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Harcèlement sexuel.....

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On en parle beaucoup en ce moment...
Mais au cinéma s'en est plein...!


Rediffusion

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Monsieur est magnanime.
Mais madame se venge  à sa manière...
                                   .... Et recommence...


Mon épouse et ses collègues
Suite V

Je considérai qu'il n'était pas utile de montrer ces documents à mon épouse. Je les enfermai dans mon attaché-case et en brouillai la combinaison pour les rendre inaccessibles à des tiers.
Je revins dans le salon où mon épouse était installée. Elle était silencieuse et me fixait d'un regard implorant. Après quelques minutes de silence, je pris la parole:
- Écoute Joss! Tu viens de me faire énormément de mal. Maintenant, ce qui est fait, est fait, il est inutile de revenir sur le passé. Donc, nous allons parler de l'avenir. N'aie crainte, cela va être court. Si je ne t'avais pas contrainte d'inviter tes amis, on n'en serait pas là aujourd'hui? D'accord?
- Ben oui!
- Alors voilà, tes amis ne sont pas venus, ne sont jamais venus, il ne s'est rien passé! Par contre, il n'est pas envisageable que je revive des moments emprunts d'une telle douleur et d'un tel stresse! Aussi, dorénavant je veux connaître ton emploi du temps, qui tu vois et ce que vous faites ensemble. Je ne t’empêche pas de sortir et de voir qui tu veux. De toute façon, te connaissant comme je te connais aujourd'hui, en particulier tes appétences pour tout ce qui est sexuel, et de l'impossibilité physique et psychologique dans laquelle tu es de les réfréner, je sais très bien qu'il me serait vain de te demander de devenir une femme fidèle. Je sais par contre que tu es une femme aimante. C'est ce que je te demande de rester, donc de ne plus me faire ce que tu viens de me faire endurer. Voilà le contrat que je désire passer avec toi. S'il ne te convient pas ou si tu venais à y déroger, nous reviendrions alors à la case départ, c'est à dire que j'extrais les documents qu'Aline vient de me remettre et c'est le divorce! Maintenant, si tu désires changer ta façon de vivre, tu me le dis et on va voir un spécialiste afin qu'il t'aide à guérir de ta nymphomanie. Que penses-tu de tout cela?
- Si je comprends bien, tu me permets de vivre ma vie d'avant sauf que je dois t'informer de tout ce que je fais?
- Absolument, c'est bien cela!
- C'est d'accord! Merci mon chéri! Dit-elle en venant se jeter dans mes bras.
Elle se retrouva effondrée sur mes genoux, la poitrine écrasée sur mon torse, la tête enfouie dans le creux de mon épaule. De grosses larmes se mirent à couler dans mon cou.
- Pardonne-moi mon chéri! Pardonne-moi!
Ému, je la tins serrée contre moi, prêt moi aussi à fondre en larmes. Mon Dieu! Comme j'avais eu peur de la perdre ces derniers jours. Comment aurais-je fait pour vivre sans elle?
Demain, de bonne heure, nous partions dans les Ardennes récupérer nos enfants. Ces deux jours à passer loin de notre domicile, la rencontre avec nos amis ardennais, allaient nous faire un bien fou.
Après? C'est une autre histoire au cours de laquelle j'allais me rendre compte combien il est difficile, voire impossible, de maîtriser une femme qui ne se maîtrise pas elle-même!
oooOOooo
Nous fûmes rentrés des Ardennes dimanche soir, les enfants reprirent leurs habitudes et nous aussi.
Le lundi soir, je rentrai comme d'habitude vers 19h30. Mon épouse était déjà là, j'avais hâte de lui demander comment s'était passée sa journée.
Dès qu'elle eut fini de servir le dîner aux enfants, elle vint me retrouver dans le salon où je lui avais servi un apéritif.
- Alors? Comment ça s'est passé?
- Bof! Rien de spécial, sauf qu'il n'y a plus que Guy qui m'adresse la parole, les autres tirent une tronche pas possible. Ils sont tout de même gonflés, je leur laisse disposer de mon corps à leur guise, leur donne du plaisir plus qu'ils peuvent en espérer et voilà comment ils me remercient!
- Quelle ingratitude!(là, j'en fais un peu trop). Ça leur passera avec le temps!
Puis les jours et la semaine s'écoulèrent. Mon épouse avait gardé ses habitudes du mercredi avec son chef, le vendredi soir elle ne voyait plus que Guy chez lui, donc la soirée était plus calme pour elle qu'auparavant, ce qui la faisait rentrer plus tôt. Par contre, les parties de jambes en l'air du midi à l'usine, c'était fini.
Elle m'expliqua qu'elle avait peur qu'un de ses anciens partenaires ne la dénonce à la direction, ce qui, si elle était surprise en galante compagnie et en pleine action sur le lieu de travail, serait synonyme de licenciement. Je gagnais au change car ses besoins sexuels restant les mêmes mais étant moins comblée à l'extérieur, elle comptait sur moi pour compenser. Nos couchers et quelque fois nos réveils étaient donc très chauds.
Et les semaines s'égrainèrent aux semaines. La sérénité régnait désormais dans notre couple. Quand un soir où nous venions de nous coucher et que, comme d'habitude, nous faisions l'amour, elle eut une drôle d'idée. Depuis notre dernière fâcherie, il faut dire que Joss s'était libérée et qu'elle ne me refusait plus grand chose, comme des fellations par exemple. Je ne l'obligeai pas à avaler, je sais qu'elle n'appréciait pas spécialement.
Je ne lui imposai pas non plus la sodomie qu'elle m'avait dit avoir en horreur. Par contre, lorsqu'elle me suçait, elle aimait me titiller l'anus et m'enfoncer profondément un, voire deux doigts. Elle me disait qu'alors, elle avait l'impression que j'étais encore plus gros dans sa bouche. C'est au cours d'une de ces pratiques qu'elle me dit:
- Ça te dirait d'avoir autre chose à la place de mes doigts?
- De quoi tu parles? D'un gode?
- Non, non! De quelque chose de plus naturel!
- explique toi, je ne vois pas ce que tu veux dire!
- A l'usine, j'ai un collègue qui est homo, un gentil garçon...
- Holà! Je t'arrête tout de suite, je ne suis pas gay!
- C'est pas la question! Ça te ferait une expérience, il suffirait que tu te laisses faire, c'est tout et en même temps tu me ferais l'amour, je suis certaine qu'on apprécierait tous les deux!
- Tu as de ces idées!
- Ah! Je vois que tu ne dis pas non. Je te tiens au courant.
- Mais je n'ai pas dit oui non plus.
- Bof! C'est tout comme.
Et voilà, ma chérie allait encore nous organiser une soirée trou du cul - c'est le cas de le dire - dont elle a le secret. Elle ne m'en parla plus le restant de la semaine. Samedi, nous abordions déjà deux semaines de vacances scolaires. Donc, direction les Ardennes.
Et c'est le mardi soir suivant qu'en rentrant du bureau elle m'annonça:
- J'ai invité Régis à dîner jeudi soir. Il est d'accord!
- Régis? C'est qui? Et il est d'accord sur quoi?
- Tu sais bien! Ce que je t'ai parlé la semaine dernière, une petite soirée coquine à trois!
- Ah d'accord! Je croyais que tu avais oublié, ce qui m'arrangeait bien d'ailleurs!
- Et ben non! Mais tu verras, ça se passera bien!
Si elle le dit.
C'est ainsi que nous arrivâmes à ce fameux jeudi qui devait-être riche en expérience. A peine rentré du travail, elle me fit venir dans la salle de bains et me dit:
- Baisse ton pantalon et penche-toi en prenant appui sur le bord de la baignoire.
En disant cela, elle s'était emparée d'un flacon en plastique contenant environ 50 cl d'un liquide blanc.
- Mais qu'as-tu l'intention de faire?
- C'est pour te préparer pour tout à l'heure. Il faut que tes intestins soient vides, c'est plus propre!
- Mais qu'est-ce que tu ne me fais pas faire!
Je me mis donc en position et je sentis qu'elle m'introduisait une canule dans le derrière, puis un liquide froid commença à me gonfler les intestins. Quand elle eut tout injecté, elle m'indiqua:
- Tu dois rester au moins 10 mn avec ça dans le ventre avant d'aller te soulager.
Ce qui fut fait.
En revenant, je vis que mon épouse avait tout préparé dans le salon. En fait elle avait prévu un apéritif dînatoire, beaucoup plus convivial qu'un dîner classique.
A 20h30 le fameux Régis sonna. Mon épouse s'occupa de l'ouverture des portes, le fit entrer et fit les présentations. Régis était un homme pas très grand, blond, assez fluet et aux allures efféminées. A le voir, on se rendait rapidement compte du sens de ses orientations sexuelles.
On s'installa autour de la table basse du salon, je fis le service et nous discutâmes de choses et d'autres. Régis avait une discussion intéressante, il était cultivé. Je parlai avec lui de littérature, des auteurs qu'il préférait.
C'était un grand amateur de lectures diverses, surtout sur l'histoire contemporaine, ce qui était pour moi une passion. Ce qui fit que le temps s'écoula rapidement. Ce fut mon épouse, que ces discussions intéressaient peu, qui nous ramena à la réalité.
- Bon, chéri, tu m'aides à débarrasser qu'on puisse passer aux choses sérieuses.
C'est Régis qui m'interpela alors:
- D'après ton épouse ce sera une première pour toi avec un homme?
- Ah oui! Ça, je confirme!
- Bon, alors il faudrait tout d'abord te préparer.
- Mais me préparer à quoi?
- Et bien il faudrait t'assouplir afin qu'il n'y ait aucune douleur au moment de la pénétration. Rassure-toi, j'ai tout prévu. S'il te plaît, retire ton pantalon et allonge toi sur le canapé.
- Pendant que tu y es, tu n'as qu'à te déshabiller complètement, ce sera ça de fait.
Elle-même commença à se dévêtir.
Pendant ce temps, Régis avait sorti de sa sacoche un tube de pommade et il réclama une serviette à mon épouse.
Dès que je fus nu, je m'allongeai comme indiqué. Aussitôt Régis vint s'asseoir contre moi, il me badigeonna le trou du cul de sa pommade, en fit entrer à l'intérieur et commença à me masser le sphincter avec ses doigts. Ses gestes étaient doux, ce n'était pas désagréable. Longuement il me pétrit la rondelle, ses doigts entraient dorénavant sans problème, je ne ressentais aucune douleur. Il me déclara apte pour mon « dépucelage ».
C'est mon épouse qui prit les choses en mains. Régis s'était à son tour dévêtu. Mon épouse s'approcha de lui et lui saisit le sexe qu'elle se mit à masturber. Très rapidement celui-ci atteint une taille respectable, un sexe très long, plus de 25 cm, mais très fin, en fait parfaitement adapté à ce à quoi il était destiné.
Puis, nue, elle s'allongea sur le dos, me dit de venir au-dessus de sa bouche, qu'elle allait dans un premier temps me sucer pendant que Régis allait faire ce qu'il avait à faire.
Je me positionnai comme elle voulait et, à genoux, introduisit ma verge à demi bandée dans sa bouche. Je sentis la présence de Régis derrière moi, Joss passa ses mains derrière mes fesses et les écarta largement. Régis guida son sexe en pleine érection, le positionna à l'entrée de l'objectif et exerça une légère pression.
Je sentis mon œillet s'ouvrir, Régis me saisit alors aux hanches et, d'un coup de rein, il se propulsa au fond de mes entrailles. L'impression était curieuse, pas du tout douloureuse, mais, tel un piston, cette pénétration avait augmenté la pression dans mon intestin. Puis il se mit à effectuer des allers et retours.
Le frottement de son sexe dans mon fondement était, somme toute, fort agréable. Sous la double sensation, enculade derrière et fellation devant, mon sexe avait atteint des dimensions inhabituelles. Mon épouse avait bien raison, mon érection était plus importante lorsqu'on me travaillait derrière.
Puis cette dernière interrompit son action:
- « Bon, maintenant à moi d'en profiter! Tu vas t'occuper de mon minou en levrette.
Demi-tour et elle se présenta devant mon éperon fièrement dressé. Je m'étais redressé sur mes genoux, toujours cloué sur le pieu de Régis et mon épouse vint d'elle-même s'empaler. Sous l'excitation, son vagin ruisselait de son jus. Il me resta à coordonner mes mouvements avec ceux de Régis. Une fois fait, les trois corps s'agitèrent en cadence.
Pour ma part, c'était une impression extraordinaire, lorsque je cognais au fond du vagin de Joss, Régis venait claquer son pubis sur mes fesses. J'avais alors l'impression que mon sexe gonflait encore plus dans le ventre de mon épouse, qu'il allait éclater.
Je n'avais jamais rien ressenti de pareil. Mon épouse devait le sentir car, rapidement, elle se mit à gémir. Ses cris furent vite rejoints par les nôtres. Un plaisir violent me montait des reins, plaisir exprimé par des cris rauques qui sortaient de ma gorge. Régis, de son côté, poussait des « han » de bucherons. Bientôt, ce fut un véritable tumulte qui envahit la pièce.
Confrontés à cette baise extraordinaire, les trois corps frémissaient de contentement et hurlaient le bonheur qu'ils ne pouvaient plus contenir. L'apothéose allait être un feu d'artifice. Ce fut mon épouse qui céda la première, ses reins étaient maintenant agités de mouvements désordonnés, elle émettait des sons incompréhensibles, un énorme orgasme la terrassa.
Je la suivis de peu, mon sexe, douloureux à être trop bandé, lâcha de violentes saccades de sperme et, concomitamment, Régis me plaqua contre son corps et je sentis son liquide m'envahir le boyau.
Puis ce fut le silence. Les trois corps se désunirent. Nous nous regardâmes, les yeux encore tout brillants et reconnaissants, essoufflés par l'intensité des orgasmes qui nous laissaient sans force.
Mon épouse réagit la première:
- Tu vois, je te l'avais dit! C'est vraiment autre chose. Je croyais que c'était un autre homme tant ton sexe était gros. Tu as aimé?
- Ben oui! Ce serait mentir que de dire le contraire.
- Il faudra que l'on recommence, si Régis est d'accord bien sûr.
- Pour moi, pas de problème, répondit-il.
Nous nous ressuyâmes rapidement avec une serviette et nous dégustâmes une boisson fraîche. Puis nous discutâmes, toujours nus, environ une demie heure.
Mais mon épouse n'en avait pas terminé.
Brusquement elle s'allongea sur le dos et me dit de venir lui faire un cunnilingus, mais de me positionner à 90° par rapport à son corps. Qu'est-ce qu'elle avait encore dans la tête?
De plus la position n'était pas très adaptée pour atteindre efficacement sa vulve. Puis elle fit signe à Régis de venir se positionner au-dessus d'elle en lui présentant son sexe qu'elle goba immédiatement jusqu'au fond de sa gorge.
De sa main elle me désigna alors à Régis. Elle me fit signe de rapprocher mon bassin de ce dernier. D'accord, j'avais compris où elle voulait en venir, Régis allait me tailler une pipe.
 Décidément, elle avait décidé de me faire goûter à toutes les expériences homos.
Mais, obéissant, je présentai ma verge à présent débandée à Régis. Celui-ci me la saisit entre ses lèvres, se mit à la sucer sur toute la longueur, sa main me triturait les couilles. Nous formions ainsi un trio où seules les bouches étaient à l'ouvrage. Au bout d'un moment, je vis ma femme occupée à introduite de la crème adoucissante sur la rondelle de Régis, puis elle se tourna légèrement de côté pour en faire de même sur elle. Qu'allait-elle encore inventer?
Lorsque tout le monde fut bien excité, la cramouille de ma femme était dégoulinante, de notre côté nous avions nos deux sexes fièrement dressés, ma femme déclara la fin des hostilités et un changement de position.
Elle se mit alors à genoux puis elle dit à Régis de venir l'enculer. Voilà donc la justification de la crème tout à l'heure. Mais la crème dont elle a enduit Régis alors, c'est pourquoi? J'eus tout à coup peur de comprendre. Mon apprentissage se poursuivait.
Pendant ce temps Régis avait pris position et enculait allègrement mon épouse qui, pour une fois, avait l'air d'apprécier.
- Chéri! Il te reste un trou à occuper! Qu'attends-tu?
- Mais ; mais! Je n'ai jamais fait ça moi!
- Tu me l'as déjà fait, c'est pareil.
Régis m'encouragea alors à m'approcher et de lui même il écarta ses fesses pour me faciliter la manœuvre. Nu, Régis n'était pas désagréable à regarder. Il était complètement épilé, pas un poil n'apparaissait, nulle part, même dans la raie des fesses que j'avais maintenant sous les yeux. Ses fesses qui, d'ailleurs, étaient bien rebondies, on aurait dit un cul de femme.
Me voilà donc au pied du mur. J'approchai mon sexe bien bandé de sa rondelle, le positionnai d'une main puis, d'un coup de rein, je fis pénétrer le gland. Cela rentra facilement.
Évidemment, de par ses mœurs, pour lui, l'exercice était courant. Puis je continuai la pénétration jusqu'à ce que je bute sur ses fesses. J'entrepris alors des va-et-vient en lui saisissant les hanches. Et nous reprîmes nos mouvements de tout à l'heure simplement dans un ordre différent. Ma queue était bien serrée par le sphincter, la tige bien au chaud, je retrouvai les sensations ressenties l'autre jour avec mon épouse lors du même exercice.
Ayant déjà joui précédemment, les accouplements durèrent cette fois plus longtemps. Mais il était désormais certain que je n'aurais pas le même degré de jouissance que tout à l'heure tant cela avait été extraordinaire. De plus, ce n'était pas une forme de sexualité que j'appréciai spécialement. Pour moi, c'était pratiquement contre-nature.
Mais, enfin, je finis tout de même par jouir et par me vider dans les entrailles de Régis. Lui fit de même dans mon épouse qui remuait du cul en signe de jouissance. Mais j'étais à peu près certain qu'elle feignait, par politesse.
Cette fois c'était bien fini. Nous nous rhabillâmes. Nous bûmes un alcool, pour moi ce fut un whisky et, les verres finis, nous prîmes congé de Régis qui promit de revenir à notre demande.
Une fois seuls, je dis à ma femme:
- D'accord pour une autre fois, mais ne me demande pas de refaire la seconde partie, c'est pas du tout mon truc.
- Non, ça n'était pas excitant. On en restera à nous sucer mais pas à nous enculer.
Le programme de la prochaine séance était ainsi d'ores et déjà arrêté.
Demain, vendredi, c'était le jour de sa sortie chez Guy. Depuis quelques temps, un ou deux de leurs collègues se joignaient à eux et participaient à la joyeuse sauterie, dont Jean-Luc, qui, ne voyant rien venir de chez Aline, reprenait confiance et trouvait le sacrifice trop difficile de s’interdire de toucher et de profiter de ce corps tant convoité.
Le vendredi soir, elle revint à l'appartement à 23h30. Elle paraissait bien fatiguée, elle avait dû prendre je ne sais combien de queues dans tous les trous. Après son bain elle revint près de moi, dans le canapé et m'avoua qu'ils étaient cinq ce soir là, que ça avait été torride. Parmi eux il y avait un noir au membre démesuré:
- Il m'a faite jouir comme c'est pas possible, mais j'ai refusé qu'il me sodomise. Il m'a dit que la prochaine fois il viendrait avec de la crème pour faciliter la pénétration
Ensuite nous avons fait gentiment l'amour et nous sommes allés nous coucher.
En ce samedi matin, un des rares où nous n'avions pas les enfants, je décidai d'accompagner mon épouse au marché. Les samedis, nous avions un petit marché qui s'installait sur une place se trouvant derrière l'ilot de notre immeuble.
J'aimais l'ambiance des marchés, ses couleurs, les harangues des camelots qui, à les écouter, possédaient tous les meilleures marchandises les moins chères. Et en général nous trouvions des produits frais à un bon prix.
Après avoir acheté quelques fruits et légumes, nous nous dirigeâmes vers le fromager qui exposait ses produits dans une camionnette réfrigérée. En arrivant près de l'étal, j'eus la grande surprise de voir le commerçant se pencher et faire la bise à mon épouse en l'accueillant d'un « Bonjour Joss! Comment vas-tu? » Pour ma part, je lui serrai la main pendant que mon épouse me présentait comme étant son mari. Après avoir fait notre choix et payé, avant de partir mon épouse lui dit alors: « C'est toujours d'accord pour ce soir? », « Oui! Oui! Pas de problème, vers 19 heures »
En nous éloignant, je lui demandai alors:
- Qu'y a t-il donc ce soir à 18 heures?
- C'est Jean, il passe prendre l'apéritif!
- Content de le savoir! Quand comptais-tu m'en informer?
- Ça m'est sorti de la tête, excuse-moi! J'en ai discuté avec lui l'autre samedi, il y a quinze jours et j'ai complètement oublié de t'en parler.
- Tu parais bien familière avec lui? Comment vous êtes-vous connus?
- Mais c'est un interrogatoire?
- Non! Non! C'est juste pour savoir!
- Souvent, le samedi matin, lorsque je vais au marché, je passe au bar à côté boire un café et il y est souvent car en général sa femme l'accompagne. C'est elle qui tient le plus souvent le stand.
- Ah bon! J'avais peur que vous ayez couchés ensemble!
- Tout de suite, des mauvaises pensées. Oh! Ce n'est pas l'envie qui m'en manque! Tu as vu comment il est bâti? Sa musculature? Si c'est proportionnel où je pense, ça ne doit pas être désagréable!
- Ah les femmes! Toujours à penser à la même chose!
- Parce que vous les hommes vous n'y pensez pas peut-être? Enfin, pas à la même chose, vous c'est « Si elle dit oui, je ne dirai pas non! » ou « elle doit-être bonne » enfin quelque-chose comme ça. Tu ne vas pas me dire le contraire?
J’arrêtai là cette discussion qui ne nous mènerait à rien.
Et le samedi s'écoula tranquillement. L'après-midi j'allai à Lille au « Furet du Nord » pour acheter un livre qui venait de sortir et qui m'intéressait. Mon épouse préféra aller faire des courses au supermarché.
Je revins à 18 heures. Mon épouse n'était pas rentrée. Comme d'habitude, je me demandais où elle pouvait-être et ce qu'elle pouvait faire. Je savais qu'avec elle il fallait s'attendre à tout! Elle revint à 18h30 et me dit qu'elle était partie tard en course d'où l'heure avancée.
Je lui rappelai que son ami Jean n'allait pas tarder. Elle me répondit que ce n'était pas son ami, simplement une connaissance et que je pouvais m'occuper de préparer l'apéritif. Ce qui me rappela la dernière fois où elle m'avait fait la même demande. J'installai donc les bouteilles et amuse-bouches sur la table de la salle à manger, cela changera du salon.
Il sonna à 19h15. Mon épouse lui ouvrit. Quelques minutes plus tard il sonna à la porte d'entrée du couloir. Aussitôt cela fit tilt dans ma tête car, pour des mesures de sécurité, rien n'indiquait dans le hall l'étage qui correspondait aux noms inscrits sur les sonnettes et les boîtes à lettres et mon épouse ne lui avait donné aucune indication à l'interphone. Donc Jean était déjà venu à l'appartement! Je laissai pour l'instant cette question en suspens mais cela nécessiterait une explication.
De nouveau mon épouse alla lui ouvrir la porte et le fit entrer. Il me resalua. Debout près de lui, je m'aperçus qu'il était plus grand de quelques centimètres mais, comme me l'avait dit Joss ce matin, qu'il était effectivement costaud: il avait de larges épaules musculeuses de déménageurs, des cuisses solides et, à la fourche de ces cuisses, ce qui m'apparaissait comme un pantalon bien rempli, une véritable protubérance qui laissait présager une belle virilité dont mon épouse, d'après les indices dévoilés à l'instant, avait dû profiter à un moment donné.
Lui faisant signe d'avancer dans la salle, il nous annonça alors:
- Si vous permettez, je vais passer d'abord par la station toilette car je n'ai pas eu le temps d'y aller au bar après avoir fermé.
Et ni une ni deux, sans hésiter, il traversa l'appartement pour emprunter le second couloir qui desservait les WC. Pas très futé le Jean! Mon épouse comprit tout de suite la bourde et vit que, moi aussi, j'avais compris.
- Alors? C'était quand?
Elle baissa la tête puis, après quelques instants, bien obligée, elle me répondit:
- Mercredi. Il fait un marché le matin. J'avais demandé une demi-journée l'après-midi et il est passé.
- Attention Joss! Tu joues avec le feu! Tu connais nos accords? Tout me dire!
- C'est exceptionnel! Ça n'arrivera plus!
- C'est toujours ce que l'on dit!
De toute façon, au fond de moi je savais que cela n'avait rien d'exceptionnel. Joss ne changerait jamais, elle a le feu au cul et je devais m'adapter à cette situation.
Jean revint. On s'installa en bout de table. C'était une table ovale. J'indiquai une chaise à notre invité, mon épouse à sa gauche, dans l'arrondi de la table et moi en face.
Je lui demandai ce qu'il désirait boire et fit le service.
Nous discutâmes pendant une demi-heure de choses et d'autres, de son métier, de ce qui l'intéressait, etc...Mon épouse se leva pour refaire le service et dut s'approcher de Jean pour remplir son verre.
Je vis qu'elle était tout contre l'homme. Celui-ci avait comme par hasard son bras gauche baissé le long de sa chaise. Tout à coup, je remarquai que son bras était agité d'un mouvement qui l'amenait à s'écarter de son corps.
Il était tout simplement en train de peloter mon épouse sous mes yeux, sans aucune gêne. Et elle qui, comme d'habitude, se laissait faire. Je vis sa jupe se soulever sur l'arrière, la main montait. Elle devait maintenant être dans la culotte. Le pire, c'est que mon épouse avait maintenant posé la bouteille sur la table, elle avait ses deux mains sur le goulot et elle se laissait peloter en ayant l'air de fort apprécier la caresse.
Puis je vis qu'elle me fixait, que voulait-elle me dire? Elle lâcha alors la bouteille et vint vers moi. Se faisant elle dévoila la main de Jean qui se trouvait effectivement à hauteur de son fessier.
Elle me susurra à l'oreille:
- Tu veux bien qu'on parte une demie heure dans une chambre?
Que pouvais-je répondre? De toute façon ils l'avaient déjà fait sans ma permission! Je pouvais bien sûr refuser mais ça ne les empêcherait pas de recommencer sans que je le sache. Alors, après tout, autant que cela arrive avec mon aval.
Je fis un signe affirmatif de la tête. Aussitôt mon épouse saisit Jean par la main et l'entraîna dans la chambre d'un de nos enfants.
De toute façon Joss était incorrigible, ses envies sexuelles étaient plus fortes que sa volonté. Décidément, il était malsain d'inviter des hommes à boire l'apéritif, à chaque fois ils se payaient ma femme.
Curieux, vingt minutes plus tard je m'approchai de la porte de la chambre. Mon épouse n'était pas discrète, on l'entendait nettement gémir et exprimer sa jouissance.
Au lieu de trente minutes, c'est une heure et quart plus tard que je la vis sortir. Elle était toute nue, elle traversa pour se rendre dans la salle de bains.
J'attendis encore un bon quart d'heure pour la voir réapparaître en peignoir de bain. Elle alla cogner à la porte de la chambre afin de faire sortir son partenaire.
Celui-ci revint s'asseoir, pas du tout gêné, comme si de rien n'était. Je n'aimais vraiment pas ce genre de type: un sans-gêne sans aucune forme d'éducation ni de politesse. J'étais plus étonné par mon épouse, surpris qu'elle fréquente ce genre d'individu.
Un verre plus tard, il nous annonça qu'il devait maintenant partir, car demain il avait une partie de chasse à l'affut en Belgique. Tout à coup, cela lui donna une idée:
- Mais, au fait! J'ai droit à deux invités! Pourquoi est-ce que vous ne viendriez pas?
- Ah non! Pas moi ! Je ne suis pas du tout un fan de la chasse, répondis-je.
Ce qui était d'ailleurs parfaitement vrai, j'étais partisan de laisser ces animaux sauvages vivre leur liberté. Et une chasse à l'affut en plus, ça allait être un véritable massacre.
- Pourtant, moi, ça m'aurait plu! Je n'ai jamais participé à une chasse. Je serai curieuse de voir ça!
- Et bien, demande à ton mari de te laisser y venir! Je passe te prendre de bonne heure et le tour est joué!
- Oh oui, mon chéri, dis oui!
Autant me donner une corde pour me pendre. Je savais très bien comment se terminait ce genre de réunion qui, en général, se déroulait dans des pavillons de chasse isolés en forêt. Mais après ce qui venait de se passer, il ne pouvait rien lui arriver de pire! A part le nombre, mais ça, elle a l'habitude!
J'étais hélas loin de me douter de ce qui allait se passer!
Je donnai donc mon accord. Joss tapa dans ses mains et vint me faire un baiser pour me remercier. Ces mêmes lèvres qui avaient certainement mangé celles de l'homme qui était devant moi!
Jean expliqua alors les modalités: départ d'ici à 6h30, habillée en pantalon et bottes ainsi qu'un vêtement chaud pour le matin. Prévoir également une tenue faisant plus habillée pour le repas afin de faire honneur aux hôtes.
Tu parles! Plus « habillée » pour ma femme cela voulait dire plus « provocante »; Et quant à faire « honneur » à ses hôtes, nul doute que mon épouse allait le faire à sa façon et elle y mettrait tout son cœur.
Sur ce, Jean prit congé après m'avoir salué. Ma femme me dit qu'elle l'accompagnait en bas car, à cette heure-ci, la porte d'entrée risquait d'être fermée à clef. Ce qui fait qu'elle ne remonta que 15 minutes plus tard! Inutile de lui demander ce qu'elle avait fait durant tout ce temps!
Dès son retour, je ne pus m’empêcher de lui faire des reproches:
-  Je ne sais pas où tu l'as dégoté celui-là, mais quel ours! Il entre ici comme en terrain conquis, il me prend ma femme, il lui pelote le cul devant moi, il la saute, il va la ressauter demain et il s'en va, tout content, en la re-pelotant dans l’ascenseur. Ah bravo!
- N'exagère pas! Viens, je vais te faire un câlin!
- Quoi? Passer après cette brute? cet espèce de singe? Trop peu pour moi! Tiens, ma soirée est gâchée, je vais aller respirer un peu d'oxygène ailleurs, l'air est trop vicié ici, tu devrais aérer!
Je pris ma veste, les papiers de la voiture, les clés et je sortis en claquant la porte. Joss courut derrière moi mais j'étais déjà en train de descendre quatre à quatre les escaliers, elle ne m'aurait pas lâché en attendant l'ascenseur...
Je pris la voiture et partis. J'allai sur Lille. J'avais décidé de me faire un restau, ensuite j'irai finir la nuit dans un hôtel. 
A suivre....

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...

Je ne savais que dans le nord on chassait de cette manière.
Attention: Extrême


Mon épouse et ses collègues
Suite VI

Ce que je fis et le lendemain je revins à 11 heures. Je me demandai alors si, compte tenu des circonstances, elle avait maintenu sa sortie ou pas. Je ne fus toutefois pas surpris de trouver l'appartement vide. Je me demandai comment elle avait réagi hier soir à mon départ et dans quelle disposition d'esprit elle allait-être ce soir.
Mais je lui en voulais terriblement de l'affront qu'elle m'avait imposé hier. Oser me demander la permission de coucher avec son amant sous notre toit et en plus en ma présence? J'avais dû passer pour un vrai con vis à vis de ce bonhomme-là, elle m'avait soufflé. Elle savait très bien qu'en agissant ainsi elle me mettait devant le fait accompli puisqu'elle venait de m'avouer qu'il était déjà son amant! Je me demandai de plus en plus si je pourrais tenir longtemps avec cette femme qui ne pensait qu'à se faire sauter. Je n'osais pas m'imaginer ce qui allait se passer aujourd'hui.
En fait, elle était incapable de discerner le bien du mal en matière sexuelle, ce qui était autorisé dans un couple de ce qui était interdit. Alors elle m'impliquait: je peux coucher avec lui? Je peux aller à la chasse me faire sauter par toute une meute en rut? J'en avais assez de toujours être pris à témoin de ses frasques. Il fallait que je prenne une décision ces prochains jours.
Elle revint à l'appartement à 20h15.
Lorsqu'elle pénétra dans le salon, je vis de suite que sa journée n'avait pas été de tout repos: les traits défaits, le visage fatigué, des cernes noirs sous les yeux, elle n'avait plus de bas, les jambes étaient nues, souillées, comme l'étaient ses vêtements d'ailleurs.
J'étais dans le canapé et j'avais étalé le dossier d'Aline sur la table du salon, les photos bien apparentes.
Elle s'effondra près de moi dans le canapé:
- Mon Dieu! Mon Dieu! C'est pas possible!
Puis elle resta silencieuse, les yeux clos, comme si son esprit vagabondait dans un passé récent qui l'avait semble-t-il beaucoup secouée.
Quand enfin elle rouvrit les yeux, elle me regarda et sembla se souvenir de la soirée d'hier. Elle détourna alors son regard et machinalement aperçut les photos sur la table:
- Qu'est-ce que c'est? Qu'est-ce que tu fais avec ça?
- Je monte le dossier de divorce. J'en ai assez! Tu me mens continuellement! Je ne te demande pas comment cela s'est terminé aujourd'hui, à voir dans quel état tu es, ma pauvre femme, on le devine aisément.
- Mais enfin, chéri, tu peux pas! Tu m'as promis de tout m'autoriser dès lors que je te faisais un compte-rendu!
- Ah oui? Et ta partie de jambes en l'air avec Jean, tu m'en as parlé quand?
- D'accord! Pour ça je ne t'ai rien dit! Mais au final, qu'est-ce que ça aurait changé? Si le soir je t'avais dit: « Cet après-midi je me suis fait sautée par un homme dans l'appartement », tu m'aurais répondu: « C'est bien de m'en avoir parlé » et voilà, la situation aurait été la même!
Évidemment, vu comme cela, elle n'avait pas tort. En définitive, c'était le fait de l'avoir autorisée à mener la vie qu'elle voulait à condition de m'en parler qui était boiteux, car, en partant de ce critère, elle pouvait se faire sauter par qui elle voulait avec ma bénédiction.
Bon, c'était assez pour aujourd'hui. Je rangeai mes documents et me tournai de nouveau vers elle.
- Alors, maintenant, dis-moi! Que s'est-il passé?
Avec un soupir elle tourna son regard las vers moi:
- Oui, je vais t'expliquer! Mais ça va être difficile parce-que moi-même je n'ai pas tout compris. Mais avant, permets-moi d'aller prendre une douche, je dois me nettoyer!
Où là là! Tout ceci ne présageait rien de bon. Mais elle a raison de passer par la salle de bains, elle pue le bouc!
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je fus bien obligé de patienter. Devinant des choses assez redoutables à entendre, j'allai me verser une bonne rasade de whisky que je dégustai en l'attendant.
Une demi-heure plus tard, Joss fut de retour. Elle avait revêtu un peignoir léger et vint se blottir contre ma poitrine. Décidément, je ne pouvais pas lui en vouloir longtemps, dès que je l'avais devant mes yeux, elle me faisait fondre. J'étais vraiment né pour être cocu et le rester. Ma seule consolation, c'était de savoir qu'en dépit de tout, elle m'aimait et j'en étais persuadé.
- Je te préviens mon chéri, ce que je vais te raconter ne va pas toujours être facile à dire. Non pas de par la nature des actes que j'ai eus à subir ou à faire, encore que, peut-être, mais surtout parce que durant deux périodes précises vécues au cours de cet après-midi, je me suis trouvée dans un tel désordre psychique et cérébral que je vais avoir quelques difficultés à me remémorer clairement ce que j'ai vraiment ressenti et vécu… Pendant de brefs instants je me suis retrouvée en plein délire à tel point que sur la fin mes compagnons devaient se demander si je n'étais pas en train de perdre la raison. Je me le demande moi-même actuellement d'ailleurs.
- Oh là! Tu commences à m'inquiéter!
- Bon, je commence. Ce matin, comme l'avait demandé Jean hier, j'étais donc prête dès 6h30. Mais j'étais triste que tu ne sois pas la pour te dire au revoir, triste et surtout inquiète, j'avais peur que tu ne reviennes pas!... Donc, pour l'occasion j'avais revêtu un fuseau noir en lycra - évidemment, pensais-je, celui qui épouse si parfaitement les formes de ses cuisses et de ses fesses, elle a dû en affoler quelques uns - pour le haut, j'avais opté pour un pull noir moulant puis, enfin, emporté un blouson de cuir pour me protéger du froid matinal. Comme convenu, j'avais chaussé des bottes de caoutchouc pour affronter les chemins que nous devions emprunter… Par ailleurs, et toujours pour respecter les souhaits de Jean, j'avais prévu un change pour l'après-midi en emportant une jupe, un chemisier, des bas et porte-jarretelles ainsi que des escarpins. C'est donc ainsi équipée que nous partîmes sur le lieu de rendez-vous à 50 kms d'ici en Belgique.
Dès notre arrivée, une collation était prévue: café, thé et viennoiseries. Une cinquantaine de personnes étaient présentes, chasseurs, rabatteurs et quelques invités dont je faisais partie.
Après la lecture des consignes de chasse, je me joignis à Jean pour rejoindre le poste qui lui avait été désigné. Et commença la longue attente. La battue devait se terminer vers 12h30. Mais de 8h à 11h, il ne se passa rien, on entendait seulement les rabatteurs faire un bruit d'enfer au loin. Pour passer le temps, Jean, de temps en temps, me faisait venir près de lui et il me pelotait le cul et les seins, il m'embrassait.
Mais il gardait toujours un œil vigilant au cas où un gibier viendrait à surgir, de ce fait, il ne pouvait pas m'entreprendre trop loin Enfin, vers 11h, les premiers gros gibiers se mirent à traverser la trouée où l'on se trouvait, et les coups de feu fusèrent de tous côtés: du gibier passait, d'autres gibiers tombaient. Le bruit des coups de feu, l'odeur de la poudre, c'était grisant, excitant. Puis à 12h30, coup de trompe, c'est fini. Des tracteurs avec remorques vinrent pour ramasser les cadavres et l'on se retrouva tous devant le pavillon de chasse.
Je te passe sur la comptabilité du tableau de chasse, du partage, etc...Un repas convivial était prévu pour ceux qui s'étaient inscrits. Nous nous retrouvâmes ainsi une quarantaine autour d'une grande table. Jean me demanda avant de débuter le repas, d'aller me changer. Ce que je fis. Je vis bien en revenant que de multiples regards d'hommes me détaillaient, les yeux brillants d'envie, mais Jean prit les devants en m'invitant à m'installer près de lui.
Le repas fut gai, joyeux, l'alcool coulait relativement fort, si bien qu'au terme de ces agapes les convives affichaient des visages plus ou moins rubiconds. Des histoires et des chansons de corps de garde circulaient. C'était une assemblée essentiellement masculine, j'étais seule avec une autre femme qui se trouvait à l'autre bout de la table et le personnel de service, dont une jeune serveuse de 20-25 ans qui avait bien du mal en passant le long de la table à maîtriser toute les mains baladeuses d'hommes qui tentaient de lui pincer les fesses ou de passer sous sa jupe. Elle avait visiblement l'habitude et prenait tous ces gestes avec philosophie et humour.
Plusieurs fois Jean posa sa main sur mes cuisses largement découvertes par ma jupe qui avait toujours tendance à remonter plus que de raison et plusieurs fois il réussit à dépasser la lisière du bas, caressant la chair dénudée et même à me toucher la vulve.
A 16h tout fut terminé, ce fut le branle bat de départ. Embrassades, poignées de mains, à la prochaine! Enfin le calme retomba dans le pavillon de chasse, seules les femmes de service débarrassaient la table. Mais la vaisselle fut seulement amoncelée dans la cuisine, elles devaient revenir le lendemain pour terminer l'ouvrage et faire le ménage. Le personnel à son tour prit congé, seule la serveuse dont je t'ai parlé tout à l'heure resta. Elle s'appelait Manon. Une dizaine de chasseurs étaient encore là.
C'est alors que Jean, accompagné d'un de ses collègues, sortit et alla verrouiller toutes les ouvertures, portes et fenêtres, en fermant les volets métalliques qui étaient cadenassés pour éviter toute intrusion lorsque le local était vide.
Cela fait, nous étions désormais invisibles de l'extérieur et personne ne pouvait entrer.
Je me doutais que les choses sérieuses allaient commencer! Mais n'était-ce pas pour cela que j'avais été invitée et n'était-ce pas pour cela que j'avais accepté?
C'est alors que Jean, qui me semblait être le bout en train de la bande, nous interpela, Manon et moi:
- Allez les filles! Un strip-tease, un strip-tease!
La demande fut reprise en chœur.
Manon vint me chercher et m'emmena au centre d'un cercle formé par le groupe d'hommes. Elle m'enlaça et m'entraîna dans un pas de danse imaginaire. Au bout de quelques instants, son regard n'ayant pas quitté le mien, je vis son visage s'approcher, ses lèvres vinrent doucement s'appuyer sur mes lèvres, sa langue chercha à s'insinuer à l'intérieur de ma bouche.
 Cette expérience était pour moi nouvelle, jamais je n'avais embrassé une femme. Au bout de quelques secondes, je cédai. Nos langues se mêlèrent, nos salives se mélangèrent. Nous avions toutes les deux les yeux fermés et savourions ce baiser saphique, somme toute pas désagréable.
Un silence total régnait dans la salle. Les hommes retenaient leur souffle, des pantalons commençaient à se déformer.
C'est alors que je sentis les mains de Manon descendre dans mon dos, elles atteignirent mon postérieur. Puis elles se saisirent du tissu de ma jupe et entreprirent de le remonter. Après quelques difficultés à faire passer la rotondité de ma croupe, je me retrouvai avec les fesses complètement à l'air, d'autant que ce matin j'avais revêtu un string dont la ficelle était bien évidemment complètement enfouie au plus profond de mon sillon fessier, donc invisible.
Elle entreprit de me masser vigoureusement les deux fesses ainsi exposées aux regards lubriques des spectateurs. Pour ne pas être en reste, j'entrepris la même manœuvre vis à vis de ma cavalière. Elle avait une culotte. Je passai une main sous l'élastique et lui caressai les fesses à la peau que je trouvais très douce. Je laissai ma main s'égarer dans le sillon et vint lui titiller son petit œillet qui n'eut pas l'air de trouver le geste osé.
C'en était trop pour les hommes en rut. La bande de soudards fondit sur nous. Nous nous trouvâmes ballotées, malmenées. En un clin d’œil, nous fûmes nues. Ils ne me laissèrent que mon porte-jarretelles, mes bas et mes escarpins.
Tu te doutes que la situation n'était pas pour me déplaire. C'est avec délectation et délice que je me livrai à ces mâles mains baladeuses et indiscrètes, à toutes ces bites si fièrement dressées et impatientes.
Il m'est impossible de te décrire en détail ce qui s'est ensuite passé. Je me suis retrouvée sur le ventre, sur le dos, à quatre pattes, allongée sur un homme dans un sens, puis dans l'autre, mais ceci toujours en ayant un, deux, voire trois sexes enfilés dans un orifice ou un autre.
Ce fut un feu d'artifice de jouissance, de cris, d'orgasmes répétés. Je fus inondée de sperme, il m'en coulait de devant, de derrière, même de la bouche car je n'avais pas le temps de tout avaler.
Et puis les corps se fatiguèrent, surtout les couilles des hommes qui n'avaient plus le temps de se recharger. Les accouplements devinrent de moins en moins actifs, le silence s'installa peu à peu.
C'est alors que cela se passa.
J'étais à genoux, penchée sur une verge dont j'essayai de rendre un semblant de vigueur, un pénis venait de quitter mon vagin où il avait répandu avec difficulté un restant de sperme, lorsque je sentis soudain une langue râpeuse passer et repasser sur ma vulve. « C'est impossible qu'un homme ait une telle longueur de langue » me dis-je.
Je jetai machinalement un coup d’œil par-dessus mon épaule et vis avec effroi un véritable molosse occupé à me lécher la cramouille et à laper le trop plein de liquide qui s'en écoulait. Aussitôt je réagis, pas question de faire entrer les chiens dans la danse!
- Eh! Ho! STOP! Je ne suis pas d'accord!
Je n'eus pas le temps de me relever, déjà deux ou trois gaillards me sautèrent dessus et m'immobilisèrent, dont Jean qui me dit:
- Oh là! Ma belle! Tout doux! On t'offre le mâle le plus performant de cette salle! Tu ne vas pas faire ta mijaurée? Laisse-toi faire va! Tu vas m'en dire des nouvelles! Tu t'en rappelleras toute ta vie, crois-moi!
Soudain je sentis le poitrail velu de l'animal se coucher sur mon dos, aussitôt ses deux pattes de devant m'enserrèrent la taille désormais prise comme dans un étau. Cette bête avait une force peu commune, j'étais complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, je sentis soudain des coups de pistons contre mon périnée. Dans des mouvements désordonnés, le monstre cherchait à me pénétrer.
Un des hommes assistant à la scène lui vint certainement en aide car, subitement, une barre brûlante se présenta à l'entrée de mon vagin heureusement bien lubrifié. Sentant l'ouverture, l'animal d'un formidable coup de rein, propulsa sa verge au fond de mon antre, frappant violemment la paroi de l'utérus, ce qui me fit pousser un cri de douleur.
Dans cette position, bien arrimée sur mon dos, la bête possédait une grande mobilité du bassin. Il entreprit alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amenaient sa monstrueuse rigidité au fond de mon vagin, me faisant pousser des cris douloureux.
Et le sexe gonfla, gonfla. Il me remplissait désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu'il me dilatait l'organe en en repoussant les parois. Et puis une boule vint me frapper la vulve, sa grosseur en bloquait la pénétration. C'est alors que je sentis le chien prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une vitesse inouïe au fond de mes entrailles.
Tout était rentré. La boule se mit à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdisait désormais toute sortie de son organe. Je pris peur devant la grosseur de cette excroissance, elle allait me déchirer. Et puis durant quelques secondes tout se calma. Contre toute attente, mes organes commençaient à s'habituer à cette gigantesque intromission.
L'animal sur mon dos haletait, la langue pendante, des filets de bave s'écoulaient sur ma peau. Tout à coup, l'énorme turgescence fut comme animée d'une vie propre, elle se mit à vibrer, m'envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu'à mon cerveau, mon bas-ventre fut agité de spasmes, mes organes génitaux s’enflammèrent et la bête commença à m'envoyer des torrents de liquide dans ce vagin déjà complètement plus que rempli. Il se dilata encore plus, il repoussa les organes voisins, je sentis mon bas-ventre gonfler, gonfler.
Et soudain, une formidable chaleur m'envahit tous les organes. Je perdis complètement pieds, une jouissance phénoménale m'envahit, je hurlai dorénavant mon plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succédèrent. Je plongeai alors dans un état de demi-inconscience.
J'étais désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Je devins son esclave, sa servante, sa soumise. Commande Maître, je t'obéirai! Le liquide reproducteur continuait à se déverser dans le vagin, dans l'utérus, il allait, il voulait me féconder. Une joie sans fin m'envahit à l'idée de lui fournir une belle portée de chiots. Ta femelle en prendra soin, n'aie aucune crainte. Continue ton travail de mâle procréateur. Je suis à toi, pour toujours. Désormais je vivrai nue, je ne te quitterai plus, toujours prête à t'ouvrir la voie de mes organes génitaux afin que tu te libères selon ton bon vouloir et jusqu'à ce qu'enfin je te procure ta progéniture.
Je n’entendais plus aucun son en provenance de mon environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui me paralysait jusqu'à la pensée et l'esprit.
Et puis, comme un brouillard qui se lève, je repris peu à peu conscience, mais j'eus quelques difficultés à me repositionner dans le temps et dans l'espace. C'est le chien qui m'y aida lorsque je perçus la présence de sa formidable musculature sur mon dos et ses pattes qui me faisaient sienne.
Mes entrailles étaient toujours aussi tumultueuses, c'est un volcan qui me brûlait le bas-ventre, mon vagin était énorme mais j'étais bien, fière d'avoir appartenu à ce merveilleux animal, fière d'avoir accueilli toute sa semence dans mon corps, fière de ne faire qu'une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui me tenait soudée aussi solidement. Nos deux corps étaient littéralement collés l'un à l'autre, ils étaient solidaires et ne formaient plus qu'un.
Quelque chose s'était passée lors de cet accouplement, une forme de communion avait uni la femme et la bête, un lien spécial que je sentais fort et que je ne pourrais désormais plus ignorer.
Au terme de quelques instants que je serai bien incapable de chiffrer dans la mesure où je ne savais pas combien de temps avait duré mon inconscience, je sentis son frein se dégonfler et, sous la pression énorme existant dans mes entrailles, tout fut éjecté.
Des flots de sperme s'écoulèrent sur le sol, m'arrosant les cuisses et les mollets. Je ressentis un sentiment de vide extraordinaire dans mon ventre, comme si toutes mes entrailles avaient été expulsées avec le liquide. Mon Maître - mais pourquoi je dis « mon Maître »? Qu'est-ce qui m'arrive? - me donna quelques coups de langue sur la vulve béante et baveuse et s'éloigna, sans un regard pour sa femelle, pour s'allonger plus loin et prendre un repos bien mérité.
Jean s'agenouilla alors près de moi et me dit:
- Ça va? Tu nous as fait peur! Tu poussais des hurlements effroyables, on se demandait s'il ne t'avait pas causé des dégâts à l'intérieur!
- Non non! De ce côté-là tout va bien! Par contre dans ma tête je ne sais pas encore bien où j'en suis. Ça m'a vraiment secouée! C'était la première fois avec un chien mais là, tu as raison, je n'oublierai pas de sitôt.
Puis il m'aida à me relever et je partis vers le cabinet de toilette avec bien des difficultés. Mes bas étaient morts, je les retirai et les mis à la poubelle. Heureusement il y avait un bidet. Aussitôt je m'arrosai la vulve d'eau froide afin de calmer la douleur due à la trop grande dilatation et j'aspergeai l'intérieur de mon vagin afin d'éliminer le reste de sécrétion.
Puis je me lavai les jambes, me séchai. J’ôtai mon porte-jarretelles désormais inutile et regagnai la pièce principale. A mon entrée l'ensemble de l'assistance se leva et m'applaudit. Chacun vint me dire un mot, me complimentant sur l'incroyable jouissance que j'avais étalée devant leurs yeux ébahis.
Jean m'entraina vers la table, il me versa un petit verre d'alcool fort:
- Tiens! Bois, ça te fera du bien!
Effectivement l'alcool me rendit un peu de tonus.
Sur ce je vis Manon revenir du cabinet de toilette. Je l'interpelai:
- Alors Manon, toi aussi tu as eu droit a ta saillie canine?
- Et oui! Ici c'est la règle! Après une partie de chasse, c'est la curée, les femelles sont livrées aux chiens. Mais d'habitude, c'est moi qui hérite de Bobby. Comme c'était la première fois pour toi, on te l'a réservé. J'espère que tu n'as pas été déçue? A t'entendre hurler tout à l'heure, ce n'est pas le sentiment que tu me donnes. Tu sais, Bobby, ici, c'est la vedette, c'est le mâle dominant. Une femme ou une chienne, pour lui ce ne sont toutes les deux que des femelles bonnes à monter
Tout en continuant à discuter, je vis soudain Bobby traverser la salle en se rapprochant de la table. Ses yeux étaient fixés sur moi, il ne me quittait pas du regard. J'étais comme hypnotisée. Je me mis à trembler d'émotion, je savais ce qui allait se passer, il réclamait sa femelle. J'étais prête, j'étais désormais sa propriété, désignée pour assouvir ses désirs.
Il passa derrière moi. Tous les regards de l'assistance étaient désormais fixés sur nous. Il se dressa et posa ses deux pattes sur mes épaules. Dans le même temps il me saisit le cou entre ses puissantes mâchoires, je sentis ses crocs marquer la peau fragile.
Je lui obéis sur le champ. Je me laissai couler sur le sol, me mis à genoux, la tête reposant sur mes avant-bras repliés et relevai bien mes fesses. C'est seulement là qu'il libéra mon cou en poussant un jappement de satisfaction.
Il se mit à tourner autour de mon corps offert. Je restai dans l'attente du sacrifice. La langue pendante, le souffle haletant, il contemplait sa future victime, sa femelle. Déjà une formidable érection gonflait son sexe qui balançait avec indécence entre ses pattes arrière au rythme de sa marche. Le sexe hyper gonflé touchait presque le sol malgré la taille de l'animal.
- C'est pas possible! Comment va t-il me faire rentrer tout cela?
Puis l'animal revint au niveau de mon visage, de nouveau ses puissantes mâchoires me saisirent le cou, les crocs me serrèrent la nuque, c'était douloureux mais je ne me plaignis pas. Un grognement sourd émanait de sa gorge. Il voulait me dire: « Tu m'appartiens, je peux te mettre à mort, en charpies quand je le veux »
J'étais fière d'être servie en sacrifice à ce merveilleux étalon. J'étais décidée à faire face, quoiqu'il arrive. Je devais mériter l'honneur qu'il allait me faire de me saillir, l'honneur qu'il me faisait de m'avoir choisie.
A la vue de ce qui allait se passer, les hommes s'étaient rapprochés et formaient un cercle. Tous avaient leur bite à la main et se masturbaient lentement.
Le « Maître » passa alors derrière moi, me donna quelques coups de langue sur la vulve encore endolorie de la précédente intromission et me couvrit de son corps puissant, son poitrail velu pesant lourdement sur mon dos. Il me fit frissonner d'envie et du bonheur à venir.
De nouveau ses pattes me saisirent la taille, elles soudèrent nos deux corps. Je sentis son membre bien bandé battre contre mes fesses. Puis, comme s'il avait retenu la position de nos corps lors de notre dernier accouplement, sans aide extérieure cette fois, d'un formidable coup de rein il projeta sa verge d'une taille maintenant démesurée au fond de mes entrailles. Il entreprit un coït dix fois plus violent que tout à l'heure. C'est comme s'il voulait me transpercer pour déverser ses flots de sperme directement dans mon utérus.
Malgré l’extrême brutalité employée, je n'émis aucune plainte, aucun cri de douleur. Le choc dans le fond de mon vagin se répercuta à travers mon corps jusqu'à mon cerveau. J'étais redevenue son esclave, sa soumise, je devais accepter silencieusement ses désirs et m'abandonner à ses caprices et à son bon vouloir.
De nouveau mon vagin se trouva monstrueusement dilaté. Violemment, il fit pénétrer son frein et je me retrouvai de nouveau soudée à ce mâle conquérant. Il se passa alors la même alchimie que tout à l'heure mais à la puissance dix. Tout mon corps se trouva secoué de spasmes incontrôlables, les terminaisons nerveuses de mes organes génitaux excitées plus que de raison me plongèrent dans un délire démentiel, je ne pus plus rien maitriser et me trouvai plongée dans une confusion mentale totale. Je me mis à hurler une suite de phrases qui, pour les personnes qui assistaient à cette scène, ont dû leur faire penser que je plongeais dans la démence:
- Oui! Vas-y mon beau mâle! Emplis moi de ton sperme, féconde moi, engrosse moi. Je veux devenir la mère porteuse de ta progéniture. Envoie-moi tes giclées de sperme, gonfle mon ventre, bientôt ce sont tes chiots que je sentirais bouger dans mes entrailles. Je t'aime! Continue! Ah quel bonheur de te sentir si gros en moi, de sentir ton liquide reproducteur m'envahir si entièrement, si profondément. Je suis heureuse, si heureuse.
Je plongeai alors en complète léthargie, entièrement livrée à la violence de la bête qui inlassablement continuait à me remplir le ventre de son liquide séminal. Un orgasme continu s'était emparé de tout mon corps, de tous mes sens. Je ne pensais plus, toute activité cérébrale avait cessée.
J'étais comme morte.
J'étais effectivement comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.
Ce n'est qu'environ quinze minutes plus tard que je donnais signe de vie en rouvrant les yeux. De nouveau j'eus bien du mal à me situer. Puis tout me revint. Mon amant canin s'était dégagé, j'étais allongée dans une mare de liquide écoulé de mon vagin, le corps entièrement souillé par ces déjections.
Les hommes étaient véritablement dopés par le spectacle que je leur avais offert. Ils avaient les sexes complètement bandés. Deux d'entre eux étaient en train de s'occuper de Manon un peu à l'écart. Excités, ils s'approchèrent de moi, ayant comme dessein de profiter une dernière fois de ce corps si généreux à la jouissance si expansive.
Mais je n'en avais plus envie. Jamais ils ne pourraient me faire atteindre le degré de jouissance que m'avait procuré mon merveilleux amant. Je les repoussai des deux mains mais ils insistèrent. C'est alors qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire. Bobby, qui s'était quelque peu éloigné, déboula au milieu du groupe, il vint se ranger près de moi et il défendit sa femelle en retroussant les babines, découvrant ainsi ses crocs impressionnants et en émettant des grognements menaçants qui éloignèrent les plus hardis. Le brave chien!
Jean prit alors les choses en mains. Il m'emmena et m'aida à faire un brin de toilette. Ensuite il me donna un coup de main à retrouver mes vêtements épars dans la salle, sauf le string qui resta introuvable, quelqu'un avait dû le ramasser comme trophée, puis il m'aida à m'habiller. Il me dit alors qu'il fallait vite quitter les lieux avant qu'une montée de testostérone ne redonne des envies à Bobby.
Ce qui fut fait.
Et me voici de retour. Voilà ce que j'avais à te dire, je ne peux pas t'expliquer ce qui c'est réellement passé en moi, pourquoi tous ces délires, pourquoi m'être identifiée autant à la femelle de ce chien? Mystère!
Incroyable! C'était totalement démentiel ce qu'elle venait de me raconter.
- Ma pauvre chérie! Je me doutais que ta journée n'allait pas être de tout repos, mais là, ça dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta particularité à sur-réagir à toute forme d'excitation sexuelle dès lors qu'il s'agit de circonstances exceptionnelles. C'est ainsi quand tu te trouves dans un groupe d'hommes qui commencent à t'exciter, bien vite tu perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t'amène aux excès qu'on a pu connaître dernièrement.
La différence avec le chien, c'est que là il s'agit d'une expérience inédite, un coït d'une nature inaccoutumée qui t'a remplie d'une façon extrême et excessive, d'où une jouissance à la mesure de ces excès qui a complètement déréglé ton esprit. Inconsciemment tu as alors fait un transfert de personnalité, de femme humaine, tu es passée à la chienne, la femelle de celui qui te montait. Comme une chienne qui ne se fait saillir que dans le but de procréer, puisqu'elle n'accepte le mâle que pendant les périodes où elle est fécondable, tu t'es sentie investie dans ce rôle normalement dévolu à cet animal: assurer une descendance à celui qui t'ensemençait. Maintenant je ne te cache pas que cela m'inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas chez toi! Tu me l'avais plus ou moins expliqué lors de ton retour de chez Gérard, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités. La première des choses à faire, c'est de surtout arrêter toute nouvelle expérience canine, tu finirais par en perdre la raison.
-  Tu crois? Pourtant j'ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c'est tentant d'y retourner.
- Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval! Et crois bien qu'un jour où l'autre ça risque de mal se terminer! Surtout si tu retentes l'expérience avec cette espèce de monstre, un jour il ne te laissera plus repartir. Et cette manie de te prendre le cou dans ses mâchoires, tu te rends compte s'il venait à serrer un peu trop fort? Ce genre de molosse ne sent pas sa force !
- Mais non! Tu exagères! Jamais il ne me fera de mal, il me considère comme sa femelle!
- Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau de tes parties génitales? Elles ont été tellement malmenées.
- Ben, ça pourrait aller mieux! J'ai la vulve distendue et endolorie, il me faudra quelques jours pour que tout redevienne normal.
- Tu veux que je te mette de la crème adoucissante?
- Si tu veux!
- OK! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j'arrive.
Je passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et partis la rejoindre.
Je la trouvai allongée. Je dégageai son peignoir et lui fis écarter les cuisses. Je pris une bonne dose de crème avec mes doigts et lui étalai sur la vulve qui était effectivement bien rouge. J'enduisis l'extérieur puis entrepris de lui en mettre également à l'intérieur.
Très vite, ce sont quatre doigts de ma main qui entrèrent sans difficulté à l'intérieur de son vagin. Il était complètement distendu. Je réunis mes doigts en cône, le pouce à l'intérieur, et poussai ma main en tournant et en rajoutant de la crème. Ma main avança sans difficulté, la partie la plus large disparut bientôt à l'intérieur et quelques instants plus tard, c'est ma main complète qui fut introduite. Cela se fit sans aucune difficulté. J'étais en train de fister ma femme sans qu'elle n'émette aucune plainte.
- Ça va?
- Oui! Oui!
De contempler ce moignon de bras sortir du sexe de mon épouse me provoqua un véritable délire sexuel. Encore plongé dans l'excitation cérébrale provoquée par l'écoute de ses dernières aventures du jour, l'érotisme de cette scène me déclencha une glorieuse érection. Je sortis ma main de ce fourreau brûlant et m'essuyai rapidement dans la serviette.
Puis je pris position entre la fourche des cuisses restées écartées et m'engouffrai dans ce sexe béant. La sensation fut des plus bizarres dans la mesure où je ne sentis pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulissait librement ma verge.
Mon épouse ne réagissait pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu'après ce qu'elle avait vécu aujourd'hui, ce n'est pas un sexe d'une taille même relativement enviable qui allait la faire monter au 7ème ciel. Par contre, en ce qui me concernait, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que de savoir que j'occupais la même place que celle qui avait été complètement envahie une bonne partie de l'après-midi par une énormité canine me mit en transes. Très rapidement je sentis le plaisir me monter des reins et je me déversai longuement dans ce pauvre sexe malmené.
J'avais donc accepté de succéder à un chien alors que j'avais refusé la veille de succéder à un homme!
Complètement épuisée par cette journée dont elle se souviendra longtemps, mon épouse dormait déjà. Je l'installai dans le lit et la recouvris avec drap et couvertures. Je lui déposai un baiser sur ses lèvres en lui souhaitant bonne nuit mais elle ne m'entendit pas.
Après avoir pris un léger repas, je partis à mon tour me coucher. 
A suivre... Oui... Encore

Jeunes filles complaisantes ou bonnes salopes. A vous de voir..!

Rediffusion

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Séquelles, addiction et open-baise..
Sont vraiment chauds dans le Ch'nord


Mon épouse et ses collègues
Suite VII

Le lendemain matin, je me levai de bonne heure comme d'habitude. Je réveillai mon épouse. Lorsqu'elle me rejoignit dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner, je m'aperçus que la nuit de sommeil lui avait fait du bien.
Par contre, lorsque je rentrai le soir, je vis que cela n'allait pas si bien que ça. Elle était toujours rêveuse, elle semblait comme absente. Lorsque je lui en fis la remarque, elle me rassura:
- Non, non! Tout va bien!
Toute la semaine ce fut la même chose. Ce qui m'inquiéta au plus haut point, c'est le fait qu'elle semblait avoir perdu tout appétit sexuel. Le calme plat; pas de soirée du mercredi avec son chef, pas de gang-bang le vendredi chez Guy et même moi, lorsque j'essayais elle me faisait comprendre qu'elle n'avait pas envie. J'en vins à craindre qu'elle ne soit en train de sombrer dans une dépression.
En fait, elle était sortie très marquée de sa partie de chasse et surtout de son expérience canine. Le bouleversement qui s'était opéré en elle avait atteint son équilibre psychique.
Ce week-end nous allons dans les Ardennes récupérer les enfants. Si lundi il n'y a pas d'amélioration, nous irons consulter.
Heureusement le changement d'air du week-end sembla lui être bénéfique. Elle parut plus gaie, plus active. Samedi soir, nous avons fait l'amour.
La semaine suivante sa santé s'améliora tous les jours, elle était désormais sortie de l'espèce de spleen baudelairien qui l'isolait et l'avait plongée dans une crise d'angoisse. Signe de sa guérison, elle reprit ses sorties. La première fois que j'étais heureux que ma femme me trompe.
Mais désormais, j'avais décidé d'être vigilant et de surveiller la nature de ses sorties. Les parties de chasse seront définitivement à bannir. Je vais également surveiller sa relation avec le fromager, je n'ai pas confiance à ce gars là.
Notre vie put donc reprendre son cours.
oooOOooo
A partir de là, la vie reprit son cours et mon épouse ses galipettes habituelles.
Le samedi suivant, lorsque je la vis partir au marché, je sortis discrètement derrière elle pour surveiller son comportement vis à vis du fromager. En m'approchant de la camionnette je vis qu'une femme tenait l'étal. Certainement l'épouse. Donc lui devait être au bar.
Je me dissimulai derrière un marchand de fruits et légumes et surveillai le véhicule. Quelques temps plus tard, j’aperçus effectivement mon épouse se présenter, elle commanda puis partit en se dirigeant vers le bar.
Ainsi, elle allait le retrouver.
Je la vis entrer, puis, la porte passée, elle se dirigea sur la droite, du côté de la grande salle qui faisait un « L ».
Quelques minutes plus tard, je passai discrètement par la même porte et jetai un regard sur la droite. J'avais une vision parfaite sur l'ensemble de la salle: personne. Soudain, au fond, j'eus le temps d'apercevoir le haut de la chevelure de Joss qui disparaissait dans l'escalier qui menait aux toilettes en sous-sol.
Et voilà, elle va aller se faire sauter dans les chiottes. Décidément, c'est un endroit qu'elle apprécie!
Je descendis furtivement: à droite, les hommes, à gauche, les femmes.
Ne sachant quelle direction prendre, à tout hasard je partis vers les hommes. Il y avait une dizaine d'urinoirs et cinq cabines fermées. Comme il n'y avait personne de visible, j'écoutai attentivement en passant silencieusement le long des portes des cabines. Devant la troisième, j'entendis un murmure de voix. J'entrai discrètement dans la suivante et fermai le verrou aussi discrètement.
 Comme dans beaucoup de ce genre de locaux, les cloisons latérales ne montaient pas jusqu'au plafond, elles s’arrêtaient à environ 2m50 du sol. J'entendis plus distinctement mais c'était incompréhensible. Je fermai le rabattant et me hissai sur la lunette. Ils ne parlaient plus. Soudain je perçus un soupir. Puis, un peu plus tard, des sortes de claquements: flac, flac, flac.... Je devinai mon épouse, penchée sur la lunette des WC, la culotte en bas des jambes et lui, la martelant par derrière. D’où le bruit de son pubis claquant sur les fesses rebondies.
Après quelques minutes elle se mit à gémir, des gémissements de plus en plus perceptibles. Si elle continuait, elle allait se faire repérer par un éventuel client venu se soulager, ce qui n'allait pas manquer d'arriver car, enfin, ces lieux étaient prévus pour cela.
En ayant assez entendu, à défaut de voir, je décidai de remonter. Ce que je fis en silence. J'allai m’accouder au coin du bar, entre deux clients et commandai un café. J'avais une vue parfaite sur la salle et les escaliers des toilettes.
Dix minutes plus tard, c'est mon épouse qui déboucha de la montée d'escalier. Je m’apprêtai à sortir avant d'être repéré, lorsque je la vis se diriger vers une table au fond de la salle et s'installer sur la banquette longeant le mur. Quelques instants après, ce fut le tour de son amant qui vint s'asseoir près d'elle. Ils entamèrent alors une discussion animée. Je remarquai que c'était surtout lui qui parlait.
Une rage froide m'envahit. « Je lui avais interdit de revoir cet homme et elle me l'avait promis. Au lieu de cela, à la première occasion elle le laisse la sauter. Je ne peux vraiment pas lui faire confiance, le bouillonnement de ses sens en feu annihile sa volonté. S'il lui reste un tant soit peu de volonté de résister, d'ailleurs J'en doutai!
Mais une idée diabolique me vint à l'esprit.
Rapidement je sortis et me rendis près de la camionnette/fromagerie. Ça tombait bien, il n'y avait personne. J'interpellai alors l'épouse du mari volage:
-  Vous savez que votre mari est en galante compagnie? Je viens de le voir sortir des toilettes du bar où il était enfermé avec une femme. Actuellement ils sont en grande discussion et.....
Je ne pus terminer.
- Nom de dieu de nom de dieu! Ah il ne va pas recommencer!
Apparemment, il n'en n'était pas à son coup d'essai.
La femme, rouge de colère, fit irruption hors de son véhicule, claqua la portière et rabattit, d'un geste sec, le panneau ouvrant de la vitrine. C'était une petite femme, bien en chair, mais dotée d'une belle énergie.
J'eus quelques difficultés à la suivre tellement elle filait vers le bar dans lequel elle s'engouffra telle une tornade. Il ne lui fallut que quelques secondes pour repérer le couple adultère. Ils étaient serrés l'un contre l'autre, lui avait une main posée sur la main de mon épouse, son autre main disparaissait sous la table, certainement entre ces cuisses si accueillantes.
J'eus le temps d'entendre le patron du bar dire: « Ça, il fallait s'y attendre! Ça va barder pour son matricule au Jean! »
Je m'étais arrêté au coin du bar. La femme leur tomba carrément sur le dos. De ses deux mains elle saisit mon épouse par les cheveux et l'arracha purement et simplement de la banquette. Tout valsa, la table et les verres qui se brisèrent au sol.
- Salope! Traînée! Je m'en doutai! Espèce de putain! Tiens, prends ça!
Et elle lui colla une formidable mandale en pleine figure qui l'envoya bouler au sol, cul par-dessus tête. Elle se retrouva allongée, la jupe troussée à la taille, dévoilant ses cuisses gainées de bas et sa culotte qui me parut relativement souillée. Évidemment, après les giclées qu'elle venait de recevoir, le liquide s'écoulait, maculant le sous-vêtement.
La femme s'était maintenant tournée vers son mari qu'elle arrosait littéralement de coups sur la tête. Celui-ci tentait tant bien que mal de les éviter et de se protéger. Puis il en eut assez. Il se redressa et lui envoya une droite à la figure qui l'allongea pour le compte.
Pendant ce temps, le patron avait téléphoné à la police.
Mon épouse, qui avait repris des couleurs, se releva, remit de l'ordre dans ses vêtements, ramassa ses affaires et se dirigea vers la sortie. Mais le patron, qui était un policier à la retraite, veillait et la stoppa dans son élan:
- Stop, ma petite dame! Vous restez ici à attendre la police! Je commence à en avoir marre de vos saloperies tous les samedis. Allez hop! Demi-tour!
La police devait patrouiller dans le secteur car, déjà, quatre hommes en uniforme firent leur entrée. Le patron leur expliqua la situation en quelques mots et le trio fut embarqué manu militari au commissariat. La femme avait un mouchoir pressé sur son nez tuméfié.
Les voilà partis pour quelques heures. Dans cette histoire, mon épouse ne craignait rien. Il était encore permis, même si ce n'était pas moral, de coucher avec un homme marié. Elle s'en tirerait donc qu'avec la baigne qu'elle avait reçue que, je dois dire, je n'avais pas prévue. Mais après cette aventure et la honte de s'être fait gifler et mise à terre, le cul à l'air, j'étais certain qu'elle n'était pas prête à remettre les pieds dans ce bar.
Je regagnai donc l'appartement. J'expliquai aux enfants, à leur retour d'école, que leur mère avait dû s'absenter. Puis j'attendis son retour, curieux et impatient de connaître les explications qu'elle allait me donner. A aucun moment elle ne m'avait vu, donc, pour elle, j'étais complètement étranger à cette histoire.
Elle ne revint qu'à 16 heures. Le côté gauche de son visage était tout rouge, tuméfié.
- Peux-tu me dire d'où tu reviens? Ça fait plus de cinq heures que je t'attends!
- Je reviens tout simplement du commissariat. Je me suis faite agressée! Ça ne se voit pas? dit-elle en me désignant son visage.
- Agressée? Ah bon? Mais par qui?
- Une folle!
- Ne serait-pas la femme cocue d'un mari volage par hasard?
- Pour....pourquoi tu dis ça?
- J'ai entendu dire que l'épouse du fromager avait surpris son mari dans les bras d'une femme dans le café près du marché et qu'elle s'était fait justice!
-  Dans les bras! Dans les bras! Je n'étais pas dans ses bras!
- Non, mais si elle était arrivée dix minutes plus tôt, elle aurait peut-être pu vous voir dans une position encore plus délicate dans les toilettes du sous-sol?
- Co..Co...mais comment...
- Parce que je t'ai suivie depuis que tu as quitté l'appartement et j'ai tout vu. Si tu veux tout savoir, c'est même moi qui suis allé prévenir son épouse. Alors, maintenant, dis moi pourquoi tu as revu ce salopard? Tu m'avais promis avoir rompu toute relation?
- Avant-hier, il m'attendait en bas au moment de monter dans la voiture pour partir au travail. Il m'a fixé rendez-vous aujourd'hui au bar.
- Alors pourquoi n'as-tu pas refusé?
- Ben, je sais pas! Rien que de le revoir m'a échauffé les sens, j'ai repensé à sa grosse queue et je suis restée sans volonté.
- C'est pas possible d'être esclave du sexe à ce point. Et peux-tu me dire de quoi vous discutiez à table? De loin, ça avait l'air bien passionnant!
- Il essayait de me convaincre de revenir à une partie de chasse demain.
- Ah oui? Et tu lui as dit quoi?
- Je lui ai dit que ce serait étonnant parce que tu ne me donnerais jamais ton accord!
- Ça, c'est sûr! Et que t'a t-il répondu?
- Il m'a dit que j'étais majeure et que je n'avais pas à demander à tout bout de champ l'autorisation à mon mari pour tout ce que je faisais! Il m'a indiqué que ce sont ses amis qui me réclamaient et aussi un ami très cher qui s'ennuyait: Bobby.
- Ah Bobby, ce cher Bobby! Et en définitive, qu'as-tu décidé?
- Ben, je sais pas!
- Ça, ce n'est pas une réponse, mais pour moi, c'en est une! En fait tu te serais passée de mon autorisation et tu y serais allée. Je crois même que tu ne m'en aurais même pas parlé, trop peur de mon refus! Aurais-tu au moins eu la délicatesse de me laisser un mot sur la table?
- Ben oui, quand même!
- Joss! Ma pauvre Joss! Jusqu'où vas-tu te laisser entraîner? Jusqu'où vas-tu te laisser avilir? Tu es complètement dépravée, prête à copuler avec une dizaine d'hommes, plusieurs fois chacun et de toutes les manières, pour finir pas t'accoupler avec un chien! Tu n'as pas honte?
Elle s'effondra en pleurs sur une chaise, les coudes sur la table et se cacha le visage dans ses mains.
- Excuse-moi! Je n'y peux rien! C'est plus fort que moi. Rien que de penser à cette journée et à tout ce qui peut s'y passer, je suis trempée, je mouille comme c'est pas possible. Pourtant, je sais que ce n'est pas bien, que je te fais du mal, mais une force irrésistible m'attire.
- Bon! Et alors? Qu'as-tu décidé pour demain?
- De toute façon, après ce qui s'est passé aujourd'hui, plus de chasse pour Jean, sa femme lui a dit au commissariat: « Tu vas à la chasse, tu ne rentres plus à la maison! ». Car d'après ce que j'ai compris dans leurs discussions, c'est madame qui possède tout. Elle a plusieurs commerces hérités de ses parents. Lui n'a rien et en cas de divorce il se retrouve sur la paille. Alors, il file comme un toutou!
- Bien, le problème est donc réglé. Mais que s'est-il passé au commissariat?
- Bof! Pour moi pas grand-chose. Comme j'avais été frappée l'inspecteur m'a demandé si je portais plainte. Je lui ai répondu que non et puis voilà. Le plus difficile ça a été l'attente. On est resté près de 4 heures assis à attendre d'être convoqué par un inspecteur. Par contre, euh!! Il y a autre chose!
Allons bon, quelle catastrophe va-t-elle encore m'annoncer?
-  Quand l'inspecteur a pris ma carte d'identité et qu'il a vu mon nom il m'a dit:  Jocelyne R., c'est bien votre nom?... Suite à ma réponse affirmative il m'a dit d'attendre quelques instants, qu'il avait quelque-chose à vérifier et il est sorti. Cinq minutes plus tard, il est revenu et m'a demandée si on ne m'appelait pas « Joss » en privé.
Alors là, j'étais sciée!
- Je connais quelqu'un qui vous connait et même très, très bien et ce quelqu'un m'avait donné votre nom en me disant que si j'avais l'occasion de vous rencontrer pour une raison ou une autre, et les occasions, elles ne manquent pas dans notre métier, je devais l'appeler. C'est le prénom, Jocelyne, et votre physique qui ont fait « tilt »
Ouh la, la! C'est pas bon ça.
- Ce quelqu'un, c'est Jean-Luc, mon frère. Il travaille avec vous, il m'a confirmé, je viens de l'avoir au téléphone.
Aïe! Aïe! Aïe! Ça sent le piège cette histoire!
- Vous ne voyez pas d'inconvénient à repasser demain à 15 heures pour signer votre déposition? Le dimanche après-midi on est plus tranquille, si vous voyez ce que je veux dire!
Ça, je le vois très, très bien.
Et moi aussi, la police allait remplacer les chasseurs. En définitive, elle allait réussir à recevoir sa dose.
Pour moi, l'incident de ce matin était clos. Je pense qu'elle n'était pas prête de revoir ce fromager de malheur.
Sur ce elle partit se laver car elle était toujours souillée de ce matin. Ça ne devait pas sentir la rose! Et c'est ainsi que le lendemain elle partit à 14h30 au commissariat. Elle en revint à 17h30.
- Tu en as mis du temps?
- Ben oui! Ils avaient organisé une belle réception!
- Alors, raconte!
- Lorsque je suis arrivée, j'ai demandé à voir l'inspecteur X. Dans un premier temps, la préposée à l'accueil me répondit qu'il n'était pas de service aujourd'hui. Après lui avoir expliqué les raisons de ma venue, elle téléphona pour vérifier et me répondit qu'en fait il était bien là et que je devais monter au 1er, bureau 135.
En arrivant dans ce bureau, je frappai et entrai. L'inspecteur d'hier était bien là, avec deux autres hommes, des collègues certainement.
- J'ai eu mon frère longuement hier soir, il m'en a appris des belles sur vos réunions du vendredi soir! Notre belle invitée apprécie le sexe à plusieurs? Et nous trois, on pourrait avoir notre part du gâteau? Il est si appétissant!
En disant cela, il s'était rapproché de moi, m'avait saisie par la taille et s'était mis à me rouler une pelle d'enfer.
Bien entendu je n'ai pas protesté, j'ai même fini par participer. Les deux autres se sont mis à me peloter les seins, les fesses. Puis l'inspecteur m'entraîna au 3ème étage.
- Viens, on va aller dans une chambre de repos des « permanences », on sera plus à l'aise et c'est plus discret.
En fait, c'était une chambre avec deux lits individuels. Ils ont alors jumelé les deux lits puis se sont occupés de moi. Lorsqu'ils s'aperçurent que j'étais en bas, porte-jarretelles et que je portais un string, ils devinrent comme fous. Lorsque je fus nue, ils restèrent bouche bée à admirer mon corps: ma poitrine opulente, mon joli fessier bien rebondi, ma toison, merveilleuse fourrure d'astrakan noir finement bouclée.
Ils n'avaient pas assez de mains pour toucher partout en même temps. Ils m'inspectèrent sous toutes les coutures. Tu vas me dire que c'est normal pour des inspecteurs d'inspecter? Puis ils se déshabillèrent, tous affichaient une fière et solide érection. Et la fête commença.
Comme tu le devines, ils me prirent dans toutes les positions. Un détail toutefois, ils tenaient à se couvrir d'un préservatif. Tu sais que je n'apprécie pas trop, je préfère sentir des membres à peau nue s'introduire dans mes orifices. Ils acceptèrent toutefois de ne pas en mettre pour se faire sucer. Là, j'aurais refusé tout net, je ne suce pas des bouts de plastique. Ce fut chaud, très chaud et globalement je suis satisfaite. Hervé, mon inspecteur, a pris mon numéro de téléphone. Il me rappellera pour une prochaine partie.
- Et bien, tu vois, tu as tout de même eu ton gang-bang, même si c'était moins hard qu'avec les chasseurs.
- Tu viens, on va faire un câlin? Je suis propre, ils étaient protégés et j'ai encore envie.
Elle est insatiable cette femme. Mais comment lui refuser?
Deux semaines plus tard, nous étions invités un vendredi soir à participer à une réception organisée par mon entreprise. C'était pour fêter le 100ème anniversaire de l'implantation de l'établissement financier sur la place de Lille.
Aussi, je pris bien soin de prévenir mon épouse qu'elle pense à annuler sa sauterie habituelle du vendredi soir avec ses collègues car notre Directeur Régional tenait particulièrement à ce que tous ses collaborateurs viennent avec leur conjoint.
Ce vendredi-là, je quittai le bureau plus tôt et arrivai à l'appartement vers 18 heures. Mon épouse avait obtenu l'accord de son chef pour sortir également plus tôt. J'avais prévu une baby-sitting pour l'occasion, elle arriva comme convenu à 18h30.
Pour cette occasion, mon épouse avait acheté une nouvelle robe. J'étais allé avec elle pour l'aider dans son choix. C'était une robe d'un gris pâle qui se mariait divinement avec ses cheveux et ses yeux d'un noir de geai. Des bas couleur chair, des chaussures du même ton que la robe et les cheveux coiffés d'un sublime chignon.
Cette robe était si parfaite que, faite sur mesure, elle n'aurait pas été mieux réussie. En effet, la forme et les cintrages faisaient qu'elle épousait parfaitement les courbes de son corps. Ses seins et ses fesses jouaient librement sous le tissu, sans les comprimer. Un décolleté pas trop agressif, qui laissait apparaître le début du sillon de ses seins et, en bas, une longueur raisonnable, 15 centimètres au-dessus du genou, juste ce qu'il fallait pour laisser deviner le galbe de la cuisse et enfin, des manches mi-longues, qui s'arrêtaient sous les coudes.
Il se dégageait de l'ensemble un érotisme assez troublant.
Arrivés à Lille, nous allâmes nous garer dans le parking souterrain du Nouveau Siècle. La réception se déroulait dans un salon de la Chambre de Commerce. Donc, à deux pas.
Lorsque nous entrâmes, il y avait déjà pas mal de monde. Nous laissâmes nos manteaux au vestiaire et pénétrâmes dans la salle. Une hôtesse cocha nos noms et nous donna des badges à épingler sur notre poitrine. Dans le fond de la salle, il y avait un énorme buffet de dressé.
Nous allions avoir droit aux interminables discours habituels. Hormis le Directeur Régional, il y avait un représentant de la Direction Générale qui était venu de Paris. Je commençai à passer de groupes en groupes, je reconnus évidemment beaucoup de monde, je saluai, présentai mon épouse qui se fit rapidement un franc succès, surtout du côté des mâles. Puis enfin les orateurs montèrent sur la scène.
Il y avait là le Directeur de Groupe, le Directeur Régional et, surprise, le représentant de la Direction Générale était un de mes anciens patrons que j'avais eu lors d'un de mes précédents postes. Un homme que j'avais particulièrement apprécié d'ailleurs.
Les discours - trop longs, comme d'habitude - une fois terminés, on nous invita à nous rapprocher du buffet.  J'allai donc chercher deux coupes de champagne et, accompagné de mon épouse, je repris la tournée de mes connaissances, discutant avec les uns et les autres.
A un moment donné, je me trouvai près de notre Directeur Régional. Je pris le bras de mon épouse et m'approchai de lui pour le saluer. Nous nous connaissions, bien évidemment, mais il n'avait jamais vu mon épouse. Je fis donc les présentations.
Galamment et très homme du monde, il lui fit un baise main. Je remarquai qu'il conservait alors sa main dans la sienne un peu trop longtemps. Il examinait mon épouse, il n’arrêtait pas de la fixer, comme hypnotisé. Quand, enfin il lui lâcha la main, il la complimenta une dernière fois pour sa beauté. Mon épouse, rougissante, semblait quelque peu gênée. Enfin, il nous souhaita bonne soirée et s'éloigna.
- Et bien! Dis donc! Tu lui as fait de l'effet à notre patron régional.
- C'est un homme très galant! Et pas vilain à regarder en plus!
Et nous continuâmes notre déambulation. J'avais bien conscience que cette soirée n'intéressait qu'à demi mon épouse. Elle ne connaissait personne.
Enfin, j'aperçus mon ancien patron. Il fut content de me retrouver et très vite nous nous rappelions nos souvenirs, ce qui fait que je ne fis plus très attention à ma femme. Lorsque je voulus la rappeler à mon bon souvenir, j'eus la surprise de découvrir qu'elle n'était plus près de moi. Peut-être au buffet? Aux toilettes?
Soudain je l'aperçus de l'autre côté de la salle, en pleine discussion avec notre Directeur Régional.
Celui-ci est un homme grand, environ 45 ans, bien bâti, le visage carré, viril et volontaire, au port aristocratique, un regard bleu acier, impressionnant, qui semblait vous transpercer lorsqu'il vous fixait. Charles-Edouard de W., c'est son nom. Il est issu d'une famille aisée du Nord qui a fait fortune dans le négoce de la laine au 19ème siècle, comme quelques familles de Roubaix et Tourcoing à cette époque.
Lui a préféré faire carrière dans la finance, mais les affaires et la finance font en général bon ménage. Il avait été marié à une héritière d'un grand groupe sidérurgique de l'Est qu'il avait eu la douleur de perdre d'un cancer il y a environ deux ans. Bizarrement, cet homme, avec sa fortune, sa prestance et sa situation privilégiée, ne s'était jamais remarié. Ça ne devait pourtant pas être les candidates qui manquaient!
Je continuai donc de les observer de loin, me gardant bien de les déranger. Le conciliabule dura bien cinq minutes. Puis je le vis remettre à mon épouse ce qui ressemblait fort à une carte de visite. Enfin, ils se séparèrent et je retrouvai mon épouse près du buffet.
- Je te cherche! Où étais-tu passée?
- Je discutai! Je t'expliquerai!
La soirée se termina vers minuit et nous regagnâmes notre véhicule.
Aussitôt, je l'interrogeai:
- Je t'ai vu discuter avec notre patron de région. Comment est-ce que tu as été amenée à engager la discussion avec lui?
-  Ben, en fait, je me dirigeai vers les toilettes lorsque je fus interpelée. C'était lui qui m'indiqua qu'il serait heureux d'échanger quelques mots avec moi. Il m'entraîna un peu à l'écart, comme s'il ne voulait pas être entendu par des oreilles indiscrètes et il me dit être très troublé par la plastique de mon corps, qu'il était admiratif de la beauté de mes courbes et plein d'autres choses qui me mirent dans un état pas possible. Par sa seule voix il réussit à me faire mouiller. Tu ne m'avais pas dit que ton grand patron était aussi séducteur, ça m'a l'air d'être un amateur de femmes. Il se dégage quelques chose d'inexplicable de cet homme, c'est très troublant, même déstabilisant!
- Il ne manquait plus que cela! Ma femme qui se fait draguée par notre patron de région!
- Et ce n'est pas tout. Il m'a donné sa carte de visite, je dois l'appeler lundi à 10 heures. Il m'a dit qu'il avait très envie de me revoir!
- Alors là, pour être direct, c'est direct!
Décidément, ma femme ne cessera jamais de m'étonner. Quoi qu'on fasse, où qu'on aille, elle se faisait draguer. Et comme c'est un jeu dans lequel elle excellait et qu'elle adorait provoquer, le mâle audacieux avait toutes les chances de devenir un homme heureux.
Le week-end passé, on entama donc une nouvelle semaine. Dès mon retour, le lundi soir, j'en vins rapidement à ce qui m'avait taraudé toute la journée: son coup de téléphone.
- Ben, à ma pause, à 10 heures, je l'ai appelé comme convenu. Il devait attendre la main au-dessus du combiné, car la première sonnerie n'était pas encore finie qu'il décrocha.
- Et alors, Qu'est-ce qu'il t'a dit?
- Ne sois pas si impatient! Ça vient! En fait, il veut me revoir! Il me donne rendez-vous samedi, à 15 heures, au bar du Carlton à Lille. C'est où ça, le Carlton?
- Le Carlton? Quand tu sors de la gare, tu descends la rue Faidherbe en face et au bout de la rue, dans l'angle, tu as l'hôtel. En fait, c'est juste en face de la Chambre de Commerce, où nous étions vendredi soir. Mais que cherche t-il? Il te l'a dit?
- Qu'est-ce qu'il cherche? Qu'est-ce qu'il cherche? Ne te fais pas plus bête que tu n'es! D'après toi, que cherche un homme séduisant lorsqu'il rencontre une femme qui lui plait et lui donne rendez-vous dans un hôtel? Il veut coucher, tout simplement. Ces hommes ne sont pas différents des autres. Je dirai même que les hommes de pouvoir sont encore pires sur le plan sexuel. Mais bon! Tu ne vas pas en faire un drame parce que ta femme va coucher avec un homme, qu'il soit ton Directeur Régional ou pas? Il me semble que tu es habitué depuis le temps!
- Oui, mais enfin! Comment vont être mes relations professionnelles avec lui après ça?
- Ben, en compensation, tu lui demanderas de l'augmentation!
Quel humour! Ça n'avait pas l'air de la traumatiser plus que cela!
C'est pas fini....

Harcèlement sexuel.....

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On en parle beaucoup en ce moment...
Mais au cinéma s'en est plein...!


Rediffusion

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Fin

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C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...
Tout est bien qui fini bien...
Et une surprise à la fin!


Mon épouse et ses collègues
Fin

Et la semaine se déroula comme d'habitude avec les rendez-vous galants classiques de mon épouse. Et nous arrivâmes à ce fameux samedi.
A 14 heures, elle prit le Mongy. A 19 heures elle était de retour. Elle fit son entrée, rayonnante, tout sourire, les joues encore rouges d'excitation. Manifestement, cette femme avait été comblée. Un certain malaise m'envahit, un mélange de jalousie et d'inquiétude.
- Ouh là là! Quel après-midi!
- Ah? Raconte?
- Ben, il n'y a pas grand-chose à dire, c'est du classique. En arrivant, je suis entrée dans un grand hall. J'ai demandé à l'accueil Monsieur de W., on vérifia que je m'appelais bien Madame R. et on m'indiqua de monter au 1er étage, chambre 125. Là, je frappai et j'entrai. Il m'accueillit dans une grande chambre luxueuse. Mais là, pas de baise main. Il m'enlaça directement et m'embrassa fougueusement sur la bouche.
Bien entendu je répondis à son baiser. Ensuite il déboucha une bouteille de champagne qui se trouvait dans un seau sur la table et nous bûmes deux coupes. Et puis ensuite, tu peux deviner ce qui est arrivé. Il m'a déshabillée lentement, embrassant sans cesse toutes les parties du corps qu'il découvrait, admiratif des formes plantureuses qui s'offraient à son regard, à ses mains et à ses lèvres.
Une fois nue, sauf, comme tous les hommes, mes bas et mon porte-jarretelles, ce fut à son tour de se dévêtir. Alors là, je découvris un homme à la musculature puissante, au large torse bien proportionné, il m'impressionnait. Et lorsqu'il ôta son pantalon, son boxer était déformé par une excroissance irréelle. Curieuse, je lui descendis le sous-vêtement moi-même. Je ne pus retenir un cri d'admiration: « Ouah!!! » Grand, gros, énorme, tout ce qui fallait pour rendre une femme heureuse.
Et heureuse, je le fus. Du grand art! Cet homme est une bête de sexe, un maître en la matière. Patient, doux, il prend soin de veiller à ce que sa partenaire l'accompagne dans le plaisir. Ses pénétrations sont d'abord lentes, profondes, même très profondes vu la taille de l'engin. Puis à l'approche de mon orgasme, il devient plus violent, claquant son corps contre mon pubis ou contre mes fesses selon la position et il m'entraîne alors inexorablement vers une jouissance fabuleuse, qui me laisse sans force. Puis, après un peu de repos qu'il consacre à de douces caresses, il recommence. Trois fois à la file, il me fit l'amour. C'est un homme exceptionnel.
J'étais encore moins rassuré après cette description.
- Et maintenant? Quelle va être la suite?
- Ben, on se revoit samedi prochain, dans les mêmes conditions. Et Charles-Edouard m'a demandé de l'appeler de nouveau lundi à 10 heures. Il m'a dit qu'il voulait entendre le son de ma voix parce-que la semaine allait être longue, très longue.
- Mais il a l'air amoureux ton Charles-Edouard?
- On dirait!
- Et toi?
- Quoi moi?
- N'es-tu pas un peu amoureuse?
- Amoureuse! Amoureuse! C'est un bien grand mot. Non, je suis bien avec lui, c'est un amant exceptionnel. Mais c'est de toi que je suis amoureuse.
- Oh! Tu sais! On a déjà vu des femmes amoureuses de deux hommes à la fois!
- Et bien, pour le moment, ce n'est pas le cas!
Ainsi, voilà donc un wagon supplémentaire accroché à la vie dissolue de mon épouse. Elle allait bientôt manquer de temps pour satisfaire tous ses partenaires. Elle allait devoir s'organiser.
Les vacances d'été finies, nous arrivâmes en septembre. Le premier week-end du mois se déroula, comme chaque année, la grande braderie de Lille. Je décidai d'y aller faire un tour. Je profitai du rendez-vous galant de mon épouse pour l'accompagner jusqu'à Lille.
Évidemment, le succès populaire de cette manifestation était tel que le Mongy était bourré. C'est ainsi que nous nous retrouvâmes serrés comme des sardines au milieu du couloir. Mon épouse était littéralement collée face à moi, nous étions joue contre joue.
Heureusement que j'étais avec elle car elle aurait pu se retrouver dans la même position avec un étranger! Quoique, la connaissant, je me demande si cela l'aurait vraiment contrariée!
Cela faisait maintenant environ 5 minutes que nous étions partis, lorsqu'elle me chuchota à l'oreille:
- Il y a quelqu'un qui me tripote les fesses!
Machinalement je regardai derrière elle. Je vis deux hommes dans son dos, un derrière son épaule gauche et un autre derrière son épaule droite. Un troisième se trouvait entre les deux, légèrement en retrait. Impossible de déterminer lequel se permettait ces privautés.
- Tu veux que l'on intervertisse nos places?
- Non! Non! Laisse!
Puis quelques minutes plus tard:
- Il remonte ma jupe!
Et elle continua ainsi à me décrire la progression de ce que je considérai comme une agression, mais qu'elle, avait l'air de prendre comme un hommage.
- Ça y est! Il a sa main sur mes fesses dénudées!
Toujours dit dans un chuchotement dans mon oreille, inaudible pour le voisinage.
- Il me tripote les fesses!
Puis, un peu plus tard:
- Il a écarté mon string! Il insinue sa main entre mes fesses! Il me titille mon petit trou!
Je compris qu'elle appréciait la situation en sentant son souffle s'accélérer contre ma joue.
- Il passe sa main entre mes cuisses!
J'avais effectivement perçu le mouvement qu'elle avait fait, écartant légèrement ses jambes pour faciliter le passage de cette main fureteuse.
- Il me titille le clito! Ouaaa! Il m'a enfilé deux doigts dans la vulve!
Elle était dorénavant légèrement penchée en avant, une main s'appuyant sur mon épaule, facilitant ainsi l'accès de ses parties intimes.
- Il me doigte! Putaiiiin, c'est boooon!
C'est pas possible, elle va jouir en public, devant des dizaines de personnes dont certaines commençaient d'ailleurs à la regarder bizarrement.
Son bassin commença à s'agiter de façon de plus en plus visible.
Heureusement le tram fit son entrée dans la gare de Lille. Terminus, tout le monde descend. Elle se redressa, remis discrètement son string en place et rabattit sa jupe.
En sortant de la gare, elle me glissa:
- Putain, je suis complètement trempée!
- Ton Charles-Edouard risque peut-être de s'en étonner?
- Bof! Je lui dirai que c'est dû à l'excitation de le rencontrer! Ça le flattera!
Je ne pus m’empêcher de penser que si son agresseur avait sorti son braquemart, elle se serait laissée baiser, là, devant tout le monde. Elle n'a vraiment aucune pudeur cette femme.
Je la laissai devant l'hôtel et entrepris ma longue marche à la recherche d'un hypothétique objet rare.
oooOOooo
Puis les jours défilèrent, la vie reprit son train-train, scandée par les rendez-vous de mon épouse à droite et à gauche. En plus, cela faisait maintenant deux fois que ses amants policiers faisaient appel à ses services le dimanche après-midi. Ce qui fait que le week-end, nous ne nous voyions pratiquement plus.
D'autant plus que, du fait de son emploi du temps du samedi après-midi, elle allait, désormais faire ses courses au supermarché le dimanche matin puisqu'il était ouvert, ce jour là, de 8h30 à midi. Elle partait à 8h30 et revenait entre 11h30 et midi. Je trouvais d'ailleurs bizarre le temps qu'elle passait en courses car, bien souvent, elle ne rentrait qu'avec 2 ou 3 choses.
Je décidai d'en avoir le cœur net. J'attendis d'être un dimanche de vacances scolaires où les enfants étaient absents. Le samedi après-midi, j'allai préparer mon vélo que l'on ne prenait qu'aux vacances et qui était remisé dans la cave. Le dimanche matin à 8 heures, je prévins mon épouse que j'allai me dégourdir les jambes en allant faire un tour de vélo. Elle parut surprise mais ne fit pas de commentaire.
Le supermarché n'était pas loin, à 8h15 j'entrai dans le parking. J'allai me fondre au milieu des voitures, pas très loin de l'entrée où elle allait arriver. A 8h35 elle fit son entrée. Bizarrement, je la vis aller tout droit, traverser tout le parking et se garer complètement de l'autre côté, là où il n'y avait que deux voitures et un camping-car.
Mais, qu'allait-elle faire dans ce coin isolé?
A peine descendue de voiture, je vis trois hommes descendre des autres véhicules. Ils embrassèrent mon épouse et s'engouffrèrent dans le camping-car par la porte latérale. Je patientai une dizaine de minutes et me rapprochai à vélo. Arrivé près du camping-car, je vis la caisse remuer de droite à gauche, faisant couiner les amortisseurs. Incroyable! Cette femme est une affamée, une boulimique, jamais rassasiée. Mais quand et où va-t-elle s'arrêter?
Ayant vu ce que je voulais voir, je repris le chemin du retour. D'un certain côté, ce que je venais de découvrir me rassurait en quelque sorte. Effectivement, cela démontrait qu'elle ne pensait pas plus que ça à son Charles-Edouard et même lui ne la satisfaisait pas complètement. C'est rasséréné par cette réflexion que je l'attendis pour déjeuner.
Dès son retour, je la pris, bille en tête:
- Qui c'est ces trois gars avec qui tu es montée dans le camping-car?
- Ah tu me surveilles maintenant?
- Et bien oui! Et j'ai bien fait! La preuve! Et je m'aperçois que tu ne me dis toujours pas tout et que tu persistes dans tes mensonges!
Elle semblait tout de même un peu gênée.
- Mais non, mais eux, ça fait déjà longtemps que je les voie!
- Oui et alors? Est-ce pour cela une excuse? Qui est-ce?
- Ce sont trois cadres de l'usine. Il y a le chef comptable, le directeur de production et le directeur commercial. Un jour que je passais près de leur table avec mon plateau à la cantine, le chef comptable m'interpela par ces mots: « Oh, ma belle, est-ce qu'une jolie femme accepterait de partager la table de trois pauvres hommes esseulés? ». Flattée, je m'assis à leur table. Évidement, ils m'ont draguée. Le soir, ils m'emmenèrent boire un pot dans un troquet en Belgique et là, ça a dérapé, enfin, un peu: ils m'ont un peu touchée, pelotée. Puis un rendez-vous fut pris pour le samedi après-midi sur le parking du supermarché. Le chef comptable a un camping-car qu'il gare dans un garage en ville, alors il vient avec et voila! Et depuis Charles-Edouard, on a dû changer de jour et passer au dimanche matin.
Que répondre à cela? Tout lui semble normal, naturel!
Nous étions alors aux vacances de Pâques. Le samedi suivant, c'était le week-end où nous allions rechercher les enfants. Seulement, le vendredi soir, mon épouse m'annonça:
- Dis, tu peux aller rechercher les enfants seul ce week-end?
- Seul? Et pourquoi donc?
- C'est l'anniversaire de Charles-Edouard et il m'a dit que ça l'embêterait beaucoup de fêter cet évènement sans moi!
- Oui? Et bien moi ça m'embêterait beaucoup de partir dans les Ardennes sans toi! A ce que je sache, c'est avec moi que tu es mariée et pas avec ton Charles-Edouard?
- Oh, arrête! Ne fais pas l'enfant! De toute façon en quoi ça te gêne d'y aller seul? Ma présence ne t'apportera rien de plus! Et Charles-Edouard a préparé une petite fête, il tient simplement à ce que je la partage avec lui, c'est tout!
- Oui! Bon! De toute façon tu as déjà décidé à ma place! Je ne vois vraiment pas pourquoi tu me demandes l'autorisation pour une décision que tu as d'ores et déjà prise!
Et, bien entendu, le samedi matin je partis seul. En arrivant, je racontai une vague excuse à mes parents et à nos enfants pour justifier l'absence de Joss. Samedi soir, vers 20h30, je téléphonai mais les sonneries retentirent dans un appartement vide. Dimanche matin, à 8 heures, nouvel essai, même résultat. Tout comme à 16 heures avant de prendre le chemin du retour. Nous arrivâmes à l'appartement à 19 heures. Personne.
Ce n'est qu'à 20 heures qu'elle refit son apparition.
- Mais, où étais-tu? J'ai téléphoné trois fois!
Je commençai à en avoir assez à lui demander constamment où elle était!
- Ben, Charles-Edouard, sachant que j'étais seule, m'a invitée chez lui pour le week-end.
- De toute façon, c'était arrangé d'avance! Ne me dit pas le contraire, ce serait un mensonge de plus.
En fait, je connus toute l'histoire plus tard lorsque nous fûmes tous les deux, les enfants couchés.
- Lorsque je suis arrivée à l'hôtel, il m'attendait dans le hall. Il me dit alors que nous n'allions pas rester ici. Il m'emmena dans son pavillon qu'il possède à Marcq-en-Barœul, une belle et grande maison. Il me précisa que c'était une propriété familiale. Nous fîmes l'amour tout l'après-midi. Le soir, il m'emmena au restaurant, puis nous allâmes au théâtre Sébastopol où était programmée « La Veuve Joyeuse », une opérette en trois actes de Franz LEHAR
- Ouh là! Tu as dû apprendre ça par cœur, parce que je ne te savais pas adepte de ce genre de spectacle?
- Évidemment, tu ne m'y as jamais emmenée!
- Arrête Joss! Reconnais que si je t'avais proposé d'aller voir une opérette tu n'aurais pas été du tout emballée?
- Et bien, détrompe toi! Cela m'a plu. Charles-Edouard qui apprécie les arts, a dû deviner que ce genre de spectacle me plairait et il m'y a emmenée.
C'est bien connu, il n'y a que les autres qui font tout bien. J'étais écœuré devant tant de mauvaise foi.
- Et arrête de m'interrompre! Donc, après il m'emmena dans un club dans lequel il est membre et où nous fêtâmes son anniversaire avec un groupe de ses amis. Il m'a présentée à eux comme une amie très chère. Toute la soirée, il fut très prévenant à mon égard, me demandant fréquemment si tout allait bien, si je ne m'ennuyais pas? Je n'avais pas le temps de m'ennuyer, j'étais toujours sur la piste de danse, avec lui, avec ses amis. J'ai vraiment passé une excellente soirée.
Nous sommes rentrés à 5 heures du matin, j'étais crevée. Nous avons tout de même fait l'amour avant de nous endormir. Je me suis réveillée ce matin à 11h30, toujours un peu fatiguée tout de même. Un bon bain me remit en forme. Je pris un léger petit déjeuner avec lui qui avait trouvé le temps d'aller courir ¾ d'heures.
Puis nous fîmes l'amour avant qu'il ne me ramène à l'appartement pour me permettre de me changer. Après nous allâmes au restaurant, pour finir à l’hippodrome du Croisé-Laroche qui se trouve près de chez lui à Marcq-en-Barœul. Il me présenta de nouveau à des amis et nous avons passé un formidable après-midi en dégustant du champagne. De nouveau il fut très attentionné, me tenant la main, m'enlaçant par la taille. Il fut triste lorsque nous dûmes nous séparer en bas lorsqu'il me ramena.
Là, je compris, un peu tard, que j'avais toutes les raisons de m'inquiéter. Cette aventure prenait une tournure imprévue, ce n'était plus la même que celles qu'elle avait avec ses amants habituels. Aujourd'hui, elle était rentrée au bercail, c'est un fait, mais je pris conscience que j'allais devoir être très vigilent car, cette femme, j'étais en train de la perdre.
oooOOooo
L'épisode suivant se passa un samedi soir, au retour de Joss de Lille. C'était fin mai. A peine rentrée, elle me dit:
- Tiens, Charles-Edouard est muté à la Direction Générale à Paris. Il prend le poste d'adjoint au PDG. Normalement, dans deux ou trois ans, il devrait-être nommé PDG à son tour. Il part dans dix jours.
- Ah! Ça va compliquer vos rencontres!
- Ben, il y a le train. On en a discuté. Il va regarder les horaires et on verra samedi prochain. Évidemment, ça m'obligera à être absente plus longtemps le samedi.
- Oh! Tu sais, on se voit déjà si peu!
Elle vint alors près de moi et m'embrassa.
- Je sais mon pauvre chéri, mais je suis tellement prise.
Ça, je le savais, mais ce n'était tout de même pas de mon fait.
Mardi matin, nouvelle surprise!
J'étais à peine arrivé dans mon bureau que mon directeur de groupe m'appela au téléphone me demandant d'aller de suite le voir.
Tiens, que se passait-il?
A peine entré et s'être salué, il me fit asseoir et ferma sa porte.
- Ah! Didier, j'ai une sacrée nouvelle à t'apprendre!
Ce n'est tout de même pas la mutation de notre patron régional qu'il voulait m'annoncer de cette façon?
- Alors voilà! Je ne sais pas ce que tu as fait à notre directeur de région mais je viens de l'avoir au téléphone et me l'a confirmé par fax. Je te lis le texte: « proposer officieusement à monsieur D.R. le poste de directeur du sous-groupe d'agences de Paris XX. A cette occasion, il lui sera proposé le grade de cadre au coefficient XX. Sa mission consistera à animer l'équipe commerciale dont il aura la charge et à veiller à faire respecter les objectifs. Il devra loger dans le logement de fonction attaché au poste, ce dernier se situe dans le même immeuble que la direction du sous-groupe, il est composé de cuisine, salon, salle à manger, 5 chambres, bureau, 2 salle de bains, etc... et un garage individuel en sous-sol. Le loyer sera calculé selon la méthode dite de la surface corrigée. Sa réponse devra m'être donnée par téléphone demain, avant midi. » C'est tout, mais ce n'est déjà pas mal. Dans l'histoire tu prends quand même 2 coefficients! C'est incroyable. Et un poste en plein Paris! Je ne sais pas pourquoi il a pensé à toi, logiquement tu n'es pas encore sortant.
Oh! moi, je le savais pourquoi! Mon cher directeur, tu tomberais de haut si je te le disais. C'est ce qu'on appelle de la promotion canapé par personne interposée. Et mon épouse qui me disait que je n'avais qu'à lui demander de l'augmentation et bien, c'est fait, je l'ai. Et une belle augmentation encore!
- Ben, écoute, je suis confus. Mais ce n'est pas la peine que je réfléchisse cent sept ans. Tu peux lui dire d'ores et déjà que j'accepte.
- Tu n'en parles pas à ton épouse avant?
- Non, non! Elle sera d'accord, j'en suis certain.
- OK! Je vais l'appeler. Je pense que la proposition écrite officielle va t'être faite dans la semaine.
Et bien! Il n'a vraiment pas tardé pour mettre un plan en place. Quelle efficacité! Il est vraiment amoureux de ma femme cet homme là, jusqu'à se servir de son pouvoir pour la faire venir au plus près de lui et en s’asseyant, au passage, sur les règles d'éthique professionnelle les plus élémentaires. Mais je n'allais pas m'en plaindre, c'était une très belle promotion. Et en plus avec le logement qui m'évitait les transports en commun!
Le principe du loyer calculé sur la base de la surface corrigée était fait de manière à ce que tous les collaborateurs mobiles payent les locations au même prix du mètre carré, qu'ils soient en plein cœur de Paris ou en pleine campagne.
J'appris la nouvelle à mon épouse le soir en rentrant. C'est là qu'elle m'annonça que Charles-Edouard lui avait déjà dit samedi en lui faisant jurer de garder le secret.
Et bien, elle en était rendue à partager les secrets professionnels de son amoureux maintenant!
- Oui, mais je peux encore refuser!
- Ça ne va pas? Tu ne vas pas me faire ça?
En fait, elle pensait surtout à elle!
Les choses se firent rapidement. Deux jours après j'avais la proposition écrite, je confirmai mon acceptation. Je devais prendre mon poste fin juin.
Ça tombait bien, justement à la fin de l'année scolaire.
J'aidai mon épouse à rédiger sa lettre de démission. Les jours suivants furent très occupés avec la préparation du déménagement, le passage de consignes à mon successeur et aussi et surtout, les adieux de mon épouse à ses très nombreux amants. Là, elle allait faire de multiples malheureux, nostalgiques à jamais de son merveilleux corps. Cela me valut des absences répétées au cours de nombreuses soirées et sur une bonne partie des nuits suivantes. Il fallait bien consoler tous ces cœurs brisés! La pauvre, elle finit sur les rotules! En plus, s'y ajoutaient désormais ses déplacements les samedis à Paris pour voir son cher Charles-Edouard.
Fin juin, nous emménagions dans notre nouveau logement. Il était magnifique. Il formait un angle avec une grande avenue du centre de paris, moderne, bien équipé, fonctionnel, spacieux, toute la petite famille fut emballée.
oooOOooo
La semaine passée, j'étais déjà venu sur place pour me présenter au personnel que j'allais avoir sous ma responsabilité. J'avais demandé à ma future secrétaire de bien vouloir s'occuper des différents branchements de l'appartement, ce qu'elle avait fait avec beaucoup de gentillesse. Si bien, qu'à notre arrivée, tout était prêt pour nous recevoir.
A l'occasion de cette mutation, j'avais une semaine de congé prévue pour emménager. Le lendemain matin de notre installation, mon épouse m'informa qu'elle serait absente cet après-midi.
- Après-midi? Mais où vas-tu?
- Je vais retrouver Charles-Edouard. En fait il m'a dit qu'il avait loué un petit studio meublé pas très loin d'ici où nous allions désormais nous retrouver.
- Ben il ne perd pas de temps celui-là!
- N'oublie pas que c'est à cause de ça que tu es ici!
Et oui, la promotion canapé!
Le soir, en rentrant, elle m'annonça que son amant désirait la voir au moins trois après-midi dans la semaine ou peut-être en soirée, mais qu'il lui téléphonerait avant pour lui donner le jour et l'heure selon son emploi du temps et ses déplacements.
Alors là, je me demandai à quoi il était payé celui-là? A s'occuper des intérêts d'un grand établissement financier ou à batifoler avec une gourgandine?
Je comprenais que cette situation m'échappait de plus en plus et que dans cette relation adultère j'avais de moins en moins mon mot à dire et comptais de moins en moins.
Je pris réellement mes fonctions la semaine suivante. Le travail m'intéressa de suite. Je disposais d'une équipe efficace, sympathique. Surtout ma secrétaire que je remarquai immédiatement. C'était une jolie fille aux cheveux châtains mi-longs, de taille moyenne, aux formes appétissantes bien que plus modestes que celles de mon épouse. Ce qui frappait chez cette femme, c'était sa joie de vivre, toujours souriante, d'humeur égale, vraiment agréable à vivre.
Le matin nous prenions ensemble un café qu'elle-même préparait et nous pûmes nous découvrir l'un l'autre. C'est ainsi que j'appris qu'elle était de cinq ans ma cadette, qu'elle était divorcée depuis deux ans et qu'elle n'avait pas eu d'enfant avec son précédent mari. De plus, au travail, c'était une perle, rapide, efficace, travailleuse. J'étais comblé!
Dans la semaine mon épouse trouva tout de même le temps de s'occuper de l'inscription des enfants à l'école pour la rentrée prochaine. Les enfants, nous les avions emmenés dans les Ardennes pour deux mois à la fin de notre semaine d'installation.
Je fus très pris les semaines suivantes par mes nouvelles fonctions ce qui ne m'autorisa à prendre que deux semaines de congé sur la deuxième quinzaine d'août. Nous partîmes donc en Vendée avec les enfants pour de courtes vacances et nous rentrâmes sur Paris fin août pour la rentrée scolaire.
Nous reprîmes nos habitudes, sauf que je trouvai que quelque-chose avait changé dans mes relations avec Joss. Elle devenait de plus en plus distante, moins amoureuse, moins active dans nos rapports sexuels. Il arrivait de plus en plus souvent où elle se dérobait, prétextant des motifs futiles. Cela n'était jamais arrivé précédemment.
Fin septembre, un soir, je la trouvai assise à la table de la salle à manger. Manifestement il y avait quelque-chose qu'elle n'avait pas digéré vue la tronche qu'elle tirait!
- Cet après-midi j'ai vu Charles-Edouard.
- Ben oui? Et alors?
- Et bien, il m'a demandé quelque-chose!
- Ah?
- Promets-moi de ne pas te fâcher!
- ????
- Il m'a demandée en mariage!
- Il t'as demandée en mariage? Attends, c'est une blague? Tu sais que tu es déjà mariée?
- Ben oui! Mais il m'a dit de voir avec toi pour le divorce!
- Mais tu te fous de moi là! Divorcer? Et on devient quoi nous? Tu te souviens quand je t'ai menacée de divorcer à la suite de ton histoire avec Gérard? C'est exactement ce que tu m'as répondu: « Mais qu'est-ce que je vais devenir? ». A l'époque j'avais compris ta détresse et j'avais pardonné. Et maintenant que la situation est inversée, toi, aucune pitié, ton bonheur avant tout!
- Mais tu ne comprends pas! Je l'aime! Je l'aime à la folie! Je pense à lui le jour, je pense à lui la nuit, je pense même à lui quand tu me fais l'amour. C'est même pour ça que je me refuse parfois! Et lui aussi il m'aime! A chacune de nos rencontres il me crie, il me hurle son amour. C'est impossible de continuer ainsi, nous ne pouvons pas vivre séparés lui et moi. Il m'a dit de te dire que pour le divorce je ne réclame rien. Je te laisse l'entière propriété du chalet dans les Alpes et de la maison en Vendée. Je prends mes affaires personnelles et c'est tout.
- Et tes enfants? Tu en fais quoi?
- Ah, les enfants! Je ne peux pas les prendre, sauf quelques week-ends et une partie des vacances! Si ça ne te dérange pas?
- Mais tu t'en fous de ce qui m'arrange ou pas! Ma pauvre Joss, tu as toujours été une égoïste, une personne qui ne pense qu'à toi! Ton bonheur d'abord et avant tout, ton plaisir, par tous les moyens même au risque de faire mal à ceux qui t'aiment, ceux-là justement pour lesquels tu t'en fous et contrefous. C'est pas aujourd'hui que tu vas changer. J'ai bien vu que tu te détachais de moi depuis plusieurs mois. Depuis que tu as rencontré ton Charles-Edouard en fait. Tiens, d'ailleurs, si je lui envoyais le dossier d'Aline, tu te souviens le dossier avec les belles photos? Comment crois-tu qu'il le prendrait ton Charles-Edouard de voir que sa dulcinée n'est qu'une vulgaire putain?
- Salaud! Salaud! Tu n'as pas le droit!
- Alors là, tu es gonflée! Toi tu t’arroges le droit de me faire mal, de me détruire, de priver tes enfants d'une mère et moi je ne peux pas me défendre?
- Et tu crois que c'est en agissant comme cela que je vais revenir vers toi? Que je vais oublier cet homme que j'aime? Et qu'ensuite je vais de nouveau t'aimer? Tu ne feras que détruire des vies et pour toi, le résultat sera le même, tu m'auras de toute façon perdue.
Je repris mes esprits et compris que c'est elle qui avait raison. J'aurais dû intervenir beaucoup plus tôt. Mais, en réalité, quelle influence a-t-on sur le destin? Cette fois, c'était bel et bien fini. Cette page était à tourner définitivement.
Je lui demandai de me laisser le temps de me retourner car si elle partait il fallait que je trouve quelqu'un pour s'occuper de la maison et des repas, mon emploi du temps ne me permettait pas d'assumer ces tâches. Pour les enfants, j'avais la nounou toute la semaine, j'allai voir s'il ne fallait pas qu'elle vienne aussi le samedi matin car, souvent, j'allai au bureau le samedi matin.
Je ne fis plus jamais l'amour avec Joss. Le soir même je couchai dans la chambre d'ami, j'y couchai trois nuits, le temps d'arranger mes problèmes domestiques. La plupart du temps elle partait le rejoindre dans leur studio une fois les enfants couchés, elle ne rentrait que tard dans la nuit.
Le quatrième jour Joss partit définitivement s'installer dans l'hôtel particulier de son amant, demeure familiale qu'il possédait dans une banlieue huppée de l'ouest de Paris. Elle n'emporta que ses vêtements et affaires personnelles.

ÉPILOGUE
Les choses s'accélérèrent. Le divorce fut rapidement prononcé grâce à l'active efficacité et aux relations de mon rival. Les conditions furent bien celles qui avaient été décidées: je gardai la pleine propriété des biens immobiliers et des dépôts sur les comptes joints. Amère consolation.
J'appris quelques mois plus tard le remariage de Joss. Je lui souhaitai bien du bonheur et bien du courage à son futur mari qui ne se doutait pas dans quel guêpier il venait de mettre les pieds. Elle avait atteint ce à quoi elle rêvait et faisait partie, maintenant, de ce qu'on appelait le « gotha ». Que les femmes de ce milieu privilégié surveillent bien leurs maris, une dangereuse prédatrice venait de pénétrer dans leur monde. Nul doute qu'elle allait y faire des ravages!
De mon côté, je dois convenir que je traversai alors de durs moments. L'absence de Joss me pesait, je connus des moments de découragement, de tristesse infinie. De plus, j'avais du mal à répondre aux interrogations de mes enfants.
Je compensai par le travail, j'y trouvai un dérivatif, je m'y consacrais à 100%. Et j'avais Martine, ma secrétaire, que j'avais informée de mon infortune. Elle m'apporta un soutien sans faille.
 Au fil du temps, je me rapprochai de plus en plus de cette femme, je la découvris sous des jours nouveaux et m'aperçus bien vite que c'était un être qui se trouvait aux antipodes de ce qu'avait été Joss. Toujours attentive, elle vivait dans le respect de l'autre, évitant de blesser qui que ce soit dans ses relations professionnelles.
Et un beau jour, je me lançai. Je l'invitai à dîner un samedi soir. Elle accepta avec enthousiasme.
Et nos sorties se multiplièrent, repas, sorties en boîte, au cinéma, au théâtre. Et arriva ce qui devait arriver: on finit un beau soir dans mon lit. Ce fut extraordinaire, nos deux corps se trouvèrent de suite, nous eûmes tous les deux les gestes justes, les mêmes envies.
Si bien que nous ne nous quittâmes plus. Elle m'avoua alors qu'au fil du temps elle m'avait apprécié de plus en plus, reconnaissant qu'après quelques mois à m'avoir côtoyé au travail, un autre sentiment plus fort l'avait envahie et que je ne l'avais jamais rendue plus heureuse que le jour où je l'avais invitée à dîner. Je la présentai à mes enfants. Ils l'appelèrent Martine.
Après quelques semaines elle dénonça le bail de son appartement, récupéra quelques affaires personnelles, liquida ses meubles et s'installa définitivement dans notre appartement, sa nouvelle famille. Elle avait tout de suite adopté les enfants et en retour, les enfants lui rendirent bien.
Nous nous présentâmes mutuellement nos familles Je vis tout de suite qu'elle plut à ma mère qui avait toujours exprimée une certaine réserve vis à vis de Joss. Ma mère qui avait reçu une éducation stricte, trouvait qu'elle s'habillait de façon trop provocante, découvrant trop largement ses cuisses et sa poitrine.
Six mois plus tard, je lui passai la bague au doigt.
Un an plus tard, elle accoucha d'une merveilleuse petite fille; Chloé.
Martine ne reprit jamais son travail car au terme d'un congé sans solde qu'elle prit pour élever notre fille et s'occuper de mes trois enfants, j'avais été muté comme Directeur de Groupe dans la région Centre à Tours et il m'était interdit d'employer mon épouse, cela ne se faisait pas...
Trois ans et demi plus tard, je fus nommé Directeur d'un Groupe plus important dans l'Est à Strasbourg. J'ai terminé ma carrière comme Directeur de la Région Nord Pas-de-Calais. Donc dans le fauteuil qu'avait occupé Charles -Edouard.
La boucle était bouclée.
Aujourd'hui nous sommes tous les deux en retraite. J'ai racheté la maison de mes parents dans les Ardennes. Ils sont décédés tous les deux depuis quelques années. Si bien que nous partageons notre temps dans les Ardennes, en Vendée et à la montagne. Nous avons repris la succession de mes parents: nous gardons nos petits enfants durant les vacances scolaires.
Et Joss allez-vous me dire?
Oh Joss! J'avais de ses nouvelles du temps où j'étais en activité. Tout au moins dans les débuts de notre séparation lorsqu'elle venait chercher les enfants. Puis ses visites s'espacèrent et comme, de mon côté, je ne la relançai pas pour qu'elle les prenne, elles devinrent de plus en plus rares. Et les enfants s'entendant parfaitement avec Martine, pour eux ils avaient une vraie famille et ils s'éloignèrent insidieusement de leur mère biologique.
J'étais persuadé que cette situation l'arrangeait en fait. Donc les enfants continuèrent à aller en vacances dans les Ardennes, du moins jusqu'à leurs 14-15 ans, puis ils vécurent leur âge d'adolescents, puis d'étudiants, etc...
Aujourd'hui ce sont de jeunes adultes, ils ont réussi de bonnes études et ont un bon métier. Quoique, sur ce dernier point, je suis tout de même redevable envers Joss qui leur a donné un bon coup de main en faisant jouer ses nombreuses relations.
Car, évidemment, des relations, elle en a, mais je pense aux relations spéciales, les extraconjugales. J'en veux pour preuve la conversation que nous avions eue à l'appartement à Paris un jour où elle était venue rendre visite à notre garçon qui était malade. Martine était sortie faire des courses. Incidemment, au moment où elle allait partir, je lui avais demandé:
- Et ta vie sexuelle annexe, tu en es où aujourd'hui?
- Tu me connais trop pour savoir que je ne peux pas changer. J'adore mon mari, mais de la même façon que je t'adorais, toi, à notre époque. Actuellement, j'en suis à gérer cinq studios. Cela devient un problème d'organisation.
- Ah! Quand même? Pour louer un studio, ce sont des hommes aisés alors?
- Ben oui! Des hommes politiques, mais hauts placés! Tu ne peux pas savoir comme ils sont friands de sexe ces hommes là! Je suis continuellement sollicitée. A se demander quand ils s'occupent de leurs affaires!
- C'est effectivement bien connu. Mais ton mari ne se doute de rien?
- Ben, je ne pense pas! Je fais attention! Surtout qu'il y a des hommes qui lui sont proches!
- Ah, tu ne changeras jamais, toujours à jouer avec le feu.
- Tu sais, si tu veux, on peut se retrouver dans un studio toi et moi. Il suffit de nous accorder sur le jour et l'heure. Ça nous rappellera le bon vieux temps!
- Ah, n'y compte pas, même pas en rêve! Je suis très heureux avec Martine et elle me suffit!
- Mais ça n’empêche pas. Un peu de plaisir ne fait de mal à personne.
- Oui, allez, arrêtons là cette discussion! Cette vie là n'est pas faite pour moi! Au-revoir!
Par contre, j'ai eu par la suite confirmation que, contrairement à ce qu'elle pensait, son mari n'était pas aussi naïf qu'elle le croyait.
En effet, lorsque je fus nommé à Strasbourg, son mari était alors PDG de la Banque et les Directeurs de Groupe étant nommés en conseil d'administration sur proposition du PDG, il était donc normal que je me fende d'un coup de téléphone pour le remercier.
Téléphoner à cet homme pour lui adresser mes remerciements aurait pu me faire mal au ventre, mais ma vie avec Martine était si heureuse que la page était alors définitivement tournée.
Au terme de la conversation, je lui demandai, par politesse, des nouvelles de Joss.
- Ah Joss! Joss! Justement, pendant que je vous ai et vous qui l'avez bien connue, dites-moi franchement si vous arriviez à « maîtriser » cette femme, si vous voyez ce que je veux dire?
- Je vois très bien ce que vous voulez dire et pour vous répondre franchement, si je l'avais « maîtrisée » comme vous dites, croyez-vous qu'elle serait avec vous actuellement? Et croyez moi, il n'y a pas qu'avec vous que je n'arrivais pas à la « maîtriser »!
- Merci de votre franchise. Manifestement, je rencontre le même problème. Allez, merci et bonne chance dans votre nouveau poste.
Enfin, pour terminer, comme je vous l'avais promis dans un de mes commentaires sur l'épisode N°2, je vous donne, ci-dessous, l'adresse d'une photo « sexy » de mon épouse. Ainsi, même si vous ne pouvez pas mettre de visage, vous aurez une idée précise de la physionomie du corps de cette femme qui a aimé et qui aime encore tant les hommes et les relations sexuelles de toutes natures.
http://idata.over-blog.com/2/69/07/62/Histoires/Epouse.J.jpg 
Cette photo, je m'en souviens très bien, je l'ai prise au tout début des années 80, un dimanche après-midi et, pour celles et ceux d'entre vous qui connaissent, dans le parc Barbieux à Roubaix.
Cet après-midi-là, nous avions fait plusieurs photos coquines, dont certaines bien plus osées que celle que je vous présente, sur ce banc et dans les fourrés que l'on aperçoit derrière pour être à l'abri des regards indiscrets. En effet, sur cette photo, comme souvent, elle n'a pas de sous-vêtement donc pas de culotte, alors je vous laisse deviner ce que j'entends par «photos plus osées ».
Elle aimait se promener « cul nu ». Lorsqu'une fois je lui en fis la remarque, nous eûmes la conversation suivante:
- Oui! J'aime ça! J'adore sentir les courants d'air caresser mon intimité.
- Oui mais avec tes jupes plus ou moins courtes, lorsque tu t'assoies tu risques fort d'en montrer un peu plus que prévu!
- Mais c'est pas grave! Je ne ferai que distribuer un peu de bonheur autour de moi!
- N’empêche, tu joues avec le feu! Un de ces jours, tu finiras par te faire violer!
- Violée? Moi on ne me viole pas, on ne fait que me donner du plaisir!
Elle est comme ça Joss, tout au moins c'est comme ça que je l'ai connue. Mais nul doute qu'elle n'a pas changé.
Comme Gérard me l'avait indiqué au début de cette histoire, il serait vain de croire qu'elle pouvait-être la femme d'un seul homme et bien naïf serait celui qui pourrait le penser, son appétit sexuel est bien trop énorme. Seul peut-être le grand âge la rendra plus raisonnable.
Mais aujourd'hui, à 65 ans, je suis certain qu'elle fatigue encore autant de bonhommes. D'autant que, d'après ce qu'à pu m'en dire notre fille qui la voit de temps en temps, bien qu'elle se soit un peu enrobée au fil des ans, elle reste néanmoins une femme très séduisante.
Connaissant le soin qu'elle prend à entretenir son corps, je n'en suis pas étonné. D'autant que maintenant, avec la chirurgie esthétique, il est facile de conserver une apparence d'éternelle jeunesse. Seul l'âge de ses partenaires a peut-être changé, elle doit, maintenant, taper dans les jeunots, fiers de sauter une jolie bourgeoise.
Voilà, c'est fini, vous connaissez maintenant l'histoire d'une grande tranche de ma vie. Cette histoire, je vous le rappelle, repose sur des faits pour la plupart véridiques. En particulier tout ce qui s'est déroulé dans notre appartement de Roubaix est réel, ainsi que la partie de chasse, du moins c'est comme cela que Joss me l'a relatée, également toutes les frasques de mon ex-épouse.
Je ne regrette pas cette partie de ma vie, bien que ce n'ait pas été facile à supporter tous les jours et que la séparation fut pénible, mais je ne suis pas mécontent non plus d'en être sorti.
D'autant que ma vie actuelle, c'est le bonheur parfait. Mais cette vie là, impossible de vous la raconter.
Vrai ou faux c'est une superbe histoire non?

Brèves de mecs.

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Trois expériences de mecs
Des découvertes de soi.... Et des autres.
Bonnes ou moins bonnes...
Bandantes....


Mon ami Paul
Auteur : Jilli
Mon meilleur ami s’appelle Paul, nous nous connaissons depuis l’adolescence. Nous avons actuellement la quarantaine et nous sommes partis cet été là en vacances avec nos femmes dans un pays exotique. La situation politique n’y était pas entièrement sécurisée pour les touristes, ce qui ne nous empêcha pas lors d’une randonnée en 4/4 de sortir des sentiers battus.
Nous n’aurions jamais dû faire ceci car après nous être perdus, nous fûmes arrêtés par un groupuscule qui décida de nous retenir en otages. Nous croyions fermement en notre bonne étoile et pensions que cela ne durerait pas longtemps, ce qui s’avéra être exact. Nous étions à peu près correctement traités jusqu’au jour où l’un des chefs, qui nous tournait autour depuis un moment, vint dans notre cellule avec plusieurs hommes. Nous ne comprenions rien bien sûr à ce qu’ils disaient mais nous sentions la tension monter. L’un d’eux s’approcha de la femme de Paul et lui arracha la mince tenue qu’elle portait. Nous comprîmes alors le danger. Nous n’eûmes pas le temps d’aller prendre sa défense qu’on nous emmenait de force avec Paul dans un autre local.
Ce dernier fut poussé sans ménagement sur une table où il fut plié en deux. Le chef défit alors le pantalon de mon ami, exhibant ainsi son cul et je compris alors qu’ils voulaient que j’encule Paul. Menacé par une arme, je m’approchai sans parvenir à bander. Des renforts étaient arrivés pour nous contraindre. Un des hommes me prit par le visage et me força à ouvrir la bouche où il jeta une sorte de pilule qu’il me fit avaler. Les effets furent très rapides, je sentis une chaleur dans mon bas-ventre et ma bite se mit à durcir. Un autre me prit le sexe et le présenta devant l’orifice qui m’attendait. Ses cuisses et ses fesses musclées étaient fermes et couvertes de poil et chose étonnante, un début d’excitation me prit que je mis sur le compte du remède. Je crois que j’aurais pénétré n’importe quel trou et je m’enfonçai dans les chairs de mon copain.
Je l’ai ramoné plusieurs minutes, j’avais l’habitude de sodomiser ma femme et j’avais l’impression d’avoir les couilles très pleines. Pendant ce temps, le chef avait commencé à se branler juste devant le visage de Paul. Au bout de quelques instants, je jouis abondamment d’une façon que je n’avais jamais connue pendant que mon ami recevait plusieurs rasades particulièrement épaisses du sperme de notre geôlier sur la figure. Elles lui coulaient du front sur la joue, il en avait sur les lèvres et un autre homme s’amusa à lui étaler la semence.
Je fus retiré prestement du cul qui m’avait accueilli et on s’apprêtait à me mettre dans la position inverse pour que je connaisse à mon tour la sanction quand un cri strident retentit à côté. Les hommes nous laissèrent et nous eûmes la satisfaction de voir les forces de l’ordre venir nous libérer. Nos femmes n’avaient rien subi. Quant à Paul je compris qu’il avait été extrêmement choqué. Malgré notre amitié et bien que voisins proches, nous cessâmes presque entièrement de nous voir ce que tout le monde mit sur le compte de l’événement. Paul, tout comme moi, n’avait rien révélé de l’incident à qui que ce soit, même nos femmes.
Une année passa puis ce fut à nouveau l’été, sans projet de vacances communes. Et puis un soir du mois d’août, Paul m’invita à venir voir chez lui la reprise du championnat de France de foot. C’était sa femme qui lui avait suggéré, me dit-il, avant de partir le week-end chez sa mère avec leurs enfants. De mon côté ma femme était partie aider ma fille à emménager.
Arrivé chez Paul, je vis qu’il était tendu. Nous regardâmes le match assez tranquillement par rapport aux temps anciens. Une fois qu’il fut terminé ainsi que la magazine qui suivait, il y eut un temps mort. Je commençai à me sentir mal à l’aise et je me levai pour partir. Paul fit de même puis dans un souffle, il me dit qu’il pensait sans arrêt à ce qui nous était arrivé l’an dernier. Une fois ces mots dits, il se serra contre moi en m’enserrant dans ses bras. Je crus qu’il pleurait mais sentir son corps ferme contre le mien me donnait des picotements. Je revoyais alors ses fesses musclées. Moi aussi j’y avais pensé et repensé, et pas toujours sans excitation.
Il releva la tête pour me regarder dans les yeux et je vis alors qu’il n’y avait aucune larme mais de la lubricité. Paul me dit qu’il voulait recommencer. Je lui répondis sans réfléchir que je n’en avais pas envie. Il me traita de menteur et d’un coup, il me saisit la bite dans mon pantalon. C’est vrai que je bandais. Il me souffla qu’il avait envie de ma queue en lui tout de suite et me prit par la main. Le pire, c’est que je me laissai faire!
Une fois arrivés dans sa chambre, il se déshabilla. Son corps d’homme mûr était très séduisant. Il s’entretenait et il était magnifique, du muscle sans exagération, pas de graisse mais de la chair ferme et virile, pas encore touchée par l’âge. Il s’allongea sur le lit, sa bite circoncise était en semi érection; il se la touchait d’une manière qui m’excitait, je n’aurais jamais cru cela possible. Il prit une télécommande et un film porno gay apparut à l’écran. Plusieurs bandes-annonces se succédèrent. Paul se branlait doucement en me faisant signe de le rejoindre. Il se retourna sur le ventre et commença à onduler du bassin sur son lit les jambes écartées. L’appel était irrésistible! Je me déshabillai et m’allongeai à ses côtés.
Le problème était que je ne savais pas comment prendre en main les opérations. Il commença à me branler, mon sexe fut rapidement dur comme de la pierre. Je m’allongeai alors sur lui et pour faciliter la pénétration, je passai mon bras sous le ventre pour le soulever un peu. J’entrai petit à petit pour la seconde fois. C’était à la fois pareil et différent de la première. Paul gémissait et je sentis ma main qui était restée sous lui devenir humide. Il avait joui dès les premiers instants où je l’avais pénétré. L’excitation me monta à la tête et je me mis à le pilonner; il gémissait comme une chienne en chaleur. Je l’écrasai contre le lit en lui assénant trois bons coups de rein dont le dernier fut suivi par mon éjaculation.
Ç’avait été grandiose!
Il me proposa de prendre une douche avec lui, ce que j’acceptai. Rapidement, à coup de savon, nos deux queues se redressèrent fièrement et il me demanda de recommencer. Je m’exécutai. Quand je lui dis que j’allais à nouveau venir, il me fit me retirer et très rapidement, il se retourna en se positionnant à genoux devant moi. Il voulait que je lui éclabousse le visage. Je m’exécutai.
ne fois remis de nos émotions, nous retournâmes dans sa chambre. Le film défilait toujours. J’eus la surprise de constater que c’était une vidéo amateur sur laquelle je pouvais distinguer Paul, dans notre club de sport en train de se faire mettre par deux mecs en même temps, deux personnes que je connaissais bien d’ailleurs. Mon ami m’avoua que le voyage avait été une découverte et il me proposa de continuer ainsi...

Larvé par mes potes
À 17 ans, j'avais une bande de camarades de tous poils un peu zonards mais on s'entendait bien jusqu'à ce qu'un jour de juin, aux premiers jours de vacances je me suis retrouvé à me baigner avec eux et qu'ils commencent à déconner, à tirer sur les maillots pour les faire glisser. Très timide de ce côté-là, je m'étais planqué dans un petit creux de rocher en attendant qu'ils arrêtent quand un des potes m'a découvert et surtout, a vu que je les matais en douce, la main dans le maillot.
— Hé, hé ! Petit vicelard ! Tu aimes voir mais t'as la frousse qu'on voit que tu bandes ?
Il m'a chopé par le cou jusque devant les autres à qui il a tout raconté. Ils m'ont baissé le maillot, ont rigolé de voir ma petite teub débandée mais encore baveuse. J'ai crié mais eux rigolaient, me traitaient de fofolle, de pédé, de refoulé. Le plus excité m'a passé les doigts entre les fesses. Il me frottait, j'ai pas pu m'empêcher de bander comme un fou en leur criant d'arrêter. Mais plus je criais et plus eux s'excitaient, ils voyaient bien que je bandais et j'étais pas le seul.
— Allez, tu suces un mec et on te laisse tranquille.
— Vous êtes fou ! J'ai jamais fait ça moi.
— Bah faut bien commencer, allez choisi !
Ils ont tous baissés leurs maillots, rigolards. J'avais le mien au bas des cuisses sinon je me serais échappé en courant ! J'ai fait non de la tête mais y en a un qui m'a tiré sur sa queue.
— Suce moi puisque t'arrive pas à choisir !
Il avait encore la queue humide de flotte mais il me la plaquait sur la bouche !
— Allez ouvre-la et suce!
J'ai fini par ouvrir la bouche dessus.
— Allez resserre les lèvres! Suce bien! Pompe-moi, je veux sentir ta langue sur mon gland!
J'avais la honte devant tous les potes mais je bandais quand même. J'ai aspiré son sexe, branlé avec mes doigts, il gémissait.
— Oui mec!!! Tu fais ça bien! T'es doué!
Il grognait. Il m'a attrapé le visage et sa queue a eu un sursaut en m'envoyant son jus. Je me suis reculé mais j'en ai pris plein le visage. Ça a donné des envies aux autres.
— Reste à genoux!
Ils ont commencé à se branler les uns après les autres sur moi. J'ai fermé les yeux, mais je crois qu'ils ont tous joui sur mon visage. Ils m'on retiré mon maillot et m'ont foutu à l'eau.
— Va te laver, pédé !
Ils attendaient sur le bord. Quand j'ai été fatigué, je suis sorti, j'avais froid, ma queue avait dégonflé.
— Bon, reviens demain...
Ils se sont barrés, j'ai découvert mon maillot tout gluant et découpé entre les jambes! Les salauds! J'ai remis mon fute direct et suis rentré comme ça.
Le lendemain, il faisait aussi chaud et c'est un des potes qui est passé me chercher. Ma mère était là, je pouvais pas lui expliquer pourquoi je ne voulais pas aller me baigner!
— Allez-y les enfants, j'ai encore du travail.
J'ai mis mon ancien maillot et mon jean pour suivre mon pote.
— Faites pas les cons cette fois ok!
— Mais non! Allez, dis pas que t'as pas aimé! Viens par-là, on a trouvé un autre endroit plus cool.
Je l'ai suivi, méfiant quand même et ça a pas raté, ils me sont tombés dessus.
— Aller la fiotte, à poil!
Ils m'ont dessapé, ils me tenaient en croix, je me débattais mais contre 8 mecs, je pouvais rien faire. Un des plus grand est passé entre mes cuisses, a mis un truc gras entre mes fesses et a forcé. J'ai gueulé mais son doigt était bien planté, il me lubrifiait l'anus.
— Bouge pas comme ça! Tu finiras par aimer comme les filles que j'ai eues par le cul!
Il a enfilé une capote et j'ai senti sa queue forcer mon conduit. J'en chialais mais ça l'a pas arrêté. Il a été bien au fond de moi et a commencé à limer mon trou. De la main, il caressait ma queue. Je couinais mais j'ai assez vite changé de ton, de cris.
— Bien! Tu vois! T'es fait pour la bite des mecs, toi.
J'avais pas trop vu son sexe, il me ramonait comme il avait dû ramoner une fille.
— Les mecs, je crois que Manu aime ça! Et bien en plus! Il fait pas semblant! Lachez-lui les pieds, tenez encore ses poignets.
Je couinais. Il a mis mes mollets sur ses épaules, il me donnait de grands coups de queue.
— Allez, dis-moi que t'aimes ça la bite des mecs! Dis-le, petite salope!
Je pouvais pas lui mentir, je le sentais bien en moi.
— Oui ! Ça fait du bien!
Il a rigolé.
— Bon, je vois que t'as compris, tu viendras chaque jours nous vider les couilles, comme on voudra! Ok Manu?
— Oui ok.
Il s'est retiré, a enlevé la capote, m'a joui sur les couilles.
— Allez, branle toi! Montre que t'as aimé!
J'ai pas trop hésité et je me suis branlé, envoyant mon jus loin sur moi.
— Bon demain tu suceras un autre en même temps que tu en auras un dans les fesses! On va faire de toi notre salope de vacances.
Bon une fois ok, je peux pas dire que j'avais pas aimé mais là, il allait loin! Il a pris mon vieux maillot pour s'essuyer la queue. Il m'a vu fixer sa queue, surpris. Elle n'était pas si grosse que je l'avais cru dans mes fesses.
— Et si tu t'en prenais une autre de suite, pour voir si t'es vraiment comme je crois : une bonne lopette? Choisis! Regarde et choisis celle que tu vas satisfaire!
Les salauds étaient tous raides, se branlaient doucement. J'ai approché d'une autre bite, juste un peu plus longue, me suis agenouille devant, je l'ai tétée comme un veau et il s'est allongé. Je suis monté sur lui, j'avais encore l'anus lubrifié et il est entré sans problèmes. Je l'ai laissé donner ses coups de reins en moi, je bandouillais doucement. Il s'est retiré juste au moment où il a lâché son jus, m'a arrosé le cul avec.
— Bon je vois que t'y prend goût! Mais tu sais les vacances sans fric c'est pas évident! Demain, c'est moi qui passe te chercher, mets qu'un petit short, tu vas nous rapporter un peu de blé pour qu’on puisse rigoler ensemble! Nous on te saute pour le fun, là il faudra le faire pour le fric! Allez, à la flotte les mecs.
Il faisait vraiment chaud, j'ai sauté dans l'eau, nu. Je me suis tâté la rondelle, bof, pas si terrible que ça! Même plutôt bon.
Dommage que je sois hébergé par un râleur!


Lopé par mon pote
Auteur : Manuel
Bonjour. J'ai eu cette expérience il y a 3 ans et j'ai depuis été forcé de déménager. Vous allez comprendre pourquoi...
Je vivais tranquillement ma vie de jeune homo sans trop de problèmes. J'étais assez mignon pour faire le choix de mes mecs de rencontre et tout allait bien jusqu'à ce qu'une sorte de vague à l'âme me pousse à essayer une expérience de vie commune avec un jeune mec superbe, dont les goûts se rapprochaient très fort des miens. Tour à tour, nous jouions les passifs soumis ou les actifs domis et il avait un léger avantage question taille de son sexe, mais pas de beaucoup.
Un vendredi où je suis rentré du taf, il m'attendait en string noir, allongé sur le canapé, et j'ai foncé sous la douche, la journée ayant été chaude. Je suis revenu nu et me suis collé à lui tout excité, le forçant à se mettre en grenouille pour que je me frotte la queue contre son string qui n'a pas tardé a déborder. J'ai soulevé son bassin pour m'attaquer à ce qui dépassait ; dans cette position, j'avais le gland qui frottait sa rondelle et la ficelle du string.
— Attends! J'aime bien quand tu prends ton temps!
Il était gentil mais je venais de me taper une journée de taf et j'avais envie ! Là, de suite! J'ai un peu repoussé la ficelle et j'ai poussé entre ses fesses. Il a commencé à onduler pour que je le pénètre bien. Tout en le suçant, j'ai limé son petit cul doucement, alternant les coups très doux et les coups secs et rapides dans ses reins. Ce petit salaud adorait ça sans problème, je me suis retiré pour lui gicler sur les fesses.
À ce moment-là, d'habitude, il prenait l'initiative, ce qui n'a pas manqué.
— Mets-toi sur le dos, je vais te mettre la barre entre les pieds que tu restes bien les fesses écartées!
Il m'a mis des menottes de chevilles et a installé la barre.
— T'aimes ça te faire dominer?
— Comme si tu le savais pas!
Il m'a roulé une pelle en me mettant le collier et a attaché l'anneau du collier au centre de la barre. Il avait raccourci la chaîne et j'étais recourbé en avant, les fesses grandes ouvertes. Il a attaché chacun de mes poignets aux montants du lit.
— Tu sais, comme ça t'es vraiment à disposition!
Il a été chercher le gode de nos jeux érotiques, me l'a fait sucer et saliver dessus avant de l'introduire dans mes fesses. Il jouait avec moi et mon cul comme j'aimais et je bandais à fond.
— À moi maintenant!
Il a retiré le gode et s'est introduit dans mon trou, me fixant dans les yeux. Y a pas de doutes, il savait ce que j'aimais et j'ai commencé à haleter sous ses coups de reins de plus en plus longs et violents.
— Tu aimes ça ma queue dans le cul!
Il était en sueur de me sauter, sûrement pas loin de jouir quand ça a sonné à la porte d'entrée.
— Merde! Attends, je vais voir.
Il a enfilé un peignoir et est allé mater par l'œilleton de la porte. Il est revenu fermer la porte de la chambre pour aller ouvrir. Ça doit être des jeunes pour une quête!
— Bouge pas.
J'ai souri, de toute façon je pouvais pas bouger comme ça!
Il leur a ouvert, j'entendais à travers la porte, effectivement les voix étaient toutes jeunes.
— C'est pour la kermesse de l'école, pas besoin de donner grand-chose mais vous êtes invités comme tous ceux qui donnent quelque chose.
Il a rigolé.
— Je suppose que les dons en nature sont pas autorisés?
— Heu non m'sieur.
— Bon attendez, je vais voir ce que je peux vous donner.
Il a ouvert la chambre, est venu fouiller dans mes poches, pas gêné, il m'a souri. Et j'ai eu la honte de ma vie! Dans la glace de l'armoire, je voyais un des jeunes qui me fixait! Mon pote est retourné lui donner un peu de fric, il a vu que le jeune se tripotait à côté de son pote! Il s'est retourné, m'a souri dans la glace.
— Ha, c'est ça qui vous gêne?
— Non non.
— Vous avez jamais vu de soumis homo attaché?
— Heu non.
— Bah il vous mordra pas! Venez voir.
Il est revenu vers moi et a ouvert le peignoir.
— Tu mords pas les bites hein?
J'ai grogné un non.
— Allez, montre leur comme t'aimes la queue! Suce-moi!
Il a avancé sur mes lèvres et je l'ai sucé, je bandais comme rarement j'ai bandé! À en avoir mal. De temps en temps, je les apercevais qui se branlaient à travers leur poche.
— Vous gênez pas les mômes! Sortez-la plutôt que de vous branler dans vos poches! Il va pas vous manger! Quoique si vous avez envie, il suce bien !
Les jeunes ont sorti leur bites du froc, sûr que c'était pas encore immense mais bon, déjà bien raide!
— Approchez! Vous pouvez le toucher où vous voulez. Il peut rien faire et en plus ça l'excite!
Il a fait claquer ma bite sur le ventre.
— Matez un peu ce cul! J'étais en train de m'en occuper quand vous avez sonné! Ça vous tente pas? Y a des capotes dans la table de nuit. Vous gênez pas!
Il a retiré sa queue de ma bouche.
— T'as envie hein? Des bites toutes neuves pour toi!
J'ai grogné un oui et il m'a remis sa queue à pomper. Le plus vieux a palpé mes couilles et ses doigts sont passés sur mon trou. Visiblement, il avait envie mais hésitait. Le plus jeune a chopé sa queue, l'a branlée.
— Vas-y! Encule-le, que je te vois faire!
Cette fois il a mis une capote et s'est planté dans mon cul. Bien plus fin que mon pote, il est entré tout seul à fond. Mon pote se faisait pomper cool, m'a chopé la queue, l'a branlée. Il tirait à fond sur le prépuce et le remettait en place, un peu comme on traie une vache.
— Mate ça! Il adore se faire mettre par des mômes! Dès que ça bande, il a envie de la bite!
Le plus jeune matait de tout près, et mon pote lui a laissé ma queue.
— Vas-y, branle la!
Je pompais mon pote en poussant des gémissements. C'est vrai que j'aimais ça! Et d'être comme ça à leur merci n'a pas tardé à faire jaillir mon foutre sur mon ventre. Tout s'est enchaîné, mon pote dans la bouche et sur les lèvres, et le mec dans mes fesses, dans la capote. Le plus jeune lui a attendu un peu et s'est juste branlé devant ma gueule ouverte pour m'asperger le visage de son jus de mec.
Ils sont sortis avec mon pote.
— Alors les mecs? C'est pas mal une lope comme ça non?
— Oui évidemment, heu, on peut... et il a chuchoté à l'oreille de Marc qui a éclaté de rire.
— Bien sûr! Bonne idée! Ok.
Il les a fait sortir, est revenu me voir, tout sourire.
— T'as pris ton pied hein?
— Oui j'ai bien aimé.
— Ok tant mieux!
Il m'a détaché et m'a repris, encore tout excité, comme moi, et on a joui encore.
Pendant 15 jours j'ai pensé de temps en temps à ce petit mec et il était devenu un de mes fantasmes de branle quand je me branlais seul sous la douche. Sauf qu'un soir, en rentrant, mon pote m'attendait avec une enveloppe à la main.
— Tiens! Lis, j'ai trouvé ça dans la boîte aux lettres.
— Mais! C'est une invitation pour une kermesse?
— Ben oui, tu te rappelles les minets?
J'ai piqué un fard, oui évidemment!
— On est invité tous les deux. Et regarde au dos.
J'ai tourné et j'ai lu écrit à la main: Y'a des potes qui ont besoin d'une lope pour se vider.
— Mais... ils sont fous!
— Bah, pas tant que ça!
Il a palpé mon fute.
— En tout cas ça te fait de l'effet! Je suis sûr que de te faire mettre par quelques minets, c'est ça qui te fait bander.
— On a le temps, c'est pour dans 3 jours leur kermesse.
— Mais cette fois, puisque ça t'excite tant que ça, il faut que ta marchandise soit impeccable!
— Heu, tu veux dire quoi là?
— Ben allons, que tu sois nickel, rasé de frais, devant et derrière, qu'ils sachent comment tu aimes et comment tu te donnes!
— T'es dingue.
Mais faut reconnaître que ça m'excitait vraiment! Il avait raison. Ce soir la on a fait l'amour comme des fous, plusieurs fois, à en avoir mal au gland à force de suce et de lime. Quand on s'est trouvé sous la douche, Marc m'a dit qu'il allait me raser le cul et le sexe et que le dernier soir, il utiliserait de la crème épilatoire pour que je sois bien lisse.
— Allez, appuie-toi au mur et tends tes fesses!
— Humm oui! Il a barbouillé mes fesses de mousse et j'ai senti le rasoir passer et insister jusqu'entre mes fesses, au plus près de mon trou.
— Tourne-toi que je fasse devant.
Il a rigolé de voir ma queue raide.
— Salope, ça t'excite hein! Allez tends toi en avant et écarte que je rase bien, même sous les couilles.
Là encore, il a enduit ma queue et mes couilles de mousse et il a passé le rasoir. Pour la première fois depuis très longtemps, j'étais comme un môme mais raide comme un fou! Il a rincé bien partout. J'ai vu dans ses yeux l'envie et je me suis penché sur sa queue, il bandait comme un fou à nouveau et n'a pas été long à m'asperger le fond de la gorge de son nectar.
— Allez au lit et plus rien avant vendredi ou je te mettrais la crème! Et demain j'ai pris rendez-vous pour une prise de sang que tu leur amèneras. Donc à jeun au taf. Tu pourras toujours prendre un café après. Et la veille tu mangeras rien, le matin de la kermesse, je te ferai un lavement que tu sois impeccable!
— Hé dis donc Marc! Tu commences à faire un vrai domi!
— Et alors? Ça te déplais pas à voir tes réactions!
— Oui, j'aime bien.
Je l'ai embrassé et on s'est endormi comme des bébés
Les 3 jours ont passés à toute vitesse, alternés de moments où je stressais et d'autres où je me sentais excité. La veille, Marc avait étalé une couche de gel épilatoire et je suis resté les reins soutenus par un coussin, cuisses ouvertes, le temps que ça agisse. Il a raclé le gel et je suis allé prendre ma douche, ma main glissait sur ma peau !
Le matin de la kermesse, Marc m'a fait un lavement et j'ai dû attendre le plus possible avant de me vider. Depuis des jours, il m'avait mis à la diète et j'étais comme une levrette, prête pour la course.
En sortant de la douche, Marc avait mis sur le siège à côté la tenue qu'il pensait idéale : un short de sport assez large, fin mais court, et il avait découpé le slip intérieur. Des mini chaussettes avec mes skets et un sweat complétaient l'ensemble. Il attendait que je sorte, m'a détaillé des yeux et a passé la main par une jambe du short pour palper ma queue.
— Très mignon comme ça! Une vraie pub pour homo ! Allez, viens !

Dehors il y avait un petit vent qui passait à chaque pas entre les jambes du short et me faisait frissonner. J'avais la sensation de pratiquement être nu, juste le nylon du short qui frottait sur ma queue.
— Passe devant que je te voie de dos.
Il m'a laissé avancer un peu dans le soleil.
— T'es superbe! On voit pratiquement tout par transparence!
Le gymnase où avait lieu la kermesse n'était pas très loin et plus j'avançais, plus j'hésitais. Marc l'a senti et m'a mis la main sur l'épaule pour me pousser doucement. Il y avait déjà du monde mais j'ai repéré de suite les deux qui étaient passés à la maison. Ils ont salué Marc, j'ai senti le frôlement d'une main sur mes fesses à travers le tissu.
— Venez, on a prévu un espace fermé derrière. On sera tranquille.
On a traversé la salle, je voyais des yeux de jeunes qui me détaillaient, s'arrêtaient un moment sur mes fesses. Ça fait tout drôle de se sentir comme ça, jugé comme par des mecs, surtout si jeunes.
Le mec a ouvert une porte, elle donnait sur un vestiaire inutilisé pour la kermesse avec des bancs et des potences pour les vêtements. Il n'a pas tenu très longtemps avant de passer la main sous mon short.
— Hummm épilé ?
Marc a souri.
— Oui il a envie de plaire.
— Il va falloir faire mieux que ça ! On a envoyé des mails et des SMS. Il devrait y avoir du monde !
— Allez ! Toi, mets-toi sous les crochets à vêtements.
Il est allé chercher de la corde, m'a attaché les deux pieds à deux crochets, cuisses écartées.
— On va faire quelques photos souvenirs.
Il a sorti son appareil et m'a flashé avec le short. Il y eut des petits coups à la porte et 5 mecs sont entrés, m'ont maté en souriant mais ont chopé Marc, pour le plaquer le ventre sur les bancs. Ils ont fait des tours de corde autour de lui. Il se débattait mais contre 5 ! Il a été assez vite ficelé. Je l'ai regardé, il faisait la gueule, devait pas du tout avoir prévu ça.
— Bah, il en faut pour tous les goûts.
Le plus vieux a défait la ceinture de Marc, lui a baissé la ceinture et le fute. Il a peloté son cul à travers le slip.
— Ouais, toi aussi je suis sûr que tu dois aimer la queue ! Bon on va s'organiser. Y aura tout le temps deux mecs pour vous surveiller et deux ou trois pour vous baiser, plus moi pour prendre des photos de vous, de vos trous à bites.
Marc a gueulé, ça les a fait sourire.
— Allez, ferme la, tu vas aimer, comme ton pote !
Je ne disais rien. J'ai juste entendu, entre mes cuisses, le tissu craquer et des doigts fouiller mon cul.
— Ouais ! Génial, il a une vraie petite chatte rasée ! Elle se dilate bien ! On va faire entrer les plus jeunes en premier, qu'il soit pas encore éclaté pour eux !
La porte s'est ouverte sur trois mecs de 16/17 ans, tous rouges de voir deux mecs dans nos tenues, sans défense.
— Putain les salopes ! On les prend où on veut ?
— Oui. Le rasé, bouche ou cul, on a son certificat, il est sain. L'autre, avec capote pour le cul et sans pour la gueule.
J'ai eu aussitôt une bite dans la bouche à lécher et sans même voir la queue, une autre s'enfonçait dans mon cul. Ils m'ont limé , à grands coups rapides, ça n'a pas duré longtemps pour qu'ils se soulagent. J'entendais Marc grogner dans son coin et quand le mec s'est retiré de ma bouche, je ne voyais que les fesses du jeune qui le défonçait comme un fou.
Ils se sont marrés en sortant, aussitôt remplacés par trois autres. Le mec a répété les consignes et j'ai eu le temps de voir les trois bites. Pas mal montés les gamins! J'ai eu qu'une queue qui s'est enfoncée dans ma bouche, au ras des couilles, à me donner des haut-le-cœur. J'ai tenu le coup et il s'est vidé en massant mon cou, comme s'il se branlait. Là encore, j'ai vu les fesses du jeune remuer à la cadence de ses coups de reins, j'entendais à peine les grognements de Marc sauf à la fin, quand le mec a retiré sa queue de sa bouche pour lui gicler sur le visage.
Les mecs se sont succédés les uns après les autres, j'étais largement le plus choisi, sûrement parce que je n'avais pas un poil entre les jambes. En plus, je bandais comme un fou et ça les excitait. Y'en a eu un ou deux qui ont joué avec ma queue et mes couilles, surtout en tirant dessus, ou sur la peau pour voir encore mieux mon gland. L'avant de mon short était relevé sur mon ventre, me laissant bien exposé. Marc lui a eu presque de suite le slip éclaté par un coup de cutter et les mecs le bourraient des deux côtés.
On s'est fait tourner comme de vraies lopettes, entrecoupé de flash sur les tronches ou sur nos culs. Les mecs changeaient. La taille des bites aussi, je ne sais pas combien de bites j'avais servi mais celles que je voyais maintenant étaient de belles et grosses queues ! Indifféremment, je devais avaler ou recevoir le jus sur la gueule ou dans le cul. Marc lui, gueulait, comme il n'était pas lubrifié par le jus de mec, ça devait lui chauffer le cul !
À la fin, le mec à l'appareil photo qui était sorti un moment est revenu. Il a montré des clés à Marc.
— On a fait des doubles de chez toi et de chez ta salope. On passera vous voir de temps en temps. Dès que vous rentrez, tu te fais raser comme l'autre et à chaque fois que vous êtes chez vous, vous restez à poil ! On veut pas perdre de temps quand on passe ! Ok ?
Marc à fait la gueule mais bon.
— Oui, ok.
Le mec a sorti sa queue et s'est branlé sur nous, nous a arrosé de jus sur les fringues.
— Je vous détache, barrez-vous et rappelez-vous : à poil et rasés !

On a tenu six mois et on a fini par déménager, chacun de notre côté!

A la mémoire de.....

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Ils nous attaquent comme des lâches
Nous mourrons en héros...
Ils ne gagneront pas...

Jeunes filles complaisantes ou bonnes salopes. A vous de voir..!

Rediffusion

Brèves de femmes: Attention extrêmes .....

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Deux textes d'auteurs inconnus
D'une cruauté absolue.
Physique ou morale
A lire avec beaucoup de précautions
Ou a  ne pas lire....

L’esclave de Lyon
L’esclave de Lyon, elle avait 26 ans et se prénommait Pascale.
On l’appelait «La belle Pascale», ou «Pascale la salope».
Faut dire qu’en ayant commencé sa sexualité à 13 ans, elle en avait vu des biroutes et des minous. Et elle en voyait même de plus en plus.
Et en plus, elle aimait ça.
A à peine 15 ans, elle avait eu droit à sa première sodo par un homme deux fois plus âgé qu’elle. Depuis impossible, qu’elle passe plus de trois jours sans se faire enculer. Quelques mois plus tard elle se retrouvait tête bêche nue dans le lit de sa meilleure copine. A 16 ans, elle se tapait 3 des copains de son frère.
Quand à ses 18 ans elle les avaient fêtés dans un club échangiste avec 18 mecs.
Ses études, elles se les étaient payées avec ses fesses, d’abord avec des vieux messieurs plein de sous et admiratifs de ses belles fesses. Elle y avait mis du sien pour améliorer ses notes, et ses professeurs, hommes et femelles gardaient des souvenirs émus de ses passages sous le bureau.
Plus tard, elle avait continuer et mis son talent au service d’hommes qui pouvaient se l’offrir, hommes d’affaires, émirs. C’est bizarre, tous les mecs aimaient lui défoncer le cul. Enfin bref son cul rapportait!
Il est vrai, qu’il était parfait! Si, on peut le dire, parfait! Deux belles pommes, un sillon profond, du œillet brun qui s’ouvrait facilement à la moindre pression. Tous ses amants avaient adoré la sodomiser on se demande pourquoi. En plus, ça la faisait jouir fort.
Le reste aussi était à la hauteur, des cuisses fuselées, bronzées, des chevilles fines, des hanches parfaites, une taille que ses amants admiraient, une paire de seins avec de belles pommes plutôt volumineuses, faites pour les mains d’homme, des tétons longs que l’on devinaient attirants aussi bien des lèvres que des pinces croco , un ventre plat, des lèvres voluptueuses genre aspirateur à bite. Et elle en avait aspiré des bites, des petites, et surtout des grosses qu’elle prenait plaisir à savourer.
Brune, elle avait en plus de jolis et profond yeux noirs. Bref, elle avait le charme puissamment érotique des méditerranéennes.
Elle menait une vie agréable, gagnait de 10 à 15000 euros par mois grâce à son cul.
Un matin, au «Train Bleu», gare de Lyon, elle sirotait une vodka, attendant le TGV qui devait l’emmener vers un nouveau client à Monaco.
Et, là elle avait croisé le regard du mec, Le Mec. Immédiatement son ventre glabre, s’était embrasé. Juste un regard appuyé de l’homme, un regard qui déshabille, et elle l’avait suivi dans les toilettes de la brasserie… Là, direct, il l’avait baisée et sodomisée longuement, à la sauvage, sans préparation. Elle avait joui comme une chienne.
Plus de client, plus rien, elle avait tout oublié. A peine remise, elle avait suivit l’homme dans un taxi.
Deux heures plus tard, elle était attachée, couchée , bâillonnée, ventre sur un dur chevalet en bois, seins écrasés, chevilles et poignets encordés et tirés au maximum vers le sol.
Premier coups de fouets, puissants, violents, mais maîtrisés, qui lui brûlaient le cul et les reins. Et puis à nouveau cette énorme bite pour lui taraudait les reins…
Pendant toute la journée, puis la nuit, elle n’avait été qu’une chose, que l’on viole, que l’on piétine, sur qui l’on pisse, dont on martyrisait les seins, dont on fistait longuement le sexe et le cul.
Elle avait aimé, elle avait joui.
A six heures du matin, dans un état semi-comateux, elle avait senti qu’on lui passait un truc autour du cou, qu’on la bâillonnait, qu’on lui enfonçait un truc dur et froid dans les reins, qu’on la ligotait, mains serrées dans le dos, puis qu’on la tirait sur le parquet comme un vulgaire paquet. Un léger, clic et elle s’évanouit, le corps meurtrit.
C’était il y a quatre mois. Quelques heures plus, docilement, elle suivait l’homme dans sa Mercedes. Pas le droit à la place passager, sa place à elle, elle la devina quand l’homme, ouvrit le coffre. Direction, un pavillon cossu dans le beaujolais, avec un beau parc.
Maintenant, elle était une esclave sous contrat et docile, elle la rebelle, la pute indépendante. Il était dit qu’elle appartenait à l’homme.
Elle devait être son esclave sexuelle, mais aussi, sa bonne, la maison devait être impeccablement tenue, la cuisine parfaite sous peine de punition.
Tous les soirs, elle dormait attachée au pied du lit de son maître, à même le parquet, tous les matins à 7 heures, elle tirait sur la laisse pour aller sucer son maître et le réveiller. Une fois son maître réveillé, souvent il se laissait aller dans sa bouche, puis il l’a détachait, et elle allait lui préparer son petit déjeuner.
Une fois qu’il était parti, elle devait se doucher, déjeuner à son tour, s’occuper de toutes les taches ménagères. Sa tenue, un très gros plugg, des bas noirs auto-fixant, des escarpins à haut-talons, près de 15 centimètres, et un petit tablier, et bien sur son collier.
Vers 13 heures, elle mangeait léger, et pouvait faire une petite pause.
Après, elle devait faire une heure de sport, dans la salle de gym, histoire de maintenir son physique en forme, elle pouvait aussi bronzer dans le parc, jouer avec le beauceron, et même quelques fois se faire sauter par celui-ci.
Ca aussi elle aimait!
En plus, elle était surveillée, épiée, par tout un ensemble de caméras reliées à internet. Quelques fois, elle s’installait face caméra, et se branlait. Elle savait que si le maître la voyait, elle serait punie.
Et puis, il y avait la cuisine à faire pour le soir, pour le repas qu’elle prendrait au pied de son maître, dans une gamelle. Un maître qu’elle devait attendre à l’heure fixée, nue, à genoux devant la porte d’entrée, cravache aux lèvres.
Le soir, tout dépendait des envies du maître. Cela pouvait aller de la soirée télé qu’elle passerait allongée docilement sur les cuisses de son maître, à une soirée  à la cave, suspendue à une poutre, ou attachée au pilori.
Si elle avait bien fait son travail d’esclave durant la semaine, elle avait droit de choisir le thème de la soirée du samedi. Généralement, elle choisissait le gang-bang, elle adorait ça, sentir tous ses mâles en rut à cause de son cul.
Alors on lui avait trouvé un foyer de travailleurs africains. Régulièrement, donc elle se faisait un troupeau de blacks. Y en avait régulièrement une trentaine, et tous montés comme des ânes.
Samedi dernier, elle avait pas assuré, à une heure du matin, elle s’était mise à vomir et ils avaient du arrêter. Elle en avait seulement fait jouir une dizaine, alors que d’habitude, ils avaient tous les couilles plates quand elle repartait sur le coup des six heures du matin. Il étaient furieux avec leurs couilles pleines, trop pleines.
Ce samedi soir, dans l’entrepôt de banlieue abandonné ou se déroulait régulièrement les orgies, ils avaient installé un sorte de chevalet en métal.
Là, ils l’installeraient de façon très, inconfortable, attachée à plat ventre, cul offert.
On allait lui mettre le cul en sang, et son maître avait donné son accord.
Pascale, avait deviné qu’il y avait un truc qui allait pas dès on entrée dans le local. D’habitude, il y avait du bruit  de la musique, et puis c’était quoi ce truc en fer, sur 4 pieds, on dirait une table à repasser.
Sans qu’elle ait pu dire un truc, 4 mecs l’avaient saisie, déshabillée et attachée sans ménagement sur le truc en métal…
Poignets et chevilles tirées, ça lui rappelait un truc.
Brutalement une pluie de ceinturon, s’abattit sur son dos et ses fesses. Tous plus forts, les uns que les autres. Son dos rougissait, son cul était violet, et cela ne s’arrêtait pas, il fallait que ça saigne!
Quinze bonnes minutes qu’elle hurlait comme une bête, pleurait, et ça n’arrêtait pas, maintenant il y avait des coupures qui saignaient. Et la douleur!
Un arrêt brutal. Même pas le temps de souffler, et un énorme gland s’enfonçait brutalement dans ses reins, violemment, à sec. Un vrai pal.
Ce n’était que le début.
Ca giclait et mollissait, alors un autre arrivait, plus gros, plus dur, plus long.
Et elle hurlait, de douleur d’abord, de plaisir ensuite.
Elle en compta neuf, avant de perdre le fil.
Et ça continuait, on la défonçait sans ménagement. Elle se sentait écartelée, possédée, souillée, humiliée, réduite à l’état de trou.
On rentrait, on sortait. Vers deux heures, elle s’écroula , tomba dans les pommes.
Et ça continuait. De temps en temps, on la réveillait à coups de seau d’eau glacée.
Pour les blacks, ça rentrait comme dans du beurre dans le sphincter éclaté.
Ils l’empalaient de plus en plus longuement avec leurs matraques turgescentes.
Épuisés, les couilles plates, c’est seulement vers sept heures du matin que les hommes avaient délivrés Pascale.
Une Pascale, au fion éclaté, ouvert, saignant légèrement, au corps strié de plaies.
Le bonheur total pour une chienne comme elle…



Sandrine la salope
Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une agence de pub.
Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari, Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans.
Je suis plutôt grande (1m75) avec de longues jambes ayant comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon adolescence.
On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà, j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas prier pour attirer les convoitises.
J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de « salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement, bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel.
Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans, avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter…  J'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que ça devait se passer dans une relation stable.
Je m'habillais de façon très classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je !
Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée, BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la « transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la seule et l'unique.
Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien, ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la boîte.
Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution.
Il me prenait très certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait ! Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché…
Pierre me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte. J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai d'écourter ce cuissage intempestif.
En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait « tout vu » selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres... Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me pardonner :
- Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le jure…
- Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux !
- Marc, je…
- Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup là !
Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot…
Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur… il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement, entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un tel état.
Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche, rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse…
Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage. C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse, complètement dominée…
Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à me débarbouiller, il me lança depuis le salon :
- Ce n'était qu'un début, tu vas me le payer !
-

- Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous quelque chose de bon !
- Mais Marc, je n'ai pas…
- Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à 20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là…
et il claqua la porte.
Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque peur… mais force est de constater que j'étais trempée.
Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie ! J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas !
Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque, plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours !
C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc restait bassement un homme : blonde, une poitrine énorme toujours en évidence (cette fille ne portait jamais de soutif !), un petit cul rebondi doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais…
- Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma femme » me lança Marc sur un ton conquérant.
Je restais sans voix… sa femme…
- Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais te montrer qui est le maître ici…
- Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer, tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de quoi ! »
insista Emilie avec un sourire en coin.
- Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est attirante, elle ! File !
Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le ventre noué.
Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre ça !! Quel horreur ! Le string n'était même pas propre, il portait encore son odeur intime…
Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le coup, comme une pute.
Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un peu partout dans mon salon. Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée, elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance.
Je n'en revenais pas : cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe gourmande effectuée par cette experte blonde !
Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la prenait par derrière.
Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à leurs yeux.
Soudain, Marc m'aperçut :
- Tu vois que tu peux être bandante toi aussi ! » me dit Marc. « Mais ne reste pas là bêtement, ramasse nos fringues et sers nous à boire !
Emilie se redressa de son jouet et dit :
- Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi le voir !
-
Et réponds quant on te parle, tu te crois où !!?
- Mais oui ! »
dis-je à voix basse sur un ton agacé.
- Attends, répète un peu ? Je veux entendre : oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement.
- Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée.
J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris mon cul.
- Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie. « Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le porter ! »
J'enlevai donc le sous-vêtement rouge.
- T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte !
Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique, les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser, comme exigé par Emilie.
Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils jouirent vraisemblablement en même temps.
Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers moi :
- Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou tu risques de le regretter !
Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer, comme elle me l'avait précédemment ordonné.
Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau, allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses cuisses.
Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage, insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela, curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir, je glissai un doigt en direction de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa vulve.
J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus profond…
Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante, les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques, lourds, fermes.
Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se stoppa net derrière moi.
- Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi ton cul, que je vois si tu es capable de te raser correctement !
- Bien madame… »
dis-je.
D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle. Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable. Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un « tu aimes ça salope », « tu le mérites, crois mois » à chaque claque. Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire.
- Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la sodomie ?
- Si, si »
fit Marc, satisfait de la question
- Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de revenir avec un gode monstrueux.
- Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien normal.Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en manque !
- Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et les voisins ?!
- Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le premier venu ! Obéis ou sinon… »
insista Marc.
A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de notre salon donnant sur la route. Émilie se mit derrière moi et enfonça d'abord un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration.
Elle fit des allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses doigts et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Émilie insista jusqu'à me l'enfoncer jusqu'à la garde.
La douleur était atroce, les larmes coulaient sur mes joues…
J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus. J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça…
- C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée, sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance.
- Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant s'approche » dit impassiblement Emilie. « Je veux que tout le quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras à quatre pattes et il te sodomisera, ce sera d'ailleurs ta seule pénétration et ton ultime punition. Enfin, je compte bien passer quelques soirée avec mon chéri dans ta chambre, dans ton lit, et je ne veux pas que tu sois dans les parages, tu découcheras donc ces soirs là
- Nous sortons, ce soir nous dînons au resto»
lança Marc «et à notre retour, tu auras nettoyé tout ce bordel…
C'est ainsi que je pris conscience qu'on ne changeait pas... J'aimais le sexe, je vivais désormais pour ça et je ne pouvais me contenter de peu… Le soir même, je quittais la maison… j'étais enfin celle que j'ai toujours été: une salope.


Jeunes filles complaisantes ou bonnes salopes. A vous de voir..!

Harcèlement sexuel.....

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On en parle beaucoup en ce moment...
Mais au cinéma s'en est plein...!

Rediffusion

Brèves du net. Attention extrèmes.

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Deux histoires de vengeances.
A lire avec des pincettes... Mais bandantes
A ne prendre au premier degrés bien entendu..
Le piège à l'école
Parce qu’elle est jolie et que tous les étudiants lui tournent autour, Laurie s’est faites des ennemies à la fac. Au fil du temps, cette gourmande des plaisirs de la vie, a cédé à quelques prétendants sauf que l’un deux n’était ni plus ni moins le chérie de la diabolique Sarah. Pour se venger, elle a monté une cabale particulièrement odieuse pour sa rivale trop gourmande de sexe.
Il est 20 heures, son piège est prêt. Depuis quelques temps, elle communique par email avec Laurie et construit son piège. Le contenu des emails qu’elle a transformé est sans équivoque, cette fille maso particulièrement salope rêve de viol et de ganband. Les mecs les plus pervers attendent avec impatience cette soirée à laquelle une fille maso inconnue veut s’offrir corps et âme pour se faire défoncer et jouir toute la nuit.
Pour parachever son œuvre diabolique, Sarah a dirigé les pensées et folies de Laurie très attirée par le BDSM. Elle l’a même aidé à monter un blog agrémenté de photos SM qu’elles ont faites toutes les deux dans une chambre puis dans la chaufferie de la fac. Laurie visage masqué y apparaît en soumise entravée et offerte. La plus grosse des difficultés pour Sarah a été de ne pas étriper sa rivale lors des séances photos puis des discussions coquines entre filles lorsqu’elles construisaient le blog. Les textes de Laurie sont sans équivoques possibles tout comme les photos, elle aime l’amour vache, les rapports musclés et se plait à se jouir attacher quand on lui fait l’amour.
Hier, Sarah a changé le code d’accès au blog et les photos pour publier celles sans le masque exposant le visage de sa rivale en train de crier « baisez-moi » ou « je veux qu’on me baise en série » puis des phrases toutes aussi provocatrices du style, « les mecs de la fac bandent trop mou pour me faire jouir ». Dans sa folie, elle a préparé une annonce sur le gang-bang de ce soir où Laurie dans sa soif de sexe et de BDSM se livrerait à tous ceux qui seraient capables de la baiser correctement.
Depuis le midi, elle diffuse des messages annonçant le gang-bang où une maso s’offrirait. Vers 18 heures, sous prétexte de fêter son ticket gagnant du loto, Sarah débouche dans sa chambre une bouteille de champagne avec sa copine et l’incite à boire plus que de raison. Sous prétexte d’aller voir ses messages, elle met en évidence une image de fille entravée offerte à des hommes montée comme des étalons. Laurie s’enflamme aussitôt et part dans des délires impudiques.
Sa rivale la pousse dans ses retranchements en lui faisant de fausses confidences, le mot « pudeur » n’a plus de sens ce soir dans cette chambre où en principe elles devraient se concentrer sur leurs études. Elle lui offre un collant résille ouvert à l’entrejambe, un cadeau « comme ça » entre filles.
Laurie impudique et en confiance l’enfile, s’excite plus encore puis achève la bouteille de champagne avant de se laisser lier les mains dans le dos pour une séance de photos. Vers 20 heures, après une centaine de photos, elles sortent sans changer de dessous pour aller faire la fête en ville et passent un grand manteau par-dessus leurs tenues.
Sous prétexte d’aller récupérer une fiche de cours, Sarah fait un détour par la fac puis lui propose de passer par la chaufferie pour faire d’autres photos coquines. Dans son innocence, Laurie cède à la tentation comme elle cédera à la tentation de s’allonger sur la vieille table transformée en établi pour mimer la pauvre victime qui va être offerte aux étalons. Sarah l’entrave plus que d’habitude, lui rempli la bouche d’une culotte avant d’enrouler du scotch autour de la tête de Laurie pour réellement maintenir le bâillon. L’étudiante manifeste son mécontentement mais il est trop tard pour réagir, ses « hummm » et « onnnnn » restent sans effet. Hormis tirer sur les entraves elle ne peut rien faire. Sarah rajoute des cotons démaquillants sur les yeux de sa victime puis un autre tour de scotch pour les maintenir en place privant sa rivale de tout moyen de communication.
- Même tes larmes ne se verront pas salope !
La diabolique rivale jubile en sortant de son sac à main une affiche où il est écrit, je suis maso, claquez mes fesses et surtout baisez-moi comme des sauvages même si je crie. Sur les fesses de Laurie, Sarah dessine ensuite deux flèches désignant les orifices offerts. Son piège terminé, il ne lui reste plus qu’à couper la ficelle du string puis à envoyer les textos du téléphone portable de Laurie.
Les étudiants n’y croyaient pas vraiment, pour eux c’était un canular mais ils se rendent sur le le blog de Laurie qu’ils connaissent pour l’avoir croisée dans les amphithéâtres et sont particulièrement surpris. Pendant que l’incendie court dans les neurones des étudiants manipulés, Sarah efface ses empreintes, abandonne le téléphone portable et va se faire un alibi en béton en allant ennuyer le proviseur pour une histoire d’horaires. Elle se fait rabrouer mais n’en a que faire et insiste avant de se faire jeter purement et simplement. C’est presque au pas de course qu’elle retourne à la chaufferie, accroche un étudiant qu’elle connaît puis lui demande si sa copine a vraiment osé réaliser ses délires ici. La réponse qu’il lui fait est éloquente : « oui, elle est venue se faire tringler par qui le désire ».
Jubilant, Sarah rajoute aux bavardages et à qui veut l’entendre que ce n’est pas la première fois que Laurie fait ça, mais qu’oser le faire à la fac est une sacrée folie.
Plusieurs étudiants sont arrivés, ils n’osent pas toucher Laurie fesses à l’air sous son collant ouvert mais ils se laissent aller à des commentaires graveleux. Comme bien souvent dans les groupes, il y en a un qui cherche à se faire mousser, il sait des choses. Questionné, il indique être au courant des délires de Laurie. Elle l’aurait même fait à la fac de Montpellier. Les plus courageux s’approchent mais personne n’ose toucher. La diabolique rivale se doutait de leurs hésitations, mais elle a anticipé.
- Pour savoir si une fille est excitée, tu sais où il faut mettre le doigt ! Murmure Sarah à l’oreille d’un des plus entreprenants.
Laurie vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et fesses nus, totalement offerte devant ces homme abjecte qui viennent voir sa déchéance comme au spectacle mais c’est bien pire encore lorsque l’un d’eux s’approche, touche l’entrejambe offert et constate d’un doigt inquisiteur que l’excitation est là. L’excitation n’est pas, c’est simplement le contenu du tube de lubrifiant que Sarah a vidé dans son vagin avant de s’enfuir et qui s’écoule lentement.
- Putain les mecs, elle est trempée comme une salope !
- Cette salope a écrit sur son blog que les étudiants d’ici bandent trop mou pour la faire jouir. Crie l’un deux. Si ça ce n’est pas de la provoc c’est quoi ?
Deux autres s’approchent, touchent sans aucune gêne et constater que Laurie est vraiment mouillée. La seule chose qui mouille chez la victime sont ses yeux. Murée dans son silence elle pleure toutes les larmes de son corps. Submergée de honte et de rage, elle a pris l’ampleur du piège dans lequel elle est tombée.
- Cette garce nous allume, on va lui faire voir si on bande mou. S’écrie l’un des étudiants en sortant sa verge gorgée de désir.
Ce qu’elle entend lui arrache le cœur, comment peuvent-ils penser qu’elle désire se faire violer ?
- Ouai, on va la ramoner cette salope et lui faire regretter d’oser écrire ça sur son blog ! Clame un autre en défaisant sa braguette.
Tirant sur ses liens comme une perdue, Laurie essaie de se soustraire à l’inévitable. Au plus elle bouge, au plus ses fesses deviennent le centre d’intérêt des mâles en rut. Le plus courageux monte sur la table, sous les encouragements des étudiants. Laurie agite sa tête dans tous les sens pour dire « non » mais ses gémissements ne sont pas perçus. La verge tendue fait son chemin entre les cuisses maintenues ouvertes par les cordes, rien ne peut plus l’arrêter.
Prostrée et en pleurs elle est prise sur cette table devant tout le monde et ne peut rien faire pour se dérober à l’intrusion de la bite profanant son intimité aux chairs délicates. Elle s’agite sous l'infernal va et vient comme pour se soustraire mais en vain, ou même pire, ses mouvements sont pris comme de l’excitation ou du plaisir et largement commentés. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse aller au rythme du ballottement de son corps sur la table en pleurant silencieusement.
L’étudiant la besogne comme un malade tandis que ses jambes engagent un combat sans espoir. Infatigable et pervers, il la possède jusqu’à sa jouissance en rallant comme un loup solitaire croquerait une brebis malgré la présence des spectateurs.
A peine a-t-il laissé la place sous des applaudissements obscènes qu’un autre prend la place, ajuste sa verge et s’engage alors dans la fleur féminine comme un rustre. Ses poignets agités de vaines contractions rythment le martèlement violent. Il la laboure purement et simplement comme si la v******e d’un coït était une démonstration de virilité.
Subissant les assauts et coups de bélier de plusieurs hommes depuis plus d'une demi-heure, Laurie n’est plus qu’un réceptacle, un objet de plaisir, sans âme et sans désir qu’on utilise à l’envie, sans considération ni attentions simplement humaines. Le dernier, bien décidé à lui offrir un feu d’artifice bien plus fort que les autres veut s’offrir son cul.
Laurie comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’elle va vivre son pire cauchemar : se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, elle adore ça, mais là, présentement, la honte la submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on la f***e à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, elle n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.
L’étroit orifice exposé entre les deux paires de mains devient la cible du beau Priape couvert d’un préservatif. En guise de lubrifiant, il crache sur l’étoile peureusement contractée avant de la f***er de son gland turgescent. Pendant un instant, la rosette poussée vers l'intérieur du rectum se refuse à éclore. Laurie lâche des cris de terreur et de souffrance dans son bâillon mais son violeur maintient sa pression insensible aux supplications. Sous les yeux des aides et spectateurs l'anus vient de céder et d'absorber d'un coup toute la longueur de la verge et lui arrache un grand cri étouffé.
- Oh, les mecs, elle n’est pas neuve de ce côté-là moi je vous le dis.
Le jeune homme monté comme un dieu entreprend de labourer le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à s'agripper à ses entraves pour se maintenir en position sous peine de se massacrer les seins sur le plateau de la table. Ils rient lorsque sous la pénétration sauvage ses petites mains s’agrippent aux entraves. Gagnée par une sorte de frénésie, ses vagissements se transforment en râles, pendant un instant, elle en oublie les spectateurs et sa condition. Son corps commence à la trahir, elle commence à éprouver un plaisir malsain, ignoble et complètement fou. Durant une seconde elle a effleuré l’extase un spasme l’a traversée, elle vit un de ses fantasmes malgré toute l’horreur de la situation. La jouissance monte en elle, gagnant son cerveau perturbé par le rut sauvage et ignoble.
Des ondes maléfiques traversent ses reins, un plaisir odieux la submerge. L’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance, lui fait perdre conscience des réalités pour finir par lui offrir le plus long et le plus puissant orgasme de sa vie.
Tout au long de son viol les téléphones portables prennent des photos et vidéos qui s’échangeront dans toute la fac et sur internet. Lorsqu’enfin ils la libèrent, elle les voit mais ferme les yeux comme pour effacer le souvenir de cette extase qui vient de la transporter et la met à présent mal à l'aise puis la fait se sentir coupable. Les viols l’ont cassée, ont brisée son vernis social mais la jouissance éprouvée bien malgré elle, ne seront pas sans un effet.
Libérée et débarrassée de ses entraves collantes, Laurie est portée plus qu’elle n’est raccompagnée au campus. A ses yeux rouges et son visage défait, le doute s’installe chez certains des violeurs. Préférant ne pas trop réfléchir, ils choisissent de la féliciter pour son courage mais ne s’éternisent pas.
L’eau de la douche coule longtemps cette nuit là mais ne parvient pas à la laver de la honte et de la culpabilité. Plusieurs questions la minent sur son avenir, sur ce qu’elle doit faire, ce qu’elle va devenir mais la plus cruelle est :
‘’Comment ai-je pu jouir en étant ainsi malmenée et violée ?
Suis-je maso à ce point-là ?’’
Pourquoi nous avons changé de vie !!
Dans la vie on fait des choses peu ragoutantes qui en nous laissent des traces indélébiles. Comme des cancers que l'on doit porter en soi à jamais. Ces taches sombres on espère qu'elles ne resurgissent pas, qu'elles restent en nous, profondément tapis et que jamais elles ne remontent à la surface.
Il y a 20 ans je fus un voleur et ma compagne un escroc. Tous deux avons tourné la page de cette jeunesse et pensions que c'en était fini, mais le passé souvent te saute au visages sans que tu t'y attendes.
Il était 3 heures du matin et je me réveille subitement avec le canon d'un fusil de chasse pointé sur mon visage. Je reste tétanise, Angélique est elle aussi réveillée, un couteau sous la gorge. C'est la pénombre, mais face à nous 3 hommes menaçants en train de rire. Je saisi la main d’Angélique, la peur est en moi.
Ils rigolent et quand l'un d'entre eux allume la lumière de suite je reconnais, David, Steph et Seb, de vieilles connaissances que je n'aurais jamais cru revoir et sûrement pas dans de telles circonstance.
- Tu as de l'argent?» me dit David en collant le canon du fusil sur mon front.
- Un peu ici, mais pas grand choses»
- Tu te lèves et tu t'habilles, tu vas au distributeur»
J’obéis, la peur est terrible, mes jambes sont flageolantes, je n'ai jamais était un héros. Une fois habillé je me retrouve avec Steph et Seb dans leur voiture en direction du distributeur le plus proche.
Je les connais bien, Steph est un type sans scrupules et très violent. Seb, un idiot suiveur, toujours avec David, un gorille avec juste 2 sous d'intelligence. David lui c'est un cas lourd au passé digne d'un sociopathe, viols, bastonnades gratuites, un être violent et pervers que je pensais en prison ou même mort. C'est le silence dans la voiture, juste Seb qui rigole de temps en temps.
Il faut 20 minutes pour arriver au distributeur et dans ma tête je me dis que laisser 40 minutes allez retour Angélique seule avec David c'est dangereux.
David cela lui suffit un délai comme ça pour s'amuser un peu, il a attaché Angélique sur une chaise et s'amuse à lui caresser les seins à travers sa chemise de nuit. Elle a peur, elle le connaît bien David, il l'a violé plusieurs fois à l'époque, elle sait de quoi il est capable et ne bronche pas de peur qu'il ne s'énerve. Il adore être en position de force, dominer sa proie, en faire sa chose.
Il fait glisser le bout du fusil de chasse entre les cuisses tremblantes d’Angélique et s'amuse à coller le métal froid du canon sur sa chatte nue, il rigole. Elle sait ce qu'il va vouloir et en est déjà résignait. Quand il ouvre sa braguette et qu'il lui colle sa queue devant la bouche elle ouvre la bouche avec dégoût mais elle le fait pour ne pas le fâcher.
J'ai retiré 4000 euros avec nos 2 cartes bancaire, nous somme sur le retour et j'ai bien essayé de poser des questions pour comprendre pourquoi nous, maintenant...
Mais Steph m'a tellement bien dit de la fermer que je ne dis plus rien.
En entrant dans la chambre, j'ai de suite regardé Angélique, elle avait une larme qui coulait encore, elle glissait sur le recoin de son nez et qui s’arrêta net sur un peu de sperme au coin supérieur de sa bouche. La haine est montée je me suis rué sur David, mal m'en a pris j'ai reçu un choc violent derrière la tête et je me suis évanouis.
'est ligoté, bâillonné et complètement nu que je me suis réveillé. A même le sol, sur le parquet. J'étais dans le flou mais je comprenais ce qui se passé, Angélique était plaquée ventre contre le lit et Seb qu'à l'époque on appelait «La Bête» était en train de la prendre à grand coups de reins.
Elle ne pleurait pas, ne disait rien, juste quelques petits cris sous les grands coups de butoir de son violeur. Steph avait le visage face au sien, à quelques centimètres, et il l'a regardé en se léchant les lèvres. David lui assis près de la fenêtre tapotait sur ton téléphone sans même un regard sur ce qui se passait.
Seb jouit en Angélique en poussant de gros beuglements et se releva en sortant une cigarette de sa poche. Il s'approcha de moi et me dit:
- Putain tu peux pas savoir comme j'ai toujours voulu me la faire ta salope.
En même temps il m'envoya un bon coup de pied dans le ventre et rigola de sa connerie.
Steph pendant ce temps-là, avait fait mettre à genoux Angélique et la filmant avec son portable lui dit:
- Suce ma queue pouffiasse
Angélique me regarda un instant et se mis au travail, elle a un don avec sa bouche, elle sait faire jouir en suçant, jouant de la langue, aspirant la queue dans de réguliers mouvements de la tête. Il n’a pas était long à bander et en quelques minutes il a déchargé son foutre dans la bouche d’Angélique qui l'a recraché de suite.
- Je vais mettre ce petit film sur le net, ça devrait bien plaire, tu as sucé comme une reine.
David est sorti de la chambre en demandant à Steph de le suivre nous laissant seuls avec Seb qui a attaché Angélique sur le fauteuil. Ce gros porc s'amusait à la peloter, il lui prenait les seins et les pressait dans ses mains, si fort qu'elle en gémissait de douleur.
Angélique a de beaux seins lourds et Seb à vraiment l'air d’apprécier. D'un geste violent il attrape le col de la chemise de nuit et la déchire sèchement. Les seins d’angélique sont mis à nus, il s'amuse du bout des doigts avec eux, jouant avec les tétons qui malgré la peur se raidissent ce qui le mit en joie.
- Mais c'est que ça t’excite salope
Il pinça si violemment les tétons qu'elle n'a pas pu retenir un hurlement de douleur. Il lui décocha deux gifles pour la faire taire.
- Je me réoccuperais de toi plus tard salope, j'ai quelques trucs à faire à ton mec d'abord, tu vas voir, tu vas admirer
Sans mal Seb m'a soulevé et mis ventre sur le lit, et sans ménagement, après avoir craché sur ses doigts il m'a enfoncé deux doigts dans le cul. D'habitude je ne suis pas contre, mais là je m'en serais passé. Je savais que ce porc allez m'enculer et que sa grosse queue allez me faire mal. Ce fut le cas, il se cala bien et s'enfonça en moi à fond, les larmes me sont venues instantanément, la douleur était atroce, mes sphincters j'avais l'impression qu'ils se déchiraient, et ce porc c'est mis à me prendre à grands coups, je m'en suis presque évanouis.
Angélique nous regardait l'air mauvais, je suis sûr que si elle avait était libre de ses mouvement elle l'aurait tué sur le champ.
Il a dû me baiser ainsi une bonne demi-heure, mon cul ne me faisait même plus mal, il a jouis en moi et je me suis demandé comment il faisait pour en avoir encore une telle dose après avoir jouis en Angélique.
Seb a rangé sa queue et c'est assis à côté de la fenêtre, il commençait à faire jour, peut-être 6 heures du matin, on est en Août. Il a sorti de sa poche une vieille Gameboy et c'est mis à jouer, comme si on existait plus.
On se regardait avec Angélique, tous les deux sans défenses, attachés, bâillonnés, plein de rage et plein d'amour.
Un long moment après, les deux autres sont entrés dans la chambre.
- Seb descends la dans le salon, faut qu'on parle avec monsieur
Seb a détaché Angélique et l'a prenant par les cheveux il l'a emmené de force hors de la chambre.
- Il y a encore 6000 euros sur vos comptes, alors on va rester encore 2 jours en votre compagnies le temps qu'on les vide 
Deux jours avec eux... ça va être très dur pour nous me suis je dis.
Ils m'ont mieux ligoté, m'attachant au lit avec des ceintures et des cordes, me retrouvant sur le dos, bras et jambes écartés, puis sont sorti de la chambre.
Quelques minutes après ils ont mis la musique et je les entendais dire :
- Allez bouge ton cul, fais ta petite pute, danse pour nous
En bas Angélique totalement nue était en train de danser devant eux, il avait mis du Britney Spear, et assis dans le canapé tous les 3 admiraient ce joli corps de 42 ans faire de son mieux pour les contenter.
Elle roulait des hanches, tortillait son cul en sachant très bien qu'il valait mieux faire bien plutôt que mal, quoi qu'il en soit elle devrait les satisfaire, de force ou de bonne grâce. Seb se branlait doucement en la regardant, sa queue était de nouveau énorme et prête à l'emploi.
Mais c'est David qui était le chef d'orchestre.
- Mets toi à quatre pattes le cul vers nous »
Elle obéis.
- Ecarte tes fesses, salope, je veux voir ta fente de pute
Elle le fis sans rien dire.
Steph filmait la scène en rigolant et en abreuvant Angélique de « Salope, Salope, Salope... » . David qui venait de finir sa bière la lui tendis en lui disant de se goder avec.
Elle obéis encore. Elle colla son visage sur le sol, et passant sa main entre ses cuisses elle s'enfonça le goulot dans la chatte. Ils la félicitèrent avec des hurlements de loups à la Tex Avery.
Angélique faisait de son mieux, et croyait moi dans ces cas-là ça fait bander un eunuque. Elle s'enfonçait la canette et jouait avec comme elle le faisait pour moi quand je le lui demandais, elle savait qu'en étant docile et obéissante, qu'en y mettant du sien elle éviterait au moins les coups à défaut des viols.
Angélique a toujours aimé le cul, beaucoup d'ailleurs, depuis ses 15 ans. Très aventureuse, elle a beaucoup testé et n'a pas beaucoup de tabous. Montrer son cul, baiser avec des inconnus, pfff, ce n'est rien. La vidéo ça l'a gène mais en même temps elle m'a dit que ça l'excitait.
Elle a tellement bien  joué la cochonne devant eux, que Steph passant son téléphone à Seb a sorti sa queue et est venu se placer derrière Angélique.
- Tu filme hein, je vais l'enculer cette salope
Avec un peu de concentration et en prenant sur elle, elle ne l'a pas trouvé si désagréable cette queue qui la pénétrait, et puis il lui baisait le cul avec plus de délicatesse qu'elle ne s'y attendait. Il la tenait par les hanches et même si de temps en temps il lui giflait les fesses elle ferma les yeux et se senti un peu gênée quand elle s’aperçut que cette queue lui faisait du bien...
Seb était à fond, sa grosse queue énorme dans la main il s'est avancé vers Angélique et tout en filmant, l'attrapant par les cheveux de sa main libre, il lui a collé son gland dans la bouche. C'était si gros qu'elle n'arrivait pas à en mettre plus, lui il poussait pour que ça entre. C'est rentré un peu plus mais guère. Angélique et moi on a souvent fait des plans à 3, avec des hommes ou des femmes, qu'importe. Elle adore sucer en se faisant prendre, ce n'est pas la chienne soumise tel que beaucoup d'homme s'imagine, non, c'est en gourmande, maîtresse de son plaisir qu'elle aime ça.
Là le problème c'est la taille de la queue, avec un engin normal ce serait presque délicieux. Et puis elle se doutait bien qu'ils allaient changer de place et que cette énorme bite dure elle allait l'avoir dans son cul.
David les a laissé et est monté me voir. Ce mec j'en ai toujours eu peur, il n'a pas de limite. Je me rappelle cette petite asiatique qu'il avait ramenée chez lui avec moi. Je pensais qu'on allait finir la soirée en buvant quelques coups et puis on serait rentré chez soi tranquille. Non, David lui, a eu envie de se faire salement cette fille, Sous la menace d'un couteau de cuisine de 30 centimètres et me disant l'air menaçant de ne pas bouger il avait violé cette petite nana toute gentille en me regardant droit dans les yeux.
C'est ce soir-là que j'ai pris mes distances avec lui, mais comme cela ne lui plaisait pas il m'avait cassé la gueule avec deux autres mecs. Résultat 2 semaines d’hôpital avec 6 côtes cassées.
Il est venu s’asseoir sur le lit et a commencé à me raconter que je l'avais tellement déçu, que j'aurais dû rester dans sa bande, que je payais maintenant mon manque d'affection envers lui. Que je l'avais blessé...
Il était encore plus dingue qu'à l'époque et je me suis dit qu'on allait y rester.
Angélique quant à elle était toujours à quatre pattes sur le carrelage du salon, l’objet de ses deux abuseurs. Ils se sont servi d'elle comme si elle n'était qu'une poupée gonflable, ignorant qu’Angélique qui a aussi un passé difficile arrivait à faire abstraction de ce qu'il lui faisait. Comme elle m'a dit plus tard, je pensais que c'était toi, que ces deux porcs c'était toi, que tu t’étais dédoublé et je devais même me contrôler pour ne pas en jouir.
Le reste de la journée fut longue. Moi toujours attaché au lit, mais surtout pour Angélique que Seb violait toutes les deux heures. Vers 11 heures du soir ils m'ont détaché et retour au distributeur, à minuit ils avaient encore 4000 euros. Ne restait plus que 24 heures pour trouver une solution à ce calvaire.
C'est à 15 heures que c'est arrivait, Angélique m'a tout raconté parce que j’étais encore attaché dans la chambre. Alors que Seb la baisait de nouveaux, la porte d'entrée a littéralement explosée, et une douzaine de flics sont entrée armes à la main dans la maison.
Seb est parait-il resté muet devant les deux canons de fusil pointait sur son visage. La bite dans le cul d’Angélique est devenue toute molle en un instant, et Steph qui dormait sur le canapé n'a pas eu le temps de comprendre ce qui se passé que les flics l'avaient déjà menotté.
David lui je l'ai entendu ouvrir la fenêtre de la chambre d'ami et il a sauté. Dehors j'ai entendu des coups de feu et puis plus rien. Un gendarme et venu me détacher, j'ai rejoint Angélique, nous nous sommes enlacé un long moment.
Seb et Steph ont été embarqué, j'ai demandé si ils avait attrapé David, un pompier a dit :
- Il est mort
Cela fait 4 ans que cela c'est passé, le jugement lui c'est terminé la semaine dernière. Seul Seb était au procès, Steph c'était suicidé deux mois après son arrestation. Nous avons changé notre vie, comme si on avait plus le temps. Je remercie ce voisin qui a trouvé étrange ces hommes chez nous et qui a prévenu la gendarmerie.
Aujourd'hui comme si d'avoir était des objets nous avez transformé, nous avons décidé ensemble de vivre nos vie à fond. On sort plus, on profite de tout et nos sexualités ont été complètement modifiés, aujourd'hui on vit tous nos fantasmes. Le sexe pourtant important avant pour nous et devenu essentiel, comme si on avait faim de tout faire, tout pratiquer, tout connaître.
On fait l'amour 2 fois par jour minimum, on s'écrit des scénarios que l'autre mets en place et on les joue ensemble. Plus de retenu, plus de tabous, ces 3 ignobles ont tout fait sauter, plus de limite.
C'est ce que je veux raconter en créant cette page.
Je raconterais donc ici nos fantasmes, nos actes, nos copulations sauvages comme les plus tendres. Et je vous pris de croire qu'on en a beaucoup à raconter. 




C'est férié aujourd'hui....

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