Deux textes d'auteurs inconnus
D'une cruauté absolue.
Physique ou morale
A lire avec beaucoup de précautions
Ou a ne pas lire....
L’esclave de Lyon
L’esclave de Lyon, elle avait 26 ans et se prénommait Pascale.
On l’appelait «La belle Pascale», ou «Pascale la salope».
Faut dire qu’en ayant commencé sa sexualité à 13 ans, elle en avait vu des biroutes et des minous. Et elle en voyait même de plus en plus.
Et en plus, elle aimait ça.
A à peine 15 ans, elle avait eu droit à sa première sodo par un homme deux fois plus âgé qu’elle. Depuis impossible, qu’elle passe plus de trois jours sans se faire enculer. Quelques mois plus tard elle se retrouvait tête bêche nue dans le lit de sa meilleure copine. A 16 ans, elle se tapait 3 des copains de son frère.
Quand à ses 18 ans elle les avaient fêtés dans un club échangiste avec 18 mecs.
Ses études, elles se les étaient payées avec ses fesses, d’abord avec des vieux messieurs plein de sous et admiratifs de ses belles fesses. Elle y avait mis du sien pour améliorer ses notes, et ses professeurs, hommes et femelles gardaient des souvenirs émus de ses passages sous le bureau.
Plus tard, elle avait continuer et mis son talent au service d’hommes qui pouvaient se l’offrir, hommes d’affaires, émirs. C’est bizarre, tous les mecs aimaient lui défoncer le cul. Enfin bref son cul rapportait!
Il est vrai, qu’il était parfait! Si, on peut le dire, parfait! Deux belles pommes, un sillon profond, du œillet brun qui s’ouvrait facilement à la moindre pression. Tous ses amants avaient adoré la sodomiser on se demande pourquoi. En plus, ça la faisait jouir fort.
Le reste aussi était à la hauteur, des cuisses fuselées, bronzées, des chevilles fines, des hanches parfaites, une taille que ses amants admiraient, une paire de seins avec de belles pommes plutôt volumineuses, faites pour les mains d’homme, des tétons longs que l’on devinaient attirants aussi bien des lèvres que des pinces croco , un ventre plat, des lèvres voluptueuses genre aspirateur à bite. Et elle en avait aspiré des bites, des petites, et surtout des grosses qu’elle prenait plaisir à savourer.
Brune, elle avait en plus de jolis et profond yeux noirs. Bref, elle avait le charme puissamment érotique des méditerranéennes.
Elle menait une vie agréable, gagnait de 10 à 15000 euros par mois grâce à son cul.
Un matin, au «Train Bleu», gare de Lyon, elle sirotait une vodka, attendant le TGV qui devait l’emmener vers un nouveau client à Monaco.
Et, là elle avait croisé le regard du mec, Le Mec. Immédiatement son ventre glabre, s’était embrasé. Juste un regard appuyé de l’homme, un regard qui déshabille, et elle l’avait suivi dans les toilettes de la brasserie… Là, direct, il l’avait baisée et sodomisée longuement, à la sauvage, sans préparation. Elle avait joui comme une chienne.
Plus de client, plus rien, elle avait tout oublié. A peine remise, elle avait suivit l’homme dans un taxi.
Deux heures plus tard, elle était attachée, couchée , bâillonnée, ventre sur un dur chevalet en bois, seins écrasés, chevilles et poignets encordés et tirés au maximum vers le sol.
Premier coups de fouets, puissants, violents, mais maîtrisés, qui lui brûlaient le cul et les reins. Et puis à nouveau cette énorme bite pour lui taraudait les reins…
Pendant toute la journée, puis la nuit, elle n’avait été qu’une chose, que l’on viole, que l’on piétine, sur qui l’on pisse, dont on martyrisait les seins, dont on fistait longuement le sexe et le cul.
Elle avait aimé, elle avait joui.
A six heures du matin, dans un état semi-comateux, elle avait senti qu’on lui passait un truc autour du cou, qu’on la bâillonnait, qu’on lui enfonçait un truc dur et froid dans les reins, qu’on la ligotait, mains serrées dans le dos, puis qu’on la tirait sur le parquet comme un vulgaire paquet. Un léger, clic et elle s’évanouit, le corps meurtrit.
C’était il y a quatre mois. Quelques heures plus, docilement, elle suivait l’homme dans sa Mercedes. Pas le droit à la place passager, sa place à elle, elle la devina quand l’homme, ouvrit le coffre. Direction, un pavillon cossu dans le beaujolais, avec un beau parc.
Maintenant, elle était une esclave sous contrat et docile, elle la rebelle, la pute indépendante. Il était dit qu’elle appartenait à l’homme.
Elle devait être son esclave sexuelle, mais aussi, sa bonne, la maison devait être impeccablement tenue, la cuisine parfaite sous peine de punition.
Tous les soirs, elle dormait attachée au pied du lit de son maître, à même le parquet, tous les matins à 7 heures, elle tirait sur la laisse pour aller sucer son maître et le réveiller. Une fois son maître réveillé, souvent il se laissait aller dans sa bouche, puis il l’a détachait, et elle allait lui préparer son petit déjeuner.
Une fois qu’il était parti, elle devait se doucher, déjeuner à son tour, s’occuper de toutes les taches ménagères. Sa tenue, un très gros plugg, des bas noirs auto-fixant, des escarpins à haut-talons, près de 15 centimètres, et un petit tablier, et bien sur son collier.
Vers 13 heures, elle mangeait léger, et pouvait faire une petite pause.
Après, elle devait faire une heure de sport, dans la salle de gym, histoire de maintenir son physique en forme, elle pouvait aussi bronzer dans le parc, jouer avec le beauceron, et même quelques fois se faire sauter par celui-ci.
Ca aussi elle aimait!
En plus, elle était surveillée, épiée, par tout un ensemble de caméras reliées à internet. Quelques fois, elle s’installait face caméra, et se branlait. Elle savait que si le maître la voyait, elle serait punie.
Et puis, il y avait la cuisine à faire pour le soir, pour le repas qu’elle prendrait au pied de son maître, dans une gamelle. Un maître qu’elle devait attendre à l’heure fixée, nue, à genoux devant la porte d’entrée, cravache aux lèvres.
Le soir, tout dépendait des envies du maître. Cela pouvait aller de la soirée télé qu’elle passerait allongée docilement sur les cuisses de son maître, à une soirée à la cave, suspendue à une poutre, ou attachée au pilori.
Si elle avait bien fait son travail d’esclave durant la semaine, elle avait droit de choisir le thème de la soirée du samedi. Généralement, elle choisissait le gang-bang, elle adorait ça, sentir tous ses mâles en rut à cause de son cul.
Alors on lui avait trouvé un foyer de travailleurs africains. Régulièrement, donc elle se faisait un troupeau de blacks. Y en avait régulièrement une trentaine, et tous montés comme des ânes.
Samedi dernier, elle avait pas assuré, à une heure du matin, elle s’était mise à vomir et ils avaient du arrêter. Elle en avait seulement fait jouir une dizaine, alors que d’habitude, ils avaient tous les couilles plates quand elle repartait sur le coup des six heures du matin. Il étaient furieux avec leurs couilles pleines, trop pleines.
Ce samedi soir, dans l’entrepôt de banlieue abandonné ou se déroulait régulièrement les orgies, ils avaient installé un sorte de chevalet en métal.
Là, ils l’installeraient de façon très, inconfortable, attachée à plat ventre, cul offert.
On allait lui mettre le cul en sang, et son maître avait donné son accord.
Pascale, avait deviné qu’il y avait un truc qui allait pas dès on entrée dans le local. D’habitude, il y avait du bruit de la musique, et puis c’était quoi ce truc en fer, sur 4 pieds, on dirait une table à repasser.
Sans qu’elle ait pu dire un truc, 4 mecs l’avaient saisie, déshabillée et attachée sans ménagement sur le truc en métal…
Poignets et chevilles tirées, ça lui rappelait un truc.
Brutalement une pluie de ceinturon, s’abattit sur son dos et ses fesses. Tous plus forts, les uns que les autres. Son dos rougissait, son cul était violet, et cela ne s’arrêtait pas, il fallait que ça saigne!
Quinze bonnes minutes qu’elle hurlait comme une bête, pleurait, et ça n’arrêtait pas, maintenant il y avait des coupures qui saignaient. Et la douleur!
Un arrêt brutal. Même pas le temps de souffler, et un énorme gland s’enfonçait brutalement dans ses reins, violemment, à sec. Un vrai pal.
Ce n’était que le début.
Ca giclait et mollissait, alors un autre arrivait, plus gros, plus dur, plus long.
Et elle hurlait, de douleur d’abord, de plaisir ensuite.
Elle en compta neuf, avant de perdre le fil.
Et ça continuait, on la défonçait sans ménagement. Elle se sentait écartelée, possédée, souillée, humiliée, réduite à l’état de trou.
On rentrait, on sortait. Vers deux heures, elle s’écroula , tomba dans les pommes.
Et ça continuait. De temps en temps, on la réveillait à coups de seau d’eau glacée.
Pour les blacks, ça rentrait comme dans du beurre dans le sphincter éclaté.
Ils l’empalaient de plus en plus longuement avec leurs matraques turgescentes.
Épuisés, les couilles plates, c’est seulement vers sept heures du matin que les hommes avaient délivrés Pascale.
Une Pascale, au fion éclaté, ouvert, saignant légèrement, au corps strié de plaies.
Le bonheur total pour une chienne comme elle…
Sandrine la salope
Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une agence de pub.
Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari, Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans.
Je suis plutôt grande (1m75) avec de longues jambes ayant comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon adolescence.
On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà, j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas prier pour attirer les convoitises.
J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de « salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement, bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel.
Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans, avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter… J'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que ça devait se passer dans une relation stable.
Je m'habillais de façon très classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je !
Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée, BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la « transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la seule et l'unique.
Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien, ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la boîte.
Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution.
Il me prenait très certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait ! Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché…
Pierre me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte. J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai d'écourter ce cuissage intempestif.
En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait « tout vu » selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres... Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me pardonner :
- Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le jure…
- Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux !
- Marc, je…
- Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup là !
Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot…
Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur… il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement, entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un tel état.
Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche, rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse…
Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage. C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse, complètement dominée…
Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à me débarbouiller, il me lança depuis le salon :
- Ce n'était qu'un début, tu vas me le payer !
- …
- Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous quelque chose de bon !
- Mais Marc, je n'ai pas…
- Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à 20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là…
et il claqua la porte.
Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque peur… mais force est de constater que j'étais trempée.
Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie ! J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas !
Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque, plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours !
C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc restait bassement un homme : blonde, une poitrine énorme toujours en évidence (cette fille ne portait jamais de soutif !), un petit cul rebondi doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais…
- Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma femme » me lança Marc sur un ton conquérant.
Je restais sans voix… sa femme…
- Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais te montrer qui est le maître ici…
- Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer, tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de quoi ! » insista Emilie avec un sourire en coin.
- Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est attirante, elle ! File !
Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le ventre noué.
Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre ça !! Quel horreur ! Le string n'était même pas propre, il portait encore son odeur intime…
Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le coup, comme une pute.
Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un peu partout dans mon salon. Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée, elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance.
Je n'en revenais pas : cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe gourmande effectuée par cette experte blonde !
Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la prenait par derrière.
Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à leurs yeux.
Soudain, Marc m'aperçut :
- Tu vois que tu peux être bandante toi aussi ! » me dit Marc. « Mais ne reste pas là bêtement, ramasse nos fringues et sers nous à boire !
Emilie se redressa de son jouet et dit :
- Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi le voir !
- Et réponds quant on te parle, tu te crois où !!?
- Mais oui ! » dis-je à voix basse sur un ton agacé.
- Attends, répète un peu ? Je veux entendre : oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement.
- Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée.
J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris mon cul.
- Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie. « Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le porter ! »
J'enlevai donc le sous-vêtement rouge.
- T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte !
Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique, les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser, comme exigé par Emilie.
Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils jouirent vraisemblablement en même temps.
Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers moi :
- Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou tu risques de le regretter !
Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer, comme elle me l'avait précédemment ordonné.
Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau, allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses cuisses.
Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage, insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela, curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir, je glissai un doigt en direction de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa vulve.
J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus profond…
Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante, les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques, lourds, fermes.
Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se stoppa net derrière moi.
- Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi ton cul, que je vois si tu es capable de te raser correctement !
- Bien madame… » dis-je.
D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle. Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable. Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un « tu aimes ça salope », « tu le mérites, crois mois » à chaque claque. Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire.
- Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la sodomie ?
- Si, si » fit Marc, satisfait de la question
- Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de revenir avec un gode monstrueux.
- Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien normal.Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en manque !
- Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et les voisins ?!
- Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le premier venu ! Obéis ou sinon… » insista Marc.
A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de notre salon donnant sur la route. Émilie se mit derrière moi et enfonça d'abord un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration.
Elle fit des allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses doigts et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Émilie insista jusqu'à me l'enfoncer jusqu'à la garde.
La douleur était atroce, les larmes coulaient sur mes joues…
J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus. J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça…
- C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée, sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance.
- Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant s'approche » dit impassiblement Emilie. « Je veux que tout le quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras à quatre pattes et il te sodomisera, ce sera d'ailleurs ta seule pénétration et ton ultime punition. Enfin, je compte bien passer quelques soirée avec mon chéri dans ta chambre, dans ton lit, et je ne veux pas que tu sois dans les parages, tu découcheras donc ces soirs là
- Nous sortons, ce soir nous dînons au resto» lança Marc «et à notre retour, tu auras nettoyé tout ce bordel…
C'est ainsi que je pris conscience qu'on ne changeait pas... J'aimais le sexe, je vivais désormais pour ça et je ne pouvais me contenter de peu… Le soir même, je quittais la maison… j'étais enfin celle que j'ai toujours été: une salope.