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Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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Ou la foufoune de Maryse la démange de plus en plus.
Et notre bête se réveille de plus en plus...
 
Maryse, naissance de la perversion
Suite I
Elle ne parle pas de ses achats à son mari et les range au plus profond de son tiroir avec la clé usb.
Durant le début de la semaine, Maryse redoute ce qui va se passer mercredi. Elle s'attend à ce que son chef l'envoie une fois de plus à la
déchetterie, mais elle ne veut pas. Dès qu'elle y pense, elle est partagée entre l'excitation et la peur de céder à nouveau à ce pervers.
Maryse se réveille avec une boule dans le ventre. La journée qu'elle redoute depuis plusieurs jours est arrivée. Elle a passé une nuit agitée, elle a rêvé qu'elle se retrouvait dans la caravane de M. Francis, entourée des modèles des posters. Elles la touchaient, la caressaient sous le regard vicieux de M. Francis. La vendeuse était là aussi avec son sourire. Elle savait tout et l'observait sans cesse. Puis M. Francis approchait et elle se retrouvait avec son sexe en main. Il lui répétait sans cesse de le sucer.
Toutes ces images se
sont répétées sans cesse durant son sommeil.
Après une douche réparatrice, elle se pose un dilemme. Va-t-elle ou non céder à la perversité de M. Francis ? Elle décide qu'il est nécessaire pour elle-même et pour son amour propre de prendre la situation en main. Elle va donc porter sa nouvelle tenue pas pour M. Francis, mais pour elle-même. Maryse est décidée à ne plus se laisser faire. Elle s'observe avec son nouvel ensemble de lingerie qui lui va à ravir. Elle opte pour une jupe droite arrivant aux genoux, un chemisier et des talons. Elle s'observe de nouveau, elle est habillée de façon classique. Le seul détail qui change, c'est sa poitrine qui est maintenue plus haut que d'habitude. Elle se trouve désirable et savoir qu'elle a une tenue aussi sexy en-dessous lui procure une petite pointe d'excitation.
Maryse s'attend à tout moment à ce que son chef lui demande de retourner à la
déchetterie, mais il n'en parle pas. En fin de matinée, elle ne l'a toujours pas vu. Elle est presque déçue, mais finalement elle se dit que c'est mieux ainsi. Elle n'aura pas à affronter M. Francis. Elle est partagée entre ces deux sentiments quand elle monte dans sa voiture pour rentrer chez elle. Soudain son chef apparaît devant la voiture. Elle se sent toute fébrile, ça y est, il va lui annoncer qu'il faut qu'elle retourne là-bas, dans le lieu de sa perdition.
— Bonne après-midi, Maryse ! Pas de détour à la
déchetterieaujourd'hui. Par contre la semaine prochaine prévoyez d'y aller. À demain.
Comme d'habitude, il ne lui laisse aucun choix. Elle se sent rassurée, mais il n'a fait que retarder l'échéance. Elle rentre chez elle. Quelques kilomètres avant d'arriver, elle décide brusquement de faire demi-tour. Il faut qu'elle l'affronte. Elle doit prendre le dessus.
Elle arrive à la
déchetterie, il y a une voiture sur place. M. Francis est en train de discuter avec un homme d'un certain âge. Elle regrette d'être venue. Elle décide d'aller directement du côté de la benne destinée aux papiers. Elle descend de voiture. Fait mine de fouiller son coffre. Le temps lui semble interminable. Mais qu'est ce qu'ils ont à se dire qui dure si longtemps.
Soudain une idée lui traverse l'esprit. Il est possible qu'ils parlent d'elle. Il est possible qu'il lui raconte tout ce qui s'est passé la semaine dernière. Sa respiration est de nouveau difficile. Ses jambes peinent à la soutenir. Elle manque d'air. Elle a été totalement imprudente. Elle a perdu la tête. Soudain un bruit de moteur la sort de sa torpeur. Elle se retourne pour voir l'homme au volant de sa voiture qui quitte la
déchetterienon sans l'avoir dévorée des yeux en passant. Ce regard plein d'envie la trouble encore plus. Elle essaie de ne rien montrer, de feindre l'indifférence, mais elle ne peut se duper elle-même.
M. Francis s'approche d'elle doucement en la regardant avec son sourire en coin. Elle lui retourne son regard. Elle essaie de ne pas montrer son trouble. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. Lui s'arrête à quelques mètres d'elle pour pouvoir l'observer dans son ensemble.
D'un coup un verrou se débloque en elle. Elle décide finalement de céder à ses propres envies. Elle veut le voir la désirer. Elle veut l'exciter. Elle passe une main tremblante sur ses seins qu'elle sent tendus. Ils
sont très sensibles. Elle ne cesse pas de le regarder pendant cette caresse. Elle retire plusieurs boutons de son chemisier pour lui donner un aperçu de son décolleté.
Il peut voir, sous le simple chemisier, la dentelle de sa lingerie qui rehausse superbement sa poitrine. Il l'observe avec envie. Il ne bouge pas, pétrifié par le spectacle qu'elle lui offre. Elle ouvre légèrement son chemisier pour en offrir un peu plus à son spectateur. Elle se sent terriblement désirée par cet homme commun, qui pourtant a réussi à lui dévoiler une facette de sa per
sonnalité qu'elle n'imaginait pas.
Elle se cambre pour lui offrir son décolleté. Ses mains glissent doucement sur son ventre et le long de ses hanches. Elles descendent sur ses cuisses. Cette caresse est terriblement sensuelle. Elle est excitée par le regard de M. Francis qui n'ose plus bouger. Un coup d'œil sur son entrejambe lui assure qu'il la désire. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure. Elle se veut provocante. Elle tire doucement sur sa jupe pour la faire remonter le long de ses jambes.
Peu à peu, elle dévoile ses cuisses. Il peut voir le début de la couture de ses bas. Il est au comble de l'excitation, il transpire. Il respire difficilement. Elle le rend presque fou. Elle continue de remonter sa jupe. Maintenant, il peut voir la peau nue de ses cuisses et les jarretelles qui tirent sur les bas.
Tout à coup, ils entendent le moteur d'une voiture. Maryse panique et rabaisse sa jupe. Lui sort de sa torpeur et après un bref coup d'œil en arrière se tourne de nouveau vers Maryse.
— Prends ta voiture et rejoins-moi dans ma caravane !
Maryse ne lui répond pas. Elle démarre, mais au lieu d'obéir, elle se dirige vers la sortie et rentre chez elle. Elle se sent forte, tout ce qu'elle a donné à ce pervers, elle l'a voulu. Elle ne lui a rien cédé d'autre. La situation l'a beaucoup excitée. Elle se sentait contrairement à la dernière fois, dominatrice. Elle contrôlait la situation.
Avant d'arriver chez elle, elle reboutonne son chemisier pour redevenir la sage femme mariée qu'elle a été.
Elle ne tarde pas à recevoir un SMS sur son portable. Elle se doute que c'est M. Francis.
Pourquoi es-tu partie ?
Elle lui répond rapidement :
C'est vous qui êtes parti. Il va falloir attendre la suite... s'il y en a une.
Elle sourit.
Depuis ses exhibitions au magasin de lingerie et devant M. Francis, Maryse remarque de plus en plus les regards qui se posent sur son corps. Elle y est de plus en plus sensible. Elle avait bien remarqué quelque fois ce type de regard, mais elle n'y prêtait pas attention. Et s'il lui arrivait de ressentir quelque chose, c'était plus du dédain.
Maintenant tout a changé. Elle en est à rechercher ces regards, presque à les provoquer. Elle aime tout autant que ce soit un homme ou une femme qui la déshabille du regard, qui essaie d'apercevoir un peu plus que ce qu'elle dévoile. Ses tenues n'ont pas beaucoup changé.
Mais elle laisse un décolleté plus généreux. Elle porte des robes ou des jupes un peu plus courtes sans être trop courtes. Ses dessous, par contre,
sont plus sexy, ils mettent ses formes beaucoup plus en valeur. Elle porte quelque fois des bas soutenus par des porte-jarretelles. Rien que le fait de porter ces dessous sexy suffit à lui provoquer une pointe d'excitation. La pensée que quelqu'un pourrait voir comment elle est habillée sous ses vêtements plutôt sages la trouble.
Son mari doit partir en voyage d'affaires mardi et les enfants partent chez leurs amis mercredi matin. Les préparatifs la tiennent occupée, mais elle attend avec une certaine impatience cette semaine de liberté. Elle va pouvoir s'occuper d'elle, faire ce dont elle a envie... d'autres pensées lui viennent, mais elle les refoule au plus profond d'elle-même.
Le mardi soir, elle accompagne son mari à la gare. Elle s'est faite belle pour l'occasion, mais son mari est bien trop préoccupé par son déplacement. Elle se dit qu'il est bien trop stressé en ce moment...
Une autre part d'elle est déçue qu'il n'ait rien remarqué. Pourtant elle porte un petit haut échancré avec un petit décolleté, une large ceinture, un pantalon moulant et des talons pour rehausser sa silhouette. Elle reste quelque temps sur le quai de la gare pour regarder le train partir avec son mari à bord. Elle distingue les gens dans le compartiment. son mari monte dans le train après l'avoir embrassée d'un baiser qu'elle aurait voulu plus passionné. Il s'installe ensuite, et après un bref signe de la main pour lui dire au revoir, il sort son ordinateur pour se remettre au travail.
Au moment où elle se décide à partir, elle remarque qu'un homme, dans le compartiment voisin de celui de son mari, la dévore des yeux. Elle fait mine de ne pas le remarquer. son regard la trouble. Elle est de nouveau prise par l'excitation. Elle peut deviner les pensées lubriques de cet homme et cela l'excite. Elle se cambre un peu plus pour faire ressortir sa poitrine. Négligemment, elle joue avec le tissu de son haut dévoilant un tout petit peu plus la peau satinée du haut de ses seins. Elle l'observe discrètement en jetant quelques coups d'œil sans jamais croiser son regard. Elle est très excitée. Elle sait que ses tétons dardent à travers le tissu. L'homme se détourne un instant et quand il la regarde de nouveau, il a un appareil photo. Il prend plusieurs clichés. À présent, elle est trop excitée, elle a peur tout à coup de ce qu'elle pourrait faire. Elle décide de quitter le quai sous le regard de son photographe amateur.
Elle se dirige vers sa voiture le cœur battant à toute vitesse. Elle a recommencé à céder à ses pulsions. Qu'importe, elle ne peut nier son excitation quand on la regarde avec envie, lubricité et surtout quand on la photographie...
Elle rentre retrouver ses enfants. Après le repas, elle vérifie que son fils a bien pris toutes ses affaires, alors qu'il passe en revue les jeux qu'il a sélectionnés pour jouer avec ses copains. Après lui avoir dit bonsoir, elle le laisse jouer sur son ordinateur dans sa chambre en lui faisant promettre de ne pas veiller trop tard. Sa fille, quant à elle, est prête. Sa valise bien plus grosse que celle de son frère est enfin fermée. Elle décide de se coucher tôt pour être tout à fait en forme le lendemain. Maryse rentre dans sa chambre, et s'enferme à clef. son expérience sur le quai de gare l'a beaucoup excitée et elle se dit que son mari n'étant pas là, elle va se donner du plaisir elle-même.
Elle prend d'abord une douche pour se détendre. Elle enfile ensuite un peignoir. Elle allume son ordinateur portable et s'installe confortablement sur le lit. Elle n'ose pas vraiment commencer, elle regarde ses e-mails, regarde les derniers potins, elle fait quelques recherches. Et au fil de ses recherches, elle tombe plus ou moins consciemment sur un chat pour adulte. Elle se crée un pseudo par curiosité, juste par curiosité. Et elle se lance sous le nom de F-exhib, elle ne trouve pas cela très original, mais qu'importe, elle ne restera pas longtemps sur ce site. son entrée sur le site ne passe pas inaperçue. Elle est assaillie de messages privés plus ou moins courts, voir minimalistes. Elle commence à lire les échanges sur le chat après avoir écrit un bonjour timide. Certains ont l'air de bien se connaître. Elle a un peu de mal à trouver sa place.
Elle reçoit un nouveau message d'un certain H-mateur. Le pseudo la fait sourire. Contrairement à la plupart des autres messages, son H-mateur prend le temps d'écrire. Elle lui répond et ils commencent à discuter.
Après quelque temps, il lui demande si elle aime vraiment s'exhiber. Elle lui répond que tout cela est très nouveau pour elle. Elle lui explique que depuis peu de temps, elle est très excitée quand on la « mate ». Étant derrière son écran, elle se sent comme protégée, hors d'atteinte. Elle essaie d'utiliser un vocabulaire plus fort, qu'elle n'a pas l'habitude d'employer. L'homme saute sur l'occasion et lui demande de se dévoiler devant sa webcam. Elle a un temps d'arrêt. Ses joues
sont en feu, une fois de plus, une boule se forme dans son estomac. Elle se pose mille questions, mais une chose est sûre, elle est déjà excitée rien qu'à l'idée de se montrer devant cet inconnu. Elle lui dit que c'est la première fois sur internet. Elle ne veut pas montrer son visage. Cela lui convient. Elle lui demande comment procéder.
Il lui explique la marche à suivre. Elle suit ses instructions et son image apparaît à l'écran. son peignoir bien fermé ne laisse rien apparaître. Elle se place de façon à ne pas montrer son visage. Elle est très excitée. L'homme apparaît maintenant à côté de son image. Elle est très surprise de le voir entièrement nu. Sa webcam est braquée sur son sexe rasé. Il repose sur ses bourses volumineuses complètement nues. Cette vision la pétrifie, elle ne voit que le sexe de cet homme qui l'attend.
Un message de son mateur la rappelle à l'ordre. Il lui demande de lui montrer son corps. Ses gestes
sont tout d'abord tremblants. Elle ouvre doucement son peignoir dévoilant le décolleté de sa poitrine généreuse.
L'homme commence à caresser son sexe. Elle observe la réaction qu'elle provoque chez cet homme. Elle se caresse la poitrine à travers son peignoir. Elle ferme les yeux quelques instants pour apprécier au maximum le plaisir qu'elle ressent à cette simple caresse, son excitation augmente. Elle sort son sein droit pour titiller son téton. Un coup d'œil sur l'écran lui montre que son mateur a maintenant une belle érection. Il envoie quelques messages d'encouragement.
Quand elle sort son deuxième sein, l'inconnu se masturbe frénétiquement. Ses messages
sont beaucoup moins subtils. Il s'oublie. Il la traite même de « salope ». son excitation s'amplifie en voyant ce qu'elle provoque chez cet homme. Elle éprouve beaucoup de plaisir à s'offrir à lui, elle en éprouve encore plus à le provoquer. Elle le regarde se masturber en se caressant les seins. Elle les malaxe. Elle se pince les tétons. Jamais elle n'aurait fait cela avant. Elle présente ses seins à la webcam, les soulève et les porte à sa bouche. Elle se suce les tétons avec avidité.
Elle ouvre entièrement son peignoir et montre à son inconnu ses secrets les plus intimes. Elle mouille abondamment. Ses lèvres
sontouvertes et brillent d'une humidité qui témoigne de son état.
L'homme se caresse toujours et lui dit d'en faire de même, de jouir devant lui. Il la traite de « chienne, de superbe salope.... ». son vocabulaire se limite très vite. Tout son être est tourné vers cette femme aux formes généreuses qui s'offre à lui. Elle se caresse le clitoris qui est d'une telle sensibilité qu'elle pense jouir d'un instant à l'autre. Il lui demande de se tourner. Il veut voir son « cul ». Elle s'exécute, tout à son plaisir de lui obéir. Elle se cambre pour lui offrir une vue des plus voluptueuse. Il lui demande ensuite d'ouvrir ses fesses pour qu'il puisse bien voir son petit trou. Tout ceci excite beaucoup Maryse qui lui ouvre ses deux beaux globes pour lui montrer ce qu'elle n'a jamais montré à per
sonne ni même à son mari.
Elle se caresse le clitoris en lui montrant son petit trou. Il en veut plus, il veut qu'elle se doigte. Elle commence à pénétrer son vagin coulant d'excitation. Mais ce n'est pas ce qu'il veut. Il veut qu'elle s'introduise un doigt dans l'anus. Elle fait mine de n'avoir rien lu, mais il revient à charge. « Encule-toi ! Tu m'excites à mort, salope ».
Elle n'est plus elle-même. Elle sort ses doigts luisants et commence à caresser son anus. Elle n'a jamais fait cela. Elle est presque honteuse d'obéir à cet homme, mais l'excitation l'emporte. Elle s'introduit doucement un doigt. Elle pousse, elle sent une résistance, mais elle réussit à se l'introduire. Elle essaie de ne pas gémir trop fort. Ce n'est pas tant son doigt que la situation qui l'excite. Elle fait quelques va-et-vient, puis il lui demande d'introduire un deuxième doigt. Le deuxième rentre plus facilement que le premier. De son côté l'homme se masturbe . Il est maintenant trop excité pour écrire quoique ce soit. Elle le voit se pétrifier et elle voit un long jet de sperme s'écraser sur son ventre puis plusieurs autres. Elle le voit respirer profondément. Elle a toujours ses doigts en elle. Elle s'est arrêtée de respirer le temps qu'il a joui. Plusieurs sentiments se bousculent. Elle a fait jouir cet homme en lui montrant son corps, sans le toucher cela lui donne une impression de pouvoir. Tout ce temps, cet homme pensait qu'il la dominait, mais c'est elle qui l'a fait jouir. Mais elle est aussi honteuse de ce qu'elle vient de faire, même si elle y a pris énormément de plaisir.
Maintenant il essaie de lui demander des informations plus per
sonnelles, son numéro de téléphone... Il veut la revoir. Elle s'esquive, il pourra toujours la contacter sur ce mail. Le plaisir qu'elle a éprouvé ce soir lui suffit... pour le moment. Elle ferme la discussion et l'ordinateur. Elle se couche et ne tarde pas à s'endormir et retrouve ses rêves érotiques qui s'étoffent à chaque nouvelle expérience.
Le lendemain matin, tout se passe très rapidement. son fils part avec ses copains en discutant de tout ce qu'ils vont faire cette semaine, des jeux qu'ils ont prévus. Sa fille quitte la mai
son avec sa meilleure copine plus discrètement, elles se chuchotent leurs secrets.
Une fois seule, elle prend plus de temps qu'à son habitude pour choisir sa tenue. Elle décide de remettre la même tenue que la semaine passée pour reprendre son « jeu » là où il s'est arrêté avec M. Francis. Sa poitrine soutenue bien haut monte et descend au rythme de sa respiration. En se regardant dans le miroir, elle se trouve désirable. Elle n'a pas boutonné son chemisier jusqu'en haut.
Elle a laissé un petit décolleté qui devrait lui attirer quelques regards. Elle se tourne, rien ne laisse deviner ce qu'elle porte sous sa jupe découvrant le bas de ses cuisses. Elle est prête. Elle récupère sa clé USB au fond de son tiroir. Il faut qu'elle récupère les photos de M. Francis, mais elle ne sait pas trop comment elle va procéder.
La matinée passe rapidement. Elle a quelques dossiers qui lui prennent tout son temps. son chef passe la tête dans son bureau et lui rappelle son « rendez-vous » à la déchetterie. Elle a remarqué son regard plein d'envie sur ses jambes et son décolleté. Elle sourit, elle est certaine que M. Ribière la regarde autrement maintenant. Est-ce qu'elle le fait fantasmer ? Certainement. Elle rougit de sa façon de penser. Elle se remet sans plus attendre à son travail.
Vers midi, Martin, le jeune stagiaire, se présente à son bureau pour l'aider à charger la voiture. Il est moins timide qu'au début. Elle lui adresse un petit sourire et lui demande d'attendre quelques minutes, le temps qu'elle finisse son dossier. Du coin de l'œil, elle peut le voir qui l'observe. son regard passe des ses jambes légèrement découvertes à son décolleté. Elle est assise à son bureau, elle croise les jambes pour les lui dévoiler un peu plus. Il n'en perd rien. Elle fait mine de ne rien remarquer. Cette situation l'excite. Mais elle est aussi un peu confuse et troublée par son attitude. Elle ne peut s'empêcher d'aguicher ce jeune homme. Tout en se cambrant légèrement pour lui offrir un meilleur aperçu de sa poitrine, elle lui dit : « Voilà... c'est terminé ». Puis elle se lève, mettant un terme à son petit spectacle. Martin sort de sa léthargie et l'accompagne jusqu'à sa voiture pour charger les quelques vieux documents destinés à la déchetterie.
Sa petite exhibition l'a bien émoustillée. Elle se rend compte que cela devient de plus en plus naturel et surtout qu'elle en a de plus en plus envie. Elle aime les sensations que cela lui procure. Par contre, il lui faut absolument récupérer les photos que M. Francis a faites lors de son premier écart. Elle se demande comment elle va pouvoir faire.
Elle arrive peu de temps avant la fermeture de la déchetterie. Elle ne le voit nulle part. Elle décide de se débarrasser des quelques dossiers qu'elle a dans son coffre. Au moment de mettre le dernier, elle sursaute en entendant la voix de M. Francis :
— C'est bien que tu sois revenue ! La dernière fois tu m'as laissé sur ma faim. Rejoins-moi dans ma caravane quand t'auras fini !
Elle le regarde s'éloigner. Elle ne sait plus si elle doit le suivre ou pas. La dernière fois, cela est allé très loin. Elle se rend compte qu'elle est de nouveau dans un état second, le souffle court. Elle ne peut pas nier son excitation et elle doit récupérer ses photos. Elle n'ira dans cette caravane que pour les photos...
Elle gare sa voiture devant la caravane. M. Francis l'attend à l'intérieur. Elle hésite encore à sortir de la voiture, mais elle finit par descendre et s'approcher presque machinalement de la porte. Elle s'arrête devant et elle reprend sa respiration avant d'ouvrir.
Rien n'a changé depuis la dernière fois. Les femmes aux énormes poitrines des posters la regardent entrer. Elle voit M. Francis affalé sur la banquette, il regarde son ordinateur portable. Il la regarde un instant, puis il tourne l'ordinateur pour qu'elle puisse voir ce qu'il y a à l'écran. Elle se voit sur une série de photos dans des positions indécentes.
Viennent ensuite les photos où elle masturbe le sexe de M. Francis jusqu'à ce qu'il éjacule sur elle. Elle a l'air tellement offerte, avide... salope. Elle ressemble presque aux femmes des posters. Se revoir ainsi exposée la trouble encore un peu plus. Il fait une chaleur étouffante, elle a du mal à respirer. La moindre respiration provoque une petite friction sur ses tétons tendus. Cette sensation devient familière, mais cela n'atténue aucunement les effets. Elle est excitée, elle le sait... elle a peur de ce qu'il va lui demander et surtout de ses propres réactions.
— Allez, montre-moi ce que tu portes en dessous !
Maryse voit son regard lubrique et son sourire en coin. Ses mains se déplacent le long de son corps en une caresse sensuelle. Elles passent sur son ventre, puis sur ses seins. Elle empoigne ses deux globes et les serre l'un contre l'autre offrant ainsi un décolleté généreux à cet homme. Elle pousse un petit soupir quand elle malaxe ses seins devant lui. Elle déboutonne son chemisier lentement pour faire apparaître la dentelle noire et bleu nuit de sa guêpière.
Il ne bouge pas, il est fasciné par le spectacle de cette femme qui se dénude devant lui. D'un geste, elle écarte son chemisier, ce qui fait ballotter ses deux seins maintenus bien haut par la guêpière. Elle retire son chemisier et le laisse tomber à terre. Elle prend quelques poses lascives, elle tourne sur elle-même lentement. Un mouvement sur l'écran attire son attention, il est en train de filmer la scène grâce à sa webcam. Cette situation l'excite encore plus.
Quant à lui, il commence à se caresser à travers son bleu de travail. Elle se penche légèrement pour descendre lentement la petite fermeture éclair de sa jupe. D'un petit mouvement de hanche, elle se libère de sa jupe. Elle est maintenant en sous-vêtement devant M. Francis qui se caresse ,
les yeux exorbités. Il admire les jambes mises en valeur par des bas fumés tirés par des porte-jarretelles. Elle se tourne devant lui en se caressant le corps. Il peut maintenant voir ses fesses rebondies dévoilées par un string en dentelle assortie à celle de la guêpière. Il l'observe se pétrir les seins pour lui. Ils sonttellement appétissants, volumineux et souples. Il sort son sexe pour se masturber devant ce spectacle.
— Sors tes seins !
Elle lui obéit. D'une main, elle écarte la dentelle de la guêpière pendant que l'autre sort délicatement le sein. son téton est érigé au milieu d'une belle aréole rose. Il le dévore des yeux. Elle sort l'autre de la même manière. Elle soupèse ses deux globes pour lui. Ils ont l'air lourd. Elle les pétrit de nouveau. Il adore ça et visiblement elle aussi car elle gémit doucement. C'est encore meilleur que devant sa webcam, pense-t-elle.
— Maintenant ton string !
Elle descend ses mains le long de son corps. Elle passe ses pouces entre sa peau satinée et les côtés du string puis le descend doucement. Elle se tourne de trois quarts pour lui montrer ses fesses ainsi qu'un sein voluptueux qui pend lorsqu'elle se penche pour retirer le minuscule bout de tissus.
— Approche !
Elle n'ose pas l'entendre, elle n'ose pas lui obéir. Pourtant elle sait qu'elle ne peut plus se dérober offerte ainsi à cet homme. Elle ne peut plus nier ses propres envies. Elle est tellement excitée qu'elle n'a plus tous ses esprits. Elle regarde les posters de ces femmes offertes et se rend compte que finalement, elle est l'une d'entre elles.
— Approche !
Il n'en peut plus, il faut qu'il profite de ce corps offert. Il faut qu'il la touche, qu'il la possède. Elle s'avance langoureusement vers lui alors qu'il la regarde intensément. Elle s'agenouille entre ses jambes sans quitter son sexe des yeux. Elle le caresse du bout des doigts. Il gémit. Il se laisse faire.
Les doigts de Maryse glissent le long de son sexe tendu jusque sur ses bourses, il en fris
sonne. Il passe sa main dans la chevelure brune de Maryse, passe derrière sa tête. Il l'attire vers son sexe. Il veut qu'elle le suce. Elle résiste un peu et finit par approcher son visage. Elle ouvre sa bouche et glisse le long de sa verge. Il sent l'humidité et la chaleur de sa bouche sur son sexe. Sa langue joue avec son sexe. Elle le ressort doucement en serrant ses lèvres dessus. Elle n'aime pas trop prodiguer cette caresse à son mari, mais la situation est différente, elle se sent une autre femme avec M. Francis. Elle se laisse aller à ses envies. Elle continue ses va-et-vient lentement, alors que les mains de cet homme sont crispées dans ses cheveux. Tout à coup, elle sent le sexe se tendre encore plus. Il va jouir, elle ne peut se retirer, le veut-elle seulement ? Elle lui caresse les bourses alors qu'elle accélère son rythme. Il se tend en grognant. Elle reçoit un premier jet copieux dans la bouche. Le goût n'a pas le temps de la surprendre qu'elle en reçoit un second lui remplissant la bouche. Elle serre plus fort les bourses de l'homme qui grogne en jouissant dans sa bouche. Elle laisse s'échapper le sperme autour du sexe qui la remplit. Elle reçoit d'autres jets plus menus. Le goût envahit ses sens. Elle se surprend à aimer cela. Elle avale ce qui est encore dans sa bouche alors que le reste coule sur son menton, son cou jusqu'à ses seins.
Il la lâche enfin, elle se redresse. Il la regarde, ébahi. Elle se caresse et en le regardant, elle recueille d'un doigt la semence chaude qui coule sur son corps. Elle le suce ensuite devant lui, sans le quitter des yeux. Elle ne se reconnaît plus, c'est une autre femme qui l'habite. Elle recommence à récolter un peu de sperme pour le savourer de nouveau.
— Tu me rends dingue ! T'es une sacrée salope ! Tu caches bien ton jeu...
Tout en lui parlant, il se caresse le sexe semi-dur. Elle est dans un état second. Elle a besoin de jouir maintenant qu'il a eu ce qu'il voulait. Elle s'assoit par terre les jambes bien écartées et commence à se caresser le clitoris puis la vulve en gémissant de bonheur devant lui. Elle adore ce regard lubrique qui la dévore. Elle s'introduit un puis deux doigts pour titiller cette petite zone sur le haut de son vagin tout en caressant de son autre main son clitoris qui est gonflé de désir.
Il peut voir les tétons de Maryse grossir un peu plus sous l'effet de l'excitation. Ses seins
sont tendus et gonflés. Sa peau prend une teinte rosée et elle pousse un cri de jouissance en se caressant frénétiquement. Sa jouissance ne dure pas longtemps, mais est très intense. M. Francis retrouve toute sa vigueur devant cette femme jouissante et offerte. Il se caresse. Il prend le temps de mettre un préservatif avant de se lever. Il prend les jambes de Maryse et lui indique de se mettre à quatre pattes devant lui. Toujours dans un état second, elle lui présente sa croupe en se cambrant au maximum.
Sa vulve est ouverte et accueillante. Elle est tellement mouillée qu'il s'enfonce d'un seul mouvement. Elle a un hoquet de surprise quand elle le sent entièrement en elle. Il l'empoigne par les hanches et s'enfonce vigoureusement en elle en mouvements saccadés. Il grogne alors qu'elle pousse des cris à chaque fois qu'il la pénètre entièrement. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau. Il continue de la prendre. Puis il sort de son vagin. Il présente son sexe devant son petit anus et il pousse. Il pousse très fort, elle sent sa résistance céder.
La douleur qu'elle peut ressentir est atténuée par son excitation. Elle se sent tellement salope qu'elle est prête à lui offrir son dernier trou pour le satisfaire. Elle le sent envahir cet orifice qu'elle n'a jamais ouvert à per
sonne. Elle gémit longuement tout le long de la longue pénétration. Il lui empoigne une touffe de cheveux et il commence une série d'allers-et-retours, tout d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Elle pousse à nouveau des cris lorsqu'il la pénètre. Il est totalement excité par cette femme offerte en levrette devant lui. Il s'enfonce de plus en plus brusquement jusqu'à ce qu'il jouisse bruyamment en elle. Elle le sent se tendre en elle. Elle adore ça.
Puis tout se calme. Il se retire et se rassoit sur la banquette, le sexe pendant encore gainé de latex. Elle se retourne et s'approche de lui, toujours à quatre pattes. Elle lui retire son préservatif et reprend son sexe en bouche pour goûter de nouveau à sa semence. Elle le nettoie méticuleusement pendant qu'il lui caresse les cheveux. Après quelques instants, il se lève et avant de sortir dehors, il se tourne vers elle :
— On m'avait jamais vidé comme ça !
Elle le regarde quitter la caravane sans répondre. Elle se dit que c'est le moment de récupérer les photos et la vidéo. Elle a les jambes qui flageolent encore un peu, mais elle se précipite sur son sac, trouve sa clé USB. Par chance il a déjà ouvert les répertoires contenant les photos et la vidéo. Elle copie tout et prend soin de supprimer définitivement les fichiers sur l'ordinateur. Elle récupère sa clé et éteint l'ordinateur. Elle commence à se rhabiller quand il revient de nouveau.
— Tu t'en vas déjà ? J'aurais bien remis ça, moi !
— Je dois partir, on m'attend à la mai
son.
Elle dit cela d'une petite voix en espérant qu'il n'y décèlera pas son men
songe. Maintenant que la tension et l'excitation sont retombées, elle est honteuse de ce qu'elle a fait. Elle ne s'imaginait pas que cela irait aussi loin. Mais elle se justifie en se disant qu'il était nécessaire de récupérer les photos. Elle finit de s'habiller, et au moment de quitter la caravane, il lui claque les fesses.
— Va falloir que tu reviennes !
Elle ne répond pas. Elle monte dans sa voiture et rentre chez elle, sous le choc de ce qu'elle a fait avec cet homme. Ses fesses et son petit trou lui rappellent jusqu'où elle a été cette fois. Malgré la honte, elle est satisfaite. Jamais elle n'avait pratiqué le sexe de cette manière bestiale. Elle ne peut se cacher qu'elle a adoré ça !

Nous aussi on adorent.... La suite..!



Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles..

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Voilà une saga  comme on les aime...
Faisons connaissance de Maryse.
Qui se découvre une nouvelle libido...
Grâce à M. Francis...


Maryse, naissance de la perversion 
En cette belle journée d'été, Maryse se console d'être encore devant son écran d'ordinateur en se disant qu'il ne lui reste qu'une heure avant de quitter son bureau. On est mercredi, son travail et ses horaires lui permettent d'avoir sa demi-journée, ce qui était très pratique lorsque ses enfants étaient plus jeunes. Maintenant qu'ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aînée, elle profite de ce temps pour vaquer à ses occupations. Mais d'abord elle doit finir sa comptabilité si elle ne veut pas avoir son chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier déboule dans son bureau, sans frapper comme toujours, accompagné d'un stagiaire à tout faire :
— Maryse, pourriez-vous me rendre un service ? Il faut que nous nous débarrassions de quelques cartons d'archives et je crois que la
déchetterieest sur votre chemin…
Et sans lui laisser le temps de répondre :
— Bref, j'ai demandé au petit Martin de vous aider à charger les quelques cartons dans votre voiture. À demain.
Le pauvre « petit » Martin ne sait plus où se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu'il connaît à peine avec une mission qui ne doit pas l'enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant son bureau dans une demi-heure pour l'aider. Il lui reste peu de temps, mais elle réussit à prendre de l'avance sur son travail. Elle retrouve le jeune Martin devant son bureau.
— Vous a-t-il dit au moins quels cartons devaient être jetés ?
— Oui, madame.
— Bon, je vais chercher la voiture et vous, vous commencez à sortir les cartons.
Les cinq cartons chargés, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder son emploi. Et puis la
déchetterieest sur son chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garés. Deux hommes sont en train de jeter leur détritus, un à la benne de recyclage des déchets organiques et l'autre à la ferraille. La casse de voitures se trouve juste à côté. Un homme en tenue de chantier s'approche d'elle.
— Bonjour M'dame, vous avez votre carte ?
Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dévore des yeux.
— Euh bonjour... de quelle carte parlez-vous ?
— Ben, je dois savoir si vous habitez le coin et si vous avez bien payé vot'taxe pour jeter vos ordures chez moi
Maryse se dit qu'en plus d'être lubrique, le bonhomme n'est pas très aimable...
— J'habite la ville d'à côté, d'habitude mon mari se charge de ça, mais là on m'a demandé de jeter des vieux dossiers...
— Ouais OK, j'ai pas toute la journée. Montrez voir votre carte d'identité et vous reviendrez demain avec vot'carte pour que je valide.
Elle fouille son sac, sous le regard de l'employé qui n'en perd pas une miette. Pourtant elle est habillée sobrement comme toujours. Sa robe à motif vert est fraîche, mais elle la couvre jusqu'au cou. Elle lui tend sa carte d'identité.
— OK c'est bon, pour le papier, c'est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende.
— Merci.
Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu'il vaut mieux qu'elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l'ouverture se trouve un peu au-dessus de son visage. L'employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n'est pas si souvent qu'une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l'appétit. Les deux autres non plus n'en ratent pas une miette. D'ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L'un d'eux s'adresse à l'employé :
— Eh Francis ! T'en reçois du beau monde aujourd'hui ! Tu nous avais caché ce joli petit lot.
— Moi, je lui p'loterai bien les nichons !
Et Francis de répondre :
— Ouais, tu peloterais n'importe quoi toi de toute façon !
S'en suivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n'ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l'échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l'aise. Elle n'ose rien dire. son cœur bat la chamade. son souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu'il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n'ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu'elle se reprenne. Francis l'employé approche d'elle.
— Madame, n'oubliez pas de revenir demain. J'ouvre à 8 heures et je ferme à 17 heures 30. Sauf le mercredi où je ferme à 14 heures. D'ailleurs l'heure approche, faudrait vous dépêcher.
Le bonhomme s'en va sans même l'aider.
Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers son soutien-gorge.
Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s'empêcher de repenser à ces derniers moments à la déchèterie. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s'occupe de la maison en attendant le retour de son mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu'elle essaie d'oublier.
Le lendemain matin, elle décide de repasser à la
déchetteriecar elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd'hui, elle s'est habillée d'un pantalon et d'un chemiser assez ample. Comme la veille son regard est attiré par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. son regard la gêne, elle-même n'ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libérer les pulsions de l'autre en le regardant.
— M'dame.
— Bonjour, je vous ai ramené ma carte.
— C'est bien, ça. Voyons voir...
Il inscrit son nom sur son registre.
— Il me faut votre téléphone aussi, Madame Lépie.
— Pourquoi ?
— C'est comme ça. J'fais pas le règlement.
Elle lui donne son numéro de portable machinalement.
— Merci bien.
Elle s'apprête à remonter en voiture quand Francis l'interpelle :
— Eh M'dame Lépie, la prochaine fois faudrait venir habillée plus sexy !
Elle est abasourdie par ce qu'elle vient d'entendre. Elle ne sait quoi répondre. Et il lui tourne le dos et s'en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un véritable goujat, vulgaire et répugnant. Et pourtant, le reste de la journée elle repense encore à cette phrase et au regard de Francis qui la déshabille, la transperce...
Une semaine passe dans la monotonie de son travail. son mari lui annonce :
— Maryse, ma chérie, je suis désolé, mais dans trois semaines je dois partir en déplacement pour le boulot.
— Ce sera long ? Cela tombe mal, les enfants
sontjustement chez leurs amis à cette période, cela nous aurait permis d'être juste tous les deux...
— Je sais, je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement. Je me ferai pardonner, promis.
Oui, mais elle, elle doit rester à la mai
son seule. Cela obscurcit un peu sa journée. Elle repense encore à sa discussion avec son mari quand son chef déboule dans son bureau :
— Maryse, puisque vous connaissez la déchèterie, il faudrait y retourner aujourd'hui pour jeter encore quelques archives. À demain !
Encore ! Il a osé lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s'en prend à Martin qui est resté dans l'encadrement de la porte, en lui disant sèchement :
— Revenez dans une heure pour charger les cartons !
Le pauvre n'y est pour rien, mais il fallait qu'elle passe ses nerfs sur quelqu'un ! Les cartons chargés, elle remonte en voiture et se dirige vers la déchèterie. En route, elle repense à sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se répète sans arrêt.
Aujourd'hui, elle est habillée encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermé jusqu'au cou, des chaussures à petits talons. Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ! Cela n'a aucun sens, se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu'elle pourrait ouvrir quelques boutons de son chemisier. Elle s'arrête sur le bord de la route. Elle regarde autour d'elle, pas une voiture. Ce n'est pas étonnant à cette heure-là. Il est plus de 13 heures. D'ailleurs il faut qu'elle se dépêche. Elle défait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rétroviseur. son cœur bat à nouveau la chamade.
Est-il possible qu'elle soit excitée à ce point-là ? Elle redémarre et arrive à la
déchetterie.Cette fois elle est seule, il n'y a pas d'autre voiture. Elle s'arrête devant la benne de papiers et commence à jeter ses dossiers. Elle n'entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse son salut :
— M'dame Lépie. J'espère que vous avez votre carte aujourd'hui.
— Bon... Bonjour, M. Francis. Oui, je l'ai, la voici.
Elle lui tend la carte sous son regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversée par ce regard libidineux. Elle n'a plus de doute sur son excitation. Pourtant l'homme qui se trouve en face d'elle, dans sa tenue de travail tachée, n'est pas son type. Il n'est pas très grand, il commence à avoir une petite bedaine. Il est mal rasé et coiffé n'importe comment. Bref il n'est absolument pas son type d'homme. Après avoir noté les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence à jeter ses dossiers.
— Je ferme dans dix minutes !
— Oui, oui, je me dépêche.
Toujours aussi aimable, se dit-elle. Mais son trouble est bien là, elle en tremble ! Elle quitte l'endroit quelques minutes avant qu'il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur son portable.
— La prochaine fois encore plus sexy !
À nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cœur s'accélèrent. Elle ne peut voir le numéro, mais elle sait que c'est M. Francis qui lui a envoyé ce message. Elle l'efface et rentre chez elle. Elle décide de se calmer avec un bon bain, un thé et une sieste sur la terrasse au soleil.
Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Maryse. Elle n'a rien dit à per
sonne et son mari met son attitude sur le compte de son déplacement qui approche.
Le mercredi matin, elle s'habille plus légèrement. Les températures
sont chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant son petit ventre.
Elle se regarde dans la glace et est très contente de son effet. Elle se doute que son chef va encore débouler dans son bureau pour l'envoyer à la déchèterie. Il est tellement prévisible. Elle sent une pointe d'excitation à l'idée de cette nouvelle rencontre.
Et son chef ne manque pas de lui demander d'aller à la
déchetterie.Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder à la dérobée. Cela la conforte sur son apparence. Confortée certes, mais son trouble grandit au fur et à mesure qu'elle approche de la déchetterie.Sa respiration est courte. Elle se demande même ce qu'elle est en train de faire. Puis elle se dit qu'elle ne fait rien de mal.
Elle arrive enfin à la
déchetteriequi est une nouvelle fois déserte. Elle gare sa voiture.
Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s'être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d'écoulement. Elle regarde à travers les portières d'une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui
sont au-dessus et se fige sur place.
Elle s'arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l'impression que son cœur bat tellement fort qu'on peut l'entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l'autre côté M. Francis en train d'uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l'homme, duquel s'échappe un gros jet d'urine. Il a retroussé la peau de son gland et un fois qu'il a fini d'uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu'elle l'a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ?
Le temps qu'elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard.
— Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser ?
Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec son sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l'autre est sur sa hanche.
— Alors, ça t'a plu ?
Elle réalise qu'il la tutoie.
— Je suis désolée, je ne voulais pas... je venais me faire enregistrer...
— Ouais, je vais t'enregistrer, t'en fais pas.
Elle est toujours tétanisée.
— Bon, je vais fermer, rejoignez-moi à ma caravane derrière ce tas de bagnoles là. J'ai laissé ma pointeuse là-bas.
— Euh oui, euh mais...
Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu'il s'en va fermer la grille de la
déchetterie.Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu'il logeait ici. Et toujours cette boule dans l'estomac et sa respiration qu'elle ne contrôle plus. Un bref regard dans son rétroviseur lui révèle le regard d'une proie affolée.
— Venez !
Elle n'a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu'il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme.
— Rentrez, soyez pas intimidée.
Il referme la porte derrière lui.
— Alors Maryse, tu m'as pas répondu ! Ça t'a plu de me mater ? Moi, j'aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd'hui. Ça te plaît de m'exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi.
Maryse est tétanisée, elle est sous l'emprise de cet homme commun, vulgaire, qu'elle n'aurait jamais regardé, qui ne l'aurait jamais intéressée, elle en est sûre, mais la voilà seule dans cette caravane avec cet homme.
— Fous-toi à poil !
Que fait-elle là ? Elle regarde autour d'elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein pri
sonnier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l'autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches.
Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu'en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant son voyeur. Lui observe sa proie avec son petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n'en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, son petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s'approcher et de la peloter. Il veut qu'elle s'abandonne à lui.
— Le reste aussi.
Sans rien dire, les yeux baissés, elle défait son soutien-gorge. Et elle est obligée de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extérieur.
Il adore ce qu'il voit. Elle a de belles aréoles roses. Et ses tétons
sont tendus, il sait que la température n'y est pour rien, elle est excitée !
— Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.
Elle s'exécute, elle tourne sur elle-même dans l'espace confiné de la caravane.
— T'es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs !
Ses yeux s'agrandissent ! Là, cela va trop loin, mais elle a à peine le temps de répondre qu'elle voit un premier flash, puis un second.
— Vas-y, tourne ! Et prend des poses comme les salopes sur les posters ! Fais pas ta mijaurée, t'es comme elles, sauf que tu le sais pas encore, eh eh eh !
Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitée par la situation et elle finit par l'admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l'autre.
Il prend autant de photos qu'il peut.
Elle commence à prendre des poses. D'abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils
sont lourds sans être trop fermes. Les tétons sont tendus. Elle se caresse la toison q'elle a fournie. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s'ouvre et M. Francis peut voir qu'elle mouille en abondance.
Elle se tient à la paroi d'une main et se caresse le clitoris de l'autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s'assoit devant son voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n'aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée.
— C'était vachement bien ! Tu m'as excité à mort. Regarde !
Elle regarde son entrejambe. son bleu est déformé par son membre tendu. Il baisse sa fermeture éclair et lui exhibe son sexe tendu. De taille normale, mais tout veiné, ce qui excite Maryse. Il s'approche. Elle sait ce qu'il va lui demander. son regard passe de son sexe au regard de la brune qui se fait éjaculer dessus. Elle sait qu'elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite éjaculer. Il arrive à hauteur de son visage.
— Suce !
Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s'en faire et cela participe à son excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l'exhibitionnisme.
Mais elle n'a pas le temps de penser. Elle veut qu'il lui éjacule dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur réflexe et soudain c'est l'explosion !
Un gros jet vient s'écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu'elle a ouverte de surprise. Le dernier se dépose sur son sein gauche.
Il grogne sa jouissance. Il reprend peu à peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de son sperme. Elle goûte son sperme au goût fort, elle se sent... salope. Et cela lui plaît.
— Putain c'était bon ! Mais la prochaine fois quand je te dis suce, tu suces ! Sinon...
Elle ne répond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer.
— Mets tes fringues... Non, pas tes sous-vêtements ! Ça, je les garde ! Va falloir faire encore mieux la semaine prochaine à la même heure. J'en ai pas fini avec toi !
Maryse se rhabille après s'être essuyée du mieux qu'elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu'elle se dépêche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est à nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L'excitation ne la quitte pas.
Le lendemain, Maryse a d'abord du mal à se concentrer sur son travail. Elle décide de ne plus penser à rien d'autre qu'à ses dossiers. Elle réussit à prendre un peu d'avance sur son travail et c'est fière d'elle-même qu'elle quitte son bureau. son portable
sonne, elle l'ouvre et lit le message. Elle plonge à nouveau dans un état second lorsqu'elle lit le message :
La semaine prochaine je te veux en dessous très sexy
Le message est accompagné d'une photo d'elle toute nue tenant ses deux seins aux tétons érigés, les offrant au photographe. Elle est fascinée par le visage de cette femme offerte, son visage. Elle peut y lire l'excitation mêlée à l'abandon de soi. De nouveau, elle ressent cette boule dans l'estomac. Elle monte en voiture et rentre chez elle en se remémorant tous les détails de son aventure de la veille.
Alors qu'elle s'occupe des différentes taches ménagères, son portable
sonne à nouveau. Elle peine à respirer, elle a tout à coup très chaud. Elle observe le portable posé sur la table qui sonne.
Quand elle trouve enfin le courage de répondre, elle entend la voix de son mari. Elle reprend ses esprits peu à peu en le laissant parler. son mari lui explique qu'il ne sera pas là avant 21h30 car il doit absolument régler des problèmes sur des dossiers concernant son futur déplacement.
Il est 19h30, cela lui laisse deux heures de libre. Sa fille est dans sa chambre en train d'étudier en écoutant de la musique et son fils dans le salon sur ses jeux vidéo. Elle décide de prendre l'ordinateur portable et de s'installer dans sa chambre. L'excitation la prend peu à peu. Elle prend soin de fermer sa porte à clef pour éviter de se faire surprendre.
Avant tout, il faut qu'elle transfère la photo d'elle, reçue sur son téléphone. Elle décide de la garder et de la copier sur une clé USB. Elle s'observe dans cette position obscène. Elle n'imaginait pas pouvoir être aussi excitée par le spectacle qu'elle offre sur cette photo.
Il y a encore quelques semaines, elle vivait une existence tout à fait convenable partagée entre son travail, ses enfants et son mari. Il est vrai que son mari est de plus en plus accaparé par son travail, mais cela n'explique pas qu'elle se soumette aux désirs d'un homme comme M. Francis.
Tout les sépare, ils ne
sont pas du même monde. Elle a de l'éducation, une famille. Lui est vulgaire, il vit seul, il est pervers et elle... Non c'est impossible, elle n'est pas perverse. Elle referme l'ordinateur, prend soin de ranger la clé usb au plus profond de l'un de ses tiroirs. Elle ressort de sa chambre pour préparer le dîner. Elle s'affaire dans la cuisine. Elle essaie tant bien que mal de repousser les dernières pensées qu'elle a eues. Mais elle ne peut nier l'état d'excitation qui a été le sien.
Le week-end arrive enfin et c'est pour Maryse l'occasion de se promener en ville et d'aller voir les magasins et les nouveautés qu'ils proposent. Elle repense soudain à la demande de M. Francis en passant devant un magasin de lingerie. Plus par défi que par besoin elle rentre dans le magasin pour trouver de la lingerie plus affriolante, mais il n'en verra rien, se dit-elle. Elle prend la résolution de ne plus écouter la perversité de cet homme abject. Elle a fait une très grosse erreur, mais cela ne se reproduira plus. Armée de cette nouvelle résolution, elle rentre dans le magasin. Une charmante dame d'une quarantaine d'années l'accueille par un sourire :
— Bonjour Madame, puis-je vous aider ou préférez-vous regarder tranquillement ?
— Bonjour, je vais regarder ce que vous avez.
Il y a plusieurs ensembles qui lui plaisent bien. Mais elle se rend compte que tout ce qu'elle a sélectionné reste classique. Rien ne sort de son ordinaire. Ils
sont certes très beaux, mais il leur manque ce quelque chose de sexy. Après quelques instants de réflexion et surtout d'hésitation, elle se tourne vers la vendeuse occupée à trier des articles.
— Euh, Madame, j'aurai besoin de vos conseils.
— Mais bien sûr. En quoi puis-je vous être utile ?
Après un léger moment d'hésitation.
— Voilà, j'aimerais faire plaisir à mon mari, mais je ne sais vraiment pas quoi prendre. J'avais pensé à cet ensemble bleu turquoise, mais j'ai peur qu'il trouve cela trop classique. Que me conseilleriez-vous ?
La vendeuse regarde les articles bleu turquoise, composés d'une culotte et d'un soutien-gorge à armature. Même s'ils
sont très beaux, ce n'est pas ce qu'il faut à sa cliente si elle veut quelque chose de moins classique. D'un regard professionnel, elle observe sa cliente afin de jauger sa taille, son style ainsi que les couleurs qui lui iraient le mieux.
— Vous faites un 95D n'est ce pas ?
— Euh, oui, c'est exact.
Maryse se sent troublée par le regard inquisiteur de la vendeuse. Elle essaie de se calmer en se disant qu'elle n'est pas la première que cette vendeuse regarde ainsi, elle ne fait que son travail. Mais le trouble persiste.
— Tout d'abord, si vous voulez surprendre votre... mari, il faut que vous changiez de style de lingerie. Je suppose que ce que vous avez choisi correspond plus ou moins à ce que vous avez l'habitude de porter ?
— Oui en effet.
Maryse se demande pourquoi la vendeuse a hésité en parlant de son mari. C'est comme si elle savait ce qu'elle avait fait ou allait faire. Pourtant Maryse s'est juré de ne plus recommencer son erreur.
— Bon, il vous faut quelque chose de plus épicé. Voilà, ceci devrait faire l'affaire. C'est une guêpière bleu nuit et noire qui devrait mettre vos jolis yeux bleus en valeur. De plus elle vous soutiendra bien la poitrine. Cela vous fera une superbe silhouette. Tenez, voici le string assorti.
Maryse regarde les articles, ils
sont très beaux, mais elle se demande si elle osera les porter. Elle rentre dans la cabine d'essayage et tire le rideau. Elle se déshabille, puis elle met le string et la guêpière. Sa poitrine est vraiment relevée et mise en avant. Cela lui fait une étrange impression. Elle se sent terriblement sexy, son petit ventre est camouflé. Elle se tourne et regarde ses fesses. Elle n'imaginait pas que cela lui irait aussi bien. La guêpière se termine par quatre jarretelles qui ne demandent qu'à soutenir des bas-coutures.
— Comment cela vous va-t-il ? Je peux regarder ?
— Oui, vous pouvez.
La vendeuse ouvre le rideau, elle reste un instant à regarder sa cliente. Le spectacle qu'offre cette dame est très plaisant. Il ne manque que des bas et des talons à sa cliente pour parfaire le tableau.
— Là je pense que vous allez vraiment le surprendre. Vous êtes très belle dans cet ensemble. Attendez une seconde, je vais vous cherchez des bas.
La vendeuse s'absente. Maryse s'observe dans la glace. Elle recule un peu pour essayer d'avoir une vue d'ensemble. En effet, elle va en surprendre plus d'un. Non, elle va surprendre son mari. Soudain elle se rend compte qu'elle est sortie de la cabine. Quelqu'un aurait pu la voir. son cœur bat la chamade. Malgré l'excitation, elle se réfugie dans la cabine. Que lui arrive-t-il ?
Elle est maintenant excitée à l'idée d'avoir été surprise dans cet ensemble de lingerie sexy. La vendeuse revient avec une paire de bas et lui présente. Elle referme le rideau pour les mettre. Même si elle se sent troublée, elle ne veut pas que la vendeuse se fasse des idées. Elle met les bas et ne peut s'empêcher de caresser ses jambes ainsi habillées. La sensation est très sensuelle. Elle attache les jarretelles puis rouvre le rideau.
— Vous êtes presque parfaite.
Maryse qui n'est pas si à l'aise que cela est surprise par le « presque ».
— Puis-je me permettre d'ajuster vos jarretelles ? Je vais vous montrer comment les mettre correctement.
— Oui, allez-y.
La vendeuse s'approche de Maryse et s'accroupit devant elle. Ses mains fines glissent légèrement sur les cuisses de Maryse lui provoquant des fris
sons. Elle ne dit rien, elle ne sait quoi penser. La vendeuse ajuste les jarretelles de façon à ce que cela mette en valeur les fesses de sa cliente.
Maryse est de nouveau excitée par la situation. Elle ne peut le nier. Ses pensées
sonttournées vers les mains de cette vendeuse qui s'affairent au niveau de ses fesses pour remettre en place les jarretelles. Elle sent leur douceur sur sa peau, cela l'électrise. Elle respire plus rapidement.
— Voilà, cette fois, vous êtes parfaite.
Maryse est troublée, elle est en lingerie devant cette inconnue et cela l'excite. Elle a du mal à retrouver une respiration normale. La vendeuse continue de la regarder en souriant. Maryse n'ose pas la regarder, elle bredouille des remerciements puis referme le rideau. Une fois seule dans la cabine, elle reprend peu à peu ses esprits. Elle est de plus en plus troublée par ses nouvelles sensations et ses nouvelles envies. Elle se change et ressort de la cabine, les jambes fébriles.
Que lui arrive-t-il ?
— Je vais prendre la guêpière, le string et les bas...
— Très bien.
Elle n'ose pas regarder la vendeuse. Elle observe ses mains, si douces et si troublantes, manipuler ses articles et les ranger délicatement dans leur emballage.
— Voici, cela vous fera 120 Euros.
Après avoir payé, Maryse quitte le magasin sous le regard de la vendeuse. Elle a toujours son sourire qui la trouble, comme si cette
personneétait capable de lire ses pensées les plus intimes. Il est temps pour elle de rentrer. 

La suite.....? A la suite LOL

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Retro... mobile!


Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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Ou notre Maryse essaye de calmer sa libido
par de nouveaux moyens.
Des fois on aimerait bien que notre Chérie ait la même...
Je parle de la libido.

Maryse, naissance de la perversion
Suite II
Peu de temps après être rentrée, elle reçoit un coup de téléphone de M. Francis.
— Tu m'as bien eu, salope !
— Vous comprenez, je ne pouvais pas vous laisser ces photos de moi... mais j'ai une proposition à vous faire.
— Je t'écoute.
— Je vous renverrai quelques photos sur lesquelles j'aurai effacé mon visage. De cette façon, vous garderez quelques souvenirs de nos rencontres. Et peut-être que je reviendrai... Qui sait ?
Elle n'en revient toujours pas de ce qu'elle a fait avec M. Francis. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n'avait tentées et cela lui a plu... énormément. Rien que d'y penser, elle sent l'excitation la gagner de nouveau. Il faut qu'elle se rai
sonne, elle ne peut pas continuer comme ça. Elle a dépassé les limites du convenable, elle a trompé son mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour son comportement, elle ne peut s'empêcher de penser à la jouissance qu'elle a ressentie.
Après un rapide repas, elle allume son ordinateur pour regarder ses mails. Elle en trouve un de H-mateur, son admirateur de la veille. Il lui écrit qu'il a adoré leur petit jeu de la veille. Il serait ravi de recommencer ce soir vers 21H. Elle sourit. Pourquoi pas, se dit-elle.
Elle se connecte sur le chat. Comme la veille, elle reçoit différents messages qui la laissent indifférente. Elle a encore un peu de temps devant elle pour surfer sur internet. Cette fois-ci, ses recherches
sont centrées sur le sexe. Elle est dans un état second en regardant toutes ces photos de femmes se faisant prendre par derrière par des sexes monstrueux. Certaines se font éjaculer abondamment sur le visage. D'autres sont prises par deux hommes à la fois. Toutes la regardent, l'air de dire : « tu es comme nous, une salope ».
Elle reçoit une invitation de son H-mateur, qu'elle accepte. Ils discutent de tout et de rien. Puis il lui demande ce qu'elle a fait aujourd'hui. Elle hésite un instant, et finit par lui raconter son aventure. Il n'en revient pas. Il veut des preuves. Cette discussion l'amuse autant qu'elle l'excite car elle sent son partenaire très excité lui aussi. Elle l'invite alors à partager sa webcam, ce qu'il accepte avec empressement. Elle n'a pas pris le temps de se changer en arrivant.
Elle commence à déboutonner son chemisier pour lui montrer ses deux seins voluptueux soutenus par la guêpière. Il commence à se caresser en profitant du spectacle qu'elle lui offre. Il lui dit qu'elle est très désirable, mais que cela ne prouve pas qu'elle se soit fait baiser cette après-midi. La seule manière de lui prouver, c'est de lui montrer son petit trou qui doit être encore rouge des assauts qu'il a subis. Elle retire donc rapidement sa jupe, ce qui fait monter d'un cran l'excitation de son mateur.
Il faut dire qu'elle est diablement sexy dans son ensemble de lingerie. Elle se retourne et lui présente ses fesses bien rondes. Elle écarte son string qui ne cache pas grand chose et lui offre son petit trou. Elle peut voir sur l'écran qu'il est bien rouge et encore un peu ouvert. Il faut dire que M. Francis s'est acharné. Elle a adoré son ardeur et sa bestialité au moment où il la sodomisait. Rien que d'y repenser, elle sent son sexe mouiller. Elle lui dit :
— J'ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n'ai rien sous la main.
— Tu n'as pas de dildo ou de vibromasseur ? C'est étonnant de la part d'une nympho comme toi.
— Eh bien non. Comme je te l'ai dit hier, je ne me découvre des envies que depuis peu temps. Où pourrais-je en trouver un ?
— Tu as le choix, ou sur internet, ou dans un sex-shop...
— Mmmmm il va falloir que j'y pense rapidement.
Elle se caresse de plus en plus fort. Elle s'introduit même un doigt dans l'anus, ce qui l'excite encore plus. Elle le regarde se masturber comme un fou devant elle. Elle-même se caresse frénétiquement jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle se laisse aller à gémir bruyamment en le voyant décharger copieusement sur lui.
— Tu es un vrai cochon. Tu en as partout, c'est du gâchis !
— Et toi tu es une magnifique salope et gourmande en plus de ça !
Elle se caresse doucement en lisant cette dernière ligne. Il a sans doute rai
son, se dit-elle. Il lui demande à nouveau s'ils peuvent se rencontrer. Comme la veille, elle esquive les questions trop personnelles, avant de lui dire qu'elle doit le quitter pour aujourd'hui.
Elle repense à ce qu'il lui a dit. Et si elle osait ? Elle regarde rapidement sur internet. Elle trouve des centaines de modèles, bien sûr, mais elle ne peut attendre plusieurs jours avant de le recevoir. Il va falloir qu'elle trouve le courage d'aller le chercher directement en magasin... dans un sex-shop. Elle regarde les adresses des magasins les plus proches. Elle en choisit un qui se trouve assez loin de chez elle... peut-être qu'elle ira le lendemain après le travail. Pour l'heure, elle a bien besoin d'une douche avant de se coucher.
oooOOooo
Le lendemain est une journée monotone. Elle attend la fin avec impatience et évidemment la journée passe terriblement lentement. Elle a décidé de ne pas trop se laisser aller à ses nouveaux penchants au travail. C'est beaucoup trop risqué. Malgré cela, elle s'est habillée d'une robe arrivant au-dessus des genoux et très légèrement décolletée. Elle porte aussi une large ceinture pour mettre en valeur sa taille et cacher son petit ventre. Elle a chaussé des petits talons qui la font légèrement se cambrer. Elle est ravissante. Elle attire quelques regards qu'elle fait mine de ne pas remarquer. Elle ne veut surtout pas se laisser aller à l'excitation qu'ils provoquent, sur le lieu de son travail.
Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu'au bout de sa démarche. Elle était si respectable avant sa rencontre avec M. Francis, maintenant elle est devient insatiable, tout l'excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Il lui semble qu'elle a perdu trop de temps empri
sonnée par son éducation de petite fille sage. Elle se dit qu'après tout, il s'agit juste de rentrer dans un magasin pour y acheter un produit... pas n'importe quel magasin, un sex-shop et pas non plus n'importe quel produit, un gode.
Sur ces réflexions, elle arrive à l'adresse trouvée sur internet. Le quartier n'est certainement pas le plus huppé de la ville. Une enseigne lumineuse rouge indique le sex-shop. De l'extérieur, on ne voit rien de plus. Un épais rideau ferme l'entrée du magasin sans vitrine. Une femme en bottes de cuir noir à talons aiguilles la regarde approcher, un petit sourire aux lèvres. Elle présente fièrement une poitrine volumineuse et débordante dans un corset à lacet. Maryse fait tout pour éviter son regard. Elle a le cœur qui s'emballe. Elle est morte de honte, mais décide de rentrer dans le magasin. Une fois dans le magasin, elle est surprise par la chaleur presque étouffante qui y règne.
Un homme assez jeune l'aperçoit. Il fuit son regard. Il semble encore plus honteux qu'elle d'avoir été surpris par une femme dans cet endroit. Il se détourne rapidement pour ne pas affronter son regard. Derrière la caisse, elle voit un homme bedonnant qui après lui avoir jeté un regard, se remet à sa lecture.
Le magasin n'est pas très grand. D'un côté, il y a de nombreuses publications qui semblent beaucoup intéresser le jeune homme. Au dessus des rayons de magasines, il y a plusieurs ensembles de lingerie et de combinai
son de cuir pour femme. Dans l'allée centrale, il y a de nombreux gadgets en tout genre.
De l'autre côté, se trouvent les vidéos et au-dessus des rayons de DVD's, se trouvent d'autres ensembles de combinai
son. Elle remarque un petit escalier qui descend au sous-sol. Le panneau, placé au-dessus des marches, indique qu'il faut prendre ses jetons à la caisse avant de descendre. À côté de l'escalier, se trouve une petite cabine d'essayage dont le rideau semble trop court pour remplir son office correctement.
Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu'elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains
sont vraiment très gros. Elle se dit qu'elle ne pourrait jamais s'introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité ? Le magasin propose aussi des sortes de martinets dont le manche est en forme de sexe. Elle aimerait essayer certains de ces modèles, cette pensée l'excite. Elle continue son exploration et tombe sur des plugs. Certains ont une forme conique qui se rétrécit à la base. D'autres se terminent par une sorte de queue de cheval.
Le magasin propose toutes sortes de crèmes et autres pilules, elle passe rapidement devant ces produits. Elle voit toute sorte de vibromasseurs. Là encore la diversité est telle qu'elle ne sait pas comment choisir. Elle trouve d'autres accessoires comme des gants en cuir, et des masques. Elle se dit que cela serait très pratique pour ses petites séances devant sa webcam. Elle en choisit un qui recouvre le visage jusqu'à la base du nez. Elle a hâte de l'essayer.
Elle retourne près des godes. Elle en choisit un dont la boite dit qu'il a été moulé d'après le sexe de vingt-cinq centimètres d'un acteur. Elle le trouve très gros, mais elle est de plus en plus excitée. La boîte indique qu'il a plusieurs vitesses de fonctionnement. Par contre il est assez cher. Elle prend aussi un flacon de lubrifiant vu la taille de son choix. Elle a une boule dans l'estomac en choisissant tous ces articles. Elle regarde les combinai
sons, mais le prix de ces articles la dissuade rapidement.
Maintenant, il va falloir qu'elle s'approche de la caisse avec ses achats. Tout à coup elle manque de courage. Elle regarde le caissier qui ne semble pas s'occuper d'elle. Elle hésite à tout reposer et à quitter les lieux au plus vite, mais ce serait ridicule. Elle s'approche et dépose les articles sur le comptoir. Il lève des petits yeux vers elle, puis il enregistre ses articles. Elle n'ose pas le regarder, mais elle remarque son petit jeu. À chaque article, il semble chercher le prix et en même temps, il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir.
— Eh bien c'est... assez cher...
— Je sais ma petite dame, mais ce
sont des articles de qualité qui vous satisferont bien.
Il la dévisage en lui disant cela. Elle est troublée qu'il lui parle ainsi. Elle ressent de nouveau toutes ces sensations qu'elle a quand elle se sent désirée. Elle ne peut pas contrôler son excitation.
— Je peux vous faire un prix, mais cela ne dépend que de vous !
— Comment cela ?
— Et bien cela dépend de ce que vous accepterez... de faire pour moi !
Elle voit parfaitement où il veut en venir. Cet homme bedonnant, presque chauve qui la regarde avidement avec ses petits yeux. Elle le trouve abject, mais la situation et sa demande l'excitent de plus en plus. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu'au bout ? D'une petite voix elle lui demande :
— Que voudriez-vous que je fasse ?
— Oh, mais beaucoup de chose ma petite dame. Mais pour ces articles, laissez-moi réfléchir... 20% si je peux vous peloter les seins, 50% pour une petite gâterie en plus !
Bien entendu, elle se doutait qu'il allait lui faire ce genre de proposition, mais elle est quand même surprise. Elle trouve la situation totalement irréelle. En venant dans cet endroit, elle savait qu'elle devrait faire face à des regards lubriques. Elle avait honte d'entrer dans ce type de magasin. Elle ne s'attendait quand même pas à ce que cela tourne ainsi.
— Comme je vous le disais, cela dépend entièrement de vous.
Elle hésite. Elle n'en revient pas d'hésiter. Il y a quelques semaines, elle l'aurait envoyé balader. Oui, mais il y a quelques semaines, jamais elle ne serait rentrée dans un tel magasin. Elle jette un coup d'œil autour d'elle, il n'y a per
sonne dans le magasin. D'une voix troublée, elle lui dit :
— D'accord...
— D'accord pour quoi ?
Il veut l'entendre dire elle-même jusqu'où elle est prête à aller.
— ... D'accord pour... 50%
C'est au tour du caissier d'être surpris. Ce qui n'était rien d'autre qu'un petit jeu sans espoir pour lui, devient tout à coup réalité. Elle est là devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s'agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n'ose pas encore profiter de la situation. Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément.
Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d'abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Voyant qu'elle ne réagit pas, d'un coup, il lui empoigne avec plus de
force. Elle a un sursaut de surprise en sentant sa poitrine serrée dans les mains de cet inconnu. Elle se laisse faire, elle se perd une fois de plus dans son excitation.
Il profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie son volume. Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n'a d'autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu'il profite pleinement de cette volumineuse poitrine.
— Viens me rejoindre !
Elle fait le tour du comptoir pendant qu'il défait la fermeture éclair de son pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de son gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant.
Elle s'agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir.
Elle s'installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l'odeur forte qu'elle dégage. Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant son volume dans sa bouche. son front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu'elle fait en le suçant l'excite un peu plus encore.
Tout à coup elle se fige en entendant la
sonnette du magasin retentir. Quelqu'un vient d'entrer. Elle n'ose plus bouger. Si on la découvrait, elle mourrait de honte sur l'instant. D'un geste de la main, il lui ordonne de continuer. Après une hésitation, elle le reprend en bouche et, le plus discrètement possible, elle recommence à le sucer pendant que l'inconnu erre dans les rayons du magasin. Le client s'approche du comptoir et y pose quelque chose.
Le caissier enregistre l'article et lui annonce le prix. L'autre cherche quelques instants sa monnaie, paye le caissier et quitte le magasin. Pendant tout ce temps, Maryse continue à sucer le sexe du caissier. son cœur bat la chamade. La peur d'être découverte a décuplé son excitation.
Quand elle entend le client quitter la boutique, elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire son sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d'une main jusqu'à la jouissance. L'homme n'en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la
force àle garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d'avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s'échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de son menton et s'écraser sur sa robe au niveau de son sein gauche. Il la libère enfin en gémissant.
— Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% !
Elle lui sourit ravie. Il lui présente un mouchoir en papier pour essuyer le surplus de sperme qui macule sa robe. Elle se relève et retourne de l'autre côté du comptoir un peu flageolante. Elle paie ses articles avec 50% de réduction et s'apprête à quitter le magasin quand il l'appelle. Elle se retourne.
— Vous pouvez revenir quand vous voulez ma petite dame. Au revoir.
Elle sort, elle apprécie l'air frais quand elle entend une voix de femme.
— Eh bien, ma jolie, on a pris du bon temps à c'qu'on dirait ! Faudrait pas me faire trop de concurrence quand même ! Ça te dirait d'en prendre avec moi ?
Elle se retourne et voit la femme qui était à l'entrée du magasin tout à l'heure. Elle lui sourit et a une moue entendue quand elle remarque la tache sur le haut de la robe de Maryse.
Elle reste un moment figée sur place. Elle regarde cette femme habillée d'une combinai
son de cuir comme elle en a vues dans le magasin. Sa poitrine déborde de son corset qui accentue la finesse de sa taille. Ses bottes à talons aiguilles lui cambrent la silhouette. Cette femme sait très bien ce qui s'est passé dans le magasin. Elle la regarde comme si elle appréciait une marchandise. Elle était déjà troublée en sortant du magasin et le regard de cette femme ne fait qu'augmenter son état. Elle trouve enfin le souffle pour lui répondre :
— ... Euh non... désolée... je dois y aller, on m'attend...
— La prochaine fois alors.
Maryse se retourne et se dirige vers sa voiture d'un pas mal assuré. Les sensations qu'elle a eues ont été trop fortes. Il faut qu'elle se calme avant de reprendre le volant. Elle essaie de respirer doucement pour se détendre. Elle démarre peu de temps après sa voiture pour rentrer chez elle.
Quand elle sort de son garage, elle est interpellée par sa voisine, Mme Chelau. Elle vérifie rapidement que ses achats ne
sont pas identifiables. Elle se dirige ensuite vers elle en la saluant. Mme Chelau est une petite femme sèche d'une cinquantaine d'années. Elle porte des lunettes, ses cheveux châtain clair sont coiffés assez court. Elle a toujours une attitude pincée et son sourire comme son regard n'est jamais franc. Elles discutent de la pluie et du beau temps et des autres voisins. Mme Chelau est une vraie concierge... puis cette dernière lui dit :
— Oh vous vous êtes tachée !
Maryse devient rouge pivoine et balbutie une histoire de café... qui ne convainc pas sa voisine inquisitrice.
— Ça ne ressemble pas à une tâche de café, enfin bon si vous dites...
Maryse essaie d'écourter aussi poliment que possible la conversation en prétextant une journée harassante au travail. Mais l'autre continue de plus belle en lui posant de nouvelles questions sur son travail, ses conditions...
Elle finit tout de même par lui dire au revoir. Elle rentre chez elle en essayant de ne pas se précipiter.
Elle ne peut attendre plus longtemps avant d'ouvrir ses paquets. Elle essaie tout d'abord le masque qui s'ajuste sur son visage jusqu'au nez. En se regardant dans le miroir, elle se dit qu'ainsi per
sonne ne pourra la reconnaître. Elle sort le gode de sa boite. Il est vraiment gros et épais. Elle se dit qu'elle a peut-être exagéré en prenant ce modèle. La texture la surprend, elle ressemble à s'y méprendre à de la peau. Il est parcouru de grosses veines qui la font presque frémir d'envie. Il y a une grosse ventouse à la base des deux grosses boules de ce sexe géant. Elle manque de le lâcher quand elle l'actionne. Il est pris de mouvement rotatif d'une force qui l'impressionne. Elle sélectionne une autre position qui entraîne un mouvement de va-et-vient dont elle peut faire varier la vitesse.
Elle se déshabille entièrement, puis elle se dirige vers son armoire pour choisir une tenue dans laquelle elle va s'exposer devant sa webcam.
Décidément, elle se rend compte que sa lingerie est trop classique et rien ne va avec son masque... Elle choisit un ensemble rouge à fines bretelles qui fera l'affaire. Elle est très excitée à l'idée d'essayer son nouveau jouet sous le regard avide d'un spectateur. Elle passe ensuite un peignoir avant de s'installer sur son lit. Elle cache son jouet sous son oreiller et démarre son ordinateur.
Elle a de plus en plus de succès sur son chat. Elle discute un peu avec d'autres internautes avant d'accepter l'invitation d'une certaine Mme XDom. son interlocutrice est très directe et directive. Elle lui pose de nombreuses questions sur sa vie sexuelle. Elle semble très intéressée par les changements qui se
sont opérés chez Maryse depuis quelques semaines. Elle lui demande si elle est aussi excitée par le regard des hommes que celui des femmes. Maryse lui répond que oui, mais que les femmes savent être plus discrètes, et qu'il est plus difficile de les surprendre.
Maryse finit par lui raconter sa dernière aventure au sex-shop. Mme XDom met un peu plus de temps à lui répondre et finit par lui dire qu'elle est une sacrée salope et qu'elle aimerait bien la voir en action. Alors que Maryse se serait offusquée qu'on la traite ainsi il y a quelque temps, elle est maintenant très excitée dès qu'on lui parle ainsi. Elle l'invite à brancher sa webcam et son micro. Elle désire voir son interlocutrice. La femme qui apparaît sur son écran doit avoir une quarantaine d'années. son visage fin est encadré d'une chevelure brune très courte. Ses yeux d'un bleu très clair
sont mis en valeur par un maquillage foncé. Elle est, elle aussi, en peignoir négligemment ouvert laissant apparaître un petit sein dont le téton pointu darde au milieu d'une petite aréole rose.
Cette femme dégage une autorité naturelle qui trouble Maryse. Tout à coup elle comprend le pseudo de son interlocutrice, Dom pour Dominatrice. Elle en est encore plus troublée. Mme XDom, après avoir passé sa langue sur ses lèvres, lui dit :
— J'aime beaucoup ton masque ma chérie. Il te va à ravir, mais j'aimerai voir le reste de tes charmes.
— Euh oui...
Avant qu'elle ait pu dire quoique ce soit d'autre, Mme XDom la reprend
avec autorité :
— Dès lors que tu t'adresses à moi, tu finis tes phrases par Madame ! Au moindre manquement, il t'en coûtera.
Maryse est de plus en plus troublée. Elle se rend parfaitement compte de son trouble et de l'excitation qu'elle ressent. Elle sent qu'elle commence à mouiller abondamment. Après tout qu'a-t-elle à perdre à jouer le jeu ? Si jamais cela va trop loin, elle peut tout arrêter en un clic. Elle lui répond timidement :
— Oui, Madame
— C'est bien, ma chérie, maintenant ouvre ton peignoir.
Elle ouvre doucement son peignoir, pour laisser apparaître sa lingerie rouge. Elle se sent intimidée par cette femme qui ne laisse rien deviner de ses sentiments. Elle finit par le retirer entièrement.
— Cambre-toi... oui c'est bien, ma chérie. J'aime que tu m'obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux... oui c'est bien... cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits.
Maryse obéit docilement à toutes ses demandes. Elle est de plus en plus excitée de se laisser diriger de la sorte par une autre femme. Elle lui présente ses seins en se cambrant. Cette position, bien qu'inconfortable, l'excite beaucoup et plus encore quand elle voit son interlocutrice sourire en appréciant sa poitrine.
— Tu me plais. Je me demande jusqu'où tu serais prête à aller pour me satisfaire...
— Demandez-moi ce que vous voulez... je suis... à vous, Madame
— Je me demande si tu te rends compte de ce que tu m'offres. Mais soit j'accepte. Avant que nous fassions réellement connaissance, tu vas me montrer ce fameux jouet dont tu m'as parlé.
Maryse, le cœur battant, se retourne pour prendre le gode qu'elle vient de s'offrir. Elle lui présente ainsi ses fesses rebondies. Mme XDom n'en perd pas une miette. Elle sort le gode de sa cachette et le lui montre.
— Eh bien, ma chérie, c'est une belle taille. Tu as déjà eu un homme aussi gros en toi 
— Non, Madame
— Quel dommage que tu ne sois pas avec moi.
— Oh oui, Madame
— Es-tu prête à faire exactement ce que je vais te demander ? Réponds-moi franchement.
— ... Oui... Madame
— Bien. Demain tu viendras à 19h à l'adresse que je vais t'envoyer par mail. Il faudra que tu sois la plus désirable possible. Tu apporteras aussi ton gros jouet. Pour ce soir nous allons terminer là. Je ne veux pas que tu essaies ton jouet avant

A demain alors...

Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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  Maryse est enrôlée....
Pas dans l'armée...
Et les bidasses vont regretter

Maryse, naissance de la perversion
Suite III
Le lendemain est une journée plus courte pour Maryse. Le vendredi, elle finit son travail plus tôt, ce qui va lui laisser une soirée plus longue. Elle ne cesse de repenser à Mme XDom. Une fois l'excitation retombée, l'idée d'aller chez cette inconnue ne lui semble pas rai
sonnable. D'ailleurs son comportement de ces derniers temps est totalement irraisonnable. Une partie d'elle voudrait se reprendre mais les dernières expériences qu'elle a vécues lui ont apporté tellement d'excitation et de plaisir qu'elle ne s'en sent pas capable.
Elle n'en a pas la volonté. Le moindre regard sur son corps réveille en elle une envie insatiable. Elle reste tout de même assez forte devant ses envies à son travail. Ce lieu est beaucoup trop difficile à gérer. Malgré cette décision, elle s'habille de manière plus sexy tout en restant correcte. Elle porte aujourd'hui des talons hauts qui cambrent sa silhouette, une jupe tailleur bleu clair arrivant au-dessus du genou, une veste légère assortie par-dessus un petit chemisier blanc. Elle remarque les regards qui se posent sur elle. Certains de ses collègues osent quelques compliments qui la font sourire. Elle trouve très agréable d'être aussi désirée, mais elle reste ferme sur sa décision de résister à ses envies les plus folles au travail.
Elle décide aussi d'envoyer un e-mail à la mystérieuse Mme XDom :
« Bonjour Madame, Je suis sincèrement désolée mais je suis obligée d'annuler notre rendez-vous de ce soir. Hier soir, j'ai été prise d'une folie provoquée par l'excitation. Je ne suis pas encore prête à vous rencontrer. Je serai heureuse de continuer à dialoguer avec vous si vous le souhaitez. Votre dévouée... »
Elle envoie son email avant de quitter le bureau. Elle se dit qu'elle va profiter de son temps pour aller flâner au centre commercial. Elle trouvera sûrement quelques petits achats à faire et puis il y aura du monde... Elle monte dans sa voiture et se dirige vers le centre commercial. Elle conduit sans penser à rien. La journée est ensoleillée, c'est très agréable.
À un feu rouge, elle retire sa petite veste de tailleur. Elle est obligée de se contorsionner un peu pour ne pas l'abîmer. C'est alors qu'elle remarque le regard d'un ouvrier dans une camionnette sur sa gauche. Il l'observe sans se soucier qu'elle le remarque. Elle fait mine de ne pas le voir. Elle sent qu'elle est de nouveau prise par l'excitation de se montrer. Sa respiration s'est accélérée.
Sa jupe s'est un peu relevée alors qu'elle retirait sa veste et elle offre à cet ouvrier la vue de ses cuisses nues. Elle prend dans son sac un petit tube de rouge à lèvre et fait remonter un peu plus sa jupe qui est maintenant un peu plus haute sur ses cuisses. Elle se passe sensuellement du rouge sur ses lèvres tout en essayant de voir son spectateur dans son petit miroir. Il la regarde avidement et cela l'excite de plus en plus. Il lui semble que la température monte de quelques degrés dans sa voiture. Le feu passe soudainement au vert et la camionnette démarre. Elle se reprend et démarre elle aussi. Elle a maintenant une petite boule dans l'estomac. Elle ne sait pas ce que va lui réserver cette soirée mais elle commence bien. Elle a de moins en moins d'inhibition, cela l'effraie un peu, mais l'excite davantage encore.
Après s'être garée dans le parking couvert, elle se dirige vers les boutiques. Elle passe devant les vitrines sans grande conviction. Tout ce qu'elle voit est plutôt classique. Elle ne sait pas vraiment ce qu'elle recherche. Elle entre dans plusieurs boutiques, regarde les différents articles mais elle n'est pas satisfaite de ce qu'elle voit. Elle arrive devant une boutique qu'elle ne connaît pas. La vitrine présente des mannequins habillés de manière très sexy. Elle reste quelques instants devant cette vitrine. L'un des mannequins est habillé d'une mini-jupe blanche très moulante qui ne couvre qu'une toute petite partie du haut de ses cuisses. Le haut est de la même matière et fait ressortir impudiquement les tétons artificiels du mannequin. Des talons aiguilles blancs à la pointe argentée finalisent la tenue. Un autre mannequin porte des bottes à talons hauts, un short couvrant tout juste les fesses et un haut totalement ouvert à l'arrière et laissant deviner la forme de ses seins. Elle hésite quelques instants devant cette vitrine avant de se dire que c'est de la folie, elle ne peut se permettre de porter ce genre de tenue. Elle continue son exploration de la galerie commerciale. Sans rien trouver. Tout lui paraît fade.
Elle se retrouve « par hasard » devant la vitrine qui l'a faite hésiter une demi-heure plus tôt. Elle se décide à rentrer pour voir ce que le magasin propose d'autre. Elle est accueillie par le sourire d'une vendeuse d'une trentaine d'années. Elle regarde les différents articles. La vendeuse lui demande si elle a besoin d'aide. Elle lui répond que pour le moment elle souhaite découvrir par elle-même ce que la boutique propose. Elle prend le temps d'observer la vendeuse qui s'affaire à remettre des tops en place. Elle est plus grande qu'elle, fine, ses longues jambes
sont mises en valeur par des bottes à talons aiguilles, le même modèle qu'en vitrine.
Elle porte une jupe courte évasée qui ne cache rien de ses cuisses fuselées. Ses petits seins
sont libres sous son haut moulant. Elle peut distinctement voir les petits tétons tendre le tissu. Elle est très troublée d'observer cette femme et son trouble augmente encore plus quand elle remarque à travers le tissu un petit anneau suspendu au téton droit de la vendeuse. Elle veut essayer la jupe blanche moulante qu'elle a vue en vitrine.
Elle souhaite juste voir par curiosité ce que cela donnerait sur elle. Elle choisit aussi le top échancré dans le dos de même couleur. Une fois le rideau de l'unique cabine d'essayage tiré, elle se déshabille et enfile la jupe ainsi que le petit haut. En s'observant dans la glace, son excitation augmente. Elle est tout à fait impudique. La jupe couvre tout juste le haut de ses cuisses et moule indécemment ses fesses. Le petit haut est très sexy, l'ouverture du dos est très large et la met joliment en valeur. Si elle lève les bras trop haut, on peut apercevoir la courbure de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. L'avant du haut est tendu par sa poitrine.
La vendeuse lui demande si elle est satisfaite ou si elle veut qu'elle lui apporte une autre taille. Maryse ouvre le rideau et aperçoit une lueur furtive dans le regard de la vendeuse. Après un regard appréciateur, cette dernière lui dit :
— Il y a deux détails qui ne vont pas. Le premier, votre soutien-gorge. Avec un haut comme celui-ci, il ne faut pas en porter, cela gâche l'effet de l'échancrure du dos. Le deuxième, c'est que l'on voit le tracé de votre culotte, et avec ce genre de jupe il faut soit porter un string soit... rien du tout.
Maryse est surprise par cette dernière remarque et est prise d'un petit rire nerveux :
— Je ne pourrai jamais sortir comme ça sans culotte...
La vendeuse lui lance un regard coquin :
— Vous devriez essayer, cela peut être très excitant et amener du piment dans votre vie de couple...
Maryse referme le rideau en lui disant qu'elle va essayer sans le soutien-gorge. Quand elle ouvre de nouveau, elle peut voir dans le regard de la jeune femme une sorte d'envie. Elle lui dit :
— Je ne suis pas sûre que cela soit aussi joli que sur vous. Je n'ai pas les seins assez fermes je pense...
Maryse s'observe dans la glace en disant cela. Elle peut voir dans le miroir que la vendeuse observe ses courbes.
— Je trouve au contraire que cela vous va à ravir. Faites quelques pas... oui c'est très bien, cela vous va parfaitement. Vous allez rendre fou votre partenaire. En tout cas à sa place, je serais conquise...
La jeune femme l'observe sans retenue. Maryse se demande quelles idées peuvent traverser son esprit. Elle sent ses seins libres caressés par le tissu. À chacun de ses pas ils se balancent légèrement.
Elle adore cette sensation de liberté qu'elle avait presque oubliée. Elle retourne dans la cabine et se change de nouveau. Puis elle se souvient des talons aiguilles de la vitrine. Pourquoi ne pas les essayer aussi se dit-elle. Elle demande à la vendeuse s'il lui reste cet article dans sa pointure.
— Mais bien sûr. Je vais les chercher tout de suite.
Elle revient quelques instants plus tard, avec une boîte et la fameuse paire de chaussures. Elles
sont superbes, fines et blanches. Le talon est argenté. La jeune femme s'accroupit devant elle pour lui passer délicatement les chaussures à ses pieds. Elle lui soutient la cheville. Ce simple contact l'électrise, mais elle n'ose pas aller plus loin de peur de rompre la magie de l'instant. Elle se lève et marche un peu à travers le magasin. Elle pensait avoir plus de mal à s'habituer à la hauteur de ces talons. Ils l'obligent à se cambrer un peu plus encore. Cela fait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle imagine sans mal l'effet qu'elle produirait avec la petite jupe qu'elle a essayée et le petit haut. La vendeuse l'observe et lui dit :
— Vous semblez très à l'aise avec ces hauts talons, tout le monde n'a pas votre aisance. Ils vous vont à ravir.
Maryse rougit légèrement et remercie la vendeuse pour ses compliments. Elle se décide à prendre tous les articles qu'elle a essayés. Elle remet ses chaussures à talons qui lui paraissent bien bas après avoir essayé les autres. La vendeuse réunit les articles dans un sac et après avoir encaissé lui dit de ne surtout pas hésiter à revenir si elle a un souci avec l'un des articles ou pour toute autre rai
son. Maryse la remercie de sa gentillesse et l'assure qu'elle reviendra.
Elle continue à errer dans la galerie, puis une idée saugrenue lui traverse l'esprit. Elle a envie de voir l'effet qu'elle peut produire en portant cette nouvelle tenue. Rien que d'y penser, l'excitation la gagne. Il faut qu'elle trouve un endroit pour se changer. Elle ne peut pas revenir au magasin, cela serait absurde. Elle réfléchit, regarde autour d'elle puis elle aperçoit un panneau indiquant les toilettes publiques.
Ce n'est pas l'idéal se dit-elle mais s'il n'y a per
sonne, cela pourra faire l'affaire. Elle se retrouve dans un petit couloir éclairé de néons. L'ambiance est un peu glauque mais curieusement cela rajoute à son excitation. Elle se sent presque fébrile. Elle ouvre la porte des toilettes pour dames. Il n'y a personne. Elle se dirige vers l'une des cabines du fond et s'enferme. Elle n'a pourtant pas couru mais elle est obligée de reprendre sa respiration pour se calmer un minimum. L'endroit est assez propre heureusement.
Fébrilement elle retire sa veste et son chemisier. Elle hésite quelques instants puis se décide à retirer son soutien-gorge. Elle passe ensuite son nouveau haut. Elle apprécie la sensation de l'effleurement du tissu sur sa peau. Elle retire ensuite sa jupe tailleur et là encore hésite un instant. son cœur bat la chamade. Elle ne peut quand même pas se balader les fesses à l'air se dit-elle.
Et pourquoi pas. Après tout, elle s'apprête à se promener dans une tenue plus que suggestive. Elle arrête ses réflexions et retire en toute hâte sa culotte. Elle se rend compte de la folie de son attitude mais elle a envie de vivre cette petite expérience. Per
sonne ne saura qu'elle est nue sous sa jupe. Elle passe la jupe et après avoir baissé le couvercle, s'assoit sur la cuvette pour mettre ses nouveaux talons-aiguilles. La jupe est si courte qu'elle sent la fraîcheur du couvercle sur une partie de ses fesses. Elle la tire vers le bas mais elle peine à la couvrir décemment. Une fois habillée et ses vêtements jetés dans le sac, elle sort de la cabine. Elle est saisie par son reflet. Sa tenue la change du tout au tout. Elle qui s'habillait toujours assez classiquement, est maintenant très provocante. Elle se tourne légèrement, et en s'observant, se demande si elle n'a pas été trop loin...
La porte s'ouvre et une femme d'un certain âge la regarde avec désapprobation. Elle ne peut plus revenir en arrière et ce regard est comme un défi pour elle. Elle va assumer cette envie de se montrer et de provoquer le désir.
Elle sort des toilettes, et dans le couloir, elle croise un vigile à la carrure de rugbyman. Il la dévisage. Elle sent son regard comme si c'était ses grosses mains qui lui parcouraient le corps. Les talons l'obligent à accentuer le déhanchement de sa démarche. Elle l'entend émettre un petit sifflement qui traduit son plaisir de la regarder. Elle se retrouve dans la galerie de nouveau. Elle sent nettement la différence. Tous les hommes qui la croisent ne peuvent s'empêcher de la regarder. Leurs regards
sont tantôt discrets, tantôt appuyés. Certains lui sourient, d'autres restent la bouche ouverte. Elle croise un groupe de quatre jeunes dont elle entend les sifflements et les commentaires :
— Regarde cette nana ! Elle a une de ces paires de nibards...
— Elle a un cul d'enfer...
— Elle est bandante !
Cela la fait sourire. Elle ne s'offusque pas de leurs commentaires, au contraire cela l'excite davantage. Elle croise un couple dont l'homme s'arrête tout net de parler en la regardant. Sa partenaire lui donne un coup dans les côtes pour le rappeler à l'ordre et la fusille du regard. Elle semble attirer tous les regards. Elle croise celui de certaines femmes où se mêlent un brin de jalousie et de désapprobation quand ce n'est pas de l'envie.
Elle sent ses seins bouger au rythme de ses hanches. Le frottement du tissu sur ses tétons les fait se tendre et lui procure un plaisir augmenté par le regard que les gens posent sur son corps.
Elle s'arrête devant une vitrine autant pour observer le reflet des gens que pour regarder les paires de bottes qui y
sont exposées. Certains n'hésitent pas à lui regarder longuement les fesses alors qu'ils la croisent. D'autres se retournent plusieurs fois pour profiter le plus longtemps possible du spectacle qu'elle leur offre. Elle s'intéresse de près à une paire de chaussures en contrebas qui l'oblige à se pencher un peu.
Elle offre ainsi sa croupe arrondie et moulée à la vue des passants qui n'en perdent pas une miette. Alors qu'elle admirait une paire d'escarpins, elle sent une main se plaquer sur sa fesse gauche et profiter l'espace d'un instant de leur fermeté. Elle sursaute en poussant un petit cri.
En se retournant, elle voit un vieux monsieur s'éloigner d'elle et lui faire un petit signe de la main. Elle n'a pas vraiment eu le temps de réagir. La respiration haletante, elle ressent plusieurs impressions. D'abord une part de honte, elle s'est offerte dans cette tenue. Puis une satisfaction grandissante car elle sait qu'elle est excitante.
Avec toute cette excitation, elle a besoin de boire quelque chose. Elle se dirige vers un petit bar assez branché pour se désaltérer et surtout pour reposer un peu ses pieds. Même si elle n'a eu aucun mal à adopter ses talons, ils restent difficiles à garder longtemps aux pieds. son entrée ne passe pas inaperçue.
Les hommes l'ont tous vue et elle a senti leur regard carnassier sur elle. Elle se met au bar. Elle ne compte pas rester bien longtemps. C'est une femme brune au regard bleu qui sert au bar. Elle semble apprécier tout autant que les hommes du bar ce qu'elle voit. Elle s'approche :
— Qu'est-ce que je vous sers ?
— Euh, je ne sais pas... surprenez-moi avec un cocktail, répond Maryse en souriant.
— D'accord. En attendant tachez de ne pas créer d'émeute.
Elle lui fait cette dernière remarque avec un sourire enjôleur. Peu après elle lui apporte un cocktail glacé d'une couleur rouge.
— Et voilà pour la vamp de la soirée. Oh si, tout le monde vous dévore des yeux. Et je dirais que vous en êtes consciente...
La serveuse la laisse déguster son cocktail à base de rhum et de liqueur de fraise. Elle ne tarde pas à être rejointe par un homme d'une quarantaine d'année. Il est tout d'abord assez discret, mais elle le surprend à plusieurs reprises regarder ses jambes ou sa poitrine.
Ce petit jeu l'amuse. Elle est grisée par le désir des autres à moins que cela ne soit l'alcool qui commence à faire son effet. Cet homme a un physique assez banal, la quarantaine, ses cheveux commencent à virer au gris par endroit. Il porte un costume dépareillé. Il appelle la serveuse et lui murmure quelque chose qu'elle n'arrive pas à entendre. Elle s'éloigne pour préparer un nouveau cocktail et le présente à Maryse en lui disant que ce dernier est offert par son voisin.
Maryse se tourne vers lui et lui adresse un petit signe de la tête en souriant pour le remercier. C'est la première fois qu'elle se voit offrir une bois
son dans un bar, cela lui plaît et lui fait peur en même temps. Que va-t-il se passer ensuite ? Va-t-il s'approcher, lui parler, lui faire une proposition indécente ? Elle est plongée dans ses réflexions l'estomac un peu serré quand l'homme s'approche d'elle et s'assoit à ses côtés. Elle n'ose plus le regarder. Elle est soudain prise d'un doute, elle est sans doute allée trop loin.
— Bonsoir, je me nomme Manuel, excusez mes manières un peu cavalières... mais il fallait que je fasse votre connaissance.
Elle trouve le courage de lui sourire. Elle remarque que son assurance n'est que feinte.
— Bonsoir, je m'appelle Maryse.
— Maryse, puis-je me permettre de vous féliciter de votre audace ? Vous êtes à tomber. Vous dégagez une sensualité irrésistible.
Maryse se dit qu'il est vraiment direct. Il ne manque finalement pas tant que ça d'assurance...
— Vous attendez sûrement quelqu'un... une femme comme vous n'est sans doute pas seule.
— Je suis mariée mais ce soir je suis seule... mon mari est en déplacement. Je n'avais pas envie de commencer la soirée seule chez moi...
Maryse se demande ce qu'il lui prend, elle vient de l'inviter à aller plus loin.
— Je comprends tout à fait. Cela fait longtemps que votre mari est parti en déplacement ?
— Quelques jours. La mai
son semble vide sans lui et les enfants qui sont aussi partis chez des amis. Je me retrouve donc abandonnée.
La discussion continue encore. Manuel est assez prévenant, il l'écoute, lui pose des questions sur elle, ce qu'elle fait dans la vie. Il lui offre un autre cocktail. Elle commence à se sentir plus à l'aise. Elle se confie à lui qu'elle ne connaît pas. Et puis elle commence à lui poser des questions.
— Êtes-vous marié ?
— Non.
— Pourquoi cela ?
— Di
sons que ma situation professionnelle demande ... de la compréhension. Et que je n'ai pas trouvé la femme prête à en avoir. Et puis je tiens aussi à ma liberté. C'est peut-être plutôt cela d'ailleurs qui m'empêche de m'investir totalement dans une relation.
— Quel est donc ce métier qui demande tant de compréhension ?
— Je ne suis pas sûr que vous vouliez le savoir...
— Maintenant vous m'intriguez ! Allez, dites-le moi.
— Très bien, je suis réalisateur de films... pornographiques.
Maryse est comme paralysée. Il se moque certainement d'elle... non pourtant il semble dire la vérité. C'était donc cela qui provoquait son manque d'assurance.
— Je... je suis désolée. Vous m'avez surprise. Ce n'est pas commun de rencontrer un réalisateur de films...
Elle ne trouve pas la
force dedire le mot. La conversation prend une tournure qu'elle n'aurait pas imaginée.
— Oui c'est vrai. D'ailleurs je regrette mais il va bientôt falloir que je vous quitte. Je dois aller sur un tournage.
— À cette heure-ci ?
— Les horaires
sont très aléatoires... c'est aussi pour cela qu'une relation sérieuse est difficile à gérer. Je suis sûr que vous n'avez jamais assisté à un tournage quel qu'il soit ! Je sais que vous n'avez rien de prévu ce soir... peut-être que vous aimeriez m'accompagner ?
— Moi, non... enfin je veux dire, je n'ai jamais assisté à un tournage... encore moins d'un film...
Elle reprend son souffle. Et pourquoi pas, se dit-elle ? Il ne lui propose pas de tourner, seulement d'y assister. Cela ne se représentera peut-être jamais. Qu'a-t-elle de mieux à faire ? Oui, mais elle ne le connaît pas... cet argument ne tient pas devant son excitation croissante. Elle se laisse finalement convaincre par ses désirs.
— D'accord, je vous accompagne !
— Prenons ma voiture, ce n'est pas très loin d'ici.
Il paye les consommations et la guide vers sa voiture, une Mercédès grise, intérieur cuir aux lignes agressives. Il lui ouvre la portière puis entre à son tour. Le cœur de Maryse bat tellement fort qu'elle est sûre que Manuel peut l'entendre. Sa jupe ne cache rien de ses jambes croisées, et elle voit régulièrement Manuel les apprécier.
Sa respiration est difficile, elle n'ose parler. Ils arrivent peu de temps après dans un pavillon imposant à deux étages. Il y a déjà trois véhicules sur place. Des câbles courent partout. Manuel la guide à l'intérieur. Dans une pièce, elle aperçoit deux femmes se maquillant en discutant.
L'ambiance a l'air assez détendue. Un homme s'affaire aux réglages de sa caméra aidé d'un autre qui semble prendre des mesures de luminosité. Celui qui semble être le preneur de son est concentré sur le boîtier électronique de son micro. Des panneaux blancs réfléchissent la lumière des projecteurs et derrière eux, le décor apparaît. Il s'agit tout simplement d'un bureau éclairé d'une lampe ancienne et sur lequel sont éparpillés des dossiers. Un écran d'ordinateur est posé sur la gauche. Derrière le bureau, il y a des étagères remplies de dossiers.
Maryse est presque déçue par ce décor simpliste. Manuel lui présente l'équipe, il les appelle tous par leur prénom. Il y a Jeannot à la caméra, le petit qui l'aide à mesurer la luminosité se nomme Pierre. Ce dernier la dévore du regard en souriant. Le preneur de son se nomme Max. Manuel lui demande de le suivre afin qu'il lui présente les acteurs. Dans la pièce voisine, elle fait la connaissance de Bruno, un beau trentenaire aux yeux bleu et à la stature impressionnante. Il est habillé d'un costume rayé gris. Les deux femmes qui discutent ensemble se nomment Gina et Sophie. La première est une grande blonde à lunette, habillée d'un tailleur strict mais très court. La seconde est une brune aux yeux très clairs, aussi grande que Maryse. Maryse est étonnée par la taille énorme de sa poitrine relevée par le corset d'une tenue de soubrette aussi courte que sa propre jupe. Maryse peut très bien imaginer le futur tableau que les acteurs vont jouer devant la caméra. Les trois acteurs lui semblent très sympathiques. Ils lui demandent comment elle a connu Manuel. Sophie l'observe avec insistance. son regard trouble Maryse, elle n'ose pas le croiser. Bruno est plutôt charmant, il essaie de la mettre à l'aise.
Un acteur n'est toujours pas arrivé mais Manuel décide de commencer le tournage. Il demande à chacun s'il a bien lu son script qui ne tient qu'à une page. Puis les acteurs et les techniciens se mettent en place. Manuel indique un endroit ou Maryse pourra observer le tournage sans gêner les mouvements de chacun. Maryse se fait l'effet d'une voyeuse quand la scène commence, malgré les techniciens présents.
La scène commence avec Sophie qui fait la poussière parmi les dossiers du bureau alors que Bruno tente sans succès de se concentrer sur son travail. Ses yeux
sont attirés par le corps de Sophie qui fait tout pour se faire remarquer. Elle prend des poses aguicheuses qui ne cachent rien de ses lignes sculpturales. Elle se baisse devant le bureau les jambes tendues, montrant son petit string coincé entre deux fesses rondes.
Maryse est de plus en plus excitée par ce qu'elle voit. La démonstration de Sophie est très convaincante. Elle s'approche de Bruno qui s'écarte de son bureau pour que la soubrette fasse correctement la poussière mais surtout pour mieux l'observer. Les deux acteurs échangent quelques mots sans intérêts. Maryse n'entend plus rien, elle vit presque la scène. Elle n'est plus elle-même. Sophie ouvre le pantalon de Bruno qui ne porte visiblement pas de sous vêtements. Elle extirpe un membre imposant bien qu'encore mou. Il est parcouru de grosses veines et est complètement imberbe. Elle le caresse doucement, puis le serre et commence un lent mouvement de va-et-vient.
Maryse sent son excitation croître au fur et à mesure que la scène s'intensifie. Sa vision se réduit à la main enserrant ce gros membre. Elle n'en a jamais vu de cette taille hormis dans les films ou photos qu'elle a pu regarder sur internet. Sophie écarte légèrement les jambes en les laissant tendues au maximum et se baisse sur le membre de Bruno pour le gober entièrement. Ce dernier prend du volume d'un coup en se gorgeant au maximum. Sophie gémit doucement alors qu'elle s'applique à sucer ce puissant sexe. Maryse se sent rougir de honte d'observer cette scène ou de vouloir être à la place de cette soubrette. Le cameraman approche des deux acteurs pour faire un gros plan. Bruno grogne de plaisir alors qu'il défait le laçage dorsal de la tenue de Sophie. Cette dernière se relève pour prendre son souffle et pour offrir à la vue de tous sa magnifique poitrine libérée de son corsage. Ses seins sont en forme de poire, très lourds, aux aréoles assez larges. Ses tétons sont tendus vers Bruno qui s'en empare pour les tirer, les pincer et pour finir par les sucer presque
violemment.Il presse son visage contre un énorme sein qui se déforme. Sophie sourit, elle prend manifestement beaucoup de plaisir de ce traitement. Elle lui prend les cheveux et le serre cntre sa poitrine. Il la repousse ensuite. Il se lève alors qu'elle se retourne contre le bureau lui faisant dos. Elle se penche en avant, sa poitrine généreuse reposant sur la table. Il lui arrache son string et s'agenouille derrière elle. Il commence alors à lui lécher ses lèvres intimes le visage pris entre ses deux fesses rondes.
Maryse prend appui contre le mur derrière elle. Elle trouve la scène tellement sauvage et tellement excitante qu'elle a du mal à tenir sur ses jambes. Les techniciens autour d'elle, même si elle les voit, n'existent plus. Elle sent sa propre poitrine tendre le tissu fin de son haut. son sexe s'humidifie et commence à couler. Elle a du mal à se tenir sur ses talons hauts. La scène s'intensifie quand Bruno se relève et s'enfonce d'un seul coup dans le sexe de Sophie qui pousse un cri strident. Il entame un mouvement rapide qui provoque à chaque pénétration profonde un cri de Sophie. Maryse peut entendre un clapotis qui lui permet de deviner l'état du sexe de Sophie. Bruno s'arrête ensuite quelque temps. Le cameraman se place autrement pour avoir un autre angle de vue. Puis Bruno reprend avec plus de vigueur encore. Cette petite interruption ramène la présence des techniciens dans l'esprit de Maryse. Ils sont tous témoins, comme elle, de l'accouplement sauvage de Bruno et Sophie.
Manuel annonce une pose.

Bonne idée  qu'on respire un peu... A demain...

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Dégustitude cinéphile


Histoire du net. Auteur: Marcel 3

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Voilà  un texte dur et doux à la fois.
Comme une bonne bitte... Non?
Attention: extrême

Les mecs de la citée
Auteur ! Marcel 3

Il y a quelques années, je venais d'avoir 18 ans, et avec mes parents nous avons aménagé dans un lotissement de villa. Au collège, je me liais d'amitié avec José, un jeune Portugais de 18 ans qui vivait à la cité, distante de 100 mètres de ma maison, avec ses parents et son demi-frère Karim de deux ans son aîné. José et moi nous avions la même passion: le foot! Moi j'étais ni bon ni mauvais, José lui, il était un artiste du drible. Il m'invita à jouer comme remplaçant dans l'équipe de la cité. Je fis la connaissance des garçons de la cité qui jouaient dans l'équipe dont le capitaine était le frère de José. Il menait toute la bande de la cité et tous lui obéissaient. Il ne travaillait pas et traînait toute la journée avec ses potes.
Il mesurait 1m78, il avait de grands yeux marron, des cheveux très bruns bouclés, un torse fin mais musclé, des jambes longues et puissantes. Très rapide, nerveux, bagarreur et railleur, il en imposait. Moi, je suis petit (1m70), yeux verts, blond, pas très musclé, imberbe, d'apparence juvénile, on ne me donnait mon âge à cette époque-là.
Au vestiaire, après les matchs, je n'osais pas me foutre à poil de peur que l'on se moque de moi. Mon sexe mesure à peine 15 cm, il est fin et courbé. Mes testicules ressemblent à des cerises perdues dans des bourses trop grandes, entourées de poils blonds peu nombreux et presque invisibles. Je prenais la douche le dernier et je gardais un maillot de bain pour éviter que quelqu'un me voit.
Je regardais les autres et matais leurs sexes pour comparer avec le mien. Celui de Karim était long 23 cm, assez large 4.5 cm, et sous la douche, il se caressait sans hésiter en criant:
- Putain que c'est bon! Personne ne veut me sucer, ni me donner son cul!!
Un dimanche où je remplaçais un joueur et grâce à moi, on a gagné. Karim hurla:
- C'est le blondinet qui a marqué. On va lui faire sa fête.
À peine dans le vestiaire que Karim m'attrape et avec ses copains me foutent à poil. Ils me poussent sous la douche en riant et en criant:
- On va te faire ta fête!
Je me débattais comme un fou et Karim dit:
- C'est une blague!
José rigolait suivant son frère. J'ai eu très peur et en même temps j'ai ressenti un émoi qui me fit trembler quand Karim me tenait dans ses bras.
Fin d'année, mes parents partent pour 15 jours au ski, moi je reste à la villa seul. La journée, j'allais chercher José pour déambuler dans la cité ou en ville. Karim dans les caves bricolait des 'mobs' pour se faire un peu d'argent et bien d'autres choses. Il fumait.
Ce samedi, quelques jours avant Noël, je monte à la cité pour chercher José quand je tombe nez à nez avec un copain de Karim qui me dit:
- José est avec son frère dans la cave du fond. Va les voir. C’est tout droit et au fond tu prends à gauche, tu verras la lumière. Ils sont là."
J'arrive devant la cave à demie fermée, j'entre.
Karim est au fond penché sur une mob.
- Salut. José n'est pas là?
- Non il vient de partir. Tu tombes bien c'est mon anniversaire et j'ai envie de me faire sucer et de prendre le cul d’un bourge! C’est génial! À genoux et pompe!
Éclat de rire général.
- Vous êtes fou! Leurs dis-je en reculant.
Je me retourne pour foutre le camp quand je vois ses trois copains bouchant la sortie. Je me sens attrapé par Karim qui me retourne, me colle au mur et me bloque la tête, se penche pour me rouler une pelle. Je me débats et les autres m'immobilisent.
Les lèvres de Karim écrasent les miennes, sa langue force ma bouche. Elle est chaude, dure. Je ne résiste plus et il en profite pour me rouler une pelle qui dure, qui dure jusqu'à me faire perdre la respiration, me mordillant au passage les lèvres jusqu'au sang.
Je ressens un émoi, une envie folle qui fait gonfler mon sexe. Il lâche ma bouche, tâte à travers mon survêt mon sexe. Voyant ma réaction, il me dit:
- Je pense que tu aimes ça. Tu vas faire la meuf pendant ces vacances pour moi et mes potes!
Ses copains m'attrapent et m'amènent dans l'autre cave. En entrant je vis un lit, recouvert d'un duvet, un jerrican d'eau et une cuvette. Le goal de l'équipe me dit:
- À poil ou on te déshabille?
Sans réaction de ma part, ils m'arrachent mes vêtements. Tâtant mes fesses, mon anus, Pierre dit:
- Il est puceau, Karim va pas s'emmerder!
Ils prirent mes vêtements, sortirent en fermant la porte à clé. Seul dans le noir, je tremblais de froid et de peur. Je m'allonge sur le lit et me recouvre du duvet. Je fus réveillé par le grincement de la porte. La lumière s'allume et je vois Karim et les autres se diriger vers moi.
- Il est déjà prêt pour nous recevoir.
- Ouais! dit Karim. Je passe le premier.
Il s'assoit sur le bord du lit, me retourne et bloque ma tête bouche contre le matelas. Je sens sa main qui touche mes fesses, des mains qui attrapent mes chevilles m'obligeant à écarter les jambes, offrant mon cul à leurs envies. Tout en tâtant mon trou, il se penche vers moi et me dit:
- Tu es puceau. Tu vas te laisser faire ou on te pénètre à sec méchamment.
Je hurle de douleur quand il m'enfonce ses deux doigts dans mon anus brutalement sans préparation ni lubrifiant. Il s'arrête:
- Tu vois ce que ça fait? Imagine nos chibres. Laisse-toi faire et nous irons doucement.
- Tu nous branleras, tu nous suceras tu avaleras tout ce que l'on crache me dit Pierre en me montrant son sexe en érection.
- Tu seras notre salope! me crie Joe en me mettant une claque sur la tête pour que je le regarde en train de se branler.
À la hauteur de mes yeux, je vois un sexe énorme (27 sur 6.5 cm). Ses poils sont abondants, très frisés, dégageant une odeur acide, faîte de relent de sperme, de pisse et de sueur, entourant une bourse gonflée contenant des boules comme des œufs. Son gland violacé crache sur ma figure un sperme épais en plusieurs jets. Je suis aveuglé par ce liquide qui coule le long de ma figure...
Grand éclat de rire général.
- Sors ta langue, récupère-le et nettoie-moi, me dit Joe en me mettant son gland entre mes lèvres.
J'hésite. Karim se met à labourer mon intimité avec ses doigts pour me forcer à obéir. J'ai mal et en même temps, j'ai envie qu'il continue.
- Salope, me crie Karim. Va jusqu'à ses boules. Après tu te frotteras le visage avec ta main et tu la lécheras.
Je les prends une par une dans ma bouche et je les suce avalant des poils de son pubis. Avec ma langue je caresse son entrejambe, la glissant sous ses testicules, remontant jusqu’à la naissance de son membre, je le sens frémir. Son sexe devient très dur.
- Oh putain! crie-t-il. J’en peux plus... Je vais me l’enculer à sec.
- Non! dit Karim. Son cul est pour moi.
- Bien! répond-il. Je vais baisser sa bouche!
Et m’agrippant par les cheveux, il glisse son pénis dans mes lèvres et commence à limer s'enfonçant jusqu'au fond de ma gorge, butant sur ma glotte. J'ai l’impression qu’il veut s’enfoncer encore plus profond, que je l’avale entièrement. Chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai envie de vomir. Je le sens grossir, m’obligeant à ouvrir au maximum ma bouche.
D'un seul coup, il jouit en gémissant de plaisir. Sa semence est âcre, salée, épaisse. J'en ai plein la bouche et je me reprends à deux fois pour l'avaler. Il rit et me dit:
- Et bien, ma salope, tu t'es régalé! Tu m’as fait jouir deux fois. Allez-y les gars, il le fait mieux que ma dernière meuf!
La nuit ne faisait que commencer Karim qui se désape et me dit:
- Je vais prendre ta rondelle. Avec douceur puisque tu participes à nos envies, comme promis. Allez les gars préparez-le!
Des mains écartes mes fesses, malaxe mon anus, des doigts s'enfoncent dans mon intimité, on y crache dessus. Karim se glisse entre mes jambes; me mordille la nuque tout en me disant:
- Décontracte toi, tu vas aimer.
- Vas-y doucement! lui dis-je.
- Sûr! Ta rondelle va aimer.
Son gland appuie sur elle de plus en plus fort. Elle cède, il s'arrête pour laisser passer la douleur. Je le sens juste dans ma rondelle qu'il dilate puis d'un seul coup il s'enfonce en moi. Je me tends, je m'accroche au bord du lit, je gigote, mais tenu par les jambes, je sens ce membre dur et conquérant me défoncer! Je suffoque. J'ai comme des coups de poignard qui remontent de mes entrailles. Karim s'immobilise pour laisser passer la douleur.
- Décontracte-toi! me dit-il. Relâche tes muscles, cambre tes reins, cool mon frère. Cool!
Il m'attrape par les hanches, me soulève légèrement le cul pour me faire cambrer les reins. J'ai l'impression qu'un pieu enflammé remonte dans mes tripes! Cette sensation est douloureuse et très excitante. Karim se met à limer lentement puis il accélère le mouvement sans tenir compte de mes crispations.
Je voudrais qu'il s'arrête, et j'ai envie qu'il continue. Mon sexe grossit et se met à bander à mort... Je gémis, et je ne sais plus si c'est sous l'effet de la douleur ou du plaisir. Dans mon cul, son pénis enfle, je sens qu'il va jouir. Moi aussi! Un flot de sperme remplit mes entrailles provoquant ma jouissance...
Je lâche ma purée dans le matelas. Il sort, s'effondre à côté de moi, haletant.
Pierre m'attrape, me retourne, écarte mes jambes en mes les relevant. Il se positionne pour me pénétrer en me disant:
- Salope, écarte bien. J’arrive!
Finissant sa phrase, d'un coup sec, il me pénètre violemment! Son sexe (20 de long et 5 de large avec un gland rose et pointu) dilate encore plus mon anus. Il s'enfonce au plus profond sans douceur. Comme un bourrin, il lime avec des petits cris de joie, entrant et sortant de mon intimité, mettant le feu à mes entrailles. Son sexe enfle, se durcit. J'ai l'impression que tout va se déchirer! J'ai mal. Des jets puissants, brûlants, remplissent mon cul, recoulent entre mes jambes.
- Quel pied! me dit Pierre. Je reviendrai!
Paco, dit l'indien, s'approche du lit en se masturbant. Son sexe est fin, long, très recourbé vers le haut. Il me regarde, m'attrape par les cheveux, m'oblige à me mettre à quatre pattes, mon cul tourné vers lui, met son sexe à l'entrée de mon anus.
Doucement, avec des gestes lents, il lime sans me pénétrer profondément, juste son gland qui rentre et sort. Il glisse facilement grâce au sperme qui continue à couler. Je le sens se raidir, prêt à jouir. Il sort son pénis et le fait glisser le long de ma raie, entre mes fesses. Ses boules cognent contre les miennes.
D'une main il pince ma fesse gauche et de l'autre il se branle. Mon dos est aspergé par un liquide crémeux, chaud.
Pause dans mon calvaire qui ne me paraît pas si terrible. Je regarde Karim; il zyeute mon sexe avec un sourire vicieux et me dit:
- Tu apprécies notre partouze. Tu en as même joui!
- Ouais! Tu as vu! Avant, il faisait des manières, après il en redemandait, marmonne Pierre.
- Tu mériterais que toute la cité te passe dessus! rétorque Joe.
- Ton cul de bourge appelle nos chibres! Finit par dire l'indien.

Ils s'en vont en refermant la cave, me laissant dans le noir plein de sperme dans le cul, sur le visage et le dos, avec son goût dans la bouche. Pour une première fois, j'ai été gâté. J'ai honte d'avoir pris mon pied avec Karim. Plus tard dans la nuit, la porte s'ouvre, la tête de José pointe. Il me regarde et me sourit:
- Toi aussi, tu as envie de me prendre. Je te croyais mon ami! Lui dis-je.
- Non! me répond-il. Je viens te chercher pour te ramener chez toi.
Sur ces mots il me tend mes habits.
- Magne-toi! me dit-il en ressortant de la cave et en partant le long du couloir.
Je m'habille à toute vitesse et je le rattrape.
Nous marchons dans l'étroit boyau qui longe les caves de la cité, vers la liberté. À la hauteur de la sortie, une main surgit de l'ombre agrippe mon épaule, pince le muscle et me force à tomber à genoux.
- Notre gazelle s'échappe! me dit une voix inconnue. Et moi qui veux la défoncer! Salope, tu ne vas pas t'en tirer comme ça!
Joignant la parole à l'acte il me donne un coup de genou en pleine poitrine. Sous le choc, je perds la respiration. José s'interpose! Il est immobilisé par une autre ombre surgie d'une cave. Un troisième larron apparaît et dit:
- Il est belliqueux le petit. Faut pas toucher à sa meuf! Tu vas voir quand Karim saura. Retournez à la «chambre».
Il me soulève par les cheveux et me traîne en me flanquant des coups au derrière. José est poussé par les deux autres à grands coups de pied.
- À poil! me dit l'inconnu. Fissa! Fissa! On a envie de te sauter. Tu es un bon garage à bite; Pierre me la dit!
- Et le faux frère? dit un autre.
- Comme sa pétasse! Répond celui qui me tient. Dans la cave il pourra la voir se faire niquer par des vrais mecs.
Je jette mes frusques au sol tandis que José se débat. Je rentre la tête basse et je vais m'asseoir sur le lit. Ils l'immobilisent, le déshabillent, jetant son survêt à côté du mien.
Il est en caleçon, traîné par les épaules, coincé entre deux étagères, puis attaché au montant, les bras en l'air, les pieds écartés, face au mur. Momo sort son couteau, le passe entre la peau de José et son caleçon, coupant les tissus pour découvrir son cul.
Il est musclé, rebondi avec une ligne de poil qui dépasse de sa raie. Je devine entre ses jambes ses boules et le bout de son pénis qui dépasse. J'imagine qu'il doit être long!
Un des mecs m'attrape d'une main par les cheveux, m'oblige à me mettre à genoux, tandis que de l'autre, il ouvre sa braguette, sort sa queue, se la caresse et vient me l'enfoncer jusqu'au fond de la bouche.
Puis il saisit mes oreilles et commence à me faire l'amour en limant vigoureusement, butant sur ma glotte. Pendant ce temps, un autre se glisse derrière moi, écarte mes fesses et me pénètre violemment à sec.
La douleur me fait serrer la bouche sur la queue de l'autre qui gémit et me file une gifle. Le troisième s'approche en se branlant, jouissant du spectacle. Ma bouche se remplit de sperme, mon cul réceptionne trois jets brûlants, et le dernier me jouit dessus. Quelle humiliation!
Celui qui m'enculait me dit:
- Lave moi! Tu ne crois pas que je vais le mettre dans mon caleçon avec les traces de ta merde. Il faut qu'il soit nickel chrome!
Il lève la main, je m'exécute pour éviter les coups. Puis, on se met devant moi et on me dit:
- Ouvre ta bouche, je vais pisser...
Je baisse la tête et je fais signe que non. Un déluge de coups sur mon sexe, mes fesses, ma tête ponctua ce refus.
- Sale fiotte, sale pute, sale pédé, me crie le meneur. Tu vas voir ce que l'on va te faire. Rick aime les culs sales. Viens ici mon petit Rick!
Je sens un souffle chaud, humide sur mes fesses.
- C'est quoi?
Je hurle en me débattant.
- C'est un doberman, me dit-on. Tu vas aimer!
- Non, non, pas ça! Hurlais-je en gigotant comme un fou pour éviter d'être monté par le doberman.
On me tire brutalement la tête en arrière. Des petits yeux porcins dans une figure mal lavée, mal rasée, avec un sourire vicieux, cruel et une haleine qui empeste la bière, me fixent.
- Arrête de gigoter. Tu vas y passer à la casserole, me dit le meneur à qui appartient cette figure de cauchemar. Sinon je vais cogner!
Il se relève, lève le bras. Une douleur vive me fait sursauter quand la laisse du chien frappe mes fesses. Son bras armé s'abat une, deux, trois, quatre fois, cinglant de plus en plus fort mon cul. La peau rouge, j'abandonne. Je ne bouge plus! Les bras ballants, à genoux j'attends la suite des événements. Le meneurs regarde ses collègues et dit:
- Il faut qu'il le branle, qu'il le suce, pour le mettre en état de l'enculer.
- Bonne idée! lui répond une voix.
- Allez, pédale, attrape son sexe et branle! me crie le meneur en amenant le doberman devant moi.
Je reste prostré tout en murmurant:
- Faites ce que vous voulez de moi. Je m'en fous!
Silence dans la cave. Sur ma gauche, celui qui s'appelle Momo dit:
- Moi je sais ce qu'il faut faire, et il attrape un manche de balai, me regarde avec un sourire sardonique.
Je me recroqueville en attendant les coups. José hurle quand le manche le frappe à la hauteur des épaules. Puis Momo le glisse entre ses jambes écartées et frappe ses couilles. José a un hoquet, se crispe.
- Arrêtez. Je fais ce que tu veux, et disant cela, j'attrape la queue de Rick et je le branle.
- Tu vois, il veut pas que on abîme son mec!
- C'est pas mon mec! dis-je.
- On dit ça! Tu rates quelque chose. Pour son âge, il est bien monté.
- Allez suce maintenant! Rick attend...
Je me glisse sous le chien et je lèche sous son sexe des couilles au bout de son pénis. Je le prends dans ma bouche et je suce. D'un seul coup, le meneur m'attrape par les cheveux et me dit:
- Mets la tête sur le sol, le cul en l'air, mon chien va prendre son pied.
J'obéis! Il pose les pattes avant du chien sur mon dos, met son sexe sur mon anus. Drôle de sensation! Il est dur, pointu, fin et très recourbé. Il me fait mal.
Il lime à une vitesse folle, mettant le feu à mes boyaux, haletant au-dessus de moi, bavant sur mon dos. Je ne prends aucun plaisir à supporter cette enculade. Au bout de quelques minutes, Rick décharge. Tous rigolent autours de moi.
Ils sortent leurs sexes et à tour de rôle me pissent dans le cul pour me laver; disent-il. Puis ils s'en vont en criant: «On va faire passer le mot. Tu auras des visites!»
Pendant un long moment, je ne bouge pas. Aucuns bruits. Je me lève, me dirige vers la porte et doucement je l'entrebâille. J'attrape nos survêts. J'enfile le mien et je vais auprès de José que je détache. Il me dit, tourné vers le mur:
- Passe-moi mes vêtements...
Il les met puis se tourne vers moi et me dit:
- Attends, je prends un marteau et je te jure que personne nous ramènera ici! Allons-y!
On sort et on marche rapidement dans la nuit noire en direction de chez moi. Arrivés devant ma maison, José me regarde et me dit:
- Pas de connerie! Tu ne parles à personne de ta nuit! Sinon gare aux représailles, pour toi et ta famille!
- T'inquiètes, je ne me venterai pas de mon aventure ni à mes parents, ni à d'autres personnes!
- Tu as pris ton pied, alors tu n'as rien à dire.
- J'ai honte et j'ai mal! De plus j'ai envie de prendre un bon bain pour me laver de tout et oublier mes faiblesses! Tu rentres chez moi?
- Si, tu ne m’en veux pas?
- Pourquoi? Tu n'es pas responsable de tes amis!
J'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain; j'ouvre les robinets, je parfume à la folie l'eau du bain. Je cours à ma chambre et je jette mes vêtements, caleçon compris, au milieu de la pièce. Je me retourne et je vois José qui me regarde faire. Surpris, je cache mon sexe avec ma main.
- T'es pressé! me dit-il en souriant.
- Plus qu'un peu, lui rétorquais-je.
- Que caches-tu avec ta main?
- Je. Je. Hébé...
- Tu sais, je t'ai déjà maté sous la douche aux vestiaires! Il me semble petit!
- Ah oui? Dis-je en rougissant.
- Tout ce qui petit est mignon!
Il s'approche de moi, me pose ses mains sur mes épaules, se penche vers ma bouche et y dépose un baiser. Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des lèvres, il me dit:
- Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'était vraiment cool.
Je le regarde en souriant et je lui dis:
- J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient!
Son sourire s'accentue, je vois ses dents briller et il me dit:
- Va te laver, je viens pour te savonner le dos...
Et joignant le geste à la parole, il commence à se déssaper. Son sexe pend le long de sa bourse, la dépassant. Sous mon regard, il commence à gonfler, à se tendre, pour former un pic.
Il s'approche de moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue fraye un passage, caresse la mienne, s'enfonce et remplit toute ma bouche. Je fonds. Je m'abandonne à ce baiser tendre et fougueux. Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, écartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les trois autres jouent avec mes couilles.
Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me lâche, je recule.
Enfin, je peux le mater: un corps fin, taillé en V; une peau fine et mate; une touffe de poil très brun décore sa poitrine entre les deux pectoraux bien dessinés mais fins; de sous ses bras jaillissent des poils frisés mi-longs.
Une ligne de duvet courre sur ses abdos pour finir dans une forêt vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boules presque rondes, lourdes. Des jambes poilues et musclées achèvent ce tableau.
Je rougis quand je m'aperçois qu'il devine mon intérêt pour son corps. Ce qui m'a empêché de débander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit: «Au bain!» Je cours me réfugier dans la baignoire.
Il arrive majestueux, ses couilles ballottant entre ses jambes, son sexe droit à moitié décalotté, le sourire aux lèvres, heureux et content de mes réactions. Il entre dans la baignoire, se glisse dans mon dos, m'enserre avec ses jambes, dépose un baiser dans mon cou.
Il prend du gel douche et commence à me frictionner le dos. Ses doigts dansent le long de mes épaules, de mes pectoraux, descendent le long des mes bras, remontent et caressent mes côtes, mes aisselles. Je m'abandonne sous l'effet de son jeu de main, rejetant la tête en arrière, m'appuyant de tout mon poids contre son corps. Je sens son membre dur.
Ses mains se remettent en mouvement le long de mes côtes, arrive au pli de mes jambes, glissent vers mon pénis. De la droite, il s'en saisit et commence à me le décalotter.
- Il faut le laver, me dit-il en faisant jaillir mon gland.
Avec un doigt, il le frotte, le glisse sous mon prépuce, titille le nerf. L'autre main cherche mes boules, les attrape, les caresse, les palpe. Quel pied! Je sens que je vais partir dans l'eau tiède du bain! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant complètement. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un suçon. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit.
- Tu as un corps d'ado imberbe avec du duvet blond.
- Je ne fais pas mon âge...
- Comme tu dis. Ton sexe est mignon.
- Tu parles, il est si petit que j'en ai honte!
Je le regarde, bandant comme un taureau en rut au pied de mon lit:
- Tu veux me faire l'amour, que je te suce?
- Non! Après tes aventures, on verra demain si tu es remis de tes émotions! Je ne veux pas t'imposer des relations que tu regretteras ou que tu ne supporterais pas.
Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agité où je rêve de mecs à poil qui m'attachent en m'écartant les bras et les jambes à quatre pattes, me défonçant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant-bras, me prenant par la nuque pour que je les avale entièrement. Je n'y arrive pas.
Une sensation me tire de mon cauchemar. Lentement j'émerge tout en me touchant: J'ai la trique et une tache blanche de foutre sur mon bas-ventre! José dort à mes côtés en chien de fusil, tourné vers moi. Il a dû se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a dû entraîner mon délire.
Curieux, je soulève légèrement le drap, je vois son pieu gonflé, dur. J'ai envie de le faire jouir! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention à ne pas le réveiller, je le caresse, je le décalotte. Sur son gland violacé, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y goûter!
Je glisse ma tête sous le drap jusqu'à son sexe, je lèche son bout, juste sur la fente, pour récupérer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes lèvres, ma langue caressant sa veine. Il grossit, occupe toute ma bouche, prêt à exploser.
Brusquement, sa main se pose sur ma tête, bloque mes mouvements. Ses jambes se soulèvent et s'écartent légèrement pour m'offrir complètement ses couilles. Il pousse ma tête vers ses boules pour que je les suce. Je m'exécute!
Je les lèche à grands coups de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes, descendant jusqu'à la naissance de son pénis. Je remonte le long de son dard. Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler entièrement. Dans un râle, il jouit à mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire.
Je déglutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionné, une goûte perle au méat. Je la récupère.
Je lève la tête et je contemple José en moitié endormi, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est posée sur son sexe. Il se met à me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma tête au creux de son épaule tout en me murmurant:
- On est bien tous les deux. Tu t'es remis d'hier?
- Oui! Dis-je en retirant ma main de son sexe.
- Laisse-là où elle est! Il est pour toi et à toi!
- C'est vrai?
- Sûr! Tu ne l'as pas compris quand j'ai craché! C’était tellement bon! Tu veux que je te fasse un aveu: c’était la première fois!
- C'est la première fois qu'on te suce? Je suis heureux que ce soit moi qui l'ai fait.
En disant cela, je me pelotonne contre lui, remets ma main sur son sexe tandis que José glisse sa jambe entre mes cuisses, caressant au passage doucement mes boules, et plonge dans un sommeil profond. Je le regarde dormir, véritable visage d'ange heureux et amoureux; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre: un pied d'enfer!

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Magnifique cinéma asiatique avec ce film cul...te


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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Attention: extrême
Ciné d'auteurs: une cruauté inouie pour un film d'une violence culte.

Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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Maryse star du porno est reprise ne main...
Devinez par qui....

 Maryse, naissance de la perversion
Suite IV
Bruno est en nage. Il doit reprendre sa respiration. Manuel se tourne vers Maryse un sourire aux lèvres qui disparaît lorsqu'il la voit. Il lui demande si tout va bien. Elle lui assure que oui mais qu'il règne dans la pièce une chaleur qui l'étouffe. Manuel lui sourit de nouveau en lui répondant un « sans doute » qui laisse entendre qu'il n'est pas dupe. Pendant ce temps, Gina applique délicatement du gel sur le petit orifice de Sophie qui est toujours penchée sur le bureau. Elle semble apprécier cette nouvelle caresse, surtout quand Gina lui enfonce un, puis deux doigts en rajoutant du gel. Gina se s'attarde pas plus longtemps et se retire de la scène.
Manuel annonce la reprise et tout le monde fait silence. Maryse espère que personne n'entend sa forte respiration. Elle a les yeux rivés sur le petit trou de Sophie qui ne va pas tarder à être envahi par le sexe de Bruno. Elle aimerait tant être à la place de la soubrette même devant tous ces gens. Elle veut se faire prendre sauvagement aussi. Elle essaie de repousser ses pensées quand elle voit le sexe investir le petit trou étroit de Sophie. Bruno va lentement mais sa progression est inexorable malgré le râle de Sophie. Une fois complètement en elle, il fait une courte pause avant d'entamer une lente sortie qui semble interminable à Maryse. Puis de nouveau, il la pénètre de toute sa longueur. Il accélère peu à peu jusqu'à être pris d'une fureur sexuelle. son bas ventre claque sur les fesses de Sophie qui peine à freiner les mouvements de Bruno. Ses seins frottent sur le bureau. son visage est crispé, ses dents sont serrées et elle râle de plaisir ou de douleur, Maryse ne saurait le dire mais elle voudrait être à sa place. Elle aimerait subir les assauts de Bruno, le sentir en elle. Bruno n'y tient plus, il se retire rapidement et Sophie se retourne face à lui le visage au niveau de son sexe. Il éjacule en poussant un cri bestial. Sophie prend trois premiers jets copieux sur le visage puis elle ouvre la bouche et deux autres jets atterrissent sur sa langue. Elle fait face à la caméra au moment ou elle avale le sperme de Bruno. Un filet blanc coule le long de sa joue pour s'écraser sur son sein. Elle le récupère du bout de son index et le suce en souriant. Maryse a le cœur qui s'emballe, le feu aux joues et une boule dans l'estomac. Elle est au comble de l'excitation. Elle n'aurait cru qu'elle pourrait prendre tant de plaisir à regarder une telle scène de débauche. Elle sent l'humidité de son sexe libre de toute entrave couler légèrement sur ses cuisses.
Manuel reçoit un bref coup de téléphone et annonce que Sergio arrive d'ici quelques instants. Il se rapproche de Maryse et lui demande de l'accompagner dehors quelques instants pour prendre l'air. Elle accepte avec joie.
— Vous aviez besoin d'un peu d'air frais, dit-il en souriant.
Il l'observe puis il s'arrête de marcher :
— Maryse... ne vous sentez pas offensée de ce que je vais vous proposer... Aimeriez-vous faire un petit essai devant la caméra ?
— Moi ? Devant la caméra... mais je... non ... enfin... et si quelqu'un me reconnaissait... vous n'y pensez pas...
— Vous pouvez tourner masquée.
Il lui fait un petit clin d'œil.
— Laissez-vous tenter. Je pense que cela vous plaira... ne dites pas le contraire, tout votre corps parle pour vous et puis la paye est bonne. Je vous laisse y réfléchir quelques instants, je dois voir quelques détails avec Jeannot.
Maryse ne le voit pas partir. Elle reste seule dans le jardin. Elle se repasse la discussion plusieurs fois en tête. À nouveau des sentiments opposés la partagent. Une mère de famille à la réputation irréprochable ne peut pas se permettre d'accepter, elle n'aurait jamais du se retrouver ici d'ailleurs.
Irréprochable ? Depuis quelques semaines, sa vie a basculé dans la luxure. Elle n'est plus du tout l'oie blanche qu'elle était avant de pénétrer dans cette déchetterie. Elle a découvert une face de sa personnalité qui l'effraie et l'attire en même temps. Elle a envie de céder à ses instincts sexuels, ses tabous sont de plus en plus ébranlés. Elle se trouve sur le tournage d'un porno, dans une tenue à la limite de la décence. Elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle est déjà allée trop loin pour refuser de continuer. Le cœur battant, les joues en feu, elle rentre dans la maison pour accepter l'offre de Manuel.
— Manuel ? Je peux vous parler un instant ?
— Mais bien sûr Maryse.
Elle l'entraîne un peu à l'écart sous le regard amusé des acteurs et de l'équipe technique.
— J'accepte, mais à plusieurs conditions. Je ne veux pas qu'on puisse me reconnaître, je porterai un masque comme vous l'avez suggéré. Je ne veux pas que mon nom apparaisse et je souhaite un rapport protégé.
— Aucun problème. Vous serez donc masquée, pour le rapport protégé cela va de soi. Si toutefois vous vouliez continuer à tourner, je vous demanderai un test de dépistage complet. Ensuite, votre nom n'apparaîtra pas, mais je vous suggère un nom de scène... pourquoi pas Annabella ?
— Oui... Annabella... ça me plaît... je suis terriblement anxieuse.
— Vous allez vous en sortir. Avant qu'on ne commence, est-ce qu'il y a des pratiques qui vous dérangent.
— Je... non je ne crois pas... enfin je ne sais pas...
— Bon nous verrons cela au fur et à mesure. Sophie ? Pourrais-tu aider Annabella à se préparer. Tu lui trouves un masque pendant que je vais réfléchir à la scène.
— Mais oui avec plaisir.
Sophie s'approche d'Annabella et la prend par la main pour la conduire dans la pièce voisine. Elle se mordille la lèvre inférieure sensuellement en la regardant.
— Alors tu as décidé de te lancer ? Hummm, tu ne vas pas être déçue. Tu vas commencer avec Sergio je pense. Tu vas voir, il est monté comme un âne. Il peut être un peu ... son*son** mais c'est si bon avec lui. Je pense qu'il va falloir que je te prépare à l'accueillir. Installe-toi confortablement sur ce canapé.
Annabelle s'assoit, mais n'ose pas ouvrir ses cuisses. Elle n'a jamais montré son intimité à une autre femme.
— Écarte les cuisses ma jolie... Ohhh, mais tu ne portes pas de culottes ! Je savais que tu étais une vicieuse. Tu aimes te donner des sensations fortes. Tu es toute trempée...
Sophie lui caresse doucement les lèvres intimes recouvertes par un duvet sombre. Elle effleure de ses doigts son clitoris qui est tendu par l'excitation. Ses lèvres sont toutes ouvertes, prêtes à accueillir n'importe quoi pourvu que cela leur apporte du plaisir. Maryse sent un frisson la parcourir des pieds à la tête. Elle se laisse aller à l'extase de cette simple caresse.
Sophie est consciente de l'effet qu'elle a sur Maryse. Elle ressent une certaine fierté et son désir pour cette femme augmente à mesure qu'elle voit les indices de son excitation. Les pointes des seins de Maryse dardent à travers le tissu. son sexe coule à flot autour de ses doigts. Elle la pénètre d'un doigt. Elle sent la chaleur et l'humidité de son sexe autour de son doigt. Elle trouve une petite zone plus rugueuse non loin de l'entrée de ce sexe béant qui fait immédiatement réagir Maryse. Elle se tend et pousse un long gémissement de plaisir. Sophie n'en revient pas de la réactivité de cette femme offerte. Elle aimerait pousser l'exploration de ce corps plus loin mais il faut qu'elle la prépare pour sa rencontre avec Sergio.
Maryse l'observe dans un semi brouillard de conscience. Elle est dans un état second.
Les doutes et les appréhensions ont disparu. Elle voit Sophie saisir un tube de lubrifiant qu'elle fait couler entre ses fesses. Ses doigts ramènent le gel au niveau de son œillet et l'étale tout autour. L'intimité de cette zone encore vierge il n'y a pas si longtemps la rend très sensible aux caresses. Elle sent un doigt la pénétrer sans effort, puis un deuxième ramenant encore plus de gel en elle. Elle écarte au maximum ses jambes pour permettre à Sophie de la pénétrer au plus profond. Sophie prend visiblement autant de plaisir qu'elle mais elle est obligée de s'arrêter. Manuel les surprend et le sourire aux lèvres leur dit que tout le monde est prêt. Il tend à Maryse un masque vénitien décoré de petites plumes et de paillettes dorées.
— Maryse... euh, Annabella pardon, je vais vous expliquer comment va se passer la scène. Vous allez entrer par cette porte quand on vous fera signe. Vous porterez votre masque et vous annoncerez que vous êtes le cadeau promis par Rafael. Il a fallu que je trouve quelque chose rapidement pour être raccord avec les autres scènes. En entrant vous surprendrez Sergio en mains avec Sophie et Gina. Les filles, vous laisserez votre place à
Annabellequi lui fera une pipe. Sergio, tu te laisses aller sur les insultes. Ensuite, tu la placeras sur le bureau et en lui tenant les jambes, tu la besognes. D'après ce que j'ai vu elle est prête à en prendre plein les fesses, donc tu lui feras aussi les honneurs. Et tu finis par lui éjaculer sur le ventre. Les filles vous la caressez en même temps. Tout le monde a compris ? Alors en place.
Maryse est soudain prise d'une sorte de trac. Sa respiration est difficile mais elle se refuse à reculer. Elle passe derrière la porte. Elle entend sans comprendre les dialogues derrière la porte. Et puis c'est à elle d'intervenir. Elle met son masque et après avoir frappé à la porte, elle entre les jambes flageolantes. Elle reste un instant tétanisée par la scène qu'elle voit.
Sergio est debout, face à elle. son sexe est comprimé entre les bouches voluptueuses de Sophie et Gina qui s'arrêtent. Maryse se reprend et dit son texte comme elle peut. Au signe de Sergio, elle approche. Il la prend par les cheveux, l'oblige à mettre sa tête en arrière pour l'embrasser. Sa langue omniprésente, lui fouille la bouche. Il s'arrête et la fait se reculer un peu. Il lui lâche les cheveux et agrippe son haut pour le tirer vers lui, libérant ainsi les deux seins volumineux de chaque côté du tissu. Il s'en empare pour les pétrir.
Maryse n'avait pas vu la caméra jusqu'à présent. Mais elle sent la présence de Jeannot et de sa caméra. Puis elle sent le regard de toute l'équipe technique sur elle. La honte de se livrer à la caméra et aux regards de ces inconnus décuple son plaisir. Elle sent les deux actrices lui caresser les jambes et s'insinuer sous sa jupe pendant que Sergio lui pétrit les seins. Il la reprend par les cheveux et l'oblige à s'agenouiller devant lui.
Elle fait face à un sexe monstrueusement volumineux. Il est un peu plus court que celui de Bruno mais il est nettement plus large. son gland est encore recouvert mais il ne demande qu'à s'échapper. Les bourses de l'acteur sont volumineuses et complètement imberbes. son corps est musclé et luisant de sueur.
Elle caresse d'abord ses abdominaux saillants puis descend vers son sexe puissant. Elle le prend en main délicatement puis le serre pour le décalotter. Le gland apparaît maintenant violacé et fuselé. Elle le branle quelques instants. Gina déchire un petit sachet rose. Elle présente le préservatif à Maryse qui le place sur le gland avant de le dérouler interminablement sur toute sa longueur.
Elle le lèche, puis elle prend le gland autour de ses lèvres et joue avec sa langue sur le pourtour. Sergio grogne, la prend par les cheveux et lui ordonne de le sucer profondément comme une salope. Il l'oblige à avaler la moitié de son sexe.
Le volume de ce sexe déclenche chez Maryse une envie irrésistible de le satisfaire. Elle reprend sa respiration, puis elle le suce bruyamment en essayant d'en prendre le plus possible en bouche. Sergio continue de la tenir par les cheveux en grognant des insanités. Maryse est déchaînée. Les filles aussi la traitent de putain, de bouffeuse de bite. Plus elle entend ces insultes, plus elle se déchaîne. Le regard de l'équipe la galvanise.
Soudain Sergio la tire de nouveau par les cheveux. Il la soulève presque pour la coucher sur le bureau. Il lui écarte les jambes en V, ce qui achève de remonter totalement sa jupe. Sans attendre, il la pénètre d'un coup jusqu'à ce qu'elle sente des bourses s'écraser contre ses fesses.
Elle hurle sous l'assaut de Sergio qui lui empoigne les seins pour la pénétrer de plus belle. Ses mouvements sont puissants. son sexe l'envahit totalement et butte à chaque coup au plus profond. son visage est crispé. Elle sent les mains des actrices sur tout son corps. Gina lui fait sucer ses doigts pendant que Sophie lui caresse le clitoris. Sergio continue à la pénétrer sans relâche. Il lui tient maintenant les jambes pour permettre à la caméra de prendre des plans rapprochés de son intimité.
Elle se rend compte que tout le monde pourra la voir, que certains s'exciteront sur sa vidéo... et cela achève de la faire jouir une première fois. Elle se tend en se cambrant. Elle ne peut plus respirer alors que la vague de plaisir la transperce inexorablement. Puis elle se laisse aller, en gémissant. son sexe est trempé, les pénétrations successives de Sergio produisent des clapotis indécents. Gina lui suce un sein alors que les doigts de Sophie s'activent toujours sur son clitoris.
Elle ressent soudain un grand vide alors que Sergio se retire.
Puis, sans lui laisser le temps de se reprendre, il pousse son énorme sexe à l'entrée de son petit orifice. Elle n'a pas l
e temps de paniquer, juste de gémir plus fort alors qu'elle sent le sexe s'enfoncer et l'envahir peu à peu. Il se retire totalement pour reprendre sa pénétration plus profondément. Ses dernières résistances lâchent et Sergio l'envahit totalement.
Elle ne sait plus si elle souffre ou si elle jouit de plaisir. Les doigts de Gina la rendent folle et elle se sent totalement livrée au sexe de Sergio et à la caméra. Il accélère le mouvement. Elle est violemment secouée par les pénétrations. Ses seins ballottent en tout sens. Elle s'agrippe aux bras des filles qui continuent à la caresser. Gina pénètre frénétiquement son sexe de deux doigts alors que Sergio continue telle une machine, à la sodomiser. Elle n'arrive pas à crier, mais elle gémit et grogne son plaisir.
Quand elle sent les doigts de Gina frotter en elle, une seconde vague de plaisir manque de lui faire perdre connaissance. Sergio n'en peut plus, il arrache le préservatif et jouit abondement sur le ventre de Maryse. Une bonne quantité de semence arrive sur le tissu de son haut alors que le reste coule sur son sexe et ses cuisses. Sophie et Gina prennent la place de Sergio et s'appliquent à lécher les traits de sperme, lui apportant encore un peu plus de plaisir.
Maryse est épuisée par la scène. Manuel la rejoint et lui dit que c'était fantastique et criant de vérité. Elle se redresse et essaie de remettre un peu d'ordre dans sa tenue. son top est maculé de sperme. Elle tire sur sa jupe pour la remettre en place et recouvrir son sexe béant et trempé ainsi que ses fesses. Elle sent une douce souffrance au niveau de son petit trou. Manuel l'accompagne jusqu'à l'écran de contrôle pour lui montrer la scène. Maryse a peine à croire ce qu'elle voit. Elle est déchaînée sur cette vidéo. Elle se voit jouir et en redemander.
La caméra a filmé au plus près et elle voit les ravages que le sexe de Sergio a faits sur son petit trou qu'elle voit béant, rouge et luisant. Un nœud a l'estomac, elle demande si elle peut avoir une copie. Manuel lui répond en souriant qu'il lui enverra un exemplaire du film. Elle accepte sans trop y penser. Puis Il lui fait un chèque pour sa participation et lui donne son numéro de téléphone.
Sophie s'approche d'elle et lui propose de la raccompagner ce que Maryse accepte avec joie. Sophie lui demande quelques instants, le temps qu'elle se change. Elle réapparaît peut de temps après habillée d'un jeans serré, d'un tee-shirt lui moulant avantageusement la poitrine, de bottes à talons aiguilles et d'une petite veste en jean assortie.
Maryse la suit jusqu'à sa voiture, une mini-cooper. Quand elle s'assoit, elle ressent un gêne entre ses fesses, mais cette sensation lui plaît et lui rappelle l'expérience intense qu'elle vient de vivre devant la caméra.
— Alors je t'emmène où ma cocotte ?
Après cette journée Maryse est épuisée. Elle accepte avec joie la proposition de Sophie de la raccompagner. Il faut qu'elle récupère sa voiture restée au centre-commercial. Maryse n'arrive pas vraiment à réaliser ce qu'elle vient de faire. Pourtant, la gêne qu'elle ressent au niveau de son petit trou est bien réelle.
Elle est honteuse d'avoir cédé à ses pulsions. Et si son mari et ses enfants découvraient ce qu'elle a fait... mais ces craintes n'atténuent pas le plaisir qu'elle a ressenti d'être filmée alors qu'un inconnu la prenait sauvagement.
Pendant le trajet, Sophie lui parle de sa vie, de son petit ami du moment. Maryse lui pose quelques questions et Sophie semble ravie de son intérêt. Elles arrivent sur le parking désert du centre-commercial, retrouvent la voiture de Maryse. Sophie se gare juste à côté.
— Voilà, tu es arrivée...
Sophie lui sourit, ses yeux sont pétillants. Maryse ne sait plus trop quoi faire. Elle doit prendre sa voiture, rentrer chez elle et redevenir la petite femme sage qu'elle était. Mais Sophie exerce une sorte d'attirance, elle représente la liberté et l'interdit. Sophie prend cette hésitation pour un indice de l'attirance que Maryse éprouve. Elle lui prend une main et la pose tendrement sur sa poitrine généreuse. Le contact électrise Maryse. Elle en a la chair de poule. Ses yeux sont rivés dans ceux de Sophie qui caresse doucement le visage de Maryse. Elle s'approche doucement et elle embrasse Maryse tendrement.
Cette dernière est tout d'abord paralysée mais sa bouche s'entrouvre légèrement. La langue de Sophie profite de cet abandon pour explorer doucement la bouche de Maryse. Leurs langues ne tardent pas à s'entremêler. La main posée sur la poitrine de Sophie exerce d'abord de légères pressions puis elle profite pleinement de la générosité de cette poitrine. Elle sent le téton durcir sous ses caresses. Après quelques instants, Maryse repousse légèrement Sophie qui lui sourit tendrement. Ses yeux pourtant semblent affamés. Elle la désire ardemment. Maryse éprouve une attirance pour cette femme si sûre d'elle, si libre mais elle n'est pas encore prête. Elle tente de lui expliquer ce qu'elle ressent, mais elle se perd, elle n'arrive pas à exprimer ses sentiments. Tout est confus. Sophie lui prend la main et lui susurre des paroles apaisantes. Elle fouille dans son sac et en sort une petite carte.
— C'est mon numéro, n'hésite pas à m'appeler à n'importe quelle heure. Je comprends. Ne dis plus rien.
Elle lui dépose un dernier baiser sur la bouche et la laisse partir.
Maryse monte dans sa voiture, elle est toute fébrile. Ses gestes sont incertains. Elle lance un dernier regard à Sophie qui lui sourit toujours avant de démarrer sa voiture. Sur le trajet, elle repense à cette soirée incroyable qu'elle vient de passer. Elle essaie de se souvenir du moindre détail.
Certains moments sont plus forts que d'autres comme ce vieil inconnu qui lui a peloté les fesses dans le centre commercial, les remarques des petits jeunes qu'elle a croisés, le tournage bien que ce moment soit assez flou et surtout ce dernier baiser de Sophie...
Heureusement, elle arrive chez elle au milieu de la nuit. Les risques d'être aperçue avec sa mini jupe et son haut souillé de sperme sont minimes mais suffisants pour la rendre nerveuse. Elle se rend compte, à sa plus grande honte, que cette situation l'excite. Après avoir vérifié que personne ne pouvait la voir, elle se précipite chez elle. Il lui semble qu'elle met une éternité à ouvrir la porte. Une fois à l'intérieur, elle prend quelques instants pour récupérer. son cœur bat à toute vitesse.
Elle peut s'observer dans le miroir de l'entrée. L'image qu'il lui renvoie est loin de celle de la femme sage qu'elle se prétendait être il y a quelques semaines. Elle aurait même été choquée de croiser une telle femme... mais aujourd'hui, elle se trouve dans un tout autre état d'esprit, elle a perdu le contrôle de ses envies. Elle se trouve outrageusement excitante et sexuelle.
Elle se dirige vers la salle de bain, aspirant à prendre une douche pour se calmer avant d'aller se coucher. Elle retire ses vêtements tout en s'observant dans le miroir. Elle se tourne et tente d'apercevoir son petit trou qui continue de la gêner. Elle est surprise de constater qu'il s'est refermé bien qu'il soit encore rouge de l'assaut qu'il a subi.
La douche lui fait le plus grand bien. Elle passe ses mains sur tout son corps. Elle insiste sur son intimité, ce qui lui procure de nouvelles sensations. La fatigue la pousse à aller se coucher sans prendre le temps de mettre sa chemise de nuit. Elle savoure sa nudité un moment avant de s'endormir.
Après une nuit agitée par des rêves érotiques, Maryse se réveille en fin de matinée. Elle commence sa journée par une nouvelle douche. Étant toute seule, elle décide d'en profiter pour rester nue. Le fait de s'occuper de l'entretien de la maison toute nue lui procure des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées.
Elle grignote devant la télé qu'elle éteint au bout d'un moment tant la pauvreté des programmes l'exaspère. Elle s'installe dans le canapé pour lire une revue, elle apprécie ce moment de quiétude qui est soudain dérangé par la sonnerie du téléphone. C'est son mari qui l'appelle. Cela lui fait tout drôle de lui répondre alors qu'elle est toute nue. Il lui annonce qu'il sera de retour le lendemain. Maryse cache sa surprise, son déplacement devait être plus long.
Après avoir raccroché, elle sent son cœur s'accélérer. Les souvenirs de ses dernières aventures lui reviennent à l'esprit, elle en est honteuse. Elle se dit qu'il faut absolument qu'elle arrête ses écarts de conduite. Elle rentre dans sa chambre, en vérifiant que ses derniers achats sont bien cachés, elle ressort le gode qu'elle n'a pas encore essayé.
Elle glisse les doigts dessus, la texture ressemble à s'y méprendre à la peau humaine. Il est assez lourd, sa longueur et son diamètre lui rappellent le sexe de Sergio. Elle sent son sexe s'humidifier.
Elle se mordille les lèvres hésitant à aller plus loin.
Que fait-elle de ses résolutions ?
Elle ne fera rien de mal en se donnant du plaisir... Elle réussit à résister à ses pulsions. Elle est très fière d'elle. Le reste de la journée passe assez vite entre ses différents préparatifs pour le retour de son mari, le rangement et ses envies qu'elle repousse courageusement.
La journée du lundi passe très vite. Elle a quelques dossiers à traiter qui lui demandent toute son attention. Elle éprouve tout de même une certaine appréhension en pensant à son mari. Se rendra-t-il compte de quelque chose ? Est-ce qu'elle pourra lui cacher ses aventures ? Va-t-elle lui avouer ses débordements ? Non, il ne doit rien savoir ! Jamais...
Elle quitte le travail le ventre noué. Arrivée chez elle, elle commence à préparer le repas comme elle l'a toujours fait auparavant. Rien dans son attitude ne doit la trahir. De toute façon c'est fini, elle ne cédera plus. Il faut qu'elle se débarrasse de son gode... dommage, se dit-elle, qu'elle ne l'ait jamais essayé. Elle le range au plus profond de son armoire sous une pile de vêtements.
son mari rentre exténué de son voyage d'affaire. Il lui raconte en détail tout ce qu'il a fait, ses relations avec les clients, les accrochages... Elle a du mal à se concentrer sur son récit. Elle culpabilise de son attitude pendant son absence et elle culpabilise encore plus de ses envies toujours présentes. son mari ne tarde pas à aller se coucher, s'excusant de la laisser s'occuper de tout mais il est vraiment fatigué et il ne rêve que d'une bonne nuit de sommeil.
Maryse au même moment essaie de repousser les visions érotiques voire pornographiques qui ne cessent de s'imposer à elle. Alors qu'elle fait la vaisselle, elle est honteuse de toutes ses pensées. Elle est mariée, mère de famille. Comment peut-elle agir ainsi ? Elle essaie d'oublier tout cela en allant se coucher. Une fois encore le sommeil tarde à venir. son mari dort déjà à côté d'elle alors qu'elle revoit les images de ses dernières aventures. Elle en ressent encore une gêne entre ses fesses. Elle finit par s'endormir.
La routine reprend dès le lendemain. Elle prépare le petit déjeuner pour son mari qui le dévore en quatrième vitesse avant de se précipiter au travail. Elle finit de se préparer en optant pour une jupe longue, un chemisier, des dessous et des talons. son miroir lui renvoie l'image d'une femme sage. Elle se dit qu'elle pourrait pimenter légèrement sa journée en omettant de mettre sa culotte. Elle ne fait rien de mal, personne ne s'en rendra compte. L'idée de se promener nue sous sa jupe lui procure déjà un certain plaisir accompagné d'un léger sentiment de culpabilité vis-à-vis de son mari qu'elle repousse en se disant qu'il ne se passera rien de répréhensible.
À son bureau, elle ressent une certaine peur à l'idée que quelqu'un pourrait se rendre compte de son audace, mais elle constate que cela l'excite aussi. Elle a l'impression que tout le monde peut deviner sa nudité. Elle a remarqué le regard de certains hommes sur son corps.
Auparavant elle n'accordait pas la moindre importance à ce genre de regard, elle en ressentait tout au plus du dédain. Maintenant ces regards lui donnent un indice du désir qu'elle provoque et cela l'excite. Au cours de la journée, la température augmentant, elle a défait les deux premiers boutons de son chemisier, dévoilant la naissance de ses seins tout en restant tout à fait décente.
Son chef qui n'est pas le dernier à se rincer l'œil, est venu la voir à plusieurs reprises sous prétexte de lui demander des éléments sur tel ou tel dossier. Elle a bien vu que son regard était plus souvent plongé dans le décolleté de son chemisier que sur ses notes.
Elle ressent une très grande excitation à se dévoiler ainsi et à provoquer le désir autour d'elle.
Maryse est totalement excitée en fin de journée. Elle rentre chez elle, se met à l'aise pour attendre son mari. Ce dernier rentre une bonne heure plus tard. Il est toujours autant préoccupé par son travail qui lui prend toutes ses ressources. Cette période est très stressante pour lui, se dit Maryse.
Elle voudrait lui faire l'amour mais il n'est visiblement pas en état et elle a peur de faire le premier pas. C'est toujours lui qui était en demande, elle a peur qu'il se rende compte de ce qu'elle est devenue si elle se jette sur lui. Elle ne veut pas éveiller le moindre soupçon. Cette prudence nécessaire la frustre énormément.
Le lendemain, à nouveau elle prépare le petit déjeuner pour elle et son mari qui s'empresse une fois de plus de le finir pour partir à son travail. Maryse sent la frustration l'envahir. Elle décide comme la veille de ne porter aucune culotte. Elle a besoin de ces sensations pour se sentir vivre malgré la honte et la culpabilité qu'elle peut éprouver. son envie est plus forte.
Elle choisit une jupe plus courte arrivant à mi-cuisse, un haut moulant sous lequel elle ne met pas de soutien-gorge et des talons qui améliorent sa cambrure. En s'observant dans le miroir, elle hésite. son reflet lui renvoie l'image d'une femme sensuelle et sexy. Elle ne peut pas aller à son travail dans cette tenue. Et pourquoi pas ? se dit-elle. Elle a le droit d'être sexy et elle n'est pas indécente.
Dès son arrivée, elle se rend compte qu'elle ne passe pas inaperçue. Les hommes la dévorent des yeux. Cela lui plaît énormément et elle sent l'excitation monter. Ses tétons durcissent et tendent le tissu de son haut moulant. Personne ne peut les ignorer. Elle se dit qu'elle a été trop loin, mais elle ne peut plus reculer et n'en a pas la moindre envie.
Elle se réfugie dans son bureau. son chef n'a de cesse de venir lui poser des questions comme la veille. Il a du mal à cacher son intérêt pour sa poitrine. Elle a honte de son comportement mais son corps la trahit. Elle se sent mouiller, elle espère que cela ne marquera pas sa jupe, ce qui serait le comble de
la perversité.Ses tétons sont plus durs que jamais. Elle est obligée de se rendre à l'évidence, elle est une fois encore excitée de se montrer ainsi.
En fin de matinée, son chef lui annonce qu'il faut qu'elle retourne à la déchetterie. Cette fois-ci, il l'aidera à charger sa voiture. Elle se doute que ce vieux cochon veut profiter encore un peu de la vue qu'elle lui offre. Elle est agacée de devoir retourner à la déchetterie. Elle ne comptait pas revoir M. Francis.
Cette perspective la panique un peu car elle se trouve dans une tenue très suggestive qu'il va prendre pour une invitation. Elle reprend confiance en se disant qu'elle a le choix, que c'est elle qui décide et elle est déterminée à ne plus tromper son mari. Ce qu'elle a fait ces dernières semaines ne doit plus se reproduire.
Son chef remplit sa voiture de vieux cartons. Elle se demande s'il n'a pas fomenté tout cela pour continuer à l'observer, ce qu'il fait dès qu'il le peut. Il ne se cache même plus. Il regarde directement ses seins. Elle décide de l'exciter encore un peu plus en se cambrant bien pour les faire ressortir. Elle se dit que le pauvre homme va faire une syncope tant il est rouge. Cela l'amuse et l'excite de voir l'effet qu'elle produit sur son chef.
Une fois la voiture chargée, il bredouille un remerciement pour le détour qu'il l'oblige à faire. Elle ne daigne pas y répondre. Elle monte en voiture et se dirige vers la déchetterie.
Son assurance diminue à mesure qu'elle s'en approche. Arrivée à l'entrée, elle est paniquée à l'idée de revoir M. Francis. Elle arrive avant la fermeture, il n'y a qu'elle sur le site. Elle se gare devant la benne à papier. Elle décharge les vieux dossiers. Elle sursaute en entendant derrière elle la voix de M. Francis :
— Alors tu t'es décidée à revenir. Tu m'as fait attendre, c'est pas bien ça. Tourne-toi et regarde-moi !
Maryse est pétrifiée. L'adrénaline lui parcourt le corps. Lentement, elle se tourne pour lui faire face sans oser le regarder.
— Je suis certain que tu es toute excitée, salope. Tes gros tétons ne demandent qu'à se montrer. La vache ils tirent tellement le tissu qu'on dirait qu'il va se déchirer ! Tu me fais sacrément bander !
Maryse lève les yeux vers l'entrejambe de M. Francis et elle constate que son bleu de travail est déformé par l'érection de sa verge. Elle sent son propre sexe mouiller à cette vision. Elle devrait pourtant se révolter d'être traitée ainsi par cet homme malsain mais comme les premières fois, elle est trop excitée par la situation. Si son mari la voyait ainsi, elle en mourrait de honte.
— Tu m'attends là ! Je vais fermer le portail. J'ai pas envie qu'on vienne nous déranger, je vais bien m'occuper de toi !
Il se dirige vers l'entrée. Elle pourrait remonter dans sa voiture et quitter cet endroit sordide mais au lieu de cela, elle lui obéit et reste à l'attendre sans bouger. Elle a honte de son attitude mais c'est plus fort qu'elle, cet homme exerce une telle influence sur elle. Elle le détaille de loin alors qu'il ferme la grille. son bleu de travail est maculé de tâches. Il n'est pas très attirant mais elle trouve qu'il se dégage de lui une assurance irrésistible.
Quand il revient, elle baisse de nouveau les yeux. Elle est restée alors qu'elle aurait pu décider de partir. Sa respiration s'est accélérée, elle se sent envahie d'une chaleur presque étouffante. Elle peut encore fuir, mais une partie d'elle refuse de bouger.
— Nous ne serons plus dérangés ! Maintenant enlève tes fringues.
Maryse regarde autour d'elle. Elle suffoque presque. Elle n'est pas à l'abri des regards, quelqu'un pourrait l'apercevoir de la route. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'obéir au désir de M. Francis.

C'est toujours pas fini....

Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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Ou notre chère salope se soumet à son mentor.
Ce qui lui porte chance...

Maryse, naissance de la perversion
Suite V
Elle enlève son haut, libérant sa plantureuse poitrine. M. Francis l'observe sans bouger, un petit sourire de satisfaction au coin des lèvres. À chacun des mouvements de Maryse, sa poitrine se balance. Ses tétons dardent au maximum, ils sont très sensibles. Elle défait maintenant sa jupe et M. Francis ouvre grand les yeux sous la surprise de voir qu'elle ne porte aucun sous-vêtement.
— Eh bien ma petite salope, tu te balades le cul à l'air maintenant. T'as besoin de te faire baiser on dirait. T'as bien fait de venir me voir. Allez suis-moi, on va se mettre bien peinards chez moi.
Elle est contrainte d'abandonner ses vêtements sur place pour le suivre. Elle garde ses talons. Elle est très excitée d'être nue, le risque qu'on l'aperçoive lui fait peur et en même temps décuple ses sensations.
Elle le suit dans l'allée en savourant les caresses de la brise sur sa peau. Elle est dans un état second. Elle est assaillie de sensations. son cœur se fige en entendant une voiture passer au loin sur la route, le conducteur l'a certainement vue. Elle n'ose pas regarder en arrière de peur qu'on la reconnaisse.
Même si elle en a honte, elle adore s'offrir ainsi. M. Francis a accéléré le pas. Il prend de l'avance sur elle. Elle n'ose pas aller plus vite, chacun de ses pas fait ballotter ses seins. Il entre précipitamment dans sa caravane pour en ressortir peu de temps après, un appareil photo à la main.
Il prend des clichés de Maryse au milieu des vieilles carcasses de voitures. Il y prend un immense plaisir. Maryse en voyant l'objectif sent une décharge d'adrénaline la traverser. Elle ne résiste pas longtemps et s'abandonne à son photographe.
Elle prend d'elle-même des poses suggestives, d'abord timide cachant au mieux ses seins et son intimité puis de plus en plus osées. Elle se tourne et se penche sur le capot d'une carcasse en se cambrant au maximum. M. Francis prend des photos en continu, grognant son approbation. Il lui en demande plus, la traite de tous les noms. Cela rend Maryse complètement folle.
Elle s'abandonne de plus en plus lui donnant tout d'elle-même. Elle lui présente sa poitrine, se serre les seins pour faire ressortir encore plus ses tétons déjà tendus. Le plaisir qu'elle prend à s'offrir ainsi la fait gémir. Plus rien n'existe que son plaisir et l'objectif.
M. Francis rentre de nouveau dans la caravane, elle commence à le suivre. Arrivée à la porte, il en ressort et lui tend un long manteau.
— Tiens mets ça. Tu vas m'emmener chez toi.
Maryse reprend conscience. Elle ne peut l'emmener chez elle, c'est de la folie. Si son mari la trouvait avec lui ce serait la fin de tout. Mais quelque chose la pousse à prendre le manteau et à le revêtir. Elle est terrifiée par ce qu'elle fait mais ne peut s'arrêter. Elle marche devant lui le manteau serré à la taille. Elle l'entend prendre de nouvelles photos.
— Ramasse tes affaires et mets-les dans le coffre.
Elle en profite pour lui offrir une pose des plus sexy, penchée dans le coffre, les jambes écartées et bien tendues alors qu'elle range ses affaires. Il prend de nouvelles photos, puis il s'approche et elle sent ses mains se poser sur ses hanches. Il soulève son manteau et lui caresse les fesses. Elle s'abandonne en gémissant.
Ses mains rudes parcourent ses fesses et leur sillon. Elle soupire. Il s'agenouille derrière elle et elle sent son visage mal rasé se poser sur sa peau. Il écarte ses fesses et sa langue lui parcourt le sillon. Elle crie presque en sentant cette langue humide l'explorer.
Il lèche avidement sa chatte trempée. Il la lèche de son clitoris à l'entrée de sa grotte. Il se délecte de ce fruit juteux. son doigt caresse l'entrée du petit trou alors qu'il enfonce au plus profond sa langue dans le sexe baveux de Maryse. Il accélère les mouvements de sa langue en s'attardant sur le clitoris de Maryse qui gémit de plus en plus.
Elle se tend alors qu'elle sent un doigt lui pénétrer l'anus. Il le tourne en elle, la faisant gémir longuement. La langue de M. Francis s'acharne sur son clitoris et sa jouissance éclate dans un cri perçant. Elle a peine à se tenir debout tant sa jouissance l'a vidée de son énergie. M. Francis se relève, le visage mouillé. Il prend quelques clichés supplémentaires de Maryse le manteau relevé, la chatte trempée.
— Allez, emmène-moi chez toi maintenant. J'ai envie de voir où tu crèches.
Elle se met au volant, elle est encore bouleversée par sa jouissance. Elle n'arrive pas à se raisonner. son manteau s'écarte laissant apparaître le galbe de ses cuisses. Si elle n'y prend pas garde, elle risque de dévoiler son intimité.
M. Francis reprend quelques photos avant de monter en voiture et lui demande de démarrer. Ils quittent la déchetterie après qu'il ait refermé la grille. Sur la route, elle est dans un état d'excitation extrême. Malgré la tension qui la tenaille, elle est libérée de tous ses tabous. Elle sait qu'elle sombre à nouveau dans la luxure, elle en aura des remords mais aucun regret.
Elle s'arrête à un feu rouge à côté d'un motard. Tout d'abord il ne remarque rien, mais quand M. Francis écarte un peu plus les pans du manteau de Maryse, il s'aperçoit qu'il a une vue plongeante sur le sexe de cette femme. La surprise ne l'empêche pas d'en profiter au maximum.
M. Francis caresse maintenant le sexe humide de Maryse qui n'ose pas tourner la tête. Elle regarde fixement le feu en ressentant les doigts de M. Francis lui procurer des frissons. Elle a honte de se montrer ainsi mais elle adore cela. Le motard a relevé sa visière pour profiter au mieux du spectacle.
Maryse se trémousse sous les caresses appuyée de M. Francis sur son clitoris qui darde outrageusement. Quand le feu passe au vert, Maryse démarre laissant le motard en plan. M. Francis abandonne ses caresses pour la laisser se concentrer sur sa conduite. Il ne parle pas durant le trajet la laissant à toutes ses interrogations et ses doutes.
Elle est terrifiée à l'idée d'être surprise avec M. Francis par des voisins. Elle gare sa voiture ; heureusement elle n'aperçoit personne à cette heure-ci. Elle se précipite vers la porte d'entrée suivie de M. Francis qui n'a pas oublié son appareil photo.
Ils rentrent dans la maison. Il fait le tour du rez-de-chaussée. Elle n'arrive pas à croire ce qu'elle est en train de faire, elle a amené chez elle ce pervers.
Il visite le salon en faisant le tour des photos de famille exposées ici et là. Elle est restée dans l'entrée sans oser bouger. Quand il repasse devant elle, il lui demande de retirer son manteau et de le suivre. Sans poser de question, elle lui obéit docilement.
Il entre dans la cuisine, trouve le réfrigérateur dans lequel il prend une des bières du mari de Maryse. Elle est nue devant cet homme encore habillé. Elle se sent soumise et elle a honte de trouver cette situation aussi excitante.
— Viens me sucer !
L'ordre la tire de sa léthargie. Elle s'approche de lui lentement, puis s'accroupit devant lui en écartant les jambes. Elle lui sort son sexe trapu. Elle est momentanément repoussée par son odeur forte. Elle commence d'abord à le branler lentement en décalottant le gros gland luisant. Puis elle le prend totalement en bouche pour le sucer. Elle l'entend grogner sous ses caresses buccales et elle en tire un certain plaisir.
Elle le regarde se crisper alors qu'elle a toute la longueur de sa tige dans sa bouche. Sa langue joue tout le long de ce sexe tendu. Sa main caresse les bourses pleines de cet homme à qui elle ne peut rien refuser. Il lui prend les cheveux en la regardant droit dans les yeux. Elle sent qu'il est sur le point de jouir. Il l'oblige à prendre tout son sexe en bouche, sa salive coule autour de cette tige le long de son cou.
Il se crispe un peu plus, et se libère dans un grognement
féroce.
Le premier jet de sperme lui remplit la bouche. Elle sent la chaleur de sa semence l'envahir. Un autre jet l'oblige à avaler ce qu'elle peut. Il continue de se déverser dans sa bouche en grognant, plié sur lui-même sous la puissance de sa jouissance. Elle recueille le liquide qui s'échappe de ses lèvres et le suce devant ses yeux ébahis. Il y en a un petit peu qui s'est écrasé sur le sol carrelé de la cuisine.
— Montre-moi ta chambre !
Elle se relève et le précède. Il profite au maximum de la vue de son postérieur qu'il prend en photo dans l'escalier. Elle se retourne pour être sûre qu'il la suit alors qu'il prend des photos de son corps dénudé. Elle est très nerveuse à l'idée de lui ouvrir la porte de sa chambre. Cette pièce représente l'intimité de son couple, pourtant elle l'invite à y pénétrer.
Un grand lit occupe la plus grande partie de l'espace. Deux armoires font office de rangements. Il lui demande laquelle est la sienne. Elle lui montre d'un signe de tête n'étant pas capable de parler tant elle est nerveuse.
Il est toujours habillé alors qu'elle ne porte que ses talons. Elle est soumise au moindre de ses désirs. Il ouvre son armoire, apprécie les différentes tenues. Il tire les tiroirs, en sort quelques lingeries qu'il respire. Il fouille les moindres recoins alors qu'elle est de plus en plus nerveuse. Quand il sort son gode, elle est mortifiée par la honte. Elle n'ose plus le regarder. Il lui lance un sourire pervers.
— Je vois que tu es encore plus cochonne que je le croyais ! C'est un sacré morceau !
La honte la paralyse. Elle ne répond rien à M. Francis. Il jette le gros gode sur le lit. Il commence doucement à se déshabiller. Il prend son temps. Elle trouve la
force de lever le regard pour l'observer. Elle se demande comment elle a pu succomber à cet homme si banal, pourtant dès qu'elle croise son regard elle se retrouve à sa merci. Il lui demande de s'allonger ; il se place entre ses jambes qu'il écarte puis son visage descend vers sa chatte. Elle le voit s'approcher de son sexe. Elle est sur le point de s'offrir à lui dans la chambre conjugale.
Elle se rend compte de ce qu'elle fait pourtant elle n'empêche rien, au contraire, elle ouvre un peu plus ses jambes. Il écarte ses lèvres et commence à lui lécher le clitoris qui est très sensible. Elle soupire de plaisir.
Elle sent un gros doigt glisser en elle sans rencontrer la moindre résistance tant elle est mouillée. Il titille cette petite zone rugueuse qui se trouve non loin de l'entrée de sa chatte. Cette caresse associée à celle de son clitoris lui procure un plaisir immense. Elle se cambre pour essayer d'amplifier son plaisir.
Il continue inlassablement à la lécher et à la caresser. Elle sent la jouissance monter dans tout son corps et elle explose tout à coup en inondant le visage de M. Francis qui continue sans relâche à la boire.
Elle se détend peu à peu profitant au maximum des caresses de son amant. Soudain elle sent quelque chose pousser à l'entrée de son sexe. M. Francis s'est emparé du gode et est déterminé à la pénétrer avec. Il pousse dessus avec
forceet elle le voit entrer en elle. Elle absorbe cet immense sexe sans peine. Elle le sent déformer ses parois internes. Elle pousse un long râle durant la pénétration qui dure une éternité.
Il actionne le gode à pleine vitesse. Elle pousse un cri en sentant le gode s'activer en elle. Elle a les bras écartés, les poings serrés. Elle gémit de plaisir. Le gode toujours en elle, il la retourne avec une
force incroyable. Elle se retrouve à quatre pattes, les fesses en l'air, gémissant son plaisir dans les draps.
Il sort le gode d'un coup avec un bruit de succion humide. Elle sent sa mouille couler le long de ses cuisses. M. Francis pousse alors la tête du gode à l'entrée de son petit trou. Elle hurle alors qu'elle le sent la pénétrer et lui dilater l'anus. M. Francis fait quelques va-et-vient avant de lui enfoncer au plus profond de ses entrailles. Elle est en sueur, sa respiration est forte et saccadée. Elle est totalement offerte à ce pervers qui lui fait tant de bien. Elle le sent ensuite lui pénétrer la chatte de son sexe.
Elle a deux sexes en elle. Elle n'aurait jamais imaginé qu'elle prendrait autant de plaisir à se sentir ainsi possédée par les deux trous. Elle gémit alors à chaque pénétration. Elle crie son plaisir quand il actionne le gode à pleine vitesse en la pénétrant de toute ses
forces Elle est littéralement pistonnée.
Le lit est secoué dans tous les sens.
Elle entend les bruits humides de son sexe à chaque pénétration. M. Francis grogne son plaisir qui dure plus longtemps car elle l'a déjà vidé une fois dans la cuisine. Il profite de ce corps offert. Ses mains sont agrippées aux hanches de Maryse. Il lui sort le gode de son petit trou et le jette sur le lit. Il la sodomise d'un coup. Le gode l'a bien élargie.
L'idée de profiter de cette femme fait monter en lui la jouissance. Il se retire de son anus dilaté et la retourne. Il éjacule bruyamment sur le corps de Maryse qui en reçoit sur les seins, la gorge et même sur le visage.
À chaque jet qu'elle reçoit son corps réagit par un soubresaut de surprise. Elle est maculée de sperme. Elle sent le liquide poisseux et chaud couler le long de ses seins. Elle l'étale sur sa peau dans un état second. M. Francis est en sueur, il tient encore son sexe ramolli dans sa main. Ils sont tous les deux abasourdis par ce qu'ils viennent de vivre. Seul le vrombissement du gode vient perturber la scène.
M. Francis s'essuie les mains sur les draps, puis il prend son appareil pour immortaliser la scène. Il la prend en photo sous tous les angles. Maryse se laisse aller à prendre de nouveau des poses suggestives. Elle lui ouvre ses lèvres intimes pour qu'il prenne des gros plans de son sexe baveux et rougi par les pénétrations. Elle empoigne ses fesses pour qu'il puisse photographier son petit trou dilaté. Elle s'empare du gode et se pénètre la chatte sous l'œil attentif de l'appareil photo. Elle se masturbe lentement en savourant son abandon total devant son photographe.
Elle actionne le gode tout en le faisant aller et venir en elle. Elle gémit en fixant l'objectif de l'appareil photo. M. Francis n'en revient pas. Il prend autant de clichés qu'il le peut. Il se dit que cette femme est insatiable.
Elle empoigne le gode à deux mains pour se pénétrer. Il voit ce gros sexe déformer le sexe de cette femme qui était si réservée la première fois qu'il l'a vue. Il jubile de l'avoir libéré sexuellement et de pouvoir en profiter. Elle continue de se masturber les jambes bien écartées, puis elle augmente la vitesse du gode et elle jouit bruyamment sous les assauts de ce sexe mécanique.
Elle est épuisée. Elle se rend compte que l'après-midi est déjà bien entamée mais elle n'ose pas mettre dehors son amant. C'est avec soulagement qu'elle le voit se relever, s'habiller. Il la regarde et lui dit :
— Quand peux-tu revenir me voir ?
Maryse hésite à lui répondre. Une part d'elle ne veut pas s'engager dans cette relation, l'autre se dit qu'elle y est déjà. Elle culpabilise mais elle n'est pas prête à laisser tomber toutes ces sensations.
— Je suis libre le mercredi après-midi...
— Il va falloir que tu trouves du temps en plus. Nous n'en avons pas fini tous les deux ! Une nana comme toi a besoin de sexe. Débrouille-toi pour venir me voir avant.
Il sort de la chambre. Elle le raccompagne toujours nue et maculée de sperme. Elle lui demande d'être discret. Il en rigole. Il sort de la maison le plus naturellement du monde. Elle le suit du regard par la fenêtre. Quelques instants plus tard sa voisine fait son apparition.
Heureusement qu'il n'est pas sorti de chez elle plus tard, il aurait été surpris par cette concierge. Maryse se dépêche de remonter dans sa chambre pour remettre de l'ordre. Le drap est tout froissé et taché, elle doit le changer. Elle ouvre en grand la fenêtre pour aérer la pièce qui dégage une forte odeur de sexe.
Il faut qu'elle cache son gode qu'elle décide finalement de garder tant il lui a apporté de plaisir.
Après la chambre, elle doit prendre une douche. Elle s'abandonne au plaisir de sentir l'eau couler sur sa peau et ne voit pas le temps passer. Elle s'affole en voyant l'heure tardive. Elle s'habille en vitesse et descend à la cuisine pour préparer le dîner. Elle fera simple, elle n'a pas le temps de faire autrement.
son mari rentre un quart d'heure plus tard alors qu'elle s'affaire à préparer le dîner. Il dépose sa sacoche dans l'entrée et commence à lui raconter sa journée interminable. Il s'assoit à la table et tout en lui donnant les détails de sa dernière réunion, il lui fait remarquer qu'il y a de la sauce par terre.
Maryse reçoit comme une décharge électrique. Elle se retourne en essayant de cacher son affolement. Elle se précipite pour effacer les traces qui pourraient trahir la fellation qu'elle a offerte à M. Francis un peu plus tôt dans la journée. son mari lui demande si tout va bien car elle semble perturbée.
— Ce n'est rien. Le travail. J'ai pas mal de dossiers à traiter, je pense que demain je vais devoir rester plus tard. Je n'aime pas ça... mais bon, là il faut vraiment que je termine au plus vite. Tu comprends ?
— Mais oui je comprends. Je serais mal placé de te dire le contraire.
son mensonge lui est venu tout naturellement et cela la culpabilise. Elle n'ose pas le regarder et continue de préparer le dîner. Il reprend le récit de sa journée sans lui poser plus de questions, ce qui la rassure. Elle essaie de se concentrer sur l'histoire de son mari mais a vraiment beaucoup de mal.
Il ne semble rien remarquer. Elle se demande si elle a bien effacé toutes les traces de sa folle après-midi. Une fois de plus, elle s'est laissée prendre en photo par ce pervers et cette fois elle ne pourra pas lui subtiliser comme la dernière fois. Il la tient et à sa plus grande honte, cela lui plaît.
Elle monte se coucher plus tôt que d'habitude. Sa journée l'a exténuée. son mari ne tarde pas à la rejoindre. Elle est mortifiée à l'idée qu'il se rende compte de quoi que ce soit. Elle se dit qu'il va forcément remarquer quelque chose. La scène est encore tellement présente dans son esprit. Le contraste entre les événements de l'après-midi et la soirée est saisissant. Elle était une autre femme, assoiffée de sexe et de sensations fortes. son mari l'embrasse doucement avant de se tourner pour s'endormir presque immédiatement, la laissant seule face au souvenir de la sauvagerie sexuelle de son après-midi.
Aujourd'hui, le tailleur strict de Maryse l'excite encore plus que d'habitude. Elle voit une lueur dans les yeux de M. Francis qui lui fait un peu peur, même si son corps réagit tout autrement. Elle sent ses tétons pointer à travers le tissu de son soutien-gorge et de son chemisier. son entrejambe s'humidifie. Elle sait ce qu'elle doit faire quand elle le voit prendre son appareil photo.
Elle commence langoureusement à retirer sa veste, tournant sur elle-même, gonflant sa poitrine. Elle ouvre doucement son chemisier sous les flashes impatients de l'appareil de M. Francis. Elle est dans un état second, peu à peu elle laisse sa vraie nature l'envahir. Elle retire son chemisier, laissant apparaître la dentelle noire et bleue nuit de son soutien-gorge. Elle se cambre pour offrir à son photographe des poses plus excitantes les unes que les autres. Elle descend la fermeture de sa jupe en regardant l'objectif.
Elle ne peut s'empêcher de penser un instant à son mari. Elle est prise de remords mais l'excitation est trop forte. M. Francis réussit à prendre ces instants de doutes qui rendent la situation encore plus forte. La jupe glisse le long des jambes gainées de soie de Maryse. Le porte-jarretelles tire sur le haut des bas de soie fumée. Elle défait son soutien-gorge en tentant de cacher sa poitrine dénudée grâce à ses bras. Les poses sont très érotiques.
D'un regard de M. Francis, elle sait qu'il faut qu'elle montre ses seins généreux. Elle retire doucement ses bras. Ses mains glissent le long de son corps et tirent sur le string qui peine à cacher son intimité. Elle le descend en tournant le dos à l'appareil et en gardant les jambes bien droites. Elle perçoit un grognement, témoignage de l'excitation de M. Francis. Elle en tire une étrange satisfaction. Elle se retourne et ne manque pas de remarquer la bosse qui déforme son pantalon. Il lui intime l'ordre de se caresser, ce qu'elle fait avec empressement.
Elle était déjà trempée à l'idée de le retrouver, son
strip-teasen'a fait que l'exciter davantage. Elle se place dans le canapé, les jambes largement ouvertes. Elle montre toute son intimité baveuse à son voyeur qui n'en perd rien. son cœur bat à une vitesse incroyable, elle tremble alors qu'elle transpire à cause de la chaleur. Elle frotte son clitoris qui darde fièrement. Elle gémit et grogne, alors qu'une vague de plaisir la submerge.
Elle s'arrête soudain, vidée de toute énergie, les doigts trempés. Elle a les yeux fermés mais elle peut entendre que M. Francis continue de la prendre en photo avec avidité pour immortaliser ce moment toujours unique de l'orgasme.
— Cette semaine, j'ai créé un site internet.
Cette annonce, si simple au premier abord, fait l'effet d'une explosion de peur pour Maryse. Elle se doute déjà de la teneur de son site. Elle ne peut pas le laisser faire. Elle ne peut pas le laisser l'offrir ainsi à tous ces voyeurs. Tous auront accès à ses photos les plus intimes, les plus perverses. Elle ne sait quoi dire, elle est tétanisée. Elle voit M. Francis lui sourire. Il savoure les émotions qu'il entraîne chez Maryse. Elle le sait, il se sert d'elle. Pourtant elle est toujours revenue vers lui, presque malgré elle. Elle trouve le courage de s'exprimer faiblement.
— Vous ne pouvez pas me faire ça... j'ai une réputation...
Il rit fortement.
— Une réputation ? Ouais, je vois ça, tous les mercredis !
Elle rougit, ne sait plus quoi faire. Il a raison, elle est revenue d'elle-même.
— Je... S'il vous plait... Non...
Il la regarde en souriant dédaigneusement. Il savoure sa peur.
— Bah ! Je ne compte pas montrer ton visage même si je pourrais ! Je suis sûr que de savoir que des milliers de gars vont se branler sur tes photos te fait de l'effet. J'ai créé un forum pour qu'ils puissent faire des commentaires ou même faire des commandes. Je vais me faire un peu de pognon avec ton cul ! Y'aura un partie payante où je mettrai les photos hards qu'on va faire ensemble.
Elle l'écoute sans respirer. Elle ne sait pas comment prendre cette nouvelle perversion de sa part. Pourtant, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'il a raison. Savoir qu'ils seront des milliers à la regarder, à avoir envie d'elle et même à se masturber sur elle, l'excite énormément. Elle savait depuis quelques semaines qu'elle avait des pulsions d'exhibitionnisme mais pas à ce point-là. Cet homme la conduit sur les chemins d'un monde de perversités qu'elle n'aurait jamais pensé exister.
Elle, la mère de famille si rangée, s'est perdue dans ce monde dès qu'elle est entrée la première fois dans cette déchetterie. Il lui montre alors le fruit de son travail. son ordinateur affiche une première page de mise en garde indiquant que le site est réservé aux plus de dix-huit ans. La seconde page affiche un menu simple avec une première photo du corps d'une femme dévoilant ses jambes mises en valeur par des bas maintenus par un porte-jarretelles. Elle a un choc en se rendant compte que cette femme, c'est elle. On ne voit pas son visage fort heureusement.
Il passe dans une galerie affichant les photos prise la semaine passée. Elle est son
née devantl'écran. Elle se revoit poser pour lui, le résultat est affiché devant elle, devant des milliers de personnes. Elle respire difficilement, son estomac est noué. Mais, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'elle se caresse machinalement.
Il accède à la partie payante grâce à un code et là, elle est presque choquée par les photos qu'il lui montre. Est-il possible qu'elle ait fait tout cela ? Elle se voit prise en levrette par M. Francis, leurs visages sont floutés mais elle n'a aucun doute. Elle voit des gros plans de son petit trou rempli par le sexe de son amant. Elle voit des gros plans de son petit trou dilaté, ouvert et rougi par une sodomie sauvage. Elle est subjuguée par toutes ces photos, elle ne peut pas cacher son excitation, d'ailleurs M. Francis non plus. Il a sorti son sexe et le masturbe lentement à mesure que les photos défilent. La série se finit par une éjaculation copieuse sur sa poitrine offerte.
— Je savais que ça te plairait. Tu joues les saintes mais tu n'es qu'une salope.
Maryse ne réagit pas à ces mots crus. Elle est encore sous le choc de ce qu'elle vient de voir. Elle entend M. Francis prendre de nouvelles photos. Il approche d'elle et lui présente son sexe devant la bouche. La pensée de se refuser lui traverse l'esprit mais elle ouvre la bouche sous la pression de ce sexe.
Elle accepte peu à peu toute la longueur. M. Francis fait quelques va-et-vient dans sa bouche avant qu'elle commence à réagir. Sa langue joue autour de la tige. Ses mains remontent le long des jambes de M. Francis.
L'une d'elle agrippe les bourses alors que l'autre enserre le pieu à sa base. Il grogne en voyant Maryse devenir vorace sur son sexe. Elle s'active à le sucer telle une affamée. Il réussit à prendre quelques clichés malgré l'excitation. L'un de ses mains empoigne les cheveux pour l'obliger à le prendre plus profondément. Les bruits de succions et les gémissements décuplent leur plaisir.
Tout à coup, M. Francis oblige Maryse à se retirer en lui tirant les cheveux. Elle le regarde alors qu'il pousse un grognement bestial tout en prenant des photos en rafale. Un jet de sperme s'écrase avec lourdeur sur le front et les cheveux de Maryse. Un second la macule du nez jusqu'au menton. Le troisième moins puissant s'étale sur la bouche entrouverte de Maryse qui laisse le liquide visqueux couler le long de son menton et de son cou pour arriver doucement sur son sein droit. Le reste de la semence de M. Francis coule le long de la main de Maryse. Elle libère le sexe, ses yeux sont embués par l'excitation. Il lui demande de lécher le sperme sur ses mains ; il prend des photos alors qu'elle lèche devant l'objectif le fruit de sa jouissance.
— Ces photos vont faire un tabac ! Allez, rhabille-toi, tu peux rentrer chez toi, j'ai du boulot.
Elle reprend ses affaires et se rhabille sans rien dire. Il a toujours une façon dédaigneuse et humiliante de la congédier.
Pourtant, elle revient chaque mercredi.
À son travail, Maryse affiche une nouvelle assurance. son chef, M. Ribière, ne la voit plus du tout de la même manière. Il lui a confié quelques dossiers importants qui l'ont fait remarquée par sa direction alors que son chef semble très perturbé. M. Ribière est obnubilé par Maryse, il ne pense plus qu'à elle. Cela se ressent dans son travail qui devient négligé.
Dès qu'il le peut, il se retrouve dans le bureau de Maryse pour apercevoir son décolleté, admirer ses jambes... Maryse n'est pas dupe, mais elle en rajoute en accentuant ses poses ou en écartant légèrement ses jambes pour faire remonter un peu sa jupe. Elle adore le rendre fou, mais elle reste toujours distante. Elle joue avec cet homme qui, il n'y a pas si longtemps, avait une attitude odieuse avec elle.
Un jour, le directeur convoque Maryse dans son bureau. Elle se demande ce qui se passe. Elle craint d'être allée trop loin, quel scandale ce serait si elle était renvoyée à cause de son attitude. Que dirait-elle à son mari ? Elle entre dans le bureau du directeur. son cœur bat la chamade. M. Ribière est là debout à la regarder s'introduire dans le bureau. Elle voit dans son regard l'envie et la frustration. Quand elle croise le regard de son directeur, elle est rassurée. Il lui sourit et lui demande de s'asseoir. Elle s'installe en croisant les jambes. M. Ribière a du mal à en détacher son regard. M. Turvan, son directeur, la félicite pour son travail :
— M. Ribière ne tarit pas d'éloges à votre égard. Il m'a fait part des dossiers que vous aviez traités à la perfection et je vous en remercie.
Elle jette un œil sur M. Ribière qui rougit un peu. Elle se dit qu'il a peut-être fait ça pour qu'elle lui soit redevable. Malheureusement pour lui, elle ne lui accordera rien, mis à part un sourire et un petit signe de remerciement de la tête. Elle sourit à M. Turvan qui continue :
— Parmi ces dossiers, il y en a un d'une grande importance, le M34, vous voyez certainement celui dont je parle. J'aimerais que vous encadriez la mise en place
des actions que vous avez préconisées dans notre filiale parisienne. C'est une grande opportunité d'évolution dans votre poste que je vous offre. Le déplacement à Paris ne devrait pas durer plus de quelques jours, mais je pense que vous devrez y aller régulièrement pendant un temps. Qu'en dites-vous ?

A suivre encore....

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
Star débutante...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Vessie surchargée

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Qui n'aime pas les marrons. Chauds ou glacés...
Une histoire de oufs..!

Aux Pissoirs
Un soir d'automne, je me promenais à vélo dans la ville où je venais d'emménager et dont je ne connaissais pas les possibilités insoupçonnées pour le sexe entre hommes.
Comme je m'étais arrêté plus tôt pour écluser une ou deux bières dans un bar et que je n'étais pas allé pisser, je fus pris soudain d'une envie pressante. En pédalant, ça n'aide pas, en plus, l'aiguille de la pression commençait à venir dans le rouge.
C'est alors que je suis arrivé à côté d'un grand parc avec de grands arbres, des marronniers. Je vis un tout petit écriteau avec des lettres blanches sur fond bleu qui se détachaient bien, près d'une des grilles d'entrée du parc avec des lettres qui m'ont fait faire un ouf de soulagement : WC ! Je m'arrêtai aussitôt, je cadenassai avec une chaîne le vélo après la grille du parc et j'entrai sur l'esplanade du parc en passant sous d'énormes marronniers chargés de fruits dont une petite partie jonchait le sol.
J'ai oublié de dire que c'était le soir et qu'il faisait déjà nuit. Il y avait des lampes très espacées entre les arbres, le long d'allées goudronnées et du gazon avec par-ci, par-là des buissons, nombreux le long d'un grand mur d'un côté et ça et là, dans ce mur, il y avait deux ou trois ouvertures, une lumière un peu blafarde sortait de ces trous dans le mur, par-dessus et dessous une porte et une ou deux petites fenêtres, les WC du parc.
J'allais pour m'approcher de la porte lorsque j'ai vu des mecs en uniforme sortir de là. J'attendis un instant et je fonçai vers la porte, enfin un urinoir… l'aiguille de pression était tellement dans le rouge que j'arrivais presque plus à penser. J'ai tout juste eu le temps de dézipper le jeans et de sortir la queue que le jet libérateur est parti.
Pendant que j'étais en train de pisser, j'ai regardé autour de moi. Sur les parois autour du pissoir, des graffitis assez explicites sur les catelles blanches. Au fond, trois cabines ouvertes, la porte entrebâillée, personne dedans apparemment. J'étais encore concentré sur mon interminable jet quand deux mecs sont entrés, un jeune minet en jeans suivi d'un mec juste un peu plus âgé.
- Enfin, ils ont foutu le camp ! qu'il me dit. J'ai aussi besoin de pisser.
Jusque là rien que de très normal, je ne voyais pas pourquoi fallait que les mecs faisant une ronde devaient être loin pour pisser et c'est alors que quelque chose d'incroyable à mes yeux s'est produit !
Pour comprendre ce qui va suivre faut situer la scène, le pissoir… C'est un modèle ancien, très ancien, c'est pas des pissoirs séparées en porcelaine. En fait, pour pisser, on est planté sur un rebord en catelles blanches et on pisse dans une rigole en acier inox apparemment, parce que rien n'est rouillé.
Quand on pisse, si on n'a pas trop de pression comme moi en ce moment, on pisse dans la rigole, mon jet atteint le mur recouvert d'une couche de peinture blanche, d'un enduit qui doit résister à la pisse, et coule et atteint la rigole.
J'aime ce genre de pissoir, une odeur s'y dégage toujours différente que dans les autres, légère ou un peu ammoniaquée suivant les endroits, suivant que le filet d'eau qui passe dans un petit tube percé de petits trous le long du mur rince de temps en temps la paroi. Celui-là était pas en inox et rouillé, bouché, donc la pisse qui circule le long de la rigole en pente jusqu'à la petite grille d'évacuation…
- Et alors, qu'est-ce que tu fous ? Qu'est-ce que t'attends, j'ai besoin de pisser ! Fait le mec un peu plus âgé à l'autre en lui foutant une baffe qui lui laisse une empreinte de doigts qui rougissent une joue…
- Mais… voulait dire l'autre.
Un mot qui s'est éteint sur ses lèvres recevant une baffe de l'autre côté, équilibrant ainsi les rougeurs de part et d'autre.
Je n'en croyais pas mes yeux, il se déroulait devant moi un scène comme j'en avais vu jouer et pas si naturellement dans certains clips vidéos… et pas aussi bandant dans les clips vidéos.
Le petit mec s'est agenouillé alors, assis sur ses baskets à l'arrière, les genoux sur le rebord surélevé devant la rigole, faisant face à l'autre mec…
Ses baskets étaient dans la rigole !
Mon jet de pisse coulant sur le mur encore, je le suivis des yeux, il descendait dans la rigole, coulait en direction des baskets du mec et les trempait. Avec sa position, une partie de ses jeans près des baskets touchaient le fond de la rigole aussi et ma pisse les trempait… J'étais médusé…
Et puis le mec a dit à l'autre :
- En arrière et ouvre bien ta bouche ! Appuie ton dos contre le mur, tu vois c'est plus confortable !
Et le mec me regarde avec un sourire, et en même temps, fout sa queue à ras des lèvres de l'autre et commence à relâcher sa vessie. Il pisse un petit jet, le contrôlant.
- Garde ta bouche ouverte ! qu'il dit à l'autre. Je veux voir dedans et avale quand je te dis…
Et le mec me dit avec un sourire :
- Tu vois, moi j'ai mon urinoir portatif !
Ma queue commence à enfler à ce moment en les regardant, surtout à cause du bruit… Ça fait un bruit particulier, de la pisse dans la bouche d'un mec, comme une tasse profonde que l'on remplit avec un théière en gardant la théière haute. Le bruit change de tonalité jusqu'à ce que la tasse soit pleine, et c'était pareil avec la bouche du mec, ça résonnait d'une façon intense en ce lieu.
Quand le mec a eu de la pisse jusqu'à ras des lèvres, l'autre a retenu et lui a dit :
- Avale maintenant, avale mais avec la bouche ouverte que je vois bien.
Ce qu'il fit. Le mec répéta l'opération jusqu'à ce qu'il ait eu la vessie vide et moi la queue si bandante, si dure, qu'elle me faisait mal ! Je regardais jusque-là sans rien dire. D'une part, quoi dire ? Et d'autre part, je ne voulais pas rompre le charme… qu'il s'arrête… Pensant à ce liquide chaud qui passait d'un mec à l'autre, je me demandais si j'aurais pas voulu être à la place du mec qui la recevait tout en me disant que c'était dommage que je n’aie pas quelques canettes de bière avec. J'aurais bien donné quelques canettes de bière à boire au mec qui pissait pour qu'il continue à me donner ce spectacle… qu'il continue à remplir l'autre.
Quand il a eu fini de pisser, il a dit à l'autre :
- C'est bien, tu peux me la sucer maintenant !
Et l'autre s'est agrippé à ses hanches, en tétant goulûment sa queue qui commençait alors à grossir. Pour ce faire, il s'est penché en avant et alors j'ai vu quelque chose qui m'a fait bander encore plus : le dos du t-shirt du mec était mouillé, trempé de pisse, de la pisse d'un autre mec, d'un mec qui avait dû pisser sur la paroi comme moi et dont la pisse n'avait pas séché, c'était tout frais… Merde je me suis dit, avaler comme lui, j'aurais aimé le faire une fois, ça m'a toujours fait bander rien que d'y penser, mais comment il ose sortir le mec après, en ayant les skets et le bas de son jeans mouillé de ma pisse et le dos de celle d'un autre ? Le t-shirt devant lui était sec, il avait bien réussi à tout avaler, même en gardant la bouche ouverte, sans en perdre une goutte !
J'ai dit au mec à côté de moi :
- Heu… t'as pas peur que quelqu'un vienne pour des contrôles et vous surprenne ainsi ?
- Non, t'as bien vu qu'ils viennent de passer pour leur ronde, j'attends leur passage et l'on entre après, ils reviennent pas cinq minutes après, ils vont aux autres places ! T'as besoin de pisser ? qu'il me dit. Tu peux essayer sa bouche si tu veux...
Sans lui demander, il me dit ça !
- Il a toujours soif ! qu'il me dit.
Euhhh, j'ai certainement dû devenir rouge avant de lui répondre :
- J'aurais bien essayé, très très sympa, mais t'as bien vu que ma vessie, même si elle était prête à exploser avant, est totalement vide maintenant, dommage ! Mais il est vachement bandant et je sais pas s'il ferait un truc…
- Dis toujours ! qu'il me dit. C'est moi qui décide…
De nouveau je suis devenu rouge certainement, j'ai senti un bouffée de chaleur sur mon visage mais je lui ai demandé :
- Il a l'air, enfin on devine, qu'il a un joli petit cul ton mec. Il est rasé ou sans poils sur cette partie là ?
- Il n'a pas un poil, je n'en veux pas ! qu'il me dit. Pourquoi ?
- Ça t'embête si je lui bouffe le cul à ton petit mec si sexy pendant qu'il te suce la queue ? Il est de toute façon penché en avant et je veux pas l'entuber, juste lui bouffer sa petite chatte qu'il doit avoir avec un mec comme toi !
Il se mit à rire.
- Pourquoi pas ! qu'il me dit. Mais tu descends tes jeans pour le faire.
Et il tourne le mec de 90 degrés pour qu'il ne soit plus dos à la paroi couverte de pisse et que j'aie accès à son cul tout en lui disant :
- T'as de la chance ! Alors grouille-toi de descendre ton froc et je veux voir ton nez dans les poils de mon pubis pendant qu'il te bouffera ta chatte ! Ça me fera gonfler plus ma queue au fond de ta gorge de le voir te bouffer et ça t'habituera à me prendre en fond de gorge, elle va grandir dedans. Tu fous tes mains sur tes fesses pour bien les écarter pour lui et je veux pas voir tes mains quitter tes fesses. Elles doivent pas se refermer, même si je vais en fond de gorge, vu !
- Mais… qu'il dit.
Et il a une baffe aller-retour.
- Pas de mais ! Allons-y ! et s'adressant à moi : Vas-y, qu'est-ce que t'attends, toi aussi ton froc doit être en bas ! À ras des chevilles, il doit être…
Je m'exécutai, après tout c'était moi qui avais demandé, pourquoi pas le satisfaire puisqu'il me satisfaisait aussi… Je lui dis juste :
- Mais si quelqu'un vient ?
- T'occupe ! J'ai un œil sur la porte.
En fait, comme on était alignés maintenant, c'est droit mon cul nu qui était en direction de la porte, on formait un petit train dont le mec debout était la locomotive et dirigeait les opérations maintenant.
J'étais à genoux derrière l'autre mec maintenant et penché en avant comme lui, ma bouche s'approchant de son délicieux petit trou glabre, aucun poil sur le mec, comme j'adore les voir…
 Ma queue dure plaquée contre mon ventre, je me mis à bouffer le mec. Le mec toussait un peu, ayant l'air de s'étrangler un peu sur la queue qu'il avait en bouche. Il lâcha une des fesses, aussitôt il reçut deux ou trois claques qui ont passé à la vitesse de l'éclair, faisant rougir la fesse en question. Le mec remit le plus vite possible sa main sur la fesse qu'il avait lâchée, tout en toussant mais ne pouvant rien dire avec la queue que je devinais grosse maintenant au fond de sa gorge.
Mais comme il toussait, cela faisait des petits spasmes de sa rondelle, par réaction automatique, non contrôlée, et je profitais de ces petits spasmes pour pousser mieux le bout de ma langue dans son si joli petit trou…
Voyant ses petits spasmes et ce que je faisais, le mec poussa encore davantage pour voir si les spasmes seraient plus grands, et il lui dit en même temps :
- Écarte plus fort, tu relâches…
Le mec s'écartelait de lui-même pour me laisser passer ma langue. Maintenant, j'avais un anneau autour de ma langue, et un si bel anneau. Maintenant, le mec commençait à prendre son plaisir en fond de gorge de l'autre on dirait, en relevant la tête un peu de temps en temps pour respirer, sinon j'étais comme en apnée quand je bouffais le cul de l'autre et j'essayais de pousser ma langue autant que je le pouvais dedans sous les yeux ravis de l'autre.
Le nez du mec que je bouffais cognait contre le pubis de l'autre maintenant de plus en plus souvent. Je ne sais pas comment lui arrivait à respirer, enfin on aurait dit que le mec voulait le laisser respirer parce qu'il se retira complètement, lui dit :
- Respire à fond ! et à moi : Prêt à pousser ta langue à fond quand je te le dis ? Sinon je te baffe aussi, compris ?
Je dis oui, honteusement sans essayer de me rebeller. Il me donnait des ordres comme à l'autre, on dirait maintenant, presque… Il laissa respirer l'autre plusieurs fois à fond et dit :
- Ouvre ta gueule !
Et il y planta sa queue en fond de gorge, à fond cette fois, en une fois sans ménagement, en attirant sa tête de toutes ses forces contre lui. Ce coup-ci, l'autre n'avait plus les mains maintenant ses fesses, il essayait de repousser l'autre qui était vraiment à fond en lui cette fois, c'est sûr…
Et on aurait dit que l'air qu'il pouvait pas prendre par devant il essayait de le prendre par derrière. Son trou s'ouvrait et se refermait en même temps qu'il toussait et le mec me disait :
- Mais pousse, pousse ta langue à fond !
Et c'est alors que deux mecs entrèrent aux WC en poussant la porte. Moi je voyais rien dans la position où j'étais, évidemment ! J'entendis seulement leurs voix. Mais dur, d'après la voix de deviner à quel genre de mec on peut avoir affaire et se retrouver dans cette position devant deux inconnus qu'on voit même pas mais qui avaient une vue entière de la situation… J'entendis seulement :
- Putain mec ! dit l'autre à celui qui devait être son pote. Regarde cela !
J'essaie de relever ma tête d'entre les fesses du joli cul que je bouffe tout en retirant ma langue pour pas qu'on voie qu'elle était dedans et pour voir qui c'est, s'il y a danger ou pas…
Je suis paniqué… Je pense à cet instant dans quelle merde je me suis mis à cause de ces deux mecs trop excitants qui m'ont fait perdre la tête… Suivant qui c'est? Tu t'imagines, te retrouver le cul à l'air, la fente, le trou visible de quiconque arrive puisque les frocs en bas qu'il m'avait fait mettre et ce pourquoi ?
J'y pense seulement maintenant, en fait… y avait pas de raison pour seulement y bouffer le cul ! C'est déjà gênant si on me trouve à genoux avec la tête près des fesses, je sais pas si j'ai eu le temps de me retirer assez vite pour qu'ils aient ou pas vu ma langue entre les fesses, dans le trou du mec.
Si t'es habillé, tu peux toujours essayer de trouver un prétexte, qui tient ou pas la route, faire semblant de ramasser quelque chose à côté du mec en remontant la tête près de son cul, si on ramasse quelque chose près de lui, mais là ! Que faire ? Que dire ? Les frocs en bas, slips aussi qui m'entravaient les jambes et empêchaient de se relever rapidement.
Toutes ces idées s'entrechoquent maintenant dans ma tête et j'essaie de relever une jambe et me dégager du cul du mec et essayer de regarder les arrivants mais le mec, qui a toujours sa queue bien engagée dans la gorge de l'autre, lâche la nuque de celui qui est devant lui en lui disant :
- Toi bouge pas !" et m'attrape, en se penchant un peu en avant, la nuque d'une main et dit aux arrivants :
- C'est un mec à essayer, il traîne par ici et il a mordu à notre hameçon.
Visiblement, il avait l'air de connaître les arrivants et malgré que je n'ai pas encore pu les voir, dans la position où j'étais toujours, j'étais déjà un peu soulagé d'entendre cela mais pas soulagé longtemps !
Si je pouvais pas encore les voir maintenant, c'est que le mec qui avait lâché la nuque de l'autre s'était penché un peu en avant et avait saisi la mienne d'une main et de l'autre il me fout un aller-retour, deux baffes en me disant :
- Qui t'a dit d'arrêter de bouffer ? Tu le voulais, tu l'as ce cul à bouffer, continue et regarde devant toi ! Penche-toi bien en avant que nos copains puissent bien voir le spectacle.
L'autre devant moi devait commencer à trouver le temps vachement long, c'est ce que j'aurais trouvé à sa place je crois, avec toujours une queue en fond de gorge, ou était-il si habitué ?
J'en sais rien mais heureusement pour lui, la queue de l'autre avait débandé partiellement parce qu'il s'est quand même inquiété aussi de qui venait, le mec debout et ça s'est vu sur sa queue - l'inquiétude c'est pas bon pour bander hi hi…
- Il a un cul rond, mettable ! dit l'un des deux mecs derrière moi. Jette un œil et garde la porte, dit la voix au deuxième derrière moi. On s'échangera après.
Ça, c'est un truc intelligent et la plupart des mecs font cela, il y a toujours l'un ou l'autre qui jettent un œil en permanence à travers la porte entrebâillée pour pas avoir de mauvaises surprises quand il y a des trucs qui se passent au pissoir.
Un des deux mecs, que je ne voyais toujours pas, a commencé à me tâter le cul. J'osais pas le regarder puisque l'autre me tenait par la nuque et m'avait dit :
- Regarde devant toi !
Ça le refaisait bander de me faire tripoter, explorer le cul par un inconnu pour moi… J'ai senti un doigt mouillé me pénétrer, puis deux, il allait en essayer trois et j'allais pour protester, je m'étais jamais fait fouiller par un parfait inconnu dont je ne connaissais même pas l'aspect quand le mec de garde dit :
- Attention, relevez-vous ! Un groupe de mecs bourrés vient !
L'autre m'a relâché la nuque et pour lui pas de problème, il n'avait qu'à se rapprocher du pissoir pour faire semblant d'y être, son petit mec libéré de la contrainte de la queue en fond de gorge s'est redressé et précipité en tenant ses frocs dans une cabine et moi j'ai tout juste eu le temps de me redresser et remonter le pantalon et suis sorti avec les deux mecs qui étaient arrivés en dernier et sommes allés sous les marronniers.
C'est là que j'ai pu bien les voir pour la première fois, les deux mecs et j'ai eu un choc, un des deux était blanc, l'autre devait être un mélange entre blanc et une autre race, je sais pas laquelle, grand, mince avec un t-shirt et contrairement à l'autre qui avait des jeans, il avait une espèce de short ou l'on devinait encore, malgré qu'il était en train de débander, une forme sous lui, si grande… hum… Elle devait être belle sa queue, je la devinais douce, très douce et très belle avec une couleur comme il avait, qui me rend dingue, bronzé, pas foncé, pas clair, une couleur de bronze qui me rendait dingue.
D'abord, je pensais m'en aller mais quand j'ai vu ce mec je suis resté là, sans voix, il me subjuguait. Je me demandais si c'est lui ou l'autre qui m'avait fouillé tout à l'heure. Je regardais alternativement les mains de l'un et de l'autre pour savoir si, il y avait une trace. Ce regard n'a pas échappé aux mecs et ils se sont mis à rire et celui bronzé avec un magnifique sourire m'a dit :
- C'est moi !
Il y avait des éclats de voix encore du côté des WC où des mecs, pas méchants, bourrés dont certains chantaient mal des trucs incompréhensibles. Je me demandais quand ils allaient ressortir et si les deux mecs y retourneraient après. J'ai demandé timidement au mec, en devenant tout rouge, heureusement qu'il faisait sombre, l'allée éclairait par de lampadaires.
- Tu y retournes après ? en m'adressant au mec au short. Vous voulez une bière ou autre chose en attendant ? Plus loin dans le parc, il y a une espèce de kiosque à musique et ils vendent des boissons et sandwiches, encore ouvert.
Les deux mecs me disent :
- Pourquoi pas, prends-en une aussi pour les deux autres.
Je me suis précipité pour acheter des canettes et suis revenu m'asseoir près du mec bronzé sur un des bancs de l'allée. Comme on était sous les marronniers et que ceux-ci étaient mûrs, on entendait par-ci par-là des craquements et des grappes de fruits mûrs tombaient.
J'en ai reçu une grappe sur la tête, ça a rebondi et tombé par terre. Sous les lampadaires, les fruits frais dégagés de leur housse éclatée brillaient. J'en ai ramassé quelques-uns pour regarder, jeté ceux qui étaient abîmés, gardé en main deux ou trois lisses, ronds, brillants et je ne sais pas ce qui m'a pris, mais je me suis dit : "Tiens, ils ont le diamètre d'une queue et c'est lisse."
Pendant que les deux mecs portaient leur canette aux lèvres, j'ai pris un marron, je l'ai mouillé dans ma bouche et en me tortillant un peu, en passant la main dans mon jean, je me le suis rentré dans le cul. Et j'ai fait pareil avec deux autres ! J'ai dit en prenant ma bière à mon tour :
- Comme cela, j'imagine avoir une queue en moi, celle dont j'ai été frustrée tout à l'heure… Ces marrons ont le diamètre d'une queue.
Le mec bronzé m'a dit :
- Tu peux t'en mettre combien ?
- J'en sais rien, dis-je, pourquoi ? Peut-être six ? Ça doit faire la longueur d'une queue moyenne, mais jamais fait !
L'autre dit :
- Attends, on va voir !
Et il en ramasse plusieurs, choisissant ceux pas abîmés par la chute, certains sont éclatés et seraient dangereux, risqueraient d'abîmer le cul si poussé dedans… Il en aligne six ou huit et dit :
— Effectivement, ça fait à peu près comme une queue moyenne, suivant les marrons. Pour la sienne, il en faut beaucoup plus, qu'il me dit en me montrant son copain. Les six ou huit sont au repos !
- C'est pas vrai ! dis-je. Ce que j'aimerais la voir !
Le mec blanc dit à l'autre :
- Qu'est-ce que t'en penses ? On pourrait dire oui à une condition… Il me prend la mienne à fond en bouche et la tienne à fond de cul, à condition qu'il se laisse enfiler d'abord 10 marrons direct dans le cul ! En plus de ce qu'il a déjà bien sûr… à prendre ou à laisser !
- Shit ! Quel dilemme, je leur dis. Mais ça va jamais tenir et j'aurai l'anus forcé, détendu avec cela, non ? Et où le faire d'abord ? Au cas où j'accepte ?
Car j'avais tellement envie de toucher à ce mec bronzé, sa peau si douce comme du satin et une queue si grande comme on me l'a affirmé.
- Ben… on retourne au WC, me dit l'un. Tu vas dans la cabine au milieu des trois, il y a des glory-holes assez gros qui devraient être à la bonne hauteur de chaque côté de cette cabine. Tu entres, tu te fous à poil et accroche tes vêtements à la porte. Pour y arriver, faut pas avoir les jambes liées par slip et jeans. Et on t'aidera. Si t'acceptes, tu peux avoir nos deux queues comme tu veux après et tu seras clean total de l'intérieur, comme tu as déjà l'air de l'être d'ailleurs. Alors c'est oui ou non ? Si oui, tope là ! Sinon, on finit la bière et on se barre !
C'était un peu comme un ultimatum. Ils savaient y faire les mecs, pour faire accepter trucs bizarres. Enfin, c'est moi qui leur ai fait venir l'idée en me foutant ces trois marrons dans le cul ! Je leur dis :
- OK, tope là, mais si je peux pas supporter et je gueule, on arrête. Promis ? J'aimerais pas bousiller mon tube, ils sont très durs les marrons, vous y allez lentement.
Le groupe de mecs bourrés étant maintenant parti des WC, les deux mecs, celui qui était master et l'autre jeune plutôt slave nous rejoignirent et reçurent leur canette de bière aussi. Les deux autres lui racontèrent le pacte que l'on venait de faire et que s'ils voulaient voir, ils pouvaient.
L'autre éclata de rire et dit :
- Pourquoi pas, je vais même vous aider à "le farcir aux marrons"! (rire) J'irai dans la cabine du milieu avec lui, comme cela il se maintiendra et le guiderai dans la bonne position et toi, tu monteras la garde, qu'il dit à son petit mec… T'as déjà bien été fourré tout à l'heure, ça te fera une pause !
On finit nos bières tranquillement, c'étaient des canettes d'un demi-litre, et un des mecs sélectionnait des marrons. Ouille, ouille, il choisissait pas les plus petits, je sais pas si je vais pouvoir me prendre cela, mais si j'y arrive, les deux mecs font ce que je veux avec leur queue.
Entre-temps, une autre ronde est passée et l'on sera tranquille dans ces WC publics maintenant me dit l'un. Les rares mecs qui passent maintenant sont tous gays.
On se dirigea alors à nouveau vers ces WC et une fois entré, je me dirigeai vers la cabine du milieu. J'avais encore jamais vu comment c'était là. J'ai fermé la porte et comme convenu, je me suis dessapé, jeans et slip. J'ai regardé autour de moi, y compris sur la porte où il y avait un crochet et où j'ai suspendu mon jeans.
Tout partout sur le bois, c'était couvert de graffitis, petits dessins explicites, rendez-vous écrits au crayon ou stylo. Sur les murs de chaque côté, mur de briques mince avec catelles blanches devenues crème avec l'âge, là, pas où très peu de dessins, le stylo prend pas bien dessus et c'est lavé tous les jours, ça s'efface rapidement. Dans des parois en bois, c'est facile de faire glory-holes. Là je me demande bien comment des mecs ont pu percer des trous, des trous où on pouvait y passer deux mains.
J'ai entendu les deux autres mecs entrer de chaque côté, ils m'ont regardé à poil sauf baskets et t-shirt remonté. Et le mec bronzé me dit de me pencher en avant et d'approcher progressivement le cul du trou. Il me dit d'écarter les jambes pour que ma fente soit bien visible, offerte, ouverte et à la bonne hauteur, le trou centré.
L'autre défit son jeans et passa sa queue molle par le trou, l'espace entre les deux parois était à peu près juste pour ma longueur. Je pris sa queue en bouche et commençai à le sucer, belle queue avec beau prépuce, j'adore les queues non circoncises, je me demandais si l'autre est circoncis ou pas… lui il n'avait pas encore baissé son froc quand il m'a fait me pencher.
J'ai senti un doigt, puis deux doigts, puis il a craché sur ses doigts d'après le bruit et trois doigts se sont enfoncés en moi et je fis :
- Hum… ayant la queue en bouche.
Il poussait les marrons déjà dedans lentement, lentement plus loin.
- Voilà, il est prêt ! qu'il dit. Tu peux venir voir ici, qu'il dit au maître du jeune esclave.
- Tu iras dans sa cabine vers la fin, pour l'aider.
Je me demandais bien comment il allait m'aider, enfin on verra ça plus tard.
- Tiens une poignée de marrons, qu'il dit à l'autre, il y en a dix à mettre.
Et je sentis un marron s'appuyer à mon orifice et l'écarter et s'enfoncer, et de un, puis deux… puis trois… au quatrième cela devint plus dur alors il refit ce qu'il avait fait au début, un doigt, puis deux, puis trois, en poussant à l'intérieur plus loin les marrons.
 Je sentais ceux-ci remonter partiellement à l'intérieur, pour faire de la place pour continuer. Mais je sentais bien que ces sept marrons faisaient la longueur et diamètre d'une queue normale et les marrons redescendaient.
En prenant le suivant, il dut appuyer plus fort et au lieu de rester en ligne maintenant, les marrons se mettaient de travers, commençant à stretcher le tube avec ce cinquième. Au sixième, je fis ouooochhh… aieeee… mais j'ai lâché la queue que j'avais en bouche. Le mec m'a dit :
- Oui, c'est une idée. Redresse-toi complètement et masse-toi la bite en serrant les fesses, cela maintiendra dedans et t'habituera.
Ça avait l'air de marcher.
- Repenche-toi comme avant… on continue.
Et sans prévenir, sans ménagement, alors que j'avais de nouveau la queue bien hard du mec du glory-hole d'en face enfoncée presque jusqu'à la glotte, il enfila trois doigts à fond rapidement en poussant à fond. Je vins buter avec la tête contre la paroi d'en face et la queue arriva en fond de gorge m'étouffant en même temps.
Pas le temps de dire ouf, le mec derrière moi rajouta un doigt et poussa encore. Il me fit faire un cri étranglé cette fois, j'avais l'impression qu'il allait m'éclater l'intérieur. J'en avais neuf dedans maintenant et il devait garder sa main pour les retenir. Le mec bronzé dit à l'autre :
- Jusqu'à maintenant, c'était vachement bien, c'était comme mettre des pièces dans une tirelire, en plus rigolo… Mais maintenant, sa tirelire devient pleine et pour les dernières pièces, faut que t'ailles l'aider dans sa cabine !
Et à moi il dit :
- Ouvre la porte quand il toque !
Ce qu'il fit dans la minute qui suivit. Je me demandais bien comment il allait pouvoir m'aider pour les quatre derniers. Ça allait être un supplice. Le mec est entré et m'a dit de me redresser en serrant les fesses pour pas qu'un marron s'échappe.
J'avais de la peine à retenir, comme une envie irrépressible d'expulser le tout. Pour me redresser, j'ai dû me mettre deux doigts dans le cul pour retenir les marrons sinon j'aurais pas pu. Le mec s'est assis sur les chiottes et m'a dit :
- Maintenant tu te fous à plat-ventre sur mes genoux, c'est l'heure de la fessée.
Quoi? De la fessée ?
- Oui, oui, tu sais bien que ça détend les muscles une bonne fessée. Tu verras, ça t'aidera pour les derniers.
- Mais… dis-je.
Pas eu le temps de dire, qu'il dit :
- Mais quoi ? Tu veux que les mecs fassent ce que tu veux après oui ou non ? Tu vas pas lâcher si près du but !
Ce qui me fit taire et je fis ce qu'il dit.
- Serre les fesses, enlève ces doigts !
Et il se mit à me frapper sur chaque fesse de tout son cœur on dirait, mais comme cela impossible d'arriver à retenir très longtemps, entre les coups et le stretching interne, à chaque coup je sentais un peu bouger en moi. Je gueulai à un moment et expulsai deux marrons contre la paroi.
- Tu vas voir, qu'il me dit. T'aurais pas dû les expulser et il s'adressa au mec dehors qui gardait la porte. Il a pas ameuté le quartier ? Tranquille ? Oui ? Bon. Enlève tes chaussettes et passe-les-moi sous la porte.
Je vis deux chaussettes un peu crades atterrir après un instant près des chiottes. Elles étaient un peu crades, il s'en moquait apparemment. Il fit une boule de l'une, enveloppa dans l'autre et me dit :
- Ouvre la bouche ! Et avec une claque sur les fesses : Plus grand.
Ce que je fis, il y poussa à fond la paire de chaussettes crade avec ses doigts dedans et me dit :
- Voilà, maintenant, tu pourras essayer de gueuler !
Et il ramassa les marrons expulsés, me les renfila sans ménagement et ce coup-ci, il les maintenait d'une main en poussant progressivement, pression constante mais en tapant aussi fort qu'il pouvait sur chaque fesse. Elles devenaient rouges. Sans le bâillon des chaussettes, j'aurais ameuté le quartier, mais effectivement les marrons progressaient à chaque instant plus loin et il réussit à faire de la place comme cela et il me dit :
- Remets-toi vers le trou, cul tendu.
Maintenant, c'est lui qui maintenait les marrons dedans pendant que l'autre n'avait qu'à rajouter et presser fortement me faisant gigoter à chaque poussée. On arriva au dernier, non, non ! J'ai l'impression d'éclater... Plus qu'un, zut j'y ai pas pensé.
- Respire ceci ! qu'il me dit pour le dernier. Écarte plus les jambes, tu respires à fond dans cette bouteille trois fois puis, il mettra un doigt, puis trois fois de nouveau et il rajoute le deuxième puis encore une fois et le troisième doigt juste pour faire la place au dernier. Maintenant, prêt ? Tu respires à fond autant de fois sans discontinuer jusqu'à ce qu'on te dise que c'est dedans.
J'ai appris plus tard que c'était du poppers - connaissais pas - c'est pour détendre les muscles, comme la fessée, qu'il me dit. Je fis donc ce qu'il me dit. J'avais la tête qui me tournait un peu, les fesses en feu et l'impression d'éclatement, mais, ça a passé !
- Bravo qu'il me dit. Ton supplice est fini. Pour bien prouver à l'autre que tout est dedans tu vas t'asseoir sur ton cul, sur ton trou, en écartant tes fesses sur le bout de l'un de mes genoux. Tu te laisses aller en arrière sur moi de tout ton poids.
Et il fit ce que je ne m'attendais pas d'un mec comme lui qui avait tendance à fesser et baffer apparemment, il m'embrassa presque affectueusement. J'étais en nage, faisait pas très chaud mais j'ai jamais autant transpiré que durant cette insertion vers la fin il me dit :
— Mets ton cul vers le trou et expulse tout, je vais aller voir de l'autre côté avec le mec et bien compter qu'il n'en reste pas, t'aider à tout ressortir.
Ce qui fut fait. Maintenant, c'est à mon tour de leur faire faire des trucs à ces mecs, s'ils respectent leur parole...

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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
On en a beaucoup parlé....

Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Suite

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Sa promotion n'éteint pas la libido de notre Maryse.
Au contraire...  et qui en profite..?


 Maryse, naissance de la perversion
Suite VI
Maryse est surprise. Elle s'attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace.
— Quelle sera ma position hiérarchique sur ces dossiers ? Est-ce que M. Ribière m'accompagnera ?
M. Turvan répond sans hésitation :
— Vous êtes maintenant responsable au même titre que M. Ribière. Vous me ferez des rapports réguliers et j'attends de vous et de M. Ribière un travail d'équipe. Si vous avez besoin de conseils dans votre nouveau poste, je pense que M. Ribière se fera un plaisir de vous conseiller. Mais je suis sûr que vous avez la finesse et le doigté pour mener à bien vos futures missions.
Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s'attendait pas à ça. Il a failli protester mais s'est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes.
Tout son plan tombe à l'eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s'en veut mais n'y peut plus rien. Il perd un peu de son assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.
Maryse est extrêmement fière et heureuse.
Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu'elle s'organise pour les enfants avec son mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans son bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec son mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale.
Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d'excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu'il l'accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l'ordre de passer le chercher à la date convenue.
Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants sont très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. son mari se fait même câlin et lui fait l'amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n'est pas tout à fait présente.
Une partie d'elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu'il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu'elle a vécus dernièrement et à ceux qu'elle va vivre bientôt.
La veille de son déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l'hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres.
Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la maison, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l'allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu'à la déchetterie pour prendre M. Francis.
Elle se gare devant son logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d'entrer. Il l'attend dans son canapé usé. son matériel est prêt. Il ne se sépare plus de son ordinateur et de son appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d'un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire.
son attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s'est déroulée l'entrevue avec son directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l'intention de lui faire subir.
Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d'un panneau annonçant une aire d'autoroute, M. Francis lui dit de s'arrêter pour qu'il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu'il veut qu'elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques véhicules, mais personne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d'adrénaline la traverser alors qu'elle se décide à lui obéir.
Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu'il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c'est chaque fois plus fort qu'elle. La décharge d'émotions contradictoires l'empêche de garder le contrôle. Elle a peur d'être surprise par un inconnu et pourtant la situation l'excite énormément.
— Sors ma bite et tiens-la pendant que je pisse !
Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir son pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu'il se libère. Elle est surprise par la pression de l'urine, le jet éclabousse d'abord le bord de la cuvette avant qu'elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme son
née par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s'asseoir sur la cuvette, ce qu'elle fait avec empressement tant elle est excitée.
Sans ménagement, il lui enfonce son sexe dur dans la bouche. Elle n'a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur.
Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu'il peut. Elle salive énormément autour de son sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s'enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu'elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l'envahissent. Elle ne peut faire autrement que d'avaler le liquide gluant et chaud.
Il se retire enfin sans qu'elle arrête de serrer son sexe avec ses lèvres. Il sort alors son appareil photo pour immortaliser l'instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l'intensité de la situation.
Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d'un homme dont le sourire en coin montre qu'il a deviné ce qui s'est passé dans cette cabine. Comme si cela n'était pas suffisant elle l'entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation mêlée de plaisir. Elle n'ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai.
Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l'hôtel, ils se rendent à l'accueil. Une femme d'une trentaine d'année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l'accompagne jusqu'à sa chambre au second étage.
Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de son amant. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s'est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion.
Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que son charme et sa nouvelle assurance y sont pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s'enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l'équipe mais refuse gentiment en leur disant qu'ils ne sont vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l'équipe sont déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d'accepter alors que M. Francis l'attend. Elle se demande ce qu'il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu'il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n'est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites.
Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l'attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu'une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau.
Elle l'interroge du regard, mais visiblement il n'y a rien à dire de plus. Elle sait qu'il va lui faire vivre une séance d'exhibitionnisme. Elle sent son sexe s'humidifier à cette idée alors qu'elle se rend compte qu'elle n'a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire.
Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d'une musique lancinante qu'elle imagine. Elle se tourne pour qu'il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève son chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent son sexe s'humidifier de plus en plus alors qu'elle s'effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts.
Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons sont dressés par l'excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l'appareil photo. Elle n'a plus de complexes devant l'objectif. Elle sait qu'elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos.
Certains d'entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l'a excitée.
Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu'elle a rencontré M. Francis et plus c'est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l'envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils sont vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et son dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière.
M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l'aider à enfiler son corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu'à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu'apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l'une de ces pin-up des années 50.
Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de son intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu'elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l'idée des sensations qu'elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy.
M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d'accueil sous le regard amusé de l'hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C'est lui qui conduit.
Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s'arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer son manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d'excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s'approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas.
C'est une chose de se montrer devant une caméra, mais c'est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent son ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. son sexe s'humidifie alors qu'elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s'approche plus près, lui aussi sort son sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu'elle puisse les entendre.
La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent son corps, s'attardant sur ses seins et son sexe trempé. Elle les entend lui dire qu'elle est magnifique, que c'est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur son corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se sont joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum.
Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur son corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse.
L'un d'eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers son sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans son vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges.
Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s'écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l'explorent.
D'autres mains viennent profiter de son corps. L'un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu'elle le touche à l'intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse.
Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de son masseur. Après quelque temps, les vitres sont maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu'au parking de l'hôtel où il se gare dans un coin sombre.
En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de son pantalon, elle se réjouit à l'idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s'accroupit devant lui pour lui sucer son sexe tendu au maximum par l'excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu'elle a l'air d'une prostituée, cette idée l'excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de son sexe en bouche, manquant parfois de s'étrangler.
Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l'excitation. Il s'approche et présente son sexe dur sur son anus. Elle aime tellement qu'il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s'entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène.
Elle a perdu toute retenue, mais elle n'a pas le temps de penser plus. Le sexe, d'une poussée, se retrouve au plus profond de son ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s'écraser contre son sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher pour son plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui
plaîtmême si une part d'elle aurait été révoltée il n'y a pas si longtemps. Elle sent son pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la pression des pénétrations. Son petit trou doit être distendu.
Ses seins sont écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec
force en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit aussi avant de s'affaler sur le capot.
Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l'intensité de la situation. Elle sent le sperme s'écouler de son petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu'au hall d'accueil. Ils passent devant l'hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n'ose pas la regarder, la honte l'envahit en-même temps qu'un délicieux sentiment de satisfaction.
Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n'en revient pas. Elle s'est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis.
Quand elle sort de la douche, c'est pour le retrouver devant son ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur son site et il lui dit qu'il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s'empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l'ordinateur, habillée d'une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l'excitent sont les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu'elle en ait honte.
Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s'attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu'elle éprouve, mais elle n'en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.
oooOOoo
Un soir, elle décide de prendre les choses en main pour pimenter sa vie de couple. Elle envoie ses enfants chez ses parents pour le week-end. Elle s'apprête pour exciter son mari en s'habillant d'une courte jupe volante, d'un haut moulant, en omettant de mettre des sous-vêtements. C'est dans cette tenue qu'elle reçoit son mari qui rentre des courses. Il lui raconte ses aventures au marché d'un débit inlassable. Il a rencontré un tel qui est malade, et la commerçante... Blablabla... Il l'exaspère !
Il ne la voit pas. Pourtant, il la regarde mais comme d'habitude, sans lueur d'excitation, pas d'envie particulière, rien, le néant. Puisqu'il ne veut pas prendre l'initiative, elle se décide à faire le premier pas. Elle prend d'abord des poses langoureuses pour ranger ce que lui tend son mari. Elle se penche en avant tout en gardant ses jambes bien droites pour placer les tomates dans le bac du réfrigérateur.
Dans cette position, un voyeur pourrait apercevoir le bas de ses fesses et ne manquerait pas d'essayer d'en voir plus.
Son mari ne réagit toujours pas. Il lui tend les courgettes tout en discutant. Elle se surprend à trouver excitante la forme phallique de ces légumes. Elle en caresse une langoureusement avant de se reprendre. Son mari ne voit rien, elle abandonne pour le moment.
Elle ne réussit pas à apprécier leur délicieux repas tant elle rumine l'impossible réactivité de son mari. Comme à son habitude, son mari décide de faire une petite sieste, elle profite de ce moment pour essayer de nouveau à l'exciter. Il s'allonge sur le lit, les bras croisés, perdu dans ses pensées. Elle apparaît dans l'embrasure de la porte. Elle se cambre, le visage relevé, les yeux entre-ouverts. Elle se mord la lèvre inférieure dans une moue érotique. Elle commence à se caresser les hanches. Ses mains descendent le long de son corps et remontent doucement en relevant le tissu de la jupe. Il devient évident qu'elle ne porte aucune culotte. Elle relâche sa jupe et ses mains glissent sur sa poitrine généreuse et souple. Ses tétons tendent le tissu de son haut moulant.
Elle ne sait plus si elle se caresse pour réveiller la libido de son mari ou pour son propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève son haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et sont terriblement sensibles. Elle les pince, elle tire dessus en se mordant la lèvre pour ne pas laisser échapper ses gémissements. Elle redescend sa main droite vers son intimité, elle n'est pas surprise de sentir l'humidité de son sexe. Elle caresse son clitoris en alternant les effleurements et les caresses plus appuyées. De son autre main, elle continue à serrer son sein, à le pétrir, à le presser. Elle sent son plaisir monter rapidement, sa main quitte précipitamment son sein pour venir pénétrer d'un puis de deux doigts son sexe trempé. Elle sent son point G, elle presse ses deux doigts dessus tout en continuant d'exciter son clitoris en érection.
La jouissance la traverse avec violence. Elle ne crie pas, ses lèvres sont scellées dans un rictus de plaisir, son corps est raidi au maximum.
Elle relâche doucement ses muscles tout en se tenant au chambranle de la porte. Elle réalise avec tristesse que son mari s'est endormi sans même la voir.
La déception est immense pour Maryse qui souhaitait essayer de partager de nouvelles expériences.
Elle est maintenant persuadée qu'elle ne pourra jamais vivre ces moments d'excitation intense avec son mari. Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec lui pour ne plus avoir à le tromper, à lui mentir mais il ne possède pas la bestialité et la perversité de M. Francis. Cette révélation lui fait peur. Il faudrait qu'elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement dans la perversité et la luxure. Elle est déjà allée tellement loin dans ses expériences qu'elle pourrait y mettre un terme. L'éventualité est rapidement repoussée. Presque avec horreur, elle réalise qu'elle est accro à ces sensations... au sexe.
Le reste du week-end se passe lentement, elle ne pense qu'à une chose : rejoindre son amant. Elle apprend le lundi qu'elle doit de nouveau partir en déplacement à partir de mercredi. Elle se réjouit à cette idée. Une fois dans son bureau, elle envoie un mail à M. Francis pour le prévenir. Quelque temps après, il lui répond qu'il pourra se libérer mais qu'elle devra suivre les instructions suivantes :
— Tu passeras me chercher à la déchetterie mercredi après-midi. Tu viendras en tenue très sexy, quelque chose de très court et des talons aiguilles. Attends-toi à ce que je te défonce ton petit cul de salope ! Donc pas de culotte.
Le langage très cru de M. Francis devrait la choquer mais bien au contraire. Elle ressent une décharge d'adrénaline et une bouffée de chaleur au moment où elle le lit. Elle sent son sexe s'humidifier sous l'excitation que provoquent ces quelques mots. La journée se passe sans autre message de la part de M. Francis.
Le soir, elle annonce son nouveau déplacement. son mari n'y réagit pas. Elle voudrait le secouer, le frapper pour qu'il la voit mais elle se dit que ce serait peine perdue. Alors elle se renferme, elle met son masque de gentille femme mariée et joue le rôle qu'on lui attribue.
Le mercredi, elle prend soin de choisir deux tenues. L'une pour aller travailler, juste féminine avec les fameux talons aiguilles demandés par M. Francis et l'autre très provocante. Elle choisit la mini-robe blanche qu'elle a achetée quelques mois auparavant. Elle la moule parfaitement. Elle est totalement indécente dans cette tenue mais elle sait qu'elle fera plaisir à son mentor. Elle se maquille puis s'habille avant de quitter la maison.
La matinée passe rapidement, elle prépare jusqu'au moindre détail son déplacement professionnel pour avoir l'esprit totalement libre pour M. Francis. Elle s'amuse des regards appuyés de ses collègues. C'est avec empressement qu'elle remonte dans sa voiture, fière de son travail. Il lui faut maintenant trouver un endroit pour se changer. Elle ne pouvait décemment pas venir au travail dans sa mini-robe moulante. Elle choisit un petit bois non loin de la déchetterie pour s'arrêter. Elle prend quelques instants pour vérifier que l'endroit est bien désert, puis elle sort sa petite robe de son sac. Un rapide coup d'œil supplémentaire pour la rassurer et elle commence à retirer son chemisier et sa jupe longue. Elle hésite un bref instant, puis se décide à enlever son soutien-gorge et son string qui seraient de trop avec sa robe.
Elle s'agite dans l'espace confiné de sa voiture pour se changer quand tout à coup elle aperçoit un mouvement sur sa gauche. Elle se fige de peur d'être découverte. son cœur s'accélère, elle reçoit une décharge d'adrénaline lorsqu'elle voit un homme caché dans les feuillages d'un buisson en train de l'observer. Il ne bouge pas, il semble aussi effrayé qu'elle d'être découvert.
Maryse prend alors conscience que sa honte et sa peur cèdent peu à peu pour laisser place à une excitation irrésistible. Elle rougit fortement, elle a du mal à respirer mais elle recommence doucement à se changer. Elle ralentit ses gestes qui manquent de précision tant elle tremble pour faire durer ce moment.
Elle observe du coin de l'œil son voyeur qui bouge doucement. Il essaie d'en voir plus et en même temps, elle remarque que sa main gauche s'active précipitamment sur un sexe tendu comme un arc.
Elle se remémore l'épisode dans Paris où tous ces voyeurs se sont masturbés devant elle. Mais elle n'ose pas aller plus loin dans cette expérience, elle était alors accompagnée de M. Francis. Pourtant elle continue doucement à s'habiller. Elle en profite pour caresser ses seins, et les soupeser comme pour mieux les présenter à son voyeur anonyme. Elle en tire une profonde satisfaction et un plaisir immense. Elle peut le voir se crisper avant d'éjaculer copieusement sur le buisson et dans sa main.
Elle met fin à sa petite exhibition en redémarrant rapidement le moteur. Elle est dans un état second après cette nouvelle expérience. Elle s'abandonne de plus en plus à cette nouvelle personnalité avide de plaisir et de sexe. Elle arrive peu de temps après aux portes de la déchetterie.

Il y en a encore....

Histoire du net. Auteur inconnu. Pulsions irrépressibles.. Fin

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Savoir être soumise a ses pulsions
Accepter d'être une salope
Celle de M. Francis
C'est beau non une telle perversion..?

Maryse, naissance de la perversion
Fin.
Une partie de son être a peur de ce qui l'attend. Elle sait maintenant que plus elle est excitée plus elle s'abandonne facilement aux perversions sans limites de M. Francis. L'espace d'une seconde, elle hésite à faire demi-tour, à tout abandonner, mais c'est trop tard. Les grilles s'ouvrent et elle s'engouffre presque malgré elle dans ce lieu qui représente sa débauche.
De nouveau son cœur s'emballe. Ses gestes sont mécaniques, elle ne pense plus qu'aux futurs désirs de son amant. Elle les appréhende tout en les attendant impatiemment.
Elle sort de la voiture, sa robe protégeant à peine son intimité. Les talons aiguilles la cambrent bien et accentuent le balancement de ses hanches alors qu'elle se dirige vers la porte du logement de M. Francis. Elle tremble presque de retrouver son amant. son sexe est humide, elle le sent presque couler sur le haut de ses cuisses.
Elle a honte de se comporter comme une catin mais elle ne peut se résoudre à faire demi-tour. Elle frappe à la porte, et c'est la voix empreinte d'autorité de M. Francis qui l'accueille. Elle ouvre la porte qui représente pour elle la frontière entre le monde normal et le monde de luxure auquel une partie de son être de plus en plus importante aspire.
Il l'attend assis dans un vieux fauteuil, son appareil photo en main prêt à immortaliser ces instants de débauche. Il commence à la prendre en photo alors qu'elle avance dans la pièce. L'ordinateur est allumé, elle se voit évoluer dans la pièce habillée de cette micro robe. Elle se reconnaît à peine. Elle a le regard vague, puis tout à coup elle comprend ce qui se passe.
Il la filme, le visage découvert. Elle prend peur. Elle se couvre le visage. D'une petite voix, elle exprime son refus de se laisser ainsi filmer. Il était tellement facile de se laisser prendre en photo nue dans des positions indécentes sans que son visage n'apparaisse. son visage, c'est son identité de femme mariée, mère de deux enfants, travaillant, respectable. Dévoiler son visage c'est dévoiler son intimité la plus profonde.
Elle qui s'imaginait qu'il serait plus difficile de montrer un sein, sa vulve gonflée d'humidité ou même son petit trou dilaté par les assauts de M. Francis. Non, le plus difficile c'est son visage. M. Francis la sort de sa léthargie en lui intimant l'ordre de se découvrir, qu'elle ne risque rien. Il lui demande qui, dans son entourage, regarde ce genre de site noyé dans la masse informe d'internet.
Les mots sont pour une fois relativement doux, il gagne peu à peu sa confiance. Il lui dit que son plaisir en sera décuplé puisque sans limite, assumé. Peu à peu ses mains glissent le long de son visage. Elles descendent sur son cou, sur sa poitrine. Elle s'abandonne une fois de plus aux désirs de son amant. Elle est surprise de sentir ses tétons durcis. Elle caresse ses seins devant la caméra, plus ouvertement.
Elle aperçoit des commentaires sur le côté de son image.
Ils l'encouragent tous à en montrer plus. Certains déguisent leur demande de courtoisie, les autres sont plus directs. Elle se donne en spectacle. Elle presse ses seins entre ses mains, elle joue avec. Elle se tourne pour leur montrer ses fesses rebondies. Elle se penche en avant pour qu'ils aient un bref aperçu de sa nudité. Elle sort sa grosse poitrine un peu molle de sa robe. Elle la fait bouger, cela les rend fous et elle aussi.
M. Francis continue à prendre des photos pour immortaliser ces moments de pur abandon à la débauche. Elle fait glisser sa robe le long de ses cuisses galbées. Les internautes voyeurs sont comblés par sa beauté et sa générosité. Elle se penche en avant pour leur montrer de nouveau ses trésors, ses deux orifices dont l'un coule littéralement d'excitation. Elle passe ses doigts entre ses lèvres boursouflées pour sentir la moiteur de son sexe. Elle est au bord de la jouissance. Elle a besoin d'être pénétrée, d'être prise comme une salope qu'elle devient.
Ses dernières pensées attisent sa honte mais l'excitent encore plus. Elle s'agenouille par terre, se penche en avant et commence à investir sa vulve dégoulinante avec deux de ses doigts. Elle se pénètre facilement, fait quelques va-et-vient avant d'en ajouter un troisième. Elle gémit devant les internautes qui n'en reviennent pas de la chance qu'ils ont.
Dans son délire, elle essaie d'enfoncer un quatrième doigt mais ne réussit pas vraiment. La tête écrasée sur le vieux tapis, elle active maintenant les doigts de sa main gauche sur son clitoris si sensible. Elle le titille, elle le pince en criant presque de plaisir et de douleur mêlés. Elle jouit son*son*son devant la caméra, le cul et la chatte offerts indécemment à ces spectateurs.
Elle laisse passer les vagues de plaisir avec bonheur. Elle peine à retrouver ses esprits. Elle perçoit plus qu'elle ne voit M. Francis qui s'affaire à éteindre son ordinateur. Elle est toujours dans la même position, elle pense être trop faible pour bouger.
Elle entend alors M. Francis retirer son pantalon et sans tarder, il présente son sexe gonflé d'excitation devant son vagin poisseux. Il la pénètre d'un mouvement brusque jusqu'à ce qu'il soit au plus profond. Elle gémit de plaisir en le sentant la posséder. Il la prend avec
force tellement il est excité. Pourtant il quitte son sexe pour s'enfoncer lentement dans ses entrailles.
Elle gémit plus fort encore en sentant ce sexe la sodomiser longuement avec
force. Puis sans prévenir, il accélère le rythme. Les pénétrations sont profondes et puissantes. Il tient sa promesse et la défonce littéralement. Elle halète, crie sous les coups puissants de M. Francis. Il crie à son tour alors qu'il éjacule au plus profond des entrailles de Maryse. Il se retire et tombe presque à la renverse dans son fauteuil, le sexe gluant de leurs sécrétions.
Elle s'écroule sur le tapis, le sperme encore chaud sort lentement de son petit trou dilaté et coule sur sa cuisse avant de créer une petite flaque que le tapis peine à absorber. Ils restent tous les deux ainsi abasourdis.
Maintenant que l'excitation redescend, les pensées de Maryse se bousculent. Elle s'est, une fois de plus, laissé manipuler par M. Francis. Peu à peu il la soumet au moindre de ses désirs lubriques. Cette dernière expérience à visage découvert pourrait signifier sa perte si quelqu'un de son entourage voyait la vidéo. Pourtant, ce qui la choque le plus, c'est qu'elle serait prête à recommencer s'il le lui demandait. Elle ne peut rien lui refuser.
Après un moment, il lui dit d'aller faire une toilette avant qu'il reparte. Il lui dit qu'ils devront faire un crochet pour aller dans un magasin. Étant assez tard, elle se demande de quel magasin il peut s'agir. Tout à coup, elle croit deviner leur destination et redoute d'être dans le vrai. Elle ne montre pas son appréhension pour éviter de le décevoir.
Elle remet docilement sa petite robe moulante sans ses sous-vêtements. Ses talons aiguilles claquent sur le sol quand elle se dirige en compagnie de M. Francis vers sa voiture. Il lui indique la route à prendre, alors que sa main caresse ses cuisses et sa vulve humide. Elle peine à garder sa concentration sur la route.
Ils s'arrêtent dans un quartier glauque de la ville. Ses talons aiguilles résonnent à chacun de ses pas. Plus ils avancent dans cette rue secondaire, plus ses craintes se précisent. Elle a une boule au ventre pourtant elle continue d'avancer. Ils s'arrêtent devant une vitrine fermée illuminée d'un néon rose qui laisse peu de doute sur l'endroit. M. Francis ouvre la porte et laisse entrer Maryse qui aurait préféré le suivre plutôt que le précéder.
Elle se trouve dans une petite pièce à l'éclairage tamisé où sont présentés dans une vitrine toutes sortes d'objets en latex ou en métal chromé. De l'autre côté sont suspendus des vêtements de toutes sortes. Quand elle les détaille un peu plus, elle se rend compte qu'il s'agit exclusivement de vêtements en cuir qui révèlent plus qu'ils ne cachent.
Un homme l'observe depuis son comptoir où sont affichés de nombreuses photos toutes plus explicites les unes que les autres. Le vendeur est légèrement dégarni, il a un regard étrangement neutre. Elle se dit que contrairement à elle, il est saturé de tous ces objets sexuels. Pour elle, ce n'est que la deuxième fois qu'elle visite un tel lieu.
Elle se demande ce que M. Francis a en tête. Il se dirige vers le comptoir, la laissant à l'entrée. Elle n'ose pas bouger, elle se contente d'observer tous ces objets aux formes arrondies ou en pointes. Elle cède à la curiosité et s'approche de la vitrine pour lire les étiquettes. Il y a ici des nipple rings, là des cock rings, des ball stretchers, des pinces de toutes tailles...
Malgré elle, elle sent l'excitation monter. Elle, la mère de famille, est excitée de se retrouver dans ce lieu interdit. Une fois encore elle est surprise de ne pas s'enfuir. La peur de ce que lui réserve M. Francis s'ajoute à la sensation d'abandon au vice.
Elle est sortie de ses pensées par M. Francis qui lui demande de le suivre dans l'autre salle. Elle n'avait pas remarqué qu'il y avait d'autres pièces.
Le vendeur ne manque pas d'observer le corps de Maryse avec un petit sourire appréciateur. Elle se sent comme l'un de ces objets sexuels, relégué à la seule fonction d'assouvir les fantasmes les plus pervers.
Dans l'autre pièce, trônent des godes de toutes tailles. Certains moulés sur le sexe d'acteurs pornos, d'autres aux formes biscornues de toutes les couleurs. Elle est honteuse mais ne peut
refrénerson envie de les sentir au plus profond de ses orifices bien trempés. Il y a bien plus de vêtements dans cette pièce, soit en latex, en vinyle ou bien encore en cuir.
Un vendeur les attend et indique un siège à M. Francis. Il s'assoit alors qu'elle reste debout. Cette attitude l'aurait choquée avant de le rencontrer, là c'est naturel. Le vendeur observe Maryse, s'approche d'elle pour prendre quelques mesures sans lui parler. Il sort un mètre ruban et mesure sa poitrine, sa taille et ses hanches.
Elle sent les doigts de cet homme de la quarantaine effleurer son corps qui ne manque pas de réagir. Ses tétons tendent le tissu moulant de la robe. Sa poitrine s'est gonflée d'excitation. Elle respire difficilement, et se sent rougir.
Elle a un hoquet de surprise quand le vendeur soupèse sa poitrine pour en tester la fermeté. Elle jette un œil apeuré à M. Francis qui suit toute la scène avec un plaisir non dissimulé. Le vendeur se dirige vers la collection de cuir et en sélectionne quelques articles. Le premier qu'il présente à M. Francis est une sorte de harnais muni de chaînes et d'anneaux métalliques. son amant acquiesce et le vendeur demande à Maryse de retirer sa robe.
Naïvement, elle se dirige vers la cabine d'essayage mais M. Francis lui fait comprendre d'un signe de la tête qu'elle doit se changer ici devant eux. Elle panique, le magasin est désert mais si un nouveau client entrait, il ne manquerait rien du spectacle. La femme mariée s'y refuse, mais c'est sans compter cette femme perverse avide de sensations lubriques. Doucement elle retire sa robe, révélant au vendeur sa voluptueuse nudité.
Le vendeur n'en perd rien. Elle a le regard baissé mais peut apercevoir une large bosse déformer son pantalon. Elle ne prend pas la peine de cacher sa grosse poitrine mais elle garde ses mains croisées devant son sexe qu'elle sent moite.
Le vendeur lui présente le harnais. Il l'aide à l'enfiler.
Un string en cuir ouvert est attaché par un complexe réseau de ceintures que le vendeur resserre autour de sa taille lui coupant presque le souffle. Le string s'insère entre ses deux lobes généreux. Ses seins sont écrasés par des ceintures qui s'entrecroisent au niveau de ses mamelons en érection. Un anneau métallique les laisse bien en vue. Elle peut voir le résultat dans plusieurs miroirs éparpillés dans la pièce. Elle est transformée, elle se reconnaît à peine dans cette tenue aux forts accents SM. Pourtant elle ressent un immense plaisir à se montrer ainsi à M. Francis.
Le vendeur semble très excité par la situation mais il continue de suivre les directives de M. Francis et lui présente un autre accoutrement. Il s'agit cette fois-ci d'une robe en cuir noir à lacets sur toute sa longueur. Elle retire non sans difficulté le harnais pour essayer la robe. Elle doit avouer qu'elle est magnifique même si jamais elle n'aurait imaginé en porter une. Elle enfile la robe qu'elle remonte le long de son corps. Les balconnets peinent à maintenir sa poitrine en place qui déborde légèrement ajoutant une certaine indécence à la tenue.
Le vendeur commence alors à serrer les lacets de la taille. Une nouvelle fois, elle a le souffle coupé. Il lui fait perdre plusieurs centimètres de taille. Il lace ensuite le bas de la robe, emprisonnant ses fesses charnues dans le cuir. Les lacets s'inscrivent dans sa chair. L'effet est terriblement érotique.
La robe révèle son corps. Les lacets ne cachent rien du sillon accueillant de ses fesses. Ses hanches et sa poitrine sont mises en valeur par sa taille resserrée. Pourtant, jamais elle ne pourra sortir habillée ainsi.
M. Francis approuve une nouvelle fois. Il se lève pour mieux observer Maryse qui en éprouve une certaine fierté mêlée de honte d'être ainsi traitée. Il demande alors au vendeur de lui montrer ce qu'il a comme bottes à talons aiguilles. Le choix n'est pas large mais M. Francis jette son dévolu sur des bottes à lacets sur l'arrière et à talons aiguilles. Il les présente à Maryse pour qu'elle les essaie. Elle s'assoit mais ne peut les mettre toute seule à cause du corset de la robe. Le vendeur s'agenouille devant elle pour les enfiler avec
forcetout en jetant des regards furtifs entre ses cuisses pour essayer d'apercevoir son sexe baveux. Elle ne peut faire autrement que d'écarter les cuisses et lui offrir ainsi ses lèvres ouvertes et gonflées d'excitation.
M. Francis ne reste pas insensible à la situation, son pantalon est lui aussi déformé par une généreuse érection. Il ne quitte pas des yeux la poitrine de Maryse qui ondule outrageusement au rythme des poussées du vendeur sur les bottes. Les bottes arrivent sous les genoux de Maryse. Une fois les lacets serrés, elle se lève pour faire quelques pas. Les talons sont dangereusement hauts mais elle a acquis une assurance certaine ces derniers temps. Ces bottes complètent parfaitement sa robe. Elle se fait l'effet de l'une de ces reines de la nuit et du plaisir.
M. Francis semble satisfait et demande au vendeur le prix de ces deux articles. La somme paraît astronomique à Maryse mais il ne semble pas s'en soucier et les accepte. Elle commence à vouloir se dévêtir mais de nouveau, d'un simple geste de la tête, il lui fait comprendre qu'elle doit rester ainsi.
Une bouffée de chaleur l'envahit, elle panique. Mais elle ne peut rien y faire, elle est obligée de se résoudre à sortir habillée dans cette tenue qui ne cache rien de son corps. Elle se résout à le suivre dans la première pièce. Le vendeur malgré son expérience de ce monde écarquille les yeux en la voyant. Il encaisse la carte de M. Francis en lui disant qu'ils peuvent revenir quand ils veulent et qu'il pourrait les présenter à certaines de ces connaissances s'ils le souhaitent. M. Francis lui répond « Pourquoi pas, une prochaine fois... ».
Elle n'aurait jamais pensé qu'il serait plus difficile de sortir de ce sex-shop que d'y entrer. Elle est terriblement effrayée de se montrer dans ces vêtements suggestifs aux passants. La petite rue est déserte quand ils sortent, elle pousse un soupir de soulagement jusqu'à ce qu'elle entende un sifflement approbateur qui la fait sursauter. Elle n'ose pas se retourner pour en voir la source, elle a trop honte. Elle est consciente que l'on peut voir le sillon de ses fesses mis en valeur par les lacets de la robe. Ses bottes claquent sur le bitume du trottoir.
M. Francis ne prend pas le chemin de la voiture, il emprunte d'autres ruelles où ils croisent d'autres passants aux réactions diverses. Certains sont ébahis de la voir dans cette tenue, d'autres s'arrêtent franchement pour la regarder. Ils croisent une femme d'une soixantaine d'année qui s'offusque à la voyant jusqu'à la traiter de dépravée. Cette insulte fait écho aux pensées de Maryse. Elle a honte de son attitude et pourtant elle en tire un immense plaisir. Elle se soumet aux moindres caprices de M. Francis car il sait comment lui révéler sa plus profonde nature de dépravée.
Ils entrent dans un petit square presque désert occupé par un sans-abri qui semble dormir, une bouteille de rouge à la main. Elle se demande ce que son amant lui réserve. Il lui dit de s'asseoir sur un banc alors qu'il sort son appareil photo. Elle se mordille la lèvre inférieure. Lentement la crainte fait place à l'excitation sans totalement s'effacer.
Elle vérifie rapidement que le sans-abri est bien endormi et peu à peu elle se laisse aller devant l'objectif inquisiteur de l'appareil photo. Elle prend des poses lascives, prenant soin de montrer sa cambrure accentuée par les talons et le corset serré. Elle se penche en avant sur le banc pour lui montrer ses fesses charnues enserrées dans le cuir.
Elle jette un regard en arrière avec une moue érotique que M. Francis immortalise. Elle s'assoit sur le banc en croisant les jambes, les bras sur le dossier. Sa poitrine se lève à chacune de ses respirations, manquant de s'échapper à chaque fois. Alors qu'elle se tourne à nouveau pour montrer le laçage qui emprisonne ses fesses, elle aperçoit le SDF qui la regarde avec avidité. Il se masturbe ouvertement en la regardant.
Elle est saisie de peur. Elle regarde M. Francis qui lui aussi a vu l'homme. Mais loin de le freiner, il lui demande de continuer devant son nouveau spectateur. Elle hésite, mortifiée par cette demande. La stupeur laisse place lentement à une nouvelle montée de son excitation alors qu'elle observe le membre massif du SDF branlé vigoureusement par son propriétaire.
Elle se laisse de nouveau aller à l'exhibition. Elle amplifie toutes ses poses pour être la plus désirable possible. Elle aussi regarde ouvertement le sexe de cet homme seul et rejeté. Il est de bonne taille avec de grosses veines. Les deux boules de ses bourses molles s'agitent à chacun de ses mouvements erratiques. Elle ne cherche plus qu'à le faire jouir.
Il se lève pour s'approcher, le sexe fermement serré dans sa main. Ses bourses pendent mollement entre ses cuisses. Il s'arrête devant elle. Il n'ose pas la toucher, il jette un regard vers le photographe qui ne manque rien de la scène.
Il comprend qu'il ne doit pas la toucher, il ne pousse pas sa chance plus loin. Il recommence à se masturber frénétiquement devant cette femme sortie d'un magazine pornographique. Elle continue à prendre des poses lascives en le regardant. Elle observe les va-et-vient de la main le long de cette grosse queue.
Si elle osait, elle le prendrait en bouche pour l'aider dans son plaisir.
Elle se contente de sortir un sein de sa gaine de cuir. Le voyeur n'en revient pas et il accélère le mouvement en grognant comme une bête. Elle se retourne pour lui présenter son cul, il en décharge une grosse quantité de sperme sur le cuir noir de sa robe.
Elle sent les jets s'écraser lourdement sur ses fesses à travers le cuir et elle en tire un immense plaisir sans même se toucher. M. Francis a tout photographié, ravi de la tournure des événements. Il présente un paquet de mouchoir au sans-abri et lui indique de nettoyer son sperme. C'est tout fébrile, la queue pendante entre ses jambes, qu'il tend le bras pour essuyer le liquide poisseux. Il en profite largement pour caresser à travers le cuir alors que la femme toujours penchée en avant sur le banc gémit son plaisir pervers de se faire toucher ainsi.
Il continue consciencieusement à la nettoyer en s'assurant qu'il ne reste rien sur son fessier rebondi. Après quelques instants, M. Francis le remercie et lui donne quelques pièces. Le sans-abri regarde la femme alors qu'ils quittent le square. Il lui semble bien que sa démarche n'est pas très assurée, est-ce les talons ou bien autre chose. Il s'en retourne à sa place, rêvassant à ces quelques moments irréels de pur plaisir.
Maryse a de plus en plus le sentiment qu'elle n'est plus maîtresse d'elle-même. Elle s'abandonne peu à peu totalement à M. Francis. Elle se soumet aux moindres de ses désirs. Les regards des passants glissent sur elle en ajoutant à son excitation et à sa honte. Elle les sent plus qu'elle ne les voit car elle n'ose pas les regarder. Elle garde le visage baissé pour ne pas avoir à affronter leur réaction. Elle monte dans la voiture, le corsage l'oblige à se tenir bien droite, sa poitrine largement offerte. M. Francis semble satisfait, il a un léger sourire. Elle se dit que c'est sans doute son manque de résistance qui lui
plaîtà moins qu'il ne pense à la suite de la soirée. La femme bourgeoise appréhende la suite des événements alors que l'autre partie de sa personnalité dépravée en demande toujours plus.
Ils arrivent à l'hôtel à une heure assez tardive, pourtant Maryse peut voir qu'il y a encore du passage. Elle est autant effrayée qu'excitée à l'idée d'affronter le regard de ces inconnus. Elle n'a pourtant pas le choix, elle rassemble son courage et descend de voiture.
Elle essaie de se mettre dans la peau de cette femme fatale sûre de ses charmes et de sa sexualité. Elle y parvient presque mais tout s'effondre quand elle se retrouve devant l'hôtelier qui manque de s'étouffer en la voyant. Il retrouve un semblant de dignité et demande le nom de la réservation en les regardant l'un après l'autre et en s'attardant sur la générosité du décolleté de Maryse.
M. Francis ne fait rien pour aider Maryse qui essaie aussi de retrouver une certaine contenance. Elle donne son nom d'une voix timide mais se voit obligée de le répéter plus fort pour que l'hôtelier réagisse. Il leur donne enfin leur clé en leur indiquant le numéro de chambre et l'étage. Elle la prend et se hâte vers l'escalier alors que M. Francis la suit avec les deux valises. Elle n'a pas besoin de se retourner pour savoir que l'hôtelier lui reluque impunément les fesses mises en valeur et révélées par le laçage de sa robe de cuir noir.
Dans sa hâte pour ouvrir la porte de leur chambre, elle fait tomber les clés. Elle s'accroupit pour les ramasser et remarque l'imposante bosse qui déforme le pantalon de M. Francis.
Il la regarde de toute sa hauteur en frottant négligemment le paquet que forment ses bourses. Elle rougit de l'effet qu'elle produit sur lui et de sa vulgarité. Elle en a honte mais elle salive à l'idée de sucer ce membre dressé pour elle. Elle s'engouffre dans la chambre, elle a du mal à respirer. Elle ne sait que faire. Elle attend figée que M. Francis lui dise quoi faire.
Il pose les valises à l'entrée. Puis il sort son ordinateur qu'il branche ainsi qu'une webcam. Il la tourne vers elle. Elle est tétanisée. Il va de nouveau l'offrir en pâture à des internautes surexcités. Cette fois il lui dit qu'il va vendre ses charmes au plus offrant. Elle a tout d'abord du mal à comprendre ce qu'il veut dire. Il lui explique alors qu'elle devra offrir un « spectacle » à celui qui acceptera de payer pour en voir plus.
D'une voix froide et autoritaire, il lui intime l'ordre d'exciter ses clients.
Une pointe glaciale lui traverse le cœur. Elle est offerte comme une prostituée à ces internautes. Elle doit les exciter pour qu'ils payent pour ses charmes. Une partie de son être crie, refuse, se révolte contre cette idée mais cette voix est impuissante face à l'excitation qu'elle ressent. Et lentement, comme dans le square, elle commence à bouger langoureusement en prenant des poses suggestives. Elle s'abandonne de nouveau devant l'objectif alors qu'il lui fait part des commentaires les plus vulgaires.
Tout à coup, il lui dit qu'elle a son premier client. Il veut voir sa chatte. Elle se couche sur le lit et écarte autant qu'elle peut ses jambes serrées par le cuir. Il lui dit qu'on ne voit pas assez, qu'il faut qu'elle se retourne. Elle se tourne et se met à quatre pattes en se cambrant au maximum ses fesses enserrées par la robe. Elle sent les cordes du laçage frotter contre ses grandes lèvres. Elle ondule pour accentuer le frottement.
Elle gémit doucement de cette caresse hors-norme. Elle sent sa chatte s'ouvrir et mouiller sans qu'elle se touche. De très loin, elle entend M. Francis lui donner ordonner de montrer ses seins. Elle se retourne dans un état second et serre sa poitrine pour accentuer son décolleté. Cela a l'air de plaire mais le client en veut plus alors elle tire le corsage vers le bas pour libérer le reste de sa poitrine généreuse et un peu molle. Elle triture ses seins, les offrant à la vue de son client. Elle les serre l'un contre l'autre. Elle les pelote. Elle tire sur ses tétons durcis par l'excitation.
Puis M. Francis lui dit que ce show est terminé. Il l'aide à retirer sa robe pour la suite qu'il souhaite plus active. Elle est dans un état second presque d'abandon. Elle lui obéit sans réfléchir. Il lui donne une robe de chambre presque trop courte qu'elle enfile. Puis il lui tend un gros vibromasseur qui a sans doute été moulé sur le sexe monstrueusement gros d'un acteur de porno. Elle le prend, le diamètre est imposant.
Elle est comme fiévreuse en regardant ce membre. M. Francis redirige la webcam vers elle et lui dit de recommence à les exciter. Elle reste interdite quelques secondes puis s'assoit sur le lit et commence à caresser le vibromasseur. Elle le place entre ses deux grosses mamelles encore cachées par la robe de chambre comme pour tester la grosseur de cette bite. Elle en titille du bout de la langue la tête comme pour le goûter.
Son petit manège semble exciter ses voyeurs car rapidement il y en a un qui demande un spectacle privé. M. Francis lui dit alors de se caresser la chatte avec le vibro, ce qu'elle exécute avec plaisir. Elle le fait glisser le long de sa fente, appréciant en gémissant cette douce caresse. son clitoris est érigé au maximum et frotté par la grosse bite qu'elle manipule de plus en plus rapidement.
M. Francis lui demande alors de se l'enfoncer. Elle se mordille la lèvre inférieure en appréciant une dernière fois la taille imposante du sexe. Elle le présente à l'entrée de sa vulve toute poisseuse de son excitation et commence à pousser dessus. Il est énorme et elle crie en forçant l'entrée de sa chatte. Elle se sent écartelée. Elle attend quelques secondes le temps de s'accommoder puis pousse de nouveau sur la bite monstrueuse qui l'envahit peu à peu.
Elle la retire pour mieux se pénétrer. Elle gémit comme une folle. M. Francis ne perd pas une miette du spectacle et l'encourage à continuer en la traitant de salope et d'autres mots plus crus les uns que les autres qui attisent l'excitation de Maryse.
Elle pousse sur le membre jusqu'à l'accepter totalement en elle. Elle enclenche alors les vibrations qui la rendent folle. Elle ondule, elle prend un de ses seins en mains pour le maltraiter. Elle le serre très fort alors que la bite mécanique la prend sans relâche. Elle se crispe soudain en poussant un cri silencieux. Une vague de jouissance la traverse, brisant ses dernières
illusions. Elle s'écroule sur le lit en tremblant alors que le sexe continue de vibrer en elle la faisant couler continuellement. Elle sent alors qu'on lui retire le sexe dans un bruit de succion humide.
Elle se sent vide et sans
force. Elle ne réagit pas quand deux doigts pénètrent sa vulve dilatée. Ils viennent écraser et exciter cette petite pièce de chair si sensible lui procurant un nouveau plaisir presque suffoquant.
Elle sent un troisième doigt la fouiller. Puis ils sont remplacés par le membre chaud de M. Francis, loin d'être aussi gros que le sexe mécanique mais tellement vivant. Elle apprécie les coups de reins presque violents de M. Francis qui écarte ses lobes fessiers pour pénétrer en même temps son anus de deux doigts trempés de sa mouille. Elle jouit non moins intensément quand elle le sent éjaculer au plus profond de sa chatte.
Elle lui appartient, même si cette idée terrorise la femme bourgeoise à la vie si bien rangée.


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En mai se déroule le festival de Cannes
Ouvertes..!
De gré ou de force..
En vase clos..... 

Histoire du net. Auteur inconnu. Le beau pompier

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Je vous laisse décider si c'est une histoire d'amour
et de respect des cultures...
Ou pas.
              En tout cas c'est une histoire de cul
bien écrite....

La prise de ma pastille
En ce 14 juillet, comme chaque année, je me démène comme un fou. Et oui, pas de repos pour un pompier ! C'est notre bal, le fameux bal des pompiers, et les sommes récoltées durant cette nuit nous motivent. Elles peuvent être très intéressantes...
En outre, c'est sympa, nous aidons les gens à s'amuser, à danser, à ... draguer. Nous nous occupons de la buvette au rythme d'une musique entraînante, même si elle ne correspond pas toujours à mes goûts personnels...
L'ambiance est toujours bonne enfant, quel autre uniforme est aussi populaire que le nôtre chez les Français ? Ce bel uniforme met en valeur nos culs musclés, et s'il est difficile de conclure le soir-même à cause du travail, nous trouvons toujours le moyen de danser un peu avec des nanas trop bonnes et nous récoltons quelques 06 pour consommer plus tard...
J'ai en déjà trois, j'espère bien battre Gabriel cette année. Il faut dire que si on aime les grands bruns baraqués aux yeux bleus, je suis l'homme idéal. Je suis jeune, j'ai 25 ans, et je m'amuse ; il n'y a pas de mal à cela. J'aime la chatte, les gonzesses aiment ma grosse bite...
J'ai tout le temps pour me ranger et fonder une famille (une femme, deux gosses, un chien). Ce programme m'effraie. La vie est trop courte pour se prendre la tête.
Bien sûr, l'alcool aidant, au cours de la nuit, il faut parfois intervenir pour calmer quelques excités. C'est la partie la moins gratifiante de la soirée, mais bon, c'est notre devoir.
Tiens, justement il y a trois jeunes qui draguent une jeune fille (hum, beau cul...) et semblent trop lourds. Entre 18 et 22 ans à première vue, look et attitude de racaille. Ils doivent venir de la cité Jean Jaurès, nous avons déjà eu là-bas des problèmes avec des feux de poubelles allumés intentionnellement afin de nous attirer et de nous caillasser. Prudent, je m'approche avec deux autres collègues.
- Bonsoir, un problème, mademoiselle ?
- Non, ces messieurs allaient partir. N'est-ce pas ?
Le regard lourd de menaces, les trois cailleras (deux beurs et un latino apparemment) se retirent après nous avoir toisés en marmonnant des propos incompréhensibles mais sûrement peu amènes.
Je discute un peu avec la jeune fille au beau cul. Bingo ! J'ai mon quatrième 06... Accroche-toi Gabriel, le bogosse number one est dans la place ! Envie de pisser, je dédaigne les W.C. qui doivent déjà puer l'urine et m'approche d'un arbre, en lisière d'un petit bois. J'aime la nature. Alors que je me soulage, j'entends :
- Enculé !
Cela provient de l'une des trois cailleras. Le plus jeune des deux beurs. Il est seul, ses copains ont dû partir. Foi de David, je ne vais pas me laisser insulter par ce petit morveux ! Moi, le mec viril, musclé et tatoué, un enculé ! Je m'égoutte et vais vers lui, prêt à en découdre. Il ne bouge pas, il me regarde, les bras croisés, tranquille, en souriant, comme s'il m'attendait. Si le p'tit con veut la bagarre, il va être servi.
- Ça t'arrive souvent d'insulter les gens ?
- C'est pas une insulte, c'est une promesse !
Avant que je ne puisse réagir et comprendre ce qu'il m'arrive, ses deux copains surgissent par surprise, les traîtres, et me font tomber violemment. Quel con ! Je suis tombé dans leur piège grossier tête la première.
Couché au sol, je n'arrive pas à me relever et essaie juste d'éviter les coups au visage. À trois contre un, je n'ai aucune chance, les lâches... Ils me redressent et m'emmènent dans le petit bois. Ils m’obligent à m'agenouiller.
- Ah ! Tu nous as cassé notre coup ? Tu crois qu'on va rentrer à la cité les couilles pleines ? On va se les vider. Dans ton cul de fouteur de merde... On va t'apprendre à t'occuper de nos affaires !
Mon pantalon est descendu, mes autres vêtements à moitié déchirés. Je suis à poil devant des inconnus, j'ai honte... Et je devine déjà que je ne vais pas cesser d'avoir honte, cette nuit.
J'avais raison, mes agresseurs sont deux beurs, Hakim 22 ans, Adel 18 ans, et Joao 20 ans, sans doute d'origine portugaise. Au début, je ne les prend pas au sérieux. Ils ne vont quand même pas me violer ! Ils ne sont pas homos, j'en ai eu la preuve ! Des mecs hétéros ne violent pas un homme, c'est impossible. Ils veulent juste me faire peur.
Mais ils baissent leurs pantalons, leurs caleçons et me tendent leurs grosses bites à pomper. Quelle horreur ! En plus, ils sont tous les trois montés comme des ânes ou des acteurs pornos, c'est bien ma veine.
Hakim, qui semble être le chef, m'attrape par la nuque et présente sa queue devant ma bouche. Je résiste. Il appuie alors sa chaussure contre mes couilles. J'ouvre la bouche. Putain ! Il aurait pu se la laver avant, le porc ! Je ne sais pas si je suce ou si je nettoie sa bite! Pour ma première pipe, je suis gâté ! Moi qui n'aime pas le fromage. Comme si la situation n'était pas déjà si terrible et humiliante...
- À fond, salope !
J'ai du mal à tout emboucher, il semble oublier que c'est ma première plume. Non, en fait il s'en branle. Il s'enfonce encore plus et je crois que je vais vomir. Ou mourir étouffé. Je ne peux malgré la situation dramatique m'empêcher d'imaginer le faire-part de décès : Judith et Simon L. ont la douleur de vous faire part du décès de leur fils chéri David, mort tragiquement étouffé par une trop grosse queue. Sans fleurs ni couronnes. La gloire posthume, quoi... Hakim n'est pas satisfait de ma prestation, si j'en crois les deux claques dans la gueule que je reçois... Quel salaud !
- Applique-toi, ordure ! Ce n'est pas tous les jours qu'une pute comme toi a la chance de déguster un si gros morceau !
Je m'applique. Puisque je ne peux pas éviter de le pomper, autant éviter les torgnoles. Et je commence à me dire que j'ai intérêt à le faire jouir avec ma bouche, pour éviter que mon cul de puceau (et qui entend bien le rester) ne prenne la place.
- Ah tu vois, quand tu veux... Elle est bonne la salope ! Je suis sûr que la pouffiasse de tout à l'heure suce moins bien. On a rien perdu au change, au contraire les gars...
- Ouais, dépêche-toi de jouir Hakim, on attend...
En effet, Adel et Joao se branlent en nous matant. Ils s'échauffent, m'insultent, rient. Hakim souffle de plus en plus fort, même si je n'ai pas d'expérience, je comprends qu'il va jouir. J'essaie de me retirer, mais il prend ma tête entre ses grosses paluches et me tient bien. L'inévitable se produit, le fils de pute jouit dans ma bouche.
- Tu vas tout avaler, sinon je ne me retire pas !
J'obéis. De toute façon, la majeure partie de son jus a fini directement dans mon estomac. C'est chaud, épais, gluant et amer... en résumé dégoûtant. Comment des filles peuvent-elles avaler ? Il doit falloir qu'elles soient drôlement amoureuses...
Joao prend la place vacante dans ma bouche. Elle est propre et je me prends à apprécier.
- Ouais , ça c'est de la salope de compétition ! Lèche mes grosses couilles, toutes les filles de la cité en sont dingues...
Heureusement, comme il se branle depuis dix minutes, la pipe ne dure pas trop longtemps. Moi qui suis circoncis comme Hakim et Adel, je ne peux pas m'empêcher de jouer avec son prépuce. Il apprécie l'initiative et encourage ma bonne volonté.
- Ouais, je l'avais bien dit... Toutes les truies succombent au pouvoir de ma queue !
Il jouit des litres de sperme. Je sais que c'est impossible, mais c'est l'impression que j'ai. J'en avale le plus que je peux afin d'éviter les représailles. Il en reste encore un. Pour me donner du courage, je me dis que j'ai fait les deux tiers du taf, que le cauchemar va bientôt se terminer.
En fait Adel est le plus vicieux. Il prend son temps. J'essaie de le faire gicler rapidement, la langue est de plus en plus agile (j'apprends vite) mais il ne l'entend pas ainsi. Il alterne sauvagerie et douceur. Il me fait caresser et lécher ses couilles rasées. Elles sont si douces...
Il prouve qu'il est le maître en me biflant. C'est très dégradant et cela fait rire grassement ses potes.
- Baise-lui la gueule à ce bâtard, Adel ! Qu'il comprenne ce que c'est qu'un vrai mec !
- Oui, qu'il ait dans la bouche le foutre qu'il n'a pas dans les couilles...
Il finit enfin par se vider au fond de ma gorge endolorie par ces trois terribles braquemards.
C'est un vrai soulagement. Je ne sais pas pourquoi je bande. J'ai mal à la mâchoire. J'aurais au moins appris ce soir que le foutre n'a pas le même goût chez tous les mecs, il est plus ou moins amer suivant les mecs. Je préfère celui d'Adel...
Mais qu'est-ce que je raconte, moi ?
Je crois que mon calvaire est terminé. Ils se sont vengés, vidés les burnes ; ils ont gagné, j'ai perdu.. Ils vont rentrer dans leur cité, fiers d'eux, et moi je sais que je ne pourrais jamais oublier cette humiliation...
Le problème c'est que Joao et Hakim rebandent après la pipe magistrale imposée par Adel. Hakim me fait mettre à quatre pattes. Pas besoin d'être grand clerc pour deviner ce qui m'attend.
- Non, par pitié ! Je vous donnerai du fric ! Je n'ai pas grand-chose, mais je vous le donnerai !
- Vous entendez, les mecs ? Tu nous prends pour qui ? On ne veut pas de ton aumône ! Tes pièces jaunes, tu te les gardes pour la vioc fétichiste des sacs à main !
- Hypocrite ! Si tu crois qu'on n'a pas vu que tu bandes ! Si tu prends ton pied avec une bite dans la gueule, imagine comme tu vas t'éclater avec nos zobs dans le derche.
À quatre pattes, je ne vois pas ce qui se passe derrière moi et c'est encore plus inquiétant. J'entends Hakim cracher. Il crache sur mon anus vierge et sur sa grosse queue. Je connais très bien sa taille. Hélas !
- Au secours ! Elle est trop grosse. Cela ne rentrera jamais !
Joao me gifle.
- Tais-toi ou l'on va devenir méchant...
Je serre les dents et les fesses. Hakim presse sauvagement les roustons. J'abandonne la résistance. Au moins, l'honneur est sauf. Je cède sous le nombre et la violence. Je vais être un enculé... Ça y est ! Hakim est en moi. Il a fait sauter ma pastille.
C'est atroce. C'est une brûlure ! Non, une déchirure ! Ou les deux à la fois. Comment les homos peuvent-ils aimer cela ? J'ai l'impression que je vais mourir empalé, écartelé. Dès le début, Hakim se défoule comme un malade, sans la moindre compassion pour mon anus vierge.
- Aïe, pitié, moins fort ! C'est la première fois... Tu me casses le cul !
- Heureusement que c'est la première fois ! Tu nous prends pour qui ? On baise pas les PD ! Tu la sens bien, hein, ma pute ? Je vais tellement t'élargir la rondelle qu'elle ne se refermera jamais !
- Ouais, vas-y Hakim !
Comme s'il avait besoin d'encouragements !
- Je vais te féconder, ma petite salope ! Ça vient, je te fais un bébé, prends tout.
- Non, s'il te plaît, ne jouis pas en moi..
- Trop tard ! Je t'engrosse ! Je te la lubrifie bien avec mon jus, Joao !
Je sens ses giclées chaudes dans mon cul. Quand il finit par se retirer, mon cul fait des bruits obscènes. Je sens le jus couler, ils se moquent.
L'humiliation est totale. Je crois que se faire remplir est encore pire que le viol. Respectant son doute leur hiérarchie, Joao est encore le deuxième. Il s'allonge sur le dos et me fait m'asseoir sur son zob. J'entre le gland lentement, mais impatient, Joao me saisis par les hanches et s'enfonce d'une traite dans mon cul douloureux.
- Fais pas ta pucelle ! T'es un enculé. Répète !
- T'es un enculé !
Je n'ai pas pu m'empêcher. Une bonne gifle me fait regretter ma provocation.
- Je suis un enculé...
- Encore, putain !
- Je suis un gros bâtard d'enculé qui se fait baiser dans les bois par de beaux salauds ! T'es content, ça te va ?
- Ouais... Descends, remonte plus vite... C'est bon, coulisse bien sur ma tige. Ce n'est pas moi qui te baise, c'est toi qui te baise tout seul... T'aimes ça, hein ? Branle-toi, traînée...
On s'habitue à tout, paraît-il, en tout cas je n'ai plus mal. Je ressens de drôles de sensations, pas déplaisantes pour ma plus grande honte... Joao finit enfin par se vider dans mon cul. Je perçois ses épaisses et nombreuses giclées chaudes. Il se retire et j'ai l'impression que mon trou ne se referme pas. Qu'il ne se refermera plus.
Adel, l'imaginatif Adel, s'approche. Que me réserve-t-il ? Il me fait mettre sur le dos. J'ai les jambes sur ses épaules musclées et tatouées.
- Écarte tes lobes ! Je vais te baiser comme une femelle ! Je veux que tu me regardes. Regarde-moi !
J'obéis en me disant que ce sale petit con de merde est beau comme un dieu. Je suis hétéro, mais je reconnais qu'il est splendide à virer su cuti. Adel me fait l'amour. En effet, contrairement à ses potes, il recherche mon plaisir. Il alterne violence et douceur, il rentre et ressort sans arrêt de mon fion.
Cela me procure à chaque fois de torturantes sensations. Je gémis, je bande à en souffrir. Je commence à me branler mais mon violeur coince mes bras au-dessus de ma tête.
- Non ! Les vraies salopes jouissent du cul. Tu ne vas pas te toucher, mais je vais te faire jouir du cul et de la bite. Et c'est vrai ! Je ne peux plus me retenir. J'éjacule comme un damné six jets sur mon ventre devant mes ennemis qui se marrent. Que c'est humiliant.
Les contractions de mon cul ont raison de l'endurance de celui qui abuse de moi. Je me fais remplir le derche pour la troisième fois... Quel dépucelage ! Ce n'est plus un cul que j'ai, mais une fontaine à foutre, tant le jus coule. Mes agresseurs se rhabillent en riant.
Ils parlent entre eux comme si je n'existais pas. Ils semblent satisfaits d'eux-mêmes. Ils voulaient baiser ce soir et ils se sont livrés à leurs plus bas instincts comme ils n'auraient jamais pu le faire avec une fille. Je me dis que le cauchemar est enfin fini. J'ai tort.
- Allez, on ne va pas se quitter comme cela !
Hakim commence à me pisser dessus. Horreur et infamie ! Joao se marre et fait la même chose.
- On est charitable, on n'allait pas te laisser couvert de foutre ! On te nettoie bien, remercie-nous !
- Merci...
- Après les couilles, viens te vider la vessie, Adel.
- Non, j'ai pas envie de pisser...
- Tu ne sais pas ce que tu manques !
Enfin la douche dorée prend fin. Hakim dit à Adel de prendre mes vêtements, (l'uniforme dont je suis si fier !) et ils m'abandonnent après quelques dernières insultes de rigueur. Ils emportent aussi mes papiers et les clefs de ma caisse et de l'appart.
 Je n'en peux plus. Je pleure. Les hommes ne pleurent pas, mais là, nu, pisseux, la bouche amère, l'anus défoncé, je n'ai plus aucune force. Impossible de retourner au bal ou chez moi. Les collègues ont du se dire que j'étais parti tirer ma crampe à l'écart avec une gonzesse.
Pour la première fois de ma vie, je ne sais pas quoi faire. Je me sens perdu comme un gosse qui aurait perdu sa maman. Je suis seul et j'ai beau réfléchir, je ne vois aucune solution. Il faut que je fasse quelque chose, je le sais bien, mais je suis vidé de mes forces.
J'entends des brindilles piétinées. Je ne relève même pas la tête. Ils reviennent. Pour quoi faire ? M'achever ? Ils ont peur que je ne porte plainte ? J'ai beaucoup trop honte. Une main se pose sur mes cheveux courts, les caresse doucement. Je lève les yeux. Adel ! Avec mon uniforme, mes papiers et mes clefs ! Et avec dans les yeux une expression...
Il me tend la main. Je l'accepte. Nous sommes debout l'un en face de l'autre. Il me fixe, sérieux et inquiet avant de me prendre dans ses bras. Je me laisse aller. Je me sens enfin bien. Le monde me semble moins hostile. Il m'embrasse dans le cou. J'ai presque honte d'être couvert de la pisse de ses copains.
Je finis par prendre l'initiative et je lui roule une pelle. Nos langues se confondent, nos dents s'entrechoquent, c'est doux et violent. À mon tour, je lui arrache ses vêtements. Sauvagement. Il bande.
C'est beau un mec qui bande... J'appuie légèrement sur sa tête et il comprend. À genoux, il fixe ma bite. La première qu'il va sucer et faire jouir un inconnu. Non, nous ne sommes plus des inconnus... Il est déstabilisé.
Cette nuit nous a changés à jamais, lui comme moi. Pour le meilleur ou pour le pire ? Il assume ses nouvelles pulsions et me pompe passionnément. Je pue la pisse mais cela ne semble pas le gêner. J'ai été mieux sucé dans ma vie, je dois le reconnaître...
Il est évident que Adel est novice dans le noble art de la fellation, mais jamais je ne me suis senti si excité. Je l'encourage avec des petits mots d'amour.
- Hum, tu es une bonne salope, tu veux me faire jouir, c'est bien, mais moi j'ai envie de te remplir ton autre trou...
Je ne vois pas Adel rougir mais je le devine. Il se met sur le dos et relève ses jambes. La position qu'il choisit lui-même pour son dépucelage...
- Écarte tes miches !
Adel obéit. Je me penche et bouffe un cul pour la première fois. C'est poivré, pas dégueu... Adel gémit, se contorsionne, fou du plaisir que je lui donne. J'enfonce un doigt qui entre comme dans du beurre dans mon petit beur. OK, je sors... Mais pas de son cul. Je pointe enfin ma queue sur sa pastille et je m'enfonce d'un seul coup.
Pas par vengeance, seulement parce que je sais bien désormais que la douleur est inévitable mais passagère. Alors, autant y aller franco. Adel crie. Pour son bien, je lui mets mon slip dans la gueule et continue à m'enfoncer toujours plus loin. Quand je vois qu'il supporte mieux l'intrusion, je retire le sous-vêtement. Quelques larmes s'écoulent de ses beaux yeux noirs
- Oui, pleure ton pucelage perdu ! Pleure cette bite qui te défonce et te déforme car tu ne seras plus le même après...
- Elle est grosse... Je la sens bien. Tu me fais mal, tu me fais du bien, c'est fou...
Je me retire d'un coup sec.
- Non, remets-là ! Remplis-moi !
- Ouais, je vais te remplir de ma liqueur d'homme ! Oh, je te baptise, mon beau salaud !
Je me vide dans son cul et lui aussi éjacule des litres de foutre sur son ventre. Je m'enfonce le plus possible et nous nous roulons une pelle intemporelle.
- Ton beau salaud s'appelle Adel.
- Oui, je ne suis pas sourd, j'ai entendu tes potes, Hakim et Joao... Moi c'est David.
David ? Il réfléchit, observe ma bite circoncise et comprend.
Il semble hésiter une demi-seconde avant de m'embrasser à nouveau. Je me sens bien. J'aime sa force, égale à la mienne. Sa virilité me comble. J'ai toujours joué avec les filles le rôle du protecteur. Quelle plénitude d'avoir une épaule solide désormais à ma disposition !
Sa force remédiera à mes moments de faiblesse, de doute, et réciproquement. Nous serons invincibles. Je crois que je suis amoureux de mon violeur, de cet adorable petit con... Et j'ai l'impression que c'est partagé. Il parait aussi surpris que moi de ce qui nous arrive. Nous nous sentons seuls au monde, enlacés comme si nous voulions nous fondre l'un dans l'autre.
Rien ne pourra nous séparer. Nous sommes tellement épanouis dans la joie de notre découverte que nous n'avons pas entendu les pas qui se rapprochent, se rapprochent et nous rejoignent.

Pas de suite.... Dommage.

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Ouvertes..!
De gré ou de force..
Mâles en vase clos... 


Histoir du net;Auteur Azeroff. Quand l'élève dépasse toutes espèrances.

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 Quand une jeune fille trouve ses mentors.
Qui savent y faire avec une élève de si bonne volonté.

Auteur : Azeroff
Le coup de folie de Marion
Marion a 19 ans. Elle est en BTS commerce international dans une petite ville de province. Elle est ce que les garçons appellent un "beau petit lot": cheveux châtain clair, les yeux verts, une taille de guêpe et un joli petit fessier bien rebondi (merci la gym!), et surtout sa fierté, une poitrine 90D bien ferme, héritée de sa mère.
A 19 ans elle avait déjà eu quelques petits copains mais depuis quelques temps, elle était en couple avec Johann, un des plus beaux garçons de sa classe.
Ce vendredi soir, Marion est invitée à une soirée chez sa copine Aurore, qui a un appart en plein centre-ville loué par ses parents vivant à la campagne. Et c'est lors de cette soirée que Johann lui annonce qu'il la largue.
Et pour cette salope d'Estelle!
Tout ce qu'il trouve à dire pour se justifier, c'est qu'Estelle est plus ouverte sexuellement et lui correspond mieux. Connard!
Elle prend congé d'Aurore puis se met en route à pied: il n'y a que 10 mn de marche jusqu’à chez elle et la ville est très tranquille, même un vendredi soir.
Alors qu'elle remonte une rue, elle croise deux types qui se mettent à la haranguer:
- Bonsoir mademoiselle, vous êtes belle comme un rayon de soleil. Vous êtes seule?. Vous voulez de la compagnie?"
Les deux types sont deux jeunes maghrébins visiblement désœuvrés qui trainent dans le quartier, pas méchants mais collants.
- Je suis attendue à une soirée" répond Marion dans un sourire, pressée de finir la conversation.
- Attends, avec nous tu t'amuseras plus, on est des joyeux drilles tu sais" dit l'un des beurs qui marchaient en l'encadrant
- Vous avez l'air sympa, mais on m'attend"
- Et là où tu vas, y en a des aussi grosses?"
Joignant le geste à la parole, l'un des beurs sortit de son jogging un sexe d'au moins 20 cm qui stupéfia Marion: elle n'en avait jamais vu d'aussi grosses en vrai!
- Non mais ça va pas? protesta Marion.
- Allez, poupée, ça se voit qu'elle te plait, t'aimerais bien la bouffer, hein?"
- Sûrement pas en pleine rue!" répondit elle.
C'est elle qui avait dit ça? Se dit aussitôt Marion.
Ses mots étaient sortis tous seuls.
Un des deux jeunes la reprit au vol:
- Pas de blême, viens avec nous on connait un copain qui tient une épicerie de nuit pas loin, il a une arrière salle discrète, on pourra s'amuser peinards!"

Cette proposition laissait des sentiments mitigés chez Marion: d'un côté le coté dégoutant de la proposition (sucer deux inconnus dans une arrière-boutique glauque, pour qui la prenaient elle?), de l'autre l'envie de se venger de ce connard de Johann et il faut bien le dire, l'excitation, lui donnaient envie d'essayer....
- OK, c'est pas loin j’espère" se surprit elle à répondre.
Les deux maghrébins n'en croyaient pas leurs oreilles, mais ils se ressaisirent bien vite.
- Non, t’inquiète, c'est à deux rues de là, viens. Au fait moi c'est Bilal, mon pote c'est Jamel."
Elle ne leur avait même pas demandé leurs prénoms!
L'un des deux prit la main de Marion et les voilà en deux temps trois mouvements à l'intérieur d'une épicerie de nuit comme il en existe dans de nombreuses villes.
Bilal discuta deux secondes en arabe avec le caissier, seul dans sa boutique. Marion crut apercevoir un échange mais rien de sûr.
Le caissier dévisagea Marion et lui adressa un drôle de sourire....
Puis Bilal entraina Marion vers le fond du magasin où se trouvait une petite arrière-boutique: un canapé bien fatigué, une télé hors d'âge étaient les seuls meubles.
A peine entrés, les deux beurs passèrent à l'attaque: ils commencèrent à tripoter Marion, caressent ses fesses, malaxent ses seins, aventurent même un doigt vers sa chatounette.
Marion a bien du mal à contrôler la situation, d'autant plus qu'elle ne pouvait parler car Jamel lui roulait un patin d'enfer!
Elle parvint néanmoins à mettre la main sur les sexes des deux hommes à travers leurs joggings: quels engins! Elle allait se régaler....
Marion s'agenouilla entre les deux hommes et baissa leur pantalon, laissant apparaitre leurs deux virilités, dressées comme à la parade. Elle commença à sucer Bilal tout en branlant Jamel, puis inversa, pour le plus grand plaisir des deux hommes , qui exprimaient leur satisfaction par des grognements mais aussi par des paroles:
- Putain, qu'est ce qu'elle suce bien!"
- T'as raison, un vrai aspirateur à bites!"
- Sur ma mère, je vais lui cracher ma purée dans la bouche"
- Attends, ce serait trop con de juste se faire sucer, cette nana est une bombe, on va pas se contenter de sa bouche!"
Marion écoutait la conversation tout en suçant, et ce qu'elle entendait l'inquiétait un peu. Elle était d'accord pour deux fellations, mais pas pour se faire baiser comme une trainée!
Mais, outre le fait qu'elle les avait suivis de son plein gré, ils étaient en force et pouvaient donc la soumettre à toutes leurs perversions sans qu'elle ait son mot à dire.
Marion décida de se laisser faire docilement et de profiter de ces deux belles bites.
Pendant qu'elle se perdait en réflexions, les deux maghrébins ne perdaient pas de temps: ils avaient baissé les bretelles de sa robe, puis Bilal avait dégrafé son soutien-gorge, faisant apparaitre ses deux globes laiteux aux auréoles roses.
- Mate moi ces nibards, de vraies merveilles!"
- Comme on doit être bien entre les deux!"
Joignant le geste à la parole, Jamel plaça son sexe entre les seins de Marion et entreprit une cravate de notaire, tandis que Bilal obligeait Marion à continuer à le sucer en lui maintenant la tête.
- Allez, ma belle, maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu vas ramasser!"
Et en effet, Marion se retrouva rapidement nue, allongée sur le vieux canapé prise par Bilal pendant que Jamel étouffait les cris de plaisir de Marion en lui bâillonnant la bouche avec sa bite.
Puis Jamel s'assit sur le canapé et fit s'empaler Marion sur son sexe pendant que Bilal s'amusa à poser son mandrin contre l'anus de la jeune femme.
Marion ne put s’empêcher de dire:
- Non, pas par là, je n'ai jamais fait."
- Par le cul ou par deux keums?" demanda Bilal.
- Les deux" souffla Marion.
- Eh ben, faut un début à tout" ricana Bilal en s’enfonçant dans l'anus de la jeune fille, lui arrachant un cri de douleur.
Les deux types, heureusement pour elle, allaient en cadence, et bientôt, la douleur laissa place à une délicieuse sensation de plaisir.
Après quelques minutes de ce traitement, Marion, bouleversée par un puissant orgasme, ne put retenir un cri de jouissance quasi bestial.
A ce moment, avec une belle synchronisation, les deux hommes jouirent: Bilal se déversa dans la bouche de Marion alors que Jamel envoya sa semence sur ses seins.
Les deux beurs se retirèrent, satisfaits d'avoir profité de cette belle babtou.
C'est alors que le caissier de la supérette fit son entrée: il reluqua sans vergogne Marion, nue, jambes écartées et encore l'esprit embué par son orgasme.
- Si tu veux en profiter c'est le moment, mon frère" lui dit Bilal.
- Eh" articula Marion "je ne suis pas une poupée gonflable"
- Non" répondit Bilal "mais t'es une belle petite salope et il faut remercier Omar de nous avoir prêté ses locaux"
Sans attendre de réponse et profitant de l'état de faiblesse de Marion, Omar se précipita sur elle et la pénétra sans autre forme de procès. Marion préféra le laisser faire, de toutes façons elle n'avait pas la force de résister.
Omar termina rapidement son affaire et se répandit dans le vagin de la jeune fille. Sans un mot il rajusta son pantalon et ressortit.

Marion décida alors de se rhabiller rapidement et de fausser compagnie à ses baiseurs. Qui sait s’ils n'allaient pas la faire sauter par d'autres de leurs potes.
- Mais où sont mes sous-vêtements?" demanda-t-elle.
- Ah, on les garde. Si tu veux les récupérer, il faudra qu'on se revoie. Tiens, je rentre mon 06 dans ton portable. Et comme photo de contact, je mets ma bite!" s'esclaffa Bilal, tout en prenant une photo de son engin avec le portable de Marion.
Marion remit sa robe, récupéra son portable et quitta ses amants sur le pas de l'épicerie. En se hâtant vers chez elle, elle n'en revenait pas de rentrer nue sous sa robe et surtout couverte du foutre de types qu'elle ne connaissait pas il y a encore une heure!
Heureusement pour elle, ses parents dormaient à son arrivée. Marion se précipita à la salle de bains pour prendre une douche et se débarrasser de l'odeur de sperme et de stupre qui se dégageait d'elle.
Vraiment, elle ne pensait pas être comme ça....
Mais qu'est-ce que c'était bon!
oooOOooo
Marion à la rivière
Après son aventure à l’épicerie de nuit, Marion avait gardé le contact avec Bilal, un de ceux qui l’avaient si bien baisée. Marion invitait souvent Bilal chez elle pendant les vacances, en cachette de ses parents.
Celui-ci arrivait en conquérant, sûr d’avoir rendu accro à sa grosse bite cette superbe fille. En général, à peine entré, il plaquait Marion contre le mur le plus proche, lui roulait une profonde pelle, puis appuyait sur les épaules de Marion pour l’agenouiller et lui fourrer sa pine dans la bouche.
Bilal adorait la bouche de la jeune fille qui, de plus, suçait divinement bien.
Marion avait découvert qu’elle adorait le goût du sperme, et Bilal ne se privait pas de lui faire boire le sien directement à la source !
Puis un moment de repos passé, Bilal entraînait Marion dans sa chambre pour la baiser comme la petite chienne qu’elle était : Missionnaire, levrette, sodomie, 69, cavalier.... tout y passait.
Après l’avoir pilonnée tout l’après-midi et avoir joui dans tous ses orifices, Bilal retournait chez lui satisfait, laissant Marion étendue sur le lit, épuisée, les trous pleins de sperme.
Marion, de son coté, si elle adorait ces parties de baise qui la changeaient de son ancien copain (ce con ne savait tout simplement pas la baiser correctement, bonne chance à Estelle avec un nullard pareil, rigolait-elle), se disait que tout de même, Bilal l’utilisait un peu comme une poupée gonflable ou une vide couille.
Quelle ne fut pas sa surprise quand Bilal lui téléphona non pas pour encore venir la troncher comme une pute, mais pour lui proposer de passer l’après-midi à la rivière avec lui !
Ravie de l’invitation, elle se précipita immédiatement dans son placard à la recherche d’un maillot de bain.
Elle sortit un joli maillot bleu, le haut avec des bonnets en forme de triangle, moulant bien son décolleté, le bas échancré noué par des ficelles.
Elle se souvenait de la conversation avec sa mère lorsqu’elle avait essayé ce maillot au magasin :
- Dis donc Marion il est un peu osé ce maillot »
- Bah non je trouve pas »
- Tu rigoles, on voit quasiment tout, que ce soit en haut ou en bas ! »
- Maman ! J’ai 19 ans, je suis bien foutue, je ne vais quand même pas m’habiller en burka ! »
- Bon, comme tu veux ! »
Souriant à ce souvenir, elle enfila le maillot puis mit un débardeur et un short.
A peine avait elle terminé qu’un SMS arriva sur son smartphone : « je suis en bas. amène toi »
Marion attrapa son sac et descendit les escaliers quatre à quatre et monta dans la voiture de Bilal garée devant l’entrée de son immeuble. Marion remarqua tout de suite que la voiture puait l’herbe.
- Dis donc, ça pue le shit dans ta bagnole » fit remarquer la jeune fille.
- Bah oui, mais c’est de la bonne, rien que du naturel ! » rigola-t-il.
Après 30 minutes de route, ils arrivèrent dans un coin reculé de la rivière. Après une petite marche et une jolie petite plage totalement déserte s’ouvrit devant eux.
- Ouah ! s’exclama Marion comment t’as trouvé ce coin ? »
- C’est un copain qui travaille pour la mairie qui a repéré cette petite plage. Personne y vient jamais »
Marion étendit sa serviette et ôta débardeur et short, provoquant chez Bilal un sifflement d’admiration et un début d’érection.
Bilal se mit à son tour en maillot et étendit sa serviette à côté de celle de Marion.
Ils commencèrent bientôt à s’embrasser langoureusement, mêlant leurs langues. Bilal se mit à caresser la belle paire de seins de Marion à travers son maillot d’abord, puis écarta un puis les deux pans du maillot pour agacer ses tétons et les lécher.
Marion fut rapidement dans tous ses états. Sa petite chatte était trempée et appelait la bite de Bilal.
- J’ai envie de toi » souffla Marion.
- Suce ma queue, ma belle » lui intima Bilal
Marion se pencha sur le maillot de Bilal, le descendit et goba aussi sec la hampe érigée en son honneur, débutant une fellation endiablée.
Bilal profitait de sa pipe quand il entendit un SMS arriver sur son téléphone :
- « salut gros. T où ? »
- « rivière. Plage secrète me fais sucer par 1 nana »
- « chacal ! Tu fais tourner ? »
- « amène toi mais prend des renforts. C'est 1 gourmande »
Marion était intriguée par le manège du jeune homme. Elle arrêta sa fellation :
- A qui t’écris ? »
- A un pote. Ça te dérange pas qu’il vienne ? »
- Oh non ! On pourra pas baiser tranquille ! »
- Bah si. Et puis il a une grosse bite lui aussi, il te plaira »
- T’es chiant ! »
Marion reprit sa pipe avec des sentiments contrastés : il la prenait vraiment pour une traînée qui se faisait sauter par n’importe quel type. Mais bon, c’est vrai qu’une bonne bite de plus n’est pas pour lui déplaire...
Mais elle ne se doutait pas de ce qui allait se passer.....
Après la pipe magistrale administrée par Marion, Bilal lui rendit la pareille en écartant la culotte du maillot pour lui faire un cuni des plus agréables, si on en croit les gémissements de plus en plus sonores de Marion.
Les deux amants ne voyaient pas le temps passer mais un éclat de voix les ramena à la réalité.
- Eh ben putain, ce qu’il y a c’est qu’on peut vous retrouver rien qu’à l’oreille !
C’était Karim, celui qui avait été invité par Bilal. Mais il n’était pas venu seul. Abdel, Sofiane et Amine l’accompagnaient.
Marion se redressa vivement, croisa ses bras sur sa poitrine et ferma les cuisses.
– T’avais dit qu’il y en avait qu’un ! » protesta-t-elle à Bilal.
– Relax, bébé ! répondit Bilal ce sont des potes. Ils vont pas te manger ! »
– Pas tout de suite » reprit Karim en rigolant.
Furieuse de voir son après-midi crapuleuse en plein air partir en fumée, Marion rajusta les bonnets de son maillot sur ses seins en lançant des regards furibonds à Bilal.
Celui-ci lui embrassa la main en lui susurrant :
– T’énerve pas, bébé. Ils sont cool.
Les quatre nouveaux venus ne perdaient pas de temps, enlevèrent leurs vêtements et enfilèrent leurs maillots, laissant largement le temps à Marion de reluquer leur anatomie intime.
« Ma parole » pensa-t-elle « mais ils sont tous montés comme des ânes ! »
Les quatre garçons affichaient tous en effet des pénis circoncis impressionnants. Leurs copines, s’ils en avaient, devaient se régaler !
Bilal n’avait pas perdu de temps et avait sorti de son sac de quoi confectionner une paire de joints. Il en fit un particulièrement corsé qu’il destinait à Marion. Il savait que ça aidait bien à vaincre ses inhibitions ! Cinq minutes plus tard, tout le monde avait tiré au moins une latte en discutant et en blaguant.
D’abord réservée devant cette intrusion, Marion commençait à rigoler de leurs blagues nulles et de leurs allusions graveleuses. Il faut dire que le joint qui tournait revenait plus souvent qu’à son tour dans les doigts de la jeune fille.
Quand Bilal sentit qu’elle était à point, il essaya de mettre une main sur un de ses seins. Constatant qu’elle se laissait faire, il entreprit d’écarter à nouveau les bonnets de son maillot pour faire admirer à ses potes la superbe poitrine bien ferme de Marion, sous les yeux très intéressés de ses copains.
- Dis donc faut pas te gêner l’invectiva mollement Marion, tu veux que tes copains me sautent ou quoi ? »
- T’inquiète ma princesse. Ils ne te toucheront que si tu le veux » répondit Bilal avant de l’embrasser goulûment.
Marion répondit à ce baiser langoureux et sentit presque immédiatement une chaleur dans son bas ventre.
Bilal étendit tendrement Marion sur sa serviette et commença à caresser tout son corps tout en continuant à mêler sa langue à celle de la jeune femme.
La pudeur de Marion en résista pas longtemps à ce traitement « prends-moi » lui murmura elle à l’oreille
Bilal ne se le fit pas dire deux fois : il enleva son maillot, laissant apparaître une impressionnante érection, détacha les ficelles du bas de maillot de Marion et la pénétra sur le champ en missionnaire.
Marion était aux anges, complètement remplie par la grosse bite de Bilal.
Elle en avait presque oublié que les quatre copains du jeune homme ne perdaient pas une miette du spectacle et commençaient eux aussi à avoir une trique d’enfer.
Bilal avait accéléré le rythme de sa pénétration et donnait de profonds coups de boutoir dans la chatte de Marion, ce qui la faisait gémir de plus en plus fort.
Alors que la jeune femme était en bonne voie pour un orgasme, Bilal se retira :
- Tourne-toi, bébé, je veux te prendre en levrette
Marion se mit à quatre pattes et tendit ses fesses vers le sexe triomphalement érigé du jeune homme, qui replongea aussitôt dans le vagin de la jeune femme.
Bilal susurra à l’oreille de Marion :
- Tu dois rendre fous mes potes, il faudrait que tu t’occupes d’eux »
- T’es vraiment un salaud, mais c’est vrai qu’ils ont de belles bites. Je veux bien en sucer un pendant que tu me baises. »
- Eh les gars ! Y en a un qui peut se faire sucer s’il veut !
Les quatre types se levèrent tous ensemble comme des ressorts. Ils voulaient tous se faire sucer ! C’est Karim qui eut la primeur comme il les avait mis sur le coup….
Il présenta sa bite devant la bouche de Marion qui l’engloutit immédiatement.
- Putain ! siffla-t-il c’est plus qu’une bouche qu’elle a, c’est carrément une seconde chatte ! Qu’est-ce qu’on est bien dedans ! »
Les trois autres commencèrent à s’astiquer en regardant le spectacle.
Au bout de quelques minutes, Bilal et Karim sentirent l’orgasme de Marion arriver. Tant mieux parce que eux aussi étaient à la limite. Tous les trois jouirent quasiment en même temps. Bilal remplit la chatte de Marion tandis que Karim souilla sa bouche. Un petit filet de sperme s’échappa de ses lèvres fermées sur l’engin de Karim.
Les trois spectateurs étaient intenables :
– À nous maintenant ! »
– Minute les gars intervint Bilal laissez la reprendre des forces, sinon ce sera comme si vous baisiez un morceau de bois ! »
- Hé ! protesta Marion on avait pas dit ça ! »
- Mais tu peux pas les laisser comme ça !répondit Bilal. Regarde les ils sont tendus comme des arcs !
- Tu me prends vraiment pour ta pute ! » bougonna Marion.
- Non, comme une belle salope qui aime les grosses bites !
Là, il marquait un point, pensa Marion. Elle s’était régalée et la vue des bites turgescentes de ces trois maghrébins la rendait folle. Il les lui fallait, dans la bouche, dans la chatte, dans le cul, partout !
Bilal et Karim partirent se baigner pour se nettoyer et se rafraîchir.
Marion se releva, cul nu, s’approcha d’eux et saisit les bites d’Amine et de Sofiane pour les branler. Abdel, lui, se plaça derrière Marion et commença à se branler entre ses fesses tout en l’embrassant dans le cou
La jeune femme n’y tint bientôt plus et souffla : « baisez-moi »
Abdel s’allongea sur sa serviette et fit s’empaler Marion sur sa bite, ce qui fit s’échapper à la jeune fille un gémissement de satisfaction.
Sofiane ne perdit pas de temps et commença à lubrifier l’anus de Marion avec sa salive, avant de s’y enfoncer doucement mais jusqu’à la garde. Amine présenta sa bite à sucer, ce que Marion fit sans problème….
Bilal et Karim observaient la scène depuis la rivière et ne retenaient pas leurs commentaires :
- Regarde-moi cette salope s’exclama Karim elle en veut ! »
- Ouais, c’est vraiment une sacrée trouvaille, cette nana. répondit Bilal
- Faudrait que tu continues à la dévergonder ! Je suis sûr qu'elle aimerait dans les caves au quartier ! »
Bilal, pensif, observait Marion se faire défoncer sans ménagement par les trois lascars dans tous les orifices. Et les gémissements de plus en plus rapprochés étouffés par la grosse bite d’Amine dans sa bouche ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle en retirait.
Les trois lascars étaient visiblement ravis de baiser cette superbe gauloise, au vu des grands coups de bite qu’ils lui assénaient.
Après quelques instants, on entendit Marion pousser un long râle de plaisir qui trahissait un orgasme fulgurant, tandis que ses trois baiseurs jouirent chacun leur tour dans l’orifice où ils s’étaient introduits.
Leur coup tiré, ils allèrent rejoindre Karim et Bilal dans la rivière, laissant Marion étendue sur la serviette, pleine de sueur et de sperme, reprendre ses esprits.
Bilal sortit de l’eau et rejoignit Marion :
- Ca va bébé ?
- Ils m’ont tuée…. qu’est-ce c’était bon ! »
- Ca t’a plu ? » demanda Bilal, mi-incrédule, mi ravi.
- Oui, et j’ai presque hâte de remettre ça ! »

La nuit commençait à tomber. Il était plus de 21h !
Sofiane proposa de continuer en boite. Marion était d’accord. Les autres opinèrent évidemment.
Elle téléphona à ses parents pour avertir qu’elle allait chez une copine.
Puis elle s’approcha de Bilal, lui lécha l’oreille et lui murmura :
- Merci pour cette après-midi ! »
- C’est pas encore fini, on va en boite. Je suis sûr que tu vas t’éclater ! »
- M’éclater ou me faire éclater ? » reprit Marion avec un sourire coquin.
Bilal était éberlué par la réplique. Elle était en train de se dévergonder à vitesse grand V. A ce train, demain elle tourne dans les caves !
Il fut tiré de ses pensées par Karim :
- Bon on y va ? Tu montes avec moi ? » demanda t il à Marion.
- Même pas en rêve répondit Bilal elle est venue avec moi, elle reste avec moi
Bilal se doutait que ce salopard allait essayer de se faire sucer pendant le trajet !
- On va avec Bilal reprirent de volée Amine et Sofiane.
Tout le monde se rhabilla. Marion n’avait pas pris de change et dut remettre son débardeur et son short sans rien dessous.
Amine et Sofiane montèrent l’arriéré de la voiture.
Quelle ne fut pas leur (agréable) surprise de voir Marion monter à l’arrière avec eux !
Les voitures démarrèrent et se mirent en route vers le secteur des boites.

A suivre 
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