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Channel: Chez Andre 112
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Vous connaissez l'expression: En prendre plein le cul..?! Regarder.


Histoire du net. Auteur Inconnu. Vive les bébés

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Voici un type d'histoire traduite de l'américain
par un inconnu
bénévole.
Un gros méchant nain membré comme un cheval.
Des noirs idem, un salaud de patron.
Un couple sympathique qui tombe entre leur mains.
Les ricains adorent ce genre d'histoire.
Moi aussi...

Le nain et le patron 
Jérôme Wilks était un fondu de certains jeux et de certains loisirs.
Ce vendredi il se rendait à son club pour se relaxer. Il était heureux que ses parents aient fondé ce club de campagne, car il n'aurait jamais pu s'y inscrire sinon, d'autant plus que sa petite stature le lui interdisait presque.
Un vieillard pansu de ses amis le rejoignit à la piscine dans l'espoir de lui soutirer des conseils d'investissements bancaires plus que par souci de se montrer sociable. Ralph Calhoon, dirigeait en temps que directeur une firme de courtage, il avait toujours compté sur Jérôme pour gérer ses comptes d'investissements.
Il avait là une occasion de frapper plus haut. Jérôme lui avait souvent promis :
- "Je penserai à toi dès que tu m'auras procuré un beau cul à baiser, une de ces innocentes pucelles insouciantes convaincues d'être en sécurité....... Et que je ne pourrai jamais sauter autrement! ......."
Calhoon était un vieux schnock de 60 ans avec des appétits de sexe similaires à ceux de Jérôme.Il décida de voir si le petit homme était sérieux ou s'il badinait.
Calhoon discuta longuement avec le petit homme et apprit que Jérôme viendrait au club dimanche. Il sourit à cette information et lui dit qu'il aurait une proposition à lui faire et qu'il l'attendrait au bord de la piscine.
Jérôme sentait qu'il allait lui proposer quelque chose d'intéressant et il assura son vieil ami ventru qu'il serait au rendez-vous.
oooOOooo
L'infortunée cible n'était autre qu'une jeune institutrice aux cheveux couleur de miel. Ellen Ryan était mariée à un jeune agent de change nommé Darrin, elle avait 24 ans et était sexy en diable. Son corps ivoire faisait tourner bien des têtes sur son passage.
De plus elle était connue comme étant très conservatrice voire naïve et même innocente. Elle avait rencontré Darrin au collège et ils étaient tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre, ils avaient poursuivis leurs amours au lycée puis à l'université ne s'intéressant à personne d'autres que leur partenaire aimé, se gardant pur pour le jour du mariage. Et maintenant après leur première année de mariage les choses se mettaient peu à peu en place.
Elle avait trouvé un poste d'institutrice dans une école primaire locale alors que son mari avait trouvé du boulot en tant qu'agent de changes.
oooOOooo
Ellen et Darrin avaient été invité au "Foxdale Club rural" ce samedi.
Ils en profitaient pour se détendre au bord de la piscine tout en se restaurant.
Cette invitation récompensait le travail fournit par Darrin ces derniers mois.
Ils n'étaient jamais venus dans ce club très fermé, mais ils en avaient beaucoup entendu parler.
Ils avaient souvent espéré pouvoir y entrer et ils y entraient en tant qu'invités spéciaux du patron de Darrin, ils étaient là pour nager et manger.
Calhoon jouait ses cartes maîtresses, il voulait profiter d'avantages fiscaux pour son entreprise et si possible fourrer sa grosse bite dans la petite chatte de la ravissante femme de son employé, une telle beauté que sa bite se mettait au garde à vous dans son pantalon à chaque rencontre.
Le vieux Calhoon avait rencontré la ravissante Ellen Ryan alors qu'elle attendait son mari au centre social de l'entreprise. Depuis il s'était couché bien des fois en se remémorant le physique de la somptueuse jeune femme.
La bite de Jérôme se mit au garde à vous dans son caleçon à la vue d'Ellen dans son bikini noir et blanc. Son corps couleur de miel était parfait, Jérôme la contemplait la langue pendante.
Il ne parvenait pas à détourner les yeux de sa somptueuse plastique, il se demandait bien qui était cette fascinante jeune femme qu'il n'avait jamais vue en ces lieux. Soudain il sursauta au son de la voix de Calhoon qui lui demandait ce qu'il faisait.
- "Bordel de Dieu, je donnerai ma couille gauche pour me faire cette splendide petite salope! ......" lui rétorqua Jérôme égrillard.
Le vieux Calhoon laissa échapper un profond éclat de rire
- "Vous pouvez conserver votre couille gauche, tout ce que je veux c'est votre appui! ......"
Calhoon le renseigna sur les différents invités et lui dit qu'il connaissait parfaitement l'impact de cette splendide jeune femme sur les hommes.
Le vieux Calhoon aurait aimé la sauter mais il mettait un point d'honneur de ne pas mélanger travail et plaisir.
Jérôme apprit qu'Ellen était institutrice, il aurait souhaité être de ses élèves.
Cependant il serait ravi de lui enseigner un chose ou deux! ......"
- "Hemmm....." pensa-t-il au fond de lui-même "et si en plus je peux me faire un peu de fric! ....."
L'heure suivante Jérôme ne quitta guère des yeux les formes parfaites de l'adorable institutrice. Il se marrait au fond de lui-même à la pensée que le patron de son mari vendait ses charmes en échange de sa caution.
Alors que le jeune couple déjeunait en compagnie de Calhoon et sa femme ; Jérôme attendait qu'ils en aient fini pour se faire inviter à leur table.
- "Hey Jérôme voulez vous vous joindre à nous? ...... Venez donc prendre un verre! ....." l'invita Calhoon comme convenu.
Il s'assit sur une chaise, ce n'était pas par accident que Jérôme s'était assis à coté de la somptueuse jeune femme qu'il lorgnait depuis deux bonnes heures.
Calhoon les présenta les uns aux autres et ils entamèrent une discussion enjouée autour de leurs verres. Avant de les quitter, Jérôme invita Darrin à le contacter pendant la semaine ils échangeraient quelques mots au sujet des stocks et des obligations.
Leur plan marchait comme sur des roulettes..
oooOOooo
Darrin Ryan avait appelé Jérôme en début de semaine ils avaient partagé un lunch rapide au cours duquel ils purent discuter de différents financements.
Jérôme avait félicité Darrin d'avoir une si jolie femme, qu'il aimerait rencontrer à nouveau.
La pauvre Ellen était loin de se douter de ses intentions, son mari lui avait juste dit que c'était une grande chance de pouvoir bénéficier de l'appui de cet homme.
Jérôme lui avait annoncé qu'il préférait vivement travailler avec des gens qui avaient une vie de couple saine et de préférence avec des enfants.
Même s'ils n'avaient pas encore d'enfants, Darrin l'avait informé qu'avec sa femme ils cherchaient à fonder une heureuse famille.
Il supposait que le petit homme n'avait pas eu une enfance heureuse, repoussé de tous à cause de sa taille réduite et de sa laideur et que de ce fait il ne travaillait plus qu'avec des personnes stables en qui il avait confiance.
Du coup Ellen avait invité cet horrible nain à dîner puisque cela aiderait son mari à se concilier son appui. Elle était loin de se douter que cette invitation se terminerait avec l'horrible nain installé entre ses cuisses dans son lit conjugal.
Ellen n'avait jamais observé les diverses camionnettes qui côtoyaient sa voiture dans le parking de l'école. Elle ignorait totalement que des gens s'activaient dans ces camionnettes à enregistrer tous ses gestes.
Elle devait être la vedette d'un film intitulé "La prof reçoit une leçon d'une grosse bite noire" elle était splendide en hauts talons jupe et blouse très élégantes, même ses fines lunettes semblaient s'harmoniser avec son visage avenant.
Jérôme adorait la voir porter ces lunettes et les tenues élégantes qu'elle arborait à longueur de temps.
Les premières images de la vidéo montraient la jeune institutrice dans la cour de l'école entourée de nombreux enfants. Les éventuels spectateurs se rendraient tout de suite compte qu'il s'agissait d'une véritable enseignante et non pas d'une actrice interprétant un rôle. La cassette se voulait le reportage d'un véritable viol.
oooOOooo
Jérôme avait informé son vieux copain Calhoon qu'il aurait besoin de son aide. Jérôme venait tout juste de recevoir une invitation à dîner du jeune couple la semaine suivante en cette fin d'année scolaire, au début de l'été
Le vieux Calhoon devait créer un problème au bureau qui obligerait le mari à s'absenter le soir du repas. Il devait lui faire quitter le domicile conjugal pur une longue période de temps pour quelle qu'en soit la raison, après cela l'appui de Jérôme lui serait assuré.
Le plan débuta correctement.
Ils avaient juste terminé le plat principal que le téléphone réservé aux urgences sonna, Ryan devait se rendre dans une ville voisine à l'appel de son patron.
Jérôme leur proposa son aide, il appela l'aérodrome et lui réserva une place en première sur un de ses vols, en réalité cette place était retenue depuis trois jours.
Sur le pas de la porte il souhaita bonne chance à Ryan l'avisant qu'il aurait pris le dessert avec sa charmante femme.
Mais Jérôme négligeait de lui dire que c'était son adorable petite femme qui constituait le savoureux dessert dont il entendait se régaler.
Jérôme se réjouit de se retrouver seul avec cette somptueuse beauté tout en sachant à quel point cela la gênait de rester seule avec lui. Il lui prit délibérément sa petite main manucurée elle frémit de dégoût à ce léger contact. Il sourit en voyant à quel point son contact la révulsait. Ellen Ryan aurait déjà voulu être en fin de repas.
Sa grosse bite se mit brusquement au garde à vous dans son caleçon à l'idée de voir sa petite main manucurée se refermer sur sa hampe raidie.
Ellen laissa échapper un léger soupir alors que le nain disgracieux terminait son café puis se levait pour appeler sa limousine.
Cette dernière heure avait été très pénible, elle se rendait parfaitement compte que ce nain répugnant la déshabillait du regard dévorant des yeux chacun de ses appâts.
Ils se dirigèrent tous deux vers la porte en entendant tinter la sonnette, visiblement le chauffeur du petit homme était arrivé.
A l'instant où elle ouvrait la porte, Jérôme l'interpella, elle tourna la tête vers le nain et ne vit pas l'imposant noir qui, se tenait sur le seuil. Elle ne se rendit pas plus compte qu'il avait avancé d'un pas dans son dos jusqu'au moment où il plaqua sa grosse main sale sur sa bouche.
Le chauffeur du nabot, en fait l'un des loyaux mécaniciens qu'il récompenserait pour son aide tenait fermement la jeune femme affolée. Un second employé d'une loyauté sans faille faisait partie de l'équipe.
Ce second noir était sale et graisseux, il avait nettement besoin d'un bon bain, d'autant plus que son boulot était de collecter des engrais naturels pour les plantes du patron, il était toutefois un de ses exécutants préférés de tâches plus louches.
Jérôme pensait qu'ils seraient parfaits pour dégrader la jeune beauté convoitée.
La voir se faire enculer par deux noirs sous l'œil des caméras, ferait une fortune au box office du porno.
Sous l'objectif de la caméra tenue par Jérôme la jeune femme fut traînée par les deux noirs dans sa chambre. Elle se débattait de toutes ses forces contre ces deux vils intrus, cherchant à leur donner des coups de pieds de ses talons effilés qu'elle perdit rapidement lorsqu'ils la traînèrent sans tenir compte de sa révolte.
L'une des brutes la tenait aux épaules l'autre saisit avec délice le devant de son élégante robe et la lui arracha.
Jérôme souriait tout en enregistrant la scène, il adorait cette manière qu'avait l'innocente jeune femme de sangloter alors que le butor déchirait son soutien-gorge de dentelle dévoilant ses superbes nibards blancs couronnés de petites fraises roses sombres.
Le noir le plus sale lui pinçait ses mamelons qui se raidirent sous cette violente manipulation, la jeune femme se lamentait maintenant honteuse de voir ses tétons darder insolemment.
Puis il filma l'adorable jeune institutrice éperdue, cherchant désespérément à empêcher les deux infâmes bâtards de la dépouiller de tous vêtements, en vain.
Sa petite culotte tire bouchonnait maintenant autour de ses chevilles.
- "Ohhhh..... Je vous en prie...... S'il vous plaît monsieur Wilks, dites-leur d'arrêter! ..... Je vous en prie...... "le suppliait Ellen les yeux rivés sur le cynique nabot.
Ses yeux s'ouvrirent comme des soucoupes en voyant une des deux brutes ôter son pantalon. Et de réaliser qu'on la filmait. L'infâme nabot à grosse bitte l'informa que si elle n'obéissait pas la cassette serait diffusée dans le pays.
Le regard et le visage de la malheureuse reflétaient son horreur et sa panique
de savoir que la cassette de son viol pourrait être diffusée sur le marché parallèle du porno. C'est pourquoi elle se forçat à s'agenouiller sur son lit conjugal avançant la main pour empoigner un gros sexe noir odorant.
Elle le branlait de la main gauche, sa bite se déployait sous ses yeux horrifiés.
Cette scène était enregistrée sur la vidéo, la vue de l'expression hagarde qu'affichait le visage d'Ellen, de sa main flattant la grosse saucisse noire, auraient suffi à faire bander nombre de spectateurs, d'autant plus que l'alliance ornant son index démontrait clairement qu'il s'agissait d'une jeune femme adultère trahissant ses vœux de mariage.
Quand une grosse main noire se posa sur sa nuque poussant sa tête vers l'entrecuisse de son agresseur, le corps d'Ellen se mit à trembler, elle était totalement révulsée.
- "Oh s'il vous plaît...... Non, je vous en prie...... Ne me faite pas faire une chose aussi dégradante! ....... S'il vous plaît, c'est si répugnant! ..... Je vous en prie, je n'ai jamais fait de choses aussi immondes avec mon mari! ......." les suppliait-elle misérablement.
La vidéo montrait maintenant Ellen yeux étroitement clos, les lèvres scellées, tremblante comme une feuille alors que l'infâme assaillant pressait le bulbe de sa pine contre ses lèvres soyeuses.
Elle en ne pouvait reculer sa tête, la main posée sur sa nuque la forçait à garder la pose. L'autre ignoble salopard était accroupi derrière elle, il tenait fermement ses hanches lui interdisant tout mouvement de retrait, sa grosse bite bandée était pointée sur son petit trou du cul vierge.
- "Allez, ouvre tes soyeuses petites lèvres, chérie! ....." lui intima le bâtard qui lui tenait la tête alors qu'il promenait sa bite suintante sur son visage blême.
Des filets de foutre gluant souillaient son visage.
Comprenant qu'elle se refusait obstinément à enfourner sa bite frémissante dans sa bouche le vil agresseur fit un signe de tête à son compère embusqué dans son dos.
Jérôme jubilait tout en continuant à filmer ces scènes d'un haut niveau pornographique.
La brute dans le dos d'Ellen avait empoigné sa bite longue d'une bonne trentaine de centimètres et la promenait lentement dans sa raie culière, s'approchant de plus en plus de son œillet encore inexploré.
Puis il pointa son bulbe contre l'annelet frémissant et poussa de toutes ses forces.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeee...... nonnnnnnnnnnnnnnn...... Ohhhhhhhhhh...... " hurla Ellen éperdue de douleur.
La grosse bite noire forçait l'accès à son petit trou siu resserré, son cri fut soudain étouffé, son assaillant de tête profitait de l'occasion pour enfouir son épaisse mentule dans sa bouche qu'elle avait ouverte pour clamer sa douleur.
La vidéo montrait la jeune femme bâillonnée par une monstrueuse bite noire qui vomissait son foutre au fond de sa gorge. Elle essayait de recracher l'épaisse potion salée, riche en protéines. Il extirpa sa bite de sa bouche, des geysers de semence lui tapissèrent le visage et la chevelure.
Le second extirpa sa bite amollie de son trou du cul, la jeune femme s'écroula sur le lit conjugal, folle de honte : elle venait de sucer une bite noire pour la première fois de sa vie, et pire encore un autre colosse noir lui avait cassé le cul, déflorant son anus.
Ayant posé la caméra sur son trépied, Jérôme commença à se déloquer. Il regardait sa proie effondrée sur le lit, elle ouvrit des yeux comme des soucoupes à la vue de sa monstrueuse mentule déformée. En fait, bien que doté d'un corps de nain, il était de la queue de la taille de celle d'un âne.
- "As-tu déjà vue une bite de cette taille madame Ryan? .......J'ai entendu Darrin dire que vous vouliez fonder une famille! ....... C'est bien vrai ma chérie, eh bien je vais t'engrosser avec ma grosse pine de cheval! ......." se marrait cyniquement Jérôme alors qu'elle cherchait à fuir son lit.
- "On va commencer ta petite famille dans le lit que tu partages avec ton cher époux! ...... Je vais t'engrosser, ma ravissante salope! ...... Je me demande bien à qui ressemblera le bébé! ....... Si c'est un garçon peut-être aura-t-il une bite aussi grosse que celle de son papa, madame Ryan! ......." rigolait Jérôme sarcastiquement.
L'espoir d'Ellen de s'enfuir fut de courte durée, les deux sbires du nain pervers l'immobilisèrent aisément, la clouant sur son lit, mains tenues au-dessus de la tête, le compas grand ouvert en forme de V.
- "S'il vous plaît monsieur Wilks....... Je vous en prie...... Ne me violez pas...... Oh mon Dieu non. Je n'ai jamais couché avec un autre que Darrin ...... S'il vous plait, vous allez me mettre enceinte ...... Oh s'il vous plaît arrêtez ......" pleurnichait Ellen les yeux rivés sur l'ignoble nain.
Elle n'aurait jamais cru qu'un homme puisse avoir une bite plus grosse que celle des deux noirs qui venaient de la violer, elle avala sa salive réalisant la vérité des dires de ce sale bâtard, il était doté d'une pine de cheval, et il avait l'intention de plonger cette chose monstrueuse dans sin intimité, il allait la violer d'un instant à l'autre! ......
Elle frémit lorsqu'il s'approcha d'elle, on aurait dit qu'il avait trois jambes, sa bite semblait toucher le sol. Comme le nain se mettait en bonne position, Les deux sbires lui maintenaient la tête levée en la bloquant entre leurs mains.
Elle eut un sursaut d'horreur lorsqu'elle vit la monstruosité qu'il avait l'intention d'enfourner dans sa délicate petite chatte avait d'éjaculer au fond de son utérus.
- "Oh mon Dieu...... Ca fait mal...... Awwwwwwwwww, j'ai maaaaaaaaaaal..... Owwwwwwwwwwwwww! ....." s'écriait-elle alors que l'énorme bite frayait son chemin dans son fourreau meurtri.
Jérôme prenait grand plaisir à baiser une innocente jeune femme sur son lit conjugal, de plus il la labourait sous les encouragements chaleureux de ses sbires.
- "Allez-y monsieur Wicks! ......"
- « Labourez cette petite salope! .... »
- "Engrossez-la! ......" criaient les deux lascars alors que le nain la pilonnait furieusement la jeune femme qui gémissait sous ses violents coups de boutoir.
La monstrueuse biroute se trouvait maintenant totalement enfouie dans son intimité, jamais Ellen ne s'était sentie aussi pleine.
Elle grommelait de honte alors que son corps commençait à convulser, ses sphincters vaginaux se crispaient sur l'énorme pal qui l'embrochait.
- "Oh non..... Oh, non...... Nonnnnnnnnnn....... " grognait-elle s'arquant sur les talons.
Les comparses du nain lui avaient lâché les jambes et elle les verrouillait dans son dos le serrant contre elle, l'invitant à s'enfoncer encore plus profondément dans son utérus asservi.
- "Oh mon Dieu...... Ohhhhhhhh, nonnnnnnn...... Nonnnnnnnnnnnnn... Je...... Je jouissssssss! ........" miaulait lourdement Ellen, alors qu'elle s'arquait l'étreignant de toutes ses forces pour le retenir au plus profond de sa féminité enivrée.
- "Ahhhhhhhhhhhhh...... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu...... Ohhhhhhhhhhhhhh......" couinait-elle alors que profondément logée en elle son énorme bite vomissait un torrent de foutre.
Une demi-heure plus tard, les deux noirs gloussaient doucement ne voulant pas que leur patron les voit rire de sa mésaventure. Elle retenait leur patron captif entre ses cuisses, toujours emboîtée sur son énorme mentule.
Elle rebondissait d'orgasme en orgasme, elle flottait dans une mer d'extase agrippant de ses jambes et de ses bras son petit agresseur éreinté.
Finalement, elle relâcha l'étau de ses cuisses, et les deux nervis aidèrent leur patron épuisé à se relever. Ils se dirent, à la vue du flot de sperme qui s'écoulait de sa chatte béante qu'elle avait toutes les chances de se retrouver enceinte avec une telle dose de foutre dans le ventre
Le lendemain matin, les sbires de Jérôme les quittèrent pour se rendre à leur boulot, Jérôme, par précaution, leur intima l'ordre de déposer les cassettes dans son bureau.
Puisque la jeune fille était en vacances d'été et son mari au loin, il allait lui tenir compagnie. La menace de diffuser les cassettes relatant son viol, sa dégradation par deux colosses noirs devait lui assurer sa coopération.
oooOOooo
Le matin-même, Darrin appela chez lui pour prendre des nouvelles de sa petite femme chérie, l'informant que son intervention durerait sûrement plus longtemps que prévu, mais son patron lui avait promis une large prime.
Par ailleurs Calhoon venait de lui apprendre que le nain avait investi dans la firme et qu'ils allaient toucher une importante commission.
Darrin s'étalait et s'étalait se réjouissant d'entendre le son de sa femme adorée, et comme Ellen lui faisait remarquer que la facture de téléphone allait se monter à une grosse somme, il lui dit de ne pas se tracasser pour ça, Calhoon lui ayant assuré qu'il prenait à sa charge les dépenses annexes.
Mais le coût de la communication n'entrait pas en jeu, Ellen voulait abréger la conversation parce que le pervers nain installé dans son entre cuisse la rendait folle, il avait décidé qu'elle jouirait sous les caresses habiles de sa langue.
oooOOooo
Le lendemain matin, Darrin reçut un appel dans sa chambre d'hôtel, il fut tout surpris d'avoir Jérôme Wilks au bout du fil, lui disant qu'il avait vraiment passé un bon moment avec sa femme.
Le nain lui dit que le repas était excellent et qu'il avait adoré le dessert que sa femme lui avait offert. Il ajouta que c'était son patron qui lui avait donné son numéro pour qu'il puisse le féliciter de leur accueil.
Darrin avait appris, par son patron que le nain avait investi une forte somme dans la firme, investissement sur lequel il allait toucher une importante commission, il remercia donc Jérôme à profusion.
- "Darrin mon ami, votre femme est vraiment épatante... j'aimerai vraiment en trouver une comme elle....... " le félicita Jérôme.
Darrin fut secoué de rire en imaginant une femme telle que la sienne avec quelqu'un d'aussi ventru que lui, le nain avait encore plus de chance de trouver chaussure à son pied que son patron de voir son rêve se réaliser! .....
Si seulement Darrin avait su qu'à cet instant même sa petite femme chérie était accroupie sur leur lit conjugal, taillant au nain la pipe de sa vie.
Avant de terminer la conversation, Jérôme ajouta :
- "Darrin, la prochaine fois c'est moi qui vous invite tous deux à dîner! ..... Je connais un dessert spécial que votre femme adorera! ......"
Darrin aurait rugi de fureur s'il avait su que sa femme testait justement ce fameux dessert, elle avait la bouche pleine de foutre du nain qui venait tout juste de se vider les couilles dans sa gorge.
oooOOooo
Le mois suivant, Ellen resta chez elle à la maison, à la merci du pervers nain.
Ellen ne comprenait pas que l'on puisse toujours avoir envie de baiser, elle était lasse de subir les assauts continuels de ce bâtard.
Chaque nuit son mari l'appelait, elle ne savait pas comment elle était parvenue à s'en sortir lors de son dernier appel, alors qu'à quatre pattes sur leur lit conjugal le pervers nain la défonçait sans merci.
Elle ne comprenait pas pourquoi son corps répondait à chaque fois à ses assauts se pliant voluptueusement à sa volonté. Son épaisse et longue bite la faisait jouir follement, la faisant rebondir d'orgasme en orgasme, elle n'avait jamais eu autant de plaisir avec son mari.
Elle ferma les yeux se rappelant leur dernière séance de baise, elle avait verrouillé ses cuisses sur son torse et le suppliait :
- "Oh baisez-moi..... baisez-moi monsieur Wilks...... Oh oui... labourez-moi...... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... baisez-moi..... Encore...... faites-moi un enfant! ......"
Jérôme ne quitta la maison des Ryan que le jour du retour du petit mari
Ellen l'accueillit chaleureusement, après un dîner de fête il était impatient de se retrouver en tête-à-tête avec sa bien-aimée.
Darrin fut fort surpris de la façon dont elle noua ses cuisses autour de son torse l'étreignant de toutes ses forces. Abasourdit de la voir aussi agressive sexuellement parlant, il attribua cette attitude à la frustration, ses six semaines sans faire l'amour avaient du décupler ses envies.
Cependant il ne put totalement satisfaire ses appétits éjaculant précocement en elle laissant Ellen s'acharner sur sa bite mollissante.
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Deux semaines plus tard façon de l'aimer ne s'était guère améliorée, Ellen devenait folle, se demandant pourquoi l'ignoble nain la faisait tant jouir alors que son mari était incapable de la faire vibrer.
Elle repensa au coup de fil que Jérôme Wilks lui avait passé dans la matinée lui intimant de le rejoindre à son bureau le lendemain à 11 heures si elle voulait goûter à nouveau à sa bite de cheval. Elle se mordait les lèvres se demandant ce qu'elle allait faire, il ne lui avait pas ordonné de le rejoindre mais invitée à profiter de sa bite.
Le lendemain à 11 heures pétantes, Jérôme sourit à sa ravissante visiteuse et l'escorta jusqu'à son bureau. Il savait pertinemment qu'elle viendrait et ce n'était pas parce qu'il possédait des vidéos compromettantes d'elle en pleine action.
Elle ne protesta pas lorsqu'il glissa sa petite main potelée sous ses jupes lui caressant la croupe. Il aimait la tenue qu'elle avait adoptée, elle était si belle dans sa robe blanche d'été, juchée sur ses hauts talons.
L'obliger à aller sous le bureau déguster son mandrin turgescent fut un plaisir rare pour lui. Assis à son bureau Jérôme se délectait des prouesses buccales d'Ellen agenouillée entre ses cuisses de nabot.
Un quart d'heure plus tard, la voix de la secrétaire sortit de l'interphone :
- " Monsieur Ryan... Votre rendez de 11 heures et quart est arrivé! ....."
- "Faites là entrer! ...." répliqua vivement Jérôme enchanté de sa ponctualité.
- "C'est bon de vous revoir Darrin! ... "le congratula Jérôme.
- "Je voulais juste faire le point sur mes investissements et discuter un peu avec vous... " l'avisa-t-il chaleureusement.
- "J'ai fortement apprécié la confiance que vous m'avez manifesté monsieur Wilks en me confiant la gestion de vos investissements dans ma firme... répondit Darrin les yeux rivés sur le petit homme qui se balançait légèrement dans son fauteuil.
Ayant évoqué rapidement le fruit de ses investissements, Jérôme détourna la conversation sur les femmes.
- "Eh bien mon cher Darrin, vous ignorez votre veine d'avoir femme aussi gentille et jolie qu'Ellen...... C'est vraiment une beauté! ...... J'ai beau fouiller mes souvenirs, je n'y trouve pas trace de femme comme elle! ....." le félicitait Jérôme.
Darrin demeurait interdit, ne sachant que répondre pour contenter le vieux et laid nain :
- "Merci monsieur Wilks, je dois admettre qu'Ellen est adorable et que j'ai beaucoup de chance d'avoir une femme aussi jolie et fidèle....."
Puis la conversation se fit plus convivial et Darrin se prit à rire des boutades de cet important investisseur.
- "Darrin vous ai-je parlé de cette ravissante jeune femme que j'ai rencontrée au club rural? ..... Mon vieux elle ne se lasse pas de moi! ..... Un vrai renard au lit... Une fellatrice accomplie! ...."
Darrin eut un léger frisson de dégoût en se représentant une ravissante jeune femme se donnant à ce répugnant personnage.
Puis Darrin pensa qu'il, avait vraiment de la chance d'avoir trouvé une salope qui lui fit des pipes, il n'avait jamais eu un tel plaisir, Ellen s'était toujours refusée à le prendre en bouche pour accomplir un acte aussi dégradant.
Darrin se levait pour partir, il tendit la main pour serrer la menotte de Jérôme lui répétant :
- "Je vous remercie encore de m'avoir choisi veiller sur vos investissements monsieur Wilks! ....."
Jérôme lui sourit en retour en lui serrant la main.
- "Darrin je sais que vous faîtes de votre mieux! ..... Dites à votre adorable petite femme que j'ai vraiment apprécié le dîner et le dessert... J"ai hâte de lui faire goûter mon dessert spécial : un fameux pudding au tapioca, je pense qu'elle l'adorera! ......"
En cet instant même, l'adorable femme de Darrin était accroupie sous le bureau de Jérôme, elle savourait les jets de pudding au tapioca qu'il lui injectait dans la gorge.
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8 mois plus tard naissait le petit Darrin, il pesait 5 livres et demi. Ellen assura à son mari, que c'était tout à fait normal, puisque le bébé était prématuré de quelques semaines.
Mais la ravissante jeune femme savait très bien que le bébé était né à terme, en dépit de ce qu'elle racontait à son mari, elle priait pour son bébé soit petit, mais pas un nain à l'image de son géniteur.
Darrin embrassa sa femme et avança que son fils ressemblait surtout à son père, un peu gros pour sa taille. Darrin senior rit sans prêter attention aux frissons de sa femme qui affichait une moue désabusée en écoutant ses dire, il lui paraissait évident que son fils était l'image même de son géniteur.
Il pensait qu'il avait un sacré veine d'avoir rencontré ce nain qui était devenu son principal client, il l'avait félicité dernièrement lui claquant le dos d'une tape amicale.
Darrin senior avait reçu une sacré prime au retour de sa dernière absence de six semaines, il voulait maintenant rester le plus possible avec sa petite famille.
Toutefois son patron venait de lui demander de repartir 6 semaines loin de la ville et de son foyer, il hésitait, ne voulant pas laisser son adorable petite femme seule alors qu'elle venait d'accoucher.
Mais Darrin n'avait pas besoin de se tracasser, son adorable petite femme ne serait jamais seule pendant ces six semaines.
L'aide domestique fournie par l'entreprise pour assister sa femme lors de son absence consistait en une aide de vie, une femme de ménage et un cuisinier.
Tout se mit en place avant même le départ de Darrin, apaisant ses craintes, plus important encore, l'adorable Ellen ne manquerait pas de compagnie.
Darrin avait pris un taxi pour se rendre à l'aéroport, il ne voulait surtout pas troubler sa jeune femme et surtout il voulait lui permettre de terminer sa sieste dans son grand lit.
Une heure plus tard, son adorable épouse se trouvait toujours dans son grand lit mais elle ne se relaxait plus.Agenouillée au beau mitan du lit elle léchait et suçait consciencieusement la grosse bite déformée du nain contrefait.
Tandis qu'elle satisfaisait les appétits lubriques de ce maudit salaud, Ellen ne s'était pas aperçue de l'arrivée d'un autre homme, le patron de son époux qui en fait, avait été, le principal artisan de sa dégradation.
Et cet homme l'observait attentivement accordant ses faveurs à son meilleur client, il dévêtit prestement impatient de se mêler à l'assaut.
Alors que la grosse queue allait et venait dans sa petite chatte, les mains du petit homme lui tenaient fermement la tête.
Soudain, Ellen effarouchée sentit des mains étrangères se poser sur ses hanches, alors que le lit ployait sous le poids d'un nouvel intervenant. Elle chercha à se débattre, tentant vainement de se redresser, désespérée, elle sentait quelqu'un s'installer entre ses cuisses.
Un tiers se préparait à la posséder.
Elle pensa que le vieux nain décrépit avait invité l'un de ses employés à partager ses charmes pour le récompenser d'avoir mené à bien une tâche délicate.
- "Vas-y Calhoon, je sais depuis combien de temps tu attends pour fourrer ta grosse bite dans sa petite foufoune! ....."éclata de rire Jérôme.
- "T'as raison j'en ai mal aux burnes d'avoir tant attendu pour lui foutre ma bite dans la chatte! ...." grasseya le vicieux patron de son mari.
Elle reconnut tout de suite sa voix.
- "Viens Calhoon, montre-nous si ru parviens à faire un petit frère ou une petite sœur à mon fils..... Un petit bébé qui viendrait jouer avec lui! ...."
- "Bordel tu ne peux pas savoir ce que le temps m'a paru long de pouvoir poser mes mains sur ton ravissant petit cul madame Ryan! ..... J'ai regardé maintes fois ta vidéo, éjaculant à chaque fois... " ricana grossièrement. Calhoon.
Il commença à caresser les soyeuses cuisses et le cul bien ferme de la jeune femme affolée. Sa bite se promenait le long de la fente de la foufoune de la jeune femme de son employé. Arquant le dos Calhoon donna un bon coup de rein, enfonçant profondément sa bite dans l'objet de ses rêves.
De grosses larmes ruisselèrent sur ses joues, elle était honteuse de sentir sa fentine lubrifiée par son propre jus faciliter les coulissements de la bite du pervers patron de son mari qui venait frotter rudement son clito exacerbé.
Son corps s'affolait, alors qu'il forait aisément son chemin dans son fourreau accueillant.
- "Ohhhhhh... " grommela-t-elle l'épaisse bite toujours en bouche.
Aors que le patron pervers de Darrin enfonçait sa vieille flamberge au fin fonds de son utérus. Haletant, le vieillard n'en croyait pas ses yeux, il se faisait la plus belle paire de fesses qu'il avait jamais vue.
- "Oh madame Ryan, ton mari pense que je l'ai envoyé en mission pour son expérience, mais c'est toi la véritable raison de son éloignement! ...." l'informa-t-il grossièrement tout en se logeant au fin fond de la chatte de la jeune femme horrifiée par tant de machiavélisme.
- Eh oui ma chérie...... A mon tour de t'engrosser! ..... Tu vas être ma petite pute pendant les 6 semaines à venir...... Jusqu'au retour de Darrin! ......"
- "Oh oui..... Ce que t'es bonne ma petite pute! .... Je... Je jouisssssssssssss...... " grognait Calhoon tout en enfonçant son salami aux confins de son utérus.
Le corps d'Ellen était secoué de spasmes incontrôlables tandis qu'elle succombait à un orgasme fulgurant, bloquant ses cuises autour du torse de ce vieux pervers de Calhoon, qui lui envoyait une bonne pinte de foutre dans sa chatte fertile.
C'est à cet instant même que la monstruosité de l'horrible nain explosa dans sa bouche lui tapissant le palais et la gorge de son épaisse crème.
Un an plus tard, Darrin senior jouait allégrement avec ses deux garçons.
Il était extrêmement fier d'avoir conçu ces merveilleux petits bébés avec son adorable femme. Il avait était tout surpris, lors de la naissance que son patron lui accorde une semaine de congé le félicitant :
- "Un bon père se doit de prendre grand soin de ses fils! ..

Ma mari c'est ma femme... Et on adore les trio...

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2H1F...... Non 2F1H...... 
Enfin je sais pas exactement.

A part qu'on est trios.... LOL!


Prenez un cours messieurs les cocus..! Ça c'est de la baise!

Deux verres ça va.... Trois verres bonjour les dégâts... Surtout en boite de nuit.

Certains ont de capacités exceptionnelles.................!!!!!!!!!!!!!!!!!

La vie en Fraternité chez nos amis américains

Histoire du net. Auteur inconnu. Le goût du péché de lubricité...

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Quelquefois, des rencontres difficiles
nous ouvrent des horizons inconnus...
Même pour  une gentille  dame BCBG...


Une prise en main bénéfique 
J'ai une amie un peu coincée, on a toutes des amies comme ça. Mais je la connais depuis le lycée, on s'entend bien même si des fois je la trouve un peu ennuyeuse. Elle est mariée depuis 10 ans, elle à deux enfants, comme son mari gagne bien sa vie, elle s'occupe d'eux à plein temps, ils sont le centre de son univers. Par contre, elle s'entretient, faisant 3 fois par semaine du jogging, ce qui fait qu'elle a des cuisses et des fesses particulièrement musclées. Elle n'est pas très grande, 1m65 je pense pour une cinquantaine de kilos, elle a 35 ans, brune à cheveux courts, toujours habillée de façon classique, chemisier boutonné jusqu'au cou, chaussure a talon plat et pantalon a pince.
Lorsque ses enfants sont à l'école, elle passe régulièrement boire un café chez moi, nous discutons toujours de nos maris comme souvent les femmes. J'étais sidérée de ce qu'elle me racontait sur leurs ébats sexuels. Ils faisaient peu l'amour, elle le prenait un peu en bouche pour le durcir puis il entre en elle, fait quelques mouvements et c'est fini ! Elle m'a même avoué qu'il était toujours un peu mou. Je me demandais comment ils avaient eu leurs enfants. C'était son 1er homme et pour elle, cette sexualité où je devrais dire cette « non-sexualité » était parfaitement normale. Je n'osais pas lui dire ce que nous faisions avec mon mari de peur de la choquer, j'acquiesçais donc à ce qu'elle me racontait.
Puis un jour, il va lui arriver une histoire qui va changer sa vie, lorsqu'elle me l'a racontée, j'étais sidérée ! Je n'en suis toujours pas revenue je dois bien l'avouer. Voici donc ce qui s'est passé un matin de printemps.
Elle avait posé ses enfants à l'école, c'était le jour de son jogging, un jeudi. Comme à chaque fois qu'elle allait faire du sport, les enfants déjeunaient à la cantine, elle avait donc le temps de courir tranquillement, de rentrer à la maison et de préparer le gouter des enfants. Elle avait pris sa voiture et son York, mit son survêtement gris habituel et s'était rendue dans son coin favori. Il y a peu de joggeurs en semaine, elle aimait être tranquille, cela lui convenait parfaitement. Elle a donc garé sa voiture, pris le chien avec elle, et elle a commencé son jogging, toujours le même parcours depuis 5 ans, elle n'en changeait jamais.
Ce jour là, le chien a dévié de sa course en sous-bois et elle l'a suivi, l'appelant pour qu'il revienne, mais il ne l'écoutait pas. Elle a donc accéléré sa course et est arrivée devant une cabane. Elle l'avait déjà vu de loin, mais elle n'avait jamais été la voir de plus près, fidèle à elle-même et ses habitudes de parcours. Cette cabane n'en faisait pas partie. son chien reniflait les alentours et elle allait l'attraper lorsqu'elle a été saisie par la taille par deux hommes, qui l'ont pratiquement jetée dans la cabane. Elle s'est mise à hurler, mais ils lui ont mis un foulard autour de la bouche pour la faire taire.
Dans la cabane, il n'y avait qu'une table, des bouts de bois, quelques outils et des sacs vides de pommes de terre sur le sol en terre battue. Ils l'ont plaqué au sol sur les sacs et l'un des hommes s'est assise sur elle pour la maintenir, elle se débattait, lançant ses jambes dans tous les sens. Celui qui n'était pas sur elle, lui a arraché ses tennis, puis son jogging puis il est venu devant et en la relevant lui a enlevé son haut, elle s'est retrouvée en sous-vêtements, les larmes coulaient sur ses joues. Ils ont commencé à parler. 
- Purée quel corps elle a cette salope, regarde moi ça comme elle est musclée, je bande déjà, j'ai envie de la baiser tout de suite. Elle doit être bonne. On va te dire un secret, ça fait des mois qu'on te regarde courir, on attendait l'occasion. Ton petit cul nous excitait et pas qu'un peu. Maintenant que tu es là on va pouvoir enfin le baiser ce cul.
Ils avaient l'air vraiment méchant, bien décidé à s'amuser avec son corps, elle était terrorisée. Celui qui venait de parler a sorti un couteau à cran d'arrêt et a coupé son soutien-gorge et son slip, elle était complètement nue. Celui assis sur elle a commencé à lui masser les seins fortement avec ses grosses mains, tirant ses tétons, son copain regardait en ricanant :
- Vas-y tire les biens ses petits nichons qu'ils pointent bien.
Il a ensuite aussi commencé à lui toucher la poitrine, très fortement, pinçant les pointes, malaxant à pleine main ses seins.
- Tiens la bien mon pote, j'ai envie de lui bouffer la chatte a cette salope, regarde elle a un tout petit minou, ça doit être délicieux.
Ma copine ne comprenait pas de quoi il parlait, « bouffer la chatte » qu'est ce que cela pouvait bien pouvoir dire, elle pleurait de plus belle. Elle a vite compris. L'homme au couteau est venu entre ses cuisses, les a écartées, les a posées sur ses épaules, et il a posé sa grosse bouche sur son sexe. Elle se débattait comme elle pouvait. L'autre homme lui a dit :
- Ne bouge pas, sinon on va être beaucoup moins sympa, on va te bouffer la chatte, après tu vas nous sucer pour nous remercier et t'as intérêt de bien le faire sinon ça va mal se passer pour toi.
La langue de son ami est entrée dans sa chatte qui n'avait jamais été léchée. Elle a sursauté sous l'assaut. La langue la fouillait entrant et sortant de sa chatte, il l'a léchée en remontant tout le long de son sexe, de bas en haut, puis il a écarté ses grosses lèvres encore mieux pour tout prendre. Elle pleurait toujours et l'autre homme assis sur elle, continuait de malaxer sa poitrine. Il l'a encore léché longuement, apparemment pas prêt de se lasser. Il lui titillait le clitoris, elle m'a avoué que cela lui faisait des drôles de sensations, mais elle était prise de terreur avant toute chose. Puis de longues minutes plus tard, celui entre ses cuisses a dit à son pote :
- À toi, viens la bouffer, tu vas voir c'est super son petit sexe, elle est super bonne, tu vas plus pouvoir t'arrêter.
Ils ont échangé leurs places, et l'autre homme lui a mis les jambes en l'air bien écartées et l'a léchée aussi. Il descendait bien plus bas, léchant aussi son anus, elle tremblait sous ses nouveaux assauts pour elle, mais elle espérait au fond d'elle qu'après ça ils allaient la relâcher. Il la léchait très fortement, appuyant sa grosse langue sur toute sa chatte, entrant dans son sexe, léchant le tour de son anus, elle avait l'impression que ça durait depuis des heures. Lorsque l'homme assis sur elle lui a dit :
- On va t'enlever ton foulard, si tu cries on te le remet et on t'attache, t'as bien compris ? Ensuite tu vas venir nous défroquer, pour bien voir les deux queues qui vont te baiser et tu vas nous sucer, c'est clair ?
Ma copine n'avait d'autre choix que d'acquiescer, il lui a enlevé son foulard et ils se sont mis debout devant elle, mais elle n'osait pas bouger, toujours terrorisée par ce qu'il se passait. Alors l'un des hommes l'a relevé son*son*son par le bras et lui a donné quelques belles claques sur les fesses, ça cinglait fort son derrière, elle pleurait de plus belle, mais elle s'est approchée des deux hommes, elle n'avait pas le choix.
- Allez viens la approches et enlève nos frocs, et dis moi comment il te baise ton mec, combien de fois par semaine ? Et t'as intérêt à répondre.
- Il me fait l'amour 2/3 fois par mois, elle pleurait en disant ça, tout en commençant d'ouvrir les boutons du jeans de celui au couteau
- Quoi, seulement, avec le cul que t'as, il s'étranglait de rire, et dis moi, tu le suces ton mec ?
- Un peu oui
- Comment un peu ? Tu avales son sperme quand même, il doit bien bander dur, les mecs ça aiment jouir dans la bouche des salopes comme toi.
- Nonnnnnnn je n'ai jamais fait ça, juste pour qu'il soit un peu dur.
Elle disait ça tout en finissant d'ouvrir son pantalon, puis elle l'a baissé le long de ses cuisses et elle a eu très peur. Pour la 1ere fois elle voyait un homme vraiment bander, bien dur, et surtout elle n'avait jamais imaginé qu'un homme puisse être si gros...
- Bon sang on a affaire à une nana qui a jamais sucé un mec à fond, j'imagine que le reste doit être pareil, il t'encule ton mec ?
- Nonnnnnn jamais de la vie
- Mon pote on a touché le gros lot, une vierge pratiquement intégrale. Ça va être le pied, purée elle me fait bander comme un cheval cette cochonne, occupe toi de déshabiller mon pote aussi, t'arrête pas en chemin.
Elle a été vers l'autre homme et a aussi ouvert son jean, il bandait dur aussi, pendant ce temps la son ami s'était complètement déshabillé en ricanant.
- Viens la, suces maintenant et applique toi bien, tu vas boire mon sperme.
Mon amie a voulu s'enfuir, mais ils l'ont rattrapé, et un des hommes l'a forcée à se mettre à genoux, celui qui avait coupé ses sous-vêtements a approché son gland de sa bouche, appuyant sur ses lèvres. Elle n'avait plus d'autre choix que de le sucer. Elle a ouvert la bouche et l'homme à enfoncer directement sa queue dans sa gorge. Elle a eu un haut-le-cœur, mais il est ressorti et elle a pu le lécher.
- Mieux que ça, applique toi, branle moi en même temps ma salope, que mon gland soit bien mis à nu, aspire aussi, et toi mon pote sort ton portable et appelle Jim, elle va nous donner du fil à retordre vu tout ce qu'il faut qu'on lui apprenne à cette salope. On ne sera pas trop de trois pour bien la limer dans tous ses petits trous, surtout celui qui est vierge. Non attend d'ailleurs j'ai une idée, appelle plutôt max, vu ce qu'il a entre les cuisses, elle va s'en souvenir longtemps comme ça de son limage de cul. Voilà, c'est mieux, allez encore, prends la à fond dans ta bouche.
Ma copine s'appliquait du mieux qu'elle pouvait, masturbant l'homme, lui décalottant bien le gland tout en tremblant. Elle venait de comprendre qu'elle ne serait pas relâchée de sitôt, qu'ils avaient l'intention de la prendre par tous ses trous et en plus ils avaient appelé un troisième homme.
- Elle va me faire jouir cette salope, elle s'y prend mal, mais purée que c'est bon quand même, active toi, plus vite sur ma queue.
Il a tenu sa tête, la faisant aller plus vite le long de son sexe, son pote, pendant ce temps était au téléphone et murmurait. Elle n'entendait pas la conversation. Puis d'un seul coup, il s'est raidi au fond de sa gorge, maintenant sa tête pratiquement sur son pubis puis il a joui dans sa gorge en râlant. Ma copine a cru étouffer. Lorsqu'il s'est reculé, elle a recraché son sperme pratiquement en vomissant. Il s'est mis en colère immédiatement :
- Tu vas le regretter ma salope, je t'avais prévenu, je vais te mettre une branlée et tu vas me re.sucer longuement jusqu'à tout avaler et si tu recraches encore, je t'en fou une deuxième.
Ma copine a hurlé de terreur, mais l'homme l'a attrapé par le bras et l'a jeté face contre la table, son pote avait raccroché et est venu l'aider. Celui qu'elle venait de sucer lui maintenait les reins sur la table avec une main de l'autre il l'a faisait taire en lui tenant la bouche.
- Vas-y mon pote, fou lui une danse, et applique toi bien, elle va voir qu'il ne faut pas plaisanter avec nous, après elle va mieux nous sucer la queue cette grosse salope.
Son ami a commencé à lui mettre des claques énormes sur les fesses, ma copine pleurait sous les coups, il a dû lui mettre une vingtaine de claques violentes sur son postérieur, lorsque celui qui la tenait lui a dit :
- Écarte tes cuisses si tu veux que ça s'arrête et tu vas être bien gentille maintenant comme une parfaite petite pute à notre disposition et tout se passera bien.
Elle a écarté largement les cuisses et celui qui la fessait, lui a appliqué une autre série de claque, mais sur sa chatte cette fois. Elle voulait crier, mais l'homme la bâillonnait toujours. Elle avait la chatte et le cul en feu. Mais elle a gémi !
- Bon sang, t'a entendu ça, la salope aime en fait, elle veut du lourd, qu'on la maltraite un peu, je m'attendais pas à ça. Va chercher le bout de bois là-bas, tu sais celui bien souple, elle va prendre une jolie correction, ça lui apprendra à pas avaler mon sperme, puis ensuite tu vas lui violer direct sa chatte à cette pute qui gémit de plaisir en plus, ça me laisse le temps de bien bander a nouveau.
Et d'un seul coup, elle a été littéralement fouettée par une badine souple qui lui cinglait les fesses et la chatte, et ma copine a tendu les fesses vers l'arrière, elle aimait ça ! Elle découvrait une sexualité qui lui plaisait et les coups sur son sexe en feu la mettaient en émoi. Il a dû lui appliquer pas moins de trente coups de badines, ricanant devant son cul rouge. Celui qui la fouettait a passé le doigt entre ses lèvres pour voir sa réaction :
- Elle commence à mouiller la garce, c'est, une sacrée cochonne qu'on a la en fait, je vais me la faire, je bande trop là.
Et d'un seul coup violent en la tenant par les hanches, il est entré entier dans sa petite chatte. Ma copine a eu l'impression d'être déchirée, jamais elle n'avait été prise comme ça. Un homme avec une belle queue bien dure et surtout bien raide. son ami la bâillonnait toujours. Il a commencé des allées et venues violentes, la prenant profondément, elle sentait ses couilles taper sur son clitoris. Elle se faisait limer pour la 1ere fois avec puissance jusqu'au fond de son sexe, elle sentait le gland de l'homme sur le col de son utérus.
- Tu la sens la queue de mon pote dans ta chatte, il te lime bien hein ma salope, tu ne connaissais pas ça, on va te montrer c'est quoi des vrais mecs, on va te sauter toute la journée comme la jolie petite pute que tu es. Tu vas voir mon pote quand il va arriver, tu vas crier pour quelque chose. On te réserve une belle surprise.
Et les paroles de l'homme l'excitaient, elle sentait qu'elle mouillait, cette puissance dans sa chatte violentée lui plaisait, elle adorait ça ! Il a enlevé la main de sa bouche. Elle ne criait plus, elle gémissait fortement, elle découvrait le plaisir sublime d'être limée par un mec puissant. Puis celui qui venait de libérer sa bouche a mis sa main entre ses cuisses à la recherche de son clitoris. Lorsqu'il l'a trouvé, il l'a malaxé durement avec plusieurs doigts ;
- Mais c'est vrai qu'elle mouille cette cochonne. On va t'en donner comme jamais de toute façon vu ce que te fait ton mec, tu dois être en manque. Tu prendras autant en quelques heures que ce que tu as pris en 10 ans de mariage et avec la manière. Allez lâches toi salope, viens jouir, je bande comme un taureau, je veux que tu me suces à nouveau et cette fois tu vas bien avaler mon sperme si tu ne veux pas une autre correction bien plus méchante que la 1ere.
L'homme entre ses cuisses la limait toujours avec application, entrant et sortant vigoureusement de sa chatte en feu, il haletait, il allait bientôt jouir. Mon amie a commencé à bouger son bassin, elle sentait l'orgasme arriver dans son ventre, elle allait jouir pour la 1ere fois ou presque. D'un seul coup, elle a tremblé et c'est en criant qu'elle a joui sous les doigts de l'homme et les assauts de celui dans sa chatte brulante. Il l'a limé encore un peu, attirant violemment ses hanches contre son sexe et il s'est figé au fond d'elle en râlant son plaisir.
- Allez t'endors pas ma salope, viens me sucer maintenant, et applique toi bien, que je te le redise pas. Accroupis-toi devant moi, cuisses bien écartées que mon pote puisse s'amuser un peu aussi.
Elle s'est exécutée et a saisi la queue de l'homme dans sa main. Elle s'est mise à le masturber et a englouti son gland bien dur. Elle a fait tourner sa langue autour. Il lui a saisi la tête pour lui donner le mouvement.
- Oui c'est mieux, tu apprends vite, branle moi bien la queue, aspire fort sur mon gland, mmmm c'est bon, continue comme ça, un peu plus vite.
Son ami avait passé une main entre ses cuisses et lui malaxait sans aucune douceur son clitoris gonflé et sensible, il entrait deux doigts en elle, la limant toujours fortement, puis repassait à son clitoris. Ma copine gémissait, elle aimait ce que les hommes faisaient subir à son corps pratiquement vierge de caresses.
- Allonge toi par terre, entre ses cuisses, bouffe lui la chatte à cette pute, elle va adorer ça, elle en redemandera encore. Et lime la bien aussi, fou lui trois doigts bien à fond, écarte bien sa petite chatte.
Son ami ne s'est pas fait prier, il s'est allongé et a passé sa tête entre ses cuisses largement ouvertes. Il a entré directement sa langue dans son vagin, buvant son mélange de jouissance et de son propre sperme. Ma copine a gémi sous l'assaut, elle y prenait vraiment goût. Puis il a entré trois doigts dans sa chatte, la limant puissamment tout en léchant son clitoris.
Elle a continué de lécher l'autre homme, il était infatigable, ses mâchoires commençaient à lui faire mal. Elle a accéléré ses mouvements de mains et de bouche, il a commencé à gémir de plus en plus fort.
- Vas-y, suce bien à fond, mmmm, encore plus vite tu vas me faire jouir ma petite salope, et avales bien tout mon sperme sinon tu vas morfler crois moi.
Il lui a imprimé un mouvement très rapide dans la bouche, celui entre ses cuisses la limait toujours avec ses doigts, il gobait son clito, le léchait, appuyant très fort sa langue dessus. Ma copine a senti qu'elle allait jouir de nouveau sous les coups de langue et le limage puissant de sa chatte. Puis enfin l'homme dans sa bouche s'est immobilisé, lui tenant la tête pour pas qu'elle bouge, il a joui en de longues giclées épaisses au fond de sa gorge :
- Avales cochonne, avales bien tout mon foutre.
Elle a tout avalé en même temps qu'elle jouissait sous les assauts de l'homme couché entre ses cuisses, il avait plaqué son sexe contre sa bouche, buvant sa jouissance pendant que ma copine avait le corps rempli de soubresauts.
- À moi maintenant, viens me sucer salope, mais avant je vais te remettre une correction pour être sur que tu as bien compris qu'il faut bien tout avaler.
Et ils l'ont remise contre la table, cul bien en arrière, jambes écartées, et les coups sont tombés sur son cul et sa chatte, mais il était évident que le 2e homme visait plus particulièrement son sexe. Il frappait dur, puis il a saisi la badine, lui appliquant une dizaine de coups bien ciblés, elle pleurait, elle avait la chatte en feu.
- C'est bien, je pense que tu as compris, tu vas me lécher les couilles et le cul, j'adore les petites langues sur mon anus. Et avales tout mon sperme sinon je te dérouille encore petite pute.
Il s'est allongé sur la table, pied posé dessus pour bien écarter ses cuisses, son pote a attrapé ma copine par le bras et lui a mis la tête sur le sexe de son ami.
- Suce le salope, prend son sexe dans ta main, branle bien, allez mieux que ça, si tu ne veux pas une autre correction. Descend vas lui lécher le cul, dépêche toi, applique toi, lèche son petit trou, tourne autour.
Ma copine s'exécutait en larmes, sa langue léchait le petit trou d'un homme, pour elle c'était impensable, ignoble. Elle le masturbait en même temps, remontant et engloutissant son sexe bien dur dans sa bouche. Elle s'appliquait bien, léchant sur toute la hauteur le sexe de l'homme, puis passant à ses couilles et à son anus. Elle m'a avoué qu'elle mouillait comme une folle, qu'elle avait encore envie d'être prise par un homme !
- Allez suce le bien, je vais te défoncer ta chatte pendant ce temps là, je vais te baiser comme la pute que tu es, suce bien mon pote, et n'oublie pas avales tout son sperme.
Il s'est introduit d'un seul coup en elle, lui violant de nouveau sa petite chatte qui n'avait jamais subi pareille intrusion. Il l'a limé violemment, fortement, haletant déjà sous les coups de boutoir qu'il lui mettait. Elle suçait toujours l'autre homme, se concentrant sur son sexe maintenant, il lui tenait fermement la tête, lui imposant un rythme rapide dans sa bouche.
Derrière elle, l'homme allait plus vite, elle comprit qu'il allait jouir. Puis au même moment, ils ont joui tous les deux, l'un au fond de sa gorge et l'autre dans sa chatte brûlante.
La porte s'est ouverte violemment, un homme est entré, un balèze métis. Il était impressionnant, très grand, costaud.
- Bon je vois que c'est bien commencé, il riait
L'homme au couteau lui a fait un topo de la situation, lui racontant qu'en fait elle aimait ce qu'ils lui faisaient, une parfaite petite pute qui ne le savait pas encore. Les termes crus et violents qu'il utilisait excitaient ma copine comme jamais ! Et il a dit ;
- Dis max, tu as ramené ce que je t'ai demandé ? Et t'a fait comme on a dit ?
- Bas ouais mon pote, il est dans mon sac, tu le veux tout de suite ? Et pour ce qu'on a dit je me suis branlé deux fois avant d'arriver, je tiens la forme pour bien baiser si tu vois ce que je veux dire.
- Parfait, tu vas pouvoir bien tenir le coup, c'est une sacrée salope, elle a besoin d'être bien fourrée. Et pour l'autre chose, pas tout de suite on verra après. Approches et viens sucer mon pote, tu vas avoir la surprise de ta vie, t'as déjà vu la queue d'un black. Il riait de bon cœur.
Ma copine s'est avancé vers l'homme, il avait baissé son pantalon et son slip, et elle à découvert une très grosse bite, mais encore au repos. Elle s'est reculée d'un coup, voulant s'enfuir devant cette vision, mais évidemment ils l'ont rattrapé.
- Je crois qu'elle n'a pas compris encore, va falloir une troisème trempe pour la calmer cette salope, mais elle adore ça.
- Non, je vous en prie, pas ça.
Elle pleurait de nouveau, mais elle m'a avoué qu'elle était sur excitée.
- C'est trop tard, tu dois être obéissante.
Et il l'a remise sur la table, ventre contre le bois, fesses en l'air. Et les coups sont partis tout de suite, c'était le métis qui le faisait, ses grosses mains claquaient sur son petit cul et il y allait de bon cœur.
- Ça t'apprendra à pas me lécher salope, mais rien que de voir ton petit cul je bande déjà comme un cheval, je vais te défoncer ta chatte et après ton petit cul de vierge, tu vas me sentir passer crois moi.
- Non, je vous en supplie pas mes fesses, on ne m'a jamais fait ça...
- Justement, tu vas adorer ça et moi j'adore les culs et il frappait toujours.
L'un des hommes avait passé sa main entre ses cuisses encore et la malaxait durement, son clitoris sensible lui faisant presque mal. L'autre homme lui tenait les reins plaqués sur la table pour pas qu'elle bouge et d'elle-même, elle a écarté les cuisses et tendue ses fesses vers l'homme.
La réaction ne s'est pas fait attendre, elle a reçu une vingtaine de grosses claques sur la chatte qui la faisait sursauter à chaque fois, elle haletait de plus en plus vite. L'homme au couteau a dit ;
- Max montre lui ta bite maintenant que tu bandes bien, qu'elle voit avant avec quoi tu vas défoncer ses trous.
L'homme est venu sur le côté de la table et mon amie a vu ! Un truc énorme, elle n'imaginait pas que cela pouvait exister, le gland était monstrueux, une longueur impossible à imaginer m'a-t-elle raconté, elle a suppliée :
- Non je vous en supplie c'est énorme, ça ne peut pas passer, non s'il vous plait, pas ça.
- Mais si ça va passer et jusqu'au bout, d'abord ta chatte puis ton cul et tu sais quoi, après ma salope on va te baiser à deux en même temps. On va te remplir et on va te limer longtemps, oui ça va durer très très longtemps, on a l'habitude des salopes comme toi. Mais la Max va t'ouvrir ton cul de vierge et pendant ce temps tu vas sucer mon pote.
Max s'est remis entre ses cuisses, et l'autre homme lui a présenté son sexe redevenu bien dur. Elle a gobé le bout de son sexe et elle a senti l'énorme gland forcer sa petite chatte. Elle a essayé de bouger pour enlever l'homme derrière elle, mais il l'a maintenu par les hanches, tout en poussant son gros sexe en elle. Le gland est entré d'un coup, elle a crié tout en ayant l'autre homme dans la bouche.
- C'est bon hein allez dis que tu aimes ça, une grosse queue en train de te défoncer la chatte, je vais le lécher tiens pour faire passer le morceau.
Et l'homme au couteau s'est agenouillé entre la table et ses cuisses et lui a léché le clitoris. Ma copine avait le corps qui tremblait, elle adorait se faire violenter par les trois hommes, jamais m'a-t-elle dit elle n'avait imaginé un truc pareil. Elle suçait vigoureusement l'homme dans sa bouche, pendant que le métis entrait sans faillir dans sa chatte, il poussait un peu puis ressortait pour entrer un peu plus, elle avait l'impression d'être remplie par plusieurs sexes à la fois tellement il était gros. Sa chatte s'ouvrait sous la poussée de la grosse queue, la faisant légèrement souffrir, mais elle adorait cette nouvelle sensation.
- Allez pousse un bon coup Max, bourre lui la chatte, t'es trop gentil là, faut la limer comme la petite pute qu'elle est derrière ses dehors de petite bourge. Défonce-la à grand coup avec ta grosse bite, lime la bien fort, bien au bout.
Et max à poussé d'un grand coup au fond de son sexe. Ma copine a crié, elle avait l'impression d'être déchirée, comme si elle prenait une bite en elle pour la 1ere fois, bien que vu ce qu'elle m'avait raconté avec son mari, c'était pratiquement ça. Et il l'a limé à grand coup de boutoir violent, entrant et sortant de sa chatte en feu, la fouillant profondément, sans faillir, sans changer de son rythme puissant. Elle léchait toujours l'homme dans sa bouche, il haletait en lui tenant la tête, il bougeait vite dans sa bouche, et entre ses cuisses, l'homme au couteau s'occupait tout aussi fortement de son clito, ne lui laissant aucun répit, tantôt le léchant avec sa langue bien appuyée, tantôt en le triturant avec plusieurs doigts.
- Ne jouis pas dans sa chatte Max, faut que tu t'occupes de son petit cul étroit à la cochonne.
- T'inquiète, je ne suis pas prêt de jouir, mais on va changer un peu la pose là.
Il est sorti de sa chatte brûlante, il l'a relevée et l'a couchée sur le dos sur la table, puis il a dit à ses potes :
- Tenez lui bien les jambes écartées, chacun d'un coté, je ne rentre pas assez loin la, faut que je lui viole sa chatte bien plus loin que ça, elle me sent pas la cette salope.
- Oui tu as raison mon pote, lime la encore cette pute, de toute façon vu comment elle mouille, on va encore jouer avec elle, une salope comme ça on la baise des heures.
Et lorsqu'elle fut bien écartelée, Max l'a saisie par les hanches et à littéralement violé sa petite chatte, ma copine a hurlé, l'homme au couteau l'a de nouveau bâillonnée. Il l'a pistonnée comme un fou, la fouillant, poussant toujours plus fort, il était très endurant, elle avait l'impression que ça durait depuis des heures, et il limait encore et toujours, ne s'arrêtant pas. Ma copine mouillait comme une folle.
- Purée elle est vachement étroite en fait, on ne dirait pas qu'elle a déjà été baisée, elle va me faire jouir cette pute, c'était Max qui parlait
- Non mon pote, change de trou elle est prête là, violes son cul qui a jamais eu de bite.
- Avec plaisir, on va la défoncer et après la surprise...
Ses potes lui ont écarté encore plus les cuisses si c'était possible, Max a ouvert ses fesses avec se mains et il a posé son énorme gland a l'entrée de son anus vierge. Et il a commencé à pousser pour son*** son petit trou, il appuyait fort pour passer sa rondelle toute neuve.
- Purée que c'est bon, elle est si étroite, tu le sens mon gland petite salope ? Je vais te violer le cul tu vas t'en souvenir toute ta vie, une énorme sodomie puis on va te baiser à deux, chacun notre tour dans tous tes trous. T'es prête ma salope, je vais pousser un grand coup, j'ai trop envie de te défoncer ce trou tout neuf.
Et il l'a fait !, d'une seule poussée extrêmement puissante, il lui a défloré entièrement le cul, son énorme sexe violant son anus étroit, sur toute sa longueur en un seul coup d'une violence inouïe. Ma copine hurlait sous le bâillon, mais elle était trempée, sa mouille coulait entre ses cuisses, elle adorait ce viol ou elle participait activement comme le prouvait ses jouissances et sa chatte trempée.
Et la sodomie a commencé, une sodomie qui a duré de très longues minutes, il la fouillait sans relâche, ressortant entièrement et la reprenant avec violence, lui ouvrant à chaque fois son anus si étroit. Un des autres hommes lui caressait son clito en même temps, appuyant bien fort dessus, le martyrisant, mais elle mouillait de plus belle, ondulant son bassin sous toutes ses sensations.
- Tu mouilles salope, tu mouilles comme la pute que tu es, tu le savais pas, mais tu aimes les grosses queues qui te son*son, qui te violent le cul et la chatte, tu la sens ma grosse queue hein, oui tu l'as sens bien, je te défonce ton petit cul comme une chienne c'est incroyable un truc pareil, je ne vais pas me lasser de toi, je vais te limer comme jamais. Enlève-lui son bâillon, elle va être bien gentille et je veux qu'elle me dise qu'elle aime que je la défonce.
Ces paroles d'une rare violence augmentaient, non décuplait son plaisir, elle adorait ça, elle se faisait littéralement violer l'anus par une énorme queue et elle en redemandait ! Un des hommes à baisser le foulard sur son cou, elle a crié son plaisir :
- Oui a-t-elle murmuré timidement, j'aime ça
- Mieux que ça, tu veux que je te remette une trempe ou quoi, allez dis « j'aime être violée par une énorme queue dans mon cul, j'en veux encore »
- J'aime ça oui...
- Tu l'auras cherché cochonne, je vais te fouetter la chatte avec la badine...
- Nonnnn, j'aime ça être violée par une énorme queue dans mon cul, j'en veux encore
- Voila, c'est mieux, tiens prend ça au fond de ton trou, je vais jouir, tu es trop bonne hannnnn
L'homme allait bientôt jouir, son râle augmentait, il haletait de plus en plus vite, il a accéléré comme un fou dans son cul étroit, la déchirant toujours plus, puis il s'est figé au fond d'elle et il a joui criant, restant immobilisé de longues secondes, bien plaqué contre elle. Ils ont relâché ses cuisses, elle pensait que c'était terminé, qu'ils allaient la relâcher, elle avait joui, elle était repue et elle avait adoré ça, mais elle se trompait lourdement...
- À nous maintenant de prendre son petit cul, mais vu comment tu l'as ouverte Max, c'est trop large pour nous, il riait de bon cœur tous les trois. Donne-moi la surprise Max qu'on lui montre, elle va comprendre la petite pute.
Et Max a sorti de son sac à dos, un énorme god avec un très gros gland qui avait des sangles, ma copine a écarquillé les yeux, c'était plus gros que celui qui venait de lui violer les fesses et la chatte. Elle s'est mise à trembler comprenant que trop bien la suite.
- Non je vous en supplie pas ça, il est vraiment monstrueux, je ne veux pas, laisser moi maintenant je dois allez chercher mes enfants.
- Les enfants, ça sort a 16h 30 de l'école, il est que 12h30, ça fait que 3 heures qu'on te saute, tu nous prends pour des cons ou quoi ? On va te violer encore, tu adores ça, fait pas ta mijaurée tu es trempée, je te l'ais dit qu'on allait tous prendre, tous tes trous.
Ma copine était mouillée, elle tremblait, mais c'était de plaisir en réalité, elle découvrait qu'elle était une sacrée cochonne, mais qu'elle ne le savait pas tout simplement.
Deux hommes l'ont saisie par les bras et l'ont rallongé sur la table, l'homme au couteau lui a remis un bâillon, et les autres lui ont écartées très largement les cuisses, la maintenant fermement pour ne pas qu'elle bouge.
- Tu es prête ma jolie petite pute, je vais te l'enfiler, mais dans ta petite chatte pour commencer, ça va rétrécir ton cul de salope, comme ça tu va être de nouveau très très étroite et mon pote et moi on va de nouveau le violer ton anus. Tu vas voir, tu auras l'impression que t'a jamais été enculée par la grosse queue de Max. Et quand on aura joui tous les deux, c'est dans le cul que je vais te le mettre, pour bien encore une fois que tu te fasses défoncer le cul par une énorme bite et Max va venir violer ta petite chatte qui sera toute étroite grâce au gros god bien au fond de ton cul.
Ma copine écarquillait les yeux, elle tremblait de nouveau, ce que lui racontait l'homme était hallucinant, mais elle mouillait encore plus si c'était possible. Et il a posé l'énorme gland à l'entrée de sa chatte brulante et il a poussé. Le gland avait du mal à se frayer un chemin, tellement il était imposant, ma copine subissait de nouveau un viol énorme, puissant dans sa petite chatte trempée.
- Ouvrez la plus les mecs, purée c'est dur, on n'a pas l'impression qu'elle a des mômes tellement c'est étroit, mais qu'est ce qu'elle mouille la salope. Tiens toi prête petite pute, je vais pousser pour entrer cette grosse bite dans ta chatte, tu vas la prendre à fond de toute façon, puis après je vais l'attacher à ta taille pour pas qu'elle bouge pendant que je vais te violer le cul, tiens prend ça, voila ça commence à entrer, tu la sens cette grosse bite qui te fouille, tu aimes ça, je te viole la chatte avec un truc énorme, monstrueux.
Ma copine criait sous son bâillon, l'énorme gland venait de la pénétrer, il était entré d'un seul coup, forçant sa chatte devenue très étroite sous l'énormité du god. Et il a continué à forcer son petit sexe, ses potes avaient écarté ses grosses lèvres pour mieux mettre à jour l'entrée de son vagin, et le god entrait toujours avec force et puissance. Il poussait dessus, puis le ressortait pour bien l'humidifier et le rentrais à nouveau plus loin à chaque fois, ma copine ondulait sous les coups énormes de ce sexe en plastique qui la violait plus que jamais, lui faisant redécouvrir son état de vierge. Et il limait encore et toujours, et à chaque fois l'énorme sexe gagnait du terrain, elle avait l'impression que ça ne finirait jamais tellement il était long et gros. Enfin d'un dernier coup puissant, elle l'a absorbée entièrement dans sa chatte qui la brulait tellement. Elle était écartée.
- Voila a dit Max, bien au fond de sa chatte de pute, attend avant de l'accrocher, lime la avec, on a le temps puis faut qu'elle en profite de cette belle bite, lime la bien, voila comme ça, sort le en entier et rentre le à fond jusqu'au bout sans t'arrêter, mmm, purée quel spectacle, regarde comme elle mouille cette salope, c'est incroyable elle est insatiable, quelle pute. Je bande comme un taureau, je vais adorer lui violer sa chatte étroite après, elle va savoir ce que c'est d'être dépucelée par une grosse bite, mais la je vais lui lécher son clito a cette salope pendant que tu la limes avec ce gros god.
Et il s'est penché vers son sexe complètement écarté dont le clito était bien visible et il l'a léché rapidement, sa langue jouant de la pointe sur son clito tout gonflé de désir. Pendant ce temps, l'autre homme la limait avec le gros god, poussant au fond de son sexe, ressortant pratiquement en entier, il l'a limé longtemps, il ne fatiguait pas, ma copine allait jouir sous les coups de langue et de boutoir du gros god.
- Vas-y ma salope, jouit, je vois que tu te contractes, prend ton pied, c'est le but, allez viens, jouit, laisse toi aller, tu veux que j'aille plus vite dans ta chatte hein, tu aimes ça, tiens voila, plus rapide, bien limée comme tu dois aimer, oui c'est bon je sais. Si tu es très sage, on va t'enlever ton bâillon, mais pas tout de suite. Mmm purée qu'est ce que je bande j'ai envie de ton cul la, allez jouit.
Il n'en a pas fallu plus pour que ma copine jouisse violemment, un nouvel orgasme venait d'arriver le long de ses reins, immense, puissant, elle criait sous son bâillon, son bassin ondulait comme un fou, elle était au 7e ciel.
Alors, l'homme a mis le god bien au fond de sa chatte violentée et l'a accroché à sa taille avec les lanières, puis il l'a fait descendre de la table. Elle n'arrivait pratiquement pas à bouger avec cette chose énorme au fond d'elle. Il lui a demandé de se mettre ventre contre la table, fesses bien cambrées vers l'arrière. Elle s'est mise comme il l'a demandé. Ses cuisses étaient largement écartées à cause du god en elle. Max lui maintenait les reins bien plaqués sur la table :
- Faut pas que tu bouges petite pute, je vais bien te tenir pour que mes potes puissent t'enculer bien fort, tu vas prendre ton pied. Après je m'occuperais de toi. Je vais te dépuceler ta petite chatte comme mon pote te l'as dit, avec le gros god dans ton cul, ça va être le pied, tu vas jouir comme jamais salope. Vas y défonce lui le cul, n'ai pas peur, je l'ai déjà bien ouverte tout à l'heure, vas-y franco, viole la bien fort, bien au fond, qu'elle déguste une belle double au fond de son cul étroit la pute. Non, mais je rêve regarde sa mouille malgré l'énorme god dans sa chatte.
Et l'homme au couteau a forcé son anus redevenu très étroit à cause du god figé au fond de sa chatte. Il est entré en deux coups jusqu'à la garde, violant son anus très étroit, il l'a limé à grand coup de boutoir, entrant et sortant sans relâche, longuement sur toute la longueur de son sexe.
- Putain je vais jouir en 2 minutes tellement elle est serrée, j'adore ça, enlève lui son bâillon, qu'on l'entende crier pendant qu'on lui viole son cul de pute.
Max lui a enlevé son foulard, ma copine a crié immédiatement, mélange de douleur et de plaisir, elle adorait ça.
- Dis le que tu aimes te faire défoncer le cul ma salope, dis le moi bien fort, aller je veux t'entendre.
- Oui j'aime ça, défonce moi le cul, défonces moi bien comme une grosse salope que je suis.
- Voila ça y est tu te lâches, tu es une bonne salope comme on les aime avec mes potes, tiens prend encore ça au fond de ton cul, purée je jouis....
Et il a joui en râlant, s'immobilisant au fond de son cul violenté. Il s'est retiré et son pote a pris sa place, il est entré d'un seul coup, bien au fond du cul de ma copine toujours bien serré. Et il l'a limé vigoureusement, il aimait les rythmes rapides, il l'a limé à chaque fois en poussant loin dans ses fesses, il râlait à chaque coup de boutoir qu'il lui mettait. Il allait jouir très vite, et effectivement en quelques minutes, il jouissait en criant.
Ma copine était épuisée, mais ce n'était pas encore complètement terminé, il manquait Max et son gros sexe. Ils ont enlevé les sangles qui maintenaient l'énorme god dans sa chatte et lui ont retiré. Elle a failli tomber, ses jambes tremblaient sous les assauts des hommes.
- Hé t’évanouis pas ma cochonne ce n'est pas fini, je n'ai pas joui moi et je vais te violer ta petite chatte je te l'ai promis, un vrai dépucelage comme t'a jamais eu. Tenez-la bien contre la table que je lui mette le god dans le cul à cette pute.
Les deux hommes l'ont maintenu contre la table, appuyant sur ses reins pour la cambrer au maximum. Max s'est approché et a appuyé l'énorme god contre son anus, il a poussé d'un coup et le gros gland l'a de nouveau déchiré. Elle était encore violée par une énorme queue dans son cul. Mais cette fois-ci elle disait son plaisir énorme, poussant à la rencontre du gros gland, bougeant son bassin. Max a décidé d'augmenter le rythme, il a ressorti le jouet et a poussé d'un coup entrant le gland. Ma copine criait sous chaque assaut, mais de désir violent et son***.
- Voila elle aime ça se faire défoncer par du gros calibre, regardez la, tiens prend ça dans ton petit cul étroit, tu la sens rentrer cette grosse bite, mmm, voila tu as pris au moins 10 cm la plus le gland, il en reste autant salope, je vais t'enculer comme jamais, personne ne pourra te refaire ça.
Et il poussait toujours, ma copine criait sous les coups de boutoirs qui forçait son anus, mélange de douleur et de plaisir, puis à son** de pousser, il a fini par entrer tout le jouet dans son petit cul. Elle était complètement écartelée par ce monstrueux sexe, il a attaché les sangles autour de sa taille et a demandé à ses potes de la mettre dos sur la table et de lui tenir ses jambes grandes ouvertes.
- Bâillonnez-la, je ne veux pas l'entendre cette chienne, je vais la dépuceler bien fort, quand je serais bien au fond, on lui enlèvera. T'es prête salope, car tu vas me sentir passer crois moi. Attends, je mets un doigt pour voir. Putain ce qu'elle est serrée, ça va être long, mais je vais faire attention, mais tu vas prendre ma queue entière dans ta toute petite chatte bien serrée par le gros god dans ton cul de pute. Tu vas adorer ça.
Et il a posé son sexe à l'entrée de sa chatte en feu, puis il a poussé, son gros gland forçant le passage de sa chatte très très étroite. Ma copine a poussé un cri sous son bâillon, c'était pire que ce qu'elle avait imaginé, mais d'un seul coup son corps s'est détendu, elle partait loin dans un nouveau pays de sensation. Elle adorait ce sexe énorme qui la forçait, l'homme prenait tout son temps, entrant lentement en elle, faisant le passage à son gros sexe et elle a ondulé le bassin, venant à sa rencontre.
- Voila, viens doucement ma coquine, tu es parfaite, on va y aller tout doux, tu aimes ça tu vois. Je ne vais pas te faire du mal, mais te faire jouir, laisse-moi guider doucement l'entrée de ma queue en toi.
Il devenait doux comme un agneau, il avait compris qu'elle aimait ça, il voulait lui donner du plaisir !
Il a continué très lentement sa progression, entrant petit à petit tout son gros sexe en elle, la limant doucement en de lent va et viens dans sa petite chatte en feu. Il a demandé aux autres de lui enlever son bâillon, qu'il voulait l'entendre jouir de plaisir. Dès que le foulard a été enlevé, elle s'est mise à gémir doucement, le plaisir montait en elle, par vagues successives. Elle se laissait guider par l'homme habile qui la pénétrait. Au bout d'un long moment, il est enfin entré en entier. Il s'est immobilisé en elle :
- Voila je suis tout au fond, je bouge plus pour que tu t'habitues, mais tu es si serrée que je vais jouir tout de suite, viens jouir avec moi ma toute belle.
Et il a commencé un lent, très lent mouvement dans son sexe, sortant à peine, l'un des hommes lui a caressé doucement le clitoris, et d'un seul coup, un orgasme violent, puissant est monté le long de ses reins. Elle a littéralement hurlé sa jouissance, les contractions de son vagin a fait jouir l'homme en elle sans qu'il ne bouge. L'homme s'est retiré doucement de son sexe, pendant qu'on lui caressait toujours très affectueusement le clitoris, la faisant revenir très lentement de sa jouissance. Ils lui ont enlevé aussi le god de ses fesses et l'ont nettoyé gentiment avec des lingettes. Ils l'ont bercé presque amoureusement, la laissant doucement reprendre ses esprits. Puis l'ont raccompagnée à sa voiture, lui disant combien ils avaient aimé lui faire l'amour, qu'elle pouvait revenir quand elle voulait si elle voulait, la porte était ouverte.
Aujourd'hui elle fait toujours son jogging, mais 2 jeudis par mois, son jogging fait un détour par la cabane dans les bois.

Dans ce film, il n'y a pratiquement que du cul...

C'est mon anniversaire aujourd’hui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!....

Homme à tout faire.....

Histoire du net. Auteur inconnu

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A vouloir jouer avec le feu....
On se brûle ou.... On se réchauffe....


Une journaliste sous influence 
A sa sortie de l'école de journalisme, Nathalie fut immédiatement engagée comme reporter stagiaire dans une chaine d'information en continu.
A 23 ans, c'était une véritable chance pour elle d'apprendre le métier et peut être de gravir les échelons après embauche définitive.
Mais pour cela la jeune femme devait faire ses preuves....
Après quelques jours à faire de simples retranscriptions de dépêches d'agence et des cafés pour ses collègues, Nathalie fut convoquée un matin chez le rédacteur en chef. Pleine d'espoir, elle se présenta devant sa porte et toqua.
- Entrez. Ah c'est toi Nath, je t'attendais. » dit Jacques, le rédacteur en chef, une figure connue et respectée dans tout le journalisme.
Nathalie remarqua évidemment que Jacques l'avait immédiatement détaillée physiquement. La jeune journaliste savait qu'elle avait de quoi attirer le regard des hommes: cheveux blonds naturels, de beaux yeux verts dans un visage fin, une arrogante poitrine affichant fièrement son 95D sans besoin d'artifices, une taille fine et un fessier fort bien rebondi qui faisait tourner les têtes.
- Je t'ai fait venir parce que je pense qu'il est temps de t'envoyer sur le terrain pour t'aguerrir. Tu es un de nos espoirs, tu sais »
- Oh merci, Jacques » bredouilla Nathalie, ravie de pouvoir enfin montrer de quoi elle était capable.
- Ne me remercie pas. Bon je t'explique: je voudrais que tu fasses un petit reportage sur le milieu de la prostitution africaine à Paris. Il se raconte que de jeunes filles africaines, quelquefois mineures, sont forcées à se prostituer après avoir été emmenées en France sous prétexte de faire des ménages. Pas besoin de faire du travail de longue haleine ou de t'exposer: tu vas interviewer une représentante d'une associée qui travaille auprès des prostituées, tu montes ça, deux trois recherches internet pour étoffer et pour les images d'accompagnement on se servira de nos archives. OK? »
- OK, » dit Nathalie, qui masquait sa déception
Une fois sortie du bureau de Jacques elle ne put s'empêcher de ruminer. Tu parles d'une occasion de faire ses preuves! Un petit truc de rien du tout, dix minutes de discussion avec une ancienne pute, demi-heure dans la salle de montage pour deux minutes de diffusion à la fin du journal de vingt trois heures! Bonjour l'ambiance...
Le soir venu, Nathalie continuait à brasser de mauvaises pensées sous sa douche quand une idée lui vint: et si elle « approfondissait » le reportage? Et si elle « étoffait » son sujet en menant son enquête en free-lance? Elle pourrait alors présenter une enquête fouillée clés en main à Jacques qui, impressionné, l'embaucherait immédiatement!
Aussitôt dit, aussitôt fait: Nathalie prend un petit caméscope, un bloc notes et zou, direction les boulevards intérieurs de la capitale.
Mais sur le pas de la porte, la jeune femme se ravise. Habillée en jeans, pull et manteau, elle puait la journaliste (ou pire le flic) à deux cent mètres!
Il serait donc de bon aloi de s'habiller « couleur locale ». Nathalie fouille ses armoires et trouve une minijupe en cuir, un bustier à bretelles, des bas et des escarpins à talons hauts. Un petit tour dans la salle de bains pour s'habiller et se maquiller « comme une pute » et la journaliste peut contempler le résultat dans son miroir: une vraie pute en apprentissage... Nath remonte un peu son bustier pour mettre en valeur ses seins et la voilà partie.
Dix minutes de voiture plus tard, Nathalie se retrouve à l'orée du quartier des prostituées africaines. Soudainement une appréhension l'envahit. A t-elle bien raison de faire ça? C'est quand même dangereux, on ne sait pas comment vont réagir les filles, et puis il y a les clients, les souteneurs...
Mais Nathalie se reprend: « tu veux impressionner le rédac chef ou pas? » se dit elle à voix haute.
Et la voilà sur le trottoir à quelques mètres des premières filles. Nathalie prend son courage à deux mains et s'avance vers l'une d'elles et tente de nouer conversation. Peine perdue: la pauvre fille ne parle que sa langue d'origine, elle a juste un papier froissé sur lequel se trouvent ses prestations et ses tarifs.
Nathalie ne se démonte pas et avise une deuxième fille: Celle ci parle français mais se méfie de cette française blonde qui lui demande d'où elle vient, si elle a un mac, combien elle gagne.
- Qu'est ce que ça peut te faire? Et puis ne reste pas ici, le coin est malsain pour les petits culs blancs comme toi! » lui rétorqua finalement l'africaine avant de tourner les talons pour rejoindre une voiture qui venait de s'arrêter à sa hauteur.
Nathalie commence à se dire que son idée n'était peut être pas si bonne que ça et se dispose à retourner penaude à sa voiture quand d'une petite ruelle elle entend « pssst ».
Elle voit une ombre qui lui fait signe d'approcher. Le cœur de la journaliste se met à battre la chamade: C'est sa chance! Elle s'approche mais à peine a elle passé un bras dans la ruelle qu'elle sent deux bras l'agripper et l'attirer violemment vers l'obscurité.
Nath veut crier mais une grande main se porte à sa bouche et l'empêche de crier.
La jeune femme essaie de se débattre quand elle sent le contact froid d'une lame de couteau se poser sur sa gorge.
- Crie, débats toi et je t'égorge » lui dit le porteur du couteau avec un fort accent africain.
Nath analysa la situation. Elle était aux prises avec trois types, à priori africains, et visiblement peu amènes. La meilleure solution (la moins pire) était de suivre leurs instructions.
- Qu'est ce que tu fous là? » demanda le type qui tenait le couteau en enlevant sa main de la bouche de Nath
- Je....Je suis journaliste, je mène une enquête sur la prostitution » répondit elle
- Une journaliste? T'es plutôt bien gaulée pour une scribouillarde. Mais tu sais pas qu'il ne faut pas se mêler des affaires des autres? »
En disant ça, son interrogateur passait sa main sur ses seins et les palpait sans vergogne. Nath sentait que la situation lui échappait et devenait franchement dangereuse.
Mais elle était coincée....
Les deux autres agresseurs s'étaient joints au possesseur du couteau et commençaient à la tripoter, lui relevant sa jupe et infiltrant leurs doigts juste vers son string.
La journaliste subissait un tripotage en règle, ses seins, ses fesses, son minou étaient palpés, caressés. Celui qui la maintenait contre lui trahissait son excitation grandissante par la bosse qui déformait son pantalon, bosse que sentait très bien nath puisqu'elle appuyait sur la raie de ses fesses....
Résister n'était pas une option, avec ce couteau contre sa gorge, couteau qui descendit brusquement vers les bretelles de son bustier qui furent tranchées en un clin d'œil, laissant apparaître la poitrine de Nath
L'un d'eux finit par dire:
- Et si on emmenait cette fouineuse au calme pour lui apprendre? »
Un autre poursuivit:
- Ouais, surtout que vu les nibards qu'elle a, j'ai bien envie de m'amuser »
- Ok, mais il faut pas qu'elle ameute le quartier. Mets lui une dose de « docile »
Nath avait entendu parler de cette drogue pendant ses études. Elle servait à rendre les personnes qui en prenaient totalement dociles. Au départ réservée à une utilisation en milieu psychiatrique, elle avait ensuite été détournée et hantait le milieu interlope parisien. Nath savait ce que prendre ce truc signifiait. Jamais elle n'avalerait ça! Elle ferma sa bouche de toutes ses forces.
Mais les trois lascars avaient déjà rencontré ce type de résistance
- T'es pas la première a pas vouloir avaler, salope, t'inquiète on a la version à injecter! »
Deux lascars maintinrent les bras de Nath pendant que le troisième, lui tenant la tête, sortit de sa poche une seringue. Avec une dextérité étonnante, il dé-bouchonna le capuchon de l'aiguille et l'enfonça non pas dans son bras mais directement dans la carotide. Le type dit dans un rire mauvais:
- Voilà, comme ça elle sera vite sage!
Nath sentit en quelques secondes des engourdissements, et bientôt sa volonté s'échapper. Tout devenait flou dans son esprit. Les trois lascars sentirent qu'elle ne résistait plus à leur étreinte.
- C'est bon, on va pouvoir y aller, ressapons-la histoire de pas trop se faire remarquer »
Les bretelles de son bustier furent sommairement attachées derrière son cou histoire de cacher les seins de la jeune femme, la jupe rabaissée.
Ceci fait, les trois blacks se mirent en route, l'un deux tenant Nath par la taille comme si elle était sa petite amie. Les yeux dans le vague, sans volonté, totalement sous l'emprise de la drogue injectée, Nath suivait....
- C'est pas loin, mais faut faire gaffe » dit celui qui semblait le chef
- Putain, les keufs! » 
Au détour d'une rue, un fourgon de police procédait au contrôle d'un véhicule. Deux policiers dévisagèrent le petit groupe d'un air suspicieux. Le chef des lascars, qui tenait Nath par la taille, eut alors l'idée s'embrasser Nath à pleine bouche, fouillant sa langue. Sans s'en apercevoir, Nath répondit à ce baiser en mêlant sa langue avec celle du black. Ils passèrent sans encombre devant le fourgon. La dernière chance de sauvetage de Nath venait de passer....
Le groupe arriva prés d'un immeuble sordide du 19éme arrondissement et s'y engouffra. Après être descendu aux caves ils s'arrêtèrent dans une d'elles.
Sordide à souhait, elle comportait un vieux canapé, un petit frigo et plus inquiétant, une chaîne au bout de laquelle se trouvait un anneau pendait au milieu de la pièce.
- Nous voilà arrivés ma belle, ta nouvelle maison dit l'un des blacks Désapez moi cette pute » dit celui qui la tenait
Ce fut très rapide: ce qui restait du bustier fut découpé au couteau, la jupe fut quasiment arrachée, le string suivit de près la jupe. Nath se retrouva seulement vêtue de ses escarpins au milieu de la pièce.
Les trois blacks contemplaient leur prise: une superbe blanche blonde, fine, avec deux bons gros seins bien fermes et un cul à damner un saint.
Et surtout, soumise au moindre de leurs désirs jusqu'aux plus pervers...
Putain, qu'ils allaient bien s'amuser!
- T'as vu sa bouche? Elle doit sucer comme une reine! » dit le premier, nommé Abdou.
- Et ses nibards? Comme on doit être bien dedans! » dit le second, Souleymane.
- On se calme. Y a un potentiel énorme avec cette bannasse », dit le chef prénommé Moussa. « J'ai bien réfléchi durant le trajet, il me manque une petite blanche dans le cheptel, et je crois bien que j'ai trouvé ce qu'il me faut » dit il dans un large sourire. « Il va falloir la dresser, et vu que personne ne sait qu'elle est là, on a tout notre temps »
Moussa prit Nath, la fit mettre à genoux et lui présenta son sexe devant la bouche. Un gros sexe noir, 25cm, déjà dressé.
Sans même faire un geste de recul, Nath laissa la bite tendue s'introduire dans sa bouche, et commença sans s'en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge du voyou. Moussa lui tenait les cheveux et imprimait le rythme
- Putain comme elle est trop bonne, sa langue m'entoure la bite, oh je sens que celle là elle sera pas trop dure à dresser, on va vite en faire une bonne petite pute
Au bout de quelques minutes de ce traitement, Moussa ne tarda pas à envoyer toute sa purée dans la bouche de Nath, qui avala toute la semence sans broncher.
Moussa se rajusta et dit à Abdou et Souleymane:
- Bon les mecs, je dois sortir. J'ai à faire pour la suite. Occupez vous bien d'elle pendant mon absence. Ne me l’abîmez pas. Vous pouvez lui remettre un « shoot » de came pour qu'elle se tienne tranquille. Pas trop, sinon c'est l'overdose. »
- Allez » dit Abdou « moi j'en peux plus j'ai la bite qui va exploser. Il faut que je la baise comme une chienne qu'elle est
- Et moi donc » renchérit Souleymane
Les deux voyous se déshabillèrent, préparèrent un « shoot » qu'ils administrèrent à Nath directement dans la carotide, pour un effet plus rapide. Puis ils lièrent les mains de la jeune femme avec une corde et la suspendirent à l'anneau de la chaine qui trônait au milieu de la cave.
Quel spectacle s'offrait à eux: une magnifique blonde à gros seins, entièrement nue, attachée au milieu d'une cave, et soumise aux derniers outrages...
Les deux blacks ne tardèrent pas à se jeter sur Nath pour profiter d'elle. Plus rapide, Abdou prit possession de ses seins qu'il léchait comme un fou tout en soulevant les fines jambes de Nath pour darder son sexe dans son minou.
Souleymane, lui, se plaça derrière la jeune femme et , sans autre forme de procès, entreprit de la sodomiser d'importance.
Ainsi doublement pénétrée par deux gros sexes noirs, sans pouvoir se défendre, Nath commençait tout de même à ressentir les premières chaleurs de plaisir venant de ces pénétrations sauvages.
Elle commença à haleter, de plus en plus fort, provoquant chez les deux blacks une excitation décuplée qui se traduisait par des coups de bite de plus en plus puissants.
Au bout de dix à quinze minutes de ce sexe bestial, et d'au moins deux orgasmes de la part de Nath, les deux blacks se vidèrent presque en même temps dans la chatte et dans l'anus de Nath, dans de longs râles de plaisir.
Ils se retirèrent pour profiter de la scène: Attachée, pantelante, ravagée par les orgasmes, l'anus et la chatte de la jeune femme dégoulinaient de sperme africain, qui tombait à belles gouttes sur le sol de la cave.
- La vache que c'était bon. Elle est trop bonne cette salope » dit Souleymane
- C'est clair renchérit Abdou elle est tellement excitante que j'ai déjà envie de recommencer. Grouillons avant le retour de Moussa! »
- Désolé les mecs, mais il va falloir partager un peu! » intervint Moussa qui venait d'arriver sur le pas de la porte.
Moussa n'était pas venu tout seul. Il avait rameuté cinq hommes de sa bande. Évidemment tous noirs d'ébène et fort intéressés par la possession d'une jeune oie blanche soumise à toutes leurs perversions. Il y avait aussi un homme d'un certain age, habillé d'un boubou, quine disait pas un mot mais fixait étrangement Nath.
Il s'approcha d'elle, et avec un ciseau coupa une mèche de ses longs cheveux. Puis, sans un mot, il se plaça au fond de la cave.
- Amusez vous dit Moussa à ces types . Il faut la dresser mais sans l'abimer »
Sur ce, il s'installa au fond de la cave avec l'étrange black au boubou pour profiter du spectacle.
Les types de sa bande ne tardèrent pas à s'approcher de la jeune femme et commencèrent par la caresser. Dix mains tripotaient ses seins, ses fesses, s'insinuant dans la raie jusque dans son anus. D'autres mains s'enhardissaient vers son pubis et bientôt, deux doigts furent introduits dans la chatte encore gluante de sperme.
L'un des blacks embrassa Nath à pleine bouche, sans que celle ci fasse le moindre geste pour se défendre, bien au contraire.
Un autre black, placé derrière elle, attendit la fin du baiser pour introduire deux de ses doigts dans la bouche de Nath et constata avec le plus grand plaisir que la jeune femme les suçait comme s'il s'agissait d'une bite!
- J'en peux plus » dit l'un des blacks « défonçons la comme elle le mérite
Nath fut détachée et emmenée sur le vieux canapé. Les cinq blacks se déshabillèrent et lui présentèrent leur bite pour se faire sucer.
Comme dans un rêve, la jeune femme se retrouva au centre d'une scène qu'on ne voyait habituellement que dans les films pornos un peu crades: à quatre pattes, le cul offert, elle suçait une et parfois deux bites en même temps, pendant qu'elle branlait une bite dans chaque main. Pendant ce temps, un black placé derrière elle lui ramonait consciencieusement la chatte avant d'exploser dedans.
Chaque black qui s'était ainsi fait sucer prenait la place de celui qui venait d'éjaculer dans la chatte de Nath pour venir s'y soulager les couilles à son tour.
Le dernier lascar préféra juter dans sa bouche et la voir avaler sa semence.
Chaque membre de la bande vidé, Moussa s'approcha de Nath avec l'étrange homme au boubou. Encore secouée du gang bang qu'elle vient de subir, la chatte débordante de sperme, un goût aigre dans la bouche, elle entend à peine l'homme faire des incantations dans sa langue. Puis il place une sorte de grigri sur le front de Nath tout en continuant ses incantations. Puis son affaire finie, il donna le talisman à Moussa et s'en alla. Celui ci s'approcha de Nath et lui dit:
- Maintenant, tu es en mon pouvoir, tu feras tout ce que je te dirai de faire, tu porteras les habits que je t'aurai dit de porter, tu coucheras avec qui je te dirai de coucher! A partir de maintenant, tu es mon esclave, petite blanche! »
Comme une automate, sans volonté, Nath répondit:
- Oui, maître, je ferai tout ce que vous voudrez »
- Bien, ma petite salope » répondit Moussa « on va te ramener chez toi, et demain soir je viendrai te chercher pour bosser. Habille toi sexy, il faudra rameuter le client! »
- Oui, maître »
- Et dis moi, t'aurais pas une copine aussi bien gaulée que toi que je pourrais mettre au turbin après l'avoir « dressée » »
- Oui, maître, mon amie Claire est très belle, elle vous plaira »
- J 'espère bien! Allez Abdou, ramène la chez elle »
Nath fut rhabillée sommairement avec une djellaba qui traînait et conduite par Abdou à sa voiture. Celui ci la conduisit vers son domicile non sans s'être copieusement fait sucer par Nath durant le trajet. Abdou n'ayant pas joui en route, Nath dut terminer sa besogne dans la voiture garée au pied de son immeuble.
Au bout de quelques minutes, ayant avalé son énième jet de sperme, elle put regagner son appartement, non avoir reçu les consignes de son maître:
- Tu appelles ta copine et tu lui dis de passer demain soir chez toi. On l'attendra pour lui faire passer la soirée la plus inoubliable de sa vie! »
Nath dormit jusqu'au début de l'après midi, épuisée par l'orgie qu'elle avait du endurer toute la nuit précédente .
Mais dès son réveil, une seule chose hantait son esprit: obéir au maître.
Elle prit son téléphone et composa le numéro de Claire, sa meilleure copine.
- Allo?"
- Allo, Claire? C'est Nath."
- Nath, je suis contente de t'entendre, depuis le temps! Comment va?
- Bien. J'ai mille choses à te dire et à te montrer. Tu pourrais passer chez moi ce soir?"
- Après le boulot, sans problème."
- A ce soir alors"
Dés qu'elle eut quitté Claire, Nath téléphona à Moussa:
- Maître, c'est fait, elle viendra ce soir."
- Bien, petite chienne. Nous serons là vers 17 heures, tiens toi prête"
Nath se prépara, conformément aux instructions de son maître, elle se vêtit seulement d'une courte robe noire décolletée, sans aucun dessous.
A 17 heures, Moussa sonna à la porte. Il était accompagné de quatre complices et de ce fameux vieil homme âgé, toujours en djellaba.
- Bonjour, esclave, je vois que tu as suivi mes instructions" dit il en flattant la croupe de Nath, qui trahissait son absence de lingerie. "Fais donc plaisir à mes amis en attendant que ta copine arrive.
Moussa alla dans le frigo pour se servir un rafraîchissement pendant que les quatre lascars qui s'étaient immédiatement rapprochés de Nath, n'avaient pas perdu de temps: ses seins empoignés, sa robe roulée sur sa taille, elle avait déjà une bite dans la bouche pendant qu'un autre, profitant de sa fente offerte, y introduisait déjà son gland.
Pendant ce temps, sa journée de travail terminée, Claire terminait de se préparer chez elle. Pour aller voir son amie, elle s'habillait très simplement: un pull fin, un pantalon.
Avant d'enfiler son manteau pour partir, elle jeta un coup d'œil dans la glace.
Elle était quand même pas mal, se dit elle: 23 ans, les cheveux auburn tombant sur les épaules, des yeux bleus, une poitrine qui, sans être aussi grosse que celle de sa copine Nath, arborait tout de même fièrement son 90C, et un petit fessier fort joli à regarder.
"C'est quand même un monde que je n'ai pas de mec" se dit elle à voix haute.
Après un soupir, Claire enfila un manteau et se mit en route pour l'appartement de Nath.
Chez Nath, la fête continuait, et la jeune femme était au centre des attentions.
Elle chevauchait un des blacks qui s'était assis dans le canapé pendant qu'un autre, debout, lui baisait la bouche.
Un autre voyou s'approcha:
- Eh les mecs, y a encore de la place pour moi!".
Il se positionna derrière Nath et entreprit de lui introduire son imposant membre dans l'anus. Curieusement, la grosse verge n'eut aucun mal à entrer...
Moussa, assis sur le canapé d'en face, se délectait du spectacle qui lui était offert: Nath, sa superbe esclave blanche, se faisait triple pénétrer par ses sbires, le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissaient aucun doute quand à ce que Nath ressentait!
Au bout de cinq minutes de ce traitement, Nath ne tarda pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculèrent presque en même temps en elle.
Les trois hommes se relevèrent et partirent se chercher à boire, laissant Nath récupérer de ses orgasmes dans le canapé, et vider quelque peu ses orifices du sperme qui les remplissait.
Moussa, qui n'avait pas perdu une miette du spectacle, éclata de rire:
- Eh bien, ma poulette, on peut dire qu'ils ne te ménagent pas! Ne t'inquiète pas, quand ta copine sera là, vous serez deux pour tous nous éponger!"
Il avait à peine dit ces mots que l'interphone sonna.
- Va répondre, esclave. Si c'est ta copine, fais la monter."
Avec difficultés, Nath se leva et répondit
- Oui? Ah Claire, monte je t'ouvre"
Moussa aboya:
- Vous autres, planquez vous et attendez que je vous appelle! Toi, esclave, enfile ta robe et réponds lui. Tu diras que je suis un ami et que Mamadou (le sorcier qui ne disait pas un mot) est mon père"
Nath ramassa la robe noire qu'elle avait mis en début d'après midi. Elle était froissée et tachée par endroits de sperme. Certains de ses baiseurs s'en étaient servi comme d'une serviette. Elle la renfila et se présenta à la porte où arrivait Claire.
- Bonsoir ma chérie comment vas tu?" dit Claire en se penchant pour l'embrasser.
Tout de suite, Claire sentit que quelque chose n'allait pas: Nath était habillée avec une robe noire tachée et qui sentait le sperme! De plus en l'embrassant, elle avait senti une matière gluante sur sa joue.
- Ca va très bien, merci, viens que je te présente: voici Moussa, un ami et Mamadou, son père"
- Ravi de faire votre connaissance"
Claire ressentait un malaise devant le regard et le sourire entendu des deux hommes. Comme s'ils complotaient...
Claire s'assit sur le canapé en face des deux hommes qui la regardaient avidement. Elle ne pouvait réprimer sa gêne de se voir ainsi détaillée par ces deux types somme toute pas très rassurants.
"Où Nath a t'elle bien pu dénicher des amis pareils?" se dit elle.
Elle croisa le regard de Mamadou, le sorcier, qui la fixait intensément.
A peine eut elle croisé le regard du vieil homme qu'elle n'arriva plus à s'en détacher. C'est comme s'il arrivait à entrer dans son esprit.
Et dans les faits c'est exactement ce qui se passait. Mamadou força Claire avec une facilité et une rapidité déconcertantes.
- Tu n'obéis qu'à ma voix, tu es maintenant sous mon emprise. Ton corps m'appartient. A tu compris?"
- Oui" répondit Claire, les yeux dans le vague, comme une automate.
Moussa, qui n'avait pas perdu une miette de la scène, éclata de rire.
- Bien! Nous allons pouvoir nous amuser. Vous pouvez sortir vous autres! Où es tu, esclave?"
Moussa se leva et alla à la cuisine où s'était rendue Nath pour chercher des rafraîchissements. Seulement un des complices de Moussa s'était caché dans la cuisine et avait profité de l'arrivée de la belle blonde pour se payer une petite tranche de chatte blanche pour lui seul.
Nath était assise sur le plan de travail, la robe relevée, les cuisses écartées, le black en train de la pistonner comme un malade. Ses gros seins sortis de la robe étaient littéralement tétés par le type.
- Putain, mais tu fais quoi là" aboya Moussa
- Pardon chef, mais elle est trop bonne, ça me rend fou les blondes à gros seins!" s'excusa le baiseur de Nath.
- Bon ça va finis la et après emmène la dans le salon. On va s'occuper de l'autre"
Le black reprit ses coups de bite furieux dans la chatte de Nath tandis que Moussa retournait au salon.
Là, Claire était debout au milieu d'une assistance très attentive. Mamadou donnait ses directives à celle qui n'écoutait que sa voix.
- Déshabille toi"
Claire tomba son pantalon et abandonna pull, chemise et soutien gorge. son shorty rouge suivit vite le même chemin. Elle était maintenant nue au centre de cette horde avide de sexe qui ne pensait plus qu'à exploser ce petit cul blanc bien soumis.
Trois blacks la menèrent vers la chambre à coucher et commencèrent à caresser ses seins, ses fesses, sa vulve. L'un d'eux enfonça sa langue dans la bouche de Claire. Ce traitement ne tarda pas à faire de l'effet sur la jeune femme qui commença à mouiller.
- Bien, elle commence à mouiller cette petite chienne, ça lui plaît, on va bien la défoncer comme elle le mérite" lança l'un des blacks.
Il s'allongea sur le lit, nu et guida Claire qui vint doucement s'empaler sur son phallus, sans aucune difficulté. Le voyou commença de profonds va et vient dans le vagin ainsi conquis. Claire, qui n'avait plus fait l'amour depuis quelques temps, ne tarda pas à trahir son plaisir par quelques gémissements
Au bout de deux minutes de ce traitement, son baiseur apostropha les deux autres blacks, qui se contentaient de mater en se branlant
- Allez les mecs, venez! Elle est chaude comme on l'aime, elle en veut"
L'un se plaça face au visage de Claire, empoigna ses cheveux et introduisit son membre gonflé dans sa bouche, manquant de l'étouffer tellement il s'enfonça profondément. Après un haut le cœur, Claire commença sa fellation.
L'autre, comme à la parade, vint remplir un peu plus le vagin de Claire. L'entrée d'une bite de plus en elle la fit tressaillir mais la douleur de la pénétration initiale laissa bientôt place à un intense plaisir dû aux va et vient des deux hommes.
Dans le salon, Moussa vit revenir Nath, enfin libérée de la cuisine par son partenaire empressé mais au vagin copieusement rempli de ses œuvres! A chaque pas qu'elle faisait en direction de Moussa, Nath laissait échapper de son minou une goutte de foutre qui s'écrasait sur le carrelage.
- Allez viens là ma belle, tu vas nous faire plaisir à moi et à Mamadou"
Les deux hommes, placés cote à cote, présentèrent leurs sexes à Nath qui se mit à genoux pour offrir une caresse buccale à ses deux suborneurs. Elle commença par lécher les glands de chacun puis poursuivit par une fellation alternée des plus professionnelle.
Celui qui n'était pas sucé était branlé pour le maintenir "en forme".
- Putain, mais c'est une vraie pro cette petite!" dit Moussa dans un râle.
- Celle d'à coté n'a pas l'air mal non plus"
Dans la chambre à coucher, on entendait les cris de plaisir de Claire qui se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés. Ses trois baiseurs ne lui laissaient aucun répit et la pilonnaient comme des malades en lui lançant des paroles salaces:
- Ca te plaît de te faire troncher comme ça, hein?. Sous tes airs bien respectables, t'es qu'une pute qui veut des bites bien noires!"
Celui qui se faisait sucer lui baisait carrément la bouche, tenant sa tête des deux mains, lui enfonçant sa bite au fond de la gorge.
L'un des deux autres blacks était passé de son minou à son anus, qu'il investissait avec rage.
Au bout de cinq minutes de ce traitement intensif, les trois blacks n'y tinrent plus et lâchèrent leur semence en Claire, comme pour bien affirmer leur possession.
Puis, sans même lui jeter un regard, ils allèrent se doucher, laissant Claire pantelante mais repue de sexe sur le lit, les orifices dégorgeant le sperme.
Nath, de son coté, après avoir épongé Moussa et Mamadou, faisait une cravate de notaire à Moussa, jamais rassasié. Il finit par éjaculer copieusement sur les seins de la jeune femme.
Au petit matin, l'appartement de Nath offrait un visage peu commun: deux jeunes femmes nues, épuisées par une nuit de débauche, collantes de sperme séché, dormaient dans le lit, des canettes de bière et des vêtements féminins jonchaient le salon.
Moussa avait congédié ses quatre acolytes ainsi que Mamadou, à qui il avait auparavant demandé de rompre le sort qui envoûtait les deux femmes. Puis il attendit patiemment leur réveil, qui intervint en milieu d'après midi.
Nath se réveilla la première, encore toute endolorie de ce qu'elle avait subi.
- Oh la la, j'ai mal partout"
Claire ouvrit les yeux presque aussitôt après
- J'ai l'impression de sortir d'un mauvais rêve"
- Ce n'était pas un rêve" intervint Moussa.
- Comment osez vous être encore ici, avec ce que vous nous avez fait subir!" cria Claire.
- Si je suis ici c'est pour vous proposer quelque chose. Et pour montrer ma bonne volonté, j'ai fait rompre le sort qui vous envoûtait toutes deux. Si je l'avais voulu, vous seriez encore mes petites esclaves obéissantes"
- Que voulez vous?" demanda Nath.
- J'ai un job à vous proposer. Vous êtes toutes deux de fort jolies jeunes femmes et vous plaisez beaucoup aux hommes. Or je connais des hommes qui paieraient très cher pour passer un moment ou une nuit avec l'une ou l'autre d'entre vous...."
- Si ce que vous nous proposez c'est faire le tapin, vous pouvez tout de suite partir" coupa Nath.
- Pas du tout. C'est beaucoup mieux. Il y a beaucoup de diplomates ou d'hommes d'affaires africains qui viennent pour affaires à Paris et qui désirent passer de bons moments en compagnie de jolies occidentales comme vous. Ils paient très bien. En ma qualité d'intermédiaire je ne prendrai que 20% de commission, le reste vous reviendra entièrement. De ce que j'ai vu, vous pourriez sans trop vous fatiguer et en prenant du plaisir gagner jusqu'à 20.000 euros par mois! Réfléchissez y, je vous laisse mon numéro, si ça vous intéresse, contactez moi" conclut Moussa dans un grand sourire avant de partir.
Les deux jeunes femmes se regardèrent, interdites. Elles se douchèrent puis se quittèrent sans dire un mot de l'aventure qu'elles venaient de vivre.
Finalement, Claire ne donna pas suite à la proposition de Moussa. Néanmoins son comportement amoureux changea. Elle se mit à fréquenter les boites antillaises où elle rencontra son nouveau petit copain, comme par hasard noir d'ébène. Elle était devenue véritablement affamée de sexe, si bien qu'un jour son copain la trouva en train de se faire sauter dans tous les trous par une bonne partie de ses équipiers au foot. Inutile de préciser que tous étaient blacks.
Nath, après une période de réflexion, trouva que finalement ce serait dommage qu'un corps comme le sien ne soit pas exploité à sa juste valeur. Elle rappela Moussa pour accepter sa proposition. Elle démissionna de son poste de journaliste et devint donc escort girl spécialisée dans l'accompagnement de riches africains en goguette. Ses gros seins, ses jambes fines, son fessier rebondi et surtout ses talents amoureux (ses performances de suceuse devinrent très connues) lui assurèrent une clientèle fidèle et surtout très généreuse...

Deux suceuses magnifiques au cinéma. Un vrai travail de professionnelles ...

Brèves du net. Auteurs Inconnus

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Tellement mignon....
Et tellement improbable....
Le pieds pour tous jeunes hétéros
normalement constitués LOL
Découvertes
Cette histoire s'est passée quand j'avais 18 ans. Je vivais avec ma mère dans une grande maison du nord de la France. Ma mère occupait un poste de secrétaire en mairie. Pour arrondir les fins de mois, elle louait le second étage de la maison à deux étudiantes d'université pour l'année scolaire.
La première s'appelait Christelle, elle avait 23 ans, brune, une chevelure fine qui tombait sur la nuque avec de superbes yeux verts et une taille de mannequin (1m75 environ)
La seconde s'appelait Delphine, 22 ans, brune aussi avec des cheveux plus long qui tombait jusqu'aux épaules, et des yeux noisettes à croquer. Elle était un peu plus petite que Christelle.
La cohabitation se passé bien. Nous ne parlions pas beaucoup ensemble, si c'est pour dire uniquement « Bonjour » ou « Bonsoir » quand on se croisait dans l'escalier.
En avril, pendant les vacances de pâques, ma mère s'est absenté pour une semaine pour passer des vacances avec son nouvel compagnon qui habitait du coté de Rennes, me retrouvant ainsi seul à la maison.
Même si ce n'était pas la première fois, je me réjouissais de passer une semaine tout seul à la maison, pour sortir avec les copains sans couvre-feu.
Le jeudi soir, il était 19h30, je m'apprêter à sortir pour m'acheter un hamburger à la friterie à 5 minutes de la maison. Sur le seuil de la porte, je vis les deux jeunes étudiantes sortir de la voiture de Christelle.
- Bonjour Arnaud, tu es de sortir ce soir ! m'a dit Christelle
- Non, je vais juste acheter un hamburger à la friterie ! Ai-je répondu
Chacun s'apprêter a continuait son chemin de son côté, quand Christelle m'a interpellé en disant :
- Delphine et moi allons manger au Pizza-Paï ce soir, tu veux venir te joindre à nous !
- Je voudrais bien, mais je n'ai pas assez d'argent sur moi.
- Ce n'est pas grave, ne t'occupe pas de ça, Delphine et moi nous te payons le repas.
- C'est d'accord ! Ai-je dis en bégayant.
- On part dans une demi-heure, vient boire quelque-chose avec nous ! m'a dit Delphine
Je suis monté avec eux dans leur studio. Elles m'ont fait entrer dans leur chambre, qu'elles avaient bien aménagée. Il y avait 2 lits séparés dans chaque coin de la pièce et un coin salon avec une petite table basse avec deux chauffeuses au milieu de la chambre.
Delphine et moi, on s'est assis sur les chauffeuses. Ensuite, Christelle est arrivée dans la chambre avec les apéritifs : une margarita pour Delphine un blue lagoon pour Christelle, et moi juste un coca. Christelle s'est ensuite assise sur le bord de son lit.
Nous avons discuté de tout et de rien. Elles ont demandé quel âge j'avais, si j'avais une copine, dans quelle classe j'étais etc.…
Durant la conversation, je regardais discrètement le décolleté et les cuisses de Christelle, ce qui m'a donné un début d'érection. De belles images gravées dans ma tête pour mes plaisirs solitaires.
Avant de partir, les deux filles se sont changées dans la salle de bain. Quand elles sont ressorties, elles étaient magnifiquement belles.
Christelle était habillée avec un chemisier noir avec un fort décolleté laissant deviner ses seins et une mini-jupe au raz du cul, et des bas noirs
Delphine était habillée de manière un peu moins provocante, mais tout de même avec un joli chemisier blanc et un jean qui lui moulé le cul à merveille.
Nous sommes partis ensuite au Pizza Paï dans la voiture à Christelle. Elle conduisait tandis que j'étais assis à côté d'elle et Delphine à l'arrière.
Pendant le trajet, je jetais des coups d'œil discrets tantôt sur ses seins tantôt sur ses cuisses.
Arrivé au pizza Paï, j'étais très fier d'être avec deux beautés comme eux.
Pendant tout le repas je regardais avec passions les deux créatures de rêve assis avec moi.
Je savais que j'avais une chance de les sauter. Je me disais pour ma première expérience sexuelle avec deux femmes mûres ça devait être géniale. J'étais excité par cette idée, mais j'avais aussi une angoisse de ne pas assurer.
Sur le chemin du retour, je me suis assis à l'arrière avec Delphine, qui posa sa tête sur mon épaule. Timidement je lui ai passé le bras autour de son cou pour la maintenir contre moi.
Arrivé devant la maison, Christelle me demanda si j'avais déjà eu des relations sexuelles avec des filles. J'ai répondu d'un air gêné que non. Les deux filles me proposèrent alors de faire mon éducation avec elles. J'ai accepté sans hésitation, avec une crainte dans ma voix au moment de dire « Oui j'aimerai bien ».
On est monté dans leur chambre. J'avais les jambes qui tremblaient tellement que j’angoissai à l'idée que j'allais prendre ma virginité avec Christelle et Delphine.
Dans la chambre, Christelle s'est jeté sur moi et m'a rouler une pelle phénoménale. Jamais aucunes filles ne m'avaient déjà embrassé comme ça. Nos langues s'entremêlèrent dans nos bouches. En même temps mes mains avaient glissé sur ses fesses et elle sur mes joues. On s'est arrêté quand elle a senti que je bandais comme un âne à travers mon jean. Avec un large sourire elle a regardé au niveau de mon sexe et a dit :
- Tu m'a l'air bien monté. Delphine et moi, nous avons de la chance, on va bien prendre notre pied.
Delphine m'a ensuite attiré vers elle et a dit :
- Je vais te donner ta première leçon : la fellation.
Elle vint contre moi, et m'embrassa, puis je senti sa langue forcer l'entrée de ma bouche, je le laissai entrer, et je senti une douce caresse sur ma langue. Puis, elle s'est assise sur le lit. Elle me regarda :
- Bon maintenant, je vais enlever ton pantalon. Ne t'inquiète pas, je te guiderai.
Elle me déboutonna mon pantalon, et le fit descendre à mes pieds, puis elle descendit doucement mon boxer, et mon sexe tout tendu se présenta devant elle.
Elle le caressait doucement, cela me plaisait énormément.
Elle avalait doucement mon gland, c'était chaud dans sa bouche, j'ai posé mes mains dans ses cheveux, j'appuyais doucement pour faire rentrer mon sexe dans sa bouche… je la laissai faire, tous ses vas et viens avec sa bouche pulpeuse.
Au bout d'un moment, elle s'est retiré pour aller au centre de la chambre, m'a dit de m'approcher et elle s'est remise à me faire une fellation, à genou… enfin, elle me proposa une dernière pose… elle s'est couchée sur le lit, et je suis revenu dans ma bouche, j'ai fait quelques vas et viens et j'ai éjaculé dans ma bouche par saccades.
Mon excitation était telle que je suis sorti de sa bouche, et mon sperme coula un peu sur son cou et son chemiser. Je cru que c'était fini, mais non.
Cette fois-ci c'est Christelle qui m'attrapa et me dit
- Leçon numéro 2 : le cunnilingus. »
Elle a ouvert son chemisier et ôté son soutien-gorge noir, et elle m'a demandé de s'occuper de ses seins. Elle était assise sur la chauffeuse, et moi j'ai commencé à malaxer sa poitrine pour finir à les embrasser et à les lécher. J'ai enlevé sa jupe et son string noir, et j'ai vu pour la première fois de ma vie un sexe de femme. Sa chatte était rasée en « ticket de métro». J'ai descendu ma langue sur son ventre, en passant par son nombril, pour finir par sa chatte. Sur le bord de la chauffeuse j'ai léché son sexe en enfonçant bien ma langue sur les replis de son vagin, mâchant ses petites lèvres et suçant son clitoris. Elle a passé ses jambes autour de mon cou, et avec ses mains, elle a maintenu ma tête entre ses cuisses pendant 20 minutes environ. Elle mouillait copieusement en gémissant la tête à l'envers.
Delphine s'est déshabillée entièrement pour m'apprendre la leçon 3 : Le soixante-neuf. Elle m'a allongé sur son lit, et elle a posé sa chatte sur mon visage. J'avais une vue superbe sur ses jolies fesses rondes. Elle s'est ensuite penchée pour prendre ma queue entre ses lèvres pulpeuses. Mes mains sur ses fesses, ont s'est fait du bien mutuellement, et au bout de quelques secondes j'ai de nouveau joui dans sa gorge.
On s'est reposé une heure pour reprendre des forces, en buvant un peu.
Ensuite Christelle m'a pris les mains et m'a attiré sur son lit.
- Pour la 4ème et dernière leçon, tu va me baiser comme une chienne
Elle s'est allongé sur le lit, elle a écarté les jambes.
- Maintenant saute-moi ! »m'a-t-elle dit.
J'ai me suis enfoncé d'un coup dans son ventre. Je la tenais par la taille tandis que Christelle passa ses mains sur mes fesses, et ses jambes sur mes épaules. Les spasmes de son vagin se sont faits plus violents. C'était comme si elle aspirait mon sexe pour le garder au fond de son ventre. J'ai fait aller et venir ma verge, d'abord lentement, avant d'accélérer la cadence de mon ventre.
J'aurais voulu que ça dure plus longtemps, mais ça n'était plus possible. J'ai lâché de longues salves dans son vagin serré. Elle a pressé mes bourses, comme pour les vider entièrement. Elle a joui alors que jaillissaient mes dernières giclées.
Delphine s'est mise à quatre pattes sur la moquette. Christelle m'a dit :
- Arnaud Delphine veut que tu la prenne en levrette ! »
Je me suis installé derrière ses fesses, je lui ai caressé sa vulve un instant, avant de présenter ma bite sur son sexe. Je me suis enfoncé d'un seul coup dans son ventre. Son sexe était moelleux et ses muscles se contractaient sur ma verge. Je m'agrippais par ses hanches et je la baissé comme une chienne. J'avais une vue splendide sur ses belles fesses.
Elle gémissait comme une folle sous mes coups de boutoirs. Après mes derniers coups de reins j'ai éjaculé dans son vagin, et on s'est écroulé sur la moquette ensemble sur la moquette l'un sur l'autre.
Pour finir le spectacle les deux filles ont tenu à me montrer comment deux filles faisaient l'amour ensemble. Christelle s'est allongée par terre et Delphine est venue se placé au-dessus d'elle pour se retrouvé en soixante-neuf. J'hallucinais sur ce spectacle que m'offrais les deux filles. Au bout d'un moment, je me suis approché d'eux et j'ai embrassé en même les fesses de Delphine, et Christelle sur la bouche.
Nous avons fini la nuit en installant les deux matelas de leur lit par terre. Installé entre Christelle et Delphine, j'ai passé la plus belle nuit de ma vie jusque qu'à ce moment là.
C'était la seule nuit d'amour que nous avions passé ensemble, car elle ne voulait pas que leurs copains soient au courant de ce que nous avons fait.
Ce fut un superbe moment dont je n'oublierai jamais. Cette éducation sexuelle restera gravée dans ma mémoire toute ma vie.

Moins mignon
Mais tout aussi bandant
 Salut les mecs,
Moi c'est Karim, 27 ans, 1m84, brun, peau mate, sportif bien musclé. J'adore le sexe et j'ai de gros besoins.
Le type de mecs que je recherche ce sont les bâtards blancs bien soumis qui sont prêts à tout pour sucer ma grosse queue de rebeu de 25 cm circoncise. J'adore le sexe interracial et je trouve qu'il n'y a rien de plus érotique que de voir mon zboub d'arabe couleur caramel s'enfoncer dans le joli petit cul blanc d'un céfran.
L'autre jour sur internet, je rencontre un céfran qui s'appelle Pierre et qui a 44 ans. Il dit qu'il est 100% passif et qu'il a envie de ma bite dans son cul. Je le préviens que je suis très autoritaire et très athlétique au lit et que j'adore humilier les céfrans. Pierre répond que ça tombe bien car cela fait des années qu'il fantasme à l'idée de devenir une pute à rebeus et qu'il bande souvent en s'imaginant à 4 pattes aux pieds d'un mâle arabe.
Je lui fixe alors rendez-vous pour le soir même. Comme j'habite en colocation avec un pote algérien, c'est moi qui me déplace et pars chez Pierre.
Dès le premier regard, j'ai su que c'était une pute authentique. Je l'ai bousculé puis je lui ai craché sur la tronche et je lui ai dit "Vas-y bâtard montre que tu es une bonne pute à rebeus!". Pierre s'est jeté sur mes baskets et à commencer à les bouffer avec la langue. Je l'ai obligé à dire des phrases humiliantes du genre "Merci Maitre, c'est un honneur pour une merde comme moi de baiser vos baskets d'homme arabe supérieur".
Après ça je me suis baladé dans la maison comme si j'étais le propriétaire. J'ai ordonné à Pierre de me suivre partout à 4 pattes comme un toutou. J'ai fait un stop dans la cuisine. Comme j'ai pas encore mangé, j'ai décidé de me servir directement dans le frigo. Pendant ce temps, j'ai dit à la tepu de continuer à me lécher les panards tout en se doigtant sa chatte de sous-merde blanche en chaleur. Quand j'ai fini de manger, j'ai décidé qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. J'ai emmené Pierre dans une chambre et je lui ai fait retirer ses vêtements. Pierre a une petite bite de 9 cm en érection. Je me suis bien moqué de lui et j'ai sorti ma grosse teub de rebeu pour qu'il se rende compte de la différence de taille et d'épaisseur. Je lui ai foutu un tas de grosses claques sur la gueule, les fesses et les couilles. A tel point que la peau blanche de Pierre est devenue parsemée de grosses plaques rouges à plusieurs endroits.
Ensuite, je l'ai forcé à genoux devant moi et j'ai niqué sa gueule comme si c'était une chatte. Pauvre Pierre s'est mis à larmoyer et a failli dégueuler plusieurs fois. Mais sa petite bite de blanc est restée en érection preuve que ça l'excite d'avoir mon gros zob d'arabe lui ramoner la gorge.
Après la pipe, je l'ai fait mettre à 4 pattes sur le lit puis je me suis mis à le baiser direct sans mettre de lubrifiant. Son cul était tellement accueillant que je l'ai baisé pendant 20 min dans au moins 4 positions différentes. Je n'arrêtais pas de l'insulter et de lui foutre des claques sur le cul. Je l'ai traité de grosse salope, de sale porc, de pute à jus, de larbin à rebeus... Ma bite circoncise s'enfonçait tellement loin que j'avais l'impression de niquer une vraie chatte de femelle. Pierre criait des "Oui Maitre", "Baise mon cul de petit blanc", "Largue ton jus d'arabe dans mon cul de salope!". Moi je lui répondais en le baisant encore plus fort et en écrasant ses petites couilles rasées dans ma main.
Après avoir juté, Pierre m'a nettoyé la queue bien comme il faut. Comme il n'a pas encore joui, j'ai décidé de lui faire cracher son jus mais pas de manière traditionnelle. Je me suis mis debout sur le lit et j'ai commencé à écraser et à frotter sa petite bite de céfran avec la plante de mes pieds. Pierre était en extase et il a craché son sperme en moins de 2 minutes. Ça m'a fait bien rire et après, je lui ai ordonné de nettoyer le foutre sur mon pied avec sa langue.
J'ai pris ensuite une douche car je devais partir tout de suite. En sortant de la douche, Pierre la pute m'a supplié à genoux de lui accorder l'honneur d'essuyer mon corps de jeune beur viril et musclé. J'ai dit oui même si j'étais déjà en retard à un rendez-vous avec des potes. Pierre à essuyer chaque centimètre de mon corps avec admiration et dévotion.
Le lendemain, je consulte ma boite mail et je trouve un message de Pierre:
"Maître Karim,
Hier j'ai vécu la plus belle expérience de ma vie. Elle m'a ouvert les yeux sur ma condition d'homme blanc inférieur. Je ne me suis jamais autant senti à ma place que quand j'étais à quatre pattes devant vous à lécher vos pieds. Je donnerais tout pour passer le restant de ma vie à être votre chienne soumise. Baisez-moi, frappez-moi, insultez-moi, partagez-moi avec vos potes beurs et blacks. Je suis 100% sérieux. S'il vous plait, Maître Karim, je vous prie de considérer un nouveau plan cul avec moi et si possible de faire de moi votre pute 24/24.
Votre esclave céfran, Pierre"
Après avoir fini de lire le mail, j'ai souris en pensant déjà à toutes les tortures et les épreuves que j'allais faire subir à cette sous-merde de Pierre.


Nettement moins mignon...
Dangereusement bandant.
Avertissement:  L'Atlas est une institution à Pigalle que je connais bien.
Et que j'ai souvent  pratiqué...

Dans ce texte il y a un fond de vérité, peut-être exagéré.
Mais il y a surtout une bonne dose de débilité à prendre de tels risques...
Alors ne suivez pas cet exemple.


Partouzée au ciné Atlas
Le sauna que je fréquentais depuis 3 ans ne me suffisait plus pour assouvir mes insatiables envies de bite et jus. Certes, chaque fois que j’y allais je me faisais toujours baiser au moins par une dizaine de mecs et vidais autant de couilles, mais c’était souvent les mêmes habitués du sauna.
J’avais envie de nouveaux mecs et de nouvelles bites.
J’ai donc décidé d’aller au ciné Atlas à Pigalle
Je connaissais ce ciné porno depuis les années 80. J’y avais déjà été plusieurs fois et j’avais baisé beaucoup de jeunes asiatiques. J’adorais leur peau douce de jeune fille. Ils raffolaient de ma grosse queue épaisse et juteuse.
A l’époque je me considérais comme un hétérosexuel mais j’avais déjà subi de nombreuses sodomies depuis mon adolescence et j’en gardais un bon souvenir.
Plus de vingt ans après j’y suis donc allée cette fois en travestie bien décidée à me faire un maximum de mecs.
Je savais que beaucoup de travailleurs immigrés noirs et Arabes y venaient le weekend pour vider leurs couilles gratuitement. C’est ce que je recherchais justement : faire la pute gratuite pour eux.
Une fois à l’intérieur du ciné j’ai mis mes fringues de salope (minijupe, string, bas nylon), mes talons-aiguille haut de 10 cm, ma perruque blonde bouclée, mes boucles d’oreille créole, puis je me suis maquillée comme une pute, j’ai avalé un ecstasy et je suis allée dans la salle du premier étage.
Il y avait un attroupement devant les toilettes qui servaient de baisodrome dans une obscurité totale. J’y suis entrée en tâtonnant suivie des mecs qui m’avaient repérée dans la salle.
On était serré comme dans le métro aux heures de pointe.
Des mains baladeuses ont commencé à me peloter les fesses et les seins ; des bites raides me collaient aux fesses en cherchant mon trou. Ils voulaient que je les suce mais il n’y avait pas assez de place pour me mettre à genou, ou même me pencher. Quelqu’un dont je ne voyais pas le visage m’as chuchoté :
- Tâte ma bite salope, j’ai envie de t’enculer comme une chienne.
J’ai attrapé et soupesé sa bite dans l’obscurité ; elle était superbe, très épaisse et circoncise.
- Tu la veux salope ?
Je n’ai pas répondu mais en signe de consentement je me suis aussitôt appuyée contre le mur en lui présentant ma croupe. Il a allumé son briquet pour voir mes fesses et mon visage. Je l’ai vu aussi : c’était un grand black. De toute évidence il savait comment faire avec des salopes comme moi. Il s’est positionné derrière moi et a commencé à frotter sa gosse bite contre mon anus en le mouillant avec de la salive.
J’ai sniffé profondément mon poppers, je me suis un peu courbée et j’ai poussé mes fesses contre sa bite. D’abord il m’a pénétrée lentement mais une fois tout au fond de ma chatte anale il a accéléré le mouvement de va-et-vient et au bout de quelques minutes il a joui en moi avec un long râle. Quand il s’est retiré son sperme a commencé à couler le long de mes cuisses.
- Tu es maintenant bien lubrifiée pour accueillir d’autres bites », a-t-il dit en rigolant et en fermant sa braguette.
Ma fête venait de commencer pour durer jusqu’à la fermeture. Après lui une dizaine de mecs se sont relayés dans l’obscurité et m’ont défoncée sans ménagement. Je ne voyais pas leur visage mais je sentais bien leur bite exploser au fond de moi.
Certains mettaient une capote, d’autre y allaient sans. Mon cul était bien rempli et le sperme débordait sur mes fesses et cuisses. Il faisait trop chaud dedans et je n’en pouvais plus de subir leurs assauts puissants de mâles en manque. J’ai réussi à me dégager et sortir. Je suis allée me rafraichir le visage et avaler un nouvel ecstasy.
Je suis revenue au bout de 15 mn et cette fois je suis allée directement au fond de la salle où une rangée de sièges avait été supprimée, sans doute pour dégager de la place pour l’enculage des salopes. Là je pouvais me mettre à genou et sucer toutes les bites qui se présentaient. J’ai vidangé une 10aine de mecs en avalant leur jus à grandes gorgées.
Un Arabe d’une cinquantaine d’année m’a demandé de me lever et de lui présenter ma croupe. Je me suis immédiatement exécutée et lui ai offert mon cul de pute en m’appuyant sur le dossier d’un fauteuil. Pendant qu’il me défonçait un autre mec m’a donné sa bite à sucer.
Mes deux trous étaient bien occupés et devaient le rester pendant une demi-heure, car les mecs se relayaient d’abord dans ma bouche ensuite dans mon cul. Comme tout à l’heure certains mettaient une capote, d’autres préféraient m’enfiler sans.
Alex m’avait conseillé de toujours obéir aux désirs des mecs en bonne salope que j’étais devenue. Je savais que je prenais des risques mais sentir une bite exploser au fond de mon cul ou gicler dans ma gorge me procuraient un plaisir incomparable. Le sida ne me faisait pas peur, car je savais qu’il y avait des traitements très efficaces pour stopper le virus.
Après une pause d’un quart d’heure pour fumer une cigarette et avaler un nouvel ecstasy je suis descendue dans la salle du RDC. A droite de l’écran il y avait un escalier de secours où les salopes se faisaient baiser devant tout le monde. J’ai traversé lentement la salle sous les lumières de l’écran en dandinant mes fesses devant les spectateurs.
Des mecs se sont levés et m’ont suivi. Vite un attroupement s’est formé autour de moi et des bites raides ont commencé à cogner contre mes fesses. Un black d’une quarantaine d’années m’a poussée vers le fond et m’ordonné de le sucer. Je me suis mise à genou et lui ai taillé une bonne pipe gorge profonde.
Puis il m’a demandé de me lever et de lui présenter ma croupe debout contre le mur. Mon cul était déjà bien lubrifié de sorte que je n’ai eu aucun mal quand il m’a pénétrée d’un seul coup puissant avec sa grosse matraque.
Après avoir joui en moi il s’est retiré en disant :
- Elle est bonne cette salope, ne vous gênez pas les gars » et il est parti.
Aussitôt plusieurs mecs se sont mis en rang et m’on baisée à tour de rôle en remplissant mon cul de leur jus abondant. Je ne sais pas combien de mecs m’ont enculée dans ce coin. Mais je n’ai pas arrêté de faire la chienne en chaleur et d’en redemander toujours. A bout de force je me suis dégagée de la meute et suis allée prendre un dernier ecstasy pour satisfaire les derniers « clients » avant la fermeture.
Ce fut le jour de mon record de bites !


Une lopsa des bois..!


Calineries d'un superbe couple...

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On aimeraient tous avoir leur jeunesse....
Et leurs physiques....
Ah jeunesse envolée...








Pour finir ce mois d'avril. Un couple avec un beau jouet.... A utiliser sans modération!

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Commençons ce mois de Mai.
Avec un mari tout guilleret;
Qui offre à sa femme en guise de muguet
Un bon gros bouquet.... De braquemarts bien bronzés..!


Ma femme, ma pute,
J’ai connu Julie, elle n’avait que 20 ans et habitait un petit hameau dans les Ardennes. Jolie, naïve et mince, elle travaillait pour l’épicier du village et nous, nous campions dans les environs.
Mes copains et moi aimions camper sauvagement dans des endroits comme le bord d’un bois ou d’un champ ou encore dans une prairie pas trop loin d’un village. Citadins venant de la capitale nous aimions allez dans les bals et fêtes des petits villages Ardennais.
C’est au cours d’une fête de village, en plein été que, je connu Julie, belle comme une rose et gaie comme un pinson. On la draguait tous les quatre mais c’est avec moi qu’elle se laissa aller et le soir même derrière une étable, je la dépucelai.
Ma pauvre Julie, n’y connaissait rien en sexe et me laissa faire tous ce que je voulais d’elle. En une semaine, je fis le tour de son corps et explorai toutes les positions du « Kamasutra »
Julie acceptait tous ce que je lui faisais, sans poser de question mais, sans être active, elle-même. Je me rendis compte qu’elle était assez soumise et comme elle avait un corps de rêve je décidai de la ramener avec moi à la ville.
Ses parents malgré leur côté catholique extrême furent d’accord de se débarrasser d’une fille trop grande et un peu simplette.
Nous nous sommes mariés six mois plus tard et c’est au bout de 2 ans de mariage que je commençai à me lasser de ce corps magnifique mais tellement inerte et sans initiative.
Nous n’allions plus camper entre copain et c’est avec un collègue de travail que, je liai connaissance plus intimement. En l’invitant chez moi, Ahmed, c’est son nom, fit évidemment, la connaissance de Julie.
Il n’arrêtait pas de me complimenter sur Julie et la dévorait des yeux lorsqu’il était chez moi. C’est alors qu’un soir, j’avais, comme souvent invité Ahmed à souper qu’il se passa un évènement qui allait changer ma vie et celle de Julie.
Nous avions terminé le repas depuis plus d’une heure et nous buvions un alcool au salon. Julie dans la cuisine finissait la vaisselle.
- Ça,… C’est mon disque préféré ! Dit soudain Ahmed.
C’était un slow lent et entraînant qui était dans les hits du moment. C’est vrai que j’aimais aussi ce disque et qu’il donnait vraiment envie de danser.
- Tu me permets ? Dit Ahmed en prenant la main de Julie qui venait d’entrer au salon.
- Mais, oui ! Vas-y ! De plus, elle aime danser ! Dis-je sans plus d’attention que ça !
C’est lorsque, je vis ma petite femme dans les bras enlacé d’Ahmed qu’une érection pas possible me prit. Je bandais de les voir l’un contre l’autre se dandiner, se frotter et tournoyer au rythme de cette chanson.
Je vis aussi parfaitement la main d’Ahmed dans le dos de Julie, descendre par moment sur les hanches de Julie et cette dernière se plaquer le pubis contre Ahmed comme pour échapper aux caresses de celui-ci.
Au bout de deux minutes, je me levai et alla directement aux toilettes me masturber en imaginant Julie nue dans les bras d’Ahmed.
Cela me travailla l’esprit toute la semaine et surtout lorsque, je voyais Ahmed au travail. Je dois avouer que pendant toute la semaine, je fis l’amour à Julie comme au premier jour et je du me masturber une douzaine de fois pendant la semaine rien que de penser à ça !
- Qu’es-ce que tu fais demain ? Demandais-je à Ahmed ce vendredi après-midi.
- Heu !... Rien… Rien de spécial !... Pourquoi ?
- Tu n’as pas envie de venir à la maison pour souper ?
- Heu !... Oui ! Si tu veux ! Je n’ai rien de prévu…. C’est gentil de ta part d’autant que, je suis déjà venu samedi passé !
- En fait… heu !... C’est Julie qui m’a demandé de tes nouvelles ! Mentis-je.
- Ah ! Fit Ahmed l’œil soudainement intéressé.
- En fait elle a bien aimée de danser avec toi et comme moi, je ne danse pas souvent…Tu comprends ?
- Ben, si cela ne te dérange pas, je veux bien danser toute la soirée avec ta Julie.
Il en bavait, le salaud et moi, je bandais à m’en faire mal. On discuta encore quelques instants sur la plastique du corps de Julie et je compris qu’Ahmed serait près à lui faire son affaire si je lui en donnais mon autorisation.
Connaissant la situation familiale d’Ahmed, je le savais seul depuis plusieurs mois, sa femme l’ayant quitté. Je savais aussi qu’Ahmed n’était pas du genre à aller voir les putes. Pour lui, payer une femme pour la baiser n’était pas concevable. Je lui fis comprendre sans le lui dire ouvertement que je n’étais pas contre qu’il baise ma femme devant moi.
- Tu sais, la libido de Julie n’est pas terrible mais, je suis sur qu’un jour, un mec, trouvera le déclic pour la rendre plus active.
Ahmed ne dit rien mais visiblement, voyait déjà Julie sous lui. Je voyais dans son regard autant d’étonnement que d’envie lorsque, je lui en fis part.
Le samedi soir, je demandai à Julie de s’habiller sexy et d’être très gentille avec Ahmed. Elle me regarda avec inquiétude et fit quelques objections.
- Tu sais, mon chéri, ton Ahmed à déjà les mains baladeuses et ne rêve que de me mettre dans son lit.
- Ah ?... Tu… Tu crois ? Fis-je innocemment.
- Samedi passé, il a déjà essayé de m’embrasser et puis, j’ai bien senti contre moi son sexe tout raide !
- Je suis sur que cela t’as excitée, non ?
- Mais, mon chéri !... Je ne veux pas te tromper !
- Ah ! Tu avoues, avoir envie d’Ahmed ?
- Tu… Tu es fou ! Je… Je ne peux… Je ne… Fit-elle troublée par notre dialogue.
- Écoute ma chérie, soit simplement gentille avec lui et si une main s’égare n’en fait pas un « patakèse »
- Tu es devenu fou, ma parole !
- Mais, non chérie, mais Ahmed est dans une mauvaise passe, à cause de sa femme et un peu de chaleur humaine lui fera du bien !
Qu’es-ce que je pouvais déconner ! Pourtant et à mon plus grand etonnement, Julie ne dit plus rien et son regard en dit plus long qu’aucune parole. Elle avait aussi envie de coucher avec Ahmed, cela se lisait dans ses yeux.
« Putain » Pensais-je, je crois que ce soir ma vie va changer.
Julie redescendit habillée comme au temps où on allait en boîte, avec une super mini-jupe et un chemisier noué sous sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on pouvait voir ses tétons pointés sous le tissu.
Ahmed ne pourra résister pensais-je en voyant Julie dans cette tenue.
Je me levais et lui roulai un patin baveux. J’agaçai ses tétons, que je savais sensibles et descendis une main sous sa mini-jupe. Je passai mes doigts sur le devant de son string et senti de suite l’humidité qui y régnait. J’agaçai un peu son clito à travers le tissu dans le seul but de l’exciter et aussi qu’elle soit en demande sexuelle.
Je savais qu’Ahmed allait arriver d’un moment à l’autre et il me fallait une Julie en état de transe pour que mon plan s’accomplisse parfaitement. Julie fit des soupirs d’extase et se colla à moi. Je l’a repoussai gentiment tout en continuant de triturer son clito et ses tétons.
Lorsque la sonnette retenti, je savais que ma Julie était prête à faire tous ce que je lui demanderais.
- Va donc ouvrir et accueillir Ahmed ! Dis-je à Julie en la poussant vers le hall. Et soit très gentille avec lui !
- WAOUHHHH ! entendis-je quelques secondes plus tard.
- Heu…. Bon…. Bonjour Ahmed !.... Attend… Non…
- Hum ! tu es délicieuse Julie.
- Arrête ! S’il te plait ! Pas… Comme…. Pas …Ici… Humphl !
Je passai discrètement la tête dans le hall et vit Ahmed rouler une pelle à Julie qui tentait de le repousser.
Le regard d’Ahmed croisa le mien et je levai mon poing, le pouce en l’air pour lui faire comprendre de continuer.
Julie, se débattit encore deux ou trois secondes avant de se laisser aller et répondre au baiser d’Ahmed. Je cru juter dans mon caleçon.
Leur baiser dura encore suffisamment pour qu’Ahmed attrape un sein et le malaxe avec force. Je vis alors le bassin de Julie se pousser vers celui d’Ahmed.
Je retournai m’assoir au salon de peur d’éjaculer et Julie suivit d’Ahmed apparu. Elle était rouge comme une pivoine et Ahmed derrière elle me regardait d’un air triomphant. Un peu comme s’il venait de gagner un pari imaginaire qu’il avait fait avec ses capacités de séduire Julie.
- Je… Je… Je vais… à… la Cuisine !
Balbutia Julie en s’éloignant rapidement d’Ahmed.
Je regardai Julie passer à quelques centimètres de moi qui, baissant les yeux, entra dans la cuisine. Elle réapparue quelques instants plus tard avec un plateau contenant les verres d’apéro.
Ahmed avait jeté son manteau sur un des fauteuils et s’était assis dans le divan face à moi.
Pendant que Julie nous servait l’apéritif Ahmed et moi discutèrent de chose et d’autre sans faire aucune allusion à ce qui venait de se passer mais, lorsque Julie voulu s’assoir dans le fauteuil occupé par le manteau d’Ahmed ce dernier tapota la place à côté de lui.
- Vient donc ici Julie ! Fit-il avec un grand sourire.
- Je… Heu !...
Julie me regarda un peu perdue et interrogativement. Je lui fis signe avec mes yeux qu’elle devait s’assoir près d’Ahmed.
Bien sur, dès que Julie fut assise à côté d’Ahmed, ce dernier avait une vue plongeante sur ses cuisses et moi sur son entre-jambe.
On trinqua et Ahmed vida son verre d’un trait. Ensuite, il se rapprocha de Julie, jusqu’à ce que ses jambes touchent celles nue de Julie. Il passa un bras derrière elle et posa une main sur la cuisse offerte de ma femme.
Julie devint à nouveau rouge et tenta de retirer la main d’Ahmed en me regardant paniquée. Je baissai les yeux à plusieurs reprises pour que Julie se laisse faire et vidai mon verre aussitôt.
Ahmed chuchota dans l’oreille de Julie et je vis parfaitement la détresse dans le regard. Elle ne comprenait pas comment Ahmed osait la toucher devant moi et que moi j’étais apparemment consentant.
- Bon ! Je vais me resservir ! Déclarais-je en me levant.
Je quittai le salon et depuis la cuisine écoutai se qui ce passait dans le divan. Je pouvais entendre Julie et Ahmed chuchoter.
- Non… Pas… ici… Ahmed !... S’il te plait !
- Laisse-toi faire ! De toute façon ton mari est d’accord !
- Qu… Quoi ?
- Aller ! Laisse-moi te faire du bien.
- Hummm !
- Tu vois ! Aller ouvre tes cuisses !
Je passai discrètement la tête et vis Julie la tête en arrière, les cuisses ouverte et la main d’Ahmed bouger de façon significative sous le tissu de la mini-jupe de Julie. Puis la tête d’Ahmed se pencha sur la poitrine de Julie et c’est seulement alors que, je vis un des seins de Julie, sorti du chemisier. La bouche d’Ahmed se fixa dessus et Julie redoubla de soupir.
Je savais Julie suffisamment sensible des tétons, pour savoir que maintenant Julie allait probablement acceptée les avances d’Ahmed.
Il releva la tête et chercha la bouche de Julie. Ils se roulèrent une pelle digne de ce nom et la main d’Ahmed continua de bouger et pris même de la vitesse dans ses mouvements.
Moi, j’avais sorti mon sexe et me branlais doucement en essayant de me retenir le plus longtemps possible.
Mais, lorsque, je vis Ahmed lâcher le sein de Julie, ouvrir sa braguette en sortir un engin deux fois comme le mien et de son autre main derrière Julie pousser la tête de celle-ci vers son énorme sexe, mon orgasme vint et je jouis de longues salves de sperme qui s’écrasèrent à plus d’un mètre de moi.
Je reculai précipitamment et failli tomber. Je me retins au chambranle de la porte et reprenant mon souffle et mes esprits repassai la tête au salon.
La tête de Julie, elle montait et descendais de plus en plus vite sur le sexe d’Ahmed. Je ne le savais aussi bien monter et de voir la petite bouche de Julie écartelée par cet énorme sexe, stoppa net la débandade du mien et même commença à se redresser.
- Vas-y ma belle ! Prend le bien profond ! Je vais arroser tes amygdales comme jamais elles l’ont été ! Dis Ahmed en poussant son bassin vers l’avant augmentant ainsi la pénétration de la bouche de Julie.
Il avait pris les cheveux de Julie et lui imposait son rythme. Julie pliée en deux se laissait faire et son bras pendait vers le sol, son autre main était dans son dos. Une des mains d’Ahmed malaxait le sein hors du chemisier et je pouvais distinctement entendre les gémissements et son gutturaux qu’émettait ma Julie.
- Ouaiiiiiis ! Je sens que ça vient ! Ma belle salope !
- …..
- Essaye de tout avaler, c’est du bon sperme d’arabe dit Ahmed au comble de l’excitation.
J’avançai vers eux et Ahmed me regarda le regard déjà trouble annonçant une proche jouissance. La tête de Julie montait et descendait rapidement et Ahmed donnait de petit coup de rein qui occasionnait des étranglements dans les râles gutturaux de Julie.
Soudain, Ahmed bloqua la tête de Julie sur plus de trois quart de sa bite et donna de gros coup de bassin. J’entendis Julie s’étrangler et déglutir les jets de sperme que lui envoyait avec force mon collègue.
Je ne pu me retenir et sans m’être masturbé, plusieurs jets de sperme s’écrasèrent sur le corps de Julie. Je venais de jouir une deuxième fois en quelques minutes et cette fois sans m’être touché. Mon excitation était au sommet et de voir ma Julie avaler le sperme de mon ami me fit devenir fou de sexe.
Ahmed redressa la tête de Julie et la poussa vers mon sexe dégorgeant encore quelques volutes de sperme. Comme une automate, Julie ouvrit la bouche et goba mon sexe.
La bouche de Julie contenait encore du sperme d’Ahmed et mon sexe baigna dans une bouche gluante. Julie avala le reste de sperme et aspira ma bite comme si elle voulait en extraire le reste de mon sperme.
Ahmed poussait sur la tête de Julie contre mon pantalon. Son nez, sa bouche et son menton disparaissait dans ma braguette ouverte.
- Remplis-là ! Mon pote ! Cria Ahmed encore sous l’influence de son orgasme.
- Avale ! Ma chérie ! Avale donc bien tout ! Dis-je dans cette folie sexuelle.
Je sentis la langue de Julie jouer avec mon sexe devenant de plus en plus mou et une envie folle et subite me pris.
Une envie d’uriner me prit soudain et je lâchai un long jet de pisse dans la gorge de Julie. Celle-ci s’étrangla et repoussa la main qui maintenait sa tête contre mon pubis, avec une force incroyable. Le jet d’urine vola sur ses cheveux et au-delà de sa tête. Je me retins et le jet stoppa.
- Putain ! Mais, tu lui pisses dedans ? S’écria Ahmed dont le sexe n’avait nullement diminué.
- Heu… Ou… Oui !... Une idée comme ça ! Dis-je en me retenant de pisser.
Julie toussait et s’étranglait d’avoir avalée ce jet d’urine de travers. Elle avait du reprendre de l’air au moment où j’urinais en elle.
Le point de non-retour venait cette fois d’être franchit et Ahmed compris immédiatement que Julie allait devenir un simple jouet sexuel. Il se leva, pris Julie par les aisselles et la posa sur le divan.
Je quittais le salon car je devais toujours pisser et allais aux toilettes. Lorsque, je revins au salon après m’être soulagé, je vis Julie complètement nue, à genoux sur l’assise du divan, le torse posé sur le dossier et Ahmed derrière elle donner de grands coups de rein.
- Han !... Han !... Oh ! Mon dieu !... Han ! Faisait Julie à chaque enfoncement d’Ahmed en elle.
Ahmed, lui tenait les poignets dans le dos et tirait dessus à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Julie balançait la tête de gauche à droite et d’avant en arrière sous les chocs. Ses seins tapaient sur l’arrière du dossier assez brutalement tellement Ahmed se donnait à fond.
- Alors ! Ma salope ! Qu’en penses-tu d’une bonne queue arabe dans ton ventre ?
- Han!... Oh! Ouiiii !... Han!... Encore!... Han!...
Merde! Je rebandais! Le spectacle était bien au-dessus de mes espérances et de voir Julie se faisant prendre par mon ami Ahmed avec sa queue immense, me satisfait au plus haut point.
Je contournai le divan et me plaçai devant la tête agitée de ma femme. Voyant mon sexe raide, Julie ouvrit la bouche et goba mon sexe.
Je ne devais pas bouger les coups de buttoir d’Ahmed suffisaient à faire aller la bouche de Julie sur mon sexe.
Ahmed, fut d’une endurance phénoménale et lima Julie pendant plus de vingt minutes, la traitant de pute, de garage à bite, vide couille, et j’en passe et des meilleures.
Julie se laissa ainsi baisée sauvagement par Ahmed et parvint à avoir trois orgasmes foudroyant pendant ces vingt minutes.
Ahmed fini par jouir et se maintint dans le sexe de Julie jusqu’à ce que moi-même et pour la troisième fois, je jouisse et cette fois, dans sa bouche.
Ahmed se retira et Julie s’écroula sur le divan. Complètement groggy par ses orgasmes.
- Bon ! Fit soudain Ahmed ! La baise c’est bien mais, je suis venu pour manger et j’ai une faim d’ogre.
- Je… Je… Attend un peu… S’il te plait… Dit péniblement Julie en reprenant vie.
Je remis mon sexe cette fois complètement débandé en place et Ahmed remonta son pantalon aussi. Julie chercha du regard après ses vêtements et voulu les prendre.
- Non ! Non ! Reste ainsi ! Chérie ! Dis-je en rigolant. On ne sait jamais avec ces arabes… ça leur reprend tout d’un coup !
J’éclatai de rire et Ahmed aussi.
- Tu as raison, mon pote ! Elle sera accessibles à tout moment comme ça.
- Ouais ! Fis-je… Dommage que ton frère ne soit pas là !
- Mon frère ? T’es fou ? Il en ferait une pute aussi sec !
- Hum ! Possible, mais, il pourrait la baiser pendant qu’on mange ! Moi je suis fini pour quelques heures !
- Écoute, je crois que tu exagères un peu, non ? Laisse Julie reprendre !
- C’est dommage ! Dis-je déçu.
Je crois que c’est à ce moment précis que j’ai perdu la raison car, je ne voyais plus Julie comme ma femme mais comme un trou à bites et la seule chose qui comptait pour moi à ce moment précis, c’était de voir ma femme prise en tournante par une compagnie complète.
Julie se releva et péniblement se rendis à la cuisine pour nous servir le souper heureusement des pâtes Bolo ce qui simplifia son boulot.
Ahmed et moi discutions de Julie et de la façon de la baiser et faire baiser par d’autre. Lorsqu’on fut servi, Julie voulu s’assoir mais, je la retins.
- Vient ici ! Salope ! Suceuse d’arabe !
- Mais, chéri…
- Assied-toi sous la table et occupe-toi de la bite de mon ami ! Ordonnais-je à Julie.
Elle me regarda comme si j’étais fou mais, obéis néanmoins à cet ordre. Elle se glissa sous la table et je vis Ahmed bouger sur sa chaise.
Pendant tout le repas Julie resta sous la table la bite d’Ahmed en bouche. Restant encore des pâtes, je servi une assiette pour Julie et mit l’assiette à mes pieds.
- Tient ! Suceuse d’arabes ! …Mange, pour prendre des forces car, la soirée est loin d’être finie pour toi.
- Mais !.... Dit Julie en retirant le sexe d’Ahmed de la bouche.
- Aller mange !
- Mais… Chéri ?....
- Comme une chienne sans les mains !
Julie me regarda bizarrement et se pencha sur son assiette. Sa bouche descendit sur les pâtes et elle essaya de manger sans les mains.
Son cul était levé et offert.
 Ahmed se leva le sexe bien raide de la fellation pendant le repas, s’agenouilla derrière Julie et l’enfila d’une traite lui plaquant le visage dans l’assiette de pâte. Il lima Julie lentement en lui rendant difficile la tâche de manger son assiette.
Je n’y tiens plus et couru chercher mon Gsm. Je pris une dizaine de photo de Julie se faisant baiser pendant qu’elle mangeait ses pâtes.
Brusquement, alors que Julie terminait son assiette avec toujours beaucoup de difficulté, Ahmed se retira de son vagin et plaça son énorme gland sur l’anus de Julie qu’il travaillait de ses doigts depuis le début.
Julie se redressa ouvrit la bouche pleine de pâte et cria en recrachant les pâtes dans sa bouche. Ahmed venait de s’enfoncer complètement et en une fois dans son adorable petit cul.
- Aaaaaah !... Nonnnnn !... Pitiéééééé !.... Aaaaaaaah !.... Arrêêêêêête ! … Trop Mal ! Criait Julie avec force.
Ahmed ne bougeait plus et je voyais parfaitement, son bas-ventre épouser étroitement les fesses de Julie. Il était vraiment complètement entré.
Julie cria, pleurait essayait de se retirer battait des bras, ce qui la fit s’écrouler la tête dans son assiette presque vide.
- Elle doit apprendre à recevoir avec plaisir mon sexe dans son cul ! Dit Ahmed en guise de conclusion.
- Tu as parfaitement raison d’autant que si je ne me trompe pas tes frères adorent enculer les meufs !
- Hum ! C’est le meilleur, mon pote ! Dit Ahmed.
Il commença un mouvement d’aller/retour dans le cul de ma Julie qui redoubla ses cris.
Mon sexe fut à nouveau dure comme une barre de fer et je me suis mis à ma masturber en regardant ma femme soumise au sexe d’Ahmed.
J’avais souvent pratiqué la sodomie avec Julie mais, mon sexe de moitié de grosseur de celui d’Ahmed ne devait surement pas lui ravager l’anus comme actuellement.
Les cris et pleurs de Julie baissèrent d’intensité et Ahmed augmenta la vitesse de ses pénétrations. Le visage de Julie dans son assiette entrainait celle-ci sur le sol carrelé.
Après plusieurs minutes Julie sembla accepter cet énorme sexe en elle et commença à accompagné les va et vient d’Ahmed.
- Fini ton assiette, pute à rebeux et lèche le sol que tu as Sali ! Dit soudain Ahmed en continuant sa sodomie.
Je vis la langue de Julie essayée d’atteindre les pâtes sur le sol et aspirer pour les avaler. À l’aide de ses mains Julie rassembla les pâtes éparpillées sur le sol pour avoir plus facile à les manger mais, je senti une nouvelle éjaculation arriver.
Je me plaçai au-dessus du petit tas de pâtes rassembler par Julie et me baissant le plus près possible éjaculai quelques petits jet de sperme en criant ;
- Tient ma chérie une peu de sauce en plus.
- Attend ! Cria Ahmed.
Il sortit de l’anus de Julie lui arrachant un nouveau cri de douleur, contourna Julie et s’accroupissant à mon côté éjacula une bonne dose de sperme sur le petit tas de pâtes.
« Bon sang ! Mais, où peut-il chercher autant de sperme » pensais-je en comptant les 5 jets abondants de sperme qui recouvrit les pâtes.
- Mange ! Salope ! Dis-je en poussant la tête de Julie vers le sol.
Julie mangea et lécha le sol comme si sa vie en dépendait. Elle me regarda après avoir tout nettoyée et je pus voir son visage plein de sauce tomate et autres restant de pâtes.
Une fois de plus, son regard complètement interrogatif et peureux me fit un effet monstre et mon sexe cessa de débander.
- Bon ok ! je suis ko pour ma part dit Ahmed !
- Moi, je ne sais même pas comment, je bande encore ? Lui répondis-je.
- Dans une heure, je serai à nouveau près mais maintenant je suis out !
- Attend, j’ai une idée dis-je soudain.
Je repris mon Gsm et le tendis à Ahmed qui remettait son sexe en place dans son pantalon.
- Tient ! Sonne ton frère et dit lui que t’as trouvé une pute à arabe qui suce et baise gratos !
- T’es bien certain de ce que tu fais ?
Demanda Ahmed en prenant mon Gsm.
- T’inquiète ! Et demande-lui de ne pas venir seul.
Julie me regarda comme un extra-terrestre et se replia sur elle-même. Ahmed parla quelques instants en arabe et en anglais puis raccrocha.
- Ok ! Ils arrivent mais réfléchi bien car une fois que mon frère sera là… Pas question d’annuler ! Ok ?
- Qu’ils viennent et qu’ils me remplissent cette chienne !
Dis-je en regardant Julie avec perversité.
Un quart d’heure suffit pour que, la sonnette retentisse et que je fis signe à Julie d’aller ouvrir. Entre-temps, j’avais nettoyé sommairement le visage de ma femme pour enlever le plus gros de la sauce tomate.
J’entendis clairement l’expression étonné de Jamal lorsque Julie ouvrit la porte.
- Putain ! Quel morceau !
- Aaaaaah ! fit Julie.
Un groupe de trois hommes et de Julie tenue par les cheveux et plier en deux, firent leur apparition dans le salon.
- C’est elle la truie ? Demanda Jamal.
- Heu !... Oui ! … Et vous pouvez vous en servir comme vous voulez ! Précisais-je étonné moi-même de mes paroles.
Ce qui suivit pendant les trois heures qui suivirent sont assez difficile à décrire mais les trois hommes baisèrent ma Julie par tous ses trous, faisant même des doubles pénétrations et finissant par un double anal, une bite dans le vagin et Ahmed dans la bouche.
Chaque homme pus ainsi jouir à plusieurs reprises dans ma femme et c’est couverte de sperme que je retrouvai ma Julie lorsque les quatre hommes partirent.
Je n’ai pas participé à ce gang bang mais, je me suis masturbé pendant les trois heures. Mon sexe était complètement insensible et je ne pouvais plus bander. J’ai quand même éjaculé deux fois et me suis étonné moi-même de la quantité que je parvenais à fournir. Rien à voir évidemment avec ce que Jamal et ses deux complices éjaculèrent dans et sur ma Julie.
Jamal, me donna ordre d’amener Julie vendredi soir suivant, chez lui et que j’avais intérêt à ne pas faire faux bond.
Je lui promis une Julie en pleine forme et prête à obéir a ses ordres. Je refermai la porte sur eux et les jambes flageolantes je regagnai la chambre.
Julie, était allongée sur le dos couverte de sperme sa bouche, son vagin et son anus dégorgeant du sperme épais.
- Putain ! Qu’es-ce qu’elle à pris la salope ! Dis-je tout haut.
- Ils…. Ils…. Ils… sont… par…tis ?... Demanda-t-elle péniblement.
- Oui ma petite pute mais, ils reviennent la semaine prochaine.
- Oooooh !...
Julie retomba dans cette inconscience réparatrice. Je l’ai laissée ainsi sur le lit et parti dormir dans le salon. Julie dormi jusqu’à trois heure de l’après-midi du samedi et lorsqu’elle se leva tituba jusqu’à la salle de bain et fis couler l’eau de la douche pour s’écrouler au fond du tub. Elle resta ainsi laissant l’eau chaude couler sur elle pendant plus d’une heure et se lava lentement et péniblement.
L’eau à peine coupé elle chercha un grand essuie et s’enroula dedans. Julie arriva au salon au même moment que la sonnette d’entrée retenti.
- Va ouvrir ! Dis-je. Je suis occupé et si c’est un mendiant propose-lui une bonne pipe !
- ….
Julie ne me répondit pas et alla ouvrir !
- Oh ! Fit-elle
Puis, un silence s’installa et dura de longue seconde. Intrigué, je me levai et alla voir à la porte d’entrée.
Le spectacle redressa ma queue à vitesse grand V. Abdel, un des potes de Jamal était debout devant Julie à genoux et se faisait sucer sur le palier. Derrière lui se tenait un autre type que je ne connaissais pas.
- Salut Mec ! Dit Abdel. J’ai amené un pote qui voulait absolument connaître ta femme si généreuse ! Tu permets ?
- Heu !... Ou…Oui !... Bien sur !... entrer donc !
En tenant la tête de Julie par les cheveux et sans sortir son sexe de la bouche de ma femme, les deux hommes entrèrent jusqu’au salon. Je ramassai la serviette de bain que Julie avait laissé dans le hall et revint au salon pour voir le copain d’Abdel, sortir un sexe qui n’avait rien à envier à celui d’Ahmed.
Il frottait son gland sur le sexe de Julie, toujours pliée en deux et suçant le sexe d’Abdel. Julie essayait bien de repousser Abdel mais, son copain lui attrapa les bras et prenant, dans une main, les deux fins poignets de Julie, se servit de ce moyen pour tirer Julie sur son sexe.
Je vis le sexe de ce type entrer facilement dans le vagin de Julie et directement commença des va et vient brutaux. Ces brusques chocs amplifièrent la pipe que faisait Julie sur Abdel faisant entrer le sexe de l’arabe bien profondément dans la gorge martyrisée de ma femme.
Je m’assis dans un fauteuil et regardai les deux hommes violer ma femme avec un plaisir pervers. Le spectacle dura plus ou moins vingt minutes pendant lesquelles les deux hommes échangèrent leur place mais éjaculèrent tous deux dans la bouche de Julie qui avala sans réticence une quantité phénoménale de sperme.
- Tient-là au chaud, j’ai des potes qui vont arriver et Jamal leur à donné ton adresse pour qu’ils puissent baiser ta femme pendant la semaine.
- Ah ! Fis-je excité en entendant cela.
- Ouais ! Fit le copain d’Abdel ou si tu préfères on l’emmène avec nous et on lui donne une chambre dans l’hôtel à pute de Jamal !... C’est comme tu veux !
Je regardai, Julie qui reprenait son souffle et constatai dans son regard qu’elle venait de jouir de ce viol.
- Je peux venir aussi ? Demandais-je
- Oui, oui Pas de blème ! il y a un petit local avec vitre sans tain dans chaque chambre, c’est conçu pour les voyeurs.
- Alors ok ! fis-je. Je sens que je vais passer un dimanche soir exceptionnel.
Et ce fut le cas.

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Les brèves de la vie Homo.

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Chacun son tour.

Découverte sensuelle pour un pti cefran...
Dans les années 80 j’étais en apprentissage un soir alors que je rentrais chez moi je croise Djamel assis dans une voiture côté passager, il me salue et me dit de monter qu'ils vont me raccompagner chez moi.
Je suis un peu gêné mais je n'ose pas dire non je monte derrière, le chauffeur que je ne connais pas à des cheveux bouclés et une moustache il me salue d'un signe de la tête et démarre, je demande à Djamel ce qu'ils font dans le coin
- On est venu pour toi, on te ramène chez toi " me répond-il.
Je ne sais pas quoi répondre je les remercie.
J'ai croisé Djamel plusieurs fois dans un bar il est le grand frère de l'ami d'un ami. Je ne le connais pas vraiment nous avons eu l'occasion de boire un verre ensemble par ci par là et discuter mais sans plus.
Ne sachant pas trop quoi leur dire, je me contente de leur indiquer la route pour chez moi, une fois sur place je sors de la voiture et les salut, Djamel me dit a plus tard avec un sourire, je rentrer chez moi sans trop savoir quoi penser de leur geste.
Le soir venu vers 21h on sonne à la porte ma mère va ouvrir et m’appelle :
- Christian c'est pour toi.
Quand je la croise elle me regarde bizarrement, une fois a la porte je vois que c'est Djamel qui me dit :
- Tu viens on va faire un tour ?"
Je suis un peu gêné mais je n'ose pas dire non , je le suis une fois dehors je vois que le moustachu est là dans sa voiture. Djamel m'ouvre la porte arrière de la voiture je monte , il grimpe à l'avant , Mouloud démarre.
Aucun mot n'est échangé je trouve l’atmosphère un peu pesante étant un peu timide, je vois que Mouloud se dirige vers la sortie de la ville je demande :
- On va ou ?"
Djamel me répond :
- On va faire un tour dans la forêt" avec un sourire.
Je réponds d’un sourire gêné ne sachant pas trop quoi penser de cette nouvelle et soudaine amitié. Le frisé moustachu prends un chemin dans la forêt se gare. Djamel m'invite à descendre. Nous marchons. Djamel me parle de tout et rien alors que Mouloud reste silencieux à ma droite.
Arrivés prés de rochers Djamel s'installe et m'invite à m'asseoir prés de lui pendant que Mouloud s'installe en face de nous,. On parle de tout et de rien et la discussion dérive le plus naturellement sur les filles.
Djamel me demande si j'ai une petite amie , je lui réponds que non , il s’étonne qu'un si beau garçon que moi n'est pas de copine , il se plaint que Mouloud et lui ne soit pas aussi beau que moi et que ça réduit beaucoup leur chances d'avoir une copine et qu'ils en souffrent beaucoup.
Mouloud opine du chef en ne me quittant pas du regard , son regard insistant sans être agressif me mets mal à l'aise je regarde au sol pour éviter d'avoir à croiser son regard tout en écoutant Djamel qui me déclare abruptement
- Ce qui j'ai aimé tout de suite chez toi c'est ta gentillesse
Je ne peux empêcher un sourire d'illuminer mon visage même si je suis pris un peu au dépourvu par sa déclaration qui me fait plaisir, mon regard croise celui de Mouloud qui me sourit.
Djamel pose sa main sur ma cuisse, quand je le regarde il me sourit, je n'ose rien dire ni rien faire, je baisse les yeux au sol, sa main toujours sur ma cuisse il continue à me parler pendant que Mouloud continue à me dévisager en silence.
La main de Djamel se promène sur ma cuisse nue car en ce jour d’été je suis en short il me dit :
- Tu as la peau douce tu sais ?
Je ne sais pas quoi dire je souris un peu gêné , il continue :
- Tu es douce comme une fille
Je remarque l'usage du féminin mais ne relève pas. Ses caresses se font un peu plus explicite surement encouragé par mon manque de réaction , ne dit-on pas "qui ne dit rien , consent"
Djamel se penche sur moi et dépose un baiser sur ma joue
- Tu es belle tu sais Christian
Je ne bouge pas mais lui dit
- Je ne suis pas une fille"
Djamel me sourit et me répond :
- Oui je sais bien , mais tu pourrais faire semblant pour Mouloud et moi , on t'aime beaucoup tu sais , ça fait longtemps qu'on t'observe , pour nous tu es parfaite"
Tout en me parlant il a passé sa main autour de ma taille je reste là sans bouger les yeux toujours baissés, il pose sa main gauche à l’intérieur de ma cuisse et la caresse tendrement.
Je suis gêné mais je reste là sans bouger , Djamel me dit :
- Tu es gentil de me laisser te caresser , tu as la peau si douce , ça me fait du bien , ça te dérange pas que Mouloud te caresse aussi ?
Je réponds :
- Il faut que je rentre il est tard"
Djamel pose ses lèvres sur mon cou m'embrasse avec fougue et me dit :
- Demain c'est samedi, on a le temps ma chérie"
A mon grand étonnement je ne suis pas insensible à ses avances , je dois même avoué que j’apprécie les sollicitations de Djamel , mes protestations je dois l'avouer ne sont que pures formes, en réalité j’apprécie fortement être le centre de leurs intentions lubriques , comme si il lisait dans mes pensées coupable Mouloud se lève il s'installe à ma droite pose sa main sur ma cuisse et me caresse sans dire un mot pendant que Djamel continue à me parler
- Tu veux bien être notre copine à Mouloud et à moi ?"
Comme je fais mollement non de la tête il continue :_
- Allez soit gentille Christiane , soit la copine qui nous manque , regarde comment tu me fais bander, dit-il en libérant son sexe dur de son survêtement.
Mon regard se pose sur son pénis bien plus gros que le mien, il prend ma main et la pose sur son sexe, je ne résiste pas comme hypnotisé par la virilité de Djamel:
- Branle moi , Christiane ma chérie
Ma main enserre son sexe dur et maladroitement je commence a le caresser , il gémit et me félicite :
- Ah c'est bien Christiane , je savais bien que tu étais la meilleure , je te l'avais dit Mouloud"
Je dois vous avouez que j’étais très sensible au paroles de Djamel, je redouble donc d'efforts pour lui faire plaisir , je n'aurais jamais penser aimer me retrouver dans cette situation mais mon sexe tout dur témoignerait en ma faveur.
Djamel me dit :
- Christiane met toi à quatre pattes et suce moi"
Pendant que je m’exécute Djamel parle à Mouloud en arabe , pour ma part j'ai juste envie de d’être leur Christiane. J'adore l'idée d’être le fruit de leur plaisir je suis comme en transe, je me retrouve rapidement à quatre pattes entre les cuisses de Djamel son sexe à quelques centimètres du visage.
Djamel pose sa main sur ma tête afin de plaquer sa queue contre mes lèvres , j'ouvre la bouche afin d’accueillir la virilité de Djamel en moi il gémit de plaisir tout en poussant sa queue au fond de ma bouche offerte , je savoure le moment , les yeux fermés à quatre pattes une queue bien dur dans la bouche.
Je suis dans cette position depuis une minute quand j'entends Mouloud qui parle a Djamel en arabe qui lui répond dans leur langue maternelle dans ma position je ne peux pas voir ce que fait Mouloud mais je l'entends qui passe derrière moi , il baisse mon short et mon slip en un seul mouvement.
Instinctivement je me cambre pour m'offrir à lui, je ne peux m’empêcher de gémir submergé que je suis sous un flot d’émotions j'adore le fait de me sentir objet de concupiscence de ses 2 maghrébins virils , j'aime être l'objet de leur plaisir.
Je sens le gland de Mouloud qui se plaque sur mon anus, je gémis encore plus fort alors que je redouble d'effort pour faire plaisir a Djamel.
Je sens que Mouloud accentue la pression pour me pénétrer et je me cambre au maximum pour lui faciliter la tâche. J'adore la sensation de ce gland chaud contre mon anus.
Soudain une sensation de fraicheur remplace cette chaleur Mouloud a retiré son gland de mon intimité laissant place à un manque. Je souhaite qu'il revienne, j'aimerais voir ce qu'il se passe mais la pression des mains de Djamel sur ma tête m’empêche de me détacher de sa bite.
Je continue de le sucer. Mes 2 amants se parlent en arabe j'entends que Mouloud s’éloigne alors que je reste là le cul a l'air à quatre pattes suçant Djamel qui me dit :
- T’inquiètes pas Christiane, Mouloud est parti chercher de la vaseline dans la voiture, il a une grosse bite elle rentre pas dans ton cul même avec toute la salive qu'il a mis"
Je continue à sucer Djamel pendant un moment quand j'entends les pas de Mouloud qui approche. Je sens qu’il met un corps gras pour lubrifier mon anus et je me cambre bien pour m'offrir à lui. Je l'entends me dire :
- Ci bien Christiane, ti es une boune saloupe".
Il parle avec un fort accent arabe
- Ti va imer , ma bite dans ton qi"
Je sens que Mouloud se place entre mes jambes et je me cambre au maximum m'offrant à mon amant. Je meurs d'impatience qu'il me prenne qu'il me possède. Je sens le gland qui se replace à l'entrée de mon anus je gémis de plaisir tout en redoublant d'efforts sur la queue de Djamel pendant que je m'offre à la virilité de Mouloud qui accentue la pression sur mon anus
Cette fois si mon orifice d'amour résiste beaucoup moins grâce à la vaseline je sens mon anus qui se dilate sous la pression de Mouloud qui agrippe mes hanches.
Je sens son gland qui s'introduit doucement en moi en forçant le passage mon anus se dilate, la douleur augmente, je gémis. J'essaye de me défaire des mains de Djamel afin de dire à Mouloud d'y aller doucement mais Djamel ne semble pas du tout d'accord pour me laisser faire.
Le le sens qui accentue sa pression sur ma tête je renonce et continue a le sucer en essayant de relaxer mon anus afin de faciliter le passage du braquemart de Mouloud dans mon derrière.
La pression du gland de l'arabe qui force le passage dans mon cul était déjà inconfortable quand soudain je le sens qui s'engouffre en moi comme si une barrière venait de céder.
Cette intrusion soudaine dans les profondeurs de mon intimité est accompagnée d'une douleur vive et soudaine, je gémis de douleur tant bien que mal alors que Djamel en profite pour enfoncer son sexe plus profond dans ma bouche provocant un haut le cœur.
Heureusement que Mouloud a cessé de pousser son sexe en moi, je sens la douleur qui s'estompe doucement alors que mon anus s'accoutume a l'intrusion de la bite de l'arabe, qui ne relâche pas sa prise sur mes hanches , ne me laissant aucune échappatoire. Doucement, j'essaye de me relaxer afin de faciliter au sexe de Mouloud l'intrusion dans mon anus douloureux, comme si il attendait ce signal je sens la pression du sexe de Mouloud qui augmente, pénétrant plus profondément en moi.
Je gémis de douleur alors que les deux arabes s’échangent des paroles dans leur langue avant de pouffer de rire. Djamel me demande :
- Ça va Christiane ?
Ne pouvant parler je fais non de la tête autant que faire se peut.
- Ça va aller , t «inquiètes pas , relaxe toi
Je fais oui de la tête. Mouloud n'ayant pas cessé son intrusion en moi alors que je gémis plus fort il marque une pause et me dit :
- Christiane , il i tout sirré ton pitit qi , mi il est tri bon , ji vais rimettre de la vaseline , ca va aller miou pour toi
Je sens son sexe qui se retire de moi , son gland s'extrait de moi avec un bruit de succion , je panique un peu à l'idée de repasser par tout le processus de pénétration, mais je ne suis pas en position d'objecter.
Je reste donc bien cambré dans une position invitante en attendant que mon dépuceleur reprenne possession de moi.
Quand il me pénètre à nouveau la douleur est bien moins intense malgré le fait qu'il prend moins de précaution, je sens enfin les hanches de Mouloud contre mes fesses.
Je me sens plein de lui , de sa virilité , je me sens lui appartenir totalement , pour moi a ce moment l'expression ‘’se faire prendre’’ prend toute sa signification malgré la douleur je dois avouer que j'aime fortement ma position .
- Ça va Christiane ? me demande Mouloud.
Djamel relâche son emprise sur moi afin de me laisser répondre tout en essayant de reprendre mon souffle je lui répond
- Oh oui, Mouloud
Il commence ses mouvement de va et vient, le plaisir se mêle à la douleur j'adore le sentir agripper mes hanches. Je me sens bien pris en main. Il dit quelque chose à Djamel dans leur langues , ils gloussent , il accélère ses va-et-vient en moi.
La douleur augmente mais j'aime la sensation d’être pris violemment par Mouloud .
- Ça fait mal ?" me demande Djamel
- Oui !"
- Tu aimes ?"
- "OUI" je ne peux m’empêcher de crier
- C'est de la douleur qui fait du bien !"
- Oh oui , oh oui , continue Mouloud fait moi du bien.
En m'entendant le voilà qui accélère encore ses mouvements. Avant que j'ai le temps de crier de douleur Djamel en profite pour enfoncer sa queue au fond de ma gorge j’enserre la virilité de Djamel entre mes lèvres tout en gémissant dans un mélange de douleur et de plaisir sous les assauts de Mouloud.
Je me sens vraiment leur copine, leur Christiane , leur trou à plaisir et j'adore ça.
Je sens que Djamel se tend, je sens un gout salé se répandre dans ma bouche , je comprends qu'il vient de jouir en moi ,je sers bien les lèvres pour ne pas perdre une goutte du fruit de sa jouissance. Il relâche la pression sur ma tête mais je continue à garder son pénis dans ma bouche en m'appliquant à avaler sa semence pendant que Mouloud continue de me besogner furieusement.
- Tu aimes ça la bite de bougnoule Christiane ?" me demande Djamel
- Oh oui j'adore"
- T'es une belle salope"
Je gémis de plaisir alors que Mouloud continue de me défoncer le cul , mon anus me fait de plus en plus mal, une sensation de brulure commence à naitre.
Comme si mon amant devinait qu'il est temps d'en finir je le sens qui se tends au fond de moi alors que sa prise se fait plus forte sur mes hanches j'entends les râles de plaisir de Mouloud j'imagine qu'il est en train de décharger ses spermatozoïdes au fond de ma cavité d'amour.
Je relève mon buste pour me coller mon puissant amant , je passe mes mains sur ses fesses pour le retenir en moi le plus longtemps possible , j'aimerais que ce moment ne finisse jamais , je serre mon sphincter fort autour de son membre.
Mouloud m'enlace, colle son corps contre moi, me contraignant me remettre à quatre pattes pendant qu'il reste allonger sur moi. J'entends ses halètement , je suis fier de lui avoir servi pour son plaisir.
Au bout d'un moment il se relève extirpe son sexe de moi je me sens tout vide , comme délaissé , je me relève, e me retourne afin de voir enfin le sexe de mon dépuceleur , je n'en crois pas mes yeux et me demande comment ce braquemart a pu rentrer en moi tellement il est gros.
Je sens un liquide qui coule de mon anus dilaté je panique un peu et met la main au fesses craignant de saigner au vu de l'engin de Mouloud quand je regarde il n’y a rien de sanguin dans le liquide qui s’écoule de mes profondeurs.
Après nous être nettoyé tant bien que mal nous nous dirigeons vers la voiture de Mouloud. En chemin il passe son bras autour de ma taille comme il le ferait pour sa copine.
Je lui rends son étreinte en lui souriant.
Une fois chez moi Djamel me dit
- A bientôt Christiane, j'espère que tu as aimé ta soirée"
- Oui mes chéris, on le refait quand vous voulez"
Mouloud se contente de hocher la tête ... je crois que je l'aime ...





Le chantier

Bonjour ! Je trouve votre journal très intéressant, et suis souvent touché par les témoignages humains que vous recueillez auprès de vos lecteurs. Quelle richesse d’expériences, de sentiments, de sensations !
La vraie nature gay se révèle dans ces lignes uniques, d’où déborde une sensualité et une sensibilité souvent bouleversantes. Enfin, on nous donne la parole à tous, et pas seulement à quelques-uns, élite intellectuelle mais fort peu révélatrice de ce que nous sommes réellement, nous, homos de tous poils. Même le plus minable d’entre nous peut s’exprimer, quand il a quelque chose à dire.
Tout ceci pour vous dire que j’aimerais, moi aussi, apporter ma contribution personnelle à cet « édifice » de révélations gays.
Je me nomme Jean-Louis, et mon itinéraire a de quoi surprendre. Licencié en Lettres, je me suis reconverti dans... le bâtiment. Et ceci, par sensualité pure. J’ai eu, en effet, grâce à une relation de mon père, l’occasion unique d’avoir un poste de contremaître sur un chantier de démolition.
Et cette occasion, je l’ai saisie immédiatement, malgré la désapprobation de ma famille qui rêvait pour moi d’un travail plus en accord avec mes capacités intellectuelles.
Et savez-vous pourquoi ?
Tout simplement, parce que je bande pour les ouvriers.
Laissez-moi vous décrire par le menu ce que je ressens, lorsque le chantier est en pleine activité. Bruit des bulldozers et des marteaux-piqueurs, boue, poussière. Les hommes casqués s’agitent comme des fourmis. Cris, ordres brefs. Bleus de travail maculés, mains noires aux ongles cassés.
Le travail marque les chairs, et ces chairs, je les désire. Visages mal rasés, fourbus. Beaucoup de Nord-Africains aux traits burinés, aux courtes moustaches noires, marqués prématurément par la fatigue. Sueur coulant sur les fronts et les tempes où se colle la poussière des gravats. Chocs, violence, destruction. Danger, malgré le port du casque et les précautions.
Petit à petit, une ivresse m’envahit. Le désir monte en moi, me submerge. Euphorie du ronflement des moteurs, de l’opacité de l’air, de la fumée. Je supervise la démolition, je canalise cette violence, et le violence est en moi. Impact de la boule qui frappe les pans de murs, les disloque, les effrite.
Fureur de la machine déchaînée : je bande, je suis dans un état second ; les envies me taraudent le bas-ventre. Tous ces hommes qui gravitent autour de moi et exécutent mes ordres, me troublent. Je suis leur maître, et l’esclave de mes sens. Je suis réellement « habité » par mon désir.
Tout en « dirigeant » les opérations, je me mets alors en chasse. Ma préférence va aux Algériens de la trentaine : leur virilité sombre me plaît. Mais il m’est arrivé d’avoir des relations avec des hommes plus jeunes, et souvent plus faciles. C’est ainsi que, pendant plusieurs semaines, j’ai régulièrement pris Ahmed dans un coin de chantier désert, sodomie fugace, jouissance brève.
Ahmed avait vingt-six ans. Il était grand, mince comme un adolescent, et très typé : cheveux crépus, teint bistre, sourire éclatant, dents très blanches, des dents à vous dévorer la bite. C’était un vicieux : il avait immédiatement compris la séduction qu’il exerçait sur moi, et en abusait avec une expérience de « vieux routard » du sexe. Je n’ai pas eu à le prendre ; il s’est offert. Sourire engageant, petit cul moulé dans un vieux jean, frôlements indécents. Nous n’avons pas eu à parler. Seuls derrière le baraquement, nous nous sommes compris du regard.
Il pleuvait ; l’odeur de la gadoue me mettait en transes. Nous pataugions dans une glaise épaisse et noirâtre. Il m’a tendu son cul, je me suis plaqué à lui, j’ai détaché son jean et je l’ai fait glisser le long de ses hanches ; le tissu était trempé de pluie et de sueur ; ses fesses étaient nerveuses, fermes, musclées. Il ne portait pas de slip.
Des poils noirs lui grimpaient jusqu’à l’anus. Je l’ai écarté ; il a résisté, mais c’était de la pure coquetterie. J’ai rentré ma main entre ses deux fesses soudées, il s’est détendu. J’ai regardé son trou sombre, écarté les poils pour le dégager.
 À tout instant, quelqu’un pouvait nous voir. Il m’a dit : « Encule-moi. » J’ai ouvert ma braguette, ma queue s’est échappée, projetée en droite ligne vers son trou du cul, que j’ai dilaté en le farfouillant d’un doigt mouillé de salive.
Il a poussé un son rauque, et j’ai vu qu’il bandait aussi. Il avait une bite presque noire, de laquelle émergeait un gland rose vif. Je l’ai attrapée, et pendant que je me poussais dans son ventre, je l’ai décalotté. Il avait les sphincters serrés, mais j’ai donné un coup de reins, et je suis rentré tout entier ; puis je me suis fait aller entre ses fesses et je l’ai branlé.
En le baisant, je lui disais : « Enculé, saloperie d’enculé ! » Il respirait fort. Il a fini par tomber à genoux dans la boue, et j’ai continué en m’appuyant sur son dos, sans lâcher sa queue.
Il a éjaculé le premier, avec une espèce de plainte. Il grognait des mots dans sa langue, des insultes je crois. Il devait me maudire de le faire jouir, c’était sa façon de me remercier.
Quand j’ai vu son foutre gicler, ça m’a stimulé et je me suis répandu dans son fondement. Puis je me suis redressé, les jambes tremblantes, la queue irritée par le frottement, les reins douloureux.
Lui-même, affalé dans la gadoue, s’est relevé, a remonté son pantalon, remis son casque qui était tombé, et est parti sans un mot. Ses fesses insolentes sous son blue jean dégueulasse, il remuait les hanches comme s’il dansait.
Nous nous sommes retrouvés souvent dans ce coin de chantier, derrière la baraque. Toujours pour des étreintes brèves. Nous n’avons jamais échangé un mot. Il me tendait son cul, je le prenais très vite dans la rumeur des machines, je lui crachais mon foutre, il répandait le sien entre mes doigts, puis nous nous quittions, sans nous être parlé, sans nous être embrassés, sans nous être regardés. Un beau jour, il n’est pas venu travailler. J’ai rôdé à sa recherche, comme un chien en rut qui cherche un partenaire de coït. Je ne l’ai jamais revu. Je me suis branlé derrière la cabane, dans notre coin. Puis j’ai cherché quelqu’un d’autre. Un jeune, un vieux, pour m’assouvir. Un Arabe, dans le bruit du chantier, dans la poussière, la boue, les gravats. Un cul pour me satisfaire, pour y répandre mon jus. Un beau cul d’homme, viril et serré. Un cul de travailleur, d’immigré. Plaisir et travail mélangés ; fatigue et jouissance, souffrance et volupté. À relire ma lettre...

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Dans la série regards du monde.

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