais avec ardeur. Ils étaient prêts pour être présentés aux acheteurs potentiels que l'Internet avait déjà alertés.



A suivre....

Histoire du net. Auteur/Traducteur: Chabachaba. Prisonniers... Suite

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 Pour finir de mois un texte extrême.
Je vous préviens tout de suite: 
TOUT Y PASSE!
Et c'est de plus en plus dur...

 
Famille Vendue
Suite
Part 4 - La vente
Nue, maquillée, juchée sur de longs talons aiguilles, une fine chaîne dorée autour de la taille et une autre à la cheville, Évelyne attendait immobile sous la lumière crue.
Ouverte, les jambes écartées, les seins dressés, les deux mains posées sur le crâne, elle se laissait fouiller, palper, évaluer. L'acheteur était derrière elle maintenant et ses mains descendaient le long de son dos, puis sur ses fesses, testant la fermeté des chairs comme la douceur du grain de la peau.
Il avait commencé précédemment par son ventre, soupesant les seins et jouant d'un doigt sur son clitoris désormais obscénement protubérant. Un doigt se posait maintenant sur l'anneau brun et musclé de son anus et poussa pour y pénétrer. Évelyne prit soin de n'offrir aucune résistance.
Au contraire même, elle força légèrement ses sphincters pour lui faciliter l'introduction et tenta un maladroit mouvement du bassin, tendant ses fesses vers la main qui s'introduisait en elle en forme d'invitation lascive. Un deuxième doigt s'introduit à son tour et commença à lui élargir le cul.
Elle devait plaire, absolument et à tout prix, pour garder ses petits avec elle, son seul et dernier trésor désormais.
- Very nice French whore indeed... » Lâcha l'homme posté derrière elle.
[Une très belle putain française en effet...]
Elle n'avait encore jamais été enculée par personne. Elle était parfaitement vierge de l'anus. Il ne lui avait pas échappé que lors de tous les viols des jours passés, on lui avait épargné ainsi qu'à ses enfants cette humiliation et cette douleur. Mais elle était certaine aussi que ce jour là viendrait tôt ou tard...
Sûrement avait-on prévu de mettre à prix cette virginité là aussi... Elle continua de faire aller et venir son bassin d'avant en arrière, forçant l'entrée en elle de cette main étrangère, s'enculant volontairement puisque c'est ce qu'apparemment on attendait d'elle.
Son conduit anal lui faisait atrocement mal, forcé qu'il était sans lubrification aucune, mais surtout, elle était devenue rouge de honte, les joues en feu, à cause du spectacle qu'elle donnait devant les yeux de ses propres enfants.
La honte avait commencé avant d'entrer.
Fatou s'était approché des deux femmes avec à la main un petit pot plein d'un onguent translucide. Elle l'avait appliqué sur les tétines de leurs seins, puis en avait enduit leurs vagins, avant de les diriger toutes les deux vers la salle d'exhibition d'une méprisante tape sur les fesses. Immédiatement Évelyne avait senti la chaleur montrer en elle.
Ses seins s'étaient dressés, comme animés d'une vie propre. En haut de ses cuisses, d'abondantes secrétions intimes commençaient à l'embarrasser. Charlène avait été mise dans le même état que sa maman à en juger par ses bouts de seins tendus et l'humidité visible à l'œil nu entre ses lèvres intimes.
Avant la mère, l'homme - Etait-il l'acheteur réel ou seulement son représentant? - s'était d'abord approché de la sublime Charlène, lui touchant les seins, jaugeant ses dents, ses cheveux, puis descendant le long de son ventre plat vers son sexe. Il y avait introduit des doigts, la fouillant profondément.
- Virgin no more... To be expected with these Western bitches... » Siffla-t-il.
[N'est plus vierge... Il fallait s'y attendre avec ses salopes d'Occident...]
La jeune fille elle aussi ne s'était pas dérobée à l'immonde palpation, même si elle n'avait pas pu s'empêcher de détourner son regard.
Charlène et elle-même, femmes et belles, pouvaient naturellement être vendues sans difficulté.
Mais John Junior? Quel futur pour lui? Brisé, hormoné, transformé en objet de plaisir sur mesure pour une clientèle gay, qui le défoncerait sans limite? Ou bien éliminé car inutile, dépecé peut-être pour fournir de sinistres banques d'organes clandestines?
Mais surtout, s'ils venaient à être vendus séparément dans ce monde souterrain de la traite d'esclaves, c'était la certitude absolue pour les trois de ne plus jamais jamais se revoir. La certitude aussi de ne plus avoir jamais le réconfort, même très minime, d'être au moins ensemble pour affronter les inimaginables horreurs que le futur leur réserverait.
Elle en avait parlé avec John et Charlène la veille. Elle les avait convaincus facilement et elle leur avait fait jurer avec elle de tout faire, de tout accepter, de tout promettre en vue de ne pas être séparés. Il fallait absolument qu'ils soient vendus ensemble. Séduire à trois un acheteur. Qu'il prenne le lot. Qu'il trouve en eux suffisamment d'intérêt pour accepter de payer le prix plus élevé d'un lot d'esclaves.
Evelyne savait au fond d'elle-même que ceci signifiait la certitude à terme d'un surcroît d'horreurs à endurer. Vendues séparément, Charlène et elle pouvaient en effet encore espérer finir par servir comme prostituées dans un bordel quelconque. « En être descendue à n'espérer plus que de faire une fin comme putain dans un claque... Quelle dérision! » Pensait intérieurement Evelyne. Quarante clients par jour ou plus. Peut être un peu moins les premières années, tant que leur beauté leur éviterait encore une mise à l'abattage pure et simple. Horrible sûrement, mais classique et, considéré froidement, encore un type de futur concevable. Au moins pour elles deux...
Mais obtenir qu'un acheteur les désire suffisamment pour les prendre comme un lot, tous les trois, suppose que ce riche acheteur veuille assouvir sur eux des envies et des fantasmes si particuliers et si abjects que seule une telle configuration peut lui procurer. Evelyne, adulte, était sans illusion aucune sur ce sujet. Rester à trois et être prêts à tout pour cela, c'était d'abord garantir à leur futur propriétaire une absolue servilité de chacun à ses moindres désirs, les possibilités de chantage de l'un sur l'autre étant absolument illimitées. Tout, absolument tout, deviendra alors possible pour le propriétaire, qui pourra tout demander et tout obtenir d'eux trois, même l'inimaginable... Ensuite être vendus en famille, acheter une famille, suppose logiquement un ou une propriétaire que le tabou de l'inceste fascine...
L'homme était maintenant auprès de John, soupesant longuement son pénis, étirant les testicules, comme ceux d'une bête. L'adolescent lui aussi avait été juché sur des chaussures de femme à talons aiguille, une fine chaîne dorée ornant aussi sa cheville, le vendeur tentant adroitement de suggérer par cette mise en scène androgyne le potentiel érotique de la marchandise offerte à la vente.
Il se laissait faire, écartant les cuisses pour offrir le meilleur accès à son intimité. « Brave petit » pensa en elle-même Evelyne. Il lui fallut ensuite sucer et nettoyer avec sa bouche les doigts précédemment souillés dans le fondement de sa mère. John le fit sans hésitation marquée, montrant sa soumission en sachant maintenir un regard docile vis-à-vis de l'homme qui l'humiliait.
« Let them wank a little to see how hot they are...» Demanda l'homme.
[Faites les se branler un peu pour voir si ils sont bien « chauds »...]
Fatou, après traduction, s'avança et leur ordonna :
- Masturbez-vous! Allez, branlez vous! Montrez que vous en voulez!
Ils obéirent tous les trois, enlevant les mains de sur leurs têtes pour les porter vers leurs entrejambes. Evelyne, au coeur de la honte, mais résolue à tout pour emporter le choix de l'acheteur, prit même sur elle de commencer à onduler lascivement du bassin.
Libères de leur propre culpabilité par l'exemple venu de leur mère, ses deux enfants firent bientôt de même. Quel show! Trois corps magnifiques en pleine lumière, leurs longues jambes musclées montées sur talons aiguilles, largement écartées et ondulant au gré de l'exhibition obscène des organes sexuels que les trois malheureux stimulaient avec une énergie si désespérée qu'on aurait pu finir par la trouver touchante...

Part 5 -- Dans le lit du maître.
Cela avait marché : le lendemain Fatou était venue les informer que l'acheteur de la veille avait accepté de les prendre comme un lot. Ils allaient rester ensemble. Soulagement.
Du long voyage qui suivit, Evelyne ne se rappelait presque rien. On leur avait fait boire quelque chose avant de partir et, après, elle avait eu la tête lourde et elle ne faisait plus que s'endormir... Il y a avait eu une voiture, puis elle se rappelait d'un avion, un jet privé luxueux où elle s'était endormie à même le sol, le nez dans la moquette.
Tout les trois s'étaient retrouvés en Asie du Sud, en Indonésie devaient-ils apprendre plus tard de la bouche d'un serviteur qui savait quelques mots d'anglais.
Une très vaste maison dans un parc, un ensemble de maisons en fait, gardées par des hommes et des chiens, servies par un personnel à la peau sombre et parlant une langue incompréhensible. Les rares vues possibles sur l'extérieur ne montraient au loin que des montagnes couvertes d'une dense forêt tropicale.
Des hélicoptères pouvaient être entendus, allant et venant régulièrement, semblant être le seul moyen de rejoindre le monde extérieur. Aucune clôture visible. Peut-être le parc était-il immense? Ou alors étaient-ils dans une île privée, une de ces milliers d'îles dont est faite l'Indonésie, pays refuge discret des fortunes colossales apportées par la récente et fulgurante ascension économique de l'Asie?
Arrivée là, Evelyne avait pensé à se suicider. Mais, outre qu'elle n'était pas certaine d'en avoir le courage pour elle même, il lui aurait fallu aussi soit tuer ses enfants avec elle (!) soit, pire peut-être, les abandonner seuls au désespoir de leur abject destin.
De cette lâcheté là, elle était totalement incapable. Elle vivrait donc, elle se soumettrait à tout pour, tant que cela serait en son pouvoir, les épargner et leur apporter le peu de soutien maternel qu'elle pourrait pour traverser les horreurs que le futur leur réservait.
Ils furent présentés au maître le surlendemain soir après le dîner. Nus, alignés, ils virent arriver un chinois âgé, en peignoir, grand et un peu gros, fumant au moyen d'un long porte-cigarette de nacre. L'acheteur de la vente n'avait donc été qu'un représentant.
Leur propriétaire tourna autour d'eux se concentrant sur les deux femmes en faisant tranquillement ses commentaires à voix haute. Il glissa par derrière une main rêche entre les cuisses d'Evelyne et la fit remonter vers son intimité. La mère se laissa faire, écartant même les jambes pour lui faciliter son intrusion. Placidement elle se laissa fouiller.
- An authentic ass-virgin, I have been told. And the daughter as well... Quite surprising for French women..." Commenta t-il.
[Une vraie vierge du cul m'a-t-on assuré. Et la fille de même... Vraiment surprenant pour des françaises...]
Apparemment satisfait, il fit signe à Evelyne de le suivre tandis que les deux enfants étaient conduits hors de la pièce par les serviteurs. Il la précéda dans une vaste et luxueuse chambre où trônait un lit immense couvert de cousins et aux draps de soie.
Le maître se déshabilla et alla s'allonger sur le lit. Evelyne dut regarder pour la première fois le lourd sexe jaunâtre qui balançait sous la bedaine du chinois. Cette masse de chair qui avait le pouvoir de décider de son avenir et de celui de ses enfants. Cette masse de chair à laquelle elle allait donner sa bouche, son sexe et, sûrement un jour aussi, la virginité de son cul. Cette masse de chair qui demain souillera et violera à son tour sa précieuse Charlène...
- Come and suck me like you all do it so well in Paris! »
[Viens là et suce-moi comme vous savez toutes si bien le faire à Paris]
Evelyne s'approcha et se glissa entre les cuisses écartées. Sa bouche fardée s'approcha du membre assoupi, s'ouvrit et sa langue se mit à donner de petits coups précis, sur les bourses d'abord puis, remontant le long de la queue endormie, vers le gland.
Rapidement, sous cette stimulation adroite, le pénis grossit et la bouche soumise put entreprendre de l'avaler entièrement. Il glissa simplement dans la chaude caverne qui l'aspirait. Le maître, heureux, s'étira lascivement. La connaissance du combat contre elle même que devait mener Evelyne pour lui offrir une telle caresse ne faisait que renforcer son plaisir.
La belle tête brune se mit à aller et venir lentement absorbant entièrement l'organe sexuel à chaque plongée, qu'Evelyne finissait le nez dans les poils pubiens de son bourreau. Au plus profond, c'étaient les contractions reflex de son arrière gorge qui faisaient comme un massage autour du gland déjà presque engagé dans son oesophage.
Heureusement pour elle, un tel traitement était tellement exquis qu'il était impossible au maître de l'endurer plus de quelques minutes sans jouir.
Comme il avait ce soir là d'autres projets pour elle, il lui fit comprendre de cesser d'une poussée de la main sur son front et il lui dit :
- You would prefer a fuck, wouldn't you? » [Tu préfères baiser, n'est ce pas?]
- Y... Yes, Master. Of course.
Se força à répondre Evelyne, essayant de deviner les désirs de son propriétaire.
- Then ride me and make it good! » [Alors chevauche-moi et fait en sorte que ce soit bon!]
Elle avait compris. Elle se redressa, l'enjamba en plaçant ses pieds aux cotés des hanches de son maître. S'accroupissant, elle saisit le membre rigide entre ses doigts délicatement manucurés et en guida le nœud rougi vers l'entrée entrouverte de sa caverne intime.
D'un très lent mouvement continu vers le bas, elle s'empala alors sur lui jusqu'à venir sentir le contact de ses testicules contre la peau de ses fesses. On y était! Pour la première fois - il y en aurait des centaines d'autres elle le savait - elle était la femelle prise par cet homme dont elle était devenu le jouet vivant.
En tremblant, elle commença à monter et descendre par le jeu de ses cuisses, lentement pour maximiser son plaisir à lui, pour le faire durer, pour être inoubliable pour lui, pour se rendre nécessaire, indispensable même si cela était possible.
Ses seins lourds se balançaient sur son buste en un fascinant ballet. Le maître en saisit et en étira les extrémités entre ses doigts crochus, la contraignant à se torturer elle-même à chaque empalement.
Animal obéissant, elle était tenue de soutenir le regard de celui qu'elle voyait peu à peu sous elle monter vers le plaisir, chaque marche qu'il franchissait vers l'orgasme étant une marche de plus qu'elle descendait dans l'abjection... Enfin le regard du maître se troubla et il arqua brutalement son corps vers le haut s'enfonçant encore plus profondément en elle si c'était possible.
Elle ressentit une nette sensation de chaleur au fond d'elle-même, preuve des brûlants jets de sperme que l'homme déversait au fond de sa féminité profanée.
Elle resta emmanchée sur lui le temps qu'il ait fini de s'épancher en elle, lui laissant vivre son plaisir jusqu'au bout.
- Kiss me! Say me thank you, slave!
- Thank you Master. Thank you.
Dit doucement Evelyne en soutenant difficilement son regard.
Elle se pencha vers les lèvres de son maître, y posa les siennes et laissa leurs deux langues se joindre dans un baiser profond qu'elle prit grand soin de lui laisser l'initiative d'interrompre.
Elle dut encore le nettoyer, toujours avec sa bouche, avant qu'il ne l'autorise à partir. Evelyne quitta le cœur lourd la chambre luxueuse pour aller retrouver ses enfants.
En marchant, elle pouvait sentir le sperme chaud qui s'écoulait doucement hors d'elle le long de l'intérieur de ses cuisses. Ce soir, pour la première fois, elle avait fait son devoir, tout son devoir. Un devoir d'esclave.
Le lendemain matin, Evelyne fut menée seule vers une pièce où plusieurs serviteurs, hommes comme femmes, l'attendaient. On lui fit comprendre de s'asseoir sur une chaise située au milieu de la pièce.
Une fois assise, à sa grande frayeur, plusieurs des présents se saisirent d'elle et l'immobilisèrent fermement. Une jeune femme approcha alors une fine pince de son visage. Elle tenta de se dérober, mais tenue fermement au torse, à la tête et par les bras, elle ne put bouger d'un pouce.
Une douleur fulgurante la traversa quand, d'un geste sec et précis, on lui perça la paroi du nez. Trois minutes plus tard elle repartait vers sa cellule, un anneau d'or décorant - ou défigurant c'est selon - son visage. Sur le retour, elle croisa sa fille que l'on poussait vers même supplice. Evelyne baissa les yeux en gardant le silence...
John lui aussi fut muni d'un anneau nasal le même jour. On lui installa en plus autour du pénis une sorte de cage fermée par une clef : s'il pouvait toujours uriner librement, toute érection lui devenait physiquement interdite.
Il était la plus part du temps gardé seul, à part de sa mère et de sa sœur.
Deux ou trois fois par semaine, les trois étaient réunis pour quelques heures, souvent le temps d'un repas, avant que le jeune homme ne soit reconduit vers sa solitude.
Aucun mal ne lui était fait : parfois on l'utilisait pour des travaux de force sur le domaine, mais la plupart du temps il restait enfermé seul, comme en réserve... Evelyne comprit bien vite qu'il s'agissait d'une forme de chantage : on vous réunit de temps en temps pour vous prouver que tout va bien, tout en vous maintenant constamment à l'esprit qu'il pourrait facilement en être tout autrement...
Les deux femmes de leur coté étaient enfermées dans une sorte de studio dotée d'une douche et du nécessaire pour se maquiller, ainsi que de quelques bijoux de pacotille. Les seuls vêtements mis à leur disposition étaient des chaussures de soirée à talon. Rien d'autre, pas même des strings.
La pièce ne comportait pour tout meuble qu'un large matelas, propre et assorti de quelques couvertures. Elles étaient nourries deux fois par jour et, pour le reste du temps, elles s'ennuyaient, réduites à devoir attendre pour savoir si elles seraient violées ou non le soir suivant, en fonction de la fantaisie de leur propriétaire.
Ces sorties nocturnes étaient leur uniques « distractions » et elles en venaient même parfois à, d'une certaine manière, les souhaiter...
Deux jours plus tard. Evelyne et sa fille furent appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlène d'être souillée pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard de sa mère.
Une routine s'installa. Les deux femmes servaient leur propriétaire quasi-quotidiennement. Esclaves sexuelles dociles, elles se donnaient à lui et à ses vices sans qu'il ait à utiliser sur elles (ou sur leur fils et frère) la violence ou même seulement la menace de celle-ci.
Evelyne restait en alerte espérant qu'un jour, quelqu'un ou quelque chose, lui permettrait de s'arracher et d'arracher ses enfants à leur esclavage. Pour cela il était primordial de tenir et surtout d'éviter tout ce qui pourrait amener le maître à les revendre, à les séparer ou à commettre sur eux (ou l'un d'entre eux) quelque barbarie irréparable.
La docilité d'Evelyne cachait un calcul très rationnel d'où il ressortait que maximiser le plaisir du maître, qu'essayer de se rendre irremplaçable à ses yeux était le meilleur moyen de préserver les chances à long terme de sa famille.
C'est donc en toute lucidité et par un immense effort de volonté qu'elle donnait soir après soir à ce quasi-vieillard les plaisirs les plus extrêmes et qu'elle acceptait d'avoir pour lui les complaisances les plus sales. Elle lui prostituait son corps magnifique dont elle veillait soigneusement à maintenir la beauté, se frottant à lui, l'embrassant le plus intimement, littéralement comme si sa vie en dépendait, et elle veillait toujours à son absolue satisfaction, l'invitant systématiquement à un nouveau rapport sexuel ou une nouvelle fantaisie jusqu'à ce que, fatigué, il décline et la faisait repartir dans ses quartiers.
Le risque du fouet était naturellement aussi une autre très très bonne raison aux ardeurs qu'elle témoignait dans le lit de son maître Cela va sans dire...
Réunies après les moments passés dans la chambre du maître, les deux femmes tentaient de se réconforter mutuellement comme elles le pouvaient. Maternelle, Evelyne prenait sa fille dans ses bras et l'aidait ainsi à s'endormir. Un soir elle dut faire face à une crise de désespoir, Charlène ne se pardonnant pas de s'être surprise à avoir un orgasme à l'issue d'une longue séance de prise en une profonde levrette par le maître.
Evelyne dut mentir et lui affirmer qu'il s'agissait là d'une chose aussi naturelle et inévitable que la faim ou la soif, et que, elle aussi, en était déjà passée par là. Pieux mensonge, mais mensonge à demi seulement, Evelyne le savait, car son corps avait déjà été à deux doigts de la trahir, notamment du fait de la vicieuse modification apportée à son clitoris qui en était devenu hypersensible.
Elle redoutait qu'un jour l'inévitable finisse par se produire effectivement. De toutes façons se disait-elle, il doit bien y avoir dans les armoires des pharmacies de ces pervers, les drogues ou les hormones appropriées pour que, si tel devenait le bon plaisir de leur propriétaire, plus rien ne puisse alors empêcher qu'elles soient contraintes de jouir à répétition, même parfaitement à leur corps défendant, et que le maître se fasse alors un spectacle de cette nouvelle étape de leur avilissement...

Part 6 – Enculées.
Chaque fois qu'elles se retrouvaient entre ses mains, le maître jouait à leur introduire un doigt dans l'anus. Rappel cruel de l'inévitable première sodomie dont lui seul déciderait du jour et de l'heure. Evelyne et Charlène y étaient résignées et en avaient parlé ensemble. Un sujet à propos duquel la mère ne pouvait, on l'a vu précédemment, pas enseigner grand-chose à sa fille...
Le maître faisait durer l'attente. Sage, il savait progresser pas à pas dans la gradation des « jeux » sexuels qu'il imposait à ses deux acquisitions, les forçant à se prostituer dans une dépravation sans cesse croissante, les dépouillant soir après soir de leur innocence comme on pèle soigneusement un oignon.
Il savait tirer d'elles chaque soir un plaisir nouveau, gérant habilement son capital pour en tirer pour lui-même une jouissance maximale. Lorsque arriva le soir du jour qu'il avait choisi, il fit venir mère et fille ensemble dans sa chambre. Evelyne en entrant trouva au milieu de la pièce une sorte de banc courbé en fer à cheval, un bel objet de bois brut recouvert de cousins de velours rouge.
Pour la première fois depuis que cette chambre était le théâtre de leurs viols, quatre serviteurs étaient présents, deux ayant à la main des cameras vidéo numériques.
- Display yourself there! Tonight you will give me your ass's cherry..."
[Place toi la dessus! Ce soir, tu vas me donner la virginité de ton cul...
« C'est donc pour ce soir... » Se dit-elle en baissant la tête et, soumise, elle se mit en place de son plein grés à quatre pattes sur le meuble, les genoux sur les branches du fer à cheval, des branches dont l'écartement calculé la contraignait à écarter largement les cuisses et à offrir ainsi un parfait accès à son postérieur.
La hauteur du meuble était telle que toute victime ainsi exhibée pouvait être prise par un homme debout, sans fatigue pour le violeur qui n'avait plus qu'à poser les mains de chaque coté du fessier largement offert et à l'attirer à lui...
Les cameramen se mirent en place, un par derrière et l'autre se concentrant sur son visage. « Le vieux salaud veut garder des souvenirs éternels de « ma première ». » Pensa-t-elle amèrement.
Le maître, moins par gentillesse, que poussé par le souci de son propre bien-être, accorda néanmoins une forme de douceur à la malheureuse Evelyne, même si elle la paya cher en terme de honte.
Charlène fut requise pour lubrifier l'anus de sa mère puis, au moyen d'un phallus de plastique, dut « ouvrir » le fondement maternel et l'assouplir en anticipation du viol à venir.
Ce pré-viol, de la mère par la fille, fut douloureux malgré toutes les précautions que pouvait prendre par Charlène et la camera n'en perdait rien, enregistrant chaque contraction, chaque grimace sur le visage de la femme.
Le spectacle de l'avilissement de la mère par la fille, la vue des frissons (de douleur) qui parcourrait le somptueux corps de femme lorsque s'y enfonçait le god de plastique noir, provoqua vite une belle érection chez le vieux chinois.
Se dépouillant brusquement de son somptueux peignoir de soie, il fit signe à Charlène de se retirer. Evelyne le sentit se mettre en place derrière elle entre ses jambes écartelées. Puis il y eut le contact des ses cuisses contre les siennes et, immédiatement après, elle se figea lorsque le gland de l'homme vint au contact de l'anneau de son anus dilaté et luisant de lubrifiant.
L'œil de la camera enregistra comment le gland repoussa les chairs du canal anal pour forcer son chemin dans les profondeurs de l'esclave, s'enfonçant lentement mais continûment, centimètre par centimètre, élargissant l'orifice souple, jusqu'à ce que les couilles du chinois viennent au contact les grandes lèvres du vagin de sa victime.
Malgré tout son immense contrôle sur elle-même, Evelyne ne put s'empêcher de trahir sur son visage le dégoût et l'horreur que lui inspirait ce qu'on la forçait à accepter.
Avec le viol enregistré sous tous les angles, le maître pourrait se faire un beau montage de la perte de son pucelage anal. Enculée. Une enculée. Une enculée jusqu'à la garde, voila ce qu'elle était désormais. A la vue de tous et toutes.
Désormais à son aise en elle, les mains crochées sur les lobes de ce beau fessier, dont il pouvait user à volonté, il commença son travail de sape, pilonnant, pistonnant, l'enculant de toutes ses forces, avec toute la vigueur qu'il pouvait trouver en lui. Le fait d'enculer une blanche le stimulait suprêmement.
A grands coups de reins, il l'empalait, jouant du pouvoir sexuel de sa queue enfouie en elle. Une fois au fond du ventre de son esclave, il ressortait presque totalement de l'anus dilaté, le gland au bord du cratère brun, puis repartait au fond du boyau, qu'il élargissait ainsi impitoyablement, poussée après poussée.
La française vivait l'assaut bestial comme un cauchemar éveillé. Elle était à deux doigts de préférer le fouet à cette abjection. Et encore, et encore... Cela durait abominablement.
Enfin, enfin il se lâcha et éjacula dans le fin fond son cul profané. Il grogna tel un fauve. Il resta un grand moment en elle, collé contre elle, puis, sa queue perdant lentement du volume, il se retira. Evelyne resta en place, brisée de douleur et de honte.
Elle aurait aimé pouvoir refermer son fondement mais rien n'y faisait : elle ne commandait provisoirement plus à son propre corps. Le chinois lui avait littéralement « cassé le cul ».
Et la camera, qui vint enregistrer quand elle commença à se vider du surplus de leurs secrétions mêlées, fit le pendant de celle qui immortalisait les larmes de honte qui glissaient silencieusement sur ses joues, emportant son maquillage...
Une semaine plus tard. Evelyne et sa fille furent à nouveau appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlène d'être défoncée par derrière pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard des cameras et de sa mère, cette dernière ayant eu à préparer le vieil homme par d'une fellation savante avant qu'il ne soit en capacité de posséder sa fille.

Part 6 -- Servir les invités.
Ce soir-là, Evelyne et sa fille furent amenées nues au grand salon. Le maître finissait d'y prendre un thé digestif avec deux étrangers à la maison, un homme d'affaire asiatique, malais ou peut être thaï, la belle cinquantaine aux cheveux argentées, et une femme chinoise assez grasse, déjà sûrement largement dans ses soixante ans et dont le regard perçant glaça le sang d'Evelyne.
Une lesbienne, elle en était certaine à 100%. Et une lesbienne vicieuse...
La conversation était en mandarin, mais il n'était pas difficile pour les deux esclaves de comprendre que le maître ne proposait rien de moins à ses deux invités que de se choisir un jouet sexuel pour la nuit! Evelyne pria alors Dieu (s'il y en avait un pour elles...) que l'homme choisisse sa fille et qu'il épargne ainsi à son enfant l'horreur d'une nuit dans le lit d'une telle femme.
Mère et fille durent s'exhiber, jambes écartées, mains sur la tête en ondulant du basin. Et le Ciel exhaussa ses vœux : c'est d'elle, Evelyne, dont la vieille chinoise avait envie ce soir.
Charlène partit ainsi vers une probable longue, mais sinon par ailleurs «classique», séance de fellation/pénétration/sodomie aux mains de cet homme non choisi certes, mais finalement assez physiquement acceptable. La mère savait sa fille désormais suffisamment endurcie en ces matières pour que ceci puisse être envisagé comme un moindre mal.
Pour elle, la nuit serait longue. Elle n'avait aucune illusion à ce sujet et c'est le cœur très lourd qu'elle suivit comme un animal docile la vieille femme lorsque celle-ci choisit de se retirer dans la luxueuse chambre qui avait été mise à sa disposition pour la nuit. Le maître avait cru bon de lui faire savoir au moment ou elle quittait la pièce :
- Good night! And you, whore, make her happy or else your son... »
[Bonne nuit! Et toi, putain, rends la heureuse sinon...]
La première menace jamais entendue dans sa bouche depuis son arrivée sur le domaine. Evelyne se le tint pour dit...
La chinoise se déshabilla, révélant un corps âgé, ridé, au ventre rond et aux seins tombant avec des bouts larges et extrêmement sombres. Elle tenait sa toison pubienne soigneusement rasée, comme celle d'une petite fille, mais avec des lèvres intimes larges et un peu distendues. Elle posa enfin sur la coiffeuse sa perruque laissant voir un crâne presque dégarni couvert seulement de quelques mèches blanchâtres.
Elle revint sur ses pas et, se collant contre Evelyne, entreprit le viol méthodique du corps sain et sublime qui était sa proie pour la nuit. La vieille savait tout, c'est-à-dire bien plus qu'Evelyne, sur le sexe entre femmes, et elle ne lui épargna rien ni aucune caresse ni aucun attouchement.
Evelyne dut embrasser, lécher et caresser l'entièreté de ce corps usé, aucune répulsion, aucune pudeur ne comptant plus. La chinoise s'échauffait à mesure que duraient ces jeux saphiques et maintenant elle fouillait littéralement le corps soumis de la française.
Evelyne dut consentir à tout, absolument à tout. C'était un viol total, qui allait infiniment plus loin dans l'intime que tout ce que les hommes dans leur furie sadique lui avaient fait subir jusque là : à la vieille, femme comme elle, elle ne pouvait rien dissimuler, rien cacher...
Puis l'ancêtre se leva et alla sortir d'une de ses valises un god double avec ceinture. Elle introduit délicatement le plus petit bout à l'intérieur de son propre sexe et ajusta et ferma la ceinture de cuir autour de sa taille. Ainsi équipée, elle allait pourvoir vivre ses fantasmes jusqu'au bout.
Le faux pénis flexible qui depuis l'entrecuisse de la chinoise pointait vers Evelyne, était massif avec la représentation des veines et du gland bien marquée. Evelyne, qui n'avait encore jamais eu quelque chose d'aussi imposant en elle, eut une dernière pensée pour remercier le ciel d'avoir au moins épargné ce supplice à sa fille si fine et longiligne. Et puisque elle-même avait su accoucher deux fois, il ne lui restait qu'à compter sur la souplesse naturelle de son corps...
La vieille lui fit l'aumône de lui permettre de sucer le god pour offrir quelque lubrification préliminaire. Les mouvements de la tète et de la bouche de la française sur le god extérieur se transmirent au god intérieur offrant a la vieille lesbienne un avant-goût des plaisirs à venir.
Evelyne s'efforçait de saliver le plus possible pour lubrifier au mieux le latex, ce qui la contraignait à émettre les sons de succion disgracieux... D'un simple signe de tête, la chinoise lui fit savoir que c'était assez. L'esclave française s'allongea sur le dos et s'exposa son intimité en vue de son immolation imminente.
La vieille la défonça.
Forcée, ouverte, écartant ses cuisses autant qu'elle le pouvait, comme clouée sur ce lit comme un papillon, elle était convaincue que jamais son corps ne retrouverait sa forme initiale après avoir laissé s'introduire en elle un pareil mandrin...
Et tout cela pour la simple transmission par le média du double god de vibrations bienfaisantes au sein du sexe de la vieille... « Qu'elle sinistre perversion! » pensa Evelyne, qui dut offrir sa bouche servile à un long et impératif baiser profond. La chose dura une éternité avant que la chinoise, le feu dans les yeux, ne finisse par se faire jouir au travers de l'accouplement mécanique qui liait les deux femmes.
Même repue, la vieille n'en avait pas encore fini avec son jouet d'un soir.
Evelyne dut subir l'enlacement de la chinoise qui voulut s'endormir toujours fichée dans son vagin, mais en la prenant par derrière celle fois, les deux femmes couchées en chien de fusil, la vieille dans le dos de l'esclave.
Evelyne connut là une longue nuit sans sommeil, son intimité distendue, veillant à ne pas troubler le repos de sa maîtresse, dont elle sentait la respiration régulière sur ses épaules.
Au matin, la française dut s'acquitter d'une dernière longue caresse buccale, la tête profondément enfouie dans la moiteur des cuisses de l'ancêtre, réveillant de la langue la sensualité fatiguée de la dominatrice lesbienne avant d'être autorisée à partir et à dormir enfin.
A suivre...

Histoire du net. Auteur/Traducteur: Chabachaba. Prisonniers... Fin

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 Pour finir de mois un texte extrême.
Je vous préviens tout de suite: 
TOUT Y PASSE!
Même la cruauté  psychologique...



Famille Vendue
Fin
Part 7 - Plongée dans l'enfer de l'inceste.
Evelyne avait vu juste dès la veille de la vente : Acheter une famille, suppose un ou une propriétaire que le tabou de l'inceste fascine. Dès leur première présentation au maître, elle en eut la sinistre confirmation à l'écoute de ses commentaires sur sa récente acquisition et son insistance malsaine sur «Family» et ces «Nice family...» Qu'il répétait avec une évidente gourmandise. En jour ou l'autre Evelyne savait que l'ignoble moment viendrait...
Evelyne redoutait que le maître, malgré tout l'empressement dont elle faisait preuve à son égard, ne finisse par se lasser un peu d'elles et qu'il ne veuille ranimer son désir par des spectacles ou des machinations « plus corsées »..
La première fois eut lieu une nuit qu'Evelyne et Charlène avaient été appelées ensemble pour servir le maître en sa chambre. Allongé sur son lit, il se faisait administrer, comme plusieurs fois déjà dans le passée, une fellation à deux bouches par la fille et la mère.
Mais, alors que la fille l'avait en bouche et travaillait le gland d'un mouvement tournant de sa langue, et tandis qu'Evelyne, le nez dans la toison pubienne du vieux, léchait les bourses poilues, le maître se redressa et leur ordonna :
- Kiss! Kiss yourself! Play with each other in front me!
[Embrassez-vous! Faites l'amour devant moi!]
Les deux femmes, qui comprenaient toutes les deux parfaitement l'anglais, surent instantanément qu'un nouvel instant de vérité était arrivé. Se redressant lentement, elles se regardèrent l'une l'autre, désemparées, perdues. Il n'y avait pas d'alternative. Il fallait obéir.
Mais Charlène vit dans les yeux de sa mère que celle-ci ne pouvait pas, que ce qu'on exigeait d'elle était au-delà de la force de sa volonté. C'est alors la fille qui prit les choses en main et qui guida sa mère à la dérive.
C'est elle qui approcha ses lèvres de celles de sa mère, qui joignit leurs deux corps en un baiser d'abord très doux, puis de plus en plus sexuellement chargé. Elle l'enlaça, mimant d'abord les caresses avant de rendre ses gestes plus précis et plus appuyés, glissant ses mains vers les lourds seins maternels et leurs tétines qu'elle sut tendrement faire durcir, puis enfin vers l'entrejambe humide.
Evelyne perdue se laissait dominer et conduire. L'habileté de sa fille la surprit. L'excitation de ses lèvres par la fine langue agile puis la simulation de ses glandes mammaires provoquèrent en elle une montée d'excitation sexuelle, d'autant plus qu'étant inconsciemment si certaine, et depuis si longtemps, qu'une telle aventure incestueuse était inscrite dans leur futur, cela avait en quelque sorte constitué une préparation psychologique qui avait réduit en elle l'horreur instinctive associée à un tel événement.
Charlène restait avec John la dernière personne avec qui existaient des relations basées sur la tendresse, le respect et l'amour. Charlène qui l'enlaçait était la dernière personne qui ne lui voulait pas de mal.
Lorsque les fins doigts de sa fille se posèrent sur son clitoris proéminent et hypersensible, ce fut comme si une digue se rompait dans le cœur de cette femme qui avait assumée tant de choses si lourdes et depuis tant de semaines...
Elle se mit à rendre ses caresses à sa fille, par la bouche d'abord, puis avec ses mains, caressant le corps magnifique de son enfant, de la chair de sa chair. En elle vivait désormais une envie irrésistible de donner du plaisir, de faire le bien, de faire jouir encore et encore ce corps ami et précieux et d'épuiser dans une extase sexuelle leur amour mutuel.
Les deux femmes se faisaient maintenant furieusement l'amour, se donnant absolument l'une à l'autre et ignorant totalement le regard voyeur que leur maître posait sur elles. Celui, redressé sur le lit, mangeait des yeux le spectacle de ces deux créatures somptueuses emportées par un ouragan de passion sexuelle. Il en conçut une excitation incroyable et développa une érection formidable qu'il n'avait nul besoin d'encourager par une quelconque masturbation.
Evelyne et Charlène s'étaient mises en position de « 69 », Charlène en dessous, et, les cuisses largement ouvertes l'une à l'autre, ne vivaient plus que dans la fièvre de se faire jouir réciproquement. Son clitoris boursouflé faisait de la mère une proie plus facile et elle parvint avant sa fille à un premier et puissant orgasme, redressant sa tête pour gueuler sans retenue son bonheur animal, ses lèvres luisant des secrétions intimes de sa fille.
Provisoirement assouvie, elle replongea la tête entre les cuisses ouvertes et entreprit de plus belle d'amener à son tour Charlène à l'orgasme. Celle-ci sentit sa mère pourchasser furieusement de la langue son bouton d'amour pendant que les doigts maternels introduis dans son fondement lui procuraient une excitation délicieuse.
Son ventre musclé eut une série de contractions de plus en plus puissantes et incontrôlables jusqu'à ce qu'elle expulse de son vagin jusque dans la bouche d'Evelyne une large quantité de liquide intime et qu'un orgasme monstrueux la submerge et l'emporte. Elle aussi hurla à son tour son plaisir à s'en casser la voix...
Le maître, transporté de désir, vint alors se placer derrière Evelyne, ses cuisses poilues venant surplomber le visage de Charlène. Il introduisit son membre infiniment dur dans le vagin gluant de la mère et ordonna parallèlement à la fille :
- Lick my balls, you whore! » [Lèche moi les boules, toi la salope!]
Le propriétaire reprenait ses droits. La jeune femme obéît docilement et commença à faire tourner sa langue agile autour des testicules du chinois.
Celui-ci, ayant empoigné Evelyne par les hanches, la baisait de grands coups de reins. Son intimité défoncée et le contact régulier des testicules de l'asiatique contre son clitoris gorgé de sang conduisirent l'esclave française à un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier.
Simultanément son maître jouit lui aussi, le sexe massé par les contractions internes du vagin de l'esclave jouissante, et il vida comme jamais à l'intérieur de son somptueux jouet vivant. Le foutre excédentaire coulant comme l'eau à la fontaine à l'extérieur du vagin maternel, Charlène eut à le recueillir dans sa bouche et elle l'absorba en elle.
Vidées de leurs forces, les deux femmes en sueur gisaient l'une sur l'autre. Avec le peu de lucidité qui restait dans son cerveau épuisé, Evelyne savait qu'« ils » avaient gagné : ils lui avaient fait, ainsi qu'à sa fille, franchir un cap d'au-delà duquel personne ne revient jamais.
Ils avaient perverti son esprit ainsi que celui de Charlène, brisant leurs barrières morales les plus sacrées et avaient fait d'elles des monstres. Plus rien, plus aucun frein après cela ne les arrêterait jamais sur le chemin de la perversion. Elles ne résisteraient plus, ne refuseraient rien quel que soit l'abjection des demandes. Elles étaient condamnées...
Ayant repris quelques forces, la mère et la fille se redressèrent, se relevèrent, et, sans un mot de leur maître ni sans un regard pour lui, elles quittèrent la chambre, main dans la main.
Le lendemain matin, un profond changement se produisit dans l'organisation de leur vie quotidienne. Le chinois, homme fin et bon connaisseur de l'âme humaine, avait intuitivement compris la nature du bouleversement qui venait de se produire dans l'âme de ses deux esclaves femelles.
Il ordonna en conséquence qu'elles vivent désormais séparées dans deux studios distants. Ainsi sa chambre à lui devenait le seul endroit ou elles se retrouvaient en présence l'une de l'autre. Il attendait ainsi -- et son stratagème fonctionna à merveille -- que leurs étreintes lesbiennes en sa présence en deviennent encore plus « chaudes », intimes et passionnées.
Vivant désormais dans une solitude renforcée, frustrées de la présence de l'être ami, frustrées sexuellement, les deux femmes ne pouvaient s'empêcher, remises en présence l'une de l'autre, de laisser libre cours à un sentiment ou l'amour humain, le besoin de fraternité et l'envie sexuelle composaient un mélange explosif.
Par le spectacle de leur passion, le maître avait trouvé le moyen d'accroître son propre plaisir à la fois comme voyeur de leurs ébats et par la démonstration de sa dominance absolue sur l'esprit et l'âme de ses deux captives. Apres cette soirée, elles durent répéter leur duo sexuel à chaque fois qu'elles furent demandées par lui, celui-ci se finissant dans l'une ou l'autre, bouche, vagin ou cul suivant son bon plaisir.
Un autre changement fut que le vieux, fasciné par le surcroît d'excitation que provoquait chez la mère la modification apportée à sa zone clitoridienne, voulut disposer d'un pouvoir similaire sur la fille.
Cela se fit au moyen de la pose d'un anneau d'or au travers de la base du clito de cette dernière, un anneau dont le passage empêchait mécaniquement la rétractation du bouton au cœur des chairs intimes. La chose fut si efficace, que la semaine suivante, Evelyne portait un ornement semblable.
Ce qui avait autrefois été la cause d'une crise de désespoir chez la fille devenait leur réalité quotidienne : on les forçait mécaniquement à l'orgasme pendant les viols...
Enfin, pour briser plus encore le trio au plan psychologique et rendre la chose encore plus irréversible, John fut contraint -- une boule de caoutchouc engagée dans sa bouche pour faire taire toute possible protestation -- à être le fréquent spectateur des furies saphiques de sa mère et de sa sœur.
Il les vit faire et elles avaient vu qu'il les avait vu…

Part 8 -- Plus loin encore...
Une grande fête se préparait manifestement. Le domaine bruissait d'activité et les deux esclaves avaient été prévenues individuellement de se préparer au mieux.
On vint chercher Evelyne alors que la nuit était tombée et elle fut amenée dans la salle prévue pour la fête, nue comme toujours hormis les fines chaussures à hauts talons.
Les invités du maître étaient là, assis en un large cercle autour d'une scène centrale improvisée. Un murmure d'admiration et d'envie marqua l'arrivée de cette belle femme nue qui, à 39 ans maintenant, révélait une beauté peut-être effectivement encore supérieure à celle dont la jeunesse et les années de danse classique gratifiaient sa fille.
Elle retrouva Charlène qui l'y attendait depuis quelques minutes immobilisée au milieu de la scène par un dispositif aussi simple qu'efficace : Une fine chaîne de métal partait entre ses cuisses depuis l'anneau clitoridien, passait au travers d'un anneau fixé au sol au niveau du nombril pour allait rejoindre l'anneau nasal. La seule position tenable pour la jeune femme était de se maintenir à quatre pattes la tête baissée et les fesses dressées, son intimité visible et accessible de tous.
Evelyne fut mise en place parallèlement à sa fille à environ deux mètres de distance à sa gauche. Comme elle aurait voulu être autorisée à s'enlacer avec elle et laisser courir son brûlant amour, même au prix d'une obscène exhibition supplémentaire sous les yeux de la trentaine de riches voyeurs que le maître avait rassemblés!
Mais elle avait compris que ce n'était pas cela qu'il avait prévu pour elles ce soir là. Les deux cameras vidéo sur trépied installées au bord de la scène et le flot de lumière baignant le cœur de l'arène ne lui disaient rien de bon, mais, au terme de tant d'épreuves, Evelyne était désormais bien au-delà d'une honte aussi mineure...
Un bâillon fait d'une large boule de caoutchouc tenue par une lanière de cuir fermée derrière la tête fut appliquée aux deux femmes. Regardant autour d'elle, la française ne voyait que des regards luisants, excités par les alcools d'un bon repas et qui attendaient avec paillardise quelque surprise extraordinaire que leur hôte raffine avait imaginée pour eux.
Aux cotés de l'asiatique, assise sur un fauteuil au premier rang, elle reconnut la vieille chinoise lesbienne, qui l'avait tant « forcée » lors de la sinistre nuit.
Le maître frappa deux coups brefs dans ses mains. Les deux femmes captives virent entrer John, leur John, nu, poussé en avant vers elles par deux serviteurs. Son organe sexuel avait été libéré de sa cage d'acier. Ses mains étaient menottées très court derrière son dos.
Evelyne pouvait constater en se retournant que la vue des deux féminités nues et offertes provoquait chez son fils une excitation grandissante et incontrôlable, conséquence inévitable de plus de deux années de frustration sexuelle absolue imposée à un corps de vingt ans.
Les serviteurs le firent s'agenouiller derrière elle. Immobilisée comme elle l'était, elle ne pouvait en rien protéger l'accès à ses parties intimes. Largement ouverte et exhibée, elle sentait l'air s'écoulait le long de l'intérieur de ses cuisses et sur les lèvres entrouvertes de son vagin.
Elle ne pouvait qu'imaginer le spectacle qu'elle donnait ainsi : un appel puissant aux pulsions les plus primitives d'accouplement. La boule enfoncée dans sa bouche la réduisait au silence.
Elle sentit la chaleur du corps de son fils au contact des ses cuisses et de ses fesses. Elle trembla d'horreur à l'anticipation de ce qu'on allait les forcer à faire.
- Pardon maman. Pardon... Oh pardonne moi s'il te plait...
Il poussa ensuite un immense et si profond soupir de soulagement à l'instant, où elle sentit la virilité de son fils qui s'enfonçait au plus profond d'elle-même.
Immédiatement John, comme emporté par son désir trop longtemps contenu, se mit à la pilonner avec frénésie, sa queue entrant et sortant à toute vitesse de l'orifice maternel.
Sa mère, pour s'éviter d'être déchirée au nez ou au sexe, se devait de synchroniser précisément les mouvements de son corps avec les poussées que lui imposait son fils, donnant ainsi involontairement un caractère harmonieux à leur accouplement bestial.
En une dizaine d'allers-retours seulement John junior explosa en elle, poussant en une puissante contraction de ses cuisses et de ses fesses pour se vider au plus profond de cette caverne pour lui si bienheureuse.
- Pardon... Pardon maman...Pardon...
Se mit-il à pleurer, à la fois si soulagé et parfaitement désespéré.
Elle s'était faite prendre comme une jument au montoir, comme une chienne montée par le male dominant la meute : vite, brutalement et sans soucis de son plaisir à elle.
Mais pour celle dont le corps était livré depuis deux années exclusivement soit à un amant de prés du double de son âge soit forcé au lesbianisme, ce rut animal, certes frustrant, avait réveillé en elle le goût trop longtemps oublié d'autres étreintes...
Des applaudissements et des sifflets enthousiastes virent saluer cette première performance. Celle-ci avait été naturellement bien trop rapide au goût du public rassemblé, mais John, frustré de tout soulagement sexuel depuis tant et tant de mois, avait encore de profondes réserves en lui.
Une minute seulement après avoir sailli sa mère, son érection avait repris et c'est cette fois derrière Charlène que les assistants le firent s'agenouiller. La jeune femme ne put pas plus se soustraire à l'envie de son frère, mais elle grogna et secoua la tête furieusement pendant tout le temps leur accouplement contre nature, en témoignage de sa rage et son désespoir.
A peine apaisé dans les entrailles de sa sœur aînée, John pouvait renouveler une fois de plus sa performance et c'est d'ailleurs bien ainsi que l'entendait le maître Il monta derrière sa mère et en quelques minutes de copulation fiévreuse, il injecta en elle encore plus de sa semence fertile.
Après une quinzaine de minutes, il retrouva la force nécessaire pour revenir labourer sa sœur une seconde fois. Il la lima longtemps et Evelyne ne put qu'assister pendant de longues minutes au spectacle de leurs deux corps bougeant en cadence, le pieu luisant de son fils entrant et sortant de la croupe svelte de sa fille.
Le maître, peut être agacé de la modeste rébellion manifestée par la jeune l'esclave femelle lors du premier accouplement, donna un ordre bref à une toute jeune femme parmi les servantes présentes.
Celle-ci vint immédiatement s'accroupir auprès de Charlène, et, passant une main menue sous le ventre de la jeune femme, elle entreprit de la masturber adroitement pendant le coït en cours. Les yeux de Charlène commencèrent à se dilater et sa mère ainsi que tous les voyeurs en cercle purent voir les tétons de ses seins se tendre avant que, quelques minutes plus tard, l'enfièvrement d'un puissant orgasme ne fassent trembler tout son corps et que de sa gorge sorte un long grognement.
Un véritable hourra s'éleva alors du public et Charlène, vaincue, ne manifesta plus rien, se contentant d'accompagner le mouvement imposé à son corps par les poussées orgasmiques de son frère.
La petite servante entrepris alors sur John une fellation en vue de le remettre en forme une fois de plus. Le jeune homme auquel un tel plaisir avait été refusé depuis littéralement une éternité retrouva très vite sa vigueur.
La jeune femme appliqua par ailleurs discrètement un onguent le long de la hampe sexuelle du jeune homme pour garantir par des moyens chimiques la bonne fin du spectacle vicieux imaginé par le propriétaire des lieux.
John fut pour la troisième fois accouplé à sa mère. Comme au profit de la fille quelques minutes plus tôt, la jeune servante la masturba impitoyablement mais avec une science consommée pendant que son fils cavalait derrière sa croupe. Comme sa fille, Evelyne ne put éviter de donner à tous le spectacle d'un orgasme au cœur de l'inceste. Et même d'un second orgasme avant que John ne se vide encore au cœur de la matrice originelle.
La soirée se conclut par la troisième insémination de Charlène, John ayant été une fois encore « remis en forme » par la petite. Il lui fallut certes longtemps cette fois, bien naturellement, mais il parvint malgré tout à honorer sa sœur et à accomplir la fonction naturelle dévoyée qui était le cœur de cette exhibition publique.
C'est une Charlène brisée qui se laissa branler encore une fois par la jeune servante habile et l'on obtient d'elle, une fois encore, le spectacle voulu.
L'esprit d'Evelyne était à la dérive, choquée par la violence qui était faite à sa famille, par l'énormité d'avoir eu un orgasme reçu de son propre fils. Tandis que John et Charlène finissaient leur copulation, elle tentait de comprendre, de trouver un sens.
Tout cela était terrifiant. Pourquoi leur maître avait-il ordonné une chose pareille?
N'étaient-elles plus -- sa fille et elle -- ses favorites?
Pour la première fois depuis les viols avant la vente, un autre homme que le maître avait été autorisé, et à plusieurs reprises, à jouir en elles-mêmes. En effet, même lorsque Charlène avait du passer la nuit avec cet invite du maître, elle avait confié à sa mère le lendemain que celui-ci ne l'avait prise, certes à plusieurs reprises, mais que par la bouche ou le cul. Apparemment, son sexe était «off-limit» pour l'invité cette nuit là.
Le tonnerre des applaudissements et des hurlements de joie des spectateurs marqua la fin du «show», tout ce monde se leva a grand bruit et repartit joyeusement vers la grande salle à manger, laissant derrière les deux femmes fixées au sol comme deux animaux, la tête baissée et les fessées toujours dressées, contraintes de garder en elles le sperme issus du rut.
John fut évacué d'un autre coté.
La vieille asiatique les regarda longtemps avant de quitter en dernier les abords de la scène désertée. Evelyne fit alors dans sa tête la dernière connexion : les deux visites d'une sorte de gynécologue dans les dernières semaines, visites humiliantes auxquelles Charlène et elle avaient été soumises!
Etait-il possible aujourd'hui le maître les ait forcées à...?
On les maintint ainsi plus de deux heures, seules face à leur déchéance, les matrices humides du liquide séminal dont elles avaient été remplies. Au loin, les bruits de la fête parlaient de joie et le bonheur de vivre.
Avec le dernier désespoir Evelyne tenta au moyen de contractions de ses parois intimes d'expulser d'elle-même le fluide fécondant, dans parvenir à rien. Rendues muettes par les boules de caoutchouc enfoncées dans leurs bouches, les deux femmes ne pouvaient rien communiquer et, tandis que Charlène suivait des yeux le corps de sa mère qu'elle voyait animé de convulsions auxquelles elle ne comprenait rien, Evelyne elle ne pouvait détacher son regard du ventre si plat de sa fille chérie...

Part 9 -- Ton maître partout tu serviras...
Le lendemain, Evelyne fut convoquée en pleine journée devant le maître. Charlène et John, chacun la bouche pleine d'un god, y avaient été menés eux aussi sous bonne garde. Aux cotes du maître, la vieille chinoise était assise dans un second fauteuil. Très calmement, un sourire ironique sur les lèvres, il leur fit part de sa décision :
- Slave, you will be trusted to my beloved sister for the coming year. I expect you will serve her like you would for me if not better. And your offspring, if any, will belong to her."
[Esclave, je te confie à ma chère sœur. J'attends que tu lui rendes les mêmes services qu'à moi-même, sinon mieux. Et le fruit de ton ventre, s'il y en a un, lui appartiendra à elle.]
Le sans d'Evelyne se glaça. Cette salope là était donc sa sœur! Et le « fruit de mon ventre » : c'était donc vrai qu'il l'avait fait! Il l'avait fait...
- In twelve months from now, you have my word that you will be reunited with your son and daughter. »
[Dans douze mois d'ici, tu as ma parole que tu seras réunie avec ton fils et ta fille]
Charlène s'effondra au sol en pleurant -- venait-elle seulement à l'instant de comprendre la raison des accouplements incestueux de la veille? -- tandis que John tanguait sur ses jambes, visiblement choqué. Les serviteurs firent un pas vers lui pour prévenir toute folie de sa part.
- Now, you go. And remember: behave or else... »
[Allez maintenant et n'oublie pas : soit soumise ou sinon...]
Des pensées terrifiantes tournaient dans l'esprit d'Evelyne : Douze mois durant, enceinte, livrée à la vieille lesbienne perverse... Et ses enfants gardés en otages ici...
Cinq minutes plus tard, un hélicoptère s'élevait dans le bleu ciel de l'île.

Fin


Harcèlement sexuel.....

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On en parle beaucoup en ce moment...
Mais au cinéma s'en est plein...!

Rediffusion


Histoire du net. Auteur inconnu. Fornication addictive

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Il n'a qu'une femme pour écrire comme cela.
Il  y a prescription vu son âge.
Un conseil: ouvrez un classeur excel pour suivre.

Mon pauvre Bernard
Devenue grand-mère, mais encore désirable – désirée aujourd’hui même – je vais te dire quelques choses qui ne te feront sans doute pas beaucoup plaisir mais qui sont ma vie.
Dépucelée, quasiment violée, à dix-huit ans par un soudard, dans une voiture au son d’une musique de bal de campagne, ne m’avait pas prédisposée à devenir une obsédée de la bagatelle. Deux ans s’écoulèrent sans qu’aucun homme ne me touchât jusqu’à ce que je te rencontre. Je t’ai bien fait patienter trois mois avant de te céder tant j’avais gardé un mauvais souvenir de cette première fois. Mais je découvris rapidement que l’amour bien fait pouvait être fort agréable et je me mis à aimer beaucoup ça.
Mariés jeunes, des enfants très vite, la routine s’est installée. Je t’ai rapidement su un peu dragueur, je m’en suis d’abord sincèrement offusquée puis ma colère s’est transformée en comédie, que tu prenais pour argent comptant.
Ta fierté d’homme était sauve : ta femme n’aimait pas que tu la trompes. Nos rapports se sont espacés, souvent trop vite expédiés, même si j’ai toujours éprouvé beaucoup de plaisir à faire l’amour avec toi et une vraie tendresse nous unit encore. Nos boulots nous apportent une aisance financière qui nous permet de ne pas avoir de différends sur ce sujet-là.
Fier comme un coq, ou comme tous les hommes, tu n’as jamais supposé que d’autres hommes puissent s’intéresser à moi ou bien que, s’il s’en trouvait un susceptible de me faire des avances, je puisse y succomber.
Une fois pourtant, je t’ai avoué qu’un homme me draguait au travail et tu m’as encouragée à l’encourager et à lui céder. Ce que j’ai fait, et ça t’a d’ailleurs beaucoup excité. Tu m’as fait l’amour comme un sauvage pendant que je te disais que je l’avais sucé, qu’il m’avait tripotée et que nous avions fait l’amour, sur un tas de cartons, dans une discrète réserve, et que j’avais beaucoup aimé le côté sauvage de cette aventure. Mais tu as pris ça pour un accident, une aventure sans lendemain, comme une lubie et tu as oublié. Eh bien, tu as eu tort, mon petit mari. Celui-ci n’était pas le premier et il ne fut pas le dernier.
Tes copains, sans que je sache bien pourquoi, m’ont à peu près tous cherchée, et beaucoup m’ont d’ailleurs trouvée. Il est vrai qu’ayant cédé un jour à l’un d’eux, le téléphone arabe a dû bien fonctionner. Je les entends d’ici :
— La femme à Bernard, un bon coup ! Et pas farouche !
Tu ne te souviens pas de Paul, le marchand de paniers, un soir où nous étions en boîte ? Il m’a collée toute la soirée. Et quand je dis collée, c’est bien de colle dont il s’est agi. Il m’a fait danser et, durant le premier slow, j’ai bien senti qu’il avait une grosse envie de moi. Nous sommes donc restés collés, son sexe dressé dans son pantalon, mon ventre le faisant rouler. J’ai bien cru qu’il allait exploser.
— Tu ne vas pas me laisser comme ça, supplia-t-il.
Bien sûr que non, je n’allais pas l’abandonner d’autant que ce que j’en avais senti m’avait paru important. Je t’ai dit que j’allais aux toilettes et nous sommes sortis dans le parc. C’était l’été, je ne portais qu’une courte jupe qu’il s’empressa de soulever, me faisant prendre appui des deux mains sur le capot de ta voiture. Il arracha littéralement ma culotte et me pénétra d’un coup. Il n’eut aucun mal car il m’avait bien préparée avec cette danse torride. J’ai joui comme une folle quand j’ai senti son gros machin me remplir. En moins d’une minute, lui et moi avions pris notre pied. Il me tendit un Kleenex, le sida n’existait pas à l’époque. Et nous sommes revenus danser.
Et ton cousin Francis ? Tu m’as bien dit un jour, mais sans l’ombre d’une inquiétude, qu’il était bien souvent chez nous quand tu n’étais pas là. Il venait en effet souvent, au début avec le prétexte de te voir. Mais je savais bien qu’il savait que tu étais absent. Et puis, sans qu’il soit question de toi, il venait, pour moi, mais je ne le savais pas encore. Au début, il n’osait pas trop, ne sachant pas comment j’allais réagir. Mais je sentais ses regards se faufiler. Un jour où je faisais les carreaux, il m’aida à accéder à la fenêtre de l’escalier, celle où je ne peux aller sans aide. J’étais évidemment en jupe, sans penser qu’il allait me voir par dessous. Ceci ne parut pas lui déplaire et, même lorsque je fus stabilisée sur le bord de la fenêtre, il ne me quitta pas des yeux.
— J’attends pour t’aider à redescendre prétexta-t-il.
Je savais qu’il n’en perdait pas une miette et que ses yeux étaient rivés sur ma petite culotte.
— Si j’avais su ça, je n’en aurais pas mise pensai-je.
Je laissai tomber mon torchon et me retournai pour qu’il me le fasse passer. Lui faisant face, je m’accroupis pour l’attirer, écartant franchement les genoux. Sa main tendait vers ma main mais ses yeux ne quittaient pas ma culotte et si je ne lui avais pas dit :
— Hou, hou, Francis, réveille-toi !
Il serait encore dans l’escalier, hypnotisé par ce qu’il voyait. Je t’avouerais que je ne pensais même pas à me relever tant son regard me fascinait. J’adorais qu’il me regarde.
Les carreaux enfin terminés, il fallut redescendre.
— Assied-toi sur le bord, me dit-il, et je t’attirai.
Assise, son visage se trouvait au niveau de mes genoux.
— Avance-toi, me dit-il.
Pour ce faire, je dus écarter les jambes, lui présentant de près ce qu’il avait regardé de plus loin. Lorsque mes fesses furent au bord de la planche, il posa ses mains à l’intérieur de mes genoux, les écarta et plongea son visage entre mes cuisses.
— Je vais te bouffer, me dit-il.
Et il me bouffa. D’abord à travers ma culotte rapidement ravagée, puis déchirée de ses dents. Et là ! Nous avons entendu ta voiture. Francis m’a rapidement descendue, ma jupe cachant mes lambeaux de culotte, j’ai couru à la cuisine et il t’a attendu au salon où vous avez tranquillement pris l’apéro.
— Je te finirai bientôt, m’a-t-il glissé avant de partir.
Et j’y comptais bien. Il m’avait tellement allumée, le salaud. Et je crois que ce jour-là, tu n’as pas bien compris que je te saute dessus dès qu’il a eu le dos tourné. Mais il fallait absolument m’éteindre, il fallait que je jouisse.
Et j’ai joui, mon chéri, en pensant à lui. Mais ça ne t’a pas dérangé car tu m’as assez bien baisée ce jour-là. Et il m’a finie, comme il me l’avait promis, et dès le lendemain.
Il t’a donné un coup de main pour charger je ne sais quoi et dès ton départ, il s’est précipité. J’étais à la fenêtre, je vous ai vus, je t’ai vu partir et je l’ai vu arriver. J’ai quitté ma culotte et je l’ai attendu. Et il a voulu me terminer là où il avait été interrompu. Il m’a hissée sur le rebord de la fenêtre, a écarté mes jambes et m’a bouffée. Et quand je dis bouffée, j’ai bien cru qu’il allait arracher mon clicli. Il le serrait entre ses dents, l’agaçant du bout de la langue pendant que son doigt me fouillait. J’ai crié comme une folle. J’ai A-DO-RÉ ce qu’il m’a fait. Mes jambes ne me tenaient plus quand il m’a redescendue mais il a bien fallu que je le soulage, ce pauvre cousin.
Je me suis assise sur une chaise et lui sur la table, ses jambes de part et d’autre de mon corps, me présentant un sexe fièrement dressé, conquérant. Je l’ai pris entre les lèvres mais au bout de quelques minutes je l’ai entendu soupirer :
— Attention, je ne peux plus tenir.
Et il a tout lâché dans ma bouche et dans ma gorge. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il me demande de cesser. Ça a été très bon. Il ne m’a pas baisée ce jour-là mais il s’est largement rattrapé depuis.
Et ton copain Jean-Claude ? Tu lui as toujours fait une totale confiance à ton copain Jean-Claude. Tu as eu bien tort. De tous tes copains, c’est lui qui m’a le plus souvent et le plus efficacement baisée. Un solide, ton copain Jean-Claude.
Mais qu’est-ce que j’ai aimé qu’il me prenne, dans toutes les occasions, souvent rapidement mais toujours avec un résultat à me faire grimper aux rideaux. Mais il n’y avait pas toujours de rideaux quand il me chopait.
Ça frisait quelques fois l’inconscience. Vous étiez au salon avec Laurette et il prétextait venir surveiller le gigot pour me doigter dans la cuisine. Il ne voulait pas que je mette de culotte quand ils venaient manger, ainsi j’étais plus facilement accessible à ses doigts, mais aussi à son sexe bien souvent juste enfilé et retiré dans l’attente d’une meilleure fin.
Je n’ai, je l’avoue, jamais pu résister à un sexe en érection et le sien était souvent en érection. Un sexe long, bien plus long que le tien, fin, bien plus fin que le tien, légèrement recourbé, susceptible, je le supposais alors, et la suite me prouva que j’avais raison, de se faufiler partout, et de provoquer beaucoup de plaisir. Sa forme galbée faisait penser à un arc, tendu, prêt à lâcher ses flèches. Je ne lui ai jamais vu lancer la moindre flèche mais ce qui en jaillissait en avait quasiment la vitesse. Qu’est-ce que je l’ai aimé ce sexe, même s’il a bien failli m’étouffer quand il me le glissait dans ma bouche et qu’il atteignait le fond de ma gorge.
Et il me l’a enfilé plusieurs fois, et presque sous ton nez. Tu te souviens de cette robe boutonnée dans le dos que nous avions achetée au Cap et qui te permettait de me tripoter les fesses dans la foule ? Et bien, Jean-Claude l’aimait aussi beaucoup. Un bouton défait, je n’avais presque pas à me pencher tant son galbe lui permettait de me pénétrer presque debout. C’était très pratique pour les coups vite tirés. Un jour, c’est toi qui as détaché le bouton et qui a enfilé ta main pendant qu’il surveillait le barbecue.
— Cochonne, tu n’as pas mis de culotte, m’as-tu dit, émoustillé par sa proximité.
Et tu m’as caressée, ton doigt m’a écarté les lèvres et a glissé dans mon minou maintenant tout mouillé. Et tu es allé le remplacer devant le feu. Et ce n’est pas son doigt qui a remplacé le tien quand il est revenu. Tu m’avais allumée et c’est lui qui m’a éteinte.
Un autre jour, tu préparais une nouvelle fois le barbecue et je te parlais depuis la fenêtre. Ce que tu ne savais pas alors c’est qu’il était assis, le dos contre le bas de la fenêtre, sa tête sous ma jupe, sa langue dans mon minou et son doigt qui agaçait mon petit trou. Qu’est-ce que j’ai joui ce jour-là, là, sous tes yeux, pendant que tu me racontais je ne sais plus quoi et que tu me demandais où il était.
Sa langue et ses doigts étaient électriques et je me demande comment tu ne t’es douté de rien tellement j’étais absorbée par les vagues de plaisir qui m’emportaient et comme j’étais aussi peu attentive à ce que tu me disais.
Savoir que tu étais là, à côté, pendant qu’il me léchait, décuplait mon plaisir. J’étais, comment te dire, heureuse de te savoir là. J’aurais aimé que tu saches, que tu voies que je jouissais. Et dieu sait que j’ai joui avec tes copains.
Le jour où nous rentrions de cette réunion politique avec Yvan, Franck et Francis, ton copain militant. Tu conduisais et Francis était monté devant. J’étais derrière toi, Yvan au milieu et Franck à gauche. Il faisait nuit, il faisait froid et la radio nous berçait. J’avais ma jupe portefeuille qui avait dû s’entrouvrir, quand j’ai senti la main d’Yvan se poser sur mon genou. Que faire ? Le repousser ? L’un de vous aurait pu s’en apercevoir.
J’ai simplement rabattu mon manteau sur sa main. Il a évidemment pris ce geste pour un encouragement et sa main est remontée le long de ma cuisse jusqu’en haut des bas. Je sentais sa main comme une brûlure qui finit par m’envahir. J’écartai mes cuisses, certaine qu’il n’irait pas trop loin. Il n’avait en fait pas loin à aller pour toucher ma culotte, en soulever le bord et y glisser un doigt qui n’en resta pas là et trouva rapidement ce qui était prêt et ravi de ce contact, mon clicli. Et là, dans la nuit, dans cette voiture, parmi vous, ignorants du plaisir qui était le mien, je me suis laissé emporter. Le plaisir du défendu décuplant ma jouissance. Et nous sommes arrivés chez Francis où Franck et toi êtes montés mettre au propre un compte-rendu à remettre à la presse demain.
— Chéri ! Yvan va te tenir compagnie. On en a pour cinq minutes, me dis-tu.
— Ils en ont pour un quart d’heure, rectifia Yvan qui vous connaissait bien.
Dès que vous avez franchi le seuil de son hall, Yvan ouvrit sa braguette d’où jaillit un sexe que je ne voyais pas dans la nuit mais que mes doigts jugèrent apte à me donner un peu de plaisir. Ma culotte finit sur mes chevilles et je me retrouvai assise sur lui, mon minou tout mouillé ayant absorbé son sexe. Son doigt retrouva ce qu’il avait dû quitter et, me soulevant et redescendant lentement il ne tarda pas à exploser et à se vider tout au fond de moi. Lorsqu’ils redescendirent nous étions sagement assis, chacun contre sa porte.
— Vous en avez mis du temps. On se gèle dans cette voiture, me crus-je obligée de vous reprocher
Et Gilles ? Ton copain le toubib ? Un chaud lapin celui-là aussi ! Tu m’as souvent reprochée d’être un peu hypocondriaque, d’être toujours fourrée chez le médecin. Tu ne croyais pas si bien dire, j’étais souvent fourrée chez le médecin mais aussi par le médecin. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi, même si je n’avais qu’un problème de gorge, il me demandait de quitter ma culotte et de m’allonger. Il me tripotait alors, sous des prétextes médicaux bien sûr, pendant plusieurs minutes.
— Tout est lié, me disait-il lorsque je lui demandais pourquoi il procédait à ces attouchements. Une muqueuse fragile peut entraîner des problèmes plus graves et c’est pour ça que je veux vérifier.
Il me prenait pour une conne, c’était certain, mais je n’avais nulle envie de lui refuser. Il m’enfilait ses doigts et ce geste était sensé analyser la sensibilité desdites muqueuses. Mais mon clitoris, lui, il appréciait beaucoup ces introductions et je me sentais fondre.
Je gardais mon sang froid, observant du coin de l’œil ce médecin, ami de la famille qui, manifestement, prenait du plaisir à avoir mon sexe sous ses yeux et sous ses doigts. Plus les années passaient, et sans doute puisque je n’avais jamais rechigné à être ainsi tripotée, plus il sollicitait mon clitoris. Les sex-toys n’existaient pas alors mais il m’enfilait une espèce de cylindre pour, disait-il, diffuser un produit sensé me faire du bien et qui m’excitait beaucoup.
 Il lui est même arrivé de m’en enfiler un dans le minou et l’autre dans mon petit trou, préalablement préparé avec un de ses doigts enduit de crème. J’ai cru défaillir ce jour-là. J’avais l’impression qu’ils se touchaient et je me sentais littéralement fondre.
La première fois où j’eus, sous ses doigts, un orgasme, il fit celui qui n’avait rien remarqué.
— Rhabille-toi ! Il faudra que je te revoie rapidement. conclut-il simplement.
Et, au moment de partir :
— Tu salueras Bernard de ma part
Une fois dans la rue, je pris conscience qu’il m’avait tripotée, qu’il m’avait masturbée et, qu’en plus, il m’avait fait payer la séance. Très bon le toubib !
Et puisqu’il voulait me revoir, il me revit. Mêmes visites, même procédure, quitter la culotte s’allonger jambes écartées et sentir que ce qui vous est prodigué n’est, ma foi, pas désagréable.
Désormais je ne prenais aucune précaution en matière de jouissance, dès que c’était bon, je me laissais aller. Et c’était souvent, et longtemps bon.
Un jour je sentis que ce qu’il m’introduisait était moins froid mais plus gros, et plus chaud qu’habituellement. Il avait laissé tomber son pantalon et, comme j’étais juste à portée, il s’était faufilé. Je plantais mes yeux dans les siens :
— Mais enfin, Gilles, qu’est-ce que tu me fais ?
Il fit mine de se retirer mais je le rassurai :
— J’espère simplement que tu ne vas pas me louper et que je ne regretterai pas le montant de ma visite.
Extra ! Se faire enfiler ainsi, confortablement installée, certaine de ne pas être découverte, c’était fabuleux. En effet, comme tu le disais, j’étais souvent fourrée chez le médecin.
Tu te souviens de ce barbecue un été, il y a bien longtemps ? Tu sais, le jour où avec Marc on a mis le feu à la pelouse. Avec Martine, sa femme, vous étiez allés faire des courses qu’elle avait fait préparer et qui allaient durer un bout de temps. Des braises étaient tombées et la pelouse un peu sèche avait grillé sur quelques mètres carrés. Marc avait aussitôt attrapé le jet d’eau et avait rapidement éteint ce petit feu mais il en avait profité pour m’asperger.
Je n’avais enfilé ce jour-là que cette petite robe d’été que je portais à même la peau. Mouillée, elle se collait à mon corps et je vis son regard changer.
Je me jetai sur lui pour lui arracher le tuyau et l’arroser à mon tour. Il ne voulut pas se laisser faire et nous nous sommes retrouvés par terre, nous disputant le tuyau, nous roulant dans l’eau que nous venions de répandre. Comme des enfants nous nous amusions, jouant avec ce jet d’eau qui continuait à nous mouiller, mais je ne voulais pas céder.
Marc, sûrement ravi de me sentir tout contre lui, résista longtemps. Je finis par prendre conscience que ma robe, collée à la peau, était remontée dans la bagarre et que, allongée sur le dos, j’étais nue jusqu’au ventre. Le regard de Marc, à genoux entre mes pieds, allait de mes yeux, à mes cuisses ouvertes. Il progressa sur les mains, toujours à genoux, et ses doigts vinrent souligner mes tétons qui pointaient à travers le tissu. Sa bouche chercha la mienne, son ventre se colla au mien. Mes doigts cherchèrent les boutons de son bermuda qui fut vite ôté. Lorsqu’il me pénétra, je me sentis transportée, comme dans un film. Nous étions en train de faire l’amour dans l’eau, dans la boue,  j’aimais ça. Et manifestement il aimait aussi, si j’en crois le grognement qu’il poussa quand je sentis son ventre écraser plus fort le mien et qu’il se déversa en moi.
Lorsque sa femme et toi êtes arrivés nous étions tout mouillés bien sûr mais nous avions fait disparaître toute trace de terre de nos vêtements et de notre peau. J’avais également utilisé le jet d’eau pour me rincer.
— Je vais t’aider, m’avait-il dit.
Accroupie, genoux écartés, je dirigeai le jet sur mon sexe lorsqu’il en écarta les lèvres pour y introduire l’embout. Le jet sur mon clitoris m’avait paru également susceptible de procurer des sensations que j’eus le loisir de découvrir un autre jour, seule.
Pour éviter que vous vous posiez des questions sur notre apparence nous avions mis au point un stratagème : dès que vous vous êtes approchés vous avez eu droit à un arrosage en règle ce qui fait que, vous trouvant dans la même tenue que nous, tout paraissait normal.
Son regard ! Son seul regard m’aurait amené à l’orgasme. Je fondais dès qu’il me regardait. Sa position favorite était que je m’installe dans ton Voltaire, lui assis sur la table basse, mes pieds de part et d’autre de son corps et là, ses doigts entraient en fonction. Ses doigts !
D’une main il m’ouvrait, de l’autre il me fouillait. Je ne sais pas combien il avait de doigts mais ils me faisaient monter très haut et très vite et là, je pouvais y rester tant qu’il voulait. Je n’ai jamais compris comment il faisait mais il m’épuisait. Si je n’avais pas eu le temps de quitter ma culotte, il l’écartait, et il me caressait. J’en suis toute mouillée, rien qu’en parlant de ce que me faisait ton ami Pierre.
Nous étions allés un dimanche au bord de la rivière tous les quatre. Nous avions trouvé une petite plage où il n’y avait jamais personne car l’accès en était quelque peu caché. J’avais amené mon jeu de dames, j’adorais ce jeu que plus personne ne connaît aujourd’hui, et Pierre avait accepté d’être mon partenaire. Nous étions assis sur le sable, face à face, les pieds posés de part et d’autre du jeu, présentant ainsi le fond de ma culotte de bain de laquelle devaient déborder quelques poils de ma toison de brune.
— On va se baigner, affirma sa femme et tu la suivis dans l’eau.
Nous vous vîmes nager, chahuter et, à n’en pas douter vous tripoter mais Pierre ne semblant pas s’en offusquer, pourquoi m’en serais-je, moi, offusquée. Ses mains lâchèrent rapidement les pions pour de l’une écarter ma culotte et de l’autre glisser un doigt dans un lieu déjà bien humide.
Et mes yeux plantés dans les siens, rapidement j’atteignis ce plaisir que lui seul n’a jamais su me donner de cette manière. Il m’élevait et, tel un cerf-volant tenu par son fil, je planais contrôlée par ses doigts.
— Ils ont traversé et se sont enfilés dans le petit bois en face, me dit-il comme s’il s’agissait d’un non-événement.
Car je savais bien moi, que vous alliez là-bas pour faire l’amour et qu’à votre retour vous auriez un prétexte incontestable à votre promenade sylvestre.
Jamais Pierre ne m’a fait autre chose que me toucher. Je n’ai jamais vu, ni touché son sexe. Il était simplement « dactile » et je pense qu’il devait se comporter de la même manière avec Claire, sa femme et que celle-ci avait besoin, de temps en temps, d’un sexe dans le sien et le tien, pas désagréable, était disponible
Tu te souviens de la soirée où ce chanteur connu est venu dans notre village. Nous y sommes allés avec Jacques dont sa femme était partie rejoindre sa famille qu’il détestait. Le spectacle était en plein air et il y avait un monde fou. Nous étions compressés par la foule et nous avons eu beaucoup de mal à rester ensemble car tout le monde voulait bouger au rythme de la musique. Je me suis retrouvée collée à Jacques, son ventre contre mon dos et tu étais un peu sur notre droite, captivé par le spectacle et l’ambiance. Nous bougions, je viens de le dire, et mes fesses perçurent bientôt une émotion grandissante dans son bermuda.
Il avait posé ces mains sur mes hanches, sans que je ne m’en offusque, pensant qu’ainsi nous resterions ensemble. Rien, jusqu’à présent, ne m’avait laissé supposer qu’il pourrait tenter quoi que ce soit avec moi, tant notre relation était amicale, quasi fraternelle. Je fis celle qui ne se rend compte de rien, me balançant contre lui, de haut en bas, et de gauche à droite, mais toujours en rythme ; il n’aurait pas fallu qu’il s’imagine que je l’encourageai. Ses mains, mais la foule bougeait beaucoup, glissèrent sur mon ventre pour s’y rejoindre.
— Comme ça, on ne se perdra pas murmura-t-il à mon oreille.
— Tu as raison, lui répondis-je. Bernard a disparu ?
Ses mains sur mon ventre glissèrent sous mon T-shirt, d’une manière qui ne me parut pas voulue mais due à nos mouvements. Mais la chaleur de ces mains sur ma peau provoqua un frisson.
— Tu as froid ? questionna-t-il, surpris.
Et je ne lui répondis pas. Nos corps bougeaient, ses mains aussi. Elles se trouvèrent, comme par hasard, sous mes seins qu’elles frôlèrent quelques minutes puis sur mes seins qu’elles empaumèrent.
— Et alors ! fis-je mine de m’offusquer.
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, bredouilla-t-il.
— Non ! Je ne t’ai pas dit que ça me déplaisait ! Et comme ça on est sûrs de ne pas perdre. Et puis personne ne peut nous voir, l’encourageai-je.
Il ne se fit pas prier et ses mains reprirent leur place, mais après avoir glissé sous mon soutien-gorge. Mes tétons, déjà dressés, apprécièrent d’être quelque peu triturés.
— Si Bernard te voyait ! lui soufflai-je.
Et nous restâmes ainsi longtemps, un sexe en érection collé contre mes fesses et des mains très câlines sur mes seins. L’une d’elle revint sur mon ventre puis se faufila dans la ceinture de ma jupe pour aller se poser sur ma culotte.
— Si Bernard te voyait ! répétai-je, sans l’ombre d’un reproche dans le ton de ma voix.
Et sa main remonta, chercha le haut de cette culotte – si j’avais su, je n’en aurais pas mise – et plongea à l’intérieur, se faufila dans les poils et, un doigt en crochet se retrouva à écraser mon petit bouton qui n’attendait que ça. Il me caressa toute la soirée et heureusement qu’il me tenait de son autre bras car mes jambes flageolaient, tant le plaisir me transportait. Je glissai à mon tour ma main dans son bermuda et entrepris une caresse dont je prévoyais l’issue. Un mouchoir qu’il me tendit, permit que son explosion, qui ne tarda pas, n’ait de conséquence visible sur son vêtement. Le concert s’achevant, la foule se dispersa et, dès que nous eûmes un peu d’espace, il glissa entre mes lèvres le doigt qui m’avait donné tant de plaisir. Et nous t’avons retrouvé, seul, au parking.
— Mais où étais-tu passé ? te reprochai-je
Pour lui, j’aurais pu te quitter. S’il n’y avait pas eu les enfants, je crois bien que je l’aurais fait. Les autres m’ont baisée, chopée, culbutée mais Christian, lui, il m’a fait l’amour. Avec lui, ça ne s’est jamais fait entre deux portes, à la sauvette. Lui, c’était la nuit, et toute la nuit. Les nuits où tu allais à Paris à tes salons professionnels, il venait dormir avec moi. Tu vois ! J’ai dit dormir et pas coucher.
Lorsqu’il arrivait, j’étais couchée, il se déshabillait, se glissait dans le lit, me caressait, longtemps, il m’embrassait, partout, puis s’allongeait sur moi, me pénétrait et nos bouches liées, ses mains sur mes seins, son sexe dans le mien, nous ne bougions pas ; nous étions bien.
Dès qu’il bougeait, qu’il se retirait, je gémissais, j’avais envie qu’il revienne, j’avais besoin de le sentir en moi et je retardais au maximum sa jouissance car je me sentais vide quand il ramollissait, j’aurais voulu le garder toujours. Je ne sais pas m’expliquer pourquoi, avec lui, il ne s’agissait pas de sexe mais d’amour. Sans doute car, à part toi, il est le seul à m’avoir dit que j’étais belle, qu’il était bien avec moi, qu’il n’aurait pas voulu me quitter. Mais il n’a jamais voulu te faire de peine.
Heureusement que tes déplacements revenaient souvent et duraient en général tout le week-end. Il nous est arrivé de rester au lit plus de vingt quatre heures, sans manger, faisant l’amour quasiment en permanence, tantôt lui sur moi, tantôt moi sur lui. Il avait une capacité de récupération impressionnante. Il lui suffisait que son sexe soit simplement en contact avec le mien pour que je le sente se redresser et se faufiler. Et nous restions ainsi, sans bouger, l’un dans l’autre. Puis nous bougions, puis nous jouissions, puis nous recommencions. Ma peau ne supportait pas de ne pas sentir la sienne.
Celle-ci, je te l’ai aussi racontée, je viens de m’en souvenir. À la boulangerie, tous les jours ou presque, nous nous rencontrions. Nous nous saluions et c’est tout. Je sentais bien à son regard que je ne le laissais pas indifférent mais s’il fallait s’arrêter à tous les regards ?
C’était l’été, j’avais une robe verte, qui s’ouvrait complètement devant et qu’une ceinture du même tissu fermait. Lorsque je sortis, il me suivit, à quelques pas. Je ne l’entendais pas vraiment mais je le savais là, derrière moi. Je sentais son regard me déshabiller et je me mis à aimer cette situation.
Je pris des rues discrètes pour arriver chez nous, et lorsque j’eus franchi le portail, je me retournais : il était là, debout, ses yeux cherchant ou un reproche ou un encouragement. Je ne fis ni l’un ni l’autre, je m’avançais vers le fond du jardin, laissant le portail ouvert, ce qui valait bien un encouragement. Arrivée près du puisard, totalement à l’abri des regards, je l’attendis, sans me retourner. Ses mains se posèrent sur mes hanches, trouvèrent le nœud de ma ceinture qu’elles détachèrent et une main poussant une hanche, l’autre tirant l’autre, je me retrouvais face à lui. Il écarta les pans de ma robe, caressa mes seins que j’avais laissés en liberté ce matin, saisit ma culotte et, s’accroupissant, il me l’enleva.
Sans un mot, j’ouvris sa braguette pour libérer ce que je supposais être à l’étroit dans son pantalon. Et toujours sans un mot, je me mis à genoux puis je le pris dans ma bouche. Je me sentis alors devenir une autre. Jamais je n’aurais pensé pouvoir sucer ainsi un inconnu et, là, dans notre jardin, sans aucune hésitation, je suçais un homme qui manifestement était ravi de l’aubaine. Je prenais du plaisir à cette fellation mais je le voulais ailleurs, et vite.
 Je me relevais, m’appuyais au puisard, jambes écartées, robe jetée sur mon dos et, toujours sans un mot j’attendis. Pas longtemps ! Je sentis d’abord des doigts m’ouvrir puis je me sentis pénétrée et il entreprit d’aller et venir entre mes reins, doucement, calmement. Ses mains avaient attrapé mes seins et je sentis que tout ceci allait sans tarder avoir une conclusion heureuse. Je me mis à gémir de plaisir et ceci le stimula. Son rythme s’accéléra et je le senti se lâcher avec un bonheur largement partagé. Nous n’avions pas échangé un seul mot. Il se retira, se rajusta, et s’en alla. Je ne le revis jamais !
Je n’ai pas pu alors m’empêcher de te raconter cette aventure, sans trop entrer dans les détails tout de même. Tu voulus savoir de qui il s’agissait mais j’ignorais son nom. La seule chose que je savais c’est que je t’avais vu discuter avec lui, quelques semaines auparavant, lors du dépouillement des élections municipales. Mais tu avais, ce soir-là, parlé à beaucoup de monde.
— Ma femme est une salope, te contentas-tu de me dire avant de me sauter dessus et de me faire l’amour dans ce jardin, avec une fougue inhabituelle.
Et puis tu oublias, convaincu qu’encore une fois il ne s’agissait que d’un accident.

Pas de suite.
Mais c'est peut-être la fin


Jeunes filles complaisantes ou bonnes salopes. A vous de voir..!

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction...

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Ou Monsieur commence à découvrir Madame.

Mon épouse et ses collègues
Je me prénomme Didier, mon épouse Jocelyne, Joss pour les intimes. J'ai 35 ans, mon épouse 33.
Nous avons trois enfants de 4, 5 et 8 ans. Je suis en poste à Lille depuis 2 ans où j'occupe un emploi de cadre dans un établissement financier, mon épouse travaille dans une entreprise d'électronique de La Neuville en Ferrain. Nous habitons un appartement dans une résidence de Roubaix.
Pour me rendre à mon travail j'utilise le tramway, ou le « Mongy » comme l'on dit ici, qui relie Roubaix à la gare de Lille puis le métro qui me dépose pratiquement au pied de l'immeuble de mon entreprise. Mon épouse, elle, n'ayant pas de transports en commun, utilise notre voiture.
Durant l'année scolaire, nous utilisons les services d'une nounou qui, tous les jours, prend en charge nos enfants le matin au moment de notre départ, les emmène à l'école et les y reprend le soir pour nous les déposer en fin de journée à l'appartement. Le mercredi elle les garde chez elle toute la journée.
Durant les vacances scolaires, nous avons pris l'habitude d'emmener nos enfants chez mes parents. Ceux-ci, en retraite, habitent une belle maison dans un petit village ardennais. Nos enfants ont là-bas tout ce qu'il faut pour être heureux: l'air pur de la campagne, un grand terrain où ils peuvent s'ébattre en toute sécurité et l'amour d'une grand-mère qui attend avec impatience l'arrivée des vacances scolaires pour profiter de ces chers petits tant elle les aime.
Durant ces périodes nous sommes donc seuls à l'appartement et nous en profitons pour nous livrer à des activités qui nous sont interdites avec les enfants: sorties au restaurant, au cinéma, au théâtre, etc...
C'est au cours des dernières vacances que cela s'est passé...
Mon épouse, à son travail, s'est constituée au fil du temps un groupe de cinq ou six amis. Que des hommes. Il faut dire qu'elle a un physique qui ne peut laisser indifférent la gente masculine, elle attire les regards envieux des mâles et ceux plutôt jaloux de ses congénères.
C'est une femme grande, 1m78, de longs cheveux noirs qui lui tombent sur les épaules, de beaux yeux, noirs également, qu'elle sait mettre en valeur par un subtil maquillage, un visage un peu rond et une grande bouche aux lèvres pulpeuses, dont le sourire perpétuel laisse apparaître deux rangées de dents régulières et nacrées. Ses lèvres sont souvent recouvertes d'un rouge éclatant, principalement les jours où elle veut plaire et se faire admirer (ce qui est, à mon plus grand plaisir, souvent le cas), le rouge et le noir étant deux couleurs qui s'harmonisent si bien avec son teint.
D'une manière générale, on peut dire que c'est une femme que l'on peut qualifier de pulpeuse, bien en chair, aux formes généreuses et harmonieuses, deux seins lourds sur lesquels la pesanteur n'a que peu d'effet, toujours mis en valeur par de profonds décolletés qui donnent envie d'en découvrir d'avantage, des hanches bien marquées, pleines, larges, bien rondes, supportées par deux jambes interminables avec des cuisses solides, musclées, bien galbées et des mollets toujours cambrés par des hauts-talons qu'elle porte en permanence. Mais on n'a rien vu tant que l'on n'a pas découvert son postérieur. Un cul à damner un saint. Ses fesses rebondies forment une protubérance démoniaque, toujours bien moulée par des jupes, des robes près du corps ou des pantalons collants.
Des fesses qui se trouvent animées par sa démarche d'un roulis diabolique qui fixe les regards. La tenue, à mon sens, qui met cette partie de son corps le plus en valeur est composée d'un pantalon noir ultra moulant fait d'une matière élastique qui lui colle comme une seconde peau et qui fait ressortir parfaitement le galbe de ses cuisses et, en s'incrustant dans la raie des fesses, en souligne de façon suggestive et indécente le parfait arrondi de ces dernières, pantalon qu'elle accompagne de bottes de cuir noir à hauts talons et d'une tunique rouge serrée à la taille par un ceinturon noir(encore le duo rouge et noir) qui amplifie s'il en est besoin l'amplitude de sa superbe poitrine et les généreuses rondeurs de son postérieur.
C''est une bombe sexuelle. Cette femme je l'aime, je suis tellement fier lorsque je me promène en public avec elle à mon bras.
Voilà le décor planté, passons à l'action proprement dite.
Mon épouse à donc six copains, six collègues de travail. D’après ce qu'elle a pu m'en dire, il y a Gérard, celui avec lequel elle a le plus d'affinité, marié, quatre jeunes enfants, sa femme a arrêté de travailler pour élever cette petite marmaille, Guy, dragueur, célibataire et fêtard, Jean-Luc, marié, trois enfants, sa femme est aussi mère au foyer, Denis, marié sans enfant, Louis et Michel pour lesquels je ne me souviens plus s'ils sont mariés ou pas. Tous ces garçons sont apparemment très sympathiques, rieurs, blagueurs, de vrais ch'tis quoi.
Cette amitié qui unit ces sept personnes se manifeste, toujours d'après ce qu'elle m'en a dit, par le fait que tous les vendredis soirs, pour marquer la fin de semaine, ils partent prendre un pot en Belgique toute proche.
 En temps normal, c'est une escapade qui ne dure que quelques heures et chacun est rentré chez soi pour 21 heures. C'est donc une habitude qui s'est instaurée et j'aurais eu mauvaise grâce d'interdire à mon épouse ces quelques instants de liberté.
Toutefois, j'ai eu plus de difficultés à admettre ses sorties des vendredis qui correspondent aux périodes de vacances scolaires, car celles-ci ont tendance à s'éterniser jusqu'à 2 heures, voire, le plus souvent, 3 heures du matin. Je reconnais qu'au début j'ai renâclé, mais mon épouse, avec son charme habituel, a fini par me convaincre en m'expliquant que ces soirs-là Gérard est seul chez lui, car son épouse, pendant les vacances scolaires, part avec les enfants chez les parents de Gérard qui possèdent une maison à Wissant, charmant petit port de pêche que nous connaissons d'ailleurs puisque certains dimanches ensoleillés nous partons fréquemment avec les enfants pique-niquer au cap Blanc-Nez et il nous arrive de pousser jusqu'à Wissant en nous promenant sur la plage.
Mon épouse m'a d'ailleurs récemment indiqué que Gérard lui avait dit de le prévenir lorsque nous irions car, souvent, le week-end, ils se rendent chez ses parents et nous pourrions alors aller y déguster le café.
Pour revenir à ces fameuses sorties qui s'éternisent, Joss me dit qu'en fait cela leurs permet de passer une soirée sympa: apéritif, amuse-gueules, charcuterie et puis jeux divers(poker, 421, Yams, etc..) mais que je n'ai aucun soucis à me faire, qu'ils sont simplement heureux de se retrouver entre collègues. A l'époque, devant ma moue, je me souviens que c'est plein de candeur qu'elle me demanda: « qu'est-ce qu'il y a, tu es jaloux? Tu as peur de quelque chose? Tu ne me fais pas confiance? » Comment lui dire le contraire? J'avais donc cédé mais sans pour autant prendre la chose avec plaisir.
Voilà donc précisé le train-train de notre vie à l'époque.
Jusqu'à ce que récemment l'idée me vint de lui demander: « Mais au fait, pourquoi lors de l'un de vos fameux vendredis de vacances scolaires tu n'inviterais pas tes amis à la maison? Cela me permettrait de faire leur connaissance? ».
« Ah? », me répondit-elle, sans plus.
Je vis tout de suite que cette idée n'avait pas l'air de terriblement l'enchanter et je lui fit la remarque:
- Tu n'as pas l'air d'accord. Pourquoi? Qu'y a t-il d'étonnant à ma demande? »
-Rien, rien, mais je ne suis pas certaine de leur accord.
-Et bien tu leurs demandes! Tant que tu n'as pas leur réponse tu ne peux rien préjuger et ça me ferait vraiment plaisir de connaître ces gens avec qui tu sors si souvent. De plus, de les connaître me permettrait peut-être d'effacer le restant d'inquiétude qui subsiste en moi.
-Ah tu vois? Tu es jaloux! Tu ne crois pas ce que je t'ai dit au sujet de nos soirées!
-Mais si, mais mets-toi à ma place, regarde toi dans une glace et admire ce que tu vois. Tu es belle, tu es magnifique, attirante, féminine en diable, alors ne me dis pas que tes copains n'essaient pas de te draguer? Ce serait contre nature.
Elle fait semblant d'ignorer ma réflexion..
-Bon, je vais leur en parler ».
A ce moment-là je sentis bien qu'elle ne voulait pas que la conversation s'éternise sur le sujet.
ooOOOoo
Trois semaines plus tard vint une période de quinze jours de vacances. Le samedi nous descendîmes dans les Ardennes déposer les enfants pour 2 semaines chez mes parents et nous revînmes à Roubaix le dimanche.
Comme l'idée ne m'était pas sortie de la tête, dès le lundi soir j'abordai le sujet avec mon épouse:
-Alors, c'est d'accord pour vendredi avec tes amis?
-Alors toi, quand tu as quelque-chose derrière la tête tu ne l'as pas où je pense! » me répondit-elle d'un ton tout juste aimable.
-Écoute, pose leur la question mais je ne te cache pas qu'un refus serait pour moi plus inquiétant que rassurant.
-Bon, je vais voir ça demain ».
Je pensai que là elle se trouvait coincée et qu'elle se sentait obligée d'accéder à ma demande. Franchement je ne comprenais d'ailleurs pas ses réserves pour quelque-chose qui me paraissait somme toute très anodin.
Et le lendemain soir, à peine rentrée du travail, elle m'annonça :
-Bon , pour vendredi, c'est d'accord, ils viennent à quatre. Tu es content ?
-Je n'ai pas à être content ou pas content, je trouve ça tout à fait normal que je veuille connaître tes amis, c'est tout.
-Bon, et bien j'espère que tout se passera à ta convenance ».
Cette dernière réflexion me laissa perplexe.
Et le vendredi soir finit par arriver. Pour l'occasion j'avais quitté plus tôt le travail afin d'être à l'appartement dès 17h30. Mon épouse arriva ¼ d'heure plus tard, elle était passée par le supermarché pour faire quelques courses : apéritifs, whisky, gâteaux à apéro, charcuterie, etc...
Elle m'indiqua qu'ils allaient arriver vers 19h et me demanda de préparer l'apéritif et les assiettes garnies pendant qu'elle filait dans la salle de bain pour se préparer. Elle me dit que l'on allait s'installer dans le salon en me précisant : « Tu mets le petit canapé 2 places en vis à vis du canapé 3 places, les fauteuils de chaque côté et la table basse de salon au milieu, ainsi ce sera très convivial ».
Aussitôt dit, aussitôt fait, à 18h30 tout était prêt.
Dix minutes plus tard mon épouse sortit de la salle de bains.
Ouaaah!!!Quelle superbe créature !
Si je vous la décris en commençant par le bas, je découvris : des escarpins en cuir rouge à hauts talons, des bas noirs à couture, une jupe noire très moulante, plus courte que d'habitude, qui met en valeur ses formes plantureuses et sous laquelle les fermetures des jarretelles forment des excroissances d'une sensualité troublante, un chemisier rouge court, dont le bas couvre à peine le haut de la jupe à tel point que chaque mouvement découvrait une bande de chair blanche, chemisier très ajusté sur le torse mais qui laissait toute liberté à sa magnifique poitrine et dont l'échancrure largement ouverte laissait apparaître le haut des globes mammaires rebondis et élastiques, ses longs cheveux d'un noir de geai couvraient ses épaules et encadraient son visage merveilleusement mis en valeur par un savant maquillage et dans lequel on ne voyait que la bouche, large, aux lèvres charnues, d'un rouge écarlate, qui réclamait, qui aspirait au baiser et enfin deux yeux immenses d'un noir intense qui lui illuminaient littéralement le visage.
C'est cette apparition de rêve qui se tint devant moi ce fameux vendredi de vacances scolaires à 10 minutes de l'arrivée de nos invités. Un vendredi que je n'étais pas prêt d'oublier, mais, à cet instant-là, je ne le savais pas.
Je restai interdit devant cette beauté ravageuse qui exhalait la sexualité à l'état pur. J'avais l'habitude de voir mon épouse porter des tenues sexy, voire érotiques, mais là, je dus admettre qu'elle mettait tous mes sens en émoi et pas que mes sens car je sentis mon bas-ventre réagir de façon incontrôlée et rapidement indécente.
-Oh!Oh ! Remets t'en, ce n'est pas le moment de te montrer en spectacle, ils vont arriver !
Ce qui m’inquiéta alors, c'est que si, moi, qui ait l'habitude de la voir quelquefois porter des tenues aussi provocantes, je réagissais ainsi, pourquoi, eux, réagiraient-ils différemment ? De toute façon les dés étaient maintenant jetés, ils allaient bientôt être là.
Toutefois je lui demandai de me préciser si, dans la mesure où lors de ces fameux vendredis elle partait toujours avant que je ne rentre et que j'étais couché lorsqu'elle rentrait vers 2 ou 3 heures du matin, elle était aussi provocante. Elle me répondit négligemment : « Ben oui, quelquefois ! ». Ce qui ne me rassura pas, loin de là.
J'allais à la porte-fenêtre du salon qui donnait sur un étroit balcon. D'ici on dominait la rue devant l'immeuble qui longeait une place sur laquelle se trouvait une centaine de places de parking. Je les verrais arriver.
Je ne pus m’empêcher de regarder mon épouse. Celle-ci me semblait alors bizarrement nerveuse, elle faisait les 100 pas, elle déplaçait les assiettes et les verres sur la table basse pour les remettre au même endroit une minute plus tard. Ce n'était pas la Joss que je connaissais habituellement, elle qui était toujours et en toutes circonstances si maîtresse d'elle-même.
Soudain par la fenêtre je vis une voiture se garer sur le parking et deux hommes en descendre. Ils attendirent près de la voiture jusqu'à l'arrivée, quelques minutes plus tard, d'un second véhicule duquel descendirent également deux autres hommes. Ils échangèrent quelques mots puis entreprirent de traverser la chaussée.
Je prévins mon épouse de leur arrivée.
La sonnette retentit. Mon épouse décrocha:
-Oui!
-C'est nous!
-Quatrième étage, porte à droite sur le palier.
Elle provoqua l'ouverture de la porte d'entrée et se retourna vers moi. Elle me fixa d'un regard étrange, un regard plein d'incertitude, voire d'inquiétude, qui, d'un seul coup, me mit mal à l'aise.
Sonnette. Elle ouvrit la porte palière.
Les quatre gaillards entrèrent suivis par mon épouse qui les accompagna dans le salon.
-Je vous présente mon mari, Didier et voici mes collègues, Gérard dont je t'ai déjà parlé, Guy, Jean-Luc et Denis.
Je serrai la main de Gérard:
- Ah! c'est vous dont les parents ont un pavillon à Wissant?
-Oui effectivement. Mais mettons les choses au clair immédiatement, pas de « vous » entre nous, on se tutoie, le mari de notre Joss fait partie de la famille ».

Les choses avaient le mérite d'être effectivement claires, manifestement ils s'étaient purement et simplement approprié mon épouse.
Je saluai les trois autres et comme toutes personnes qui découvrent de nouveaux lieux, ils s'intéressèrent à l'environnement de la pièce, la décoration, le tout accompagné de quelques phrases polies.
Puis mon épouse les invita à s'installer. Elle plaça Gérard dans le fauteuil faisant face à la fenêtre, elle se réserva la place dans le canapé 2 places du côté de Gérard, mit Guy à sa gauche puis les deux derniers dans le canapé 3 places. Pour ma part, il me restait le fauteuil côté fenêtre.
Puis elle me demanda de bien vouloir faire le service, ce que je fis en demandant à chacun ce qu'il voulait boire.
L'ambiance fut immédiatement décontractée et sympathique, ce qui n'était pas étonnant avec des gens du nord qui sont connus pour être des personnes abordables et ouvertes aux autres.
La soirée débutait donc sous les meilleurs hospices. Au fur et à mesure qu'on avançait dans le temps l'alcool faisait s'évaporer les dernières réticences qui auraient pu exister, chacun y allant de sa blague, de son anecdote qui amusait tout le monde.
Le peu de tabous qui aurait pu exister disparut. Tout en buvant on grignota des choses et d'autres. Je ne m'occupai plus depuis un moment de surveiller les verres, chacun se servant selon ses besoins et je m'aperçus qu'on buvait sec autour de cette table, moi le premier et je me rendis compte que mon épouse n'était pas la dernière.
Je constatai d'ailleurs qu'elle était très complice avec Gérard qui, par exemple, avait décidé, d'autorité, qu'il devait l'accompagner dans la cuisine lorsqu'elle allait chercher des glaçons ou autres choses et, bizarrement, je remarquais le rouges qui colorait ses joues à son retour parmi nous. Mais, étant moi-même dans un état euphorique, sur le moment je ne m'en inquiétais pas outre mesure.
De plus mon épouse, en ce début de soirée, exécuta un véritable show de charme devant nos invités qui n'en perdaient pas une miette. Elle croisait, décroisait et recroisait ses jambes, le frottement de ses bas faisait entendre un crissement des plus érotiques. Dans le mouvement, sa jupe, déjà courte, avait tendance à remonter au-delà du raisonnable, découvrant jusqu'à l'ourlet du haut de ses bas. J'étais persuadé qu'au cours de ces mouvements de jambes ses deux collègues assis en face devaient entre-percevoir sa culotte de brefs instants.
D'ailleurs, je le voyais bien à la direction de leurs regards, ils en prenaient plein la vue. Enfin, lorsqu'elle se penchait sur la table, l’entrebâillement de son chemisier découvrait largement son soutien-gorge dont les bonnets, qui cachaient tout juste les tétons, laissaient apparaître le haut de ses aréoles. Je ne pus m’empêcher de me dire, malgré son goût certain pour l'exhibitionnisme, qu'elle allait un peu loin et j'étais tout de même surpris par la façon impudique qu'elle avait de s'exhiber ainsi ce soir.
Mais c'était en fait un sentiment assez ambigüe car si j'étais un peu choqué, j'étais en même temps très fier de la beauté de cette femme, cette femme qui vivait avec moi et qui m'avait donné trois merveilleux enfants. Et puis, après tout, cela procurait du plaisir aux mâles au milieu desquels elle se trouvait, moi y compris.
C'est vers 21h30 que Denis décida qu'il devait malheureusement nous laisser. Effectivement, me dit-il, moi je n'ai pas la chance d'avoir une épouse partie dans la famille, alors si je rentre trop tard, demain j'ai droit à la soupe à la grimace.
C'est comme cela que j'appris que l'épouse de Jean-Luc, qui, lui, reste, est également partie chez ses parents avec les enfants pendant les vacances scolaires. Les trois garçons présents sont donc libres de toute contrainte.
Après avoir salué et raccompagné Denis, nous reprîmes les choses là où elles étaient restées.
Sauf que quelques instants plus tard, Gérard lança à la cantonade: « Et si on dansait? Joss, tu nous mets quelque chose de sympa? ».
Là, je vis mon épouse changer bizarrement de couleur.
« Je ne crois pas que ce soit une bonne idée » répondit-elle.
Je crus bien faire en reprenant la balle au bond : « Mais si, bien sur, tu as raison! Çà va mettre de l'ambiance »
Et je me levai et me dirigeai vers la chaîne hi-fi. Je trouvai rapidement le CD «Les 100 plus beaux slows du monde », un CD un peu ancien mais idéal par rapport à ce que nous attendions. Je mis la musique en boucle et la voix envoûtante au ton grave de crooner de François Deguelt emplit la pièce:
« Allongés sur la plage,
Les cheveux dans les yeux,
Et le nez dans le sable,
On est bien tous les deux......
C'est en chantonnant cet air qui m'emplit de nostalgie tant il me rappelait des bons moments de souvenirs de jeunesse, que je vins saisir la main de mon épouse: « Viens, on ouvre le bal! ».
En allant vers elle, je m'aperçus qu'elle avait les jambes croisées, sa jambe droite posée sur sa jambe gauche et de ce fait qu'elle découvrait largement le dessous de sa cuisse droite, à tel point qu'on apercevait une large bande de chair blanche et nue au-dessus de son bas. Et comme elle se tenait légèrement tournée vers Gérard, celui-ci avait une vue imprenable sur sa cuisse dénudée.
Je n'eus pas trop le temps d'y réfléchir, déjà elle était dans mes bras et nous suivions langoureusement le rythme lent de la danse. C'était un vrai bonheur de danser avec mon épouse, de humer son parfum enivrant dans le creux de son épaule, d'avoir ses deux merveilleux globes mammaires écrasés contre la poitrine, les mains au creux de sa taille qui devinaient la courbure toute proche d'une croupe callipyge. On aurait pu rester des heures à danser avec elle. Mais là ce n'était pas possible, nous avions des invités.
Dès les dernières mesures de la chanson, nous nous séparâmes et je la raccompagnai à son siège. Mais elle n'eut pas le temps d'y prendre place, déjà Gérard avait jailli de son fauteuil et s'offrait à me remplacer alors que débutait la chanson suivante: « Je t'aime, moi non plus » avec Jane Birkin et Serge Gainsbourg., chanson oh combien chaude et pleine de sous-entendus très explicites.
J'entendis simplement mon épouse marmonner quelque chose comme: « Et voilà, c'est parti! ».Mais n'étant pas certain d'avoir bien compris, je ne prêtai pas trop d'attention à ces quelques mots.
Afin de respecter l'ambiance que commandait cette musique alanguie, je vins au lampadaire afin d'en baisser la luminosité et plonger la pièce dans une semi pénombre qui nous permettait toutefois de distinguer les choses.
Le couple se trouvait de l'autre côté de la table, pile devant moi.
Je remarquai que Guy et Jean-Luc étaient devenus soudainement bien silencieux et qu'ils étaient occupés à fixer Joss et Gérard comme s'ils s'attendaient à quelque-chose. Ils étaient tous les deux tournés vers eux, la bouche entrouverte, fixant et espérant je ne sais quoi.
(Pour décrire les scènes qui vont suivre j'utilise sciemment le présent, qui est un temps qui permet de donner plus de relief , plus de force e à l'action).
D'après ce que je peux distinguer, Gérard tient mon épouse étroitement enlacée. D'une main il a rejeté ses cheveux derrière son épaule et ses lèvres reposent sur son cou, sa bouche accomplit un lent mouvement de caresse allant du creux de l'épaule jusqu'à derrière l'oreille en y déposant de petits baisers.
Ce genre de baisers qu'elle a coutume d'apprécier puisque ce sont ces mêmes baisers que j'aime lui donner lorsque je lui fais l'amour et ces mêmes baisers qui la font spécialement fondre et l'amener si vite à l'orgasme. Mais là, ce n'est pas moi l'acteur principal, c'est un étranger et bizarrement elle se laisse faire, elle reste sans réaction.
Moi non plus d'ailleurs, sans réaction tellement je suis surpris par la privauté de Gérard et l'impassibilité de mon épouse. En même temps je suis assez curieux de voir jusqu'où elle va accepter ce comportement que je juge déplacé de son partenaire.
La danse est très lente, le couple bouge à peine, les corps s'incrustent de façon provocante et c'est avec stupéfaction et effroi que je m'aperçois après une lente rotation que Gérard a tout simplement empaumé les deux fesses de Joss et qu'il les malaxe avec délice.
Mon épouse? Aucune réaction, toujours aussi placide, elle se laisse peloter, tripoter.
Moi? Complètement paralysé! Complètement dépassé par les évènements.
Il faudrait pourtant que je réagisse, que je demande à Gérard de se calmer, à mon épouse d'adopter un comportement un peu plus décent! Mais pourquoi elle ne dit rien! Son manque de réaction ne me pousse pas à intervenir et c'est ainsi que j'attends la suite des évènements mais avec une boule dans l'estomac tant la situation me rend malade de jalousie.
Et la suite ne va pas arranger les choses. En continuant à danser mon épouse a légèrement écarté ses cuisses permettant à Gérard d'incruster une de ses jambes entre elles. Il l'avance alors au maximum ce qui a pour effet d'appuyer sur le mont de vénus de la femme qu'il sert dans ses bras et de remonter sa jupe au ras des fesses, le vêtement restant toutefois bloqué par l'excroissance du fessier.
Ce mouvement du tissu découvre deux larges bandes de chair blanche au-dessus des bas et laisse apparaître les stries rouges des jarretelles. Mon épouse réagit aussitôt à cette sollicitation car on peut s'apercevoir que son bassin est désormais animé d'un lent mouvement de balancier.
En fait, elle se masturbe littéralement sur la cuisse de son partenaire. Puis les lèvres de Gérard quittent le cou, glissent le long de la joue et s'emparent de la bouche de sa cavalière. Les bouches s'ouvrent, les langues se mêlent et les salives se mélangent.
Cette fois les choses ont le mérite d'être claires, ces deux là accomplissent véritablement un acte d'amour, sans se cacher des autres, mais surtout sans se cacher de moi, l'époux trompé, le cocu de la farce! Et je ne dis toujours rien, paralysé, glacé d'horreur et de jalousie!
Je vois Guy, assis dans le canapé à ma droite, qui devient de plus en plus nerveux, il me lance depuis quelques instants des regards interrogateurs teintés d'inquiétude. Soudain, sans doute rassuré par mon impassibilité apparente, il surgit de son siège et se précipite vers le couple enlacé. Il se colle littéralement dans le dos de mon épouse, ses mains s'insinuent entre les deux corps et je vois distinctement qu'elles viennent conquérir les deux seins qu'il se met à pétrir, triturer avec délectation.
Mon épouse ne réagit pas plus face à cette intrusion qu'elle n'avait réagi auparavant. Elle est dorénavant proprement écrasée entre les deux corps des mâles en rut qui sont trop heureux de disposer à leur guise d'une si belle femelle, disponible et abandonnée, qui les autorise à toutes les privautés.
Je continue à ne rien dire et à souffrir en silence, me préparant à boire le calice jusqu'à la lie.
Tout à coup, les mains de Guy abandonnent les seins et s'activent sur le torse de mon épouse. Je comprends immédiatement qu'en fait il déboutonne le chemisier. Dans le même temps, les mains de Gérard s'activent, elles, dans le bas de son dos. Il déboutonne la jupe et j'entends nettement le crissement de la fermeture éclair.
Ils sont en train de la dévêtir. Ma femme se laisse déshabiller pas deux hommes, dans le domicile conjugal et devant son mari, deux hommes qui manifestement n'ont pas l'intention d'en rester là.
La situation est tendue, la scène d'un érotisme torride.
Guy se met alors à genoux et entreprend de descendre la jupe le long des cuisses, ce qui laisse les mouvement libres à Gérard qui s'empresse d’ôter le chemisier et de le laisser tomber à terre.
Mon épouse est désormais revêtue de son soutien-gorge d'un rouge écarlate et de sa jupe que Guy a quelques difficultés à faire passer la barrière de l'opulent fessier. Gérard se bat quelques instants avec l'attache du soutien-gorge mais finit par parvenir à ses fins puis à se débarrasser de ce dernier rempart.
Les deux seins jaillissent des bonnets, les tétons fièrement dressés, signe manifeste de l'émoi dans lequel se trouve mon épouse. Elle n'est donc pas du tout indifférente à l'agression qu'elle subit.
Guy réussit enfin à faire glisser la jupe jusqu'à terre et là, stupéfaction, je m'aperçois qu'elle n'a pas mis de culotte, elle a le cul à l'air, sans aucun rempart. Dans le même temps, c'est avec horreur que je réalise que les deux autres, tout à l'heure, ne risquaient pas d'apercevoir sa culotte, il y avait mieux à contempler. Mais, dans un même temps, je réalise aussi que je suis tombé dans un traquenard, il y a préméditation et mon épouse s'est préparée pour cette petite fête qui tourne à l'orgie.
Alors, m'étant rendu compte de cela, pourquoi maintenant intervenir dans un scénario qui est déjà écrit et duquel je suis, pour le moment, écarté, pour lequel je n'ai pas était consulté?
Guy fait se soulever une à une les jambes de mon épouse pour dégager le morceau de tissu. Elle s'exécute docilement. Elle n'est alors plus revêtue que de son porte-jarretelle rouge, de ses bas et de ses escarpins à hauts-talons.
En fait, plus rien ne la protège. Elle est splendide dans sa nudité, exhibant fièrement la fourrure noire impeccablement taillée de son sexe dont la couleur tranche sur la peau d'un blanc laiteux.
Guy, toujours à genoux derrière mon épouse, se saisit soudain de ses fabuleuses fesses, les écarte et enfuit son visage au fond du sillon ainsi dégagé. Il relâche alors les fesses qui se referment sur sa figure et il s'active. En fait on voit sa mâchoire s’ouvrir et se fermer successivement, il lui bouffe littéralement le cul. Pour lui faciliter la tâche, mon épouse se cambre, faisant ressortir encore plus son postérieur. Elle a l'air d'apprécier. Puis on entend des bruits de salive, il est en train de lui remplir le conduit anal afin de le lubrifier un maximum, ce qui laisse présager de la suite logique. Ainsi coincé entre ces deux hémisphères, sa respiration est rendue difficile. On entend le souffle nasal se frayer difficilement un chemin dans la raie fessière.
Gérard, de son côté, ne reste pas inactif. Il s'est réapproprié la bouche de mon épouse qu'il dévore avidement tout en malaxant ses seins d'une main, l'autre main lui plaquant la tête afin d'intensifier le baiser. Il triture, pince et étire les tétons.
A suivre.....

Rediffusion

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Ou Madame se découvre vraiment beaucoup...
                     Et Monsieur découvre plein de choses


Mon épouse et ses collègues
Suite I

Au bout de quelques instants de ce traitement, à son tour il se met à genoux et enfuit son visage entre les cuisses accueillantes. Puis il imprime un mouvement de va-et-vient vertical à son visage ce qui laisse deviner qu'il lèche la vulve qui doit déjà ruisseler de cyprine, puis il monte titiller le clitoris qui, lui, connaissant mon épouse, doit-être superbement érigé et sensible.
Ce qu'elle démontre rapidement car, sous l'action conjuguée de ces deux bouches qui dégustent ses orifices, les mains plaquées sur la tête de Gérard, elle laisse désormais fuser une plainte continue par ses lèvres entre-ouvertes.
Désormais je suis un spectateur passif. J'ai décidé une fois pour toute de ne pas intervenir et de laisser les choses se faire puisque manifestement c'est la volonté de mon épouse.
Cette décision a le don de me libérer l'esprit et c'est avec plus de sérénité que je regarde la suite de ce spectacle oh combien érotique, on peut même dire hard. Cette sérénité toute neuve ne tarde d'ailleurs pas à porter ses fruits puisque c'est avec surprise que je m'aperçois que mon pantalon est depuis peu déformé par une formidable érection. Je me promets que, moi aussi, j'allais profiter de cette si parfaite disponibilité de mon épouse et de ce déchainement sexuel.
Puis comme prévu, Guy dégage son visage de cette profonde vallée. Il présente alors son index sur l'anus détrempé et l'enfonce sans difficultés apparente. Après quelques allers et retours afin de vérifier la bonne lubrification du conduit, il se met à tourner son doigt en évasant la cavité afin d'en élargir l'ouverture.
Puis il introduit un second doigt en pratiquant la même manœuvre, puis un troisième. Apparemment il parait satisfait du résultat et, après quelques minutes, il juge enfin l'assouplissement suffisant. Il se relève et rapidement il se dévêt complètement. Tout de suite je suis étonné par la magnifique érection qu'il présente.
Un sexe plus long que la normale, épais et qui pointe légèrement vers le haut. Mon épouse, devinant la suite ou habituée au scénario, écarte alors ses fesses de ses deux mains, attendant, soumise, l'introduction du dard brûlant.
Guy approche, son sexe brandi à la main, il fléchit légèrement les jambes afin de l'amener à la bonne hauteur, positionne le gland à l'entrée du sphincter et d'un léger coup de rein le fait pénétrer sans difficulté.
Alors mon épouse relâche ses fesses puis d'une lente poussée inexorable, Guy fait disparaître la colonne de chair dans ses entrailles. Elle a arrêté de respirer afin de profiter et de suivre au mieux l'intromission anale qu'elle facilite en cambrant ses reins au maximum, obligeant Gérard à tendre le cou pour ne pas perdre le contact.
Cramponné aux cuisse de sa femelle, Guy ne s’arrête que lorsque son ventre se trouve plaqué contre les fesses majestueuses, les pressant avec une telle force qu'elles forment un bourrelet de chair qui déborde de chaque côté des corps. Je dois dire que cette scène me laisse pantois car, avec moi, elle s'est toujours refusée à subir une sodomie sous prétexte que ce n'était pas naturel. Je me dis qu'elle ne perdait rien pour attendre.
Gérard ôte alors sa tête d'entre les cuisses de ma femme et enfonce plusieurs doigts dans la vulve dégoulinante, puis il fait faire à sa main de rapides allers-retours provoquant par la même un bruit de clapotis qui, bientôt, se conjugue aux claquements que le ventre de Guy provoquent contre le fessier si accueillant.
Son phallus réapparait progressivement, sortant du corps malmené, puis puissamment se réintroduit profondément dans le conduit anal. Mon épouse a maintenant les jambes écartées, légèrement fléchies afin de faciliter la pénétration et la rendre plus complète, plus profonde. Les yeux sont toujours fermés, les deux mains cramponnées dans les cheveux de Gérard comme si elle allait perdre l'équilibre.
Nous sommes deux spectateurs à admirer cette scène impudique mais tellement excitante. Tout à coup, je vois Jean-Luc se déchausser, retirer pantalon, caleçon, polo et tee-shirt. Lui aussi exhibe une érection triomphante, un sexe du même acabit que celui qui transperce ma femme, un peu moins long mais plus épais.
Je le vois se précipiter auprès du trio, se placer sur le côté et saisir la main de Joss, la poser sur son sexe dressé. Docilement mon épouse s'approprie la verge et la masturbe lentement. Jean-Luc lui prend ensuite la tête à deux mains, tourne le visage vers lui et se saisit avidement de la bouche pour un baiser bref mais torride.
Du vagin brutalisé de mon épouse sortent maintenant des bruits de liquide malmené, des clapotis – Flic, Floc - provoqués par la cyprine agitée par les doigts envahissants qui baignent désormais dans un liquide de plus en plus abondant. De ses lèvres entrouvertes la femme infidèle émet une plainte lascive, dont la tonalité augmente au fil du temps.
Les assauts de plus en plus ardents de ses deux amants commencent à venir à bout de sa résistance. Désormais elle manque d'air, la bouche grande ouverte laisse désormais passer des sons de plus en plus inarticulés avec des mots de plus en plus crus: « C'est bon! Plus fort! Plus fort! Allez-y à fond! A fond! Vous me faites du bien! Je vous aime! Oui! Oui! Aaaaah! AAAAH! ».
La jouissance approche, l'orgasme n'est plus loin. Les deux mâles le sentent venir et accélèrent encore leurs mouvements, augmentent la puissance, l'amplitude de leurs pénétrations. Les formidables coups de boutoir assénés par Guy dans l'arrière train de sa partenaire claquent sur les fesses dont l'élasticité les fait trembler comme un bloc de gélatine que l'on secoue, jusqu'à ses seins qui sont agités comme animés d'une vie propre.
Mon épouse perd complètement pieds, elle se met à secouer sa tête dans tous les sens, un seul cri sort maintenant de sa bouche, un OUUIIIIII! continu qui monte en puissance et dans les aigus..
C'en est trop pour elle, elle est subitement prise d'un orgasme destructeur qui lui fait pratiquement perdre conscience. Les trois mâles doivent la soutenir de longues minutes avant qu'elle ne recouvre ses esprits, le sexe de Guy toujours profondément emboité.
Doucement Gérard et Jean-Luc lâchent ma femme, Jean-Luc revient vers la table, Gérard, le visage dégoulinant, ôte alors ses vêtements, dévoilant par la même une flamboyante et majestueuse érection, un sexe hors-norme, le gland découvert laisse de son méats perler une goutte annonciatrice de plaisir.
Guy n'a pas bougé, toujours abouté au cul hospitalier. Soudain il saisit Joss de ses deux bras, lui serre la taille pour souder encore mieux les deux corps et il se met en mouvement à petits pas à reculons. Ils forment ainsi une étrange créature, les deux corps ne font qu'un, les jambes bougent dans un parfait ensemble qui les fait se rapprocher du canapé. Guy vient buter ses mollets contre le devant du siège puis il entraîne sa partenaire en arrière en réussissant l'exploit de la conserver toujours bien emmanchée et c'est ainsi qu'ils se retrouvent tous les deux assis, elle sur lui.
Guy garde les jambes serrées. Mon épouse a écarté les cuisses de chaque côté. Dans le choc de la chute, Guy parvient à faire encore plus pénétrer la colonne de chair à l'intérieur du boyau, atteignant des limites jamais atteintes et, tel un piston, augmente de façon presque insupportable la pression à l'intérieur des intestins féminins.
Puis Guy avance ses fesses sur le bord du canapé laissant la moitié de son postérieur en suspension dans le vide. La femme est ainsi bien arrimée et bien calée sur la verge totalement introduite, le sphincter distendu ne laisse à l'extérieur qu'une paire de couilles bien pleines qui adhérent si bien au bas ventre féminin que l'on ne sait plus dire à quel corps elles appartiennent.
Le vagin, au-dessus de cet emboîtement contre-nature, apparait grand ouvert, palpitant, suintant de cyprine, attendant impatiemment le mâle désigné à couvrir cette femelle en chaleur.
C'est bien sûr Gérard qui s'avance, son formidable vit à la main. Il s'agenouille de part et d'autre des jambes du garçon et entre les jambes de la fille dont il saisit les genoux et les remonte à hauteur de ses épaules. Le gland se retrouve parfaitement à hauteur dans le bon alignement, il le pose à l'entrée de la grotte brûlante et, d'un formidable coup de rein, il le projette en avant directement au fond de la vulve, abouté au col de l'utérus.
Ma femme pousse un grand cri: « Haaaannnnn! ». On ne sait si c'est un cri de douleur ou de plaisir. Peut-être les deux à la fois. Ma femme se retrouve en sandwich, prise à la fois par les deux hommes dont les membres de tailles peu ordinaires sont profondément enfoncés dans les deux orifices, seulement séparés par une mince membrane.
Il reste pourtant un orifice de libre. C'est à ce moment que Jean-Luc bondit sur le canapé, enjambe les corps et se place de part et d'autre du torse de mon épouse. Il brandit son braquemart devant le visage de la femme qui, en bonne femelle asservie, ouvre déjà la bouche, prête à recevoir l’offrande.
Jean-Luc s'y précipite, s’engouffre dans cette cavité si complaisamment offerte et s’enfonce directement jusqu'aux amygdales. Il conserve quelques instants la position, coupant carrément la respiration de la femme embouchée. Celle-ci, au bord de l’asphyxie, au visage devenu cramoisi par le manque d'oxygène, se met à tambouriner de ses deux poings sur la poitrine de l'agresseur.
Je regarde médusé cette scène qui sort vraiment de l'entendement. Jean-Luc se maintient puis consent enfin à lâcher la pression et à libérer mon épouse qui reprend petit à petit une respiration normale.
Un flot de bave s'écoule de sa bouche et inonde sa poitrine. Puis elle y retourne, ouvre de nouveau sa bouche en grand, appelant par la même une nouvelle intromission, ce que ne manque pas de faire son partenaire. Cette fois, il évite de l'asphyxier, se contentant de baiser cette bouche comme un sexe mais en introduisant tout de même à chaque aller sa queue jusqu'à la garde, écrasant le nez de sa partenaire contre ses poils pubiens, les couilles collées contre le menton.
Pendant ce temps, Gérard s'est mis en branle. Son sexe sort quasi complètement du vagin, puis se réintroduit par un brutal coup de rein. Le choc fait reculer le corps de la femme, et, du même coup, par inertie, sortir quelque peu la bite de Guy du fondement mais celle-ci reprend aussitôt sa position initiale au fond des entrailles malmenées par le simple effet du poids de l'amante.
Ma femme ne reste pas inactive. Dans une de ses mains, elle saisit les couilles de Jean-Luc et les triture, les malaxe. Tout à coup, d'un doigt elle va récupérer un peu de son jus qui dégouline, expulsé du vagin par le piston qui occupe tout le volume vaginal, lubrifiant du même coup la queue de Guy qui coulisse dans son ventre.
Elle brandit alors son doigt et le présente dans la raie des fesses de Jean-Luc, on la voit farfouiller quelques temps et, brusquement, elle enfonce cet éperon dans le cul qui n'en demande pas tant. Le garçon, ainsi sollicité, la bite au chaud dans une bouche très accueillante, les couilles caressées et maltraitées, le cul violé, ne va pas tenir très longtemps à ces multiples sollicitations.
Et, çà ne manque pas. Quelques minutes plus tard on voit les fesses se crisper, le visage se lever vers le ciel les yeux fermés, la bouche grande ouverte laissé passer un cri de gorge rauque et puissant. La verge enfoncée au plus profond déverse des flots de sperme directement dans l’œsophage de la femme qui n'a même pas à déglutir pour absorber la totalité du liquide reproducteur.
Cette action me laisse une nouvelle fois sans voix. Jamais elle n'a accepté que je lui décharge dans la bouche au cours des quelques fellations qu'elle a daigné m'accorder. Ce que je viens d'observer me laisse songeur mais, là aussi je compte bien me rattraper et dans peu de temps.
Jean-Luc rend sa respiration à ma femme en se retirant de sa bouche, de son côté elle lui libère le trou du cul et, de quelques coups de langue, elle lui nettoie le sexe afin de ne perdre aucune goutte du précieux liquide.
Puis, contemplatif, il prend place dans le canapé à côté du trio toujours animé d'un même mouvement de métronome. Gérard, rendu libre de ses gestes par le départ de Jean-Luc, saisit alors les seins qui lui sont offerts, il les triture, les malaxe, les doigts crochetés dans les chairs fragiles.
Puis il saisit les mamelons, les pince, les étire avec une intensité exceptionnelle et étonnante. Le geste doit-être douloureux, mais bizarrement cette souffrance semble exacerber le plaisir de ma femme: « Oui, c'est bon! Plus fort! Plus fort! Continue! Ouiiiii!Ouiiiii ».
Mon épouse recommence à prendre de nouveau son pieds. La bouche a repris sa plainte continue. Puis les sons changent. Des phrases décousues sont exprimées: « Les salauds! Que c'est bon! Plus fort! Plus loin! Encore! Encore..... ». Maintenant ce sont carrément des cris qui sortent de sa gorge, elle clame son plaisir. L'orgasme arrive tel un rouleau compresseur, dévastateur.
Tout à coup, le corps se crispe, les yeux se révulsent, en pleine pâmoison, un énorme râle sort de sa bouche: « AAAAAAAHHHHHHHHHH! ». Les deux étalons, excités par ce spectacle torride dont ils savent en être la cause, ne peuvent à leur tour se retenir.
Deux clameurs gutturales expulsent le trop-plein de plaisir et d'exitation. Je vois les fesses de Gérard se crisper, chaque giclée de sperme est accompagnée par un violent coup de rein qui projette le liquide ainsi expulsé directement dans l'utérus. Les jambes de Guy se soulèvent au rythme des projections qui sortent de sa queue et qui tapissent la paroi intestinale, loin à l'intérieur. Cela dure un temps incroyable, il semble impossible qu'un homme puisse émettre autant de sperme!
Ma femme s'est affaissée, ayant pratiquement perdu connaissance. Je ne l'ai jamais vu avoir un orgasme d'une telle intensité, ce qui, quelque part, attise, s'il en est besoin, ma jalousie.
Gérard se retire, un flot de sperme s'écoule sur les couilles de Guy puis sur le carrelage. La femme ne bouge toujours pas, seule sa respiration exprime un signe de vie. Aidé par Jean-Luc, Guy se dégage de dessous le corps avachi et inanimé, extrayant du même coup sa bite du cul béant qui, lui aussi, laisse échapper une bonne quantité de sperme.
Je suis toujours assis, dans l'attente de soulager ma queue douloureuse à force de bander. Mais je la laisse reprendre ses esprits. Petit à petit elle émerge de son état semi-comateux. Elle entrouvre les yeux encore vitreux, puis tout lui revient en mémoire:
- Ah les salauds! Qu'est-ce que j'ai joui! Qu'est-ce que vous m'avez mis! Félicitation les mecs, vous êtes des bons ».
Puis elle tend la main à Gérard qui l'aide à s'extraire du canapé.
Après toutes ces émotions elle se remet péniblement sur ses jambes, remonte son porte-jarretelles, réajuste ses bas et nous annonce:
- Je vais faire un brin de toilette
Elle s'éloigne alors faisant claquer ses hauts talons, déesse nue, exposant son cul à nos yeux admiratifs, ses fesses dansant au rythme de ses pas. Du sperme dégouline le long d'une de ses cuisses et suinte entre ses fesses. Nous la regardons partir et laissons un moment nos regards fixés sur la porte qu'elle vient de franchir.
Nous sommes troublés. Moi, je réfléchis pour savoir comment l'aborder dès son retour, car, cette fois, pas question que quelqu'un puisse me passer devant. Je tiens à avoir une part active à cette débauche de sexe.
(Je reprends le temps du passé simple et imparfait pour poursuivre la suite de la description des évènements).
Pour me remettre de mes émotions, je me servis alors une bonne rasade de whiskies que je bus cul sec. Pendant ce temps les trois hommes avaient repris une tenue décente après avoir nettoyé tant bien que mal leur queue avec les serviettes de table qui se trouvaient à disposition.
En attendant que mon épouse revienne et que l'on reprenne les hostilités, je cherchai à en savoir plus sur les relations qui unissaient les membres de cet étrange groupe.
-Vu le scénario utilisé ce soir extrêmement bien rodé et le naturel avec lequel mon épouse s'y est prétée, je ne pense pas que vous en soyez à votre coup d'essai? Je me trompe?
Les têtes s'abaissèrent, les regards fuirent se perdant dans la contemplation de leurs verres.
-Allez, vous pouvez m'en dire plus!
C'est Gérard qui se lança:
-En fait, lorsqu'on est arrivés, on ne savait pas jusqu'à quel point ton épouse t'avait informé!
-Informé?. Pour moi vous formiez une bande d'amis qui sortiez quelquefois pour boire un coup ou pour vous amuser. Voila exactement ce que mon épouse m'a dit: les vendredis normaux, pour marquer la fin de semaine, vous alliez en Belgique boire quelques verres, les vendredis des vacances scolaires comme aujourd'hui, vous alliez chez toi, Gérard, boire l'apéritif, grignoter et jouer à quelques jeux jusqu'à 2 ou 3 heures du matin.
Gérard me regarda bouche-bée.
-D'accord, en fait tu ne sais rien. Elle est gonflée, elle aurait pu nous prévenir, jamais nous ne nous serions comporter ainsi.
-Moi, au contraire je pense que c'est intentionnel de sa part. Tu as vu, elle n'avait même pas mis de culotte et de par son comportement bizarre avant que vous n'arriviez, je suis persuadé, avec le recul, qu'elle savait ce qui allait se passer.
-Ouais! Tu sais, je vais être franc avec toi. Ton épouse c'est une femme splendide, on ne peut rêver mieux comme partenaire de nos jeux érotiques. Le problème, c'est que c'est une bête sexuelle, une véritable nymphomane, elle n'est jamais rassasiée, à chaque fois elle nous vide les couilles et elle en réclame toujours. Cette femme ne peut pas être la femme d'un seul homme, elle est insatiable.
-Pourtant on fait l'amour tous les soirs et quelque fois le matin avant de partir au travail.
-Oui, et bien sache que le matin tu ne seras pas le dernier de la journée et que le soir tu n'es pas le premier à se la taper, même en dehors des vendredis.
-Hein! Que veux-tu dire?
-Ce que je veux dire? Excuse-moi d'être si direct, mais tous les midis on se la tape dans les toilettes, on a chacun son jour. Les vendredis normaux, comme tu dis, on se retrouve tous chez Guy, qui est célibataire donc possédant un logement disponible.
-Vous vous y retrouvez vous trois?
-A trois, quatre, cinq et quelquefois six. On se la prend quelquefois en sandwich, quelquefois un par un, derrière, devant ou dans la bouche selon notre envie. Quelquefois on est six à se la prendre les uns derrière les autres. Après une brève toilette elle revient chez toi. Tu ne t'es jamais aperçu de rien lorsqu'elle rentre?
-Ben non! Par contre, je sais qu'à peine arrivée elle prend une douche et, si les enfants sont couchés, elle veut tout de suite que l'on fasse l'amour.
-Et bien tu vois, là, tu es quelquefois le 8ème à lui passer dessus en comptant celui du midi.
-C'est pas possible! Et cela dure depuis combien de temps?
-Alors là! Attends! Ta femme est arrivée à l'usine cela fait à peu prés deux ans. Je m'en souviens comme si c'était hier tant je vois encore l'état des collègues masculins lorsqu'elle est entrée la première fois dans l'atelier! Ils tiraient tous une langue pas possible, moi le premier d'ailleurs. Mais rapidement elle mit les choses au point, car elle sait ce qu'elle veut ta femme, sois en certain! Elle en découragea une bonne partie, ne conservant qu'un petit nombre qui avait l'autorisation de lui faire la cour, dont j'eus la chance de faire partie. Et c'est ainsi que quinze jours plus tard environ, je la sautais pour la première fois dans les toilettes. Par contre, je ne sais pas si j'étais le premier! Puis Guy est arrivé. Dès cet instant nous disposions d'un pied-à-terre et c'est là que nos sauteries du vendredi soir ont commencé. Puis le groupe s'est agrandi jusqu'à ce qu'il est devenu aujourd'hui ».
Deux ans! Cela faisait maintenant deux ans qu'elle s'envoyait en l'air! Et je n'avais rien vu, rien deviné! Ce sont réellement les cocus les derniers informés.
C'est alors que mon épouse cria de la porte de la salle de bains: « Gérard, tu peux m'apporter mes vêtements? » Gérard s'exécuta après avoir ramassé les dits vêtements éparpillés dans le salon. Après s'être réinstallé, il reprit la conversation là où on l'avait interrompue.
-Et les vendredis des vacances scolaires, c'est la même chose, sauf que cela se passe cette fois chez moi, on a plus de place. On se retrouve donc quelquefois à six garçons à la maison. Ceux qui doivent partir de bonne heure parce que leur femme les attend ont la priorité et dés qu'ils l'ont sauté c'est notre tour. Alors nous, qui restons jusqu'à 2 ou 3 heures du matin, on se la fait au minimum trois fois dans la nuit. Elle est tellement bandante qu'on ne s'en lasse pas. Ces soirs là, tel un ballet, nous avons mis au point un certain nombre de tableaux organisés autour de quatre participants, trois hommes et ta femme. Ces tableaux sont au nombre de cinq. Celui auquel tu as assisté ce soir est le numéro trois, celui que l'on préfère car toutes les parties du corps de ta femme sont disponibles: le cul, le sexe, la bouche, les seins, on peut en user et en abuser pour notre plus grand plaisir et le sien, tu as pu t'en rendre compte tout à l'heure. Et lorsque nous sommes cinq hommes, ce qui arrive de temps en temps, il y a une variante, car ses deux mains ne font plus ce qu'elles on fait tout à l'heure, mais servent alors à astiquer les deux hommes supplémentaires. Ce sont alors cinq mâles qui profitent de ta femme. C'est un vrai feu d'artifice. Par contre il faut un canapé solide car on a pété le mien il y a quelques mois. Heureusement j'ai pu le remettre en état sans que mon épouse s'en aperçoive. Si bien que ces soirées là, lorsqu'elle rentre chez toi, elle s'est prise quelquefois jusqu'à 12 à 20 queues d'une manière ou d'une autre dans la soirée, plus celle du midi. Quand je te dis qu'elle est insatiable, elle est vraiment insatiable.
La, je tombe vraiment sur le cul.
-Par contre, pour sa défense, je dois te dire qu'elle est folle de toi. Jamais elle ne te quittera, tu es son amour. Nous, pour elle, c'est sexuel et que sexuel. Nous ne sommes que des objets. Ce qui est également vrai pour nous vis à vis d'elle. Enfin, là, je parle pour moi. J'ai une femme que j'aime, quatre beaux enfants, ça suffit à mon bonheur. Mais il faut nous comprendre, lorsqu'une bombe sexuelle comme ta femme s'offre à nous sans limite, comment peux-tu refuser? Tu as vu ce soir, elle ose tout. Jamais nous ne connaitrions de telles expériences avec nos épouses ni avec aucune autre, alors on en profite. Pour te donner un exemple de sa dépravation, tu as vu que je l'accompagnais dans la cuisine? Et bien, à peine entré dans la pièce , je lui passais la main sous la jupe et lui mettais deux doigts dans la chatte. Dans ces moments là, sa chatte est continuellement mouillée tellement elle est excitée.
- C'est proprement incroyable! Mais il n'y a que vous quand même? Rassurez-moi? Enfin, façon de parler!
- Là, je ne peux pas être affirmatif. Mais je crois que le chef y a droit aussi. Est-ce que tu as remarqué si les mercredis elle rentrait plus tard que d'habitude?
- Oui, tout à fait, environ ¾ d'heures plus tard. Elle me dit que le mercredi il y a des travaux de rangement suite à des livraisons l'après-midi.
- Bingo! Je m'en doutais! En fait le mercredi la femme du chef emmène leurs enfants au cours de musique, Joss le retrouve donc chez lui ces soirs là. Mon attention avait été attirée par le fait que souvent, lorsque le chef passait derrière elle, soit il lui pinçait la taille, soit il lui donnait une petite tape sur les fesses. Il ne se permet ces privautés avec aucune autre employée. Mais à ce sujet, Joss n'a jamais confirmé, ni infirmé d'ailleurs, mais ce que tu dis ne laisse aucun doute. Après, il y en a peut-être d'autres en dehors de l'usine et vue son appétit, cela ne m'étonnerait pas!
- Et bien dis donc, tu m'en apprends des belles, je ne savais pas mon épouse aussi perverse.
-Mais ne lui en veut pas, encore une fois ce doit-être une maladie, elle est addicte au sexe comme d'autres le sont à l'alcool ou à la drogue. L'important c'est qu'elle t'aime et çà je te le certifie, elle nous en parle souvent.
- Elle vous parle de moi?
- Ben oui! Car, quelquefois, j'ai l'impression qu'elle regrette son comportement, mais je sens bien qu'elle ne peut pas lutter seule contre son travers, elle prend beaucoup trop de plaisir à faire l'amour, tu l'as vu encore ce soir. Mais pour elle tu es son mari, son homme unique qu'elle aime. Elle te trouve gentil, prévenant, tu as réussi une belle carrière professionnelle et lui assure confort et sécurité. Pour elle, tu fais partie de son autre univers, le beau, le pur, celui de l'épouse aimante, de la mère de famille. Elle essaie tant que faire ce peut de séparer ces deux univers sans qu'ils n'interfèrent l'un sur l'autre. C'est pour cela que j'ai été étonné, je ne te le cache pas, qu'elle nous invite chez elle ce soir en ta présence.
Et moi qui ai insisté comme un con. Comme je regrette maintenant!
- Oui, peut-être, mais en attendant je suis le mari, naïf, cocu et complètement largué. Mais qu'est-ce qu'elle fait! Elle en met un temps!
Cet intermède m'ayant fait baisser la pression, j'en profitai pour aller aux toilettes soulager ma vessie. Mais auparavant j'entrepris de faire disparaître les deux taches et les trainées de sperme déposées sur le carrelage, là où ma femme avait laissé déborder le trop plein qui avait coulé de ses orifices. En passant je frappai à la porte de la salle de bains et lui demandai de se presser. « J'arrive » me répondit-elle ».
En entrant dans les WC j'entendis nettement la porte de la salle de bains se déverrouiller Quelques instants plus tard, avant de me rendre au salon, je passai par la salle de bains pour me passer la verge sous l'eau, veillant à l'avoir propre en prévision de ce que j'avais décidé de faire subir à mon épouse, puis revint dans le salon. Là, j'eus la surprise de la trouver complètement rhabillée, coiffée et parfaitement maquillée, son sac en bandoulière sur l'épaule. Elle m'annonça tout de go:
- On part finir la soirée en boite en Belgique!
Énorme coup au coeur!
- Mais, mais enfin, je croyais qu'on passait toute la soirée ici?
Gérard tenta de venir à mon secours car il comprenait ma terrible désillusion et mon énorme frustration:
- On peut y aller un peu plus tard, dans une heure.
- Non, non, répondit mon épouse, je me suis préparée, remaquillée, on continuera la soirée après, la nuit n'est pas encore finie. Personne ne vous attend? Il n'y a donc pas le feu.
Elle a décidé, il n'y a plus qu'à s'exécuter.
-Tu nous attends ici chéri, je sais que pour toi ces endroits ne sont pas spécialement ta tasse de thé.
Et en plus, elle décidait en mes lieux et places. Bien que je savais qu'elle avait raison, je n'aimais pas ces lieux trop enfumés et où la musique toujours trop forte empêchait toute discussion.
Je ne répondis même pas et les regardai partir joyeux et insouciants. Machinalement j'allai à la porte fenêtre. Je les vis traverser la rue bras dessus, bras dessous. Je fus toutefois étonné car, en plus de son sac, mon épouse tenait à la main une vanity qui ressemblait furieusement à sa vanity de toilette dans laquelle elle rangeait tout son maquillage. Pourquoi diable s'encombrer de ce bagage dans la mesure où elle venait juste de se remaquiller et dont elle n'avait nul besoin en boîte?.
Mon épouse monta à l'arrière entre Gérard et Guy, c'est Jean-Luc qui prit le volant. « Ah d'accord! Je sens que le voyage, bien que court, va être mouvementé et loin d'être sage » me dis-je.
La voiture manœuvra et lorsqu'elle repartit je vis à mon grand désappointement, par la lunette arrière, mon épouse déjà dans les bras de Gérard, le couple étroitement enlacé. De nouveau une pointe de jalousie me fit un nœud dans le ventre. J'allai tout de même vérifier dans la salle de bains: effectivement, sa vanity de toilette n'était plus là. Mais qu'est-ce que cela pouvait bien signifier? J'eus beau me creuser les méninges je ne trouvai aucune explication rationnelle.
Je revins dans la pièce, j’arrêtai la musique qui était devenue inutile et repris place dans mon fauteuil.
Le moment était venu de faire le point sur tout ce qui venait de se passer. Et je constatai que là, dans ce silence désormais retrouvé, je commençais à me rendre compte de la situation intenable dans laquelle j'allais devoir me débattre. Ma femme était une véritable pute, sauf qu'elle ne se faisait pas payer. Après ce que Gérard venait de m'avouer, ce serait d'ailleurs plutôt elle qui pourrait payer tant elle voulait et elle avait besoin de sexes! Elle profitait de sa plastique exceptionnelle et irréprochable pour attirer à elle tous les mâles qui lui plaisaient et ne se gênait pas pour les amener entre ses cuisses ou ailleurs tant elle avait des gouts sexuels éclectiques.
Le problème qui allait se poser à moi, c'était de savoir comment j'allais gérer le fait de me demander chaque soir, à son retour du travail, combien d'hommes l'avaient sautée dans la journée? En semaine, au minimum un, c'était sûr puisque tous les midis elle se prenait une queue.
En fait, il n'y avait guère que les samedis et dimanches qu'il n'y avait que moi qui pouvait en profiter. Encore que, les samedis, elle partait quelquefois plusieurs heures pour, soi-disant, faire les courses et lorsque je voulais l'accompagner elle m'en dissuadait habilement en prétextant le fait que j'étais toujours pressé et qu'elle, elle aimait prendre son temps.
Après ce que je venais d'apprendre, le doute ne manquait pas de s'insinuer dans mon esprit. Elle avait mis son corps en libre-service, les hommes, quels qu'ils soient, pouvaient disposer d'elle comme bon leur semblait. Maintenant je ne pouvais pas m’empêcher d'accuser le coup, j'étais comme un boxeur: groggy!
Je comprenais mieux maintenant ses réticences à faire venir ses amis, je comprenais également mieux sa grande nervosité affichée lors de l'attente de leur arrivée et ce regard étrange avec lequel elle me regardait lorsque ses collègues montaient en ascenseur, et puis aussi sa réflexion lorsque Gérard la prit pour danser.
Mais alors, pourquoi avoir laissé la soirée dégénérer?
A suivre.....

Harcèlement sexuel.....

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On en parle beaucoup en ce moment...
Mais au cinéma s'en est plein...!

Rediffusion


Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Quand Monsieur découvre la lubricité de Madame.
Et se venge... Bien même..!

Mon épouse et ses collègues
Suite II

Elle aurait pu prévenir ses amis que je ne savais rien, que je devais rester dans l'ignorance et se contenter de nous faire passer un soirée normale en nous amusant innocemment comme un groupe d'amis ordinaires. Ainsi, j'aurais été rassuré sur la moralité de ses amis et tout serait rentré dans l'ordre. Mais je serais resté dans l'ignorance, alors ne valait-il pas mieux que........
En fait, en y réfléchissant bien, je pensais qu'elle avait hésité jusqu'au dernier moment mais que ce secret devait-être devenu trop lourd à porter et qu'elle avait du se dire: « Tant pis, je laisse les choses se faire, on verra bien ».
Mais au fond d'elle-même elle savait ce qui allait se passer, il suffisait de voir de quelle manière elle les avait allumés toute la soirée, en exposant ses seins, en découvrant ses cuisses.
Et en plus, la culotte qu'elle avait omis d'enfiler. Les garçons, devant tant de provocations, avaient du se dire qu'ils avaient la bénédiction du mari puisque celui-ci, présent, laissait sa femme ainsi s'exposer. Et ce qui devait arrivé est bien arrivé. Maintenant je ne savais pas comment elle allait m'expliquer tout cela lorsque nous serions de nouveau en tête à tête. Surtout quand je lui demanderai des explications sur tout ce que Gérard m'avait avoué. De durs moments en perspective.
En attendant j'étais seul comme un con dans un appartement vide pendant qu'elle devait-être en train de se faire peloter, tripoter par les trois garçons. Écœuré, le cerveau vide, je bus encore deux verres d'alcool et décidai de me coucher. Connaissant ma femme, quoique je m'apercevais maintenant, mais un peu tard, que je la connaissais bien mal, et son goût pour la danse au cours desquelles elle adorait s’exhiber, je ne les voyais pas rentrer avant trois heures du matin. A cette heure là, elle allait certainement remonter seule à moins que sa soif de sexe ne la poussa à les convaincre de venir la sauter encore une fois ou deux, ce qui aurait l'avantage pour elle de retarder d'autant le fait de se retrouver seule avec moi donc le moment de devoir s'expliquer.
Je regardai l'heure: 23 heures. Encore au minimum 4 heures à attendre. Après avoir fermé le rideau mécanique de la porte-fenêtre je partis dans notre chambre l'esprit pas mal embrumé par la quantité d'alcool consommée ce soir. Çà aura au moins l'avantage de m'aider à trouver le sommeil.
oooOOooo
Ce sont les bruits de la rue qui me réveillèrent. Je me redressai brusquement dans le lit, le jour filtrait entre les lames du store. Je jetai un rapide coup d’œil à mon réveil: 7h30!!! Pas un bruit dans l'appartement! Personne! Je me rendis dans le salon en ne prenant même pas la peine de couvrir ma nudité et constatai qu'effectivement l'appartement était bien vide. Elle n'était donc pas rentrée. Mais où pouvait-elle être à cette heure-ci? J'ouvris le store, un magnifique soleil inondait le parking.
Je suis complètement déboussolé et désarmé, je ne peux faire face à cette situation. Comment agir dans l'immédiat? Je ne connais même pas les noms de famille de ses copains et encore moins leurs adresses.
Je sais juste, car Joss m'en a parlé, que Gérard habite une maison mitoyenne, comme il s'en fait beaucoup dans le nord, ce qu'on appelle les maisons de ville, étroite et avec un ou deux étages, à Hem, ville touchant Roubaix, au sud de cette dernière. Mais ce renseignement ne m'avance pas à grand-chose.
Pour m'occuper l'esprit je fais du rangement dans le salon qui est resté tel qu'on l'a laissé la veille au soir puis je pars prendre une douche. Posée sur le lave-linge, j'aperçois une culotte propre de mon épouse, je suis certain qu'elle est encore partie cul nu. Quelle salope!
Ensuite je fais quelques courses pour les repas du week-end et je reviens à la maison. Le midi je prends un triste déjeuner en regardant sans intérêt la télévision. Et les heures défilent, lentes, monotones. En fin d'après-midi, pour me changer les idées, je vais boire quelques bières au bar du coin.
Des connaissances m'invitent pour un 421. Pourquoi pas! Il est plus de 22 heures lorsque je reviens à l'appartement, un peu allumé par les bières ingurgitées. Contrairement à ce que j'espérais, pas de message sur le répondeur. Désemparé, je sors la bouteille de whiskies et je bois. Quelques heures plus tard, la bouteille vide, complètement bourré, je pars me coucher tant bien que mal et sombre dans un sommeil profond et cauchemardesque.
Le lendemain je me réveille à 8 heures avec une gueule de bois carabinée. Je prends des cachets et une douche froide. C'est donc un peu rétabli que je bois un grand bol de café noir, très fort et je me retrouve au même point que la veille. S'ils avaient eu un accident ou quoique ce soit, mon épouse ayant ses papiers, on m'aurait appelé. Mais là, rien, aucun message!
Pourquoi me laisse-t-elle donc dans l'ignorance la plus complète? A t-elle l'intention de me quitter? Le seul pour qui j'aurais des raisons d'être jaloux, c'est Gérard, mais ce n'est pas possible, il aime trop sa femme et ses enfants. Les autres? je ne la vois vraiment pas refaire sa vie avec eux, elle aime trop son train de vie que mon salaire confortable lui permet.
Nous nous ne sommes pas propriétaire de notre résidence principale car mon métier m'amène à être muté tous les quatre ans environ, mais nous avons une maison en Vendée à St Gilles Croix de Vie, où nous partons un mois tous les étés et un grand studio à la montagne. Je ne la vois pas quitter tout cela, surtout pour quelqu'un qui ne gagne qu'un peu plus que le smic. Mais alors, pourquoi ce silence?
L'après-midi je décide de prendre la voiture et d'aller sillonner les rues de Hem. On ne sait jamais. Je tourne donc dans la ville peu animée en ce dimanche, m’arrête dans deux ou trois bars pour boire un demi, puis reviens à l'appartement en fin d'après-midi, pas plus avancé. Toujours pas de message!
Et la soirée s'écoule, toujours aussi sinistre. Mais en espérant toutefois la voir revenir puisqu'il faut bien qu'elle reprenne le travail demain. Ce fut en vain. Je n'ai même pas le courage ni l'envie de me préparer un repas. Donc au lit.
 Le sommeil est agité, entrecoupé de plusieurs périodes d'insomnie. Le lendemain, debout à 6h30 comme tous les jours de la semaine. Dans le miroir de la salle de bains je découvre un visage fatigué, des cernes noirs sous les yeux. Au bureau les collègues vont me demander ce que j'ai bien pu faire de mon week-end. Toujours pas de folies de mon corps!
La journée est longue, interminable, mais j'ai au moins l'esprit occupé. 19H30, retour à l'appartement. Au fond de moi j'espère de tout mon cœur y retrouver mon épouse, en général elle rentre une demi-heure avant moi. Et bien personne et pas plus de message. Je vais me changer dans la chambre et là, surprise, je découvre les vêtements que mon épouse portait vendredi soir jetés à la va-vite sur le lit, sur le sol.
Ce qui me fait le plus mal c'est de voir le dessus de lit complètement froissé, je détecte même plusieurs tâches humides. Elle s'est fait sauter sur le lit conjugal. Elle a du revenir en coup de vent pendant la pause du midi et, le coup de queue qu'elle prend habituellement dans les toilettes de son boulot, et bien elle l'a pris ici. La salope.
Je me répète, mais il n'y a que ce mot qui me vient à l'esprit. En quittant la chambre, je vois avec effarement que la petite valise que j'utilise habituellement lorsque je pars en stage, n'est plus sur l'armoire. Ainsi elle est partie avec des habits de rechange, ce qui confirme, s'il en est besoin, son intention de s'installer ailleurs. Pour quelques jours? Définitivement?
Cette fois il m'est impossible de rester continuellement dans l'ignorance et l'immobilisme. Quitte à aller l'attendre devant son entreprise, il faut que j'obtienne une explication. Je décide donc d'aller au travail le lendemain et de demander quelques jours de congés prétextant un problème familial. Je fais suffisamment d'heures supplémentaires non payées pour que cette demande soit acceptée. Ce qui fut fait, le lendemain à 9 heures je suis de retour à l'appart, en congé jusqu'à la fin de la semaine. J'ai donc du temps devant moi.
Maintenant il faut déterminer une stratégie. Je peux aller attendre devant son entreprise ce soir et suivre la voiture dans laquelle elle se trouvera. Ce sera certainement celle de Gérard, car j'en avais déduit qu'elle devait-être chez lui puisqu'il y était seul. Le problème et il est de taille, c'est qu'ils sont quelques 600 ouvriers dans cette usine, alors je risque fort de les louper d'autant que je ne connais pas la voiture de Gérard. Faute de mieux c'est tout de même une idée à retenir. Je me creuse la cervelle pour savoir par quel moyen je pourrai me procurer le nom de famille de Gérard.
Tout à coup, une idée lumineuse me traverse l'esprit. Je me souviens qu'il y a quelques mois mon épouse m'avait montré une photo de groupe prise à son usine à l'occasion d'un départ en retraite et que, sur cette photo, elle m'avait désigné ses copains et noté leurs noms au dos du cliché. Le problème qui se pose maintenant est bien sur de retrouver cette photo, en espérant qu'elle ne l'ait pas dans son sac. Je me mets aussitôt en chasse.
Deux heures plus tard, après avoir tout fouillé, je découvre enfin la précieuse photo dans le fond du tiroir de sa table de nuit. Et voilà le nom tant recherché: Gérard D.. Vite, l'annuaire! Les pages concernant les abonnés de la ville de Hem! Alors, B;, C;, D.D.D. Et voilà, Gérard D. 17 rue de B.. Je me souviens que lorsque nous étions arrivés à Roubaix nous avions acheté un guide sur l'agglomération lilloise qui reprenait les plans de toutes les villes la composant. Il doit-être dans la boite à gants de la voiture. Vite, un saut à la voiture qui se trouve garée sur le parking privé derrière la résidence. Heureusement, hier matin j'avais eu la présence d'esprit de récupérer les clés de mon épouse qui se trouvaient sur la commode dans l'entrée, sinon, hier midi, elle aurait été capable de partir avec. Je remonte dans la foulée avec le précieux document. Je situe rapidement la rue recherchée, elle est en sens unique, il faut passer devant l'église et prendre la deuxième à droite. Facile!
Comme ils débauchent vers 18h30, je décide de me mettre en planque dès 17h30. Tout l'après-midi je tourne nerveusement en rond dans l'appartement et à 16h45 je me mets en route. Ce n'est pas très loin et trouve facilement. Je remonte donc la rue indiquée, passe devant le 17. C'est bien une maison de ville, la porte d'entrée encadrée par deux fenêtres, puis deux étages comportant chacun également deux fenêtres.
Comme la rue est en sens unique, ce qui m'arrange, je me dis que ne pouvant arriver que d'une seule direction il suffit que j'attende quelques maisons plus loin, entre deux voitures. J’espère de tout cœur qu'ils trouveront à stationner avant ou devant le numéro 17. Il est maintenant 17h05, je suis en avance. Je vais tout de même vérifier le nom sur la boîte aux lettres. Rassuré, m'armant de patience, j'attends donc en écoutant de la musique. Enfin les minutes finissent par s'écouler. En définitive peu de voitures empruntent cette rue calme. 18H30, ils sortent. 18H40, 45, 50, toujours personne. Pourvu que je ne me sois pas trompé sur le fait qu'ils se retrouvent ici!
A l'entrée de la rue, soudain, deux voitures viennent de tourner, elles avancent, puis, à mon grand soulagement les clignotants droits s'allument. Je fixe mon rétroviseur pour ne rien rater. Il y a de la place, les deux véhicules se garent juste devant le 17. Les portières gauches s'ouvrent. Le premier que je vois sortir est Gérard, il parle par-dessus la carrosserie à quelqu'un qui se trouve de l'autre côté que je ne vois pas encore, son passager arrière gauche sort à son tour, c'est Guy, le célibataire.
De la voiture derrière, j'aperçois Jean-Luc, le conducteur puis derrière, Denis, qui était à la maison vendredi. En voilà trois qui traversent, Gérard apparemment attend quelqu'un. Bingo! Voilà Joss qui apparaît, ma splendide épouse, plus belle que jamais mais aussi la pire des garces! Elle a sa veste de cuir noir, une jupe rouge, des bas noir et elle a mis ses escarpins qu'elle avait déjà vendredi. Quelle merveilleuse créature. Gérard lui entoure la taille d'un bras possessif.
Je suis fou de jalousie. Ils sont donc bien ensemble, ce que je craignais. Un autre individu que je ne connais pas est sorti du second véhicule et se joint au groupe qui pénètre dans l'habitation. C'est cinq hommes en tout qui dans peu de temps vont profiter de tous les orifices de mon épouse.
J'ai envie de hurler, de me précipiter dans cette maison de débauche pour leur hurler ma souffrance et mon dégout, de ramener cette épouse volage au domicile conjugal en la tirant par les cheveux si nécessaire. Au lieu de cela je reste immobile et attends. Je ne sais pas trop ce que j'attends d'ailleurs.
Et c'est une heure et demie plus tard que je vois la porte s’ouvrir et trois hommes en sortir: Jean-Luc, Denis et l'inconnu. Ils traversent et montent dans le second véhicule. Ils sont certainement très contents d'eux, satisfaits de s'être vidés les couilles dans la femme consentante et si docile mais qui se trouve être ma femme.
Je me penche vers la boite à gants pour ne pas être identifiés, deux d'entre-eux me connaissent. Ainsi Guy est resté avec eux, ils vont donc faire lit à trois. Les autres sont certainement repartis à cause de leurs épouses et Jean-Luc a sans doute peur que sa femme ne l'appelle et qu'il ne soit pas là pour répondre. Puisque je ne vais pas faire un scandale dans la maison, il me reste à regagner mon logis pour réfléchir de la suite que je vais bien pouvoir donner à ma vengeance, car je vais me venger, il ne peut pas en être autrement.
Le lendemain, à six heures je suis debout. Ils prennent le travail à 8 heures, ils vont donc partir vers 7h30. A 7 heures je suis dans la rue et me gare cette fois avant le N°17. J'ai une vue parfaite sur la porte d'entrée. C'était bien vu, à 7h30 pile la porte s'ouvre.
C'est mon épouse qui sort la première. Cette fois elle a une jupe noire et ses bottes à hauts talons. Elle a dû en prendre plein le cul toute la nuit. Quelle garce! Elle traverse et ses deux compagnons la rejoignent, la voiture déboite et ils s'en vont. Je n'ai plus qu'à en faire autant. Comme mon épouse n'avait pas de bagages, j'en conclus qu'elle compte revenir ici ce soir.
Après y avoir réfléchi toute la nuit, j'avais arrêté un plan. Puisque l'épouse de Gérard est en vacances chez les parents de son mari à Wissant, il me suffit de téléphoner aux renseignements et de demander les téléphones des abonnés qui portent le même nom que lui. A 9 heures je décroche donc mon téléphone et exprime le but de mon appel à l'opératrice. Après un temps de recherches, ma correspondante m'indique qu'il y a 5 monsieur et madame D.
- «Pouvez-vous me donner les numéros de téléphone et les adresses SVP?
- «Pas de problèmes!
Je note consciencieusement les renseignements fournis, remercie et raccroche. Je détecte rapidement la personne concernée car une seule a pour adresse «rue du front de mer» et je sais que la maison des parents de Gérard donne sur la mer. Aussitôt je compose le numéro, quelques sonneries retentissent puis une voix de femme répond:
- «Allo!
- «Oui bonjour madame, excusez-moi de vous déranger, mais est-ce que l'épouse de Gérard est chez vous?
- «Oui, mais c'est pourquoi?
- «Je suis un voisin, c'est au sujet de leur maison!
- «Quittez pas! Aline, Aline, c'est pour toi, je ne sais pas ce qui se passe, c'est un de tes voisins concernant un problème au sujet de ta maison.
- «Oui, allo!
- «Bonjour madame. Écoutez attentivement ce que je vais vous dire, c'est assez surréaliste. Il se passe de drôles de choses chez-vous depuis samedi. Figurez-vous que je vois des gens rentrer avec votre mari, quelquefois quatre ou cinq, et avec eux il y a toujours une belle et grande femme aux cheveux noirs. Mais le plus inquiétant, c'est que si des hommes quittent votre domicile au bout de quelques heures, il y en a toujours un qui reste avec votre mari et également la femme, une femme qui semble très familière avec votre époux puisque je les vois souvent se tenir par la taille, tendrement enlacés. Toujours est-il que cette femme passe la nuit chez vous depuis dimanche. Lundi soir je l'ai même vu entrer avec une valise et l'autre garçon avec un sac de voyage. Voilà ce que j'ai à vous dire, faites le meilleur usage de ces renseignements. Bonne journée!
- «Monsieur! Monsieur! Attendez! Qui êtes-vous? Pourquoi me dites-vous tout cela et en quoi êtes-vous concerné?
- «Madame je vais être franc avec vous. Cela fait quatre jours que je ne vis plus. Il m'a fallu mener une véritable enquête pour découvrir tout ce que je viens de vous apprendre. Et croyez bien que je suis concerné au premier chef puisque cette fameuse femme aux cheveux noirs, c'est tout simplement mon épouse.
- «Mais comment puis-je croire tout ce que vous me dites? Ce pourrait-être un canular?
- «Écoutez, je vous donne mes nom, prénom et adresse. Vous téléphonez aux renseignements et demandez l'adresse et le téléphone de Monsieur R., puis vous me rappelez.
- « D'accord!
Cinq minutes plus tard, le téléphone sonne.
- «Allo!
- «Oui, c'est moi. C'est donc bien vous et je vous crois. Il faut absolument que je retourne chez moi, mais je n'ai pas de voiture et par le train ça va être un peu compliqué.
- «Attendez, on se trouve embarqué dans le même bateau et nos intérêts convergent. Voilà ce que je vous propose. Je viens vous chercher avec ma voiture, je connais Wissant, c'est tout au plus à deux heures de route. Je pars tout de suite et je serai là-bas vers 11h30. Je vous ramène à Hem et en cours de route nous établissons un plan d'attaque.
- «OK! En arrivant donnez deux coups de klaxon.
- «A tout à l'heure!
Cette fois, les dés sont jetés. Nous passons à l'action. Cette perspective me rend le moral.
A 11h25 je suis devant la maison, un coquet petit pavillon. Des enfants jouent dans le terrain devant. Je n'ai pas à klaxonner, elle devait me surveiller car elle sort aussitôt. Elle embrasse ses enfants et se dirige vers moi.
C'est une jolie femme, pas très grande; 1m60, 65, les cheveux blonds, frisés, assez courts, des jambes fines, bien galbées. Elle est vêtue d'une jupe plissée en tissu écossais qui la rajeunie, d'un corsage blanc à première vue bien rempli et d'une veste de cuir noire. Elle prend place près de moi en me saluant. Ses beaux yeux bleus me fixent, ils sont rougis par les larmes. Je m'en veux un peu d'être la cause de ces pleurs.
- «Excusez-moi de vous avoir causé de la peine, mais je ne pouvais pas garder tout cela pour moi.
- «Ne vous excusez pas. Au contraire, je vous remercie. Si ce que vous dites est vrai, il va me le payer, soyez en certain.
J'attends qu'elle accroche sa ceinture avant de démarrer. La courroie, passée entre ses deux seins, fait agréablement ressortir le galbe de sa poitrine ronde et bien fournie.
Je prends le chemin du retour.
Une demi-heure plus tard, je lui demande:
- «Vous n'avez pas déjeuné?
- «Non mais je n'ai pas faim!
- «Ta ta ta! On ne va pas se laisser abattre! Je vous invite » lui répondis-je, une assurance toute neuve retrouvée.
Et dix minutes plus tard on se retrouve autour d'une bonne table à déguster la spécialité de l'établissement et à apprécier une bonne bouteille de vin. Ce repas nous fait du bien et le vin a contribué à faire tomber la tension que je sentais chez cette femme trompée et meurtrie.
Mais je me rendis vite compte que j'avais à faire à une personne au caractère bien trempé. Si elle avait marqué le coup à l'annonce de la tromperie de son mari, elle a vite repris du poil de la bête et j'ai maintenant devant moi une épouse décidée à obtenir le fin mot de cette histoire et à en tirer toutes les conséquences. Dans la discussion, elle me dit:
- «Sauf si mon mari décide lui-même de me quitter, je n'irai toutefois pas jusqu'au divorce car avec mes quatre enfants je ne vois pas trop comment je pourrai m'en sortir, avec, en plus, la maison qui n'est pas encore finie d'être payée. Mais si mon couple se reforme, je vous jure qu'il va le payer et cher!.
- «Et vous? Qu'allez-vous faire? Ajoute-t-elle.
- «Oh moi, je suis un peu dans les mêmes dispositions que vous. J'ai trois enfants, ils sont dans les Ardennes, chez mes parents actuellement. Alors, si ma femme revient, je l'aime beaucoup trop pour m'en séparer de ma seule initiative. Maintenant, à l'instant où je vous parle, je ne connais pas ses intentions.
- «Mais qu'est-ce qu'on peut-être naïfs dans la vie. Nous sommes les cocus les plus cons de la planète! En attendant, voilà ce qu'on va faire. En arrivant chez moi, je cherche les preuves de l'adultère, les habits de votre femme par exemple. Dès ces preuves découvertes, je téléphone au cabinet d'huissiers dans lequel j'étais secrétaire avant d’arrêter pour élever mes enfants, ça, au moins, ça tombe rudement bien et je demande la venue de l'un d'entre eux. Puis on attend l'arrivée des salopards, cachés dans un débarras et on les surprend en pleine action. Le programme vous convient?
- «Topez là! C'est parfait!
Puis on continua la route en changeant de sujet. Pour elle, un plan était arrêté, on pouvait parler d'autre chose.
Au fur et à mesure que les kilomètres défilent, je remarque que la jupe légère de ma passagère a tendance à remonter, dévoilant de plus en plus de magnifiques cuisses nues bien rondes et qui semblent bien fermes. Apparemment, elle ne s'en rend pas compte.
Et pourtant, soudain:
- «Vous êtes en train de mater mes cuisses là!
Ce n'est pas une question, c'est une affirmation.
- «Ben oui! Elles sont trop belles et ce que je vois laisse deviner d'autres trésors encore plus attrayants!
- «Vous êtes un peu gonflé non? Vous comme moi nous sommes cocus et vous me draguez?
- «Vous avez raison, excusez-moi. Mais en dix ans de mariage, je n'ai jamais trompé mon épouse. Vis à vis d'elle je ne m'en sentais pas le droit. Seulement, après ce que me fait cette garce, je me sens délié de mon vœu de fidélité et de vous voir près de moi, comme cela, me trouble beaucoup.
Elle ne répond pas, elle me fixe quelques instants de son beau regard bleu, un petit sourire moqueur sur les lèvres. Mais elle ne remet pas sa jupe en place pour autant.
Nous voici enfin devant la maison. Comme hier, je me gare 50m plus loin puis nous rentrons.
En bas, il y a le salon, salle à manger et cuisine qui donne sur une cour et un jardin à l'arrière. Rien de spécial n'est détecté par Aline, prénom que je connais puisque prononcé par sa belle-mère ce matin au téléphone.
Nous montons à l'étage. Deux chambres et la salle de bain. La première chambre est celle d'un enfant: rien. La seconde, c'est la chambre conjugale: sur le lit une jupe, une robe, deux jupes sont suspendues sur des cintres accrochés à la porte de l'armoire avec des chemisiers, puis une valise de vêtements se trouve posée un peu plus loin près de la fenêtre et un sac de voyage contenant des affaires d'homme. Voir les effets de ma femme étalés sur le lit d'un étranger me fait mal, très mal.
- «Quelle bande de salauds, ils couchent à trois dans notre lit. Le salaud! Le salaud! Et ta femme, quelle salope!
Tiens, elle me tutoie. Notre humiliation commune nous rapproche.
- «Je suis d'accord avec toi, pas un pour racheter l'autre.
Il reste la salle de bains où Aline découvre la vanity de mon épouse et ses produits de maquillage sur la tablette du lavabo.
- «En plus, elle s'est installée, elle fait comme chez elle! Bon, je descends téléphoner à l'huissier.
Nous redescendons et elle téléphone.
- «Bien, il arrive à 18 heures. Comme ils quittent le travail à 18h30, il nous restera un gros ¾ d'heures. Assieds-toi à la table, je vais nous faire un café
Elle a définitivement adopté le tutoiement.
Dix minutes plus tard nous dégustons un bon café fumant et odorant.
Machinalement, je regarde l'heure:
- «Encore une heure et demie à attendre, ça va être long!
- «Tu crois? On peut arranger cela.
A peine avoir dit ces mots, elle pose la tasse sur la soucoupe, se lève et, ni une ni deux, elle vient s'assoir sur mes genoux.
- «Alors, comme ça j'ai de belles cuisses et tu veux voir plus loin?
Je ne peux pas répondre, sa bouche s'est emparée de mes lèvres et je sens sa langue, curieuse et aventurière, forcer l'ouverture et prendre possession de ma bouche. C'est un baiser imprévu mais o combien savoureux.
Ses lèvres sont douces, sa langue est active, nos salives se mélangent. Ma réaction est subite vu le contexte, mon sexe s'est brusquement dressé dans mon pantalon, elle doit sentir la protubérance le long de sa hanche. Je suis frustré depuis si longtemps.
J'ai désormais dans mes bras un corps chaud, ardent, pressant, qui, apparemment, quémande l'amour. C'est pour moi une bénédiction. Après toutes ces journées de tension, je me sens tout à coup complètement libéré. Ma main part à l'aventure sur la cuisse découverte par la jupe largement troussée. Mon Dieu, je m'en doutais, sa peau est d'une douceur incomparable, d'une délicatesse qui appelle la caresse.
Elle écarte elle-même les cuisses, m'invitant à poursuivre l'introspection. Rapidement j'arrive à la culotte dont je caresse la fine dentelle. Elle est déjà humide. J'empaume la vulve, en sent la chaleur. Aline apprécie, bouge ses reins, appuyant la caresse.
Je la fait maintenant remettre debout. Je ressaisis ses lèvres et lui caresse les seins. Ils sont fermes, bien gonflés, je sens les tétons poindre dans le soutien-gorge. Puis je déboutonne et ôte le chemisier, dégageant par la-même deux magnifiques rotondités encore emprisonnées.
Le soutien-gorge ne tarde pas à suivre et je peux enfin contempler cette ravissante poitrine que je magnifiais à raison, deux seins fermes à la tenue irréprochable. Je me penche et saisis délicatement de mes lèvres le téton turgescent, dressé, arrogant et le mordille, l'aspire, le suce. Aline, sous la caresse apprécie et commence à geindre doucement.
Je m'emploie à déboutonner sa jupe qui glisse et s'affaisse telle une corolle à ses pieds. Elle n'est plus revêtue que de sa culotte qui s'avère n'être qu'un minuscule morceau de tissu en dentelle ne cachant que l'essentiel. Sous des dehors sérieux, Aline sait être une femme sexy qui aime avoir de jolis dessous. Est-ce pour son rustre de mari?
Pendant ce temps Elle me masse l'entre-jambe, augmentant par la-même la puissance de mon érection. Puis elle me retire la ceinture, déboutonne le pantalon et le baisse avec le caleçon, libérant ainsi mon sexe qui bondit littéralement dans sa main tendue. Elle me branle quelques temps puis se dégage. Je me dévêts complètement puis, la saisissant sous les genoux et à la taille, je l'enlève et la dépose dans ce fameux canapé, théâtre et lieu privilégié où s'ébattent nos débauchés de conjoints. C'est un juste retour des choses, je vais prendre sa femme là où il s'occupe si bien de la mienne.
Aline est maintenant allongée, lascive, abandonnée, prête à se livrer au mâle. Je lui retire sa petite culotte et découvre une vulve complètement épilée, déjà entrouverte et où perle une humidité annonciatrice du plaisir. J'embrasse un temps ses seins, aspire, mordille les tétons bien gonflés.
Doucement mes lèvres glissent sur sa peau toujours aussi douce et descendent vers son puits d'amour. Elles sont maintenant plaquées sur son sexe, ma langue pénètre en écartant ses grandes lèvres, investissent l'antre ainsi dégagée, j'aspire et bois le nectar qui s'écoule désormais de la chatte brûlante.
Puis elles remontent titiller le petit dard maintenant sorti de sa cachette. Aline a ses mains appuyées sur ma tête et elle gémit doucement, émettant une plainte continue par ses lèvres entrouvertes. Elle écarte largement les cuisses, les genoux relevés.

A suivre ...

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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                            C'est Bienvenue chez les Cht'is.
                      Version cul... Mais alors vraiment  cul...
                             Vengeance...! Pire qu'à Dallas!!!


Mon épouse et ses collègues
Suite III

Je n'y tiens plus. Je me redresse et, me plaçant dans la fourche de ses cuisses accueillantes, je m'allonge sur la femme consentante. Je positionne mon gland congestionné par l'important afflux de sang qui contribue à la raideur rarement atteinte de mon sexe à l'entrée de sa grotte et pénètre doucement. Je savoure l'intromission. Elle aussi apparemment, elle a arrêté de respirer et, les yeux clos, apprécie cette barre brûlante qui investit ses entrailles.
Bientôt je suis au fond, mon pubis collé à son mont de vénus. Puis je commence des mouvements lents, ma bouche couvre sa bouche dans un baiser torride. Je bois sa salive, je respire son souffle. Mes deux bras se saisissent de son torse et je plaque son corps contre le mien.
Nous ne formons plus qu'un, les deux corps étroitement emboîtés, reliés par ma verge qui investit profondément son vagin inondé. J'accélère la cadence. Manquant de souffle, sa bouche a quitté la mienne et de ses lèvres, ce sont désormais des sons désarticulés qui en sortent. Mon bas ventre claque contre son corps, projetant violemment mon vit au plus loin dans son antre. Elle commence à délirer, son bassin s'agite en mouvements incontrôlés, sa tête oscille de gauche à droite: « AAAHHHH! OUIIIIIIIII! Vas-y! Vas-y! C'est bon! OUIIIIIII! ». et elle part dans un orgasme irrépressible.
De mon côté, ne pouvant plus me retenir, je lâche tout. Des jets superpuissants sont projetés au fond de son vagin, l'emplissant d'un sperme trop longtemps contenu dans mes testicules si peu sollicitées depuis plusieurs jours. La puissance des flots de liquide chaud amplifie encore l'orgasme. Aline me griffe le dos et tombe en pâmoison.
Je reste un certain temps enlacé au corps inanimé de mon amante, la laissant reprendre ses esprits. Puis je m'allonge sur le côté, appuyé sur un coude, en admiration devant cette femme qui m'a procuré tant de plaisir. Je lui dépose des petits baisers sur ses lèvres entrouvertes par lesquelles passe un souffle brûlant. Elle ouvre ses yeux, me sourit:
- Merci! Oh merci! Il y a si longtemps
Elle me prend dans ses bras et me confie:
- «Excuse-moi. Tu dois me prendre pour une moins que rien! Je te rencontre ce midi et déjà je couche. Tu sais, tu m'as troublé dans la voiture quand tu m'as parlé de mes cuisses. Il y a si longtemps qu'un homme ne m'avait pas fait de compliments! Alors j'ai craqué.
- Mais enfin, tu es si jolie Aline! Ton mari ne peut qu'être fier de toi, il doit te le dire! Je me demande d'ailleurs pourquoi, avec une si jolie femme il cherche ailleurs?
- Oh mon mari! Tu sais le temps où il m'exprimait son amour par des mots doux est bien loin. Je regrette par contre c'est pour toi. Je t'ai poussé à tromper ta femme!
- Et bien tu vois, çà m'a fait du bien! Après les jours que je viens de connaître, ça m'a détendu. Et puis, après tout, elle le mérite tu ne crois pas?
- Exact, ils le méritent tous les deux! Et en plus c'était fort agréable!
Ceci dit, elle saute sur le sol. « Allez, pousse toi! » me dit-elle. Puis elle me chevauche et reprend possession de ma bouche. Elle a pris la direction des opérations. Puis ses lèvres descendent sur mon torse, y déposant quantité de petits baisers. Elle atteint le ventre et bientôt bécote mon sexe qui a retrouvé une demie érection. Mais, sous la caresse, celui-ci présente rapidement une forme triomphale, bien droit, le gland décalotté et encore luisant de notre précédent accouplement.
Elle embouche alors cette tige désormais raide à souhait, elle en prend possession, entièrement, complètement. Je sens mon gland peser sur le fond de sa gorge. Elle a un haut de cœur, se retire, puis replonge. Mes mains jouent avec ses cheveux, mon souffle se fait court. Il ne faut pas qu'elle insiste trop longtemps car je ne pourrai pas me retenir tant j'apprécie cette caresse si rare. Je suis tellement en manque que mes bourses ne demandent qu'à se vider de nouveau.
Comme si elle m'avait entendu, elle me libère, puis elle reprend son ascension toujours en me bécotant. Bientôt elle se réapproprie mes lèvres. Je devine sa vulve sur mon sexe. Sa main se saisit de ce dernier, elle le positionne puis une douce chaleur l'enveloppe. Alors, elle se redresse et se met à me chevaucher. Je regarde mon vit, superbe mât érigé tel un obélisque, apparaître puis disparaître successivement dans cette caverne imberbe si chaude et si accueillante.
Je ressens un plaisir énorme à faire l'amour à cette femme que je ne connaissais pas ce matin. C'est un accouplement d'une grande pureté, sans arrière-pensée, deux êtres qui se rapprochent, s'aiment au travers cet acte qui les unit. C'est une communion des sens qui tend à nous emmener vers les sommets du plaisir.
Maintenant Aline a ses doigts crochetés dans la chair de mes pectoraux, elle s'y cramponne. Ses reins sont désormais animés d'une danse incontrôlée que j’amplifie par de furieux coups de boutoir qui projette mon braquemart au fond de sa caverne. Je sens une douce chaleur envahir mes testicules tant son liquide d'amour se répand abondamment. Son souffle s'accélère, elle se met à gémir de plus en plus bruyamment :
- Vite! Vite! Jouis ma chérie, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps!
Nos corps se comprennent. Elle est prise brutalement d'un tel orgasme qu'elle manque d'être désarçonnée. Aussitôt je me libère. Pour la seconde fois j'inonde de mon sperme son antre brûlant et hospitalier. Elle s'allonge alors sur moi, le souffle court.
- «Merci! C'était bon! Je revis! Merci à ta femme de nous avoir fait nous rencontrer!
C'est pourtant vrai. Le plaisir que nous venons de prendre adoucit quelque peu notre condition de conjoints trompés et nous permet de nous dire que nous ne sommes plus les seuls. Vengeance au goût amer!
 Et pour les rattraper dans la débauche, il y a encore du chemin à parcourir. Que nous ne ferons jamais d'ailleurs car il n'est pas question que nous tombions dans de tels égarements.
- «Mon Dieu! Aline, il va être 17h30! Vite! Il nous reste peu de temps!
Effectivement, il nous faut tout remettre en ordre et ne laisser aucune trace de notre présence.
Aline fonce dans la salle de bains en n'oubliant pas d'emporter ses vêtements. Je me rends plus ou moins décent à l'évier de la cuisine en effaçant les traces humides sur mon corps et me rhabille. Puis je saisis une éponge et un torchon et nettoie toutes les taches laissées par nos ébats en prenant garde de bien faire disparaître toute empreinte d'humidité. Je ramasse les tasses et soucoupes, les lave et après avoir un peu cherché trouve leurs emplacements dans le placard de cuisine.
Aline redescend, re-pomponnée, très jolie, fraîche, tout juste les joues encore un peu rougies par nos ébats passés.
Nous faisons un tour d'horizon et, certains d'avoir tout remis en état, nous attendons la venue de l'huissier.
17h55, il sonne à la porte. Aline lui ouvre, elle fait la bise à son ancien collègue. Tout de suite, il entre dans le vif du sujet en nous demandant de lui expliquer tout ce que nous savons sans rien omettre.
C'est surtout moi qui parle. Je lui relate tous les faits constatés mais en me contentant de lui dire que ma femme a disparu du domicile conjugal depuis la nuit de vendredi à samedi, en passant sous silence l'épisode de l'orgie dans notre appartement. Puis je lui explique toutes les démarches entreprises pour retrouver sa trace à partir de la photo qui m'a permis d'identifier les protagonistes tout d'abord supposés puis avérés.
- «Donc, dit-il, d'après les faits que vous avez constatés, votre épouse, manifestement, se livre à des actes de nature sexuelle depuis samedi au domicile conjugal d'Aline avec plusieurs hommes mais avec une préférence marquée pour son mari, Gérard! De plus, elle aurait élu domicile ici depuis samedi soir ainsi qu'un autre individu!
Pour répondre au fait que mon épouse couche ici, Aline lui indique:
- «La valise de son épouse se trouve dans notre chambre et ses affaires personnelles sont sur le lit et dans la salle de bains. Il y a également un sac de voyages avec des effets masculins.
- «Toujours en suivant vos dires, d'après-vous, ils vont revenir ici ce soir, vers 18h50, puisque votre épouse n'a pas repris ses bagages en quittant le domicile ce matin?
- «Absolument! Cela ne fait aucun doute!
- «Bien, alors prenons nos dispositions pour les attendre. Aline, où pourrait-on se cacher sans risques d'être découverts? Le but est de les laisser entrer, les laisser s'installer, prendre leurs aises. Je pense que rapidement les choses devraient évoluer dans le sens que l'on désire et qui me permettront de constater l'acte l'adultère. Attention, cela ne va pas être facile pour vous, vous devez rester maître de vos nerfs, observer un silence complet, quoiqu'il se passe. Si vous ne vous en sentez pas certains, il vaut mieux que vous attendiez dehors comme Monsieur l'a fait hier soir et venir dès que j'aurai pu officier et que je vous appellerai.
- «Non, non! Répondit Aline. Il n'y aura pas de problème pour moi.
- «Moi non plus, lui dis-je.
- «Bien, alors, Aline, montre-moi où on peut se dissimuler ainsi que la chambre, car ils peuvent y aller s'ils ne restent pas ici.
Au rez de chaussée, il n'y a aucun endroit de certain pouvant contenir trois personnes. A l'étage, elle commence par lui montrer sa chambre. Par la même occasion elle lui désigne les vêtements de mon épouse, ce que je confirme. Puis, sur le palier, elle nous désigne un réduit, face à la montée d'escalier, qui sert de débarras mais suffisamment vaste pour nous recevoir tous les trois sans problème.
- «Je pense qu'ici ce sera bien, dit Aline, Gérard n'a rien à y faire. Il n'y vient d'ailleurs que très rarement, c'est moi qui l'utilise.
L'huissier entre, referme la porte et nous demande de redescendre et de parler entre nous d'une voix normale. Ce qui est fait. Du haut de l'escalier il vient nous dire que c'est parfait, qu'on entend distinctement les voix, le son étant amplifié par la cage d'escalier qui fait office de caisse de résonance.
- «Bon, ce problème est réglé. Je vais toutefois mettre mon dictaphone en bas en le dissimulant à la vue des occupants de la pièce. C'est un appareil discret, très sensible. L'enregistrement ne pourra pas nous servir directement comme preuve, mais comme nous entendrons tout ce qui va être dit, cela me permettra de retranscrire la totalité des conversations sur le constat en étant certain de ne rien omettre.
Il trouve vite une cachette dans la bibliothèque derrière un cadre.
- « Dès que l'on voit les voitures se garer, je le mets en route et je monte prestement dans la cache. Vous, allez guetter de la fenêtre de la chambre et vous me rejoindrez!. OK?
- «OK!
Il est maintenant 17h40.
Nous prenons alors position derrière les rideaux de chacune de nos fenêtres respectives. Nous sommes invisibles de l'extérieur. A peine arrivés à notre poste d'observation Aline se blottit dans mes bras et ses lèvres contre mes lèvres, me murmure:
- «J'ai peur! Serre moi fort!
J'accède avec plaisir à son désir, l'embrasse tendrement et lui dit:
- «Tout va bien se passer ma chérie. Moi aussi j'ai peur de ce que l'on va découvrir, de ce qui va être dit. Mais il faut que l'on ait la certitude de notre humiliation, quelque-soit le prix à payer, les souffrances à endurer. Sois courageuse!
Nous reprenons notre observation en se serrant fortement la main pour nous donner du courage.
Et quelques minutes plus tard, les voitures que je connais se rangent devant la maison.
Les portières s'ouvrent, conducteurs et passagers descendent. Cinq hommes et ma femme. Aline est comme transformée en statue. Elle voit son mari saisir comme d'habitude mon épouse par la taille et entreprendre la traversée de la chaussée.
- «Le salaud! Le salaud!
- «Vite! Vite!
C'est l'huissier que nous n'avons même pas entendu gravir les escaliers tant nous étions pétrifiés par la scène qui se déroulait sous nos yeux.
Nous sortons de notre hébétude et rejoignons l'homme de loi dans l'étroit cagibi. L'huissier ferme la porte, nous sommes plongés dans le noir. Je sens la main d'Aline qui cherche la mienne. Je lui saisis et la presse très fort.
C'est tout d'abord le silence. Puis des bruits confus et enfin plus clairement identifiables. Ils sont maintenant dans le salon, juste en bas des escaliers. Cette fois, bien qu'assourdies par la porte fermée, on distingue parfaitement les phrases prononcées.
Joss: «Vite Gérard! A boire! Je crève de soif!»
Gérard: «Du calme! Du calme! Alors, une bière pour tout le monde?»
Un brouhaha lui répond: « Oui! Oui! »
Puis le silence, des bruits de chaises, de pas, puis des canettes qui s'entre-choquent.
- «A la vôtre
Puis le silence de nouveau! Long! Très long! Et?
- «Eh! Tu nous en laisses? Tu ne vas pas tout manger?
La phrase est explicite, elle veut tout dire, je la comprends et Aline aussi. Elle m'écrase désormais la main, nous nous rapprochons.
Silence. Encore plus de silence. Il s'éternise. Et puis:
- «Ah! La garce! Elle n'a pas mis de culotte! Ouaiiiis!
La garce? C'est un mot trop faible pour qualifier cette femme qui, hélas, est mon épouse. Salope serait plus adéquat! Si je devais avoir des regrets d'avoir fait l'amour avec Aline, avec ce que j'entends ils se seraient évanouis.
Une rage énorme m'envahit. Je dois prendre sur moi pour garder mon calme. Aline, de son autre main me serre le bras, ses ongles s'incrustent dans ma peau. Nous vivons vraiment de sales moments.
- «Putain! C'est pas vrai! Tu vas déguster ce soir, je te préviens!
- «Ouaiiiiis! J'ai hâte! J'espère que ce n'est pas de la vantardise pas les mecs!
- «STOP! STOP! (C'est Gérard).
- «Non! Non et non! Avant tout, Joss, tu dois me répondre. Je t'ai posé une question ce matin, encore cet après-midi! As-tu téléphoné à ton mari? Depuis lundi matin tu dois le faire! Tu me dis toujours oui et tu ne le fais jamais! Tu ne peux pas laisser ton mari dans une telle incertitude! Est-ce que tu te rends compte que depuis quatre jours il ne sait pas où tu es passée? Je te l'ai déjà dit samedi matin, lorsque tu as décidé de ne pas rentrer et de rester avec nous. Je suis d'accord, j'aime que tu sois là, j'aime te faire l'amour, mais quelque part, est-ce que tu prends conscience que tu rends un homme malheureux comme les pierres? Tu te rends compte de ce que tu fais? Si tu veux le quitter, libre à toi, mais tu dois le lui dire et ne pas le laisser dans l'ignorance!
Cet homme, d'un seul coup, remonte dans mon estime.
- «Je te préviens, Joss, vendredi soir, je pars rejoindre ma famille à Wissant, directement du boulot. Parce que moi, je le reconnais, on s'amuse bien tous ensemble, mais ma priorité, c'est ma famille, ce n'est pas toi! Vendredi je veux bien passer te déposer chez toi mais c'est tout! Alors, préviens ton mari ou sinon, si tu veux le quitter, pars ailleurs si tu veux, c'est ton problème. Moi, ça ne me regarde pas.
A entendre ces paroles, je sens bien que pour lui, Joss n'est qu'un corps qui lui sert d'exutoire. Je suis encore plus abattu, car je me rends compte que ma femme n'est ni plus ni moins devenue qu'un objet sexuel, un jouet aux mains de ces hommes qui profitent de son corps, de ses orifices, de tous ses orifices, mais qu'elle ne compte pour rien en tant qu'être humain.
Elle est tombée si bas qu'elle me fait pitié. Si elle revient, comment pourrais-je reprendre une vie normale avec elle? La voir côtoyer nos enfants en sachant toutes les horreurs auxquelles elle participe, horreurs qu'elle même provoquent, elle en est la principale actrice.
- «Quitter mon mari? Mais il n'en est pas question!
- «Mais retombe sur terre nom de dieu! Tu ne vois pas que par ton comportement c'est lui qui va te quitter? Moi, si ma femme me faisait le quart de ce que tu fais à ton mari, illico je demande le divorce!
Là, avec sa femme qui entend tout, il prend des risques.
- «Tu crois?
- «Mais tu es incroyable! Tu es complètement irresponsable! Retombe sur terre une bonne fois pour toute et décide enfin de ce que tu veux faire avec ton mari. S'il en est encore temps d'ailleurs!
- «Hé! Oh! Gérard! Arrête tes leçons de morale! On n'est pas venu pour ça. Allez, viens ma belle! Laisse cet empêcheur de tourner en rond, on va s'amuser!
- «Arrête! Tu me chatouilles! Non, pas ici! Allons sur le lit, c'est plus confortable!
- «Allez les gars, on va se vider les couilles!
Et on entend un véritable tintamarre dans les escaliers tant ils sont pressés de s'occuper de cette femelle si convoitée et si disponible.
Après la discussion que nous venons d'entendre, j'espère que Gérard a suivi le mouvement et qu'il n'est pas resté en bas. Il ne paraissait plus très chaud tout à l'heure et semblait gêné de polluer ainsi l'espace réservé à sa famille.
Bien qu'un peu tard, il en prend conscience et les remords doivent commencer à faire leur œuvre. Je pense qu'il était temps que nous intervenions car je crois que Gérard veut mettre fin à cette aventure qui, bien que jouissive, doit lui paraître maintenant de plus en plus risquée pour son couple au fur et à mesure que le temps passe. Inquiétude que ne partage manifestement pas mon épouse qui est loin de ces considérations.
On les entend défiler dans le couloir devant la porte et entrer dans la chambre. Puis le silence. Ils doivent s'être jetés sur mon épouse. Sa fête commence. Qu'elle en profite car une surprise monumentale l'attend.
Plusieurs minutes plus tard, ce sont des bruits de sommier malmené qui parviennent jusqu'à nous. Ils s'installent sur le lit.
- «Non! Comme ça, je préfère(c'est mon épouse).
De nouveau le silence.
- «Oui! Oui! Comme ça! C'est bon! Continue!(toujours mon épouse)
- «Allez ma cochonne! Avale!(la voix de Jean-Luc).
Maintenant nous entendons nettement le claquement d'un corps qui frappe brutalement ses fesses.
Il est temps d'intervenir. Mon cœur s'affole. Aline est crispée sur mon bras. L'huissier nous chuchote alors:
- «C'est le moment. Vous me laissez passer devant et intervenir. Surtout, pas de violence, cela se retournerait contre vous. Allez, on y va!
Sans bruit, il ouvre la porte et nous le suivons en file indienne vers la chambre. Il jette un coup d’œil discret par la porte, il se retourne et nous regarde en levant le pouce. Puis il bondit dans ce lieu de luxure en brandissant son appareil photos. Les flashs crépitent: 1, 2, 3 et 4 photos.
Nous avons suivi et restons scotchés à l'entrée de la chambre.
Gérard, qui n'a pu résister à l'appel du sexe, est allongé sur le dos, mon épouse est couchée et s'est emmanchée sur lui, vêtue d'une guêpière noire grande ouverte sur ses seins dénudés, jarretelles noires et bas noirs, bottes noires. Cet ensemble noir fait ressortir encore plus le blanc laiteux de la chair. Elle est d'une obscénité totale.
Derrière elle, nous avons Guy qui l'encule. C'est lui qui provoque ces bruits lorsqu'il se propulse en avant, enfonçant sa queue loin dans les entrailles de la femme infidèle qui, symétriquement, reçoit dans la bouche le chibre bandé à l’extrême de Jean-Luc enfoncé jusqu'aux couilles.
Sur la droite du lit, debout, se trouve Denis. Ma femme, d'une main, le masturbe consciencieusement. De l'autre côté, le cinquième individu que je ne connais pas, est allongé, nu comme les autres. Il entretient son érection par une lente masturbation. Il attend qu'un orifice se libère pour, à son tour, profiter de ce corps si ouvert.
Je me demande quel numéro porte ce tableau dans leur nomenclature érotique. Nomenclature qu'ils allaient très rapidement classer définitivement dans leurs archives et pour un bout de temps.
La première photo les a surpris en pleine action. Personne n'a bronché.
La seconde les prend le visage tourné vers l'objectif, les yeux ouverts comme des soucoupes, totalement paralysés, n'ayant pas encore réellement réalisé ce qui se passait.
A la troisième, les corps se déboitent. Mon épouse, jusqu'à maintenant certainement trop absorbée par le plaisir naissant, se rend subitement compte qu'il se passe quelque chose et tourne seulement la tête vers nous.
Sur la quatrième, enfin, prise lorsque mon épouse pousse un cri d'effroi, chacun essaie tant bien que mal de cacher ses parties intimes, sauf mon épouse qui reste littéralement statufiée, hébétée, le regard fixé sur moi, le sexe de Gérard, toujours bandé, à peine déboité de sa vulve dégoulinante. Elle doit se demander dans quel cauchemar elle se trouve plongé.
Soudain, dans un hurlement dément de bête blessée, Aline se précipite dans la pièce. Elle se jette sur les vêtements épars. Avant que quelqu'un n'est eu le temps d'esquisser le moindre geste, elle les a tous saisi dans ses bras, elle se précipite à la fenêtre, l'ouvre et balance le tout sur le trottoir, un étage plus bas. Elle se retourne, rabat le couvercle de la valise qui suit le même chemin. Puis c'est au tour du sac de Guy.
- «Et maintenant, DEHORS! OUST! Bande de salopards! Devant vous c'est un huissier que vous avez. Il est assermenté! Il va me remettre un rapport avec les photos. Ah! Elles vont être belles les photos! Je ne sais pas si vos femmes vont apprécier quand je leur remettrai. Parce que je vais tout leur remettre! Vous pouvez compter sur moi! Et là, finie la rigolade! Finies les parties de trou du cul et de jambes en l'air! Et toi la salope? Arrête de regarder ton mari comme si c'était un fantôme! Il est bien réel, crois moi! C'est même grâce à lui si nous sommes ici. Tu n'as pas honte de l'avoir humilié de cette façon? Tu ne le mérites pas! Et tes enfants! Tu y pense à tes enfants? J'espère de tout cœur qu'il va te foutre à la rue espèce de putain!
Mon épouse ne dit pas un mot. Elle est blanche comme une morte. Son menton tremble comme si elle allait pleurer. Il est bien temps!
- «Maintenant, tout le monde dehors! Allez vous balader à poil sur le trottoir, c'est votre place! Filez! Filez! Je ne veux plus vous voir dans ma maison une minute de plus, rien que votre présence la salit! Toi, Gérard, reste ici, il faut qu'on cause!
Aline est littéralement déchainée.
Elle les pousse, elle les tarabuste dans l'escalier au risque de les faire tomber et ce jusqu'à la porte qu'elle claque derrière eux.
Par curiosité je vais regarder par la fenêtre de la chambre restée ouverte. Ils sont tous les cinq, les mains protégeant de la vue ce qu'ils peuvent protéger, ils cherchent parmi les vêtements mélangés.
Ma femme a plus de chance, une robe est à moitié sortie de la valise bien mal en point à cause de la chute, elle l'enfile prestement par la tête et retrouve ainsi une certaine dignité. Elle rassemble tant bien que mal ses habits; les fourre dans la valise qu'elle ferme difficilement.
Soudain Aline se présente près de moi et balance par la fenêtre la vanyti oubliée dans la salle de bains.
- «Tiens la salope! Tes pots de peinture! Tu en auras besoin pour faire le tapin!
La mallette s'écrase au sol, éparpillant les flacons et autres pots dont certains se brisent. S'en est trop pour mon épouse qui tombe à genoux et se met à sangloter, honteuse et humiliée.
Des voisins sont sortis sur les pas-de-porte, alertés par les cris hystériques d'Aline. Il y en a même un qui prend des photos, hilare.
Puis rapidement ils s'entassent dans la voiture de Jean-Luc qui file sur les chapeaux de roues.
Je redescends à la suite d'Aline qui s'assied à la table de la salle à manger. Elle tient sa tête dans ses mains et les nerfs craquent. De gros sanglots secouent sa poitrine. Je voudrais tellement la consoler et la prendre dans mes bras! Ce qui me ferait du bien aussi parce que moi également je suis secoué et pas loin de l'imiter.
L'huissier paraît ému devant la détresse de la jeune femme.
- «Allez! Calme-toi Aline! C'est fini! C'était un moment difficile mais c'est passé!
Aline se calme. Se mouche. Elle me regarde et esquisse un petit sourire triste:
- «On les a bien eus! Ouf! Mais mon dieu que c'est dur!
Puis l'huissier nous explique comment il va procéder. En fait, il va rédiger un constat d'adultère en décrivant tout ce qu'il a vu et en reprenant les conversations entendues à leur entrée. A ce rapport il va joindre les photos qui, à elles seules, sont suffisamment explicites. Tout devrait-être prêt vendredi, il devrait les déposer lui même en début d'après-midi chez Aline. Puis il demande l'aide d'Aline pour obtenir les noms et prénoms des collègues de son mari. Je lui indique ceux de mon épouse. Il récupère son dictaphone et prend congé.
Je me retrouve seul avec Aline. Quel calme après toute cette agitation! Je lui dis que je vais à mon tout partir et la laisser s'expliquer avec son mari.
- «Eh oui! Ça ne va pas être simple! Et pour toi? Qu'est-ce qui va se passer?
- «Je ne sais pas. Je ne sais même pas si elle va rentrer!
- «Moi je crois que si car après ce que je leur ai dit, à toutes ses bêtes en rut, il n'y en a pas un qui se risquerait à l'héberger. Il n'y a que Guy qui est célibataire, mais je le connais bien, il est toujours fourré ici et c'est quelqu'un qui tient beaucoup trop à son indépendance, il ne va pas s'encombrer d'une femme, si belle soit-elle, ou alors pour un jour ou deux maximum.
- «C'est bien là le problème, je risque donc de ne pas la revoir ce soir. Maintenant, c'est peut-être mieux ainsi car, pour ne rien te cacher, je ne sais pas trop comment gérer cette situation qui me dépasse. Le problème c'est que moi aussi je dois rejoindre mes enfants samedi matin. Alors, si elle n'est pas là, que vais-je leur dire? Et à mes parents?
- «Alors, souhaitons-nous bon courage! Tu téléphones vendredi après-midi, si j'ai les documents tu pourras passer les prendre. Je devrais être seule, on se fera un petit câlin, on l'a bien mérité après tout.
Ces derniers mots ont été prononcés dans un chuchotis, le mari est en haut. Il ne doit d'ailleurs pas être très tranquille.
Elle m'accompagne à la porte et me dépose un petit baiser sur la bouche en guise de salut. 
Je récupère ma voiture et prends la direction de l'appartement. Je suis triste, effondré par la perspective que, dés cet instant, tout pourrait être fini entre ma femme et moi. Je réalise maintenant que c'est peut-être tout un pan de ma vie qui va s'effondrer, les années que je considère comme les plus heureuses. Ma relation avec mon épouse que j'aimais à la folie. La naissance de mes enfants que j'adore. Une vie réussie, sans soucis, sans accrocs majeurs. Et voilà qu'à cause du comportement irréfléchi d'une écervelée, de cette catin, tout s'écroule. En cet instant, je la hais.
En roulant j'essaie de réfléchir aux différents scénarios possibles:
A- Mon épouse se réfugie chez un autre de ses collègues: je n'y croyais pas, après ce qui venait de se passer chez Gérard, ils allaient avoir peur de connaître la même mésaventure.
B- Elle se réfugie chez Guy, le seul célibataire: çà, c'était un risque qu'elle pouvait envisager en dernier recours, mais cela aurait été assez étonnant car elle n'avait pas suffisamment d'atomes crochus avec lui et, comme avait dit Aline, il tenait à son indépendance. Mais peut-être un jour ou deux!
C- Elle rentre à la maison et là, je ne savais pas trop comment gérer la situation, mais c'était l'hypothèse la plus plausible.
A peine entré, je vais prendre une douche pour me nettoyer de toutes les saloperies auxquelles je venais d'assister.
Puis, revêtu de ma robe de chambre, confortablement installé dans mon fauteuil, dégustant un whiskies, j'attendis la suite des évènements.
C'est le téléphone qui me tire de mes méditations. Ma première réaction est de me dire: « Elle vient aux nouvelles, elle vient tâter le terrain ».
Après le message d'attente du répondeur, une voix féminine que je connais désormais très bien et qui me fait plaisir à entendre, annonce: « Bonjour, c'est Madame D., la femme de Gérard, je vous demande Monsieur R. de me rappeler au.... ». Je me précipite aussitôt sur le combiné et décroche, comprenant avec le retour du vouvoiement qu'elle doit-être avec son mari:
- Allo, allo, oui je suis là!
- Ah! Monsieur D.! Oui, je vous appelle car le sac à main de votre épouse est resté dans le salon. Alors, qu'est-ce qu'on fait? Vous venez le chercher?
Je réfléchis quelques instants et répond:
- Non non! Je n'en ai pas le courage. Je le récupèrerai vendredi! De toute façon elle n'est pas rentrée. Ou alors Gérard peut lui rendre demain au travail.
- Il n'en est pas question. Je ne veux plus que Gérard ait un rapport quelconque avec cette catin. Je l'ai prévenu! J'ai suffisamment de connaissances à leur boulot pour le savoir. Et si j'apprends qu'il ne ferait ne serait-ce que discuter avec elle, c'est le divorce. Je vais avoir à ma disposition assez de preuves pour l'obtenir à ses torts exclusifs.
- OK! Bon, je le récupère vendredi. Je sais que tu ne peux pas discuter librement mais l'entretien avec ton mari s'est bien passé?
- Dur!
- Bon je te laisse! A vendredi! Je t'embrasse!
En plus elle a oublié son sac! Si elle revient, elle n'a donc pas de clés pour rentrer. Elle devra sonner.
A suivre....

Jeunes filles complaisantes ou bonnes salopes. A vous de voir..!

Rediffusion

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Ou Monsieur utilise sa salope...
Et se venge du cocufieur en  chef...

Mon épouse et ses collègues
Suite IV

Je repris mon attente en laissant errer ma pensée ce qui m'amena à réaliser tout le mal qu'avait fait, ou qu'allait faire mon épouse. Des couples qui risquaient de se désunir, des enfants rendus malheureux par la séparation de leurs parents. Et tout cela pour des parties de jambes en l'air, pour quelques instants de plaisirs. Je lui en veux encore plus.
Tout cela par égoïsme, pour assouvir sa faim de jouissance sexuelle, son besoin irrationnel de conquêtes, d'attirer les hommes et de les amener à lui rendre hommage dans des baises infinies et innombrables afin de la rassurer sur son irrésistible pouvoir de séduction, pouvoir oh! Combien réel, j'en conviens. Cette femme est diabolique, elle ne se rend pas compte de son pouvoir de nuisance.
Mais c'est cette femme qui est la mère de nos trois enfants, c'est cette femme que j'ai aimée à la folie. Mais est-ce que vraiment je ne l'aime plus? Je ressens un sentiment confus que j'ai extrêmement de mal à analyser. Il me faut plus de recul pour me décider complètement.
Bien revenons à mes hypothèses. Je pense donc qu'elle va revenir. Par contre, d'après le laps de temps qui vient de s'écouler depuis les évènements de chez Gérard, si cette hypothèse est la bonne, elle devrait déjà être ici. Elle est donc repassée chez Guy pour remettre de l'ordre dans sa tenue. Si c'est le cas, la connaissant comme je la connais maintenant, ce ne sont pas les évènements que l'on vient de traverser qui vont l'empêcher d'en reprendre un petit coup dans le cul.
Je déplace donc mon siège prés de la porte-fenêtre et guette les mouvements sur le parking. Une demi-heure plus tard une voiture stoppe devant l'immeuble. Je reconnais Guy au volant. Mon épouse descend, elle récupère sa valise et sa vanity sur le siège arrière. La voiture repart sans attendre et mon épouse traverse.
Et bien voilà, on y est, l'heure de l'explication a sonné, comme la porte d'entrée d'ailleurs.
- Oui! Qui est-ce?
- ?????
- Allo! Il y a quelqu'un?
Une petite voix me répond:
- C'est moi;
- Moi qui?
- Ben moi! Ta femme!
- Ma femme? Je n'ai plus de femme depuis vendredi soir! Au revoir madame!
Le silence fait suite à ma remarque. Elle va rappeler. Je n'ai pas ôté le combiné de mon oreille. J'entends les bruits de la rue. Puis une voix:
- Bonjour Madame R. . Vous rentrez de voyages? Vous n'avez pas vos clés apparemment?
- Ben non! Je ne les trouve pas.
- Attendez, je vous ouvre
Elle a rencontré une résidente de l'immeuble. Elle va donc arriver à la porte palière.
J'anticipe son arrivée et vais entrebâiller le dite porte.
Quelques minutes plus tard, elle grince puis je l'entends se fermer discrètement. Puis plus rien, le silence. Elle est dans l'entrée, elle n'ose pas se présenter à moi, trop honteuse.
Je ne fais pas un geste, je la laisse donc gérer son embarras.
Après une attente qui me paraît interminable, elle apparaît enfin sur le seuil, tête baissée et regard fuyant.
Puis brusquement elle traverse le salon sans un regard et à grandes enjambées , faisant claquer ses hauts talons. Elle va se réfugier dans la salle de bains. Malgré la brièveté du passage, j'avais eu le temps de remarquer qu'elle ne portait plus la robe que je l'avais vu enfiler en vitesse dans la rue tout à l'heure, donc elle est bien repassée quelque-part pour se changer.
Il me reste à l'attendre de pieds fermes.
Une demi-heure plus tard elle n'est toujours pas sortie. Je vais à la porte, elle a mis le verrou mais j'entends des bruits d'eau, elle doit-être dans la baignoire.
Enfin, après une heure, elle apparait vêtue d'un peignoir de bain. Elle s'assoie dans le canapé et demeure muette, tête baissée.
- «C'est tout ce que tu as à me dire?
- «Ben oui!
- «Tu te fous de moi en plus? Tu disparais quatre jours sans donner le moindre signe de vie, je te trouve en posture plus que fâcheuse chez Aline et ce après ton exhibition de vendredi, tu rentres la bouche en cœur et tu n'as rien à me dire?
- «????????
- «Alors si tu n'as rien à me dire, moi tu vas m'écouter. Cela a commencé vendredi soir. Après ta scabreuse prestation avec tes copains, je dois te dire que même si j'ai été extrêmement choqué au départ, j'ai fini par me prendre au jeu et par n'avoir plus qu'une seule idée, te sauter moi aussi tellement je bandais. Il fallait que je me soulage absolument tellement tu m'avais excité. Et après être revenu des toilettes et toi sortie de la salle de bains, tu m'annonces, tout de go: «On part finir la soirée en boite». Là, je me suis rendu compte que tu avais décidé de m'interdire de te faire l'amour. Devant tes amis, tu m'as fait subir la honte de ma vie!
- «Mais pas du tout, je t'ai dit après, en revenant!
- «Alors là, arrête de te foutre de ma gueule, parce que tu n'as jamais eu l'intention de revenir à l'appartement et je m'en suis rapidement rendu compte, simplement en vous regardant aller à la voiture puisque tu avais ta vanity de maquillage à la main alors que tu venais de te remaquiller. Pourquoi emporter ce bagage si c'était pour revenir trois heures plus tard? Et cette vanity, tu as attendu que je me rende aux toilettes pour vite sortir de la salle de bains afin de la planquer dans l'entrée sans que je la vois. De plus, ton empressement à me dire, la bouche en cœur: «tu n'as qu'à nous attendre ici, tu n'aimes pas fréquenter ces lieux là», de manière à prendre les devants et à surtout m’empêcher de me joindre à vous car, sinon, tes plans visant à m'écarter tombaient à l'eau. Je ne suis tout de même pas naïf à ce point. Et depuis en quatre jours, j'ai eu le temps de réfléchir.
- «Oui, mais tout çà n'était pas prévu, je ne pensais pas que la soirée allait se dérouler ainsi!
- «Tu te fous encore de moi! Tu crois que je ne t'ai pas vu allumer de façon éhontée tes collègues, en faisant admirer tes seins en les exposant sous leur nez, en croisant et recroisant tes jambes, en faisant exprès de faire crisser tes bas et en montrant tes cuisses dénudées, jusqu'à faire admirer aux deux ploucs qui étaient devant toi ta fourrure pubienne! Au début je me disais qu'ils devaient voir ta culotte, mais ils en voyaient beaucoup plus! D'ailleurs, le fait de ne pas mettre de culotte, la aussi cela m'a choqué et de te montrer en spectacle en te masturbant carrément sur la jambe de Gérard, le fait de laisser les deux hommes te mettre à poil devant ton mari, te faire bouffer le cul et la facilité avec laquelle Guy t'a enculé alors que tu m'as toujours refusé cette manière de te faire l'amour! Manifestement cette pratique est pour toi chose courante et enfin la façon vorace et bestiale d'emboucher le sexe de Jean-Luc, te laissant aller presque jusqu'à l’asphyxie et le plaisir évident que tu as pris à avaler son jus! Ça aussi tu me l'as toujours refusé! Et après m'avoir imposé tout ce spectacle, madame refuse que je participe à la fête!
- «Je te rappelle que je ne voulais pas les inviter, c'est toi qui a insisté.
- Oui mais comme m'a dit Gérard lorsque tu étais dans la salle de bains, tu aurais pu leur dire la vérité, que je n'étais au courant de rien et la soirée se serait déroulée normalement. D'ailleurs Gérard m'a fait d'autres révélations: vos parties de jambes en l'air tous les vendredis chez Guy et chez Gérard pendant les vacances scolaires, il m'a même dit que ces soirs là, quand tu rentrais à la maison, tu avais déjà pris au moins douze à vingt queues dans le cul, avec moi tu en prenais donc une énième en plus. Sans compter celle que tu prends le midi dans les chiottes de l'usine puisqu'ils ont chacun leur jour pour t'y sauter. Il y a aussi ton chef, tous les mercredis soirs. Tu es vraiment une vrai salope!
- Je n'y peux rien, c'est un besoin pour moi, je ne peux pas rester sans sexe, c'est un besoin vital, comme manger ou respirer. Je n'y peux rien, tu n'y peux rien. Je sais que cela complique mes relations avec toi mais pourtant je t'aime, je n'aime que toi et n'aimerai que toi, c'est avec toi que j'ai eu mes enfants et c'est avec toi que je veux vivre!
- «Alors là, attends, n'allons pas trop vite. Vendredi, je passe chez Aline, elle va me donner une copie du constat d'adultère et les photos qui ne vont pas être piquées des hannetons. Copies, qui je te le rappelle, vont également être remises aux épouses de tes trois collègues mariés qui ont participé à ta petite sauterie. Du coup, avec ton inconscience, te voilà responsable de la destruction de quatre couples, plus le notre, parce que moi, je n'ai encore rien décidé quant à l'utilisation à laquelle je destine ces documents. Il est évident que si ces photos atterrissent sur le bureau d'un juge aux affaires familiales, je n'aurais aucune difficulté à obtenir un divorce à tes torts exclusifs et tu n'aurais même pas la garde des enfants, peut-être même pas l'autorisation de les recevoir chez toi. Le juge ne prendra jamais le risque de confier des mineurs à une adulte, à une mère indigne qui se livre à des orgies torrides et qui sert à assouvir l'avidité sexuelle de mâles en rut.
- Mais ce n'est pas possible, tu ne peux pas me faire çà!
- Comment çà je ne peux pas te faire çà! Encore une fois je n'ai encore rien décidé, mais je le peux parfaitement! Mais enfin, retombe sur terre, tu me trompes tous les jours et même plusieurs fois par jour, tu me mens, tu me prends pour un con, tu disparais quatre jours et quatre nuits en me laissant dans un désarroi total, j'étais malade de jalousie, malade d'inquiétude, je te voyais continuellement en train de râler sous les coups de bites que t'enfilaient tes copains dans tous les orifices. Tu trouves que tout cela ne mériterait pas que je demande le divorce?
- Mais qu'est-ce que je deviendrais moi? 
- Çà, il fallait y penser avant! De toute façon tu vas avoir des célibataires sur le marché qui vont bientôt pouvoir te recevoir, car je pense qu'on va assister à une vague de divorces dans ton entourage dans les semaines à venir. Vous allez pouvoir monter une association pour vous entraider. Malheureusement je ne suis pas certain que tes copains vont bien accepter la tournure que vont prendre les évènements, tu risques d'avoir des surprises dans les prochains jours dès que l'épouse de Gérard aura averti tout le monde. Déjà, Aline m'a prévenu que Gérard a interdiction complète de t'approcher, même de t'adresser la parole. Elle a des espions dans ton usine qui la préviendront s'il déroge à ces ordres.
oooOOooo
Le lendemain, c'est une douce chaleur dans le bas-ventre qui me tira de mon sommeil.
Il me fallut un certain temps pour réaliser où j'étais et ce qui m'arrivait. En fait, je découvris mon épouse enfouie sous les draps et occupée à m'administrer une fabuleuse fellation. Comme réveil en douceur, je ne pouvais espérer mieux.
D'un seul coup, tout me revint en mémoire: la trahison de mon épouse, la journée d'hier si riche en divers rebondissements, Aline et nos galipettes, la surprise affichée chez les cinq acteurs déchainés sur mon épouse lors de notre irruption dans la chambre, la soirée et le retour de l'infidèle, puis sa confession. Mais aussi et surtout, la décision que j'avais prise mais dont je devais lui faire part.
Machinalement je regardai l'heure: 8h15. J'avais dormi tout d'un bloc, sans interruptions et sans rêves. J'étais vraiment crevé hier soir. Joss sentit que j'étais réveillé et sa tête émergea de sous les draps.
- Et bien dis donc, on peut dire que quand tu dors, tu dors toi! Cette nuit, impossible de te réveiller et tu as ronflé la moitié du temps!
- J'étais crevé! Ça fait quatre nuits que j'ai peu et mal dormi. Tu dois savoir pourquoi non?
Elle préféra ne pas répondre.
- C'est pas grave. L'important c'est de voir que tu es en forme ce matin, regarde! dit-elle en soulevant le drap et en me montrant mon érection triomphante.
Elle sauta alors du lit, me faisant admirer sa splendide nudité, en me disant:
- Ne bouge pas, je reviens.
Un quart d'heure plus tard elle était de retour, elle reprit sa place sous les draps et s'activa pour rendre toute la raideur à mon sexe qui, du fait de sa courte absence, avait quelque peu fléchi.
Lorsqu'elle fut satisfaite du résultat, elle s'allongea alors sur le ventre près de moi et, de ses deux mains, elle ouvrit son somptueux fessier m'exhibant par la même occasion sa rosette luisante d'un onguent qu'elle venait d'aller s'administrer, me faisant comprendre qu'elle tenait à réaliser la promesse qu'elle m'avait faite hier soir en des termes qui m'avaient quelque peu choqués par la formulation employée.
Ainsi, j'allais réaliser le fantasme dont j'avais toujours rêvé mais qu'elle m'avait toujours refusé alors qu'elle usait et abusait de cette forme de pénétration avec tous ses partenaires sexuels! D'un côté cette décision me satisfaisait, mais d'un autre je ressentais tout de même une certaine amertume d'avoir été obligé de connaître toutes ces désillusions pour obtenir satisfaction.
Je ravalais donc ma fierté et j'allais enfin connaître ce plaisir jusqu'à maintenant interdit et que je n'avais, d'ailleurs, je dois le reconnaître, jamais connu avec aucune femme.
Je pris position au-dessus de son postérieur, ma queue bien bandée dans la main, je la présentai à l'entrée de son orifice. Je pressai mon gland sur son petit œillet et fus surpris de la facilité avec laquelle la pénétration se fit. Il faut dire qu'en plus de s'être bien préparée, elle avait acquis une longue expérience dans ce genre d'exercice, je m'en étais rendu compte à mes dépens.
C'est sans aucun problème que je me retrouvai avec le sexe entièrement enfilé dans son fondement, mon bassin venant presser ses somptueuses rotondités. Son sphincter formait un anneau qui m'enserrait fabuleusement le pénis et une douce chaleur m'irradiait la tige. Je commençai aussitôt de lents mouvements de va-et-vient, puis, au fur et à mesure, j'en accentuai l'amplitude et la puissance.
Après quelques minutes, mon pubis vint claquer sur ses fesses, mon sexe s'enfonçait loin dans ses entrailles. Me voir en train d'enculer ma femme me procurait une jouissance phénoménale. En plus du bien-être ressenti dans mon sexe, c'était aussi un plaisir cérébral inouï. Il est certain que je n'allais pas pouvoir la « travailler » bien longtemps dans ces conditions, j'allais jouir dans peu de temps.
Mais mon atavisme naturel m'interdisait toute jouissance égoïste. Pourtant, après ce qu'elle m'avait fait, j'aurais pu me dispenser de ces principes, mais c'était plus fort que moi. Je ralentis donc la cadence et me préoccupai de ses réactions. Je fus alors surpris car, elle, si prompte à réagir habituellement lors d'un rapport sexuel, n'exprimait rien. Sa respiration ne s'était même pas accélérée, elle avait les yeux grands ouverts et restait complètement passive, inerte, amorphe. Une grande incompréhension m'envahit alors.
Je décidai de changer de tactique. Je sortis mon sexe du soyeux fourreau et la fis se retourner sur le dos. Je lui fis écarter les jambes et me présentai dans une position des plus classiques. Mon vit pénétra alors son vagin, tout juste humide, signe que son excitation était très moyenne. Et c'est ainsi que je fis l'amour à ma femme, calmement, tendrement, comme nous l'avions toujours fait.
Elle me souffla alors un « merci » timide dans l'oreille. Très vite sa respiration s'accéléra, sa vulve s'humidifia faisant entendre rapidement un clapotis caractéristique au fur et à mesure de mes intromissions. Je sentis ses jambes se nouer dans mon dos et une plainte continue sortir de sa bouche entrouverte. J'accélérai alors mes mouvements, mon membre cognait maintenant le fond de son vagin, nos deux pubis se heurtaient violemment.
Mon épouse avait toutes les peines du monde à maîtriser les mouvements de son bassin. Elle avait maintenant la bouche grande ouverte de laquelle s'exhalaient des sons inarticulés. Puis, après quelques minutes elle ne put se retenir:
- « OUIIIIII! OUIIIIIIIIIII! Mon amouuuuuuur! C'est bonnnnnnnnnn! AAAAAAAAHHHH!
Sa jouissance fut spectaculaire, son bassin était désormais décollé du lit, me soulevant comme si je n'avais pas existé. Je profitai de son état d'extase pour jouir à mon tour et lui projeter de longues giclées de sperme au fond de sa vulve en plein bouleversement. Puis elle reprit position sur le lit, ma sueur coulait de mon visage, se mélangeait à sa propre sueur. Elle me prit les lèvres et nous conclûmes ce merveilleux accouplement par un baiser torride.
Quelques minutes plus tard et après avoir repris mon souffle, je m'étalai sur le dos près d'elle:
- Dis-moi si je me trompe, tu n'as pas l'air d'apprécier énormément la sodomie?
- Je l'ai en horreur!
- Mais alors, pourquoi avec les autres?
- C'est simple, comme je te l'ai expliqué hier, lorsque je suis dans mes délires sexuels au milieu de tous ces hommes qui profitent de mon corps, il me faut des queues, le plus de queues possible qui investissent mes orifices, tous mes orifices. Je jouis encore plus lorsque je me sens avilie, salie. Mais jamais dans ces cas là tu ne me verras jouir uniquement par le cul, il me faut la totale. Ou alors, si je ne suis qu'avec un seul homme, pour lui faire plaisir je peux accepter la sodomie un certain temps, mais qui doit-être le plus court possible et jamais il ne me fera jouir de cette façon. Je te l'ai proposée tout à l'heure car je savais que tu étais frustré par le fait que je te l'ai toujours refusée alors que tu m'as vue la pratiquer avec mes collègues, mais tu ne peux savoir le bonheur que tu m'as fait lorsque tu es revenu dans une position plus conventionnelle. C'est comme avaler le sperme, je ne peux pas dire que ce soit ma tasse de thé mais, là encore, cela fait partie de mes délires et dans un gang-bang je peux en avaler des litres, c'est pratiquement un besoin pour assouvir mes envies les plus abjectes, cela devient comme une drogue. Je sais bien que pour quelqu'un comme toi tout cela est difficilement compréhensible, mais c'est ma nature, je n'y peux rien.
- Bon! On en reparlera! Mais c'est pas tout, passons maintenant à des choses plus terre à terre, il faut que tu téléphones à ton boulot pour leur faire part de ton absence.
- Et ta décision? Tu me diras quand?
- Écoute, demain je vais chez Aline chercher les documents de l'huissier. On verra à ce moment-là. Maintenant va téléphoner!
Mon épouse téléphona. Ensuite nous allâmes à tour de rôle dans la salle de bains. Nous ne sortîmes pas de la journée, nous sommes restés dans le canapé à nous câliner et discuter. De tout ce qu'elle a pu me dire au cours de cette journée, j'en déduisis quelle était sincèrement désolée de tout ce qui était arrivé depuis quelques jours, surtout de m'avoir fait autant souffrir.
Mais je compris aussi son problème sexuel, que c'était quelque chose qu'elle ne pouvait maîtriser. Cette femme était malade. Mais pouvait-on guérir de ce mal? Avec le recul, je regrettais amèrement le fait de l'avoir pratiquement obligée à organiser cette réception avec ses collègues. Dès le départ, elle savait ce qui allait se passer, elle savait qu'à un moment donné elle n'allait plus rien maîtriser et que ses sens allaient prendre le dessus sur sa volonté, donc, que tout allait décider. Avant, je ne savais pas. Maintenant, je sais tout et ça n'allait pas me faciliter la vie!
Le lendemain matin nous fîmes la grâce matinée, lever à 10 heures.
Vers 15 heures je téléphonai à Aline. Oui, elle avait les documents, je pouvais passer de suite.
Je prévins mon épouse. Ça n'eut pas l'air de l'enchanter. Elle devait appréhender l’étalage de ses extravagances sexuelles ce qui ne manquerait pas de polluer l'intimité de notre couple.
Quinze minutes plus tard, je sonnai à la porte d'Aline. C'est elle qui vint m'ouvrir. Toujours aussi rayonnante, elle me fit entrer et me sauta au cou. Aussitôt sa bouche s’empara de mes lèvres et nos langues se nouèrent. Tout à coup je vis Gérard sortir de la cuisine. Précipitamment, je repoussai Aline. Celle-ci se retourna vers son mari et me dit tout en le regardant:
- Ne fais pas attention! Cela fait partie de nos arrangements. Puisqu'il s'est payé ta femme je ne sais combien de fois, je l'ai prévenu que c'était mon tour de faire l'amour avec toi. Et puisque je sais depuis hier - par contre, ça, entre nous, tu aurais pu m'en parler - qu'il s'est en plus permis de la sauter chez toi, devant toi et aussi en ton absence lundi midi (tiens, effectivement j'ai oublié de demander cette précision à Joss), et bien nous aussi nous allons faire l'amour devant lui.
Ah là! Cette perspective me réjouit beaucoup moins! Cela allait être difficile pour moi de faire abstraction de sa présence! Si encore il partait dans une autre pièce!
- Non! Non! Reste là! Je veux que tu voies tout! Je veux que tu voies ta femme, la mère de tes enfants, se faire baiser par un autre homme!
Sur ce, elle vint se re-blottir dans mes bras et reprendre ma bouche. Sa main commença à caresser mon entrejambe ce qui, aussitôt, me fit réagir. Contrairement à ce que j'avais craint, la présence de son mari ne me gênait pas. Au contraire, cette situation avait un côté excitant et jouissif d'une certaine manière. Après tout, il avait profité du corps de mon épouse je ne sais combien de fois et devant moi vendredi soir, et lundi midi il n'avait pas hésité à la sauter, dans le lit conjugal qui plus est. Alors, juste retour des choses, c'est mon tour.
Aline lui ordonna de s'asseoir sur une chaise et de regarder, puis elle m'entraîna sur le canapé.
Toujours en m'embrassant elle défit ma ceinture et dégrafa mon pantalon. De mon côté j'avais insinué ma main sous sa courte jupe, lui caressai les cuisses à la peau toujours aussi douce. Très vite ma main s’empara de sa vulve au-dessus du tissu de sa culotte qui, très rapidement s'humidifia. Aline était maintenant allongée sur le canapé, j'étais à genoux près d'elle, le torse penché et nos langues mêlées.
Elle fit glisser slip et pantalon à mes genoux et se saisit de mon sexe désormais parfaitement bandé. Après avoir troussé sa jupe, j'entrepris de mon côté de faire glisser sa culotte. Elle m'aida en soulevant ses reins et je pus lui ôter le vêtement. C'est avec plaisir et envie que je redécouvris ce merveilleux sexe imberbe. Je quittai ses lèvres pour poser ma bouche sur l'intimité de sa vulve. Aline me fit comprendre avec ses mains qu'elle aussi voulait me prendre en bouche. Je me mis donc en position de 69 et nous entreprîmes, de concert, à mutuellement nous faire plaisir.
Je léchai son abricot si juteux avec application, insérant ma langue le plus loin possible dans cette caverne désormais brûlante, puis remontai titiller le clitoris érigé. De son côté, Aline avait engouffré mon sexe dans sa bouche si accueillante et le suçait par d'ensorcelants va-et-vient. Très vite ces manœuvres échauffèrent nos corps et l'un et l'autre nous étions proches de la jouissance.
Puis Aline libéra ma verge:
- Vite! Viens me faire l'amour! J'ai tellement envie!
J'exécutai donc un demi-tour et m'allongeai dans la fourche de ses cuisses. C'est elle-même qui s'empara de mon sexe et le présenta à l'entrée de sa grotte. Lentement je la pénétrai, savourant l'intromission.
Ma queue était dorénavant baignée dans un ensorcelant fourreau humide et chaud. La sensation était magique, fascinante. J'entrepris des mouvements lents et profonds. Aline accentuait la force de la pénétration en venant à la rencontre de mon bassin. Puis j'imprimai des mouvements plus rapides, plus violents. Ma partenaire se mit à geindre, ses ongles entraient dans la peau de mon dos, sa respiration devint saccadée, irrégulière. Son souffle chaud me caressait le cou. Puis je ressentis une vive douleur, Aline, dans sa jouissance irrépressible venait de me mordre au creux de l'épaule.
Ses jambes croisées sur mes reins me gardaient bloqué contre son corps, puis sa gorge exhala un énorme cri de jouissance. Confronté à une telle expression de plaisir à l'état pur, face à la force d'un tel orgasme, je laissai mes bourses se vider au fond de ce vagin si réceptif en poussant à mon tour un cri rauque de jouissance.
Puis ce fut le silence, seuls nos souffles rapides se faisaient entendre. Nous restâmes de longues minutes enlacés. Puis Aline me souffla dans l'oreille:
- C'est toujours aussi bon!
Enfin nos corps se séparèrent et nous refîmes lentement surface. C'est alors que nous redécouvrîmes Gérard qu'on avait complètement oublié. Il avait une sale tête. Il n'avait pas dû apprécier notre performance.
Nous reprîmes une tenue un peu plus décente puis Aline me fit asseoir et me dit qu'elle allait chercher les documents à l'étage.  Je me retrouvai un peu gêné, seul avec Gérard. Celui-ci m'interpela:
- Tu sais, je ne t'en veux pas! C'est de bonne guerre! Toi-même, vendredi tu ne m'as pas fait de reproches.
- Ben oui! Tu as raison.
- Et Joss? Comment ça c'est passé au boulot?
- Elle s'est faite portée malade deux jours.
- Ah? Comme moi! En fait, moi, c'est surtout parce que je craignais de la rencontrer à l'atelier, car je ne sais pas encore comment je vais réagir quand je vais la voir. Tu sais, je concède qu'on a tous bien profité de ta femme, mais je lui en veux tout de même de s'être installée ici et de t'avoir fait ce qu'elle t'a fait. Parce que ça, c'est son idée et pas la nôtre.
- Oui, je sais! Je t'ai entendu l'autre soir et Joss m'a expliqué. Maintenant, moi aussi je suis inquiet sur la suite des évènements car pour en avoir discuté longuement avec elle, je me rends compte en fait que ma femme est une nymphomane et qu'elle est complètement désarmée face à ses envies de sexe. On va peut-être consulter des spécialistes médicaux, mais en attendant? Mystère!
Sur ce Aline réapparait, une enveloppe à la main.
- Voilà, regarde comme c'est beau!
Elle me présente alors le contenu de l'enveloppe: un rapport de trois pages et quatre photos agrandies au format A4. Les photos sont d'une netteté surprenante et pourraient figurer en bonne place dans une revue spécialisée. Les corps nus parfaitement emboîtés sur la première, puis les sexes encore fièrement dressés, luisants des secrétions féminines sous la lumière du flash sur la seconde, l'anus de mon épouse largement ouvert à la sortie du sexe de Guy sur la troisième, puis sur la quatrième photo, lorsqu'elle se trouve allongée sur le côté, sa vulve ruisselante de cyprine.
L'ensemble représente des scènes d'une crudité abjecte et répugnante. Il est certain que de tels clichés remis entre les mains d'un Juge aux affaires familiales dans le cadre d'une procédure de divorce, ne laisseraient aucun doute quant à la décision des responsabilités et de la garde des enfants.  C'est exactement ce que me dit Aline en regardant son mari qui baissa la tête. Puis:
- Et toi? Que vas-tu faire avec ta femme?
- Je ne sais pas. Je n'ai encore rien décidé. Et pour les autres? Tu vas réellement remettre ces dossiers à leurs épouses?
- Non, j'ai réfléchi. Je l'ai dit sous le coup de la colère mais cela aura au moins eu l'avantage de leur fiche la frousse. Mais je ne me sens pas le droit de détruire des couples, de rendre des enfants malheureux. Après tout, ce sont leurs affaires, qu'ils se débrouillent. J'ai déjà assez des miennes à régler. N'est-ce pas Monsieur Gérard D.?
Ceci dit, je décidai de prendre congé.
Je serrais la main de Gérard et Aline m'accompagna à la porte. Elle déposa un baiser sur mes lèvres et me chuchota:
- Reviens vite! Passe-moi un coup de fil!
- OK!
A peine avoir fait demi-tour, je pensai au sac:
- Aline, j'ai oublié le sac!
Elle alla me le chercher en riant et je rentrai à mon domicile.
C'est pas fini... Dallas je vous dis!
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